Les États-Unis se préparaient dimanche à affronter une longue période de fermeture des administrations fédérales après l’échec des négociations au Congrès sur le financement d’un mur à la frontière mexicaine, une paralysie partielle qui pourrait durer jusqu’en janvier selon un responsable de la Maison-Blanche.
Vue du Capitole alors que l’appareil administratif était partiellement paralysé dimanche, à Washington
« Il est très possible » que la paralysie (shutdown) « aille jusqu’au nouveau Congrès », qui doit se réunir pour la première fois le 3 janvier, a fait savoir dimanche le directeur du budget à la Maison-Blanche, Mick Mulvaney, dimanche, sur les ondes de la chaîne Fox News.
Les négociations sur le budget fédéral, suspendues samedi, doivent reprendre le 27 décembre.
Les démocrates reprendront début janvier le contrôle de la Chambre des représentants après leur victoire électorale en novembre alors que les républicains resteront majoritaires au Sénat, ce qui augure des négociations difficiles entre les deux Chambres.
Avec actuellement 51 sièges sur 100 au Sénat et deux supplémentaires à partir de janvier, les républicains ne disposent pas des 60 voix nécessaires pour l’adoption d’une loi budgétaire.
Le président américain a réaffirmé dimanche sa volonté d’obtenir les cinq milliards de dollars américains pour la construction d’un mur destiné à freiner l’immigration clandestine, l’une de ses principales promesses de campagne.
Négocier de bonne foi
« La seule manière de stopper les gangs, la drogue, le trafic d’êtres humains et beaucoup d’autres choses qui arrivent dans notre pays, c’est un mur ou une barrière », a-t-il tweeté. « Les drones et tout le reste sont merveilleux et très amusants, mais ce qui marche, c’est un bon vieux mur. » L’opposition démocrate, qui refuse de voter ce volet du projet, propose d’octroyer 1,3 milliard de dollars pour améliorer le système de surveillance frontalier.
Faute de budget, de nombreux ministères et agences gouvernementales ont fermé leurs portes samedi matin, laissant environ 800 000 fonctionnaires en congé sans solde ou, pour les services jugés essentiels, forcés de travailler sans être payés aux échéances habituelles alors que la période des Fêtes bat son plein.
M. Mulvaney, nommé secrétaire général par intérim de la Maison-Blanche à partir de janvier, a néanmoins précisé que tous les employés fédéraux seraient payés jusqu’au 28 décembre. Ce n’est qu’à partir de cette date que leurs salaires seront susceptibles d’être touchés par la paralysie partielle, a-t-il souligné.
Certains élus, jusque dans le camp républicain, dénoncent le jusqu’au-boutisme du président. « C’est un combat monté en épingle pour que le président fasse croire qu’il se bat », a estimé sur CNN le sénateur du Tennessee Bob Corker, qui va quitter la Chambre haute. « Même s’il gagne, nos frontières ne seront pas sûres », a-t-il souligné.
Le président, qui avait prévu de passer les Fêtes de fin d’année en Floride, est resté à Washington pendant que les négociations se poursuivent en coulisses.
« Quand ces négociations produiront une solution acceptable par toutes les parties — ce qui veut dire 60 votes au Sénat, une majorité à la Chambre et une signature présidentielle —, alors nous la présenterons en séance », a dit samedi le chef de la majorité sénatoriale, Mitch McConnell.
Le patron des sénateurs démocrates, Chuck Schumer, est resté ferme. « Si vous voulez ouvrir le gouvernement, abandonnez le mur, purement et simplement », a-t-il dit à l’adresse de Donald Trump.
La paralysie budgétaire touche des ministères importants comme la Sécurité intérieure — qui gère la sécurité aux frontières —, la police fédérale (FBI), les Transports, le Trésor ou l’Intérieur, qui supervise les parcs nationaux très visités pendant les Fêtes, comme le Grand Canyon.
Ce blocage budgétaire est le troisième de l’année, après ceux survenus en janvier (trois jours) et en février (quelques heures), déjà à cause de la question migratoire. Le précédent, en octobre 2013, avait duré 16 jours, loin toutefois du record de 21 jours de l’année 1995-1996.
Le maniganceur en chef pourrait bien être cet homme à la solde des Clinton :George Soros.
Il semble que l’administration Trump soit en mode panique complet. Steven Mnuchin tente de calmer les marchés, mais ses efforts ne font qu’empirer les choses.
Dimanche,le 23 décembre 2018, le secrétaire au Trésor de Trump a appelé les plus grands banquiers américains: « Aujourd’hui, j’ai convoqué des appels individuels avec les PDG des six plus grandes banques du pays », a déclaré Steven Mnuchin sur Twitter.
La raison de ces appels était de calmer les plus grands acteurs du secteur financier américain au milieu d’une déroute persistante à Wall Street. À en juger par les réactions observées sur les réseaux sociaux, le plan s’est retourné de manière spectaculaire.
« Le secrétaire au Trésor a appelé dimanche les plus grands banquiers du pays pour leur confirmer qu’ils avaient de l’argent à prêter. Pas vraiment inspirant confiance », a écrit Ian Bremer, président du groupe de réflexion influent Eurasia Group.
« Juste au cas où les dirigeants de grandes banques ne seraient pas inquiets des perspectives d’une autre crise financière, l’appel de Mnuchin dimanche après-midi pour assurer à tout le monde qu’il n’y a rien à craindre pourrait avoir l’effet opposé. , « a déclaré Peter Schiff, un gestionnaire de fonds de couverture et un critique virulent de l’administration Trump.
Nouriel Roubini avait sa propre théorie sur Twitter: « Le fait que Mnuchin ait publié une telle déclaration via Twitter… est un signe qu’il était terrifié à l’idée que Trump pourrait envisager de licencier [le président de la Réserve fédérale, Jerome] Powell pourrait faire s’effondrer les marchés ».
Certains commentateurs ont établi un parallèle entre les appels de Mnuchin et ceux de l’ancien secrétaire au Trésor, Hank Paulson, juste avant l’effondrement de Lehman Brothers en 2008. D’autres ont critiqué le secrétaire au Trésor pour avoir suscité la panique: «c’est comme si on se levait dans un théâtre bondé et qu’on criait » tout le monde reste calme, les pompiers sont en route », a écrit un commerçant anonyme sur Twitter.
Donald Trump a un problème sérieux sur les mains et aucune solution facile n’est disponible. Il pense (à juste titre!) Que la Réserve fédérale est en train de ruiner l’économie et que sa politique de relèvement des taux d’intérêt explique la chute du marché boursier. Cependant, il ne peut pas simplement renvoyer Jerome Powell et nommer un nouveau président de la Réserve fédérale car il est difficile de savoir si le président américain dispose de ce pouvoir (les experts sont divisés sur la question) et marchés et aggraver les choses.
En revanche, laisser encore davantage augmenter les taux de Powell ruinera la cote de popularité du président et l’économie, car un krach boursier est évidemment mauvais pour les notations et l’économie. En plus de cela, Trump pense être sur le point de gagner la guerre commerciale avec la Chine et les actions de la Fed le privent d’une victoire bien méritée en affaiblissant l’économie américaine pendant la phase décisive du conflit sino-américain. Fondamentalement, son seul espoir est que les grandes banques et les grands fonds de couverture puissent faire pression sur la Réserve fédérale et forcer Powell à cesser de relever ses taux, voire à lui faire adopter une politique plus accommodante. C’est peut-être la véritable raison des appels de Steven Mnuchin. C’est peut-être la véritable raison pour laquelle Mnuchin a décidé de convoquer un groupe de fonctionnaires connu sous le nom de « équipe de protection en plongée ».”, Qui comprend des représentants de la Réserve fédérale ainsi que de la Securities and Exchange Commission.
Reste à savoir si la Réserve fédérale tiendra tête à Trump et à ses alliés de Wall Street ou à une grotte sous pression. Peut-être que Powell sera disposé à cesser de relever les taux uniquement après une baisse de 20% ou 30% du S & P 500 ou de la moyenne industrielle Dow Jones.
Il est impossible d’éviter une crise économique massive. Cela ne peut être que retardé et c’est ce que Trump se bat. Il sait que l’économie américaine est (selon ses propres mots) une « fausse économie », mais il ne veut évidemment pas assumer la responsabilité d’un krach boursier. La situation difficile de Trump correspond à la description d’une crise systémique rendue inévitable par les politiques monétaires fous des administrations et des présidents précédents qui ont systématiquement choisi de renverser la tendance et ont utilisé une politique monétaire exceptionnellement laxiste pour créer l’illusion d’un boom économique permanent .
En 1949, le légendaire économiste Ludwig von Mises écrivait: «Il n’y a aucun moyen d’éviter l’effondrement final d’un boom provoqué par l’expansion du crédit. L’alternative est simplement de savoir si la crise doit venir plus tôt à la suite de l’abandon volontaire de nouvelles mesures d’expansion du crédit, ou plus tard comme une catastrophe finale et totale du système monétaire impliqué. ”
Si Jerome Powell parvient à ses fins, la crise viendra plus tôt et sera causée par «l’abandon de l’expansion du crédit» et par une contraction radicale du bilan de la Réserve fédérale. Si Trump parvient à ses fins, la crise viendra plus tard, mais ce sera probablement une crise de plus grande ampleur et cela impliquera une «catastrophe du système monétaire impliqué». Il n’y a pas de bonne solution, mais le président des États-Unis peut toujours espérer blâmer quelqu’un d’autre, probablement la Réserve fédérale, qui semble très enclin à provoquer une crise à l’heure actuelle.
Il est peu probable que le public achète ses explications, mais en fin de compte, si les alliés de Trump à Wall Street ne sont pas en mesure de faire changer d’avis Jerome Powell, Trump n’aura plus d’autre choix. Cependant, étant donné que les banques contactées par Steven Mnuchin sont littéralement propriétaires de la Réserve fédérale, il est possible que la crise soit évitée, au moins pour quelques mois ou, si Trump a de la chance, pour quelques années. Cependant, à long terme, les décisions de la Fed ne changent rien car la « fausse économie » doit imploser tôt ou tard.
The american federal government posted a $666 billion deficit in the just-completed fiscal year 2017, the Treasury Department announced Friday, marking another year of deteriorating finances as the government slinks back toward the trillion-dollar mark.
President Donald Trump walks with former President Barack Obama on Capitol Hill in Washington, Friday, Jan. 20, 2017, prior to Obama’s departure from the 2017 Presidential Inauguration
It’s a black eye for both President Trump and former President Barack Obama, who split responsibility for the fiscal year, which began Oct. 1, 2016, and ran through Sept. 30.
The deficit is the worst since 2013.
Federal spending grew twice as fast as revenue, accounting for the massive jump in red ink, which rose $80 billion over last year’s $586 billion total.
The figures come just as Republicans are hoping to pass a budget that could lead to even deeper deficits in the near future, and could complicate the GOP’s path to a major tax overhaul.
But Trump administration officials sought to use the numbers to bolster their case for tax cuts, blaming “historically subpar economic growth” for the fiscal struggles.
White House budget director Mick Mulvaney said Sunday that the administration has concluded Congress isn’t interested in trimming the budget, so there’s only one option.
“We had offered $54 billion worth of discretionary cuts in our budget back in March. Only about $4 billion or $5 billion had survived so far on the Hill. We’re not going to be able to cut our way to balance,” Mr. Mulvaney told “Face the Nation” on CBS.
“So the next part of the plan, the next part of that — sort of the calculus, right [that] deficits are revenues less expenditures — is to focus on the revenues. How do we get government revenues up?” he said.
The biggest drivers of the spending increases were Social Security, Medicare and Medicaid — the large entitlement programs that budget watchdogs say will eventually break the federal budget.
Social Security and Medicare increases were a reflection of the aging population, while Medicaid’s increase was due to Obamacare expansion, the CBO said in its analysis of the numbers.
But President Trump has said he won’t consider changes to those programs — a vow Mr. Mulvaney said the president has reiterated to him in recent days — so there’s little chance of a solution there.
Spending on Obamacare’s subsidies for health plans purchased on the exchanges soared by 27 percent as taxpayers had to cover ever-rising premiums within the struggling marketplaces.
The Defense Department, by contrast, grew at just 1 percent.
Other big changes were spikes in loan guarantee costs at the Education and Housing and Urban Development departments.
Interest on the debt also soared by 10 percent.
Veterans Affairs spending grew by $9 billion as the department tried to keep up with growing demand and the fallout from the waitlist scandal that led to a new program allowing veterans to seek care at private clinics and have the government reimburse those costs.
Allocution de Donald Trump: »Je vais abolir la Banque de Réserve Fédérale! »
Un tsunami économique et politique se prépare autour de la Trump Tower et de la Maison blanche actuellement:ce qui explique l’empressement de Barack Obama et de l’intelligentsia illuminati autour d’Hillary Clinton et de Bill Clinton qui tentent un dernier bras de fer ,une dernière tentative pour déséquilibrer l’équipe que le président -désigné par le vote du peuple,a commencé à rassembler autour de lui.
Dans une conférence de presse d’un courage sans précédent depuis John Fitzgerald Kennedy,le président-désigné ,Donald Trump ,a promis d’abolir la Réserve fédérale et de rétablir l’étalon-or quand il entre dans la Maison Blanche,le 20 Janvier.
Un des choix de Trump pour le Secrétaire du Département du Trésor, John Allison, a laissé entendre qu’il mettra en œuvre la norme d’or lorsque le chef du gouvernement fédéral de réserve actuelle, Janet Yellen, prendra sa retraite en 2018.
Sur le sentier de la campagne électorale , Trump a souvent remis en question l’avenir de la Réserve fédérale,en parlant d’indépendance politique . Conformément à ces commentaires, Allison veut abolir la Réserve fédérale totalement et revenir à l’étalon-or.
En fait, Allison pousse cette rhétorique un peu plus loin. Tout en agissant en tant que chef de l’Institut Cato, Allison a publié plusieurs thèses indiquant que la Réserve fédérale était obsolète et devait être abolie, car elle restreint le pouvoir du peuple et permet aux copains milliardaires de courir les banques à l’échelle mondiale.
«Je voudrais me débarrasser de la Réserve fédérale parce que la volatilité de l’économie est principalement causée par la Fed, » a écrit Allison , en 2014 pour le Journal Cato .
La Federal Reserve Bank: l’instrument parfait de mise en esclavage!
Comme alternative, Allison fait valoir que si nous laissons le marché se réguler, il serait préférable pour la Réserve fédérale,de ne pas nuire à la stabilité du système financier.
« Lorsque la Fed change radicalement l’offre de monnaie, ce qui fausse les taux d’intérêt, et plus de régulation du secteur financier, elle fait le calcul économique rationnel difficile, » a écrit Allison. » Les marchés forment des bulles, mais la Fed empire la situation. »
Les États-Unis n’ont jamais eu, un problème persistant en cours avec l’inflation jusqu’à ce que la Réserve fédérale ait été créée en 1913.
La Réserve fédérale pénalise systématiquement ceux qui tentent de sauver leur argent. L’inflation est un impôt, et la valeur de chacun de nos dollars descend un peu plus chaque jour.
Le système de la Réserve fédérale a également été conçu pour piéger les gens. L’intention des banquiers était de piéger le gouvernement américain dans une spirale sans fin de la dette à partir de laquelle il ne pourrait jamais échapper, et la plupart des Américains ne comprennent pas cela. En fait, la plupart des Américains ne comprennent même pas où l’argent vient ni comment il l’apprécient.
Le point important de cette affaire: les réserves fédérales doit être abolie si l’Amérique veut un jour réduire sa dette nationale, créer des emplois, et donner plus de pouvoir au peuple américain.
Une grande majorité de ces propositions sont directement aligné avec le désir de Donald Trump à des rollback règlements – y compris les études et propositions Dodd-Frank – sur les institutions financières, tout aussi bien.
Il fournirait un moyen plus stable pour les marchés ainsi que de permettre la monopolisation des banques afin d’être ventilé au lieu de laisser moins de dix personnes pour contrôler toutes les banques du monde,comme actuellement.
La Réserve fédérale est au cœur de la plupart des problèmes économiques auxquels sont confrontés les États-Unis.Les emprunts sans fin et l’impression continue de l’argent se traduira immanquablement par une inflation massive, et les taux d’intérêt ne peuvent pas rester bas pour toujours. Nous pourrions très bien voir à nouveau l’effondrement du marché si de changements drastiques ne sont pas fait.
La promesse de Trump est plus que notable, elle est presque révolutionnaire. Aucun président n’a osé prendre le pouvoir en se tenant loin des Rothschild et d’autres élites milliardaires qui contrôlent toutes les banques du monde.
Nous pourrions peut-être assister de plus en plus à des mesures pour éliminer l’un des régimes politiques les plus corrompus de l’histoire :celui des banques qui ont mis en esclavage et appauvris des millions d’américains après avoir saisi leurs biens.
De plus en plus,Donald Trump ressemble au président de la Seconde Révolution Américaine!
Le siège central de la Banque des Règlements Internatuionaux ,à Bâle,en Suisse.
« Une organisation internationale immensément puissante dont la plupart des gens n’a jamais entendu parler contrôle secrètement toute la source monétaire mondiale. Elle est appelée la Banque des Règlements Internationaux (ou BRI, BIS en anglais pour Bank for International Settlements) et elle est la banque centrale des banques centrales. Elle est localisée à Bâle en Suisse et possède des succursales à Hong Kong et à Mexico City. Elle est essentiellement une banque centrale du monde dont les membres ne sont pas élus et ne sont responsables devant personne ; elle possède une immunité totale contre toute imposition que ce soit ainsi que contre les lois nationales. Même Wikipedia admet “qu’elle n’est responsable devant aucun gouvernement”. La BRI fur utilisée pour blanchir l’argent des nazis durant la seconde guerre mondiale, mais de nos jours, le but de la BRI est de guider et de diriger le système financier global et sa planification centralisée.
Aujourd’hui, la BRI se compose de 58 banques centrales et elle a bien plus de pouvoir sur la performance de l’économie américaine (et au delà de toute autre économie) dans l’année à venir que n’importe quel politicien. Tous les deux mois, les banquiers centraux du monde se réunissent à Bâle pour une nouvelle “réunion sur l’économie mondiale”. Durant ces réunions, des décisions sont prises qui affecteront la vie de chaque personne sur la planète et pourtant personne d’entre nous n’a quoi que ce soit à dire ou y redire. La Banque des Règlements Internationaux est une banque qui fut créée par l’élite mondialiste et elle opère pour son bénéfice ; elle est supposée être une des pierres angulaires du système économique unique mondial émergeant. Il est primordial que nous éduquions les gens sur cette organisation, sur ce qu’elle est, ses plans de domination de l’économie mondiale.
Malheureusement, seulement un tout petit nombre de personnes est au courant de ce que la BRI est en réalité et encore moins de gens sont au courant des réunions sur l’économie mondiale qui se tiennent à Bâle tous les deux mois.
Chaque deux mois, plus d’une douzaine de banquiers se rencontrent ici un dimanche soir pour discuter et dîner ensemble au 18ème étage de ce bâtiment cylindrique contemplant le Rhin.
Les discussions qui s’y tiennent sur l’argent et l’économie sont plus qu’académiques. A la table se tiennent les patrons des plus grosses banques centrales mondiales, représentant des pays qui produisent annuellement plus de 51 000 milliards de dollars en PIB, les trois-quarts de l’économie mondiale.
L’article poursuit sur le descriptif de la pièce où se tiennent ces réunions sur l’économie mondiale. Cela semble sorti tout droit d’un roman…
Le fameux Merv King,grand patron de la Banque d’Angleterre.
Le patron de la Banque d’Angleterre Mr King mène les discussions du dîner dans une pièce décorée par la firme architecturale suisse Herzog & de Meuron, la même entreprise qui a créé le “nid d’oiseau”, stade olympique des JO de Pékin. (NdT : Nous avons dit à maintes reprises ici même que la City de Londres, où siège la Banque d’Angleterre, est le véritable centre de l’économie mondiale et que Wall Street n’existerait pas sans la City, cette disposition des réunions et sa hiérarchie ne fait que confirmer cet état de fait…). Les hommes ont des places désignées autour d’une table ronde qui trône au milieu d’une pièce parfumée d’orchidées blanches, encadrée de murs blancs, d’un plafond noir et de vues panoramiques.
Les banquiers centraux qui se rassemblent lors de ces réunions ne sont pas là seulement pour socialiser. Aucun membre du personnel des banques n’est admis à ces réunions et celles-ci s’effectuent dans une atmosphère de secret absolu…
Les affaires sérieuses suivent les entrées, le vin et les petites discussions, d’après des personnes familières avec ces dîners. Mr King traditionnellement demande à ses collègues de parler des conditions économiques de leur pays respectif. D’autres posent des questions. Les réunions n’ont aucun transcrit, compte-rendus officiels ou officieux, aucun personnel des banques n’y est admis. Ainsi donc , la destinée de l’économie mondiale est-elle exclusivement déterminée par un groupe de banquiers centraux, personnes non élues, non-représentatives, au cours de réunions secrètes dont personne n’entend jamais parler ?
Cela ne semble pas très “démocratique”.
Néanmoins, ceci est la direction vers laquelle la “gouvernance mondiale” nous emmène. L’élite (NdT : auto-proclamée il va sans dire…) croit que les “grandes décisions” sont bien trop importantes pour être laissée “aux gens” et donc la vaste majorité des “institutions internationales” qui ont été établies par cette “élite” opèrent de manière totalement indépendante du processus démocratique.
Il est bien triste de constater que tout ceci a été planifié de la sorte depuis bien longtemps.
Dans un récent article intitulé: “Who Runs The World? Solid Proof That A Core Group Of Wealthy Elitists Is Pulling The Strings“, j’ai inclus une citation du professeur d’histoire de l’université de Georgie, Carroll Quigley, citation d’un livre qu’il écrivit en 1966 et dans lequel il parlait des grands plans que l’”élite” avait pour la Banque des Règlements Internationaux :
“Les puissances du capitalisme financier avaient un but plus ambitieux, rien de moins que de créer un système de contrôle financier mondial, qui serait mis dans des mains privées et qui serait capable de dominer le sytème politique de chaque nation ainsi que l’économie mondiale dans son entièreté. Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales mondiales agissant de concert par le biais de réunions secrètes fréquentes au cours lesquelles des accords seraient établis pour y parvenir. Le summum de ce système serait la Banque des Règlements Internationaux (BRI) de Bâle en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales mondiales, étant elles-mêmes des entreprises privées.”
A cette époque, la BRI commençait seulement son rôle majeur dans les affaires internationales. Mais au fil des ans, la BRI devint de plus en plus importante. Ce qui suit est un extrait d’un article de Ellen Brown (by Ellen Brown)
“Pendant des années la BRI tint profil bas, opérant de derrière le rideau depuis un hôtel abandonné. Ce fut là que des décisions importantes telles que dévaluer ou réévaluer des monnaies furent prises, ou fixer le prix de l’or, réguler les paradis fiscaux, augmenter ou baisser les taux directeurs. En 1977, la BRI abandonna son anonymité en échange d’un QG plus efficace. Le nouveau bâtiment fut décrit comme “une tour circulaire de 18 étages s’élevant au dessus de la cité médiévale comme un réacteur nucléaire complètement déplacé.” Le bâtiment fut vite reconnu comme “La tour de Bâle”. Aujourd’hui la BRI a une immunité gouvernementale, ne paie aucun impôt et possède sa propre force de police privée. Elle est, comme l’avait envisionné Mayer Rothschild, au dessus des lois.
Oui, ceci ressemble beaucoup à la Tour de Babel comme vous pouvez le constater sur la photo de cette article (in this article). Une fois de plus, l’”élite”mondialiste essaie d’unifier l’humanité sous un système unique et ceci n’est certainement pas une bonne chose.
Beaucoup de ces élitistes sont totalement convaincus que la “gouvernance mondiale” correspond à ce dont l’humanité a désespérément besoin. Ils nous disent même publiquement ce qu’ils comptent faire, mais les gens n’écoutent pas.
Ceci par exemple, est un extrait du discours que l’ancien président de la Banque Centrale Européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, fît au Council on Foreign Relations (CFR) à New York…
“Dans le domaine de la coopération de la banque centrale, la réunion sur l’économie mondiale constitue le forum principal, qui se réunit au QG de la BRI à Bâle. Ces dernières années, ce forum a réuni 31 gouverneurs de banques centrales comme membres permanents plus un certain nombre de gouverneurs se rendant aux réunions sur une base de rotation. La réunion sur l’économie mondiale, à laquelle tous les gouverneurs de Banque Centrale des économies systémiques émergentes participent, est devenue le groupe principal de gouvernance mondiale parmi les banques centrales.”
Le discours s’appelait “La gouvernance mondiale aujourd’hui”, et vous pouvez trouver le transcript complet ici : right here. La plupart des gens n’ont jamais entendu parler d’une chose telle qu’ “une réunion sur l’économie mondiale” pour la simple et bonne raison que les médias n’en parlent que très, très rarement. Ils sont trop occupés à mettre sous les feux de la rampe les derniers scandales des célébrités ou les dernières escarmouches entre les démocrates et les républicains.
Si vous allez sur le site internet de la BRI, vous y verrez que les objectifs de l’organisation paraissent pour le moins innocents et même un peu ennuyeux…
HORS TEXTE
Remontons à l’époque de la Première Guerre mondiale, Allan Dulles est envoyé à Berne (Suisse) par son oncle, Robert Lansing, à l’époque secrétaire d’État du président Woodrow Wilson, où il est chargé du renseignement à la Légation américaine. Par le biais du même oncle, les frères Dulles prennent part aux négociations du traité de paix de Versailles. En 1920, Allen Dulles sera nommé premier secrétaire de l’ambassade américaine à Berlin.
Son frère, l’avocat John Foster Dulles, représentera les intérêts de la Banque d’Angleterre et de la société J.P.Morgan dans l’Europe d’après guerre. Au printemps de 1920, au lendemain des négociations de Versailles, John Foster rencontre Hjalmar Schacht (1877-1970), à l’époque fonctionnaire subalterne auprès de l’autorité bancaire allemande créée par les Alliés et qui deviendra plus tard l’architecte de l’économie de guerre nazie basée sur les travaux forcés.
Les Fonds américains et britanniques qui étaient destinés à soutenir l’accession d’Hitler au pouvoir et à financer, par la suite, sa machine de guerre, transitaient par la BRI .
Prescott Bush,le grand-père de Georges W. Bush,avec Adolph Hitler et Fritz Thyssen ,un banquier américain d’origine allemande…en visite au camp de travail d’Auswischtz-Birkenau en 1933. Pour planifier le travail?
Vous avez bien entendu: la BRI, institution financière gérée et dirigée par des britanniques fut le principale acteur financier de la machine de guerre nazie . La BRI est l’organisme de coordination entre les grandes banques centrales du monde. Malgré l’importance de la BRI pour Hitler, la Grande-Bretagne ne s’opposa pas aux activités de la banque, même après la décision britannique d’entrer en guerre contre l’Allemagne. Sir Otto Niemeyer et Montagu Norman, respectivement directeur et PDG britanniques, conservèrent leur poste tout au long de la guerre. L’homme responsable pour la création de la BRI était Hjalmar Horace Greeley Schacht, le Ministre Nazi de l’economie et le president de la Reichsbank, qui avait les connexions puissantes avec Wall Street. Le banquier, Emil Puhl, l’a secondé. A ce jour, la BRI n’a jamais interrompu son activité.
Hjalmar Horace Greeley Schacht, le Ministre Nazi de l’economie à gauche du Fuhrer Adolph Hitler.Il est le créateur de la BRI.Membre de nombreuses sociétés secrètes dont les Illuminati…entre autres.C’est le personnage-clé de cet article.
Lord Rotschild et Prescott Bush: la filière Illuminati se précise.
LA PSEUDO-MISSION DE LA BRI
Première réunion discrète de la Banque de Règlements Internationaux…en avril 1930.
La mission de la Banque pour les Règlements Internationaux (BRI) est de servir les banques centrales dans leur recherche de stabilité monétaire et financière, de développer la coopération internationale dans ces domaines et d’agir comme une banque pour les banques centrales
De manière générale, la BRI remplit sa mission en :
Promouvant la discussion et en facilitant la collaboration entre les banques centrales
Soutenant le dialogue avec les autres autorités qui sont responsables de la stabilité financière
Conduisant des recherches sur les problèmes politiques confrontant les banques centrales et les autorités de supervision financière
Agissant comme contrepartie principale pour les banques centrales dans leurs transactions financières
Servant d’agent ou de trustee en connexion avec les opérations financières internationales.
Le bureau principal est à Bâle en Suisse et il existe deux bureaux de représentation internationale : un dans la région administrative spéciale de Hong Kong pour la République Populaire de Chine et un autre à Mexico City.
Mais quand vous commencez à regarder aux détails de l’opération, les choses deviennent bien plus intéressantes.
Comment donc la BRI parvient-elle à réaliser la “stabilité monétaire et financière” ? Un article publié sur Invertor Insight (on investorsinsight.com) décrit comment cela est accompli…
C’est fait par le contrôle des devises. Elle détient actuellement 7% de toutes les devises du monde, dont l’unité de mesure a été changée en Mars 2003 du Franc suisse or aux Special Drawing Rights (SDR), une monnaie artificielle dont la valeur est basée sur un panier de monnaies (44% de US$, 34% d’Euros, 11% de Yen japonais et 11% de Livres britanniques)
La banque contrôle également une énorme quantité d’or, qu’elle à la fois stockée et prêtée, lui donnant un très bon levier sur le prix des métaux et la puissance que cela apporte sur le marché, car l’or demeure toujours la seule monnaie universelle. Les réserves d’or de la BRI ont été listées dans le dernier rapport en date (2005) à 712 tonnes. Quelle est la quantité d’or en stock et la quantité prêtée ? Information non divulguée.
En contrôlant les changes ainsi que l’or, la BRI peut s’engager sur du long terme à déterminer les conditions économiques de tout pays. Rappelez-vous que la prochaine fois que Ben Bernanke (NdT : ex-patron de la Réserve Fédérale américaine) ou le président de la BCE annoncent une hausse des taux d’intérêt, vous pouvez parier que cela ne s’est pas fait sans l’accord du bureau de la BRI.
Ces dernières années, il est devenu de plus en plus évident qui possède véritablement le pouvoir.
Quand Barack Obama parle, les marchés bougent en général très peu.
Quand le patron de la Federal Reserve parle, les marchés répondent souvent avec de vastes mouvements.
En tout, 13 autres banques centrales dans le monde ont suivi la Fed et ramené leur taux d’intérêt très proche de zéro dans un effort de conserver les liquidités et de doper leurs économie malades. Ces 14 économies représentent un incroyable 65 000 milliards de dollars en obligations de capitalisation de marché et d’équités combinés d’après Bank of America Merrill Lynch.
Plus loin dans le même article, l’auteur parle des sommes très importantes d’argent que les banques centrales ont créé de l’air du temps…
“Quand vous additionez toutes les banques centrales du monde, cela représente 9000 milliards de dollars”, a dit Marc Doss, investisseur en chef pour la banque privée de la Wells Fargo. “Cela revient à créer la seconde plus grande économie mondiale de rien, de l’air du temps”.
De fait, la banque centrale est un fait économique par lui-même, un empire représentant un marché de multi-trillions dollars qui massage et manipule les marchés, qui répond au doigt et à l’œil à la moindre nouvelle émanant des comités décisionnaires de ces entités.
Localisation de la BRI dans la pyramide de contrôle illuminati du Nouvel Ordre Mondial.
Qui contrôle l’argent alors ?
Les banques centrales du monde le font.
Et qui donc contrôle ces banques centrales ?
La Banque pour les Règlements Internationaux le fait.
Si nous n’aimons pas ce que fait la BRI, que pouvons-nous y faire ?
Rien. La Banque des Règlements Internationaux est au-dessus des lois…
Peut-être nous sentirions nous mieux à propos de la BRI si elle était un peu plus transparente, mais la vaste majorité de ce qu’elle fait, incluant la réunion bimestrielle de ses membres, est enveloppée du mystère du secret. Peut-être plus inquiétant encore est que la BRI échappe à tout contrôle. De par les droits qui lui sont accordés par la grâce du Conseil Fédéral Suisse, toutes les archives de la banque, tous ses documents et “toute donnée médiatique” sont “inviolables en tout lieu et en tout temps”. De plus, les employés et officiers de la BRI “jouissent de l’immunité de toute juridiction criminelle et administrative, dans la mesure où cette immunité n’est pas levée de manière formelle… et ce même après qu’une personne ait cessé d’être officiellement employée de la banque”. Finalement, aucune plainte contre la BRI ou ses dépositaires ne peut être appliquée “sans l’accord préalable de la banque.”
En d’autres termes, elle peut faire absolument ce qu’elle veut, sans conséquence aucune. Que dites-vous de ce parapluie administratif complètement étanche ?
Si la BRI veut “intervenir” dans les marchés financiers, elle le fait tout simplement.
Si la BRI désire sauver de grosses banques ou des nations entières, elle le fait tout simplement.
La BRI me rappelle cette vieille blague :
Q: Où s’assoit un gorille de 400 kg ?
R: Absolument où il le veut.
Alors, quel est le futur pour la BRI ??
Beaucoup ont spéculé que le but n’est éventuelelment que d’obtenir une monnaie mondiale unique, qui ne sera administrée que par une banque centrale unique. La BRI utilise déjà les SDR, considérés comme un précurseur de la monnaie unique à venir. La BRI a joué un grand rôle dans l’adoption de l’euro et une intégration plus avant des monnaies est certainement dans l’agenda des années à venir…
Au bout du compte, la façon dont vous ressentirez la BRI ne sera que le reflet de ce que vous ressentirez pour une monnaie unique. La banque fut un participant important de la création de l’Euro comme la monnaie commune de l’Europe. Il y a des rumeurs que le prochain projet est de persuader les Etats-Unis, le Canada et le Mexique de passer à une monnaie régionale similaire, qui sera peut-être appelée “l’Amero” et il est logique d’assumer que le but ultime de la banque est une monnaie unique mondiale. Ceci simplifierait les transactions et solidifierait vraiment le contrôle des banques sur l’économie planétaire.
Mais si les Etats-Unis abandonnaient un jour le dollar, ceci constituerait une gifle majeure à notre souveraineté nationale.
Quand quelqu’un d’autre contrôle votre monnaie, il importe peu qui fait les lois. (NdT: Ceci est pourtant déjà en cours aux Etats-Unis puisque la Banque de la Réserve Fédérale est un cartel de banques privées transnational, la monnaie bidon qu’est le dollar US est déà contrôlé par les banques transnationales depuis 1913…)
Malheureusement, l’élite mondialiste semble être absolument obsédée par l’idée d’une monnaie unique mondiale, un système économique unique mondial et un gouvernement mondial le régissant,le Véritable Nouvel Ordre Mondial.
Rien de tout ceci ne va se produire cette année, mais les choses bougent en ce sens. Avec chaque nouvelle crise qui émerge, les solutions qui nous seront imposées impliqueront toujours plus de centralisation et toujours plus de mondialisation.
Tenez-vous bien,ça va barder!Tout d’abord,l’affaire de la FED:
En attendant la décision importante de la Réserve fédérale en décembre au sujet des taux d’intérêt, la banque centrale américaine a tenu deux réunions d’urgence au cours des dernières semaines, dont le contenu a peu filtré auprès du grand public. Cependant, une décision intéressante et, peut-être, controversée, a été prise lors de ces discussions : la Fed a édicté une nouvelle loi, le 30 novembre 2015, qui élimine un de ses mandats originaux de 1913, qui est d’être le prêteur de dernier ressort des banques.
Dans une décision basée sur l’expectative d’une nouvelle crise bancaire ou financière, la Réserve fédérale a choisi, lundi, de mettre fin à la doctrine du « too big to fail » et de laisser les banques faire faillite sans qu’elles aient la possibilité d’emprunter de l’argent à la banque centrale en cas d’urgence.
Lorsque la loi sur la Réserve fédérale (Federal Reserve Act) fut adoptée, il y a un peu plus de cent ans, la banque centrale a été crée avec deux mandats principaux, afin de protéger le public et le système bancaire de toute panique pouvant survenir à la suite d’une panique due à un problème de liquidité ou de solvabilité se propageant dans le système financier. Être le prêteur de dernier ressort était le plus important de ces mandats.
« La Réserve fédérale américaine a adopté une loi destinée à limiter ses propres pouvoirs en matière de prêts d’urgence à des institutions financières en difficulté. Selon la nouvelle réglementation, les institutions financières ne pourront plus recevoir des fonds d’urgence de la Fed, et cela en toutes circonstances, même si elles sont menacées de faillite. Cette décision constitue la plus récente mesure d’une série de réformes visant à prévenir la prochaine crise financière. ‘Il existe encore quelques failles que la Fed pourrait exploiter pour sauver des institutions financières gigantesques,’ a déclaré la sénatrice Elizabeth Warren à CNN Money. Durant la crise financière de 2008, la Fed avait refusé de sauver la banque d’investissement Lehman Brothers. Lehman est devenue la plus grosse faillite de l’histoire des États-Unis. » (Russia Today)
De tous les programmes et actions implémentés par la Réserve fédérale depuis la crise du crédit de 2008, celui-ci est celui qui apporte le plus de confusion, puisqu’il va à l’encontre de la principale raison pour laquelle la banque centrale fut instituée en 1913. Changer soudainement de direction sept ans après que la dernière crise financière ait ébranlé le système bancaire mondial, en choisissant de fermer le robinet de liquidité, en dit beaucoup sur la solvabilité de la Fed elle-même et sur ce que pensent les gouverneurs de la Fed à propos de ce qui se profile et qui justifierait le fait de laisser les banques faire faillite.
Avec le Dodd-Frank Banking Reform Act, qui permet maintenant aux banques de ré-hypothéquer l’argent et les comptes de leurs propres clients dans le cas d’une crise de liquidité, cela démontre quela banque centrale américaine n’a désormais plus à suivre son mandat original – être le prêteur de dernier ressort – puisque c’est maintenant le public qui fournira les fonds pour sauver les banques lors des futures crises.
Avec cette nouvelle loi, qui n’est pas promulguée par le Congrès, mais par la Fed elle-même, on doit se demander si nous avons encore besoin d’une banque centrale, étant donné que son rôle premier de protéger le système bancaire de la banqueroute ou de l’insolvabilité est abandonné.
L’activité économique ralentit partout dans le monde. Un grand nombre de signes indiquent que nous nous trouvons exactement là où nous étions juste avant le grand krach de 2008.
Les économies du Japon, du Brésil, du Canada et de la Russie sont toutes en récession.(voir ce lien: Économie)
Aujourd’hui, je vais me concentrer principalement sur les États-Unis.
On voit énormément de choses se produire en ce moment. Ce que nous n’avons pas vu depuis 2008 et 2009. A bien des égards, c’est un peu comme si nous revivions étrangement et de manière inquiétante ce qui s’était passé la dernière fois. Pourtant la plupart des “experts” ne semblent toujours pas conscients de ce qui se passe. Si vous deviez faire une liste de toutes les choses dont vous vous attendiez voir juste avant un grand krach, la quasi-totalité d’entre elles se déroulent actuellement sous nos yeux.
Voici 11 indicateurs critiques qui montrent que la crise économique mondiale s’aggrave…
# 1Mardi 1er décembre 2015, le prix du pétrole avait clôturé en dessous de 40 dollars le baril. Retour en 2008, le prix du pétrole avait plongé en dessous des 40 dollars le baril juste avant l’effondrement des marchés financiers, et maintenant, cette situation se reproduit à nouveau.
# 2 Le prix du cuivre à littéralement chuté et se retrouve à 2,04 dollars. La dernière fois que le cours du cuivre avait été aussi bas, c’était juste avant le krach de 2008 des marchés financiers.
# 3 Les prévisions de “Business Roundtable”(lobby conservateur des dirigeants des grandes entreprises américaines) concernant les investissements des entreprises en 2016 a chuté à son plus bas niveau depuis la dernière récession.
# 4 Les défauts sur les créances de sociétés ont atteint leur niveau le plus élevé depuis la dernière récession. Ceci est un énorme problème parce que l’endettement des entreprises aux États-Unis a presque doublé depuis seulement la dernière crise financière.
# 5 L’indice américain de flash économique de Bloomberg est plus négatif actuellement qu’il ne l’avait été tout au long et au cours de la dernière récession.
# 6 Les données produites, des cartes de crédit qui viennent d’être publiées montrent que les ventes concernant les fêtes de noël sont en déclin et négatives pour la première fois depuis la dernière récession.
# 10 Par le passé, les marchés avaient eu tendance à s’effondrer environ 12-18 mois après un sommet des marges bénéficiaires des entreprises. A ce stade, nous sommes 15 mois après le sommet le plus récent.
# 11 Si on regarde ce qui s’est passé en 2008, vous verrez que les obligations pourries(junk bonds) s’étaient effondrées. C’est important car à l’époque, les obligations pourries(à haut rendement) avaient commencé à chuter avant les marchés financiers, et actuellement, ils ont chuté à leur niveau le plus bas depuis la dernière crise financière.
Avec un seul ou deux de ces indicateurs dans le rouge, ce serait déjà mauvais.
Or le fait que tous ces indicateurs se retrouvent dans le rouge en même temps semble établir la même chose que ce que nous vous expliquons depuis des mois à savoir que de gros problèmes se profilent.
Je ne suis pas le seul à le dire. Encore aujourd’hui, un article de Reuters a évoqué le fait que les analystes de Citigroup projettent qu’il y a 65 % de chance que l’économie américaine plongera en récession en 2016…
Les perspectives pour l’économie mondiale l’année prochaine se sont assombries, avec une récession américaine. La Chine devenant le premier grand marché émergent qui baisse ses taux d’intérêt plus près de zéro, d’après les deux scénarios possibles, selon Citi.
Comme l’économie américaine entre dans sa septième année de croissance après la crise de 2008-09, la probabilité d’une récession atteindra 65 % selon ce qu’ont publié dans leur perspectives 2016 publié mardi soir, les stratèges de Citi. Un aplatissement rapide de la courbe de rendement des obligations vers une inversion serait un signe d’alerte clé.
Personnellement, je suis convaincu que nous sommes déjà en récession.Il y a un décalage concernant les chiffres officiels. La plupart du temps, nous ne savons pas si nous sommes officiellement dedans ou pas jusqu’à ce qu’ils soient déjà bien avancés voire bien détériores. Par exemple, nous savons maintenant que la récession a commencé au début de l’année 2008, mais à l’été 2008, Ben Bernanke, et nos politiciens de haut vol insistaient sur le fait qu’il n’y a aurait pas de récession. Ils niaient ce qu’il se passait réellement juste sous leurs yeux, alors que la même chose se passe actuellement.
Bien sûr, si le gouvernement utilisait les vrais chiffres, nous parlerions tous de la récession qui ne semble jamais vouloir se terminer. Selon John Williams, de shadowstats.com, les vrais chiffres montreraient que l’économie américaine a toujours été en récession depuis 2005.
Mais tout comme en 2008, les «experts» de la Réserve fédérale nous assurent tous que tout va très bien. En fait, Janet Yellen se convainc que les choses puissent bien aller, qu’elle semble tout à fait convaincue que la Fed va relever ses taux d’intérêt en Décembre…
Janet Yellen, la Présidente de la Réserve fédérale a signalé mercredi que la Fed est quasiment certaine de relever les taux d’intérêt ce mois-ci pour la première fois en près d’une décennie, en expliquant que l’amélioration de l’économie et les créations d’emplois avaient atteint les objectifs de la banque centrale.
Dans un discours prononcé devant l’Economic Club de Washington, la présidente de la Fed a réaffirmé que l’économie américaine est dans une bonne phase et assuré qu’une prochaine hausse des taux est appropriée. Celle-ci pourrait intervenir à la mi-décembre.
C’est exactement le même genre d’erreur qu’avait fait la Réserve fédérale dans les années 1930. Elle pensait que l’économie américaine était finalement en voie de reprise, et ainsi, les taux d’intérêt avaient été relevés. Cela s’était avéré être une erreur tragique.
Mais cette fois-ci, la moindre erreur que la Fed fera, aura des conséquences mondiales. La hausse du dollar américain est déjà paralysante sur les marchés émergents partout dans le monde, et une hausse des taux d’intérêt va simplement pousser le dollar américain à des niveaux encore pus élevés. Pour en savoir plus à ce sujet, lisez s’il vous plaît l’article précédent intitulé “Le Dollar américain est la cause du déclin de l’économie Mondiale. La FED va lui donner le coup de grâce !“.
Beaucoup de gens attendent “le grand crash”, mais la vérité est que presque tout s’est déjà effondré.
Le pétrole s’est effondré.
Les matières premières se sont effondrés.
L’Or et l’argent se sont effondrés.
Les obligations pourries(à haut rendement) se sont effondrés.
Les actions chinoises se sont effondrés.
Des dizaines d’autres marchés financiers dans le monde entier se sont déjà effondrés.
Le “grand événement” que tout le monde attend, est la chute des marchés américains. Tout comme en 2008, il est inévitable qu’un krach financier aux Etats-Unis va arriver, après toute la série d’accidents que je viens de mentionner précédemment.
Parfois je suis critiqué pour avoir dévoilé des signaux d’alertes. Mais il suffit de penser au nombre de gens qui auraient pu être aidé s’ils avaient su que la crise financière de 2008 allaient arriver à l’avance.
Ce sont exactement les mêmes signaux que nous avions connu à l’époque, qui se jouent une fois de plus sous nos yeux. Plus nous pourrons avertir de gens à l’avance et mieux ce sera.
Au Québec,dans ma belle ville de Repentigny,si vous haussez les taux d’intérêts de 1% seulement,vous menacerez la sécurité financière de plus de 30% des gens qui ont acheté une maison depuis 8 ans.Décidément,si on continue de dormir au gaz,nous allons finir au bucher du capitalisme pur et dur!
Seule…et seulement ,la désobéissance civile pourra y remédier!
Le vice-président de la banque centrale américaine, Stanley Fischer, a averti samedi que la Fed n’attendrait pas que l’inflation revienne vers son objectif de 2% avant de relever les taux.
Dans un discours à la conférence monétaire de Jackson Hole, le numéro 2 de la Réserve fédérale américaine a affirmé que la Fed «ne devrait pas attendre que l’inflation remonte à 2% pour commencer à resserrer» le crédit. Il a aussi indiqué que la Fed prêtait attention «à l’influence des économies étrangères sur celle des États-Unis», alors que des craintes sur l’essoufflement de l’économie chinoise ont secoué les marchés financiers ces dernières semaines.
M. Fischer s’est dit confiant dans le fait que l’inflation remonte vers l’objectif de 2% que la Fed trouve sain pour l’économie même si actuellement en raison de facteurs «passagers», elle «est seulement à peine au-dessus de zéro».
Selon l’indice PCE, la hausse des prix est actuellement de 0,3% sur un an, notamment à cause des bas prix du pétrole, mais aussi «de la faiblesse des prix des matières premières qui reflètent le ralentissement de la demande en Chine et ailleurs». Les prévisions de la Fed misent sur une inflation annuelle dite sous-jacente (hors prix de l’énergie et de l’alimentation) entre 1,6% et 1,9% l’année prochaine alors qu’elle se situait à 1,2% en juillet.
Parmi les facteurs qui jouent à la baisse sur l’inflation, il a aussi cité l’appréciation du billet vert de 17% depuis l’été dernier qui rend les prix à l’importation moins chers. Il est également «possible» selon lui, que le renforcement du dollar «restreigne la croissance du PIB américain en 2016, voire 2017».
Évoquant l’influence sur l’expansion américaine de la conjoncture économique à l’étranger, M. Fischer a explicitement cité la Chine, rompant avec le vocabulaire prudent du Comité monétaire de la Fed qui usuellement se borne à citer «les développements internationaux».
«En ce moment, nous suivons les développements de l’économie en Chine et nous suivons, plus étroitement qu’à l’ordinaire, leurs effets réels et potentiels sur les autres économies», a-t-il signalé.
Le Comité monétaire de la Réserve fédérale se réunit les 16 et 17 septembre prochains et une majorité d’économistes estimaient jusqu’ici que la Fed commencerait alors à relever les taux d’intérêts qui sont maintenus proches de zéro depuis la crise financière de 2008.
Mais les turbulences sur les marchés financiers intervenues ces dernières semaines dans le sillage du ralentissement de l’économie chinoise ont jeté des doutes sur ce calendrier.
NEW YORK – La possibilité que la Réserve fédérale pourrait enfin commencer à réduire son extraordinaire stimulant pour l’économie pourrait faire de cette semaine un explosive pour les marchés financiers. Bien que les chances indiquent toujours pas de changement majeur de la politique lorsque les banquiers centraux américains répondent Décembre 17-18 plupart des récentes données économiques nationales suggèrent le début de la fin de leur programme d’achat d’obligations massif viendra plus tôt que tard. Si elle agit elle peut refléter autant la croissance de la confiance dans l’économie mondiale, dont le retrait de la circulation des dollars bon marché sera un choc, comme dans la reprise aux États-Unis seulement.
« Resserré tout maintenant nous dirait-on que la Réserve fédérale estime que l’expansion américaine est durable et que l’économie mondiale, au minimum, est moins fragile », a déclaré David Kelly, stratège en chef de marché mondial à JPMorgan Funds.
DERNIER RUSH DE L’ANNÉE DE DONNÉES ÉCONOMIQUES
Relativement moins dramatique tout ce qui entoure une décision attendue plus tard cette semaine par la Banque du Japon, qui devrait maintenir en place son assouplissement de la politique agressive, et une réunion de l’Union européenne où un accord tant attendu sur une union bancaire pourrait être annoncé.
Pour ce qui touche la troisième plus grande économie du monde, l’enquête Tankan japonaise est prévue rendre des comptes lundi pour montrer la confiance des entreprises s’est amélioré sur le dos solide des dépenses budgétaires et des ménages. La BOJ, dont les mesures de relance monétaire éclipsent même celles que de la Fed a avancé;elle se réunit en Décembre (le 19-20).
En Grande-Bretagne, où la Banque d’Angleterre a dit qu’il ne tiendra pas compte d’un taux hauteur jusqu’à ce que le chômage tombe à 7 pour cent, un rapport est attendu mercredi pour montrer que le taux de chômage est resté inchangé à 7,6 pour cent dans les trois derniers mois (depuis Octobre).
Dans le même temps, sont attendus minutes de la réunion de ce mois de la BoE pour montrer aux décideurs soulignant leur message que les taux n’augmenteront pas automatiquement une fois que le seuil est atteint.
En général, la reprise européenne semble moins solide que celle des États-Unis.
Les banques centrales de la Hongrie, la Suède et la République tchèque sont sous pression pour assouplir encore cette politique cette semaine. La banque centrale de Turquie pourrait resserrer sa politique – mais ce sera dans un souci de l’impact d’un retrait des mesures de relance des États-Unis sur sa monnaie ,la lire,l’ inflation et le déficit du compte courant.
Les indices directeurs des achats de la zone euro, l’Allemagne et la France doivent donner un aperçu la semaine prochaine sur la santé du secteur de la fabrication en l’Europe.
Les dirigeants européens vont tenter jeudi de parvenir à un accord final sur l’agence de la fermeture des banques défaillantes dans la zone euro, une partie cruciale des efforts visant à créer un cadre bancaire unique pour le bloc monétaire qui freinerait toute crises futures.
FED LA FOCUS
Tous les yeux, cependant, seront sur la décision de la politique de la banque centrale des États-Unis à 14 heures (19h00 heure britannique) le mercredi, juste une semaine avant les vacances de Noël. Il est la dernière conférence de presse de Ben Bernanke comme président de la Fed et il devrait souligner que les taux d’intérêt resteront bas pendant un long moment, quel que soit le moment où si le programme d’assouplissement quantitatif, ou QE, est mis en veilleuse.
Environ la moitié des 60 économistes interrogés par Reuters, la semaine dernière que la Fed devrait attendre jusqu’à Mars avant qu’il coupe les achats d’actifs, qui sont destinés à stimuler l’investissement et l’embauche. Douze vu la soi-disant QE effilée cette semaine, à partir de trois lorsque le sondage a été fait il ya un mois.
Alors que le chômage des États-Unis a chuté à un plus bas en cinq ans de 7 pour cent le mois dernier, la croissance du PIB américain devrait ralentir ce trimestre, les entreprises sont à réduire les stocks, ce qui complique la décision de la banque centrale.
« Les fréquences de réduction de la détente, tandis que dans le même temps ,il faut convaincre l’économie que c’est une bonne chose à faire, va être difficile », a déclaré Jerry Webman, économiste en chef au gestionnaire d’investissement OppenheimerFunds.
«En ce moment, si vous regardez les États-Unis, en Europe, en Chine et au Japon, ils se ressemblent tous à des degrés divers d’accord – mais ils ne sont pas en train d’ accélérer. »
Établissement d’une monnaie nationale et d’une banque centrale nationale du Québec dont seuls ,les citoyens et les citoyennes du Québec seront les propriétaires et les décideurs.Il n’y aura pas de Federal reserve bank au Québec.
Évaluation de la monnaie québécoise par décision de l’Assemblée nationale en conseil .
Mise en place de droits de douane ciblés et flexibles pour favoriser la production nationale.Lois anti-dumping et aussi des lois sur les importations de produits en provenance de la Chine communiste.Les entreprises québécoises devront chercher des méthodes pour fabriquer chez nous ce dont nous avons besoin.Il sera interdit de fabriquer des objets inutiles pour chercher ensuite des moyens de les vendre ou de créer une dépendance.
Création d’une Contribution Sociale aux Importations égale à 3 % de la valeur des marchandises importées.Les sommes ainsi recueillies seront consacrées à des projets économiques nouveaux et d’économies renouvelables et durables.
Mise en place de règlement pour lutter contre la concurrence déloyale de produits importés.
lois sur les casinos et loteries: une commission d’étude sera chargée de définir des règles sérieuses afin de remplacer la vocation des établissements de jeux de hasard comme les casinos.Du aux coups sociaux fort élevés de ces maisons de jeux,elles seront totalement fermées si les agents économiques locaux régionaux ne proposent pas une vocation autre que des jeux.L’état prendra à sa charge les victimes prouvées de ces établissements.Les loteries seront règlementées de manières aussi stricte: un gouvernement du front national du Québec abolira les loteries et jeux vidéos dans tout établissement au Québec. L’État n’a pas à reprendre à son compte les méthodes du crime organisé pour appauvrir le peuple.On ne libère pas un peuple en le maintenant dans des paradis artificiels.
Le programme économique du Front national du Québec s’appuiera sur une gérance de la décroissance économique.Depuis toujours,les partis politiques néolibéraux comme le Parti libéral du Québec et le Parti québécois ont menti à la population en faisant croire que l’on pourrait maintenir une croissance économique infinie tant que l’on votera pour eux.Nous allons gérer en mettant de l’avant une politique basée sur la Vérité de notre condition économique en rapport avec la tendance continentale et mondiale de l’économie.Nous avons toutes les raisons de croire que nous nous dirigeons à brève échéance vers une crise économique majeure,donc nous ferons la base de notre premier budget sur une vision de décroissance économique afin de vivre selon notre budget sans mettre les générations futures en esclavages de nos décisions immédiates.Par contre,nous chercherons à réparer les gaffes et les bavures de plus de cinquante longues années de gestions maladroites de gouvernements néolibéraux.
Des lois sévères contre la contrebande d’alcool et de cigarettes seront aussi mises de l’avant.Des études seront menées afin de gérer le contexte économique afin d’interdire totalement la fabrication et la possession de tabac sur notre sol.Il serait bon d’étudier la possibilité de créer un tabac qui serait sans toxines s’il s’avérait que nous ne pourrions promouvoir la vision d’au moins une génération libre du tabagisme qui cause un nombre important de décès chaque année.Aussi les coûts économiques et sociaux du tabagisme sont énormes.L’idéal serait donc d’abolir totalement cette consommation néfaste pour la santé de tous.
Tout fabricant d’aliments au Québec devra identifier les aliments contenant des « organismes génétiquement modifiés (OGM) .
Ces propositions seront reportées sur notre site après nos discussions économiques actuellement en cours :http://FrontnationalQ.onlc.fr
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