La courte opinion du jour:Des grandes fortunes perdent plusieurs milliards à cause du krach boursier

Depuis fin 2021, la Bourse est frappée par les conséquences de la hausse des taux d’intérêt due à l’inflation. Les grands groupes technologiques comme Apple, Amazon ou Netflix sont affectés en premier lieu. Selon Forbes, le classement des plus grandes fortunes et capitalisations du monde a été modifié par ce krach.

en baisse de 23, 9 milliards d’euros, le fondateur de Tesla Elon Musk néanmoins se trouve toujours à la tête des dix personnes les plus riches du monde.

Bernard Arnault prend la deuxième place du classement

Les actions technologiques sont volatiles et posent des problèmes aux investisseurs pour évaluer l’impact d’une inflation élevée et de la hausse des taux d’intérêt. Suite à des fortes évolutions à la baisse de l’ensemble des entreprises des nouvelles technologies, le fondateur de LVMH Bernard Arnault se trouve maintenant à la deuxième place de la liste des hommes les plus riches du monde. Avec 4,5 milliards de dollars de gains, le français est propulsé devant Jeff Bezos dans le classement. Alors que Mark Zuckerberg et les cofondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin ont perdu au moins trois milliards de dollars. Mark Zuckerberg, comme Tesla, ont perdu jusqu’à 29 milliards de dollars de valeur nette jeudi dernier. En baisse de 23, 9 milliards d’euros, le fondateur de Tesla Elon Musk se trouve néanmoins toujours à la tête des dix personnes les plus riches du monde.

photo d’archives du 11 avril 2018, le président de Facebook, Mark Zuckerberg, témoigne devant une audience de la House Energy et du Commerce à Capitol Hill, à Washington, sur l’utilisation des données de Facebook pour cibler les électeurs américains lors de l’élection de 2016

Meta et Amazon essaient de faire face aux pertes

Jeff Bezos, malgré les pertes, est maintenant le troisième homme le plus riche du monde. Son maintien en bonne position pourrait s’expliquer par le « boom » d’Amazon pendant la pandémie, lorsque les gens dépendaient fortement des achats en ligne. De son côté, Mark Zuckerberg (Meta) se trouve en neuvième position du classement, après Bill Gates, Larry Ellison (Oracle), Larry Page (Google), Warren Buffet de la société d’investissement Berkshire Hathaway, et Sergey Brin (Google). Les actions de Meta ont chuté de 26 %, faisant baisser la fortune de Mark Zuckerberg à 85 milliards de dollars. Selon les spécialistes, les actions Meta pourraient très bien se redresser très prochainement. Certains commentateurs de la Bourse se sont moqués des pertes de Zuckerberg sur Twitter.

Des entreprises d’autres secteurs ont aussi beaucoup perdu cette semaine

Les cours de l’action Netflix, Peloton et Beachbody (société concurrente de Peloton) se sont également effondrés la semaine passée, selon Forbes. D’autres entreprises de la biotechnologie comme Moderna, ont été touchées par le manque d’efficacité des vaccins face à Omicron. Stéphane Bancel, PDG de Moderna, notamment, a vu ses actions biotech baisser pendant six jours consécutifs. Sa fortune a chuté de 22 %, à 5,2 milliards de dollars en moins d’une semaine.

 

 

 

 

 

 

 

 


VISITEZ LA BOUTIQUE EN LIGNE DE VOTRE SITE WEB FAVORI

Sur ce lien:VintageparMichel

 

 

 

 

Rien ne va plus chez Facebook, « Meta » perd près de 200 milliards de dollars en Bourse

Les actions de Meta, la société mère de Facebook, ont chuté de plus de 25% jeudi,le 3 février 2022, anéantissant plus de 230 milliards de dollars de valeur marchande. Il y a quelques jours, la firme de Mark Zuckerberg jetait aussi l’éponge sur son projet de monnaie numérique, après des années de recherche et développement.

Meta perd près de 200 milliards de dollars en Bourse

A Wall Street, la réaction est forte, très forte. Dans les premières cotations, l’action de l’ex-Facebook plonge de plus de 25%. C’est plus de 230 milliards de dollars de capitalisation boursière qui s’envolent et la plus lourde sanction jamais accusée par le groupe de Mark Zuckerberg ou, plus largement par une société cotée à New York, souligne Bloomberg,

Le 03 février, à 15h15 GMT (16h15 en Suisse), le titre de Meta Platforms, maison mère de Facebook, dégringolait de 24% à 245 dollars, entraînant l’indice Nasdaq (-2,14%) dans sa chute.

La fortune du patron de Facebook, Mark Zuckerberg, estimée à 113 milliards de dollars à la clôture hier selon des documents de la SEC, subissait aussi une coupe sévère. Le co-fondateur du réseau social perdait virtuellement presque 28 milliards de dollars.

Les actions de Meta ont plongé à la suite d’un rapport sur les résultats trimestriels lamentable dans lequel la société a publié des prévisions de revenus plus faibles que prévu et a mis en garde contre plusieurs défis pour son activité cette année.

Les investisseurs ont abandonné les actions du géant de la technologie après avoir été alarmés à la fois par la baisse de la croissance des utilisateurs et la hausse des dépenses liées au projet de « métaverse » de la société. Facebook a dépensé plus de 10 milliards de dollars dans ce sens l’année dernière et s’attend à une “augmentation significative” des dépenses similaires pour 2022.

Le nombre d’utilisateurs, surtout, a déçu. Le revenu moyen par utilisateur (Arpu) est, certes, un peu plus élevé qu’attendu, à 11,57 dollars, contre 11,38 dollars visés par les analystes, mais ils sont moins nombreux : 1,93 milliard d’utilisateurs actifs quotidiens en décembre, contre 1,95 milliard anticipé, et 2,91 milliards d’actifs mensuels (2,95 milliards). C’est la première fois, dans l’histoire de l’entreprise, que le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens s’inscrit en baisse par rapport au précédent.

 

Meta cède aussi sur la cryptomonnaie et abandonne le Diem

Février est décidément un mois compliqué pour Facebook, rebaptisé Meta. Après le projet avorté en 2019 du Libra, cette cryptomonnaie qui réunissait d’autres acteurs d’Internet et des paiements (PayPal, Visa, Mastercard) autour du réseau social, c’est au tour de son successeur, le Diem, d’être enterré.

Le diem n’aura pas réussi à faire oublier le « libra », nom du projet initial, qui avait, déjà, créé un véritable séisme dans la sphère bancaire mondiale il y a un peu plus de deux ans. Cette monnaie virtuelle décentralisée devait être lancée mi-2020, mais elle avait immédiatement déclenché une fronde internationale à son égard.

Le projet de monnaie numérique de Meta (Facebook), ne verra, donc, pas le jour. Elle a annoncé son démantèlement, ainsi que la vente des droits de propriété intellectuelle et d’autres actifs à la banque Silvergate Capital pour 182 millions de dollars.

Selon Bloomberg, le coup d’épée fatal a été porté par la Réserve fédérale des États-Unis qui aurait exercé sa pression sur le partenaire banquier du diem, Silvergate.

Le recul de Meta s’expliquerait par la dissuasion des autorités centrales qui n’entendent pas perdre aussi facilement le contrôle de la monnaie. Le pari était aussi prometteur puisqu’il surfait – comme les autres GAFA – sur l’explosion des cryptomonnaies, au nombre de 12.000 selon CoinGecko, et qui se sont bâties une véritable notoriété en pleine pandémie de Covid et face aux incertitudes liées à l’inflation sur les Bourses traditionnelles.

Amazon, Google, Apple, PayPal, mais aussi Tesla du côté des Américains… les géants de la Tech se penchent sur ces nouveaux moyens d’échanges, en dehors des circuits bancaires traditionnels, sur tous les continents. Mais dans les pays où un pouvoir central contrôle l’économie, comme en Chine ou en Inde, l’activité des cryptomonnaies est pratiquement bannie.

Le projet était d’autant plus stratégique qu’il promettait potentiellement d’échanger des biens et d’acheter des services dans le futur « métaverse » de la firme de Mark Zuckerberg

Avec ce projet de « monde virtuel » Zuckerberg révèle ainsi son objectif final, qui n’est pas seulement de dominer l’internet d’aujourd’hui, mais de contrôler et de définir l’internet que nous laisserons à nos enfants et aux enfants de nos enfants. Un internet de surveillance toujours plus invasif où la parole dissidente est bannie.

Source

Fb spie
Un document interne à Facebook révèle que le géant des médias sociaux surveille le comportement hors ligne de ses utilisateurs afin de déterminer si une personne doit être classée dans la catégorie «agent de la haine», comme l’a signalé le Washington Pundit .

 

 

 

 

 

 

 

 

 


N’OUBLIEZ PAS DE VISITEZ LA BOUTIQUE EN LIGNE DE VOTRE SITE WEB FAVORI ET DE PARTAGER SON LIEN:

Sur ce lien:Vintage par Michel

 

 

 

 

Loi Avia : Facebook censure toutes critiques de l’immigration et de l’Islam !

Mise en place solide de la dictature totalitaire autour de la pensée unique!

Le saviez-vous ?

Les modérateurs chez Facebook sont situés au Maroc. La censure sur Facebook est donc faite par des Musulmans extrémistes qui censurent toutes critiques de l’immigration et de l’Islam.

Et avec la loi Avia qui censure la liberté d’expression des Français sur les réseaux sociaux, des milliers, voir des millions de comptes Facebook vont être supprimés…

Je décide d’écrire cet article pour dénoncer la censure abusive des modérateurs Musulmans de chez Facebook.

En effet, je suis le Webmaster du site Internet MyJournal.fr qui est un site d’actualités parlant de toutes les vérités qui dérangent.

Des vérités qui dérangent liées à la corruption du Gouvernement Français, aux nombreuses aberrations de l’immigration de masse, ainsi que sur la propagation de l’Islam en France…

Mon site Web dénonce également tous les scandales qui empoisonnent le quotidien des Français… Mais les sujets principaux de mon site d’actualités sont principalement liés à l’immigration et à l’Islam, car pour moi, c’est un problème majeure en France et dans toute l’Europe.

J’avais comme tout le monde, un compte chez Facebook et ceci, depuis de nombreuses années. Mais il ne se passait pas une semaine sans que ces modérateurs Musulmans me bloque mon compte Facebook à cause d’un partage d’article lié à l’immigration et/ou à l’Islam émanant de mon site Internet MyJournal.fr…

Et le jeudi 28 mai 2020, mon compte Facebook a purement et simplement été supprimé par ces modérateurs Musulmans parce que mes publications ainsi que mes partages d’articles ne respectaient pas « les standards de la communauté Facebook »…

Je précise que sur MyJournal.fr, il n’y a aucun propos raciste et que les articles liés à l’immigration et à l’Islam sont uniquement des vérités. Des vérités qui dérangent bien entendu, toutes les personnes concernées…

Et avec la mise en place de la loi Avia, notre liberté d’expression sur les réseaux sociaux n’existe plus… Il est dorénavant interdit de critiquer l’immigration de masse ainsi que l’Islam radical… Même si ces publications sont des vérités que personne ne peut nier…

Par contre, la censure sur Facebook n’a qu’un sens, un peu comme l’association SOS Racisme qui combat uniquement le racisme envers les étrangers, mais qui se moque complètement du racisme anti-Français et du racisme anti-blanc. Donc, sur Facebook, personne n’est censuré parce que l’on critique la France et les Français…

Ces modérateurs Musulmans ne censurent pas non plus leurs compatriotes maghrébins qui prennent plaisir à publier sur ce réseau social des images et des vidéos d’agressions et de tortures sur des Français et/ou sur des animaux…

Le Gouvernement Français fait tout son possible pour favoriser l’invasion migratoire ainsi que la propagation de l’Islam dans notre pays. Ce même Gouvernement met également des lois en place pour faire taire définitivement les Français qui refusent le remplacement de la population Française par des Maghrébins…

Oui, vous avez bien lu !

Le Gouvernement Français veut le remplacement de la population Française par des Maghrébins pratiquant cette religion qu’est l’Islam radical…

J’ai tenté en vain, par différents moyens, de me recréer un autre compte sur Facebook. Le moindre commentaire ou partage dénonçant l’invasion migratoire et/ou la propagation de l’islam est aussitôt censuré par ces modérateurs Musulmans et la fermeture définitive du compte Facebook est systématique !

Avec la loi Avia, il est interdit de critiquer l’immigration et l’Islam, mais il est possible de critiquer le Christianisme et/ou le catholicisme…

Le réseau social Facebook n’est plus ce que c’était auparavant car Mark Zuckerberg, le propriétaire de Facebook, a choisi le Maroc pour la modération de son réseau social afin de payer le moins cher possible ses modérateurs. Mais hélas, en voulant faire des économies, c’est son réseau social tout entier qui se dégrade au niveau qualité et liberté d’expression…

Comme tous les nationalistes et/ou les patriotes censurés par ces modérateurs Musulmans de chez Facebook, je me suis redirigé sur le réseau social Russe VK.com. Ce réseau social Russe est similaire à Facebook, hormis que notre liberté d’expression n’est pas censurées par des modérateurs Musulmans…

Source:MyJournal.fr

 

…et

 

…et:

Ceci est accepté par les censeurs  facebookiens !!!

Tout a été dit et  écrit sur ce malheureux sujet gangstérisé à l’extrème!

 

 

 

Facebook doit payer 9 millions $ pour indications trompeuses sur la confidentialité

 

 

Facebook versera également une somme supplémentaire de 500 000 $ pour les coûts de l’enquête du Bureau.

Facebook devra payer neuf millions de dollars pour avoir donné des indications trompeuses sur la confidentialité aux Canadiens au sujet de la protection des renseignements personnels sur Facebook et Messenger, conclut le Bureau de la concurrence.

Dans un communiqué rendu public mardi, le Bureau explique que le réseau social versera également une somme supplémentaire de 500 000 $ pour les coûts de l’enquête.

Il s’agit d’un règlement enregistré aujourd’hui auprès du Tribunal de la concurrence, et dans le cadre duquel Facebook a accepté de ne pas donner d’indications fausses ou trompeuses à propos de la divulgation de renseignements personnels, précise le Bureau.

Cette décision intervient après une enquête qui a porté entre autres sur les pratiques de Facebook entre août 2012 et juin 2018.

Le Bureau de la concurrence reproche à Facebook d’avoir laissé croire aux utilisateurs qu’ils pouvaient limiter l’accès à leurs renseignements personnels et leur consultation à l’aide de fonctionnalités de protection des renseignements personnels, comme la page générale des « Paramètres de confidentialité », la page « À propos » et le menu de sélection d’audience des publications.

Mais le réseau social n’a pas limité le partage de renseignements personnels de ses utilisateurs auprès de certains développeurs tiers, peut-on lire dans le communiqué.

Cela va du contenu que les utilisateurs avaient publié sur Facebook aux messages échangés sur Messenger.

Pour le Bureau de la concurrence, Facebook a aussi permis à certains développeurs tiers d’accéder aux renseignements personnels d’amis d’utilisateurs une fois que ces derniers avaient installé certaines applications de tierces parties.

 

 

 

 

 

Le Conseil international de surveillance de la liberté d’expression de Facebook est une chambre néo-libérale d’écho

Facebook de Mark Zuckerberg a récemment mis en place un comité de surveillance de la modération du contenu comprenant des universitaires du monde entier.

Facebook le 6 mai 2020 a annoncé les premiers membres de son indépendant

Son objectif est de répondre aux critiques croissantes des attaques de Facebook contre la liberté d’expression et la dissidence politique en permettant un processus d’appel sur lequel ces experts vont peser.

Sur le papier, le conseil d’administration prétend être une vérification de la liberté d’expression contre les «normes communautaires» draconiennes. Dans la pratique, c’est un autre coin amen néolibéral qui tentera de légitimer la censure des réseaux sociaux et exigera qu’elle aille plus loin.

Le conseil comprend des universitaires et des travailleurs d’ONG de tous les continents. Des nations aussi diverses que le Brésil, le Sénégal, le Yémen et Israël sont représentées, mais notamment, il n’y a pas une seule voix russe, chinoise, vénézuélienne ou iranienne dans le panel.

Andras_Sajo

Les nations du groupe de Wisegrad, où Facebook joue également un rôle controversé, n’ont aucune représentation à l’exception du militant anti-Orban financé par George Soros, András Sajó. Alors que Sajó est répertorié comme représentant hongrois, il est un agent des intérêts de Wall Street et de Bruxelles en Europe de l’Est, y compris en tant que fondateur de l’Université d’Europe centrale, un produit de l’Open Society Foundation autrement connu sous le nom de « Soros U. »

Le manque de représentation pour les pays qui ont des milliards de personnes soumises de manière disproportionnée à la censure de Facebook fait de l’ensemble du projet une fraude illégitime. Lors des manifestations de Hong Kong de l’année dernière, Facebook a entrepris une purge massive de journalistes chinois qui contredisaient le récit officiel du Pentagone.

Le réseau d’information vénézuélien Telesur a été interdit en 2018 alors que la CIA entamait des préparatifs pour renverser Nicolas Maduro et mettre Juan Guiado au pouvoir.

La filiale Facebook d’Instagram a supprimé des publications et interdit des comptes appartenant à des Iraniens pleurant la mort du héros national Qassem Soleimani après avoir été assassiné par le gouvernement américain l’été dernier.

Les Russes qui critiquent le gouvernement ukrainien ou expriment leur soutien aux efforts russes en Syrie sont arbitrairement déclarés «désinformation» parrainés par l’État par Facebook et fermés à vue.

Quant aux États-Unis, les critiques nationaux du système américain – des conservateurs aux gauchistes anti-guerre en passant par les ethno-nationalistes – sont également complètement exclus du nouveau chien de garde de la « liberté d’expression » de Facebook. Les individus et les nations entières qui sont ciblés par Zuckerberg pour leurs convictions politiques ou pour remettre en question les positions de l’oligarchie américaine ne reçoivent même pas un seul avocat sur le panel du conseil de surveillance superficiellement diversifié et idéologiquement unifié.

Facebook n’est peut-être tenu par aucune loi de respecter la libre circulation des idées, mais il n’a pas le droit de se faire une fausse image de marque qui encourage et respecte ce concept.

Leur « conseil de surveillance » nouvellement créé est une tentative futile de changer le public américain et une grande partie de la perception exacte du monde: Facebook est un monopole gonflé et sur la colline qui sert d’outil de propagande aux Juifs internationaux et au gouvernement américain.


EN COMPLÉMENTAIRE
George Soros s’est infiltré à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH)
George Soros

Dans son article volumineux, divisé en huit  » chapitres « , citant les recherches de Grégor Puppinck, chef de l’ONG du Centre européen de droit et justice, dont il a constaté qu’il était le seul propriétaire, le milliardaire américano-hongrois existe depuis une vingtaine d’années.

Dans le premier chapitre, après Puppinck, qui a cartographié les biographies des 100 juges de la Cour européenne des droits de l’homme qui sont en fonction depuis 2009, l’auteur fait un rapport sur les « juges Soros », y compris le professeur hongrois András Sajó, Université d’Europe centrale. l’un de ses fondateurs. Sajó était également membre de la chambre qui a condamné l’Italie en 2009 pour le passage obligatoire dans les écoles.

Dans le deuxième chapitre, l’auteur explique comment la Soros Open Society Foundation a pu s’infiltrer dans le conseil d’administration: Puppinck a déclaré qu’il était « très utile » dans les pays derrière le rideau de fer de déléguer à la Cour des ONG expérimentées dans le domaine des droits de l’homme.

Dans le troisième chapitre, il rappelle que, selon les recherches de Puppinck, 22 des 100 juges étaient en contact direct avec sept organisations Soros qui avaient bénéficié des 32 milliards de dollars que Soros avait investis dans l’Open Society Foundation depuis 1984.

Dans le quatrième chapitre, l’auteur dresse un portrait milliardaire des « militants et intéressés » qui, en tant que philanthrope, investit principalement dans des pays où il y a une chance de retour sur investissement, et nomme les États dont les juges soutenus par l’Open Society Foundation sont issus de la Cour EDH. Bosnie-Herzégovine, Albanie, Bulgarie, Croatie, Hongrie, Lettonie et Roumanie.

Dans le cinquième chapitre, après Puppinck, il explique que depuis 2009, le tribunal a entendu 185 affaires dans lesquelles l’une des sept organisations non gouvernementales (ONG) était la plaignante, et dans 88 affaires des juges qui étaient en contact direct avec les ONG concernées. .

Dans le sixième chapitre, l’auteur analyse les poursuites engagées dans le cadre du programme de surveillance des étrangers PRISM lancé par la U.S.National Security Agency (NSA) pour la surveillance britannique, impliquant 14 des 16 plaignants, des ONG, dont 10 sont financés par la Fondation Soros.

Le chapitre 7 examine plusieurs cas spécifiques concernant l’importance des relations personnelles, y compris un procès en 2018 dans lequel un défenseur d’un groupe féministe appelé Pussy Riot a ensuite été nommé juge dans un tribunal de Strasbourg et le tribunal statue en faveur des féministes contre la Russie, qui a des frais d’avocat. doivent également rembourser.

Dans le huitième chapitre, l’auteur pose la question de savoir s’il vaut la peine de jouer si les règles du jeu sont fausses et il s’inquiète de l’indépendance de la Cour EDH. La « Fondation de la société ouverte hongroise et la Commission d’Helsinki à titre d’exemple Stop Soros mentionne des soumissions contre » la loi, qui a déjà examiné le comité des droits de l’homme du Conseil de l’Europe et de la Commission de Venise, selon  » l’immigration illégale encourage pour » l’infraction d’une nouvelle disposition légale est illégale et elle doit être détruit. «La Hongrie a-t-elle une chance d’obtenir justice si l’attaque vient de la main de certains juges européens? Que s’est demandé l ‘auteur de l’article .

 

Tribunal International des Droits de l’Homme

 

 

 

 

Facebook reconnaît avoir écouté et retranscrit les appels d’utilisateurs

 

Le réseau social payait des centaines de sous-traitants pour écouter les conversations d’usagers de Messenger, avec l’accord de ces derniers.

Facebook a payé des centaines de sous-traitants pour transcrire des extraits sonores de conversations de certains usagers, a révélé mardi 13 août l’agence Bloomberg. Le premier réseau social au monde a longtemps nié agir de la sorte pour mieux calibrer ses publicités ou pages d’information.

Dans un communiqué transmis à l’agence financière, Facebook reconnaît avoir fait transcrire des enregistrements sonores de conversations – avec l’autorisation des usagers – mais affirme avoir mis fin à cette pratique.

« Tout comme Apple ou Google, nous avons gelé la pratique de faire écouter les enregistrements sonores par des humains la semaine dernière », explique le réseau social. Interrogé par l’AFP, Facebook n’a pas répondu dans l’immédiat. Facebook explique avoir eu l’autorisation de procéder à la transcription de leurs conversations par des usagers de son application Messenger.

Les sous-traitants vérifiaient si l’intelligence artificielle du réseau interprétait correctement les messages qui avaient été rendus anonymes. Mais Bloomberg se demande s’il n’était pas aussi question de mieux calibrer ses publicités ciblées, et de vérifier si les appels enfreignaient la politique de Facebook.

Des accusations longtemps niées par Facebook

Selon Bloomberg, les employés qui sont chargés de la transcription s’inquiètent des implications éthiques de leur travail, n’étant ni informés de l’origine des enregistrements des conversations, ni de l’usage qu’en fait l’entreprise fondée par Mark Zuckerberg.

Amazon, Apple et Google, qui vendent tous des assistants vocaux, avaient déjà reconnu faire de même pour améliorer les réponses de leurs applications. Apple et Google ont indiqué avoir abandonné la pratique ces dernières semaines.

Amazon donne le choix aux usagers de bloquer l’utilisation de leurs échanges avec Alexa, l’intelligence artificielle qui anime ses assistants vocaux Echo.

Facebook, qui vient tout juste de payer une amende record de 5 milliards de dollars aux autorités fédérales américaines pour un mauvais usage des données privées de ses usagers, a longtemps nié utiliser des enregistrements audio pour pouvoir mieux cibler ses publicités ou rendre ses pages plus attractives.

Le fondateur et PDG du géant des réseaux sociaux avait rejeté l’idée même lors d’une audition devant le Congrès en avril 2018.

« Vous parlez d’une théorie du complot qui circule affirmant que nous écoutons ce qui se passe dans votre micro et que nous l’utilisons pour de la pub », avait répondu le jeune milliardaire à une question du sénateur Gary Peters. « Nous ne faisons pas ça », avait-il répliqué fermement.

Plus tard, Facebook avait précisé qu’il n’accédait au microphone d’un usager uniquement si ce dernier avait donné l’autorisation à l’application.

Selon Bloomberg, l’entreprise n’avait pas précisé ce qu’elle faisait ensuite des enregistrements.

 

 

 

 

 

Nouvelle fuite de données chez Facebook, des millions d’utilisateurs concernés

Une fuite de plus… Des numéros de téléphone liés à plus de 400 millions de comptes Facebook se sont retrouvés stockés en ligne, à la merci d’une utilisation malveillante, dernière violation en date du groupe américain en matière de protection des données personnelles, a rapporté ce mercredi 4 septembre le site TechCrunch.

 

Un serveur vulnérable a stocké 419 millions de dossiers d’utilisateurs du premier réseau social mondial sur plusieurs bases de données, dont 133 millions de comptes aux Etats-Unis, plus de 50 millions au Vietnam et 18 millions en Grande-Bretagne, selon le site américain.

Les bases de données répertoriaient les identités des utilisateurs de Facebook – une combinaison de chiffres unique pour chaque compte – ainsi que les numéros de téléphone associés aux profils, le sexe pour certains comptes et la localisation géographique.

Le serveur n’était pas protégé par un mot de passe ce qui signifie que n’importe qui pouvait accéder aux bases de données. Il est resté en ligne jusqu’à tard mercredi, quand TechCrunch a contacté l’hébergeur.

Facebook a partiellement confirmé les informations de TechCrunch mais minimisé l’incident, assurant qu’en l’état actuel des vérifications le nombre de comptes concernés ne représentait que la moitié environ des 419 millions évoqués.

Amende record de 5 milliards de dollars

Le groupe a ajouté que nombre d’entre eux étaient des copies et que les données étaient anciennes. « Cet ensemble de données a été retiré et nous n’avons vu aucun signe montrant que des comptes Facebook aient vu leur sécurité compromise », a indiqué un porte-parole.

Après le scandale Cambridge Analytica en mars 2018, révélant l’exploitation à des fins politiques de données de millions d’utilisateurs de Facebook à leur insu, le groupe avait supprimé une fonctionnalité permettant des recherches sur la plateforme avec les numéros de téléphone.

La mise en ligne de leurs numéros de téléphone expose les utilisateurs aux appels non sollicités ou à des piratages avec le transfert de cartes SIM – comme cela est arrivé récemment au patron de Twitter Jack Dorsey.

Fin août, Facebook a dévoilé des tests pour une nouvelle fonctionnalité permettant aux utilisateurs de contrôler leurs données récupérées par la société américaine hors du réseau social. Cette annonce intervenait moins d’une semaine après de nouvelles révélations sur les pratiques de Facebook, qui a reconnu avoir transcrit les écoutes d’extraits sonores de conversations de certains usagers après l’avoir longtemps nié.

Fin juillet, Facebook a été condamné à une amende record de 5 milliards de dollars par la FTC, l’autorité américaine de régulation des communications, pour ne pas avoir su protéger les données personnelles de ses utilisateurs.

 

 

 

Dictature de la pensée unique:Facebook espionne votre vie hors ligne pour décider si vous êtes un «agent de la haine»

Fb spie
Fb spie
Un document interne à Facebook révèle que le géant des médias sociaux surveille le comportement hors ligne de ses utilisateurs afin de déterminer si une personne doit être classée dans la catégorie «agent de la haine», comme l’a signalé le Washington Pundit .

 

 

Intitulé « Révision de la politique des agents de haine », le document révèle que Facebook utilise une série de « signaux » qui incluent le comportement d’une personne, à la fois sur et hors de la plate-forme. Une fois déterminé à être un «agent de haine», une personne est bannie de la plateforme.

Si vous louez les mauvaises personnes, si vous les interviewez ou si vous participez à des événements parallèles, Facebook peut vous classer dans la catégorie «agent de la haine».

Facebook peut également vous considérer comme un agent haineux si vous vous identifiez vous-même ou si vous défendez une « idéologie haineuse désignée », si vous vous associez à une « entité haineuse désignée » (un des exemples cités par Facebook comme « entité haineuse » comprend: Critique de l’islam Tommy Robinson), ou si vous avez «des tatouages ​​de symboles de la haine ou des slogans de haine».

(Le document n’en cite aucun exemple, mais les médias et les groupes de défense de la cause « anti-racisme » qualifient de plus en plus les objets inoffensifs comme des « symboles de haine », notamment une  grenouille de dessin animé  et le signe de la main  » OK « .)

Facebook vous classera également comme un agent de la haine pour possession d’un «attirail pour la haine», bien que le document ne fournisse aucun exemple de ce qui entre dans cette catégorie.

Facebook pourrait même qualifier quelqu’un d’agent haineux pour des « déclarations faites en privé mais rendues publiques par la suite », selon le rapport. Même le simple fait de « défendre un ethnostat » peut vous donner une telle image, bien que ce que l’on entend réellement par « un militant pour un ethnostat  pour les Blancs , car les Noirs, les Métis et la plupart des Juifs sont parfaitement libres de défendre leurs propres ethnostats. » et ni Facebook ni aucun des autres géants des médias sociaux ne la considèrent «odieuse».

En outre, Facebook peut vous qualifier d’agent de haine simplement pour avoir parlé de manière neutre d’individus et d’organisations que le réseau social considère comme «haineuses».



EN COMPLÉMENT

Facebook et Twitter omis du « sommet des réseaux sociaux » de la Maison-Blanche

 

La Maison-Blanche tiendra un sommet consacré aux réseaux sociaux jeudi afin de discuter des défis auxquels est confrontée cette industrie. Mais Facebook et Twitter, deux acteurs majeurs du milieu, n’auraient pas été invités, rapporte CNN.

Le réseau américain tire ces informations de sources anonymes familières avec ce dossier.

Selon ces sources, le sommet ne viserait pas à parler des problèmes du marché des réseaux sociaux. Ces personnes affirment qu’il s’agirait plutôt d’une tribune pour que des individus politiquement à droite puissent se plaindre au sujet des réseaux sociaux.

La Maison-Blanche a refusé de commenter, indique CNN.

Le sommet des réseaux sociaux a été annoncé par la Maison-Blanche en juin. L’institution américaine avait alors décrit l’événement comme une occasion de rassembler « des leaders du numérique afin d’avoir des échanges fructueux sur les occasions et les défis présentés par l’environnement en ligne actuel. »

Le Washington Post a indiqué la semaine dernière que des figures de proue de la droite américaine ont été invitées, dont certaines ont déjà exprimé leur désaccord avec les positions de différents réseaux sociaux au sujet de la liberté d’expression. Certaines de ces personnes ont accusé Facebook, Twitter et d’autres plateformes de censurer les opinions de droite ou d’avoir un biais antidroite, ce que les entreprises visées ont toujours démenti.

Le président Donald Trump fait partie de ceux qui attaquent régulièrement les réseaux sociaux. Il prétend entre autres que Twitter restreint l’accès à son profil pour ses partisans.

La liste des invités au sommet n’a pas été dévoilée par la Maison-Blanche.

 

 

 

 

Miracle : Facebook supprime 265 comptes liés à Israël qui diffusaient des fakes news

 

 

 

L’entreprise Facebook a fait savoir le 16 mai qu’elle avait supprimé 265 comptes, pages et groupes, sur Facebook et Instagram, qui faisaient partie d’un même réseau utilisé pour diffuser de fausses informations ou influer de manière malhonnête sur le débat politique, principalement en Afrique, en Asie et au Brésil. Ces comptes étaient suivis par environ 2,8 millions de personnes et ont diffusé pendant sept ans des publicités politiques pour plus de 700 000 euros.

Les équipes de l’entreprise dirigée par Mark Zuckerberg ont produit des exemples pour étayer ces accusations : des messages qui montrent que ces pages servaient à diffuser de fausses informations. Un de ces messages rendus publics, écrit en français, avait été publié par une page nommée «L’Afrique cachée», était destinée aux internautes maliens et qui assurait notamment que la société Airbus avait investi dans une mine d’or détenue par un proche du pouvoir malien.

L’enquête de Facebook a réussi à prouver que ces comptes suspects appartenaient à l’entreprise israélienne Archimedes Group, désormais interdite sur cette plateforme. Selon les informations du Monde, cette entreprise «plutôt discrète» se présente comme «une société fournisseuse d’outils électoraux, vendant notamment une suite logicielle, Archimedes Tarva, conçue pour « la gestion de campagnes de masse sur les réseaux sociaux » ou encore les « opérations nécessitant un nombre illimité de comptes« .»

Ses clients sont principalement situés en Afrique sub-saharienne et en Amérique du sud. Son président-directeur général, Elinadav Heymann, aurait longtemps travaillé dans la politique en tant que lobbyiste et consultant politique, notamment à Bruxelles, après un passage dans l’armée de l’air israélienne. Il est connu comme un défenseur zélé de la ligne israélienne conservatrice, farouchement opposée au terrorisme et au boycott des produits de l’Etat hébreu.

Le responsable de la sécurité chez Facebook a déclaré lors d’une conférence de presse :

«Certaines pages se présentaient comme étant la création d’acteurs locaux, voire comme des médias des pays concernés, et publiaient de prétendues informations confidentielles sur des hommes et des femmes politiques. Ces comptes n’ont pas été supprimés en raison de ce qu’ils disaient ou de qui les avait créés, mais en raison de leur comportement, qui visait à tromper les utilisateurs.»

 

Note  : Cela me rappelle cette news récente où plus de 400 comptes suspectés d’être frauduleux généraient des fake news pro-Netanyahu diffusées en masse sur les réseaux sociaux et calomniaient les opposants politiques pendant la campagne électorale d’avril dernier.

Source : https://francais.rt.com/international/62145-facebook-supprime-265-comptes-lies-israel-fausses-informations

 

 

 

 

 

 

Facebook refuse de supprimer une fausse vidéo où la chef démocrate a l’air saoule

 

Facebook refuse de supprimer une vidéo altérée pour faire laisser croire que la chef des démocrates à la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a livré un discours alors qu’elle était saoule, ce qui met en lumière un problème majeur dans le plan du géant techno pour combattre les fausses nouvelles.

Le clip, d’abord rapporté par The Washington Post, montre la démocrate californienne discutant du président Donald Trump à un événement organisé par le Center for American Progress mercredi. Un troll non identifié a réduit la vitesse de la vidéo et monté le ton pour que son discours ait l’air confus, mais normal – créant alors la fausse apparence qu’elle avait les capacités affaiblies.

La fausse vidéo s’est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. L’avocat privé de Trump, Rudy Giuliani, a tweeté un lien vers la vidéo sur Facebook, où le clip avait alors pas loin d’un million de visionnements. (Giuliani a plus tard supprimé le tweet et a livré des excuses qui avaient l’air confuses.)

Facebook a depuis longtemps admis ses échecs dans la lutte aux fausses nouvelles dans la course à la présidentielle de 2016, et a dévoilé l’année suivant un système supposé arrêter le courant de matériel faux ou trompeur.

«Les fausses nouvelles sont nocives pour notre communauté, elles rendent le monde moins informé, et elles érodent la confiance», écrivait Facebook en avril 2017. «Ce n’est pas un nouveau phénomène, et nous tous – entreprises techno, entreprises médiatiques, salles de nouvelles, enseignants – nous avons la responsabilité de faire notre part pour y faire face.»

Mais un porte-parole de Facebook a déclaré vendredi que des «fakes news» évidentes, comme cette vidéo de Pelosi, techniquement ne brisaient pas les règles puisqu’il n’y a pas de politique contre la publication de faux contenu sur la plateforme. Facebook laissera donc la vidéo circuler.

Cela dit, Facebook a toutefois «mis en file d’attente» la vidéo pour une revue par une compagnie tierce de vérification des faits, ce qui voudrait dire qu’il juge la vidéo trompeuse. Alors maintenant, au lieu d’être supprimée complètement, la fausse vidéo du discours de Pelosi sera plus difficile à trouver sur la plateforme, selon le porte-parole.

L’annonce de Facebook a relancé les discussions sur les campagnes de salissage et les fausses nouvelles qui ont terni la dernière présidentielle. La vidéo de Pelosi rappelle celle d’Hillary Clinton devenue virale lors de sa campagne, qui la montrait physiquement ou mentalement indisposée.

«La vidéo modifiée/falsifiée de Nancy Pelosi n’est pas exactement une nouvelle affaire», a tweeté la journaliste de Wired Issie Lapowsky. «C’est copié du manuel “Hillary Clinton est malade” de 2016.»

Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:

Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:

«Il y a une tension ici: nous travaillons fort pour trouver le bon équilibre entre l’encouragement de la liberté d’expression et la promotion d’une communauté sécuritaire et authentique, et nous croyons que de réduire la distribution de contenu inauthentique atteint cet équilibre. Mais ce n’est pas parce que quelque chose est permis sur Facebook qu’elle devrait obtenir de la distribution. En d’autres mots, nous permettons aux gens de la publier en tant que forme d’expression, mais nous ne la montrerons pas à la une du fil d’actualité.»