Réécrire L’histoire « effacée » par les médias de la lutte du Führer Adolph Hitler pour la Paix

Manifestation à New York durant la Deuxième Guerre Mondiale!

 

Le 3 septembre 1939, les Alliés déclarent la guerre à l’Allemagne, entraînant une guerre mondiale d’une demi-décennie.

Pendant ce temps, Hitler supplie les Alliés de retirer leurs déclarations de guerre. Les appels à la paix d’Hitler sont ignorés alors que les alliés amassent 600 000 soldats dans le nord de la France. Des plans sont ouvertement discutés pour avancer vers l’est sur l’Allemagne, via la Belgique et la Hollande, ainsi que pour établir des opérations en Norvège et au Danemark neutres, avec ou sans leur consentement.

« J’ai toujours exprimé à la France mon désir d’enterrer à jamais notre ancienne inimitié et de rapprocher ces deux nations au passé si glorieux. Je n’ai pas consacré moins d’efforts à la réalisation d’une entente anglo-allemande, pas plus que cela d’une amitié anglo-allemande. A aucun moment et en aucun endroit je n’ai agi contrairement aux intérêts britanniques… « Pourquoi cette guerre en Occident devrait-elle être menée ? – Adolf Hitler – Reichstag OCTOBRE 1939

Avant la mort de Chamberlain, il révéla que l’Amérique et les Juifs du monde avaient forcé la Grande-Bretagne à entrer en guerre contre l’Allemagne (mentionné dans The Forrestal Diaries de 1945.)

Sachant que les Allemands ne toléreraient pas les persécutions ethniques contre leur peuple dans les territoires perdus donnés à la Pologne par le honteux traité de Versailles (qui, soit dit en passant, étaient dirigés par des Juifs), les sionistes ont très probablement promu ces pogroms absurdes en utilisant leur les médias, financés par les puissants banksters, comme une manœuvre pour provoquer les Allemands, les attirant à une action militaire contre la Pologne, créant alors un prétexte pour déclencher une guerre de plus fructueuse, qui aurait un rôle décisif dans leur contrôle des finances mondiales, qui était menacé par les progrès créés par l’Allemagne NS.

Les historiens alliés négligent si duplicieusement de reconnaître l’appel incessant à la guerre lancé par l’Angleterre, la France et l’Amérique de 1934 à 1939 tandis que les nombreux appels de l’Allemagne nationale-socialiste pour comprendre et empêcher une guerre mondiale. Ces offres de paix aux puissances alliées sont un dossier historique incontestable. Les « historiens des tribunaux » de l’establishment ne peuvent pas nier la réalité de ces offres raisonnables, alors ils choisissent simplement de les ignorer à la place.

Le général Robert Wood a témoigné qu’en 1936, Churchill lui avait dit que l’Allemagne devenait trop forte et devait être anéantie. (p. 130). Pour quelle raison? …questionna Bernard Baruch . Après une interview avec Roosevelt en septembre 1939, Baruch publia un rapport à la presse dans lequel il déclarait :

« Hitler n’aura pas de guerre, mais il y sera contraint, pas cette année mais plus tard.Emil Ludwig Cohn dans Les Annales, juin 1934, également cité dans son livre « La Nouvelle Sainte Alliance ». L’Allemagne est notre ennemi public numéro un. « Notre but est de lui déclarer la guerre sans pitié. On peut en être sûr : nous mènerons cette guerre ! – Bernard Lecache, président de la « Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme », dans son journal « Droit de vivre », 9 novembre 1938.

« Les millions de Juifs qui vivent en Amérique, en Angleterre et La France, l’Afrique du Nord et du Sud et, sans oublier ceux de Palestine, sont déterminés à mettre un terme définitif à la guerre d’anéantissement contre l’Allemagne. – Le journal juif Central Blad Voor Israelieten aux Pays-Bas, le 13 septembre 1939

« J’ai souligné que la défaite de l’Allemagne et du Japon et leur élimination du commerce mondial donneraient à la Grande-Bretagne une formidable opportunité de gonfler son commerce extérieur en volume et en profit. » – Samuel Untermeyer, Les années publiques, p.347.

En avril 1939, (quatre mois avant le déclenchement de la guerre), l’ambassadeur William C. Bullitt, que je connaissais depuis vingt ans, m’appela à l’ambassade américaine à Paris. Il n’a pas dit, et je n’ai pas demandé, par qui. Il m’a laissé le déduire. … Quand j’ai dit qu’à la fin l’Allemagne serait poussée dans les bras de la Russie soviétique et du bolchevisme, l’ambassadeur a répondu : « Qu’en est-il ? Il n’y aura plus assez d’Allemands quand la guerre sera finie pour qu’il vaudrait la peine d’être bolchévisé. – Karl von Wiegand, 23 avril 1944, Chicago Herald American

Chaque appel à la paix a été rejeté.


EN COMPLÉMENTAIRE

Tout ce que les gens croyaient sur les intentions d’Hitler envers la Grande-Bretagne était un mythe créé par Churchill

Rudolph Hess et Adolph Hitler

 

Hitler ne voulait pas envahir la Grande-Bretagne. Il admirait en fait l’Empire britannique, avec sa présomption inhérente de supériorité raciale.

Il est bon que le gouvernement britannique pardonne aux milliers de déserteurs de l’armée qui se sont enrôlés dans les forces britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale.

Bien entendu, aucune armée ne peut permettre la désertion ; cependant, ces hommes n’ont pas été traduits en cour martiale, mais ont fait l’objet d’une interdiction générale d’emploi dans l’État qui les a privés de leur droit constitutionnel à une procédure régulière.

La grande majorité d’entre eux désertèrent à partir de juin 1941, lorsque la possibilité théorique d’une invasion allemande avait pratiquement disparu.

Les hommes qui ont déserté l’ont fait après avoir été effectivement trompés pour devenir des soldats-serfs, coupant le gazon sur la tourbière d’Allen.

C’était le deuxième grand mensonge de leur jeune vie. Le premier était que l’Irlande a jamais été confrontée à une grave menace d’invasion par l’Allemagne, ce qui était l’engendrement d’un mensonge encore plus vaste – qu’en 1940, Hitler voulait envahir la Grande-Bretagne. Mais il ne l’a pas fait. Il admirait en fait l’Empire britannique, avec sa présomption inhérente de supériorité raciale. Nous savons d’après les journaux de Lord Halifax, le ministre britannique des Affaires étrangères, qu’Hitler a proposé des conditions qui n’impliquaient pas le contrôle allemand de la Grande-Bretagne. Churchill a refusé de permettre que ces termes soient lus au cabinet, et ils restent prudemment cachés sous la règle des 100 ans.

Au lieu de cela, la détermination de Churchill à maintenir la Grande-Bretagne en guerre a transformé ce qui n’avait été qu’une défaite continentale de son armée en un mythe persistant selon lequel, en 1940, la Grande-Bretagne était confrontée à une guerre pour la survie nationale.

Mais le chef de la marine allemande, Raeder, avait à plusieurs reprises interdit à son état-major de planifier une invasion de la Grande-Bretagne. Et loin de vouloir continuer la guerre, en juin 1940, Hitler ordonna la démobilisation de 20 % de son armée, afin de relancer l’économie allemande. La « flotte d’invasion » que les nazis ont commencé à rassembler cet été-là n’était pas plus capable d’envahir la Grande-Bretagne qu’elle ne l’était à Hawaï. C’était la guerre par illusion : son but était d’amener les Britanniques à la table des négociations.

Barges destinées à l'opération Sea Lion
Des barges d’invasion assemblées dans le port allemand de Wilhelmshaven. Deutsches Bundesarchiv

Cette « flotte » se composait de 1 900 barges fluviales, dont un tiers seulement était motorisé, à remorquer transmanche, par groupes de trois, par seulement 380 remorqueurs. Ces barges avaient de minuscules quilles, des proues émoussées et de petits gouvernails, avec seulement deux pieds de franc-bord : la distance entre l’eau et le haut de la coque. Ils auraient été submergés même lors d’une traversée directe de la Manche, une voie navigable peu profonde et violente reliant la mer du Nord déchaînée et l’Atlantique. Mais une invasion ne serait pas directe. Les barges, avec leurs équipages non entraînés, ne pourraient faire que trois nœuds environ, depuis les trois centres « d’invasion » : Rotterdam, Le Havre et Boulogne. Ces ports sont, respectivement, de toutes les plages du débarquement de la côte sud, au mieux, 200 milles et 60 heures, 100 milles et 30 heures, et 50 milles et 15 heures, avec des soldats souffrant du mal de mer entassés dans des barges sans quille et sans eau ni toilettes. Quelle armée serait apte à combattre après un voyage comme celui-là ? Et puis il y a les 55 000 chevaux dont la Wehrmacht aurait besoin : son transport n’était toujours pas mécanisé.

Le Führer accueuilli par des femmes slaves lors d’un arrêt sur le front de l’est.

Tout va bien, et c’est vraiment un terme relatif, la première « vague » mettrait 10 jours à débarquer, les barges faisant la navette vers et depuis ces trois ports éloignés, nécessitant des marées qui devraient obéir aux exigences du Führer plutôt que les plus âgés de la mer, en convoi, souvent de nuit, et toujours sans feux de navigation.

Pourquoi pas de lumières ? Ah : la Royal Navy. C’est là que les choses deviennent assez fantasmagoriques. En août 1940, la Home Fleet britannique SEULE se composait de 140 destroyers, 40 croiseurs et frégates, cinq cuirassés et deux porte-avions.

L’ensemble de la marine allemande, le Kriegsmarin, se composait de seulement sept destroyers, d’un croiseur avec des moteurs peu fiables, de deux croiseurs en état de marche, pas de porte-avions, et pas de cuirassés ni de croiseurs de bataille : le Bismarck et le Tirpitz étaient encore en construction, et le Gneisenau et le Scharnhorst ont été endommagés. et hors de service jusqu’à l’hiver suivant.

Et la Luftwaffe ? Eh bien, il n’y avait pas d’avions porte-torpilles, alors que les Britanniques en avaient deux (le Beaufort et le Swordfish, qui devaient tous deux montrer plus tard leur courage en mettant hors d’état de nuire les navires de guerre allemands), et les bombardements aériens défendaient vigoureusement les navires de guerre au-dessus d’une mer ouverte. est incroyablement difficile, même pour les bombardiers en piqué : les viseurs de bombe Stuka ont été calibrés pour des cibles fixes. D’accord, mais les côtes britanniques n’étaient-elles pas sans défense en 1940 ? Non – à part une armée britannique en grande partie intacte, deux divisions canadiennes entièrement équipées sont arrivées cet été-là, tout comme 200 000 fusils américains à bord du « SS Britannic ».

Cela ne diminue en rien la validité de la cause alliée, ni la décision ultérieure des près de 7 000 déserteurs de l’armée qui s’y sont enrôlés, car ils prenaient les armes contre l’un des régimes les plus pervers de l’histoire du monde.

Néanmoins, à peu près tout ce que les gens croyaient sur les intentions d’Hitler envers la Grande-Bretagne en 1940 – et croient encore aujourd’hui – était un mythe créé par Churchill, auquel il en est probablement venu à croire lui-même. Considérez tous les faits ci-dessus, puis considérez comment ce mythe a perduré, malgré eux. On se demande, non ?

(Source: Irlandais indépendant )

Déja lors de la rencontre de Téhéran,Churchill réfléchissait a une Troisième Guerre Mondiale!

 

 

 

 

 

 

 

 


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Réécrire l’histoire de la conspiration de la gauche sioniste:Le 4 septembre 1923,le Fûhrer remportait une importante victoire en cours

Nous entendons celui-ci tout le temps ; mais combien peu de gens qui répètent ce mensonge concocté, transmis et vieux de 100 ans se rendent compte que la première diffamation de ce type contre Hitler est venue d’un journal ouvertement pro-marxiste ? C’est vrai.

Photo du Fûhrer en 1923.

 

Co-fondé en 1876 par le communiste allemand Wilhelm Liebknecht –  Vorwarts  ( Forward ), en 1923 – dans un effort intelligent pour séparer Hitler de sa base, a affirmé que Henry Ford (qui a tenté d’exposer les banquiers juifs) et les banquiers juifs américains finançaient Hitler .

Hitler a intenté une action en diffamation contre  Vorwarts  pour cette affirmation absurde – et il a gagné devant le tribunal parce que Fake News Marxist  Vorwarts  n’a pu produire aucune preuve pour étayer leur mensonge fabriqué. Et ni les marxistes ni les fausses taupes et dupes anti-hitlériens « de droite » d’aujourd’hui.

Le premier NSDAP a peut-être collecté une somme d’argent négligeable auprès de Juifs qui sont connus pour « couvrir leurs paris » – mais l’argent réel provenait de quelques émigrés russes qui avaient échappé à la révolution bolchevique, certains propriétaires d’entreprises préoccupés par la menace très réelle de une prise de contrôle communiste en Allemagne – et un  grand nombre  de petits donateurs qui croyaient en Hitler et sa révolution.

annexe

Hitler gagne en diffamation
le 4 septembre 1923

Berlin Vorwaerts paiera 6 000 000 de marks de dommages et intérêts pour avoir dit qu’Hitler avait « de l’argent juif et de Ford ».

Adolph Hitler, leader des fascistes bavarois, s’est vu octroyer hier 6 000 000 de marks de dommages et intérêts dans son procès en diffamation contre le rédacteur en chef du Vorwaerts, le quotidien socialiste de Berlin.

Les poursuites en diffamation contre le rédacteur en chef socialiste ont été engagées par le dirigeant réactionnaire de Bavière à la suite de la publication par les Vorwaerts d’un rapport selon lequel l’Organisation hitlérienne recevait une aide financière de « Juifs américains et d’Henry Ford ».

* * *

Source : William Leone et Agence télégraphique juive


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Des scientifiques israéliens affirment que c’est par «pure chance» qu’ils travaillaient déjà sur un vaccin COVID-19 avant l’épidémie

Selon l’Institut Pasteur,de renommée mondiale:aucun vaccin n’a encore été développé pour lutter contre le nouveau coronavirus.

 

Malgré le fait que les vaccins mettent souvent 10 à 12 ans à se développer, les chercheurs israéliens voudraient nous faire croire qu’en raison de la «pure chance», ils pourraient avoir un nouveau vaccin contre le coronavirus prêt à être commercialisé dans les 90 prochains jours:

Photo du groupe MIGAL en Israel.

 

Les scientifiques israéliens sont sur le point de développer le premier vaccin contre le nouveau coronavirus, selon le ministre des Sciences et de la Technologie, Ofir Akunis. Si tout se passe comme prévu, le vaccin pourrait être prêt en quelques semaines et disponible en 90 jours, selon le communiqué.
Si l’annonce israélienne est sérieuse, cela veut dire que les Israéliens (et/ou les Américains, puisqu’ils sont kif-kif bourricots) ont fabriqué le Coronavirus depuis 10 à 12 ans et qu’ils maîtrisent son développement, son essaimage et ses anticorps.

 

« Félicitations à MIGAL [The Galilee Research Institute] pour cette percée passionnante« , a déclaré Akunis. « Je suis convaincu qu’il y aura de nouveaux progrès rapides, nous permettant de fournir une réponse nécessaire à la grave menace mondiale COVID-19« , a déclaré Akunis, se référant à la maladie causée par le nouveau coronavirus.

Au cours des quatre dernières années, une équipe de scientifiques du MIGAL a mis au point un vaccin contre le virus de la bronchite infectieuse (infectious bronchitis virus IBV), qui provoque une maladie bronchique affectant la volaille. L’efficacité du vaccin a été prouvée lors d’essais précliniques menés à l’Institut vétérinaire.

«Notre concept de base était de développer la technologie et non spécifiquement un vaccin pour ce type ou ce type de virus», a déclaré le Dr Chen Katz, chef du groupe biotechnologie du MIGAL. «Le cadre scientifique du vaccin est basé sur un nouveau vecteur d’expression protéique, qui forme et sécrète une protéine soluble chimérique qui libère l’antigène viral dans les tissus muqueux par endocytose auto-activée, provoquant la formation d’anticorps par le corps contre le virus

L’endocytose est un processus cellulaire dans lequel des substances sont introduites dans une cellule en entourant le matériau de membrane cellulaire, formant une vésicule contenant le matériau ingéré.

Dans des essais précliniques, l’équipe a démontré que la vaccination orale induit des niveaux élevés d’anticorps anti-IBV spécifiques, a déclaré Katz.

« Appelons ça de la chance« , a-t-il dit. «Nous avons décidé de choisir le coronavirus comme modèle pour notre système tout comme une preuve de concept pour notre technologie

Mais après que les scientifiques ont séquencé l’ADN du nouveau coronavirus à l’origine de l’épidémie mondiale actuelle, les chercheurs du MIGAL l’ont examiné et ont constaté que le coronavirus de la volaille a une forte similitude génétique avec l’humain, et qu’il utilise le même mécanisme d’infection, ce qui augmente la probabilité de parvenir à un vaccin humain efficace en très peu de temps, a déclaré Katz.

« Tout ce que nous devons faire, c’est ajuster le système à la nouvelle séquence« , a-t-il déclaré. «Nous sommes au milieu de ce processus, et nous espérons que dans quelques semaines, nous aurons le vaccin entre les mains. Oui, dans quelques semaines, si tout fonctionne, nous aurions un vaccin pour prévenir le coronavirus. »

Le MIGAL serait responsable du développement du nouveau vaccin, mais il devrait ensuite passer par un processus réglementaire, comprenant des essais cliniques et une production à grande échelle, a déclaré Katz.

Akunis a déclaré qu’il avait chargé le directeur général de son ministère d’accélérer tous les processus d’approbation dans le but de mettre le vaccin humain sur le marché le plus rapidement possible.

«Compte tenu du besoin mondial urgent d’un vaccin contre le coronavirus humain, nous faisons tout notre possible pour accélérer le développement», a déclaré le PDG de MIGAL, David Zigdon. Le vaccin pourrait « obtenir l’approbation de sécurité en 90 jours« , a-t-il déclaré.

Ce sera un vaccin oral, le rendant particulièrement accessible au grand public, a déclaré Zigdon.

Quoi que vous pensiez des vaccins en général, leur développement est un processus long et compliqué, et la plupart des sources traditionnelles déclarent qu’il faut entre 10 et 12 ans pour qu’un vaccin soit approuvé pour une utilisation publique.

Curieusement, ces Israéliens affirment qu’ils travaillaient justement sur cette souche de coronavirus avant le déclenchement de l’épidémie, ce qui leur a donné une «longueur d’avance» sur la concurrence. Quelle coïncidence!

Ils aimeraient que vous pensiez que la volaille et les coronavirus humains sont si «similaires» que les travaux sur les premiers peuvent être appliqués aux seconds, ce qui n’est pas nécessairement le cas en raison de la spécificité des vaccins.

«Assez près» : ça ne marche pas dans les vaccins ni , plus généralement, en médecine.

Et ils donnent l’impression qu’ils travaillaient sur un modèle «générique» pour les vaccins pulmonaires qui pourrait «facilement» être modifié en d’autres virus «similaires». Mais la raison pour laquelle les vaccins contre la grippe ne fonctionneraient pas de saison en saison est que chaque année a un nouveau virus et qu’ils doivent recommencer à zéro, et que le coronavirus ferait le même. Il peut muter d’une année sur l’autre.

Fait intéressant, un article similaire sur ce vaccin est paru dans le Times Of Israel, mais cet article n’a pas mentionné le rôle que la «chance» a joué dans le développement rapide du vaccin, mais il a mentionné qu’ils avaient travaillé sur ce modèle générique depuis 4 ans déjà.

Étrangement, ce deuxième article fait une affirmation plutôt contradictoire: ils ont trouvé la séquence génétique de celui-ci en ligne et l’ont appliquée à leur «modèle». Lequel est-ce? Travaillaient-ils déjà sur COVID-19 ou non?

Quoi qu’il en soit, ce deuxième article fait également la déclaration étonnante selon laquelle ils pourraient avoir le vaccin prêt dans seulement 90 jours à partir de maintenant.

Afin de précipiter ce vaccin sur le marché, il ne peut certainement pas être testé correctement en si peu de temps, et quiconque le prend menacerait littéralement sa vie.

Rappelez-vous la dévastation causée par le vaccin contre la grippe porcine? Les gens ont été tellement pris dans l’hystérie créée par les médias qu’ils étaient prêts à prendre un vaccin mal fabriqué et testé.

Rappelez-vous qu’en raison de l’hystérie générée par les médias entourant la polio, le premier vaccin contre la polio de Jonas Salk a été expédié sur le marché sans tests appropriés, et il a en fait provoqué la polio chez les enfants et a dû être tranquillement retiré tout en prétendant faussement « victoire » sur la polio.

Et la même chose peut très bien se produire cette fois: la «bureaucratie» normale pour faire approuver ce vaccin sera levée en raison de la forte demande et de la peur panique du public, et ce nouveau vaccin pourrait finir par tuer bien plus de personnes que ne le fera jamais le coronavirus.

Source : Israeli Scientists Claim It’s ‘Pure Luck’ They Were Already Working On A COVID-19 Vaccine Prior To The Outbreak

March 14, 2020 Par christiansfortruth.com

La Russie dément le meurtre d’al-Baghdadi par les États-Unis

Selon les services de renseignement russes, les États-Unis ont déplacé al-Baghdadi de Syrie vers l’Irak, puis ont simulé sa mort. Ou est-ce qu’al-Baghdadi a rejoint son coreligionnaire et concitoyen  Epstein en Israël [1]?

En juillet 2014,Edward Snowden, l’ancien consultant et informaticien de l’Agence américaine de sécurité (NSA), a révélé que les services de renseignement britannique et américain, ainsi que le Mossad, ont collaboré ensemble pour la création du groupe djihadiste Daech ou l’État islamique en Irak et au Levant.
Snowden a indiqué que les services de renseignement des États-Unis de la Grande-Bretagne et de l’entité sioniste ont collaboré ensemble afin de créer une organisation terroriste qui soit capable d’attirer tous les extrémistes du monde vers un seul endroit, selon une stratégie baptisée « le nid de frelons ».
Les documents de la NSA évoquent « la mise en place récente d’un vieux plan britannique connu sous le nom de « nid de frelons » pour protéger l’entité sioniste, et ce en créant une religion comprenant des slogans islamiques qui rejettent toute autre religion ou confession ».
Selon les documents de Snowden, « la seule solution pour la protection de l’État hébreu est de créer un ennemi près de ses frontières, mais de le dresser contre les États islamiques qui s’opposent à sa présence ».
Les fuites ont révélé également que l’autoproclamé calife de « l’Etat Islamique », Abou Bakr Al-Baghdadi, a suivi une formation militaire intensive durant une année entière entre les mains du Mossad, sans compter des cours en théologie et pour maîtriser l’art du discours ».

« Le ministère russe de la Défense ne dispose d’aucune information fiable sur des soldats américains menant une opération visant à « éliminer encore une fois » l’ex-dirigeant de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, dans la partie de la zone de désescalade d’Idlib contrôlée par la Turquie », a déclaré le porte-parole du ministère, le Maj.Gen. Igor Konashenkov a déclaré.

Il a également rejeté les affirmations de Trump selon lesquelles les forces russes auraient ouvert l’espace aérien sous son contrôle en Syrie aux avions américains afin de faciliter l’opération contre le dirigeant de l’EI. Moscou a fait savoir qu’il n’avait enregistré aucune frappe aérienne de la coalition américaine dans la région d’Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, samedi.

Le ministère a mis en doute la possibilité même de la présence d’Al-Baghdadi à Idlib, la zone étant détenue par Al-Qaïda et Jabhat al-Nusra, qui ont toujours été un ennemi mortel de l’État islamique.

Trump avait fait une allocution dimanche de la Maison-Blanche pour informer le monde que al-Baghdadi avait été éliminé dans le nord-ouest de la Syrie lors d’un «raid nocturne audacieux» avec la participation de forces spéciales américaines, d’avions, d’hélicoptères et de drones. Le dirigeant de l’Etat islamique (ISIS/EI) n’a pas arrêté « de pleurer et de crier » face à la puissance américaine, a-t-il déclaré.

Les services de renseignement russes à l’intérieur de la Syrie ont indiqué que leurs systèmes radar S400 couvrant Idlib n’ont détecté  aucun avion américain survolant la zone où le raid sur al Baghdadi est supposé avoir lieu.

Les Russes sont très déçus par Trump et affirment que les États-Unis placent l’énorme force Al-Qaïda d’Idlib sous commandement conjoint avec un État islamique nouvellement reconstitué sous protection américaine en Irak et dans les zones syriennes nouvellement réoccupées, où les forces américaines viennent d’acquérir encore plus d’actifs de pétrole syriens.

Selon une source privée: «L’Amérique voit son gros échec en Irak car lorsque les États-Unis, Israël et l’Arabie saoudite ont créé Daech/ISIS, ils l’ont fait alors que la Syrie, à l’exception du Kurdistan, était unie. Maintenant, ils encouragent d’abord une guerre civile, puis soutiennent un nouvel État islamique ainsi que la région kurde d’Irak, qui est sous contrôle quasi total d’Israël. Baghdadi [1] fait partie de ce processus, utilisant son influence personnelle dans la communauté sunnite irakienne. « 

Moscou nous a dit il y a quelques instants qu’al-Baghdadi est en vie, en bonne santé et travaille avec les États-Unis en Irak. Ces informations sont exclusives et proviennent directement de sources de renseignement de haut niveau qui ont toujours raison, et Veterans Today a prouvé à maintes reprises.

Ce que nous ne savons pas, c’est si Trump a menti en connaissance de cause, quelque chose qu’il fait tout le temps de toute façon ou s’il est simplement manipulé. Maintenant que le retrait de Trump de la Syrie a été annulé et que toutes les troupes envoyées en Irak sont maintenant revenues en Syrie, 100% d’entre elles venant d’être redéployées à Deir Ezzor depuis Hasakah, son «mouvement pour la paix» est maintenant présenté comme un FAKE total.

De la même manière, l’ancien homme le plus recherché du monde, le chef d’Al-Qaïda Oussama Ben Laden, avait été annoncé mort plusieurs dizaines de fois. Ce qui ne sera officiel que le 1er mai 2011, lors d’une opération américaine menée au Pakistan. A l’époque supervisée par Barack Obama.

Ben Laden, la Star de la CIA éduquée à Oxford

Je ne vous ferai pas regarder la marionnette Obama reproduire un faux texte mémorisé, mais plutôt vous donner une phrase de sa déclaration mensongère:

«Aujourd’hui, sous ma direction, les États-Unis ont lancé une opération ciblée […]. Ils ont tué Oussama ben Laden et pris la garde de son corps

Je veux vous prouver que Barack Hussein Obama ment et qu’Oussama Ben Laden est mort depuis 2001. Mais avant d’aller plus loin, permettez-moi de vous présenter le véritable Oussama ben Laden et ses relations avec la CIA et la famille Bush.

Que cherche le Deep State ?

Le Deep State lance une attaque sur quatre fronts, débutant à Hong Kong, pour faire pression sur la Chine afin qu’elle fasse des concessions, non pas sur le commerce mais sur les devises et les banques. La Chine, avec d’autres partenaires non alignés, menace le système bancaire mondial de Rothschild via système de commerce secondaire et de nouvelles monnaies, y compris la crypto, contestant l’interminable fausse crypto «pompe et vidage» qui a déjà versé des milliards dans les coffres du crime organisé.

La planification ici est laissée à Google Corporation et à Facebook, le cœur organisationnel de facto du Deep State et à leurs capacités en matière d’intelligence artificielle.

Depuis Hong Kong, le mécanisme qui organisait jadis les révolutions de couleur et les imputait à George Soros a lancé la répression indienne (israélienne) contre les musulmans au Cachemire et les attaques contre le Pakistan. Les passages frontaliers du Pakistan au nord du Cachemire ont également été attaqués, mais ce projet est une provocation contre Imran Khan, qui tente d’affaiblir son mouvement de réforme.

Des milliers de soldats indiens sont introduits au Cachemire, où des personnes sont traînées hors de chez elles et battues dans les rues, comme vengeance de l’Inde contre des siècles de règne musulman et britannique. Derrière cela, cependant, se cache une course aux armements entre la Chine et l’Inde.

Le problème derrière tout cela est qu’Israël fabrique des ICBM en Inde, en les installant dans des installations construites par les États-Unis en Israël, des ICBM capables de frapper l’Amérique du Nord, inutiles contre l’Iran.

Ce sont des missiles qui pourraient simuler une première frappe nucléaire de la Russie contre les États-Unis, tout comme le 11 septembre simulait un attentat terroriste islamiste aux États-Unis. Tout cela est une création de l’esprit tortueux de Benjamin Netanyahu.

Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.

La prochaine étape s’est déroulée au Liban, où de véritables manifestations contre un gouvernement faible sont en train de se produire, comme en Ukraine, où des agents provocateurs payés par l’Arabie saoudite ont ajouté à la violence

Les services de renseignement du Hezbollah ont retracé tout cela et vont probablement exercer des représailles contre ceux qui sont impliqués dans le complot israélo-saoudien. Le Hezbollah, après des années de lutte contre la tentative de l’État profond de renverser la Syrie et de détruire l’Irak et l’Iran, constitue aujourd’hui l’une des forces militaires les plus redoutables du monde, entraînée et armée par l’Iran et la Russie et dotée d’une grande expérience.

Tout cela est coordonné avec les récents mouvements à Bagdad [2], des émeutes qui ont tué près de 100 personnes, qui, en réalité, devraient manifester contre le vol par le quarteron de voleurs ISIS-USA-Kurdes-Turcs de près de la moitié des revenus pétroliers irakiens depuis 2014 et de près de 1,5 milliards de dollars d’or irakien. L’occupation américaine a entraîné des catastrophes économiques en cascade et un chômage généralisé pendant des années.

Un gouvernement fantoche soutenu par les États-Unis continue de régner sur l’Irak, tandis que la vie commerciale et économique de ce pays l’a laissé une coquille vide avec toutes les liquidités transférées vers les banques de Dubaï pendant que l’Irak pourrit.

Le déplacement d’al-Baghdadi est coordonné avec les soulèvements du Liban et de Bagdad, désormais ensemencés et contrôlés par Deep State, et la montée d’un nouvel État islamique alimenté par les revenus du pétrole volé en Syrie et en Irak. 


Trump menteur ou dupé? Al-Baghdadi n’aurait jamais pu être dans la zone d’Al-Qaïda dans Idlib

IL N’Y A ABSOLUMENT AUCUN TERRORISTE D’ISIS À IDLIB … PAS D’ISIS, PAS DE BAGHDADI, PAS DE CHIENS MECHANTS, PAS DE BAGHDADI QUI PLEURE … QUE DES CONNERIES BOITEUSES

Pas d’Isis à Idlib, pas de Baghdadi à Idlib, pas d’Isis à Deir Ezzor avec le pétrole syrien. Par contre, ui, il y a des djihadistes d’ISIS au sein et près des bases américaines en Syrie et en Irak.

Pire encore, VT, la Maison Blanche, tout le monde est inondé, même les médias russes (ils ont aussi de faux médias) avec une nouvelle histoire, selon laquelle ISIS et al-Nosra / al Qaïda ont toujours été les mêmes, même s’ils se sont combattus les uns contre les  autres depuis des années. Pourquoi?

La réponse est simple, Trump a été pris dans une erreur puérile, tuant un faux Baghdadi au milieu d’une zone contrôlée à 100% par les ennemis de ce dernier.

Pire encore, dans une zone contrôlée par les milices turques (i.e. véritables services de renseignement turcs) et al Nosra. Les deux organisations, les services de renseignement turcs et Al-Qaïda, sont sur la liste de paye de l’Arabie saoudite.

Trump, qui ne sait vraiment pas lire et dont l’attention ne dépasse pas celle d’un moucheron, a organisé un autre enterrement factice en mer. Cette fois-ci, Trump est dans un sac lourd avec les chaînes, les boîtes de conserve et les déchets qui composent ces enterrements factices.

Attendons des témoins, des navires sans personne à bord, ou pire encore, nous pouvons nommer l’unité responsable, puis les tuer tous dans un accident d’hélicoptère, comme ce fut le cas après la mort du faux Ben Laden.

De Spoutnik News:

Dans une allocution inhabituelle, le président des États-Unis, Donald Trump, a eu beaucoup à dire sur le décès d’Abou Bakr al-Baghdadi à la suite d’une opération des forces spéciales qui a eu lieu samedi soir. Bien que des tests ADN aient été utilisés pour identifier le corps du dirigeant de Daech, les questions concernant à la fois l’opération et le lieu de détention de Baghdadi en général doivent encore être examinées.

Après avoir passé sa matinée au Trump National Golf Club, le président est retourné à la Maison Blanche dimanche après-midi et a posé pour quelques photos avec son personnel dans la salle de crise avant de prononcer un discours à la population américaine sur la récente opération de l’armée américaine et la mort de Baghdadi.

Mark Sleboda, un analyste des affaires internationales et de la sécurité, a rejoint lundi à Loud and Clear Radio Sputnik pour disséquer le récit de la mort du chef de Daech par Trump et approfondir les détails de l’opération des forces spéciales.

«Il a manifestement l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien après les multiples promesses de retirer les forces d’occupation de la Syrie», a déclaré Sleboda à ses hôtes Brian Becker et John Kiriakou. « Il a maintenant l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien et le ministère russe de la Défense a été jusqu’à dire que les États-Unis étaient déjà impliqués dans la contrebande de pétrole. »

S’exprimant sur les images satellites publiées samedi par le ministère russe de la Défense, le major-général Igor Konashenkov a qualifié de « banditisme international » la présence persistante des États-Unis en Syrie et son réaménagement autour des gisements riches en pétrole du gouvernorat d’Al-Hasakah.

L’une des compagnies visées par Konashenkov est «Sadcab» (également appelée «Sedcab»), contrôlée par les États-Unis. Bien que créée avec le soutien de la communauté kurde locale, ses profit remplissent les poches des services de renseignement et des sous-traitants militaires des États-Unis.

Sleboda a expliqué le point de vue du responsable de la défense, soulignant que les produits américains provenant de la contrebande de pétrole étaient utilisés pour soutenir les « opérations clandestines militaires … de Washington dans la région ».

Le pétrole mis à part, l’analyste a comparé le discours embelli de Trump et ses affirmations d’un Baghdadi gémissant et pleurant à la déclaration cynique de l’ancienne Secrétaire d’État Hillary Clinton en 2011, devant le cadavre violé et mutilé du leader libyen Kadhafi, : «Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort».

En ce qui concerne le raid lui-même, Sleboda a trouvé un certain nombre de choses intéressantes liées aux détails bruts de l’opération nocturne.

Il a d’abord souligné que Baghdadi avait été tué à Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie – «un territoire que même la presse occidentale reconnaît être contrôlé presque entièrement par Al-Qaïda», une entité historiquement hostile à Daesh.

« C’est étrange que Baghdadi s’enfuie vers Idlib, [contrôlé] par ceux qui sont maintenant ses ennemis« , a-t-il affirmé, voyant qu’il y avait là une sorte de compétition pour être le « maître incontesté des groupes djihadistes« .

En outre, le chef de Daech a été tué à cinq kilomètres seulement de la frontière entre la Syrie et la Turquie.

«Pour y arriver, Baghdadi aurait dû traverser beaucoup de territoires hostiles, contrôlés par les Kurdes, par les Américains, par des proxies mercenaires de la Turquie, par le gouvernement syrien et la Russie », a déclaré Sleboda. « Alors que, bien sûr, il aurait pu simplement prendre un bus pour aller en Turquie et y revenir, compte tenu de la nature poreuse de la frontière turque, car le président Recep Tayyip Erdogan a déménagé tout ce qu’il a pu voler en Syrie de la trégion d’Idlib : usines, machines, pétrole, d’autres Ressources. »

Il a poursuivi en soulignant que l’on peut présumer que Washington n’avait pas confiance en Erdogan, l’opération militaire ayant été menée non pas par la Turquie, alliée des États-Unis à l’OTAN, mais à partie d’Erbil, en Irak, ce qui aurait forcé ses troupes américaines à traverser le territoire et l’espace aérien en Syrie. « 

Source : Trump Caught or Duped? Baghdadi Could Have Never Been in Al Qaeda’s Idlib Zone

 

 

 

Le menteur sur Twitter

 

 

 

 

 

 

Source :

Exclusive: Russia says Bagdadi killing faked by US, part of new move against the region by Deep State (updating)

Nouvel Ordre Mondial:Pour la enième fois… Donald Trump confirme que le chef de l’État islamique est mort

Donald Trump,ce matin du 27 octobre 2019 ,à la conférence de presse ou il annonce la mort du calife autoproclamé.

Pour la enième fois:

Abou Bakr Al-Baghdadi a été tué au cours d’une opération menée dans la province d’Idlib, en Syrie.

Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche, a lancé Donald Trump, lors de son allocution depuis la Maison-Blanche dimanche matin, avant de préciser qu’un « grand nombre de combattants djihadistes » ont péri au cours de l’attaque.

Traqué par les forces spéciales aidées de chiens, Abou Bakr Al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel avec trois de ses enfants et a déclenché sa veste d’explosifs, se tuant ainsi que [ses] trois enfants, a précisé le président américain. L’identité d’Al-Baghdadi a pu être confirmée par un test d’ADN réalisé sur place.

 

Il est mort après avoir couru dans un tunnel sans issue, gémissant, pleurant et criant, a affirmé le président républicain. Son corps a été mutilé par l’explosion, a-t-il précisé.

L’homme le plus recherché du monde, considéré comme responsable de multiples exactions et atrocités en Irak et en Syrie et d’attentats sanglants dans plusieurs pays, avait été plusieurs fois annoncé mort ces dernières années.

Donald Trump, qui a assisté à l’assaut en direct de la Maison-Blanche, a insisté sur le « succès incroyable » de cette mission, qui constituait la priorité de son administration en matière de sécurité nationale. Il a également avancé qu’il s’agissait d’une nouvelle de « plus grande envergure » que la mort d’Oussama ben Laden en 2011 sous l’administration de Barack Obama.

Aucun militaire américain n’aurait perdu la vie dans le cadre de l’opération, a précisé M. Trump.

La planification du raid a débuté il y a deux semaines, a ajouté le président, après l’obtention d’informations sur la localisation du chef terroriste. Le président américain a expliqué avoir approuvé cette attaque presque une semaine avant qu’elle n’ait lieu.

Huit hélicoptères militaires ont survolé pendant plus d’une heure la zone contrôlée par les forces russes et syriennes avant de se poser au sol, en essuyant des tirs. Lors de son allocution télévisée, il a notamment remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes.

Tout d’abord lancée par Newsweek, la nouvelle avait été rapportée samedi soir par plusieurs médias américains, dont CNN, ABC News et NBC News. Samedi soir, le président avait d’ailleurs tweeté que quelque chose de majeur venait de se passer sans toutefois donner plus de détails.

Image de Abou Bakr Al-Baghdadi tirée de la vidéo diffusée sur un site lié à l’État islamique.

 

Par ailleurs, bien que les principaux élus démocrates n’aient pas été informés de la tenue de cette opération par Donald Trump, la présidente de la Chambre des représentants et figure de proue du Parti démocrate, Nancy Pelosi, a tenu à saluer dimanche « l’héroïsme, le dévouement et les compétences » des militaires et professionnels du renseignement américain.

Le bureau de Nancy Pelosi avait notamment confirmé à CNN qu’« aucun avis n’avait été donné avant l’attaque ».

L’annonce de la mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi pourrait bien donner un nouvel élan à la popularité de Donald Trump, embourbé dans des procédures de destitution. Sa décision de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie avait été critiquée tant par des démocrates que des républicains, craignant que le groupe armé État islamique ne regagne du terrain.

Un travail conjoint avec le renseignement américain

Les autorités irakiennes ont confirmé dimanche avoir fourni la localisation du chef du groupe djihadiste aux troupes américaines.

Une section spécialisée a travaillé pendant un an et le renseignement national a pu localiser le repaire d’Al-Baghdadi, indique un communiqué du commandement militaire irakien.

Samedi soir, une vidéo de l’opération a été diffusée sur la chaîne de télévision d’État irakienne.

Le président turc Tayyip Ergodan a également réagi dimanche à la mort du chef de l’El, en indiquant qu’elle marquait un tournant décisif dans la lutte conjointe contre le terrorisme.

Du côté des forces kurdes, partenaires de Washington dans la lutte contre l’EI, le commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi, a salué sur Twitter une « opération historique réussie », résultant d’un travail conjoint avec les services d’intelligence américains. Mais il a toutefois mentionné redouter des représailles de la part du groupe armé État islamique.

Les cellules dormantes vont venger Al-Baghdadi. Donc, on s’attend à tout, y compris des attaques contre les prisons gérées par les forces kurdes, où sont détenus des milliers de djihadistes, a-t-il illustré.

Des réactions internationales unanimes, sauf du côté russe

Les réactions à l’international ne se sont pas fait attendre, notamment en Israël, où le premier ministre Benyamin Nétanyahou a félicité un allié clé du pays.

Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.

«Je veux féliciter le président Trump pour cet accomplissement impressionnant ayant mené à la mort du chef de l’EI. Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue», a-t-il déclaré, alors qu’il était en visite dans une base militaire israélienne.

Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a quant à lui souligné qu’il s’agissait d’un moment important dans le combat contre la terreur, mais que la guerre contre le groupe armé État islamique n’est pas encore terminée. «Nous travaillerons avec nos partenaires de la coalition pour mettre un terme aux activités meurtrières, barbares de Daech (El) une bonne fois pour toute»s, a-t-il mentionné.

Le président français Emmanuel Macron a joint sa voix aux autres dirigeants en déclarant que la mort d’Al-Baghdadi était « un coup dur porté contre Daech (El)  ».

«Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Mais tandis que les réactions se multiplient pour saluer l’opération américaine, Moscou reste quant à elle sur sa réserve et met en doute l’annonce présidentielle.

Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a notamment déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une énième mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi, faisant par ailleurs état de détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur la réalité et, surtout, le succès de l’opération américaine.

Une première apparition en cinq ans

Fin avril, l’EI a diffusé une première vidéo en cinq ans d’Abou Bakr Al-Baghdadi, un peu plus d’un mois après la chute de son « califat » autoproclamé.

La vidéo n’était pas datée et le lieu de tournage était inconnu, mais Al-Baghdadi y évoquait les attentats de la Pâque catholique contre des églises et des hôtels au Sri Lanka, survenus un peu plus tôt en avril.

Al-Baghdadi, de nationalité irakienne, était un ultraconservateur devenu actif dans l’insurrection islamiste contre les forces américaines à la suite de l’intervention en 2003 qui a renversé le président Saddam Hussein.

Il a notamment été détenu par les forces américaines à la prison irakienne d’Abou Graïb, qui a été connue en raison des abus commis par des soldats américains à l’égard de ses prisonniers.

Par la suite, Al-Baghdadi a joint les rangs d’Al-Qaïda, où il a pris du galon. Ce groupe a fini par rejoindre l’organisation armée État islamique et Al-Baghdadi en est devenu le chef en 2010, à la suite de l’assassinat de son prédécesseur lors d’une opération militaire conjointe américano-irakienne.

L’EI a rapidement pris de l’expansion et, en 2014, Abou Bakr Al-Baghdadi a autoproclamé son « califat » sur de vastes territoires en Irak et en Syrie, au terme d’une offensive de combattants arabes et kurdes soutenus par la coalition internationale.

Déclenchée en 2011, la guerre civile en Syrie a fait plus de 370 000 morts, selon l’ONU.


Raid contre al-Baghdadi : Donald Trump était dans la Situation Room…Une belle mise en scène

Donald Trump dans le Situation Room

 

 

 

«C’était comme de regarder un film», a assuré dimanche Donald Trump. Le président américain a confirmé qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le fondateur et dirigeant du groupe terroriste Etat islamique, était décédé lors d’un raid mené par les forces américaines dans la nuit de samedi à dimanche. Il a suivi l’opération des militaires depuis la Situation Room de la Maison-Blanche. Sur l’image publiée dans un premier temps par le directeur des réseaux sociaux de la Maison-Blanche Dan Scavino, on voit le milliardaire entouré, de gauche à droite, du Conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien, du vice-président Mike Pence, du secrétaire à la Défense Mark Esper, du président du Comité des chefs d’état-major interarmées le général Mark Milley et du directeur adjoint des opérations spéciales le brigadier général Marcus Evans.

«C’est un coup dévastateur» porté au groupe terroriste, a assuré Mark Esper à l’antenne de CNN peu après l’intervention de Donald Trump. «Ce n’est pas seulement leur dirigeant, c’est leur fondateur. C’était un dirigeant qui les inspirait de bien des façons. Il a formé l’EI en 2014, il a mené à la création du califat physique à travers la région, donc c’est un coup majeur contre eux.» Il a donné quelques informations sur les heures précédant le raid et insisté sur le rôle de Donald Trump : «Le président a approuvé un raid contre la cible, Abou Bakr al-Baghdadi, et si nous ne le capturions pas, bien sûr, nous allions le tuer. Il a étudié, a posé quelques questions géniales, a choisi l’option qui nous donnait les plus grandes chances de réussir et la confirmation que la tête de l’EI serait là et soit capturé ou tué, puis nous avons agi à partir de là. Le président a eu une action décisive et nos troupes et nos partenaires inter-agences l’ont mise en oeuvre brillamment.»

« Il est mort comme un lâche »

Lors d’une allocution suivie d’une conférence de presse, Donald Trump est entré dans les détails des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, qu’il a suivis en direct : «Il n’est pas mort comme un héros, il est mort comme un lâche», a-t-il assuré, décrivant un homme «gémissant et pleurant et criant tout du long» en tentant d’échapper aux militaires américains qui le traquaient dans le bâtiment où il se trouvait. Abou Bakr al-Baghdadi a, a précisé le président américain, emmené avec lui dans un tunnel qu’il savait sans issue trois de ses jeunes enfants, avant de déclencher une ceinture explosive qui l’a tué, ainsi que les trois enfants. «Beaucoup de morts» ont été causés par le raid dont au moins deux épouses du calife autoproclamé, mais le président américain n’a pas voulu préciser combien de personnes avaient été interpellées. Aucun militaire américain n’a été blessé ou tué, a insisté Donald Trump, précisant qu’un chien avait été blessé : «Un « canin », comme ils les appellent. J’appelle ça un chien. Un beau chien, un chien talentueux a été blessé et ramené.»

Avant de répondre aux questions des journalistes, Donald Trump a conclu ainsi sa prise parole : «La nuit dernière a été une grande nuit pour les Etats-Unis et pour le monde. Un tueur brutal, qui a causé tant de douleur et de morts, a été violemment éliminé -il ne fera plus de mal à un enfant, une femme ou un homme innocent. Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche. Le monde est maintenant un endroit plus sûr.»


Mais qui était Abou Bakr al-Baghdadi, le calife autoproclamé de l’État Islamique, supposément tué dimanche,le 27 octobre 2019, par l’armée américaine?

Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.

Voici tout d’abord les « fausses informations »  comprenant quelques  vérités…véhiculées par les médias  « officiels »:

Le chef autoproclamé de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi,supposément  tué dimanche dans une opération américaine en Syrie (selon Donald Trump), aura toujours vécu terré dans l’ombre, même lorsque, autoproclamé « calife », il présidait aux destinées de sept millions de personnes en Syrie et en Irak.

Surnommé le « fantôme », il a d’abord été un étudiant en religion timide puis un combattant jihadiste de second rang. Mais cet Irakien de 48 ans est parvenu à réaliser l’alliance entre jihadistes convaincus venus du monde entier et anciens militaires de l’armée de Saddam Hussein, laïque et socialiste, atout clé pour conquérir en 2014 un territoire grand comme la Grande-Bretagne.


Voir notre article de l’époque de juillet 2014: Les djihadistes…


 

S’il a été le premier chef jihadiste à instaurer un proto-Etat, son « califat » autoproclamé a aujourd’hui fait long feu. Le dernier réduit de Daesh est tombé en mars à Baghouz, en Syrie, et des dizaines de milliers de ses jihadistes sont désormais dans les prisons des Kurdes de Syrie ou de l’Etat irakien.

25 millions de dollars pour le trouver

Depuis des mois, l’homme dont la mort avait été évoquée à plusieurs reprises ne dirigeait plus que des troupes disloquées, même si dans ses vidéos de propagande soigneusement réalisées, Daesh continuait de revendiquer, plus ou moins opportunément, des attentats à travers le monde.

Diabétique et blessé au moins une fois, Ibrahim Awad al-Badri de son vrai nom, montrait rarement son visage. Du temps du « califat », il n’a fait qu’une seule apparition publique, en juin 2014. Du haut de la chaire de la célèbre mosquée al-Nouri de Mossoul, la « capitale » de Daesh en Irak reprise à l’été 2017, il avait prononcé un sermon devant ses partisans. Son visage à la barbe poivre et sel teintée de henné rouge n’est reparu qu’une autre fois, sur une vidéo diffusée en avril. Il s’est par ailleurs exprimé via des enregistrements sonores.

Les Etats-Unis offraient 25 millions de dollars pour la capture de cet homme, le plus recherché du monde, né dans une famille pauvre de Samarra, au nord de Bagdad.

L’antithèse d’Oussama Ben Laden

Sa discrétion en a fait pour officiels et militaires occidentaux l’antithèse d’Oussama Ben Laden, qui diffusait régulièrement des cassettes vidéos avec mise en scène au combat ou à la mosquée. Le chef d’Al-Qaïda avait été traqué des années et tué en 2011 par les forces spéciales américaines au Pakistan.

Préférant l’ombre et les avancées à petits pas, Baghdadi, un passionné de football au destin d’avocat ou de militaire contrarié par des résultats scolaires insuffisants et une mauvaise vue, a, lui, longtemps attendu son heure. Prêchant dans une mosquée peu fréquentée de l’Irak alors sous la dictature de Saddam Hussein, il a développé « une vision assez claire de là où il voulait aller et de l’organisation qu’il voulait créer », explique la journaliste Sofia Amara.

« C’est un planificateur secret », explique celle qui a réalisé un documentaire sur Baghdadi. Et, s’il « donne l’impression d’un homme pas brillant », il est « patient et bosseur ».

Après avoir créé lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 un groupuscule jihadiste sans grand rayonnement, ce père de cinq enfants issus de deux mariages, est arrêté en février 2004 et emprisonné au camp Bucca. Cette immense prison installée par les Américains à l’extrême sud de l’Irak, où se côtoient dignitaires déchus du régime de Saddam Hussein et nébuleuse jihadiste, sera surnommée « l’université du jihad ».

Là, peu à peu, « tout le monde s’est rendu compte que ce type timide était un fin stratège », affirme Sofia Amara. 

Traversée du désert

D’ailleurs, dix ans plus tard, lors de la percée fulgurante de Daesh, l’armée irakienne comprendra qu’elle a face à elle ses ex-commandants, de l’époque de l’ancien régime, passés dans le groupe islamiste.

Libéré faute de preuves de Bucca après 10 mois, Baghdadi prête allégeance à Abou Moussaab al-Zarqaoui, sous tutelle d’Al-Qaïda, puis devient l’homme de confiance de son successeur Abou Omar al-Baghdadi. Il prendra sa relève à sa mort en 2010 sous le nom d’Abou Bakr al-Baghdadi, en référence au premier calife successeur du prophète Mahomet.

Rebaptisée Daesh, son organisation supplante ensuite Al-Qaïda. Mais Baghdadi, lui, est rapidement forcé à la retraite au désert. Il aurait d’abord trouvé refuge dans la zone désertique allant du centre de la Syrie à l’Irak, selon les experts.  C’est là que son fils Houdhayfah al-Badri a été tué en juillet 2018, fauché dans une grotte par trois missiles russes téléguidés. Lui-même a survécu à plusieurs attaques avant celle de dimanche et il avait au fil du temps drastiquement réduit son entourage.

Celui qui s’était un temps posé en chef suprême des musulmans du monde, réactivant le « califat » des premiers siècles de l’islam, aura finalement trouvé la mort à Idleb, dernier carré jihadiste de Syrie. Là, il avait dû trouver refuge parmi les groupuscules liés à al-Qaïda, le groupe de ses débuts. 

 


Maintenant pour avoir la « vraie vérité » sur le calife autoproclamé » de l’État Islamique,voici le lien vers  mon article antérieur  écrit sur ce sujet:

Abou Bakr al-Bagdady serait un audacieux agent du Mossad


DÉSINFORMATION DE LA MATRICE:

Le 7 septembre 2014,le gouvernement américain (par l’intermédiaire d’une agence irakienne de nouvelles)  annonçait la mort du calife Bagndady par cette photo mal truquée!

*Voir l’article en anglais s’y rapportant :

SKETCHY REPORTS: Iraq Media Report ISIS Leader Abu Bakr Al-Baghdadi Killed In U.S. Airstrike 


AUTRE DÉSINFORMATION:

Le 16 juin 2017,la Russie annonçait avoir tué , »elle aussi »,le calife Al-Bagdady:

Voir cet article en anglais:

                ISIS leader Abu Bakr al-Baghdadi                     ‘LIQUIDATED in Russian airstrike’

 


LES ENFANTS DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ONT DU GRANDIR (photos)

Voici des images horribles qui nous  montrent que les  forces armées de nombreux pays pourraient se battre pendant des décennies pour éliminer la menace des enfants-soldats endoctrinés par  le faux calife al-Baghdady  et l’État Islamique:

 

 

 

 

Nota Bene

L’État Islamique n’a jamais tiré une seule balle de pistolet contre Israël …coïncidence vous direz?

 


*Voir aussi  cet autre  article sur l’État Islamique ou comment on enseigne aux enfants à décapiter un homme dans une mosquée

Des hélicoptères de l’armée américaines auraient transportées de nombreux terroristes de l’État Islamique suite…à un accord financier en or!

Facebook refuse de supprimer une fausse vidéo où la chef démocrate a l’air saoule

 

Facebook refuse de supprimer une vidéo altérée pour faire laisser croire que la chef des démocrates à la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a livré un discours alors qu’elle était saoule, ce qui met en lumière un problème majeur dans le plan du géant techno pour combattre les fausses nouvelles.

Le clip, d’abord rapporté par The Washington Post, montre la démocrate californienne discutant du président Donald Trump à un événement organisé par le Center for American Progress mercredi. Un troll non identifié a réduit la vitesse de la vidéo et monté le ton pour que son discours ait l’air confus, mais normal – créant alors la fausse apparence qu’elle avait les capacités affaiblies.

La fausse vidéo s’est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. L’avocat privé de Trump, Rudy Giuliani, a tweeté un lien vers la vidéo sur Facebook, où le clip avait alors pas loin d’un million de visionnements. (Giuliani a plus tard supprimé le tweet et a livré des excuses qui avaient l’air confuses.)

Facebook a depuis longtemps admis ses échecs dans la lutte aux fausses nouvelles dans la course à la présidentielle de 2016, et a dévoilé l’année suivant un système supposé arrêter le courant de matériel faux ou trompeur.

«Les fausses nouvelles sont nocives pour notre communauté, elles rendent le monde moins informé, et elles érodent la confiance», écrivait Facebook en avril 2017. «Ce n’est pas un nouveau phénomène, et nous tous – entreprises techno, entreprises médiatiques, salles de nouvelles, enseignants – nous avons la responsabilité de faire notre part pour y faire face.»

Mais un porte-parole de Facebook a déclaré vendredi que des «fakes news» évidentes, comme cette vidéo de Pelosi, techniquement ne brisaient pas les règles puisqu’il n’y a pas de politique contre la publication de faux contenu sur la plateforme. Facebook laissera donc la vidéo circuler.

Cela dit, Facebook a toutefois «mis en file d’attente» la vidéo pour une revue par une compagnie tierce de vérification des faits, ce qui voudrait dire qu’il juge la vidéo trompeuse. Alors maintenant, au lieu d’être supprimée complètement, la fausse vidéo du discours de Pelosi sera plus difficile à trouver sur la plateforme, selon le porte-parole.

L’annonce de Facebook a relancé les discussions sur les campagnes de salissage et les fausses nouvelles qui ont terni la dernière présidentielle. La vidéo de Pelosi rappelle celle d’Hillary Clinton devenue virale lors de sa campagne, qui la montrait physiquement ou mentalement indisposée.

«La vidéo modifiée/falsifiée de Nancy Pelosi n’est pas exactement une nouvelle affaire», a tweeté la journaliste de Wired Issie Lapowsky. «C’est copié du manuel “Hillary Clinton est malade” de 2016.»

Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:

Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:

«Il y a une tension ici: nous travaillons fort pour trouver le bon équilibre entre l’encouragement de la liberté d’expression et la promotion d’une communauté sécuritaire et authentique, et nous croyons que de réduire la distribution de contenu inauthentique atteint cet équilibre. Mais ce n’est pas parce que quelque chose est permis sur Facebook qu’elle devrait obtenir de la distribution. En d’autres mots, nous permettons aux gens de la publier en tant que forme d’expression, mais nous ne la montrerons pas à la une du fil d’actualité.»

 

 

 

Moon Mystery Solved! Apollo Astronauts Caused Odd Lunar Warming — Brights –

Astronauts caused the mysterious warming detected by the Apollo moon missions in the 1970s, a new study suggests By Mike Wall | SPACE.com When astronauts walked or drove their moon rover near buried heat-flow probes, the activity disturbed and displaced surface soil, exposing the darker dirt below. This newly unearthed material absorbed more sunlight, causing […]

via Moon Mystery Solved! Apollo Astronauts Caused Odd Lunar Warming — Brights – Die Natur des Zweifels

Le Myanmar défie la « communauté internationale »

GLOBAL RELAY NETWORK

Par Gearóid Ó Colmáin, le 01 avril 2017

Aung San Suu Kyi, dirigeante de facto du Myanmar, a rejeté les appels de l’ONU pour enquêter sur la situation vécue par la soi-disante minorité ethnique Rohingya du pays. Il y a eu une éruption de violence dans la province d’Arakan en octobre 2016, lorsque des terroristes djihadistes ont attaqué un barrage de police le long de la frontière bangladaise, tuant neuf policiers.

Cet attentat fut imputé à l’Organisation de Solidarité Rohingya (RSO, Rohingya Solidarity Organisation), une organisation terroriste djihadiste pourvue de liens avec l’Arabie Saoudite. Des groupes de défense des droits de l’homme en cheville avec le State Department US ont lancé un appel concerté à la « communauté internationale » pour qu’elle agisse afin de prévenir le « génocide » de la minorité Rohignya, après que les troupes birmanes aient déclenché une opération militaire visant à écraser l’insurrection islamiste. Le Bureau du Haut Commissaire des…

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En complément:

La fable du massacre des « Rohingyas », guerre secrète contre le Myanmar

 

"Comment les Rohingyas trompent les médias du monde entier. Ne tombez pas dans le panneau!" Images d'Indonésie, présentées comme un massacre de Rohingyas au Myanmar

Qui sont les « Rohingyas »?Il n’existe aucun groupe ethnique portant le nom de « Rohingya ». Le terme « Rohingya » est un terme étymologique bengali, qui signifie « arakanais ». Un « Rohinga » n’est rien de plus qu’un Musulman d’Arakan, un Musulman résident de l’État d’Arakan, la province occidentale de la République de l’Union du Myanmar. Le Dr. Jacques Leider, directeur de l’École Française d’Études Asiatiques en Thaïlande et expert de l’histoire de l’État d’Arakan, met ce nom si fréquemment cité en contexte:Rohnigya est un nom, pas une catégorie ethnique, qui a été ravivé de nos jours pour identifier les Musulmans d’Arakan, en tant que groupe social distinct. On pourrait éventuellement le comparer au nom donné aux Chinois musulmans du Myanmar, qui sont appelés « Panthay ».Contrairement aux affirmations de propagande des « Rohingyas », l’Islam n’a été enregistré dans l’État d’Arakan qu’à l’époque de la dynastie Mrauk-U au quinzième siècle. Jusqu’au dix-neuvième siècle, les Musulmans n’ont composé qu’une toute petite minorité de la population d’Arakan. Au 19ème siècle, le Raj britannique a déplaçé des Bengalis pour travailler dans l’État d’Arakan, en Birmanie occidentale et essentiellement bouddhiste. Les colons musulmans ont été utilisés d’une manière idoine aux colons presbytériens d’Irlande au 17ème siècle; des colons protestants et presbytériens y avaient été installés par l’état impérial britannique, ceci afin de constituer une force loyaliste locale contre les autochtones irlandais. Les conséquences de cette implantation se font toujours sentir, dans la portion de l’ancienne province irlandaise d’Ulster encore occupée par les Britanniques.Les Britanniques se sont servis des colons bengalis en Birmanie pour administrer l’État d’Arakan, au bénéfice des intérêts britanniques. Depuis lors, ils ont périodiquement perpétré des massacres de la population bouddhiste indigène de la région de l’État d’Arakan. L’historien Aye Chan écrit:L’une des causes sous-jacentes de cette violence commune était le Système de Zamindar, importé du Bengale par les Britanniques. Selon ce système, les administrateurs britanniques accordaient aux propriétaires terriens bengalis des milliers d’acres de terres arables, dotés de baux de quatre-vingt-dix-neuf ans. Les paysans d’Arakan, qui fuyaient le pouvoir birman et qui revenaient chez eux après l’annexion britannique, se retrouvèrent privés des terres dont ils avaient, par héritage, été les légataires. Les Zamindars bengalis (les propriétaires terriens) n’ont pas non plus voulu des Arakanais comme locataires sur leurs terres. Des milliers de paysans bengalis furent importés du District de Chittagong pour y cultiver la terre. (Rapport sur les Opérations de Colonisation dans le District d’Akyab 1887-1888:2, 21)Les paysans colons étaient fortement sous l’influence du mouvement « Faraizi » du Bengale, qui reposait sur des enseignements wahhabites importés d’Arabie. L’idéologie violente professait « l’installation des ikhwans ou frères dans les communautés agricoles proches des ressources aquifères. Les paysans selon leur enseignement, hors le fait de cultiver la terre doivent être prêts à prendre les armes dans une guerre sainte, à l’appel de leurs seigneurs. »Les Musulmans qui causent aujourd’hui tous les troubles sont appuyés par les Saoudiens, les Pakistanais, les Turcs et les Bangladais ainsi que par les Britanniques et les Étasuniens, qui veulent balkaniser le Myanmar riche en minéraux. Je souhaite mettre l’accent sur « Musulmans qui causent tous les troubles ». Car il s’agit d’une minorité des Musulmans dans l’État d’Arakan, qui s’efforce de mener un « djihad » pour le compte des intérêts géopolitiques occidentaux et de la « guerre contre le terrorisme » d’origine sioniste en cours, étiquetée faussement et avec euphémisme, comme étant un « choc des civilisations ».

Source originelle:la-fable-du-massacre-des-rohingyas-guerre-secrete-contre-le-myanmar.html?

 


EN CONCLUSION

Comme nous pouvons facilement le constater,il s’agit d’une fausse nouvelle fabriquée par des experts…des experts comme la CIA,par exemple!

 

 

Sources: Salimselami’s blog

Dictature de la pensée unique:Google filtre les « fake news »… sauf si elles sont américaines !

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Les filtres de Google sont-ils objectifs dans la lutte contre les fausses informations ? Une simple expérience de RT montre comment le tri se fait : dur avec certains médias, le moteur de recherche épargne les sites américains.

Vous cherchez sur Chrome, le navigateur internet de Google, un article sur un sujet commun et constatez que certains articles sont marqués comme des fake news, dont les articles de RT.

Essayez ensuite de trouver une fausse nouvelle évidente qui concerne Donald Trump… Aucune notification de fake. C’est simple et ça marche. Une simple vidéo le démontre.

 

 

 

 

 

source: https://francais.rt.com/international/32184-google-filtre-fake-news-sauf-americaines