Chine : des restes d’hommes « géants » ayant vécu il y a près de 5 000 ans

Une équipe d’archéologues de l’Université de Shandong annonce la découverte remarquable de restes d’hommes « géants » ayant vécu en Chine il y a près de 5 000 ans.

 

Les ossements découverts lors de fouilles menées dans le village de Jiaojia, situé dans la province du Shandong dans le sud-est de la Chine, révèlent au moins un individu masculin qui aurait atteint 1,90 m de hauteur, ainsi que d’autres mesurant environ 1,80 m. Si ces tailles pourraient paraître « banales » aujourd’hui, elles sont en revanche exceptionnelles pour l’époque : “Nous avons fait cette conclusion après avoir examiné les ossements”, explique Fang Hui, chef de l’école et d’histoire de l’Université Shandong. “De leur vivant, ces hommes étaient sans aucun doute encore plus grands”.

Pour vous situer, la taille moyenne d’un jeune homme de 18 ans en Chine est d’environ 1,72 m. En Europe il y a 5 000 ans, les hommes mesuraient environ 1,65 m. Selon les chercheurs, de telles tailles pour s’expliquer par l’accès à des sources alimentaires riches dont disposait ce peuple à l’époque. “Les hommes de l’époque cultivaient le millet et élevaient des cochons”, explique M. Fang. “Des os et des dents de cochons ont été retrouvés dans certaines tombes. L’agriculture sans doute était alors sans doute bien développée. Ils disposaient de ressources alimentaires variées et riches et donc forcément, leur physique a changé”. Les ruines où furent exhumés les ossements indiquent également que ce peuple vivait “une vie confortable”, se permettant “des chambres et des cuisines séparées”, selon les archéologues.

La zone des fouilles est censée avoir été le centre politique, économique et culturel du Shandong septentrional d’il y a 5 000 ans. Au total, des ruines de plus de 100 bâtiments, plus de 200 tombes et une vingtaine de fosses sacrificielles y ont déjà été trouvées. Gardons à l’esprit que ces premières découvertes ne sont pour l’heure que préliminaires et n’ont pas encore été examinées par des pairs. Seuls 2 000 mètres carrés ont pour le moment été creusés — soit environ la moitié du terrain destiné à être déterré.

 

 

 

Des squelettes « d’humanoïdes étranges » trouvés en Afrique et en Asie

Des scientifiques disent avoir trouvé un cimetière d’extra-terrestres en Afrique centrale qui date d’au moins 500 ans!

Un cimetière de géants a été retrouvé à Kigali, Rwanda. L’information est rapportée par la Pravda.

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Les restes ont été trouvés dans un des 40 cimetières communaux de la région où 200 corps ont été retrouvés. Les chercheurs pensent que ce sont des E.T. et qu’ils devaient probablement vivre dans la région, bien qu’aucune trace n’ait été retrouvée. L’estimation de l’enterrement est d’à peu près 500 ans et les corps sont en parfait état de conservation.
 
Ces corps ne sont pas humains, bien que très proches morphologiquement. Ils sont cependant plus grands (2,20m), avec une tête plus large dépourvue de bouche, de nez ou d’yeux.

Les anthropologues supposent que ces  E.T. se sont écrasés sur Terre et ont été décimés par un virus terrien contre lequel ils n’avaient aucune immunité. Cependant, aucune trace d’atterrissage ou de débris ne subsistent… Comme on n’a pas trouvé aucun reste de vaisseau spatial ou de soucoupe volante, on suppose que, parmi ces E.T., il y a eu des survivants qui sont repartis.

En Chine

Il existe d’autres découvertes de ce type faites ailleurs sur Terre, en Chine notamment. En 1937, le Pr Chi Putei a découvert dans les cavernes du mont Bayan-Kara-Ula des squelettes de petits hommes possédant une énorme tête. A proximité, 176 plaques de pierre avec en leur centre un trou, duquel une spirale s’étendait sur tout le périmètre.
 
De plus, les murs de la grotte étaient couverts d’images du soleil levant, de la lune et des étoiles, avec de nombreux points peints ou de petits objets, s’approchant lentement des montagnes et de la surface de la terre.
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Les experts pour déchiffrer les anciens caractères écrits ont été perplexes sur la divulgation des spirales secrètes de la grotte Bayan-Kara-Ula pendant deux décennies. Enfin, un professeur de l’Université de Pékin, Zum Umniu, a déchiffré plusieurs inscriptions. Les lettres rainurées racontent qu’il y a environ 12 mille ans, des objets volants se sont écrasés dans ces montagnes. Les archéologues chinois ont trouvé une mention des peuples qui vivaient dans les grottes montagneuses de Bayan-Kara-Ula.

En Turquie

Un cadavre d’un autre «alien» a été trouvé par les spéléologues turcs. Une momie de l’âge glaciaire reposait dans un sarcophage en matériau cristallin. La hauteur de la créature humanoïde ne dépassait pas 1 mètre 20, sa peau était vert clair, et il avait de grandes ailes transparentes sur les côtés.

Selon les chercheurs, malgré son aspect inhabituel, la créature ressemblait plus à une personne plutôt qu’à un animal. Son nez, ses lèvres, ses oreilles, ses mains, ses pieds, ses ongles étaient très semblables à ceux de l’homme. Seulement ses yeux étaient très différents, trois fois plus grands que ceux d’un humain, et incolores, comme des yeux de reptile.

Et en Égypte

Il n’y a pas si longtemps, dans une des anciennes tombes égyptiennes, on a trouvé unemomie d’un homme de 2,5 mètres de haut. Il n’avait ni nez, ni oreilles, et sa bouche était très large et n’avait pas de langue.

Selon l’archéologue Gaston de Villars, l’âge de la momie est d’environ 4 mille ans. Il a été enterré comme un noble égyptien : soigneusement momifié et entouré de serviteurs, de nourriture et d’objets d’art conçus pour l’au-delà. Cependant, certains des objets découverts auprès de lui n’appartenaient ni à la culture égyptienne ni à aucune culture existant sur terre.Par exemple, il y avait un disque métallique rond et poli recouvert de caractères étranges, un costume en métal avec les restes de quelque chose ressemblant à des chaussures en plastique, et de nombreuses tablettes de pierre remplies d’images d’étoiles, de planètes et d’étranges machines. Le sanctuaire où la momie étrange a été trouvée semble également inhabituel. L’enterrement a été fait avec de la matière inconnue dans l’antiquité. La pierre était littéralement sculptée dans la roche de sorte que les murs étaient lisses, comme du marbre poli. Il avait l’air d’avoir été coupé par un laser. Incidemment, la surface de la pierre était apparemment entrée en fusion. Le tombeau était décoré d’une substance ressemblant au plomb. Cependant, la théorie «alien» n’est pas la seule. Selon certains chercheurs, les «géants» et les «nains» pourraient être une simple branche latérale de l’humanité qui a autrefois vécu sur la Terre, mais qui, pour une raison quelconque, s’est éteinte.

Sources :

http://www.ufocasebook.com/2009d/rwandagraveyard.html

 

Ré-écrire l’histoire:Extraordinaire découverte de structures architecturales géantes en Jordanie

Il s’agit plus probablement de la découverte d’une des plateformes d’atterrissage et de décollage des aéronefs Anunnaki qui leur servait à transférer les cargaisons d’or et de minerais extraits par les esclaves mineurs humains, notamment en provenance d’Afrique du sud et qui transitaient par l’Egypte jusqu’aux centres spatiaux situés sur l’équateur pour y être ensuite transférés par cargo à destination de la station spatiale Anunnaki, en orbite géostationnaire à 36.000 km d’altitude.

Le site de Petra
Le site de Petra


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Un monument d’architecture géant découvert en Jordanie.

Les archéologues ont envoyé des drones pour étudier le territoire de la cité préislamique jordanienne de Pétra. Cela a permis de faire une découverte inattendue.

Les chercheurs ont découvert un monument d’architecture géant à Pétra, une cité nabatéenne préislamique située dans le sud de la Jordanie, en utilisant des drones et des images satellites de Google Earth.

Il s’agit d’une plateforme monumentale longue de 56 mètres et large de 49 mètres qui se trouve à 800 mètres au sud du centre de Pétra, a annoncé l’archéologue et égyptologue américaine Sarah Parcak, membre d’un équipe de chercheurs qui a publié son étude dans le Bulletin des écoles américaines de recherche orientale (Bulletin of the American Schools of Oriental Research).

La plateforme aussi longue qu’une piscine olympique, n’a jamais jusqu’ici attiré l’attention des scientifiques, bien qu’elle n’ait pas d’analogues.

Une autre plateforme, plus petite, se trouve au centre de la structure. A côté, on voit des traces de colonnes et d’un escalier monumental. Un petit édifice de 8,5×8,5 m se trouvait en face de l’escalier. Les archéologues estiment que le site aurait pu être utilisé pour des cérémonies religieuses ou des fêtes.

Petra photo de drone

La plateforme aurait été érigée vers le IIe siècle avant notre ère. La plupart des célèbres monuments de Pétra – dont la célèbre Khazneh et le monastère Deir – sont beaucoup plus jeunes, datent du 1er ou du IIe siècle après J.-C.

Les auteurs de l’article mettent en valeur l’importance des drones pour leurs recherches archéologiques. Les images satellites et les photos prises par les drones permettent de voir les contours des édifices inconnus.

Créée dans l’Antiquité vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C, la cité de Pétra a servi de capitale au royaume d’Edom, puis au royaume des Nabatéens. Pétra a longtemps été une ville prospère grâce à sa position stratégique au carrefour de deux routes commerciales reliant la mer Rouge à Damas et le Golfe persique à Gaza. 

Photo d'une mozaïque sur le plancher.
Photo d’une mozaïque sur le plancher.

 

Archéologie impossible:finalement de « grands scientifiques rationalistes » étudient la civilisation des géants

Une  comparaison entre le gigantopithecus et l'humain.
Une comparaison entre le gigantopithecus et l’humain.

 

Il fallait s’en douter, tout comme nos ancêtres, ces incroyables bâtisseurs, que nous ne pouvons même pas encore égaler de nos jours, ne sont pour l’archéologie moderne que de pauvres australopithèques attardés qui ne connaissaient même pas la roue.

Nos ancêtres géants, encore plus anciens dans le temps apparemment, ne seraient quant à eux, que de vulgaires grands singes, qui auraient disparus de la surface de la Terre, car ils n’auraient pas voulu manger leurs légumes… !

La falsification remonte après la 2e guerre, mais l’histoire commence en 1935, quand le paléoanthropologue allemand Gustav von Koenigswald débarque de Java à Hongkong, où il cherche des fossiles d’Homo erectus. Un jour, il pousse la porte d’un apothicaire pour jeter un coup d’oeil sur ses fossiles, car cette profession en utilise pour confectionner des remèdes traditionnels.

A plusieurs reprises, certains de ses confrères ont ainsi fait des découvertes sensationnelles. Justement, au fond du gourbi, un vieux Chinois est en train de moudre des bouts d’os. Parmi eux, Gustav découvre une dent énorme. Un frisson le saisit quand il comprend qu’elle n’appartient à aucun animal connu ! Cette molaire ne peut appartenir qu’à un primate… gigantesque.

Au cours des quatre ans qui suivent, le jeune Allemand écume les échoppes de Hongkong et de Canton. Son obstination finit par payer, car il trouve trois autres dents similaires, qu’il finit par attribuer à un primate géant, baptisé Gigantopithecus blacki .

Mais voici que la guerre surprend von Koenigswald à Java. Par précaution, il enferme ses précieuses dents dans une bouteille qu’il enterre dans le jardin d’un ami. Juste à temps. Les Japonais, qui débarquent dans l’île, le font prisonnier. Cependant, quelques mois auparavant, il avait confié des moulages de ses fossiles au célèbre paléontologue Franz Weidenreich, qui s’était illustré en décrivant l’homme de Pékin, un Homo erectus.

Ce confrère parvient à rallier le Museum de New York, où il se met à défendre une autre hypothèse : Giganto appartiendrait à la lignée humaine ! L’homme descendrait donc d’un singe géant asiatique, et non pas d’un primate africain.

Bien sur, tout est fait pour discréditer cette affirmation, on trouve d’autres fossiles, de dents, de mâchoires, qui seront déclarées appartenir à des grands singes, pas questions, de reconnaitre que des géants vivaient sur la Terre, ou plutôt régnaient  sur la Terre, car la datation des fossiles fait apparaître en Inde cet homme géant il y a 6,5 millions d’années et le disparaître voilà seulement cent mille ans !

Ils mesuraient pour les plus ‘’petits’’ au minimum 3 mètres, pour un poids minimum de 550 kilos…

Une empreinte fossilisée dans la pierre...bien avant l'apparition de l'homme actuel.
Une empreinte fossilisée dans la pierre…bien avant l’apparition de l’homme actuel.

 

 

Preuves du mensonge officiel, c’est que l’on ne connait pratiquement rien de son anatomie ou de ses habitudes. Les seuls enregistrements fossiles le concernant sont quatre bouts de mâchoires inférieurs et des centaines de dents.

Partant de là, les scientifiques et autres archéologues à la solde du pouvoir, en déduisent et affirment, que son proche cousin moderne serait l’orang-outan, qu’il était doté de longs bras musculeux sur lesquels il s’appuyait probablement en marchant, qu’il devait forcément être lent et pataud, qu’il était strictement végétarien, qu’il ne vivait que dans la forêt, et qu’il pouvait à peine se reproduire !

Un millier de dents et quelques morceaux de mâchoire, c’est bien peu pour dresser un portrait-robot. Pourtant, les paléontologues ont réussis cet exploit de faire croire et admettre à la terre entière, que ce géant n’était un grand singe !

Et pourtant, selon plusieurs études, d’autres singes et les premiers humains en Afrique qui disposaient d’une dentition comparable ont pu survivre à des transitions similaires.

Bref, on ne connait rien à ces anciennes créatures, mais on nous affirme que ce ne sont que de grands singes, donc veuillez circuler svp, il n’y a rien à voir, merci !

Mais alors, pourquoi Franz Weidenreich, ce médecin, anatomiste, paléoanthropologue, et spécialiste de l’évolution humaine, affirmait que Giganto appartiendrait à la lignée humaine ?

Franz Weidenreich était détenteur d’un doctorat en médecine, il était d’origine allemande, et Il fut professeur invité à l’Université de Chicago en 1934, il est né le 7 juin 1873 à Edenkoben et il est mort le 11 juillet 1948 à New York. A la lecture de ce qui suit, je pense que les doutes qui subsistent s’envoleront définitivement, il avait tout à fait raison !

 

Franz Weidenreich
Franz Weidenreich

 

 

Par bien des manières, on peut affirmer que Franz Weidenreich fut, parmi les scientifiques ayant étudié l’évolution humaine au XXe siècle, l’un des plus importants et des plus influents. Jugez plutôt :

Pendant la première moitié du XXe siècle, presque tous les anthropologues croyaient que l’homme de Piltdown était l’ancêtre de l’homme moderne. L’homme de Piltdown avait des caractéristiques que beaucoup de scientifiques avaient définies comme devant être celles du chaînon manquant : une grande capacité crânienne et une denture proche de celle du singe.

Dans les années 1920, trente ans avant que des analyses au fluorure montrent, en 1953, que « l’homme de Piltdown » était un canular, Franz Weidenreich avait examiné les restes et signalé qu’ils étaient composés du crâne d’un homme moderne et de la mâchoire d’un orang-outan, avec les dents rangées vers le bas.

Franz Weidenreich, étant un anatomiste, il avait facilement pu démontrer qu’il s’agissait d’un canular. Mais, il fallut trente ans pour que l’ensemble de la communauté scientifique accepte de reconnaître qu’il avait raison.

Il faudra sans doute attendre 10 fois plus, pour que l’ensemble de la communauté scientifique accepte de reconnaître qu’il avait raison, quand il affirmait que Giganto appartenait à la lignée humaine !?

 

L'empreinte du géant de Lepakshi,en Inde.
L’empreinte du géant de Lepakshi,en Inde.

 

Un chaud partisan de la théorie de Weidenreich fut Carleton Coon, dont les travaux sur l’origine des races furent bien sur eux aussi controversés, pourtant ce n’est pas non plus n’importe qui, jugez par vous-même…

Carleton Stevens Coon, né le 23 juin 1904 à Wakefield dans le Massachusetts et décédé le 3 juin 1981 à Gloucester dans le Massachusetts, était un anthropologue américain, professeur d’anthropologie à l’université de Pennsylvanie, maître de conférence et professeur à Harvard et président de l’association américaine d’anthropologie physique. Il est notamment connu pour avoir écrit The Origin of races.

Pour info, en 1939 il met à jour l’ouvrage de William Z. Ripley The Races of Europe qui fait autorité parmi les anthropologues.

Carleton Stevens Coon
Carleton Stevens Coon

 

 

Carleton Coon évoque son rôle au sein de l’Office of Strategic Services (OSS), agence américaine de renseignement qui sera dissoute après la guerre pour former le CIA. Son statut d’anthropologiste en Afrique du Nord lui permit en effet d’y exercer un grand nombre de responsabilités, allant de l’organisation de groupes de résistance ou de l’engagement au côté des groupes de résistance français jusqu’à la participation à certains combats.

Carleton Coon reste engagé auprès de l’armée américaine après la guerre : c’est ainsi que de 1954 à 1957, il prend des photographies aériennes de nombreuses place stratégiques telles la Corée, Ceylon, l’Inde, le Japon… pour le compte de l’US Air Force.

C’est en 1962 que paraît son œuvre majeure, The Origin of Races, travail qu’il veut préliminaire à une étude plus vaste intitulée Races of the World. C’est ainsi qu’en 1965, il publie The Living Races of Man. Le livre est âprement critiqué par ses adversaires, pour une petite erreur d’édition. Malgré ces critiques, l’ouvrage est réédité de nombreuses fois, et reste trente ans plus tard une référence utile tant pour le profane que pour les spécialistes.

En conclusion, je reprends mon introduction, qui est assez parlante je trouve : Une chose importante est à noter, c’est que tous ceux qui se voudraient critiquer, ou contester les travaux de ces deux pointures mondiale que sont  Franz Weidenreich et Carleton Stevens Coon, dans ce domaine, ne leur arrivent même pas à la cheville, et n’ont même pas réalisés le 10e du ¼ de leur travaux et études, et n’atteignent aucunement leur immense renommée, et connaissances.

Mais bon, nous ne sommes que de pauvres conspirationnistes attardés, et il faut que l’on admettent une fois pour toute, que les géants n’ont jamais existés, ni les ovnis d’ailleurs, que les extraterrestres n’existent pas, puisque nous sommes seul dans l’univers, et aucune planète dans l’univers n’abrite, ou n’a jamais abritée la vie, et les monuments gigantesques construits ici-bas avec des pierres de plusieurs centaines de tonnes ne sont que des constructions faites par des australopithèques attardés qui ne connaissaient même pas la roue, et de toute façon, nous ne comprenons rien à rien, et nous délirons, car nous fumons trop  de la moquette!

trilithon

 


 

Est-ce que cette histoire est crédible ?

 

un pendentif vieux de 4500 ans environ montrant un géant. Les proportions de ce géant rappellent exactement celles des Dieux sumériens tout comme la configuration de son crâne. Ce pendentif a été offert par un archéologue à une de ses parentes, en Turquie en 1920.
un pendentif vieux de 4500 ans environ montrant un géant. Les proportions de ce géant rappellent exactement celles des Dieux sumériens tout comme la configuration de son crâne. Ce pendentif a été offert par un archéologue à une de ses parentes, en Turquie en 1920.

Le manuscrit mexicain de Pedro de los Rios écrit : « Avant le Déluge que l’on estime à 4 008 ans après la création du monde, la Terra d’Anahuac était habitée par des êtres gigantesques, les Tzocuillixeo. »

Quand les Espagnols d’Hernan Cortès débarquent en Amérique, ils apprennent des sages des tribus indigènes qu’à l’origine des temps, des femmes et des hommes de grandes tailles existaient. Des ossements leur sont montrés. Cortès envoie même un fémur de géant à son Roi.

Nous retrouvons pareilles légendes autour du lac Titicaca jusqu’en Patagonie. Le marin et chroniqueur italien Antonio Pigafetta (1491 – 1534) dans Magellan, le premier tour du monde, y décrit un peuple gigantesque : « Un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d’une stature gigantesque se présenta à nous. Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture ».

Des récits analogues ont été écrits par des navigateurs très connus comme Drake, Hernandez, Knyvet et de Weert. Près de Vichy, à Glozel, on relève des empreintes de mains gigantesques ayant appartenu à un homme il y a dix mille ans.

De vieux poèmes anglo-saxons racontent qu’en Grande-Bretagne habitaient des civilisations disparues, des hommes de grandes tailles. ]ennifer Westwood écrivain et experte dans la recherche des légendes anglaises, écrit qu’à l’origine, la Grande-Bretagne est une île peuplée de géants. On l’appelle alors Albion.

On raconte qu’après la chute de Troie, le héros Brutus décide d’envahir Albion avec son armée. Les géants sont défiés et vaincus, un seul est épargné, il s’agit de Gogmagog. Il mesure 4 mètres (source Albion : A Guide to Legendary Britain ; 1985).

Notre siècle compte aussi ses découvertes sur les géants…

En 1936 l’anthropologiste allemand Larson Kohl défriche sur la rive du lac Elyasi, en Afrique du Sud, des ossements ayant appartenu à un géant. Entre 1937 et 1941, les paléontologistes et anthropologistes allemands, le Pr Gustav von Königswald et le Pr Frank Weidenreich trouvent, dans des pharmacies chinoises du continent et de Hong-Kong, plusieurs ossements humains d’une taille impressionnante.

En 1944, le Pr Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants en présence de l’American Ethnological Society. Le Dr Rex Gilroy, un archéologue australien, directeur du Mount York Natural History Museum, découvre à Mount Victoria des empreintes fossilisées de pied de géants.

Le Dr Burkhalter de la société française de préhistoire, écrit en 1950 dans la revue du musée de Beytouth que l’existence des géants à la période acheuléenne, est un fait scientifique établi.

Lors de fouilles dans le Caucase, en 1964, on trouve dans une grotte d’Alguetca, près de Mangliss, des squelettes d’hommes mesurant de 2,80 mètres à 3 mètres. Le journaliste allemand Ernst Probst écrit sur le thème des géants. Il mentionne l’existence d’un tableau peint par un certain Bartholmaus Sarburgh, exposé au Musée de l’Histoire de Bern. La peinture reproduit un fémur de géant trouvé sur les bords du Rhin, à Oppenheim sur Mainz.

 

En 1895, un géant fossilisé de plus de 3,70 mètres est découvert par un orpailleur dans le comté d'Antrim. Il est exposé et photographié dans le dépôt de marchandises de la London and North-Western Rallway Company's Broad Street, puis à Liverpool et à Manchester. Qu'est donc devenu ce géant fossilisé de 3,70 m exposé dans un dépôt de Londres en 1895 ? Des analyses pourraient aujourd'hui nous apporter des réponses inestimables.
En 1895, un géant fossilisé de plus de 3,70 mètres est découvert par un orpailleur dans le comté d’Antrim. Il est exposé et photographié dans le dépôt de marchandises de la London and North-Western Rallway Company’s Broad Street, puis à Liverpool et à Manchester.
Qu’est donc devenu ce géant fossilisé de 3,70 m exposé dans un dépôt de Londres en 1895 ? Des analyses pourraient aujourd’hui nous apporter des réponses inestimables.

 

À travers toutes les époques, sous l’Empire romain, au Moyen-âge, au XIXème siècle et encore de nos jours, dans le monde entier, des scientifiques, des archéologues, des hommes d’Eglise, des voyageurs, des historiens témoignent, cherchent, compilent dans des documentations très denses les traces et les preuves de l’existence sur Terre des géants, ces hommes ayant mesuré parfois jusqu’à plus de 4 mètres.

Goliath a toujours été considéré comme un personnage de légende, au même titre que le géant du Petit Poucet. Jusqu’à ce que le neurologue Vladimir Berginer émette l’hypothèse qu’il ait réellement existé. Sa taille démesurée (que Berginer évalue à trois mètres) serait le résultat d’une tumeur de l’hypophyse, affection appelée acromégalie-gigantisme.

Si l’on en croit la Bible, Goliath appartenait à une tribu de la vallée de Réfaïm, dans l’actuelle région de Bashan. Or, sur les hauteurs du Golan, qui surplombe leur ancien territoire, s’élève encore aujourd’hui un monument vieux de 5 000 ans, le Gilgal Réfaïm.

Selon le Dr Schroch ,cette empreinte serait celle d'un géant de plus de 15 mètres.
Selon le Dr Schroch ,cette empreinte serait celle d’un géant de plus de 15 mètres.

En outre, plusieurs éléments provenant de sources antiques semblent faire état de l’existence de géants – sinon du mythe – à l’époque : des représentations de géants sur des sceaux et dans des temples, des mentions de géants dans les légendes syriennes et égyptiennes, etc.

Depuis la fin des années 80, des chercheurs britanniques sont sur la piste de preuves. Sur le site funéraire de Tell es-Sa’idiyeh, en Jordanie, l’archéologue Jonathan N. Tubb et ses collaborateurs du British Museum ont mis au jour des ossements humains aux dimensions surprenantes. Une preuve de l’existence de géants dans l’Antiquité ?

 

On retrouve la trace de géants dans toutes les cultures ou presque, et j’en suis à me demander si ces statues et représentations de géants que l’on peut admirer encore de nos jours, ne seraient pas au final des représentations bien réelles, un hommage à de véritables géants qui auraient peuplés la Terre en des temps anciens, toutes les anciennes constructions sont de tailles gigantesques, et dédiées aux géants, que les moins de 2 000 ans ne peuvent pas connaitre !

Les indiens qui habitent dans la région de Tianhuanaco, dans les Andes, (à 20 Km du lac Titicaca) disent que les colossales pierres qui ont bâti cette cité mégalithique ont été acheminées par des géants. Ils sont décrits comme des hommes très intelligents, à la peau claire.

Des fouilles ont permis de trouver des restes d’ossements, des crânes et des squelettes d’hommes mesurant plus de 3 mètres. La plus prestigieuse et la plus fascinante des découvertes est celle de tunnels souterrains s’étirant sur des kilomètres et menant à de majestueuses salles aussi grandes que des hangars d’avion.

CAIRO, Egypt - The Serapeum, an ancient stone tomb of an Apis bull, is unveiled in Saqqara, Egypt, on Sept. 20, 2012. (Kyodo)
CAIRO, Egypt – The Serapeum, an ancient stone tomb of an Apis bull, is unveiled in Saqqara, Egypt, on Sept. 20, 2012. (Kyodo)

Les indiens expliquent que ces souterrains parcourent une grande partie de l’Amérique du Sud.

Au XVème siècle, le capitaine espagnol Francisco Pizzaro est le premier à découvrir ces galeries souterraines dans la montagne des Incas. Toujours au Pérou, des découvertes inattendues, comme à Ollantaytambo ou Sacsayhuaman, posent la question de civilisation de géants disparus ayant certainement eu des connaissances scientifiques oubliées et particulièrement élaborées.

Bizarrement, en certain de ces lieux nous trouvons des représentations de dinosaures. Les sites mégalithiques renvoient en permanence à une civilisation de géants. C’est le cas de Carnac, de Stonehenge dont le nom celte Chior gaur signifie « la danse des géants », ou de son équivalent dans le nord d’Israël, à Gilgal Refaïm.

Il y a deux ans, en Bosnie, des pyramides ont été découvertes sous des forêts et de la végétation. Les légendes parlent encore dans ce cas précis de géants-constructeurs.

Nous trouvons pareillement dans le monde d’énigmatiques pyramides qui font l’objet du plus grand silence scientifique, comme en Chine centrale, dans les plaines du Qin Chuan. L’une d’entre elle surnommée la « grande Pyramide Blanche », pointe à environ 300 mètres de hauteur, soit deux fois la taille des plus imposantes pyramides d’Egypte.

L’une de ces pyramides égyptienne, Khéops, d’après des manuscrits appartenant à la tradition copte, aurait été construite par une race de géants.

L’étude des géants renverse notre compréhension du monde. Car il est possible que ces géants aient existé à une époque où tout était gigantesque.

Effectivement, nous abordons de manière scientifique toutes les formes de gigantisme, dans la flore, avec les dinosaures et y compris pour les singes avec le Gigantopithecus et le Meganthropus. Pourquoi avons-nous alors oublié les géants de la race humaine ?

Outils de silex géants découverts au Botswana.
Outils de silex géants découverts au Botswana.

Nous pourrions logiquement supposer que des hommes gigantesques auraient pu vivre à une époque où tout était gigantesque et connaître les dinosaures. Cela est d’autant plus troublant que dans son ouvrage Buried Alive, le Dr Jack Cuozzo va dans ce sens. Il montre la photographie dans la grotte de Bernifal (France ) d’un combat opposant un mammouth à un dinosaure.

De même, Fran Barnes, spécialiste en art pariétal écrit qu’à San Rafael Swell (Utah), il y a des dessins de la préhistoire qui ressemblent à un reptile ailé, un ptérosaurien.

L’ancien peuple de Sumatra a également produit de nombreuses pièces d’art avec des créatures ayant de longues queues, de longs cous et des crêtes semblant correspondre à des Hadrosaures. Une de ces pièces est d’ailleurs exposée au Musée Ethnographique de Budapest.

Des mosaïques de l’Empire romain datant de 200 ans avant J.C. reproduisent des dinosaures marins, des Tanystropheus. En 1571, les conquistadors rapportent que sur des pierres de sépulture Inca figurent d’étranges créatures. Le Dr Javier Cabrera en a authentifié plus de mille.

En 1496, l’Evêque Richard Bell est enterré à la Cathédrale de Carlisle, en Angleterre. Des dinosaures sont dessinés sur les parties en cuivre qui recouvrent sa tombe. Autre cas très intéressant. Dans le Queensland, plusieurs récits de tribus aborigènes décrivent des créatures ressemblant à des plésiosaures.

Dans le nord de cette région australienne, les Yarru (ou Yarrba) parlent d’une créature semblable vivant dans les cavernes d’une forêt équatoriale. Cette peinture est très intéressante car elle montre des Indiens ou des hommes autour d’un plésiosaure et représente tout l’appareil digestif, gastro-intestinal de l’animal.

Cela nous permet-il de penser que les chasseurs aborigènes auraient tué et dépecé ce dinosaure ? Ces grands animaux se sont-ils alors vraiment éteints il y a 70 millions d’années ?

Il est pertinent d’envisager une époque où les hommes et les dinosaures auraient cohabité, mais l’étude des géants remet en cause le darwinisme et l’évolutionnisme, les fondements de la science contemporaine… Et c’est d’ailleurs bien pourquoi la question de leur existence est négligée, ignorée, ridiculisée par la science moderne et comme écrasée sous une chape de plomb !

Pourtant comme nous le voyons, ils ont existés, et toutes les anciennes cultures et civilisations, leur rendent hommage, avec des statues et des constructions gargantuesques…

A Dara en Syrie,on a découvert ces empreintes géantes qui auraient supporté un géant de plus de 20 mètres.
A Dara en Syrie,on a découvert ces empreintes géantes qui auraient supporté un géant de plus de 20 mètres.

Source

La bible et l’Islam parlent de géants, juste deux exemples :

Pour la bible : Dans la Genèse, il est dit « Et il y avait des géants sur la Terre en ces temps-là (…)

Pour l’Islam : Il est mentionné dans un Hadîth que Dieu créa Adam au paradis avec une taille de 60 coudées soit environ 30 mètres actuels !

Tiré de wikipédia, quelques faits sur des empreintes et ossements fossiles :

XIXe siècle :

En 1833, des soldats auraient découvert, à Lompock Rancho, en Californie, le squelette d’un homme de 12 pieds, soit 4 mètres, dans un terrain dans lequel ils souhaitaient enfouir de la dynamite. En 1877, on aurait découvert, à Spring Valley (Nevada) près de la localité d’Eureka, en partie scellés dans du quartzite, les ossements d’une jambe humaine mesurant un mètre du genou à l’extrémité des orteils.

En 1879, un squelette de 2,95 mètres de haut aurait été extrait d’un tertre funéraire, à Brewersville (Indiana). Il avait un collier de mica autour du cou et, à ses pieds, une figurine humaine incrustée de silex. En 1890, L’anthropologue Georges Vacher de Lapouge a déterré le bras et un os de la jambe d’un homme de 3,5 mètres de hauteur à Castelnau-le-Lez, France et pour cette raison nommé « Géant de Castelnau ». Les os ont été étudiés à l’Université de Montpellier et cela a confirmé que l’être humain mesurait le double de la taille d’un être humain normal.

En 1893, un squelette géant est découvert près du phare de Caraquet, au Canada, par le gardien. La découverte est annoncée dans Le Courrier des provinces maritimes. En 1894, un compte-rendu de presse américain parle de la découverte de gigantesques ossements humains trouvés à Montpellier, France, par des ouvriers travaillant sur un réservoir d’eau.

Des crânes humains de 71, 79 et 81 centimètres de circonférence ont été signalés parmi des ossements humains qui ont indiqué une race d’hommes de trois à quatre mètres de haut. Les os auraient été envoyés à l’Académie de Paris.

XXe siècle :

En 1908, près du parc d’État de Dinosaur Valley, des empreintes de pas humains géants furent découverts dans la Glen Rose Formation. En 1912, dans la région du Transvaal de l’est (actuellement Mpumalanga) en Afrique du Sud, une empreinte géante de pied humain pétrifiée aurait été trouvée par le chasseur Stoffel Coetzee.

La même année, 18 squelettes mesurant entre 2,3 et 3 mètres auraient été découverts dans le Wisconsin par Charleton Voice. Leurs crânes seraient bien plus grands que ceux de l’homme du XXIe siècle. Il semblerait aussi qu’ils n’appartenaient pas tous à la même ethnie.

En 1935, le géologue Clifford Burdick aurait relevé sur les bords de la Paluxy River (Glen Rose, Texas) des empreintes de géants jouxtant celles de dinosaures. En 1936, l’anthropologue Ludwig Kohl-Larsen aurait découvert, sur la rive du Lac Eyasi (Tanzanie) des ossements humains géants. Il est connu pour la découverte de la grotte Mumba (Mumba cave). En 1956, il fit paraître un livre sur les mythes Hadzabe, dont certains à propos de géants.

En 1937, deux paléontologues allemands, Gustav Heinrich Ralph von Koenigswald et Franz Weidenreich, auraient trouvé en Chine plusieurs ossements humains d’une taille étonnante. Weidenreich est l’auteur d’un livre sur le sujet faisant référence au Gigantopithèque, qui est un singe et non un humain. En 1944, Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants à l’American Ethnological Society.

D’après Louis Burkhalter, des outils préhistoriques géants auraient été exhumés à Safita en Syrie et dans le sud du Maroc, par le capitaine R. Lafanechere. Les outils syriens pèseraient de 2,5 à 3,5 kg et ceux du Maroc de 4,15 à plus de 8 kg, ce qui validerait selon lui la théorie de l’existence historique de géants humains. La découverte d’autres outils géants a été mentionnée.

En 1964, dans une grotte d’Alguetca située près de Manglisi (province de Kvemo Kartli, Géorgie), des archéologues auraient mis au jour des squelettes d’hommes mesurant près de 3 mètres. En 2002, la ville de Dmanisi dans la même province a vu la découverte de vestiges attribués à l’Homo georgicus, qui n’est pas un géant.

En 1976, le squelette d’un être humain géant aurait été découvert près du château Trezzo d’adda, province de Milan, en Italie. Le squelette a été identifié comme Rodchis, le fils du roi de Lombardie Poto au VIIIe siècle. Son squelette était trop grand pour le tombeau de 2 mètres de long, ses genoux et la tête ont été pliés pour adapter sa taille énorme qui était d’environ 2,5 mètres de haut.

Rex Gilroy, auteur australien, aurait découvert, à Mount Victoria en Nouvelle-Galles du Sud, des empreintes fossiles de pieds de géants.

XXIe siècle :

En 2004, l’équipe de prospection Aramco Exploration Team aurait découvert en Arabie saoudite un squelette humain de proportions extraordinaires qui pourrait se rattacher au peuple Ad cité par le Coran.

En 2008, les os d’un être humain géant auraient été retrouvés dans les gorges de Borjomi, en Géorgie (Caucase). La nouvelle a été rapportée par 1TV, la première chaîne de télévision en Russie. Le géant a été estimé à 2,5 ou 3 mètres de haut. Ses os ont été étudiés par le Dr Abesalom Vekua, du Musée national Géorgien.

Louis Burkhalter de la Société préhistorique française a écrit en 1950 dans la revue du musée de Beyrouth que l’existence de géants à la période acheuléenne (durant la majeure partie de la période glaciaire) était un fait scientifiquement établi…

 

 

 

 

La primhistoire :la civilisation des géants cachée par la science officielle

Cet article et cette recherche  sont dédié à la mémoire de Jacques Bergier,né le 8 août 1912.Cet homme fut  un grand précurseur  pour tous les chercheurs et Diseurs de Vérités.

 

POUR COMMENCER:DES NOTES

 

Des calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds… La gravité à la surface a constamment augmenté dans le temps. Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001

« A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur. »

« Des ossements appartenant à d’autres humains grands de 3 m ont été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung, paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de 300 000 ans. » Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu

« Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu’on a trouvé dans la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes s’accompagnaient de traces géantes de pas humains. »

« Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria des empreintes fossiles de pieds de géant dont l’authenticité ne saurait être mise en doute. » Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken

Le Docteur Louis Burkhalter, qui représentait autrefois la France dans les congrès de préhistoire écrivait en 1950 dans la « Revue du Muée de Beyrouth » : « Nous montrerons clairement que l’existence d’une race d’hommes gigantesques dans la période achenléenne doit être considérée dés à présent comme prouvée scientifiquement. » Trois découvertes au moins indiquent l’existence dans le passé d’une race de géants :
- 1) le géant de Java
- 2) le géant de la Chine du Sud
- 3) le géant du Transvaal
Livre, Vers un retour aux étoiles, Erich Von Däniken, Ed. J’Ai Lu

Découverte de débris d’os d’hommes de stature gigantesque. Un, au Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java. Des traditions péruviennes font état de manière assez détaillées d’une race de géants, les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine. Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin

 

Des traces de civilisations perdues dans Death Valley apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947. Des archéologues amateurs déclarent ajourd’hui avoir découvert, dans des cavernes de Californie, une civilisation perdue d’humains de neuf pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d’une culture vieille de 80000 ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés. La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce Russel en 1931. Ont été découverts côte à côte « les restes bien conservés de dinosaures, de smilodons (félins à grandes canines), d’éléphants impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des niches. » On y découvrit des articles ménagers, des fours qui apparemment fonctionnaient avec des ondes radio. Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001

Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895. Son corps faisait 3,70 m. Il avait été découvert au cours d’opérations minières dans le comté d’Antrim, en Irlande. Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount

« Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés. » Livre, J’ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont

Des empreintes d’humains gigantesques ou de squelettes de plus de six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane

 » Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l’île de Pâques. «  Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet

L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant des milliers de tonnes -à Machu Pichu, à Ba’albeck, à Gizeh, etc…- trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques.

Dans la province d’Agadir, on aurait mis au jour un atelier d’outils préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d’autres objets, il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pèsent 8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est possible qu’à un géant d’au moins 4 mètres. Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu

Dans le passé, longtemps avant que l’histoire n’ait été relatée, des géants marchaient sur la terre. Ils étaient les jardiniers de la terre, ceux qui viennent ici pour superviser le développement de la vie sur cette planète. La race des géants n’était pas faite pour la vie terrestre, et c’est pourquoi, grâce à des moyens magiques, la taille de ces êtres diminua jusqu’à rejoindre celle des humains, et ainsi ils furent en mesure de se méler à eux sans être reconnus comme étant les jardiniers. Livre, C’était ainsi, T. Lobsang Rampa, Ed. J’Ai Lu

Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, « il y avait des géants sur la terre, des hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. » (Edgar Cayce, lecture 364) Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu

 

LES DIVERS TÉMOIGNAGES DANS L’HISTOIRE

 

Les Grecs nous ont laissé un important patrimoine de textes mythologiques où se développe une cosmogonie complexe. Leurs récits nous sont précieux au sens où ils semblent témoigner presque malgré eux. Ils nous ont fait parvenir ce que l’on croyait avant eux sont forcément partager ces croyances. Lorsque Platon nous parle de l’Atlantide, à aucun moment, il affirme y croire. Il se contente de rapporter un récit fait à Solon par un Égyptien. Cette objectivité est d’une importance capitale pour l’étude de l’existence des géants. Les Grecs semblent avoir entendu parler de la période de décadence des dieux. Ils rapportent des histoires complexes où foisonnent des batailles entre les Dieux et des géants, des titans, des cyclopes. Ainsi, à son retour de Troie, les Dieux décidèrent qu’Hercule les aiderait à se battre contre les géants car seul un mortel pouvait les vaincre.
Les géants étaient nés sur la Terre du sang d’Ouranos. Le plus célèbre était Antée, invulnérable tant qu’il restait en contact avec sa mère, la Terre. On ne pouvait le tuer qu’en le soulevant, exploit qu’Hercule accomplit facilement. Ce qu’il faut retenir de cette mythologie aussi riche que compliquée est que les hommes participèrent aux dernières luttes contre les géants et dieux, comme d’ailleurs les Toltèques l’avaient également rapporté. Notons aussi que la distinction que faisaient les Grecs entre les Dieux et les géants n’était pas très claire. Les Dieux ne sont-ils pas en fait des géants jugés bienfaisants par les hommes ? Ainsi Prométhée enseignait l’usage du feu tandis que les cyclopes sont à l’origine de la métallurgie. D’après les récits grecs, la Terre a connu diverses périodes, terminées chacune par de grandes catastrophes. Il a existé des géants, parfois bons comme Hercule ou Prométhée considérés comme des civilisateurs, des initiateurs ne pas souvent ces créatures de grande taille étaient jugées mauvaises. Par chance, ils se sont exterminés entre eux et les derniers ont été tués par les hommes. Les récits grecs, loin d’infirmer les traditions bibliques ou amérindiennes, les complètent au contraire admirablement.

L’histoire de l’Égypte représente peut-être l’énigme la plus insoluble de l’histoire de l’humanité. La civilisation égyptienne semble sortir du néant, sans aucun développement ultérieur. Bien au contraire, l’histoire égyptienne ne s’apparente qu’à une lente décadence. Les Égyptiens eux-mêmes ont toujours regardé en arrière et considéré leur première dynastie comme la grande période d’où toutes leurs connaissances leur étaient venues. Là aussi, on retrouve la mention de géants. Hérodote parle d’un géant Hercule qui aurait été un des premiers rois-dieux d’Égypte et qui n’avait rien à voir avec l’Hercule grec.

Certains textes Égyptiens affirment que les géants étaient en guerre contre les hommes et qu’ils émigrèrent en revêtant des formes d’animaux. Dans de nombreux mythes, les géants se réfugiaient dans les hauteurs lors des inondations et revenaient vers les plaines basses dans les périodes calmes. Ne peut-on pas supposer que le pharaon, imitateur des anciens dieux géant, faisait de même et que lorsqu’il n’y avait pas de montagne dans les environs, il en faisait construire une, à savoir une pyramide ? Les Thaïlandais anciens prétendaient que les hommes des premiers temps étaient d’une taille colossale. Les nordiques, quant à eux, croyaient que les premiers êtres de la création étaient grands comme des montagnes. La patrie de ses géants aurait été située vers la mythique Thulée.

Thor, le dieu du tonnerre, le fils aîné d’Odin et de la Terre, possédait un marteau, nommé Mjollnir qui ne ratait jamais son coup. Avec cette arme redoutable, il passait une grande partie de son temps à combattre les géants. Mjollnir a permis notamment aux Ases de se protéger de ces créatures démesurées. Un jour cependant, un géant le dérobe et jure de le rendre la seule condition qu’on lui permette d’épouser la déesse Freya. Thor et Loki, le dieu du Mal et de la ruse, prennent alors l’apparence de la déesse et de sa servante. Lorsque pour bénir l’union, en place Mjollnir dans le giron de Thor, ce dernier enlève son déguisement et massacre tous les géants. La mythologie nordique met très souvent en scène des géants qui apparaissent là aussi comme les ennemis des Dieux et qui semblent avoir eu des problèmes pour trouver des épouses. De la même manière qu’avec l’histoire de David et Goliath, les géants sont abattus par des armes de jet, que ce soit à l’aide d’une fronde ou d’un marteau qui revenait lui-même dans la main de son lanceur.

L’épopée sumériennes de Gilgamesh fait état d’être de grande taille et les mythes eskimos en parlent également : « en ces temps-là il y avait des géants sur la Terre. » Plus proche de nous, les chroniqueurs espagnols de la conquête du Pérou nous ont laissé des témoignages capitaux. Le dominicain Reginaldo de Lizarraga, qui vécut au Pérou de 1555 à 1599 et écrivit la descripçion y plobacion de las Indias, rapporte un mythe se rapportant à des êtres de stature incroyable. Cieza de Leon rapporte l’histoire d’une invasion de géants, recueillies auprès des indigènes de Santa Elena, Dans L’actuel Equateur : « de la mer arrivèrent sur des bateaux de balsa et de paille aussi grands que des vaisseaux des hommes si immenses qu’un homme ordinaire de bonne stature atteignait la hauteur de leurs genoux. […] Comme ils n’avaient pas de femmes et que les indigènes voulaient pas d’ux à cause de leur taille, ils pratiquaient la sodomie entre eux, sans honte ni crainte de Dieu… Les Indiens affirment que Dieu leur infligea une punition appropriée à l’énormité de leur crime. Alors qu’ils étaient ensemble, sa donnant leurs pratiques homosexuelles, un terrible feu descendit du ciel avec un énorme bruit, et il en surgit un ange resplendissant, une épé acérée et brillante à la main. D’un seul coup, il les tua tous et le feu les consuma. » Nous retrouvons encore une fois, la suppression de la race géants par une intervention divine suite à une conduite jugée répréhensible. Nous pouvons faire remarquer que Platon expliquait également la catastrophe de l’Atlantide par des causes morales.

Les hommes étant devenus pervers les Dieux se mirent en colère et éliminèrent leur création : « ils tombèrent dans l’indécence -ils apparurent laids- et le Dieu des Dieux, Zeus, qui règne par les lois, compris quelles dispositions misérables prenait cette race, d’un caractère primitif si excellent. Il voulut leur appliquer un châtiment afin de les faire réfléchir et de les ramener à plus de modération. » Suivant ce raisonnement, doit-on voir dans les géants mentionnés dans le texte biblique ou autres récits mythologiques, les descendants ou survivants de la lointaine civilisation atlantéenne.

Concernant le Pérou, le missionnaire jésuite Pedro Lozano parlait de « géants à face de chiens et aux longues dans pointus. » rencontrés près de Cuzco. Antonio Pigafetta, historien du voyage de Magellan autour du monde (1934), donna une description d’un peuple gigantesque qu’il déclarait avoir vu de ses propres yeux en Patagonie : « un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d’une stature gigantesque se présenta à nous… Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture. » Des indigènes du groupe de Malekula habitant les îles du Sud-Est de la Nouvelle-Guinée continuent à élever des mégalithes énormes en sculptant ces pierres en formes humaines. Ces monolithes sont taillés afin de représenter les ancêtres.

Ces ancêtres étaient donc à l’origine des géants. La majorité des récits mythiques évoquent des hommes de très haute stature, souvent en moeurs dissolus et qui furent anéantis par leurs créateurs. Les concordances entre les récits sont trop semblables pour qu’ils ne soient pas considérés uniquement comme des coïncidences. Tous ces textes renvoient à une histoire commune. Pourquoi cette quasi unanimité à décrire des êtres en chair et en os et d’une taille gigantesque s’ils n’avaient pas existé ?  

 

Une civilisation originelle peuplé de géants ?

 

Les géants soulèvent une interrogations quant à leur histoire, leur antériorité et leur civilisation. En effet, faut-il voir dans les textes les mentionnant un fait isolé extraordinaire où le rédacteur, surpris, se trouve confronté à un homme de grande taille, bien supérieure à la normale, comme il peut en exister de nos jours ? Ou au contraire, ses géants décrits ne sont-ils que de rares descendants, des vestiges vivant en quelque sorte, d’une antique civilisation déjà disparue au moment où les rédacteurs de textes anciens les incorporaient à leurs récits ?

Dans le chapitre III de Baruch, la Bible nous donne un étonnant tableau d’une civilisation primitive : l’humanité aurait commencé par une race gigantesque extrêmement développée intellectuellement, artistiquement et psychiquement (ces géants originels auraient ainsi eu des pouvoirs sur les oiseaux les animaux). Dieu, en raison de leur mauvaise conduite, causa leur extermination et remplaça par les hommes actuels. Baruch décrit une civilisation mondiale très ancienne mais ne donne aucune indication sur le pays de ses premiers géants civilisés : « où sont-ils les chefs des nations, ce qui maîtrisaient des bêtes de la terre, ceux qui se jouaient des oiseaux du ciel, qui amassaient l’argent et l’or en quoi les hommes mettent leur confiance, et dont les possessions n’avaient point de limite, ceux qui travaillaient l’argent avec tant de soins que leurs oeuvres sont impénétrables ?

Ils ont disparu, descendu à l’Hades, et d’autres ont surgi à leur place ; de plus jeunes ont vu la lumière qui ont habité sur la terre ; mais la voie de la science, ils ne l’ont pas connue, ils n’ont pas compris ses sentiers. […] Israël, combien grande est la demeure de Dieu, et qu’il est étendu le lieu de son domaine, grand et sans fin, élevé, sans mesure ! Là naquirent les géants fameux des origines, à la haute stature et connaissant la guerre. Ce n’est pas eux que Dieu choisit, il ne leur montra pas la voie de la science. Aussi ont-ils péri faute d’avoir la prudence, ils ont péri par leur folie. » Les géants de la Bible et des traditions sont-ils des descendants de cette race gigantesque primitive, éliminée, selon la tradition, par la colère de Dieu en raison de leur attitude infamante ?

Les témoignages rapportés par les traditions toltèques du Mexique apportent une confirmation inattendue aux éléments apportés par les textes bibliques. Les Toltèques sont encore mal connus de nos jours. Seuls quelques éléments ont été rapportés par les chroniqueurs de l’époque de la conquête espagnole. L’histoire des Toltèques écrites par Ixtlilxochitl, divise l’histoire du monde en plusieurs périodes appelés « Soleils » : la deuxième époque — le Soleil de la Terre — vit le monde peuplé de géants, les Quinametzins, qui disparurent presque entièrement parce que des tremblements de terre détruisirent la Terre.

Le Soleil du Vent fut la troisième époque, et les Olmèques et Xicalancas, races humaines, vécurent sur la Terre. Ils tuèrent les géants qui avaient survécu, fondèrent Chuchula et allèrent jusqu’à Tabasco. « Tout comme dans les récits de la bible, une civilisation peuplée de géants semble avoir dominé la Terre dans des temps très anciens. Anéantis à la suite d’un cataclysme, les quelques géants survivants furent massacrés par les humains mais ont laissé dans des récits mythologiques l’empreinte de leur existence de leur magnificence perdue.

Un souvenir inscrit dans les mémoires des civilisations.
Un souvenir inscrit dans les mémoires des civilisations.

Au moment où les mythologies ont été rédigées, les géants n’étaient déjà plus qu’un lointain souvenir mais l’élément remarquable et qu’il se retrouve dans l’histoire les cinq continents. Il faut-il en penser ? L’évidence laisserait supposer que la Terre, dans son histoire la plus reculée, a connu une civilisation de géant qui a subitement disparu pour avoir fâché les Dieux. Ce qui est indiscutable dans les mythologies qui ne sont parvenues, c’est qu’elles mettent en relief les mêmes caractéristiques en ce qui concerne ces géants.

Doit-on y voir un souvenir ancestral partagé par l’ensemble des civilisations ? Quelques questions restent encore en suspens. Qui était ces géants ? D’où venaient-ils ? Quelles étaient ces dieux courroucés qui semblent avoir regretté leur création, éliminant les géants pour les remplacer par le race d’hommes dont nous faisons partie ? Le moment de la destruction des géants correspond-il au déluge de Noé ou à la destruction de l’Atlantide comptée par Platon ? Autant de questions qui renvoient une histoire méconnue de l’humanité, une histoire qui reste encore découvrir en s’aidant des quelques indices disséminés dans les vieux textes.

Les anciens peuples et les géants

Les crânes et les ossements  de géants découverts ...eux,sont anciens.
Les crânes et les ossements de géants découverts …eux,sont anciens.
Les histoires des civilisations anciennes sont pleines de références à des êtres de dimension gigantesque, de force démesurée et détenteurs d’un Haut Savoir, influençant directement ou indirectement les sociétés humaines. Du fait de leur grande taille et leurs grandes facultés, certaines races de géants ont été considérées comme des divinités dans l’Antiquité. L’histoire de ces géants se retrouve dans différents textes anciens et cultures du monde :

~ les Nephilim et leurs descendants les Anakim et Réphaïm de la Bible,
~ le Panthéon égyptien,
~ les dieux de l’Olympe, cyclopes et titans de la mythologie gréco-romaine,
~ les dânavas de la mythologie hindoue,
~ les guerriers du Valhalla de la mythologie scandinave
~ les Annunaki chez les sumériens, bien que l’on retrouve également le terme néfilims dans leurs archives écrites en langage cunéiforme, des géants astronautes des temps immémoriaux, venus de la planète Nibiru.

Quelques témoignages :

* Les Égyptiens ont toujours considéré leur première dynastie comme la grande période d’où toutes leurs connaissances leur étaient venues. On retrouve la mention de géants. Hérodote parle d’un géant Hercule qui aurait été un des premiers rois-dieux d’Égypte et qui n’avait rien à voir avec l’Hercule grec. Certains textes Égyptiens affirment que les géants étaient en guerre contre les hommes.

* Les Thaïlandais anciens prétendaient que les hommes des premiers temps étaient d’une taille colossale.

* Les Nordiques, quant à eux, croyaient que les premiers êtres de la création étaient grands comme des montagnes. La patrie de ses géants aurait été située vers la mythique Thulée.

* Thor, le dieu du tonnerre, le fils aîné d’Odin et de la Terre, possédait un marteau, nommé Mjollnir qui ne ratait jamais son coup. Avec cette arme redoutable, il passait une grande partie de son temps à combattre les géants. La mythologie nordique met très souvent en scène des géants qui apparaissent là aussi comme les ennemis des Dieux et qui semblent avoir eu des problèmes pour trouver des épouses. De la même manière qu’avec l’histoire de David et Goliath, les géants sont abattus par des armes de jet, que ce soit à l’aide d’une fronde ou d’un marteau qui revenait lui-même dans la main de son lanceur.

* Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephaïm. Voici, son lit, un lit de fer, n’est-il pas à Rabbath, ville des enfants d’Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d’homme. Deutéronome Ch 3 verset 11. (La terre d’Og, était appelée « la terre des géants)

* les chroniqueurs espagnols de la conquête du Pérou nous ont laissé des témoignages capitaux. Le dominicain Reginaldo de Lizarraga, qui vécut au Pérou de 1555 à 1599 et écrivit « la descripçion y plobacion de las Indias », rapporte un mythe se rapportant à des êtres de stature incroyable. Cieza de Leon rapporte l’histoire d’une invasion de géants, recueillie auprès des indigènes de Santa Elena, dans l’actuel Equateur : « de la mer arrivèrent sur des bateaux de balsa et de paille aussi grands que des vaisseaux des hommes si immenses qu’un homme ordinaire de bonne stature atteignait la hauteur de leurs genoux. »

* Antonio Pigafetta, historien du voyage de Magellan autour du monde (1934), donna une description d’un peuple gigantesque qu’il déclarait avoir vu de ses propres yeux en Patagonie : « un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d’une stature gigantesque se présenta à nous… Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture. »

* Des indigènes du groupe de Malekula habitant les îles du Sud-Est de la Nouvelle-Guinée continuent à élever des mégalithes énormes en sculptant ces pierres en formes humaines. Ces monolithes sont taillés afin de représenter les ancêtres.

Mêmes les tablettes et bas-relief de Sumer en parle...tout en parlant des Annunaki.
Mêmes les tablettes et bas-relief de Sumer en parle…tout en parlant des Annunaki.

* L’histoire des Toltèques écrites par Ixtlilxochitl, divise l’histoire du monde en plusieurs périodes appelés « Soleils » : la deuxième époque — le Soleil de la Terre —vit le monde peuplé de géants, les Quinametzins, qui disparurent presque entièrement parce que des tremblements de terre détruisirent la Terre.Le Soleil du Vent fut la troisième époque, et les Olmèques et Xicalancas, races humaines, vécurent sur la Terre. Ils tuèrent les géants qui avaient survécu, fondèrent Chuchula et allèrent jusqu’à Tabasco.

* En Grande-Bretagne, appelée autrefois Albion, vivaient des géants. Après la chute de Troie (Tiens on retrouve Troie, une ville liée aux géants) un héros nommé Brutus est arrivé en Grande-bretagne avec ses soldats et a conquis le pays. Ils se sont battus avec ces géants et en ont tué la majeure partie. Mais ils ont gardé le dénommé « gog-magog » un géant de 3 mètres 50. Le site de Stonehenge est appelé « la danse des géants », il fut érigé il y a 4 à 5 mille ans, par qui ? Les plus grosses pierres mesurent 9 mètres et pèsent 50 tonnes.

* Sur les hauteurs du Golan à 80 Km de DAMAS se trouve un cercle de pierres appellé « le giga rephaïm ». Cette tombe, unique en son genre, était certainement destinée à une personnalitée importante pour l’époque. Il a fallu 40.000 tonnes de pierres pour le bâtir. Il a entre 4 à 5 mille ans.
Cette région était gérée par Og souverain du Basan. Il était le dernier géant de la race des Rephaïm. Il y avait donc plusieurs races ! La Bible nous donne la taille de son lit en fer environ 4 mètres 50 de long et 2 mètres de large.

Au Liban, selon des récits arabes, les temples de Baalbek auraient été construits par une race de géants pour le compte du roi Nemrod (Nimrod, fils de Cusch, fils de Cham, fils de Noé).

« Et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants; et nous étions à nos yeux comme des sauterelles, et nous l’étions aussi à leurs yeux. » (Nombres 13 :34) « Alors toute l’assemblée éleva la voix, et se mit à jeter des cris, et le peuple pleura cette nuit-là. »(Nombres 14 :1, Ancien Testament)….Les Anakims ou les enfants d’Anak, sont des synonymes des mots Anunnaki ou Anunna, tels qu’utilisés par Zachariah Sitchin au sujet de la civilisation sumérienne.

« Quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qui leur plurent. Et l’Éternel dit : Mon esprit ne contestera point dans l’homme à toujours; dans son égarement il n’est que chair; ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre, en ce temps-là, et aussi dans la suite, parce que les fils de Dieu étaient venus vers les filles des hommes, et elles leur avaient donnaé des enfants : Ce sont ces hommes puissants qui, dans les temps anciens, furent des gens de renom. Et l’Éternel vit que la malice de l’homme était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que mauvaise en tout temps. »(Genèse 6 ;1)

Voilà une belle preuve  dont la science officielle détourne les regards.
Voilà une belle preuve dont la science officielle détourne les regards.

* Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, il y avait des géants sur la terre, des hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. » (Edgar Cayce, lecture 364) Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu

Tout comme dans les récits de la bible, une civilisation peuplée de géants semble avoir dominé la Terre dans des temps très anciens. Anéantis à la suite d’un cataclysme, les quelques géants survivants furent massacrés par les humains mais ont laissé dans des récits mythologiques la trace de leur existence.

Il se peut que les gigantesques monuments, mégalithes, monolithes et ruines millénaires éparpillées à travers les continents, et même dans le fond des océans, soient les vestiges de cette époque antique qui a vu le règne des géants et que ces derniers aient pu également laissé leur empreinte dans la structure génétique des êtres humains (les gènes récessifs).

 

PRÉSENTER DES PREUVES

Des jarres fantastique  à présenter...
Des jarres fantastique à présenter…

 

 

La Plaine des Jarres est le nom générique donné à une région du nord du Laos située dans la province de Xieng Khuang, remarquable par la présence de champs d’imposantes jarres de pierre antiques, dont la signification et l’origine ne sont pas encore totalement élucidées.

Situation

Les principaux champs de jarres sont situés sur le plateau autour de l’ancienne ville de Xieng Khuang, aujourd’hui Phonsavan. Ce plateau a une altitude moyenne de 1 200 mètres; c’est là que se rencontrent les principales concentrations de jarres. Ce secteur a, durant les opérations de la guerre du Viêt Nam et la lutte contre les forces du Pathet Lao, été copieusement bombardé par l’aviation américaine. De nombreuses bombes non-désamorcées sont encore présentes, ce qui rend très dangereuse l’étude et la visite des zones à jarres : à l’heure actuelle, seules trois zones (site 1, 2, 3) sont ouvertes à la visite.

Au total, c’est près d’une soixantaine de sites différents qui sont disséminés sur la zone large de la plaine des Jarres dont le centre est au Laos, les principales concentrations comptant jusqu’à 250 unités. Mais on trouve aussi des sites similaires, bien que moins spectaculaires, sur le plateau de Korat en Thaïlande et en Inde du Nord, ce qui amène certains chercheurs à penser à une répartition recouvrant un itinéraire d’échanges par caravanes.

Nature des jarres

Les jarres sont disposées par groupes, sans alignement visible. Elles sont de différentes tailles, de un à trois mètres de hauteur, mesurant près de huit mètres de circonférence, pesant de 500 kg à plusieurs tonnes pour les plus grandes (qui peuvent contenir jusqu’à dix hommes debout). Elles ont été taillées dans des blocs de roches monolithiques provenant de la région : calcaire de grès, et parfois granits. Elles sont parfois à demi enterrées. On trouve aussi quelquefois, près de certaines d’entre elles, un disque de pierre ayant pu servir de couvercle. Leur forme est assez simple, souvent cylindrique, plus rarement angulaire ; les jarres ne présentent aucune décorations ni inscriptions. Aucun autre vestige architectural ou d’habitat antique n’est présent dans la région, laissant les jarres sans contexte archéologique.

Étude archéologique

La première étude archéologique des sites a été réalisée vers 1930 par Madeleine Colani de l’École française d’Extrême-Orient. Elle entreprit la fouille des alentours de plusieurs jarres, ainsi que celle d’une grotte située non loin et dotée d’une cheminée naturelle, dans laquelle furent découverts d’importantes traces de feu et des ossements humains calcinés. Elle émit alors l’hypothèse que cette grotte aurait été un incinérateur naturel lors des funérailles, et que les cendres auraient ensuite été conservées dans les jarres. Malheureusement, les éléments de datation des os retrouvés dans la grotte ou près des jarres sont très étalés dans le temps, et ne permettent pas de tirer de conclusions précises. Les travaux de Madeleine Colani restent cependant, à ce jour, la source de connaissances la plus complète dont nous disposions sur le sujet.

La communauté scientifique ne peut encore donner que des explications conjoncturelles quant à la datation de ces jarres de pierre, sur une période allant de 500 av .J.-C. à 800 ap .J.-C. ; et plusieurs théories co-existent au sujet de leur destination : urnes funéraires, stockage de nourriture ou d’eau, cuves à fermentation pour la production d’alcool… Le mystère entoure encore cette civilisation encore inconnue, et le peuple qui réalisa et utilisa ces jarres.

Légendes locales

La présence de ces énigmatiques jarres a engendré dans la population locale et au cours des siècles, de nombreuses légendes. Les plus répandues font état d’un peuple de géants qui auraient habité la région en des temps immémoriaux. D’autres parlent d’un ancien roi, Khun Cheung, qui, à l’issue d’une longue et terrible bataille, ordonna la confection des jarres pour faire fermenter et contenir un énorme volume d’alcool de riz, destiné à fêter sa victoire. Les Laotiens sont friands d’alcool de riz.
commons:Accueil

Actuellement, des démarches sont en cours pour classer la Plaine des Jarres dans le liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO, et des campagnes de déminage sont menées par des organisations internationales.

 

AUTRES PREUVES DE DIVERSES ORIGINES

Il est criminel de refuser  d'étudier et de parler de ses découvertes...au peuple! Le peuple est plus facile à contrôler en le laissant ignorer la Vérité.
Il est criminel de refuser d’étudier et de parler de ses découvertes…au peuple!
Le peuple est plus facile à contrôler en le laissant ignorer la Vérité.

 

Photo 1Ces traces de pas font l’objet d’une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d’années )

Autres traces de pas…

Au XIX ème siècle, l’écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage « American Antiquities » page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d’un véritable carnaval d’empreintes de chevaux, d’ours, de dindes et d’hominidés à six orteils ! 
En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l’observation d’empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. 
 

Pendant l’été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d’animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d’empreintes d’hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l’Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes ( de 50 centimètres ) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
 

En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l’université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d’hominidés, certaines avec sandales, d’autres indiquant l’usage d’une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
 

En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d’environ 300 millions d’années. Parmi les traces d’ours et celles d’un animal ressemblant à un grand cheval, il y avait deux empreintes d’hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. 
 

En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l’Académie des Sciences de l’Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d’années.

Découvertes en 1908 dans les lits du Fleuve Paluxy, près de Glen Rose, Texas.des empreintes fossilisées d'humanoïdes géants de 4 mètres de hauteur, mélées à des traces de dinosaure de 120 à 130 millions d'années font l'objet d'une grande controverse . une telle découverte contredirait radicalement la géologique conventionnel.
Découvertes en 1908 dans les lits du Fleuve Paluxy, près de Glen Rose, Texas.des empreintes fossilisées d’humanoïdes géants de 4 mètres de hauteur, mélées à des traces de dinosaure de 120 à 130 millions d’années font l’objet d’une grande controverse . une telle découverte contredirait radicalement la géologique conventionnel.

 

 

Les empreintes ci-dessous ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d'années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l'érosion a finalement découverts.
Les empreintes ci-dessous ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d’années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l’érosion a finalement découverts.

 

 

En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea ( Kentucky ), annonça la découverte de dix empreintes d’hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l’analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d’un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d’années. 
Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l’on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l’on croit savoir de l’histoire de l’homme… 
 

En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l’empreinte fossilisée d’une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d’années.

 

  En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d'Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d'humanoïde a été découverte à proximité d'empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d'années ).  Selon l'Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d'eau, une boue trop liquide.  Relevé effectué par M. P. Bellin

En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d’Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d’humanoïde a été découverte à proximité d’empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d’années ).
Selon l’Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d’eau, une boue trop liquide.
Relevé effectué par M. P. Bellin

 

 

En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d'années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d’années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.

 

 

En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d’expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d’empreintes fossiles au sommet d’une colline à l’est de Tulsa ( Oklahoma ). Parmi les empreintes d’espèces animales disparues depuis 3 millions d’années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. 

Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d’Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d’années.
 
D’autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d’années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l’Oklahoma.

 

  En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l'Institut de géologie de l'Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d'années, qui ressemble à la trace d'un pied d'humanoïde.

En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l’Institut de géologie de l’Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d’années, qui ressemble à la trace d’un pied d’humanoïde.

 

 

   En février 2002  James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d'une balade dans la forêt nationale de Cleveland.  En sortant des sentiers battus à la recherche d'or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d'eau il y a longtemps... très longtemps...  Snyder, qui pense qu'il pourrait s'agir de l'empreinte d'un "Bigfoot", aimerait que des scientifiques fassent l'effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d'une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d'accès pour étudier sérieusement cette empreinte...

En février 2002 James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d’une balade dans la forêt nationale de Cleveland.
En sortant des sentiers battus à la recherche d’or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d’eau il y a longtemps… très longtemps…
Snyder, qui pense qu’il pourrait s’agir de l’empreinte d’un « Bigfoot », aimerait que des scientifiques fassent l’effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d’une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d’accès pour étudier sérieusement cette empreinte…

 

 

 

A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d'un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur."
A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur. »

 

 

A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur. »

« Des ossements appartenant à d’autres humains grands de 3 m ont été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung, paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de 300 000 ans. »
{Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu}

Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu’on a trouvé dans la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes s’accompagnaient de traces géantes de pas humains. »

« Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria ( Arkansas) des empreintes fossiles de pieds de géant dont l’authenticité ne saurait être mise en doute. »
{Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken}

Découverte de débris d’os d’hommes de stature gigantesque. Un, au Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java.
Des traditions péruviennes font état de manière assez détaillées d’une race de géants, les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine.
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin}

Des traces de civilisations perdues dans Death Valley au Nevada apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947.
Des archéologues amateurs déclarent ajourd’hui avoir découvert, dans des cavernes de Californie, une civilisation perdue d’humains de neuf pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d’une culture vieille de 80000 ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés. La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce Russel en 1931.
Ont été découverts côte à côte « les restes bien conservés de dinosaures, de smilodons (félins à grandes canines), d’éléphants impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des niches. » On y découvrit des articles ménagers, des fours qui apparemment fonctionnaient avec des ondes radio.
{Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001}

Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895. Son corps faisait 3,70 m. Il avait été découvert au cours d’opérations minières dans le comté d’Antrim, en Irlande.
{Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount}

« Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés. »
{Livre, J’ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont}

Des empreintes d’humains gigantesques ou de squelettes de plus de six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques.
{Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane}

 » Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l’île de Pâques. « 
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet}

L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant des milliers de tonnes -à Machu Pichu (Pérou), à Ba’albeck (Liban) , à Gizeh (Égypte) , etc…- trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques.
Dans la province d’Agadir (Maroc) , on aurait mis au jour un atelier d’outils préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d’autres objets, il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pèsent 8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est possible qu’à un géant d’au moins 4 mètres.
{Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu}

Un squelette humain de 4mètres 57 a été trouvé dans la vallée de l’Euphrate, au sud-est de la Turquie, dans les années 50. Pendant la construction d’une route. Beaucoup de tombeaux contenant des géants ont été découverts là-bas.

Maximinus Thrax Ceaser de Rome en 235-238 après J-C, avait un squelette de 2mètres 59.

Goliath était grand d’environ 2 mètres 75 + ou – quelques cm. Voir 1 Samuel 17.

Le Roi Og, cité dans le Deutéronome 3:11 dont le lit en fer mesurait approximativement 4 mètres 30 de long et 1mètre 80 de large. Le Roi Og devait mesurer ‘au moins 3 mètres 60.

Un squelette humain de 5 mètres 94 a été trouvé en 1577, Après J-C, sous un chêne déraciné dans le canton de Luzerne.

Un squelette de 7 mètres a été trouvé en 1456,, près d’un fleuve vers Valence, en France.

Un squelette de 7 mètres 90 environ, a été trouvé en 1613, près du château de Chaumont en France. Ce squelette, est décrit comme étant presque complet.

Incroyable et presque au-delà de la compréhension, fut la trouvaille de deux restes humains (distincts) de 11 mètres chacun, découvert par des Carthaginois quelque part entre 200-600 Av J-C. (Un pied = égal 30,48 cm. Un pouce = 2,54 cm.)

Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans une mine de houille italienne.

Un squelette humain de 2 mètres 64 a été récupéré sous un monticule en pierre, un tombeau, à Brewersville, en Indiana, en 1870 Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans le lit du lac mineur Humbolt (nanovolt) en juin 1931.

Un squelette humain de 3 mètres 66 a été trouvé par des soldats dans le ranch de Lompoc, Californie en 1883.

Certains insectes géants, comme les sauterelles, mesuraient dans le passé 61 cm .

Une humanoïde de 2 mètres 14 et plusieurs autres de ces mamans ont été trouvées en Chine dans les années ’96’.

Des chameaux grands de 6 mètres 10 et des humains géants ont été trouvés. Ils ont été trouvés dans le Texas, en Arizona, en Ohio, en Europe, et particulièrement au Moyen-Orient. Tout ce qui contredit la « religion » d’état disparaît systématiquement. Lorsqu’un géant est trouvé le musée ou tout autre organisme l’ayant trouvé reçoit bourse, argent pour une étude avec le système gouvernemental.

Source:http://www.angelfire.com/

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Dans le passé, longtemps avant que l’histoire n’ait été relatée, des géants marchaient sur la terre. Ils étaient les jardiniers de la terre, ceux qui viennent ici pour superviser le développement de la vie sur cette planète.
La race des géants n’était pas faite pour la vie terrestre, et c’est pourquoi, grâce à des moyens magiques, la taille de ces êtres diminua jusqu’à rejoindre celle des humains, et ainsi ils furent en mesure de se méler à eux sans être reconnus comme étant les jardiniers.
{Livre, C’était ainsi, T. Lobsang Rampa, Ed. J’Ai Lu}

Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, « il y avait des géants sur la terre, des hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. » (Edgar Cayce, lecture 364)
{Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu}

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Livre de Baruch

3:24 O Israël, comme elle est grande la maison de Dieu, comme il est vaste le domaine qui lui appartient!
3:25 Il est grand et n’a pas de fin, il est élevé et sans mesure!
3:26 C’est là que furent engendrés les fameux géants, ceux du commencement, de haute stature et versés dans l’art de la guerre.
3:27 Ce n’est pas eux que Dieu a choisis, ni à eux qu’il a indiqué le chemin de la science;
3:28 et ils périrent, car ils n’avaient pas de discernement; ils périrent à cause de leur irréflexion.

http://www.bibleetnombres.online.fr/bible6nc/baruch.htm

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Aussi dans la bible

 

Genèse ch 6 verset 1 à 4

1 Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées,

2 les fils de Dieu [ anges ] virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent.

4 Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité.

 

On mentionne effectivement dans la Bible, à plusieurs reprises, la présence de populations de taille largement supérieure aux Hébreux, comme les Rephaïm, les Émites et les Anaqites (Dt 2,10; 3,2; Jos 15,13-14).

On dit que ces Nephilim seraient disparus au moment du Déluge (Sg 14,6) suite à une condamnation de Dieu à cause de leur révolte : conséquence de la supériorité que leur conférait « leur force » (Si 16, 7) ou leur habilité dans « l’art de la guerre » (Ba 3,26) « quand le souffle de Dieu eut été retiré » de leur être comme le dit Jean-Chrysostome.

http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2008/clb_080627.html

 

 

 

1911 : des géants roux

Dans le Nevada, des mineurs entreprirent en 1911 d’exploiter les riches dépôts de guano de la grotte Lovelock.
Rapidement, ils tombèrent sur des vestiges indiens et surtout sur une momie de 1,98 mètre de haut, aux cheveux roux.
Les légendes des Indiens Païoute parlent d’une tribu de géants roux, les Si-té-cah, jadis ennemis mortels des indiens de la région.

 

En 1912, l’université de Californie de Berkeley et la Société d’histoire de l’état du Nevada, dépêchèrent un scientifique.
Malheureusement, l’exploitation du guano avait tout bouleversé et il ne put récupérer que quelques objets.

Au cours des années suivantes, on découvrit d’autres fossiles dont des fémurs qui appartenaient à des individus d’au moins 1,80 mètre, taille remarquable pour l’époque et le lieu.

Les anthropologues admettent que des Indiens roux ont existé dans l’Ouest américain. Cependant, nulle part on ne fait mention d’un peuple de géants roux.

Des dimensions à couper le souffle.
Des dimensions à couper le souffle.

Géants crânes et ossemens 003

 

Géants crânes et ossemens 004

 

 

Géants crânes et ossemens 005

 

 

AUTRES DÉCOUVERTES

Os humain au Névada
En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune. Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres. La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.

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La photo a été publiée en 1895. Ce géant découvert dans le Comté d’Antrim en Irlande, est plus haut que le wagon sur lequel il est appuyé. Cet homme monstrueux passe pour avoir été déterré par un Mr. Dyer qui prospectait pour trouver du minerai de fer dans le Comté d’Antrim. Les principales mensurations sont: La longueur totale de 12 pieds 2 . La circonférence de sa poitrine, 6 pieds 6 . Sa longueur de bras, 4 pieds 6. Il avait six orteils au pied droit. Son poids « brut » est 2 tonnes.

 

Notons qu'il était bien conservé, sans doute par momification.  Mr. Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa découverte bizarre et l'a exposée à Liverpool et Manchester demandant six pence par visite. Ensuite Mr Dyer a payé un certain Kershaw pour s'occuper de l'affaire et la trace du géant a ensuite disparu.  Beaucoup de découvertes « dérangeantes » pour la « science officielle » ont été détruites depuis quelques siècles, et surtout depuis l'avènement du « darwinisme » et de son évolution unique des espèces, ce incluant l'humanité et une soi-disant origine unique, jamais prouvée !
Notons qu’il était bien conservé, sans doute par momification.
Mr. Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa découverte bizarre et l’a exposée à Liverpool et Manchester demandant six pence par visite. Ensuite Mr Dyer a payé un certain Kershaw pour s’occuper de l’affaire et la trace du géant a ensuite disparu.
Beaucoup de découvertes « dérangeantes » pour la « science officielle » ont été détruites depuis quelques siècles, et surtout depuis l’avènement du « darwinisme » et de son évolution unique des espèces, ce incluant l’humanité et une soi-disant origine unique, jamais prouvée !

 

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ARABIE SAOUDITE

Squelettes de géants retrouvés

En 2004, on a découvert en Arabie Saoudite un squelette humain de proportions extraordinaires.

  Cette découverte retentissante a été faite par le Aramco Exploration team, l'équipe de prospection de la compagnie pétrolière Saoudienne Aramco. La photo ci-dessus a été prise par l'helicoptère d'Aramco.  Les Saoudiens pensent qu'il s'agit là des restes du peuple d'Aad, des géants anciens dont on parle dans le Coran. La zone a été sécurisée par l'armée Saoudienne et l'information aurait dû rester secrète, mais cette photo a pu filtrer sur Internet.  Fait troublant, un deuxième squelette vient d'être mis à jour en Irak, dans la partie Kurde au nord du pays. http://chezluc.blogspot.com/2006/04/dcouverte-de-deux-squelettes-de-gant.html

Cette découverte retentissante a été faite par le Aramco Exploration team, l’équipe de prospection de la compagnie pétrolière Saoudienne Aramco. La photo ci-dessus a été prise par l’helicoptère d’Aramco.
Les Saoudiens pensent qu’il s’agit là des restes du peuple d’Aad, des géants anciens dont on parle dans le Coran. La zone a été sécurisée par l’armée Saoudienne et l’information aurait dû rester secrète, mais cette photo a pu filtrer sur Internet.
Fait troublant, un deuxième squelette vient d’être mis à jour en Irak, dans la partie Kurde au nord du pays.
http://chezluc.blogspot.com/2006/04/dcouverte-de-deux-squelettes-de-gant.html
…et les découvertes ,tout comme la recherche (même sousterraine,sans  financement) continuent!Je suis vos yeux et vos oreilles…ma mémoire est aussi la vôtre!
Michel Duchaine
Chercheur et Diseur de Vérité