Ère Nouvelle:Victoire du peuple grec contre la tyrannie de l’Union Européenne et les banquiers de Rotschild

Malgré une campagne de terreur et de chantage contre eux, en ce dimanche 5 Juillet 2015, le peuple grec a voté par une marge de plus de 61% à moins de 39% (oui), de ne pas se soumettre au pouvoir du tyran Zeus, de ne pas soumettre volontairement à l’austérité génocidaire européenne  basée sur une dette illégitime imposée frauduleusement, comme exigé jadis par l’Empire britannique au peuple américain et au peuple québécois. Leur vote de «non» est un «oui» retentissant à un avenir, pas seulement pour les Grecs, mais pour l’humanité toute entière , même si cependant aussi  incertaine que l’avenir puisse-être en ce moment.

 

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s'adresse aux électeurs, au soir de le victoire du "non" au référendum grec, dimanche 5 juillet 2015.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s’adresse aux électeurs, au soir de le victoire du « non » au référendum grec, dimanche 5 juillet 2015.

Immédiatement après avoir entendu les résultats du vote, j’ai compris que ce vote ne sera pas seulement  valable pour avoir des conséquences pour la Grèce uniquement. Le vote a des conséquences pour le monde, et surtout pour la région trans-atlantique.

Le résultat du non majoritaire grec aura d’énormes conséquences pour Stephen Harper et pour le Canada qui est le souteneur et le « faire-valoir » de la volonté mortuaire de l’Empire Britannique en Amérique du Nord.Il faut être idiot pour croire que le Canada est une démocratie  au sens large du terme.Nous ,le peuple québécois, connaissons fort bien comment ça marche cette démocratie  totalitaire du système parlementariste canadien.En 1995,lors du dernier référendum sur la souveraineté du Québec,on a donné leur citoyenneté canadienne à plus de 26,000 immigrants nouveaux (dont plusieurs terroristes recherchés par le FBI et la CIA américaine) en leur demandant de voter non au référendum ,au Québec.Contrairement au non grec,un vote non lors du référendum québécois sur la souveraineté signifiait que nous allons continuer à subir la honte,l’invasion,l’assimilation culturelle,politique et sociale et à travailler en esclave sur notre propre terre.Ensuite est ressortie le scandale des commandites ou des centaines de millions de dollars ont été détournés aux profits des amis du Parti libéral du Canada.Ensuite,Jean Chrétien ,notre Quisling national,s’est débarrassé de Jean Charest,alors chef du Parti Progressiste-Conservateur en lui  donnant une belle enveloppe brune pour qu’il abandonne son poste pour devenir chef du Parti libéral du Québec.Personne ne voiulait plus devenir chef de ce parti politique contrôlé par le crime organisé et Jean Charest va  édifier  la gérance de l’état autour de la corruption et de la collusion politique.Actuellement,en 2015,le Parti libéral du Québec fonctionne sur la loi de l’omerta et si demain-matin,je deviendrais premier ministre ou président du Québec,je ferais dissoudre ce parti politique ainsi que tous les autres  élu(e)s de l’Assemblée nationale tout en déclenchant une importante enquête publique.La totalité des  hauts fonctionnaires de ce gouvernement seraient mis en état d’arrestation et jugé.J’embaucherais de jeunes finissants  collégiaux ou universitaires pour les remplacer,car le meilleur moyen pour ne pas  choisir une « pomme pourrie » ,c’est de la choisir verte dans l’arbre.

Corruption dddd

La seule façon de rémédier à l’institualisation du crime organisé,au Québec comme  dans beaucoup de pays contrôlé par des sociétés secrètes (comme en France,en Angleterre,etc) est d’abattre ces institutions politiques en marchant pacifiquement,mais résolument,la tête haute en oubliant la peur…sur notre Assemblée Nationale.Il faut réclamer la démission en bloc de ces gouvernements et punir leurs petits amis.

Le gouvernement et le peuple grec ont réussi dans leur référendum en le déclenchant rapidement…Ils  n’ont pas laisser le temps à l’Union Européenne pour démolir leur unité et leur résolution de vouloir changer quelque chose chez eux:ils sont souverains et ils ont profité de cette souveraineté!

Une mauvaise fréquentation...
Une mauvaise fréquentation…Arthur Porter  et Stephen Harper.

Tandis que le Québec est la dernière Colonie survivante de l’Empire Britannique …administrée par les néolibéraux,comme en Europe! 


VERS UNE SECONDE RÉVOLUTION AMÉRICAINE ET LA FIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL

 

La question fondamentale pour le peuple américain est : qu’est ce qu’Obama va faire? Ce vote aura des conséquences pour Obama, parce qu’il est une simple marionnette de l’Empire britannique et de Wall Street, qui seront tous deux durement touché par le vote grec.

En Allemagne, la chancelière allemande Angela Merkel et le ministre allemand des Finances Wolfgang Schaeuble sont dans le pétrin. L’économie allemande est  en train de plonger vers le bas. Tout allemand sain d’esprit en  viendra à une conclusion:se débarrasser du duo de  Merkel et Schäuble. Du point de vue de l’économie allemande, aucune autre conclusion raisonnable n’existe. L’Allemagne est pratiquement le seul pays producteur qui reste en Europe. Si l’Allemagne ne veut  pas se suicider, il n’a pas d’autre alternative que de se débarrasser de Merkel et Schäuble maintenant. Ils ne sont pas les dépenses Allemagne peut continuer à transporter. L’économie allemande est déjà en chute libre. Combien de temps l’Allemagne peut survivre sous sa mauvaise direction actuelle?

Hillary Clinton recouverte d'un tchador.
Hillary Clinton recouverte d’un tchador.

Et d’ailleurs, combien de temps les Etats-Unis peuvent survivre sous  la mauvaise direction d’Obama? …ce n’est surement pas Hillary Clinton et ses petits amis terroristes qui vont améliorer la situation!

Il faut souligner  que nous pouvons nous attendre à des changements soudains au niveau mondial immédiatement …et dans peu de temps. Il y aura un instinct de punir la Grèce, pour ne pas perdre la face …en ce qui touche l’Union Européenne.

Les changements seront de nature mondiale, frappant principalement la région transatlantique. Soyez prêt parce que l’enfer peut en  sortir. Le 7 Juillet, Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) de la  New Development  Bank seront officiellement lancé. Les 8 et 9  Juillet 2015, les nations BRICS se réuniront en Russie. Est-ce que les laquais de l’Empire britannique vont tenter de forcer la Grèce à sortir de la zone euro? Si oui, la Grèce va-t-elle  rejoindre les BRICS? Ou assisterons-nous à une tentative pour essayer de maintenir la Grèce dans la zone euro? D’après moi,les américains et les européens vont tenter de faire renverser  le gouvernement légitime par  leur méthode d’infiltration:une révolution colorée de type néo-nazi,comme en Ukraine!De toute façon, la question n’est pas la Grèce en soi. La question est la faillite de la région trans-atlantique dans son ensemble. Comme plusieurs économistes l’ont souligné: il n’y a pas de solution unique, mais plutôt il ya un ensemble de complications. Il y aura un effet global. Les marchés réels ne sont pas limités par tous les moyens à l’Europe. Les activités financières sont de nature mondiale.

Marine Le Pen est la seule politicienne qui a osé appuyé le non de la Grèce. Il nous faut aussi un front national...au Québec pour oser,nous aussi!
Marine Le Pen est la seule politicienne qui a osé appuyé le non de la Grèce.
Il nous faut aussi un front national…au Québec pour oser,nous aussi!

Par conséquent, la crise doit être examiné non pas de bas en haut, mais plutôt de haut en bas. Pour ce faire, vous avez à vous extraire de votre entourage local. Nous sommes confrontés à une crise mondiale, pas une crisette  locale. Même une réduction de la dette grecque ne suffirait pas à résoudre la crise.

Comme l’ont fait remarqués quelques économistes et politiciens américains, ce qui est requis est de réimposer la législation Glass-Steagal  de Franklin Roosevelt aux États-Unis et dans le monde.


 

 

DÉFINITION DU GLASS-STEAGALL ACT

Le Glass-Steagall Act est une loi, passée par le Congrès américain pendant la Grande Dépression des années 1930, promulgant la séparation des activités d’investissement et des activités commerciales des banques.

La loi visait à protéger les banques commerciales, qui acceptent les dépôts des épargnants et accordent des prêts aux particuliers et aux entreprises, des risques pris par les banques d’investissement.

La loi Glass-Steagall est abrogée en 1999 sous l’administration Clinton, principalement pour permettre la naissance d’un géant de la banque : Citigroup. De nombreux experts s’accordent à dire que l’abrogation du Glass-Steagall Act a contribué à la crise financière de 2008.

Bill Clinton est un membre important du groupe de Bilderberg et est à la solde des Illuminatis.


 

Comme l’ont  souligné  de nombreux économistes, absolument rien n’est fixé. Tout ce que vous comptez come sur ,en terme de valeurs,pourrait disparaître en quelques jours. Le monde entier pourrait être chamboulé.

Par conséquent, l’approche qui doit être prise est d’aller pour le centre de l’action. Par exemple,commencez par le centre galactique. Vous devez regarder la planète dans son ensemble, sous implications galactiques. Vous devez comprendre l’existence de ce point de vue de l’homme (par l’homme). Les processus qui régissent la galaxie déterminent tout. Vous devez aller de l’ensemble au particulier, et non pas du particulier à l’ensemble. La galaxie a des considérations multiples, dont l’humanité ainsi apprécie le bien que dans une mesure limitée.Il ne reste pas assez d’années à vivre pour  les Humains de la terre afin de comprendre  un seul pour cent (1%) des règles qui régissent l’univers.

Le mot de la bouche de Satan est « être pratique, » quand en fait ce qui est réellement nécessaire est d’être créatif! Il ne faut jamais oublier que la pensée est la création…et non pas l’inverse!

On en sait de plus en plus sur les dimensions des problèmes à résoudre. Comme nous explorons ces dimensions, nous devenons plus qualifié pour traiter correctement les problèmes auxquels fait face l’humanité,maintenant. Pour ce faire, Nous,le peuple des Humains de la Terre, devons nous développer davantage pour acquérir  des compétences suffisantes pour prendre des décisions à l’échelle mondiale.Il nous faut remplacer la gérance maladroite des Maîtres actuels du Monde: les Illuminati et le Nouvel Ordre Mondial.

Le peuple grec  criant sa victoire!
Le peuple grec criant sa victoire!

Ceci nous montre  l’importance de la musique classique. La façon dont nous devons  penser à un moment de crise mondiale, comme nous sommes maintenant confrontés, est de la mettre du point de vue de la musique classique,afin de la comprendre. Le principe musical classique n’est jamais trouvé dans les notes simples en tant que telles. C’est une question de placement. Le « vraiment » grand compositeur classique met son identité( ce que Beethoven a fait), dans une mission personnelle pour améliorer la condition humaine, en élevant l’esprit humain pour être en harmonie avec le principe musical du monde, pour être en concordance avec le principe créatif de la galaxie.

Depuis le (ou vers le) 21 décembre 2012,nous avons été mis en diapason avec le centre de notre galaxie,suivant le calendrier maya.De nombreuses personnes se sont fait du capital médiatique en parlant de fin du monde,mais en réalité,il fallait parler du début de l’Ère Nouvelle.

Apollonius de Thyanes

 On trouve dans l’Antiquité nombre de traces de magiciens, de sorciers qui sont sans doute les prototypes de nos modernes envoûteurs et autres personnages hors du commun. Voici le portrait d’Apollonius de Thyanes célèbre thaumaturge de l’époque romaine, dont les exploits extraordinaires ne manquent pas, et qui est également connu pour être le philosophe errant :

 

apollonius C’était encore un homme très distingué, un philosophe et un médecin éminent que cet Apollonius de Thyanes, dont Philostrate a écrit la vie. Il n’était né que deux ans après Jésus-Christ, et sa vie, qui se prolongea jusqu’à l’âge de cent trente ans, lui permit de faire de nombreux voyages pour aller puiser à leur source la science et la magie. Du reste, les voyages lui coûtaient peu, car il pouvait en un instant se transporter d’une extrémité de la terre à l’autre. Protée insaisissable, il se métamorphosait en oiseau, en arbre, en pierre. Il prédisait l’avenir, évoquait les ombres des morts etavait avec elles des conversations suivies. Un jour, l’empereur Néron étant à table au milieu de ses courtisans, un violent orage s’éleva. Apollonius était alors à Rome, occupé à ressusciter une jeune fille qui venait de mourir au moment même où se terminait la cérémonie de ses noces. Comme les personnes présentes faisaient éclater leur admiration pour le prodige qui venait d’être opéré sous leurs yeux, Apollonius, se tournant vers elles, leur dit: « Entendez-vous la foudre qui gronde? eh bien! j’ordonne qu’elle tombe sur l’empereur qui est à table en ce moment. » Aussitôt la foule se précipite vers le palais, où l’événement ordonné par Apollonius était effectivement arrivé. La foudre, tombant sur la table de l’empereur, avait brisé la coupe qu’il portait à ses lèvres, mais sans faire aucun mal à sa personne.

 

   Apollonius de Thyanes était passé maître dans l’art de produire des hallucinations chez tout un peuple. La peste désolant la ville d’Ephèse, comme médecin, il crut devoir s’y transporter. Il assembla les principaux habitants sur une des places de la ville, et leur dit : « Ne voyez-vous pas que les dieux vous punissent de l’hospitalité que vous accordez à l’esprit du mal, que les nouveaux Juifs (les chrétiens) appellent le diable? »

 

On lui demande où est ce diable. Il montre alors du doigt un vieux mendiant qui se chauffait au soleil. « Voici l’auteur de la peste, dit-il, il dépend de vous de l’anéantir. »

 

En un instant, le malheureux qu’il désignait fut assommé à coups de pierres. Mais quand on voulut retirer son cadavre pour l’entraîner hors de la ville, on ne trouva plus que la carcasse d’un chien qu’on se hâta d’enterrer, et la peste cessa.

 

   Revenu à Rome, Apollonius devint suspect et il futarrêté. Un acte d’accusation ayant été dressé contre lui, il fut amené devant ses juges. Mais lorsqu’on voulut lire l’acte d’accusation, l’écriture disparut. Consternés de ce prodige, les juges interpellèrent l’accusé. Il sourit sans leur répondre; puis on vit se former autour de lui un nuage de fumée qui l’enveloppa : quand ce nuage fut dissipé, Apollonius avait disparu.

 

On l’arrêta une seconde fois sous le règne de Domitien. Pour rendre son évasion impossible, l’empereur ordonne de le dépouiller de ses vêtements et de lui raser la barbe et les cheveux; en cet état, on l’enferme dans un cachot, à l’entrée duquel furent placés des gardes qui devaient répondre de leur prisonnier sur leur tête. Mais quand on entra dans le cachot pour porter à manger au captif, on n’y trouva que les fers dont il avait été chargé.

 

   Lorsque, quelque temps après, Apollonius reparut à Rome, son retour fut considéré comme un prodige. Il se mit à parcourir les rues en criant: « Tue, tue…. Mort au tyran! » La foule s’attroupe autour de lui; quelques citoyens veulent s’emparer de sa personne; mais ceux qui étendent les bras pour le saisir, demeurent aussitôt immobiles et comme pétrifiés. « Est-ce donc ainsi, ô Romains, s’écrie-t-il, que vous traitez les gens qui vous apportent une bonne nouvelle. Sachez qu’au moment où je vous parle, le tyran Domitien tombe sous les coups d’Etienne…. Il se débat!… son sang coule…. il est mort! » Le peuple courut en foule vers le palais, et acquit la certitude que Domitien venait, en effet, d’être assassiné.

 

   Quand Apollonius mourut, ses disciples firent courir le bruit qu’il avait été enlevé par une troupe d’esprits célestes, et on les crut d’autant plus facilement que, danstout le cours de sa longue carrière, il n’avait usé de son savoir puissant que pour faire du bien aux hommes.

 

 Sources: Louis Figuier, Histoire du Merveilleux dans les Temps Modernes, Hachette 1860

 Voir aussi http://www.apollonius-de-tyane.ch, site très complet sur le personnage

Conspiration :20 000 kalachnikovs à bord d’un mystérieux navire arrêté en Grèce

Mitraillettes

 

Les garde-côtes grecs ont intercepté un cargo battant pavillon du Sierra Leone avec environ 20 000 fusils d’assaut Kalachnikov à son bord. La destination finale du navire, arrêté près d’Imia sur la mer Égée orientale, reste inconnue.

Le cargo Nour M, a été arraisonné jeudi soir, emmené près de l’île de Symi. Le lendemain matin, escorté par des navires des garde-côtes, il a été conduit à l’île de Rhodes.

Le capitaine turc du navire et sept membres d’équipage, dont deux Turcs et cinq Indiens, ont été placés en état d’arrestation, d’après les informations données par les garde-côtes à l’agence de presse Athens-Macedonian News Agency(ANA-MPA).

La cargaison était à la fois plus importante que celle déclarée dans le livre de bord du navire, et le capitaine n’avait pas les autorisations délivrées par les Nations Unies pour acheminer sa cargaison dans une zone de guerre.

Les garde-côtes grecs ont publié une déclaration indiquant que l’inventaire des armes et des munitions présentes à bord était en cours et que la destination exacte des armes et des munitions n’a pas encore été définie.

Outre la grande quantité d’armes, le navire transportait des explosifs en nombre. L’enquête a également déterminé que le navire avait auparavant été utilisé pour le trafic de drogue.

Des sources ont déclaré à l’ANA-MPA que le navire avait appareillé d’Ukraine, et que la destination finale du navire demeurait incertaine. Bien que les ports de Tartous en Syrie et de Tripoli en Libye avaient tous deux été déclarés comme ports de destination aux autorités maritimes, c’est le port turc d’Iskenderun qui a été désigné comme destination finale par le capitaine du navire.

Le Ministère des Affaires étrangères ukrainien a déclaré tenter de déterminer si le Nour M avait bien appareillé de son pays.

L’expert maritime Mikhaïl Voitenko a déclaré à la chaîne Vesti Ukraine que le navire a vraisemblablement chargé sa cargaison à Istanbul.

« Je pense qu’il était là dans un autre but que le transport d’armes. Il est étrange que cela ait pris deux semaines à ce navire pour aller de Nikolaev (Ukraine) en Grèce alors que la traversée prend maximum cinq jours… Que faisait-il et où était-il pendant ce temps ? Telle est la question. »

Mikhaïl Voitenko pense que le navire a probablement été arrêté à la suite d’une dénonciation.

« La présence de ce bateau en mer Noire est étrange, mais à travers les eaux territoriales grecques, il naviguait en ligne droite, donc la police n’avait aucune raison de le stopper. »

 

 

« Les documents secrets du FMI sur la Grèce !… »

grèce-émeute

Charles SANNAT dans la revue de presse ; Ce qui s’est passé en Grèce est en train de commencer à se passer ici : vous avez reçu votre feuille d’impôt ? La taxe d’habitation…? Ça fait mal !!!  NON ? 

 

Plus les projets de taxation rétroactive  de l’épargne, des complémentaires santés des salariés, le FMI qui veut taxer 10% de TOUS les comptes etc etc :

 

Les français ont été trahis : ils ne pardonneront PAS …

 

revue de presse 2013 Z@laresistance 

 

Mes chères contrariées, mes chers contrariens !

Il y a quelques jours, alors que nous étions tous occupés et préoccupés par le shutdown américain et les risques de défauts de paiements liés au conflit opposant républicains et démocrates sur le relèvement du plafond de la dette, des documents confidentiels du FMI, le Fonds Monétaire international, fuitaient dans la presse américaine.

C’est le Wall Street Journal qui a sorti ce dossier concernant les différentes réunions et tractations qui ont eu lieu en 2010 autour du sujet des plans d’aides nécessaires à l’économie grecque.

Les notes et les procès-verbaux du conseil d’administration du FMI sont accablants sur la façon dont il a été décidé d’aider la Grèce.

Tout ce que nous disons depuis le début de la crise grecque, à savoir que les plans d’aides à la Grèce n’aident pas la Grèce, ni l’économie grecque et encore moins la population grecque mais sont des plans de sauvetages des banques, en particulier des banques européennes.

Ces documents confidentiels sont accablants sur la façon dont la Grèce a été et reste traitée aujourd’hui car sa situation est sans espoir économiquement parlant. Il a été décidé de sacrifier un pays entier pour préserver les bénéfices des grandes banques commerciales. Tout cela est une évidence depuis le début pour qui observe avec un tant soit peu de jugeote la situation.

Lors de la réunion du 9 mai 2010 du FMI, le conseil d’administration a approuvé le premier plan de sauvetage de la Grèce. Pourtant, il y a eu des désaccords considérables au sein même de l’institution et lors des différentes réunions.
Néanmoins, américains et européens disposent de suffisamment de droits de votes pour pouvoir ignorer les autres avis, raison pour laquelle les pays émergents insistent de façon de plus en plus importante sur la réforme des institutions internationales.

Le directeur exécutif suisse René Weber dira :

« Nous avons des doutes considérables quant à la faisabilité du programme… Nous avons des doutes sur les hypothèses de croissance qui semblent être trop favorables.

Même un petit écart négatif par rapport aux projections de croissance de base rendrait le niveau d’endettement insoutenable sur le long terme… Pourquoi la restructuration de la dette et l’implication du secteur privé dans le plan de sauvetage n’a pas été considéré jusqu’ici ?… »

Pour une raison somme toute assez simple. « L’implication du secteur privé », ce sont les banques commerciales. Restructurer la dette grecque, abandonner des créances impossibles à rembourser c’était amputer d’autant les bénéfices et les fonds propres des grands banques commerciales du vieux continent. Cela signifiait faire des augmentations de capital en urgence, voire même demander à chaque État d’aller renflouer directement ses banques respectives.

Le directeur exécutif brésilien Paulo Nogueira Batista dira :

« Les risques du programme sont immenses… À l’heure actuelle, les programmes risquent de substituer aux financements privés des financements officiels. En d’autres termes, ce programme peut être considéré non pas comme une opération de sauvetage de la Grèce, qui devra subir un ajustement déchirant, mais comme un plan de sauvetage des créanciers privés de la Grèce, principalement des établissements financiers européens. »

« Notre décision d’aller dans le sens de ce programme problématique et risqué ne doit pas être interprétée comme signifiant que nous soutiendrons à l’avenir de telles politiques.
À l’avenir, nous souhaitons nous assurer que le fonds monétaire international ne soit pas mené sur la voie d’approuver un programme qui peut se révéler mal conçu et finalement insoutenable. »

Voilà qui est limpide de clarté. Je rappelle que nous sommes le 9 mai 2010 et que déjà tout est parfaitement connu et anticipé concernant les conséquences délétères des politiques de rigueur menées en Grèce. Non seulement c’est connu, mais c’est en plus dit, écrit et acté sans que cela ne change rien aux décisions prises par nos gouvernants européens.

Le directeur exécutif argentin Pablo Andrés Pereira dira :

« L’alternative d’une restructuration volontaire de la dette aurait dû être mise sur la table… Les autorités européennes auraient été bien avisées d’arriver à un processus de restructuration ordonnée de la dette. La ligne du FMI est que la stratégie approuvée n’aurait qu’un impact marginal sur les problèmes de solvabilité de la Grèce… Or il est très probable que la Grèce soit dans un état aggravé après la mise en œuvre de ce programme. »

Encore une fois, nous savions exactement ce qui allait se passer avec l’effondrement de l’économie grecque, ce qui ne pouvait qu’aboutir à une spirale infernale de chute de l’activité, baisses des rentrées fiscales, augmentation de la dette… sans oublier les dégâts sociaux et les ravages humains.

Le directeur exécutif égyptien Shakour Shaalan dira que :

« Nous souhaiterions avoir de plus amples précisions sur les hypothèses… des projections de croissance à moyen terme qui nous semblent plutôt optimistes… Nous souhaiterions savoir si la restructuration de la dette a été parmi les options envisagées dans le programme d’aide.
La restructuration de la dette peut être considérée comme défavorable, mais elle doit être envisagée. »

Le directeur exécutif indien Arvind Virmani dira que :

« L’ampleur de la réduction budgétaire sans aucune politique monétaire en accompagnement est sans précédent.

C’est un fardeau de la taille d’un mammouth que l’économie pourra difficilement supporter.

Même si le programme est mis en œuvre avec succès, cela pourrait déclencher une spirale déflationniste de la baisse des prix, baisse de l’emploi, et la chute des recettes fiscales qui pourraient éventuellement compromettre le programme lui-même. Dans ce contexte, il est également nécessaire de se demander si l’ampleur de l’ajustement ne construit pas le risque d’échec du programme et l’arrêt des paiements conséquents…

Il est à craindre que le défaut et la restructuration soient inévitables. »

Là encore, le FMI était parfaitement au courant des risques qui pesaient sur la Grèce et de l’inutilité de telles mesures prises isolément, c’est-à-dire sans le levier de la dévaluation monétaire… liée au dogme de l’invincibilité de l’euro.

Le directeur exécutif chinois Il Jianxiong dira que:

« Les risques pour le programme sont importants… La projection de croissance semble optimiste. »

C’est pour le moins laconique et peu étayé bien que cela reste juste dans les faits.

Cette année, en juin 2013, Christine Lagarde, directrice générale du FMI, revient sur le dossier de la Grèce en sortant l’inaltérable « on ne pouvait pas savoir » expression fourre-tout servant surtout à exonérer de toute responsabilité des gens qui sont censés pourtant en exercer.

« En mai 2010, nous savions que la Grèce avait besoin d’un plan de sauvetage, mais pas qu’il faudrait une restructuration de la dette… Nous n’avions aucune idée que la situation économique générale allait se détériorer aussi rapidement qu’elle l’a fait… »

Et nous, nous devrions croire Madame Lagarde qui ne savait pas ce que n’importe quel économiste de comptoir pouvait parfaitement prévoir dès le plan d’aide à la Grèce connu. Nous savions tous que la dette de la Grèce serait effacée à un moment ou à un autre et que plus l’on attendait, plus le coût global pour les contribuables européens serait élevé.

Résultat : plus de 3 ans après, nous allons recommencer avec le cirque de la dette grecque… qui n’a jamais été aussi élevée que maintenant.

Heureusement, comme le dit le FMI, désormais tout va beaucoup mieux que bien puisque :

« Le programme actuel a déjà intégré les leçons du précédent. Il dispose d’un cadre pour la réduction de la dette de la Grèce et un engagement des Européens à accorder un allègement de dette supplémentaire, si nécessaire pour maintenir la dette sur le chemin prévu dans le programme, et à condition que la Grèce respecte ses objectifs budgétaires en 2013 et 2104. En outre, la Grèce a demandé et reçu un allègement de la dette. Sur des hypothèses de croissance, nous prévoyons une reprise tirée par une amélioration du sentiment, que les réformes puissent fonctionner, mais nous sommes plus prudents qu’avant et nous nous rendons compte qu’il faudra certainement plus pour que la Grèce renoue durablement avec la croissance. »

Que voilà des propos officiels et rassurants alors que la réalité, qui va nous rattraper dans quelques jours, est tout autre.

La Grèce et ses créanciers affichent d’importants désaccords.

Le ministre des Finances grec Stournaras a ainsi affirmé que les conditions posées par les créanciers (UE, BCE et FMI) risquent d’être drastiques tout en annonçant (ce qui reste de la posture politique) qu’il refuserait tout plan qui alourdirait l’austérité sans comporter de « mesures structurelles ».

En clair, la Grèce veut une nouvelle annulation de sa dette et c’est une évidence économique à défaut d’être une évidence morale incontestable.

Il faut bien avoir à l’esprit qu’en 2010 (moment où ont été prises les notes dévoilées plus haut dans cet article), la dette publique de la Grèce était de 133 % d’endettement sur PIB.

Aujourd’hui, en 2013, nous en sommes à 175 %… On ne peut donc pas dire que la politique menée jusqu’à aujourd’hui par la troïka ait brillamment réussi à régler les problèmes. Au contraire. Comme prévu, tout s’est bel et bien aggravé.

Or pour le moment, personne ne veut entendre parler de nouvel effacement de la dette grecque. Fin septembre, les négociations ont d’ailleurs été interrompues, officiellement pour des « raisons techniques » comme l’avait indiqué le communiqué de l’époque. Depuis, rien n’avance, et l’absence de constitution d’une nouvelle coalition gouvernementale en Allemagne empêche toute reprise du processus de négociation.

Nous sommes en 2013, tout le monde savait que nous allions vers l’échec. Nous y sommes. Il ne reste plus qu’à trouver à nos brillants mamamouchis une nouvelle idée, ou un nouveau tapis pour cacher ce nouveau problème. Le régler ne semblant jamais avoir fait partie des plans de nos dirigeants.

C’est un véritable scandale politique, économique, c’est un scandale de ce qu’est devenu l’idée européenne, c’est une honte démocratique, et pourtant… le silence est le plus total.

Pathétique.

Restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez-bien !!

Charles SANNAT

Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement http://www.lecontrarien.com.

Lire l’article original du Wall Street Journal

 

Le néolibéralisme déclare la guerre aux nationalistes grecs

 

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En Grèce, le parti Aube dorée vient de subir ce que l’on appelle une frappe chirurgicale de la part du « système démocratique ». Créé en 1992, le parti réapparait sur le devant de la scène politique grecque en 2007 par son fondateur qui le dirige toujours aujourd’hui.

Lorsque la crise éclate en Grèce, le parti n’obtiendra même pas 1% aux élections européennes de 2009 et 0,3% aux législatives de la même année pendant qu’un autre parti nationaliste plus modéré (L’Alerte populaire orthodoxe ou LAOS) obtiendra 386.152 voix et un peu plus de 7% des suffrages aux mêmes élections.

Mais rapidement, la rhétorique nationaliste et historique affirmée du parti (Le passé glorieux allant de l’Antiquité à la Byzance grecque et au général Metaxas…) ainsi que sa critique des élites corrompues et d’une immigration incontrôlée (les étrangers représentent 8 à 10% de la population du pays et il y a 5 à 6% de minorités n’appartenant pas à l’ethnie grecque) séduira un nombre croissant de citoyens furieux de la spirale de destruction dans laquelle le pays s’enfonce.

En 2010, son fondateur et dirigeant est élu au conseil municipal de la ville d’Athènes.

En 2012, coup de tonnerre dans la politique grecque, le parti obtient 6,92 % des voix et 18 députés sur les 300 du Parlement grec, devenant ainsi le cinquième parti du pays. Aux mêmes élections, l’Alerte populaire orthodoxe obtient elle 2,9 % des voix, portant la totalité des suffrages accordés aux nationalistes à près de 10%. La répartition des votes est à peu près égale dans toute la Grèce, y compris dans les petites villes et les villages, mais c’est surtout dans certains quartiers de la capitale que le parti obtient jusqu’à 20% des voix ou au sein de certains corps de métier : entre 25 et 40% des agents des forces spéciales et 10 à 15% des militaires auraient en effet voté pour Aube dorée.

Aube dorée va rapidement entamer une importante et efficace activité de terrain en organisant de gigantesques distributions de nourriture aux Grecs « de souche » les plus pauvres (les militants prenant parfois sur leurs revenus à cette fin) ou en procurant des formes d’aides aux personnes âgées ou encore en organisant des cours d’« éveil national » pour les enfants de 6-10 ans. Aube dorée va également intervenir de façon plus musclée en organisant des rondes dans les quartiers à forte criminalité pour les sécuriser ou encore des manifestations violentes contre les demandeurs d’asiles ou enfin en attaquant au bulldozer des centres de rétentions d’immigrés clandestins.

De nombreux sondages laissaient « craindre » une forte hausse d’Aube dorée, créditée de jusqu’à 18% des voix au niveau national et qui aurait pu devenir le troisième parti du pays. Athènes prend il est vrai la présidence tournante de l’UE au 1er janvier 2014 et l’Onu a récemment également soulevé avec insistance la question Aube dorée lors d’une rencontre avec le ministre grec des Affaires étrangères.

Sans surprise, en ce mois de septembre 2013, coup de tonnerre, une rixe entre supporters de foot dégénère et entraîne la mort d’un militant antifasciste de 34 ans à la sortie d’un bar, dans la banlieue d’Athènes. La Grèce tient enfin son Brahim Bouarram et la classe politique grecque peut enfin et provisoirement retrouver son unité dans la lutte contre l’Organisation criminelle que serait visiblement Aube dorée.

Rapidement, le président fondateur du parti est arrêté et placé en détention pendant que quatre autres députés sont arrêtés par la police et inculpés eux aussi au motif d’appartenance à une « organisation criminelle ». L’organisation est décapitée et la Grèce se prépare à interdire l’organisation Aube dore et même à fonctionner avec un parlement réduit numériquement. On imagine le tollé international que cela créerait si Aube Dorée était au pouvoir et proposait que le pays fonctionne avec un nombre réduit de députés.

Mais pour autant, le leurre politico-médiatique ne devrait pas fonctionner trop longtemps. La disparition envisageable d’Aube dorée (si celle-ci ne réapparait pas sous une autre forme dans le futur proche) ne règle aucunement les problèmes de la Grèce, mère malade de l’Europe dont la situation devrait continuer à s’aggraver.

Le taux de chômage y atteint aujourd’hui 27,9% et concerne 58,8% des jeunes de moins de 24 ans et 31,9% des femmes. 45 % de la population vit au niveau du seuil de pauvreté pendant que 20% vit sous ce seuil. Le taux de suicide a augmenté de 40 % en deux ans et pour la seule année 2011 par exemple, ce sont 477 grecs qui se sont suicidés dont 84 femmes. Alors que les dépenses de l’Etat consacrées aux services publics ont été fortement réduites (-23,7 % de 2009 à 2011) le taux de sida a lui aussi considérablement augmenté avec 607 infections en 2010 contre 954 en 2011, soit une hausse de 57 %.

Qui va payer pour tous les grecs assassinés par l’austérité ?

L’Etat grec ? L’UE ? Goldman Sachs qui a trafiqué les comptes de l’Etat grec pour lui permettre d’intégrer l’UE ? Tous les citoyens européens, et les Grecs en premier lieu, devraient se poser la question de savoir qui, pour tout cela, va devoir rendre des comptes.
(Sources: multiples dont la voix de Russie,)