Nouvel Ordre Mondial:Comme l’Union soviétique, l’UE bientôt dans les poubelles de l’histoire

 

 

La récente crise des migrants a fait lumière sur la «crise d’unité» de l’Union européenne. L’organisme européen souffre des mêmes symptômes que l’URSS dans ses dernières années d’existence.

Des migrants en Macédoine, après avoir traversé la frontière grecque.
Des migrants en Macédoine, après avoir traversé la frontière grecque.

Mikhaïl Gorbatchev a très bien dit, il y a pas mal de temps : «Le développement le plus énigmatique de la politique moderne, c’est la détermination apparente des dirigeants européens occidentaux à recréer l’Union soviétique en Europe de l’Ouest.»

Le dernier dirigeant soviétique ne se référait pas à une aspiration de l’UE de s’étendre vers l’est, mais plutôt à la structure de gouvernance mal équilibrée, quand les petits Etats sont de plus en plus dominés par des membres plus grands. Cela est apparu de façon évidente l’année dernière, lorsqu’Angela Merkel a de façon quasiment unilatérale imposé à l’Union Européenne une politique d’immigration libérale, qui a entraîné une division très importante de ses membres.

Il y a dix ans, la Bulgarie et la Roumanie étaient à quelques mois de l’accession à l’UE, la Croatie faisant tout son possible pour les suivre. En effet, l’Union était tellement attirante que même les pays riches comme la Suisse et la Norvège avaient des débats sérieux en vue de la rejoindre. Si quelqu’un avait annoncé que dix ans plus tard, le président de la Commission européenne lancerait des avertissements concernant à la «crise existentielle» de l’UE, vous vous seriez probablement demandé ce qu’il avait bu.

Mais on est en 2016, et Jean-Claude Juncker a dit cela dans son discours annuel devant les députés. Il a reconnu que le bloc manquait d’unité en indiquant que «l’histoire ne se souviendra pas de nous. Elle se souviendra de nos erreurs et de leurs effet sur la prochaine génération». Alors que le chef de l’exécutif européen a tardivement informé les membres du législatif des réalités actuelles, il est raisonnable de penser que le poisson était déjà ferré. C’est apparemment comme ça que  les événements évoluent à pas géant sur le continent.

 

Une Union divisée

Cette semaine encore, le ministre des Affaires étrangères du Luxembourg a appelé à ce que la Hongrie soit jetée hors du club pour avoir refusé d’accepter des migrants, alors que l’Autriche semble incapable d’organiser une élection présidentielle. Certains pensent que c’est le cas parce que l’establishment a peur de la victoire des nationalistes, car les sondages démontrent le large soutien du candidat d’extrême-droite Norbert Hofer, mais la raison officielle est une colle défectueuse sur les enveloppes destinées au vote par correspondance.

Entre temps, à Vienne, le représentant le plus éminent du clergé autrichien, crise-euroSchönborn, avertit les catholiques que les musulmans planifient la «conquête islamique de l’Europe». Dans un contexte global, Christoph Schönborn n’est pas une figure obscure, c’est même l’un des favoris à la succession du pape François au poste d’évêque de Rome.

En même temps, les Balkans reviennent lentement vers cette l’idée. Les Serbes de Bosnie proposent un référendum sur l’indépendance de Sarajevo et la réponse de Zagreb est de menacer d’«agir pour protéger les Croates» en Bosnie, considéré par comme un «Etat qui a failli».

Comte tenu de tous ces discours présageant une crise, les Britanniques se sont libérés de ce pression en votant pour sortir du bloc. Et leurs voisins en Irlande, à l’époque figure emblématique de l’Union européenne, se sont tout-à-coup mis à remettre en question leur propre participation, au vu des pressions exercées par Bruxelles sur le système de fiscal mis en place par Dublin. Comme si ce n’était pas assez mauvais, des hommes politiques anti-Bruxelles montent dans les sondages en Italie et aux Pays-Bas, alors qu’en France, Marine Le Pen propose d’organiser un référendum sur le «Frexit». Il vaut la peine de garder à l’esprit que ces trois Etats sont les piliers du projet.

Cherchez l’erreur

Les eurocrates consacrés, comme notre vieil ami Carl Bildt, sont naturellement consternés. Mais ils semblent incapables d’accepter leur part de responsabilité dans cette lente implosion de l’UE.

Autrement dit, elle s’est agrandie trop vite. Et l’idéologie l’a emporté sur le pragmatisme pendant trop longtemps. Bruxelles a, par exemple, tendu la main à l’Ukraine en 2013, en lui proposant  un accord d’association, au moment où il était clair que la population de l’UE n’avait aucune envie d’accueillir de nouveaux entrants. Quand on se souvient des événements, la présence du commissaire britannique en charge des Affaires étrangères, Catherine Ashton, à Kiev, à Maïdan, était tellement ridicule, considérant la position déjà fragile du Royaume-Uni dans l’Union européenne. Pourtant, pas un seul commentateur des médias britanniques n’a jamais mentionné cette hypocrisie.

Les efforts se sont concrétisés en 2015, lors de la crise des migrants, lorsque certaines élites semblaient faire de la politique à la hâte. C’est comme ça qu’Angela Merkel, apparemment sans consulter personne, a unilatéralement ouvert les portes de l’Allemagne à de nouveaux arrivants.

En fin de compte, 1,1 million de migrants étaient arrivés avant la fin du mois de décembre de la même année. Seuls 54 d’entre eux ont jusqu’à présent obtenu des emplois au sein d’entreprises allemandes, en dépit de la rhétorique de représentants de l’économie, comme le président de Daimler, Dieter Zetsche, qui avait affirmé que la plupart des réfugiés étaient «bien formés et motivés» et que «Mercedes avait besoin d’eux». Son entreprise a tout de même recruté 40 stagiaires.

Angela Merkel a également échoué à se mettre d’accord sur un plan concerté avec d’autres dirigeants de l’UE. Mais maintenant, elle attend qu’ils aident à soulager le fardeau de l’Allemagne et accueillent plus de migrants. Jusqu’à présent, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie refusent de jouer à ce jeu et certains autres pays offrent une coopération minimale. La Lettonie – où la population a baissé de 15 400 personnes rien qu’en 2014 – en a accepté 47 et la Lituanie, 26.

Les migrants envahissent l'Union Européenne.
Les migrants envahissent l’Union Européenne.

Ce qui est valable pour la cane…

La racine du malaise est simple. L’establishment allemand favorise largement l’immigration à grande échelle, même si, d’après les sondages, les deux tiers des citoyens ne sont actuellement pas d’accord avec le slogan «Bienvenue aux réfugiés» . Cependant, les gouvernements de nombreux autres pays de l’UE ne soutiennent pas cet afflux, notamment en raison du fait que la plupart de ces nouveaux arrivants ne sont pas issus de la tradition chrétienne. Alors que les médias libéraux et eurocrates eux-mêmes semblent être scandalisés par cette position, c’est un point de vue qui était plus ou moins général dans toute l’Europe jusqu’à très récemment.

Par exemple, les eurocrates peuvent détester le Premier ministre hongrois Viktor Orban, mais faire cela signifie ne pas tenir compte de son électorat. Viktor Orban n’est pas un dictateur et sa position reflète très probablement le point de vue des Hongrois qui l’ont élu. Ainsi, s’il se prosternait devant les exigences de Bruxelles, de telles actions seraient antidémocratiques au niveau national.

Le 8 décembre 1991:la mort de l'URSS est fêtée par ses citoyens.
Le 8 décembre 1991:la mort de l’URSS est fêtée par ses citoyens.

Là est tout le problème. Les libéraux perçoivent l’UE comme un véhicule pour la promotion de la démocratie, mais reculent quand les politiciens élus de façon honnête poursuivent des politiques qui ne sont pas à leur goût. Nous l’avons vu en Ukraine en 2013, lorsque l’ancien président Viktor Ianoukovitch a rejeté un accord d’association avec l’UE qui consituait une très mauvaise opération financière pour son pays. Plutôt que de respecter son mandat, les eurocrates ont activement soutenu son éviction par un coup violent.

Parallèlement aux avertissements terribles lancés sur l’avenir de l’UE, le discours de Jean-Claude Juncker contenait des références à une contribution incontestable de l’alliance pour la paix et pour le travail des agriculteurs, ainsi que l’intervention de Bruxelles pour réduire les frais d’itinérance de la téléphonie mobile.

Quant à l’accord sur les migrants passé avec Ankara, qui était censé permettre aux Turcs de voyager sans visa dans l’espace Schengen dès cet automne, il n’en a pas fait mention. Le président de la Commission a également évité de s’exprimer sur les mauvaises relations avec la Russie ou sur la guerre en Ukraine, un sujet qui frémit encore.

En janvier 2004, l’UE comptait 15 membres, uniformément occidentaux, principalement progressistes et relativement riches. Une décennie plus tard, elle se vantait d’en avoir 28 et la plupart des nouveaux arrivants étaient d’anciens pays de l’Est, qui sont relativement pauvres et socialement plus conservateurs que le reste de l’Union.

C’est le problème. L’UE a grandi trop vite et récolte maintenant la tempête car ses structures ne s’en sortent pas. Les dirigeants du bloc auraient dû écouter Mikhaïl Gorbatchev. Après tout, personne ne sait mieux que lui ce qui se passe lorsqu’une grande union perd l’adhésion de ses citoyens.

La poignée de main qui sonna le glas de l'Union Soviétique...entre Gorbatchev et Boris Elsine.
La poignée de main qui sonna le glas de l’Union Soviétique…entre Gorbatchev et Boris Elsine.

 

L,expansion de l'OTAN a suivi les révolutions colorées en Europe,planifiées par la CIA. L'UE est une basse-cours  américaine,maintenant.
L’expansion de l’OTAN a suivi les révolutions colorées en Europe,planifiées par la CIA.
L’UE est une basse-cours américaine,maintenant.

 

 

 

 

Ère Nouvelle:Victoire du peuple grec contre la tyrannie de l’Union Européenne et les banquiers de Rotschild

Malgré une campagne de terreur et de chantage contre eux, en ce dimanche 5 Juillet 2015, le peuple grec a voté par une marge de plus de 61% à moins de 39% (oui), de ne pas se soumettre au pouvoir du tyran Zeus, de ne pas soumettre volontairement à l’austérité génocidaire européenne  basée sur une dette illégitime imposée frauduleusement, comme exigé jadis par l’Empire britannique au peuple américain et au peuple québécois. Leur vote de «non» est un «oui» retentissant à un avenir, pas seulement pour les Grecs, mais pour l’humanité toute entière , même si cependant aussi  incertaine que l’avenir puisse-être en ce moment.

 

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s'adresse aux électeurs, au soir de le victoire du "non" au référendum grec, dimanche 5 juillet 2015.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s’adresse aux électeurs, au soir de le victoire du « non » au référendum grec, dimanche 5 juillet 2015.

Immédiatement après avoir entendu les résultats du vote, j’ai compris que ce vote ne sera pas seulement  valable pour avoir des conséquences pour la Grèce uniquement. Le vote a des conséquences pour le monde, et surtout pour la région trans-atlantique.

Le résultat du non majoritaire grec aura d’énormes conséquences pour Stephen Harper et pour le Canada qui est le souteneur et le « faire-valoir » de la volonté mortuaire de l’Empire Britannique en Amérique du Nord.Il faut être idiot pour croire que le Canada est une démocratie  au sens large du terme.Nous ,le peuple québécois, connaissons fort bien comment ça marche cette démocratie  totalitaire du système parlementariste canadien.En 1995,lors du dernier référendum sur la souveraineté du Québec,on a donné leur citoyenneté canadienne à plus de 26,000 immigrants nouveaux (dont plusieurs terroristes recherchés par le FBI et la CIA américaine) en leur demandant de voter non au référendum ,au Québec.Contrairement au non grec,un vote non lors du référendum québécois sur la souveraineté signifiait que nous allons continuer à subir la honte,l’invasion,l’assimilation culturelle,politique et sociale et à travailler en esclave sur notre propre terre.Ensuite est ressortie le scandale des commandites ou des centaines de millions de dollars ont été détournés aux profits des amis du Parti libéral du Canada.Ensuite,Jean Chrétien ,notre Quisling national,s’est débarrassé de Jean Charest,alors chef du Parti Progressiste-Conservateur en lui  donnant une belle enveloppe brune pour qu’il abandonne son poste pour devenir chef du Parti libéral du Québec.Personne ne voiulait plus devenir chef de ce parti politique contrôlé par le crime organisé et Jean Charest va  édifier  la gérance de l’état autour de la corruption et de la collusion politique.Actuellement,en 2015,le Parti libéral du Québec fonctionne sur la loi de l’omerta et si demain-matin,je deviendrais premier ministre ou président du Québec,je ferais dissoudre ce parti politique ainsi que tous les autres  élu(e)s de l’Assemblée nationale tout en déclenchant une importante enquête publique.La totalité des  hauts fonctionnaires de ce gouvernement seraient mis en état d’arrestation et jugé.J’embaucherais de jeunes finissants  collégiaux ou universitaires pour les remplacer,car le meilleur moyen pour ne pas  choisir une « pomme pourrie » ,c’est de la choisir verte dans l’arbre.

Corruption dddd

La seule façon de rémédier à l’institualisation du crime organisé,au Québec comme  dans beaucoup de pays contrôlé par des sociétés secrètes (comme en France,en Angleterre,etc) est d’abattre ces institutions politiques en marchant pacifiquement,mais résolument,la tête haute en oubliant la peur…sur notre Assemblée Nationale.Il faut réclamer la démission en bloc de ces gouvernements et punir leurs petits amis.

Le gouvernement et le peuple grec ont réussi dans leur référendum en le déclenchant rapidement…Ils  n’ont pas laisser le temps à l’Union Européenne pour démolir leur unité et leur résolution de vouloir changer quelque chose chez eux:ils sont souverains et ils ont profité de cette souveraineté!

Une mauvaise fréquentation...
Une mauvaise fréquentation…Arthur Porter  et Stephen Harper.

Tandis que le Québec est la dernière Colonie survivante de l’Empire Britannique …administrée par les néolibéraux,comme en Europe! 


VERS UNE SECONDE RÉVOLUTION AMÉRICAINE ET LA FIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL

 

La question fondamentale pour le peuple américain est : qu’est ce qu’Obama va faire? Ce vote aura des conséquences pour Obama, parce qu’il est une simple marionnette de l’Empire britannique et de Wall Street, qui seront tous deux durement touché par le vote grec.

En Allemagne, la chancelière allemande Angela Merkel et le ministre allemand des Finances Wolfgang Schaeuble sont dans le pétrin. L’économie allemande est  en train de plonger vers le bas. Tout allemand sain d’esprit en  viendra à une conclusion:se débarrasser du duo de  Merkel et Schäuble. Du point de vue de l’économie allemande, aucune autre conclusion raisonnable n’existe. L’Allemagne est pratiquement le seul pays producteur qui reste en Europe. Si l’Allemagne ne veut  pas se suicider, il n’a pas d’autre alternative que de se débarrasser de Merkel et Schäuble maintenant. Ils ne sont pas les dépenses Allemagne peut continuer à transporter. L’économie allemande est déjà en chute libre. Combien de temps l’Allemagne peut survivre sous sa mauvaise direction actuelle?

Hillary Clinton recouverte d'un tchador.
Hillary Clinton recouverte d’un tchador.

Et d’ailleurs, combien de temps les Etats-Unis peuvent survivre sous  la mauvaise direction d’Obama? …ce n’est surement pas Hillary Clinton et ses petits amis terroristes qui vont améliorer la situation!

Il faut souligner  que nous pouvons nous attendre à des changements soudains au niveau mondial immédiatement …et dans peu de temps. Il y aura un instinct de punir la Grèce, pour ne pas perdre la face …en ce qui touche l’Union Européenne.

Les changements seront de nature mondiale, frappant principalement la région transatlantique. Soyez prêt parce que l’enfer peut en  sortir. Le 7 Juillet, Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) de la  New Development  Bank seront officiellement lancé. Les 8 et 9  Juillet 2015, les nations BRICS se réuniront en Russie. Est-ce que les laquais de l’Empire britannique vont tenter de forcer la Grèce à sortir de la zone euro? Si oui, la Grèce va-t-elle  rejoindre les BRICS? Ou assisterons-nous à une tentative pour essayer de maintenir la Grèce dans la zone euro? D’après moi,les américains et les européens vont tenter de faire renverser  le gouvernement légitime par  leur méthode d’infiltration:une révolution colorée de type néo-nazi,comme en Ukraine!De toute façon, la question n’est pas la Grèce en soi. La question est la faillite de la région trans-atlantique dans son ensemble. Comme plusieurs économistes l’ont souligné: il n’y a pas de solution unique, mais plutôt il ya un ensemble de complications. Il y aura un effet global. Les marchés réels ne sont pas limités par tous les moyens à l’Europe. Les activités financières sont de nature mondiale.

Marine Le Pen est la seule politicienne qui a osé appuyé le non de la Grèce. Il nous faut aussi un front national...au Québec pour oser,nous aussi!
Marine Le Pen est la seule politicienne qui a osé appuyé le non de la Grèce.
Il nous faut aussi un front national…au Québec pour oser,nous aussi!

Par conséquent, la crise doit être examiné non pas de bas en haut, mais plutôt de haut en bas. Pour ce faire, vous avez à vous extraire de votre entourage local. Nous sommes confrontés à une crise mondiale, pas une crisette  locale. Même une réduction de la dette grecque ne suffirait pas à résoudre la crise.

Comme l’ont fait remarqués quelques économistes et politiciens américains, ce qui est requis est de réimposer la législation Glass-Steagal  de Franklin Roosevelt aux États-Unis et dans le monde.


 

 

DÉFINITION DU GLASS-STEAGALL ACT

Le Glass-Steagall Act est une loi, passée par le Congrès américain pendant la Grande Dépression des années 1930, promulgant la séparation des activités d’investissement et des activités commerciales des banques.

La loi visait à protéger les banques commerciales, qui acceptent les dépôts des épargnants et accordent des prêts aux particuliers et aux entreprises, des risques pris par les banques d’investissement.

La loi Glass-Steagall est abrogée en 1999 sous l’administration Clinton, principalement pour permettre la naissance d’un géant de la banque : Citigroup. De nombreux experts s’accordent à dire que l’abrogation du Glass-Steagall Act a contribué à la crise financière de 2008.

Bill Clinton est un membre important du groupe de Bilderberg et est à la solde des Illuminatis.


 

Comme l’ont  souligné  de nombreux économistes, absolument rien n’est fixé. Tout ce que vous comptez come sur ,en terme de valeurs,pourrait disparaître en quelques jours. Le monde entier pourrait être chamboulé.

Par conséquent, l’approche qui doit être prise est d’aller pour le centre de l’action. Par exemple,commencez par le centre galactique. Vous devez regarder la planète dans son ensemble, sous implications galactiques. Vous devez comprendre l’existence de ce point de vue de l’homme (par l’homme). Les processus qui régissent la galaxie déterminent tout. Vous devez aller de l’ensemble au particulier, et non pas du particulier à l’ensemble. La galaxie a des considérations multiples, dont l’humanité ainsi apprécie le bien que dans une mesure limitée.Il ne reste pas assez d’années à vivre pour  les Humains de la terre afin de comprendre  un seul pour cent (1%) des règles qui régissent l’univers.

Le mot de la bouche de Satan est « être pratique, » quand en fait ce qui est réellement nécessaire est d’être créatif! Il ne faut jamais oublier que la pensée est la création…et non pas l’inverse!

On en sait de plus en plus sur les dimensions des problèmes à résoudre. Comme nous explorons ces dimensions, nous devenons plus qualifié pour traiter correctement les problèmes auxquels fait face l’humanité,maintenant. Pour ce faire, Nous,le peuple des Humains de la Terre, devons nous développer davantage pour acquérir  des compétences suffisantes pour prendre des décisions à l’échelle mondiale.Il nous faut remplacer la gérance maladroite des Maîtres actuels du Monde: les Illuminati et le Nouvel Ordre Mondial.

Le peuple grec  criant sa victoire!
Le peuple grec criant sa victoire!

Ceci nous montre  l’importance de la musique classique. La façon dont nous devons  penser à un moment de crise mondiale, comme nous sommes maintenant confrontés, est de la mettre du point de vue de la musique classique,afin de la comprendre. Le principe musical classique n’est jamais trouvé dans les notes simples en tant que telles. C’est une question de placement. Le « vraiment » grand compositeur classique met son identité( ce que Beethoven a fait), dans une mission personnelle pour améliorer la condition humaine, en élevant l’esprit humain pour être en harmonie avec le principe musical du monde, pour être en concordance avec le principe créatif de la galaxie.

Depuis le (ou vers le) 21 décembre 2012,nous avons été mis en diapason avec le centre de notre galaxie,suivant le calendrier maya.De nombreuses personnes se sont fait du capital médiatique en parlant de fin du monde,mais en réalité,il fallait parler du début de l’Ère Nouvelle.

Économie- Les épargnants ne sont plus protégés en Europe

euros

Plus le temps passe, plus on doit se rendre à l’évidence : Chypre a constitué une répétition générale, l’expérimentation d’un plan qui sera reproduit ailleurs. La déclaration de Jeroen Dijsselbloem, le président de l’Eurogroupe, qui a parlé de « modèle », avant de se rétracter, s’avère donc vraie.

La Commission européenne, et plus spécialement Michel Barnier, le commissaire en charge des banques, prépare en effet une directive qui mettra à contribution les dépôts de plus de 100.000 euros en cas de sauvetage bancaire. L’intention de départ est louable puisqu’il s’agit de ne plus mettre à contribution les contribuables, mais cet argument ne constitue-t-il pas qu’un prétexte ?

La directive prévoit qu’en cas de faillite d’une banque, les pertes seront d’abord épongées par les propriétaires et les actionnaires, suivis des créanciers « juniors » et « seniors » puis, en troisième rang, les déposants au-dessus de 100.000 euros. C’est seulement si l’ensemble de ces contributions s’avérait insuffisante qu’interviendrait l’argent public, à travers le fonds de secours européen, le MES

Voilà pour la théorie, qu’en est-il concrètement ? Lorsqu’une banque affiche de mauvais résultats, les actionnaires en ont déjà payé le prix depuis longtemps ! Les grandes banques européennes ont déjà perdu environ 90% de leur valeur boursière depuis la crise ,(l’action  cotait 170 euros en 2006, 25 aujourd’hui, par exemple), il ne reste donc plus grand-chose de ce côté-là. Les créanciers ont également fait en sorte de partir. La seule vraie richesse qui reste, ce sont les comptes bancaires. Ils prendront donc sur eux l’essentiel de la ponction, il ne faut pas se faire d’illusion.

Mais les comptes de moins de 100.000 euros sont-ils bien à l’abri ? Certainement pas ! Il faut bien comprendre que les comptes bancaires chypriotes de moins de 100.000 euros ont été préservés parce que l’Europe et le FMI se sont engagés à apporter 10 milliards d’euros. Si la crise devait toucher un grand pays comme l’Espagne, l’Italie ou la  France, ce n’est pas 10 milliards mais plusieurs centaines qu’il faudrait mobiliser. Qui peut croire que cela sera fait ? Qui peut croire que l’Allemagne fera exploser son endettement pour sauver les comptes bancaires des Espagnols, des Italiens ou des Français ?

D’autant que ceux qui détiennent des comptes supérieurs à 100.000 euros vont se dépêcher de les vider pour les répartir sur plusieurs comptes, et leur nombre va diminuer comme neige au soleil. Cette directive va aussi favoriser le bank run dès les premiers signes sérieux de crise.

En refusant de s’attaquer aux grands oligopoles bancaires et à l’opacité de leur fonctionnement, à cette logique du too big to fail qui encourage l’irresponsabilité et qui  évite les questions gênantes. Cette directive constitue surtout un aveu d’impuissance, et les épargnants en paieront le prix.

 

Sources: https://fr.goldbroker.com/#1250

 

 

 

 

a Commission européenne, et plus spécialementMichel Barnier, le commissaire en charge des banques, prépare en effet une directive qui mettra à contribution les dépôts de plus de 100.000 euros en cas de sauvetage bancaire. L’intention de départ est louable puisqu’il s’agit de ne plus mettre à contribution les contribuables, mais cet argument ne constitue-t-il pas qu’un prétexte ?

La directive prévoit qu’en cas de faillite d’une banque, les pertes seront d’abord épongées par les propriétaires et les actionnaires, suivis des créanciers « juniors » et « seniors » puis, en troisième rang, les déposants au-dessus de 100.000 euros. C’est seulement si l’ensemble de ces contributions s’avérait insuffisante qu’interviendrait l’argent public, à travers le fonds de secours européen, le MES

Voilà pour la théorie, qu’en est-il concrètement ? Lorsqu’une banque affiche de mauvais résultats, les actionnaires en ont déjà payé le prix depuis longtemps ! Les grandes banques européennes ont déjà perdu environ 90% de leur valeur boursière depuis la crise (l’action Société Générale cotait 170 euros en 2006, 25 aujourd’hui, par exemple), il ne reste donc plus grand-chose de ce côté-là. Les créanciers ont également fait en sorte de partir. La seule vraie richesse qui reste, ce sont les comptes bancaires. Ils prendront donc sur eux l’essentiel de la ponction, il ne faut pas se faire d’illusion.

Mais les comptes de moins de 100.000 euros sont-ils bien à l’abri ? Certainement pas ! Il faut bien comprendre que les comptes bancaires chypriotes de moins de 100.000 euros ont été préservés parce que l’Europe et le FMI se sont engagés à apporter 10 milliards d’euros. Si la crise devait toucher un grand pays comme l’Espagne, l’Italie ou la France, ce n’est pas 10 milliards mais plusieurs centaines qu’il faudrait mobiliser. Qui peut croire que cela sera fait ? Qui peut croire que l’Allemagne fera exploser son endettement pour sauver les comptes bancaires des Espagnols, des Italiens ou des Français ?

D’autant que ceux qui détiennent des comptes supérieurs à 100.000 euros vont se dépêcher de les vider pour les répartir sur plusieurs comptes, et leur nombre va diminuer comme neige au soleil. Cette directive va aussi favoriser le bank run dès les premiers signes sérieux de crise.

En refusant de s’attaquer aux grands oligopoles bancaires et à l’opacité de leur fonctionnement, à cette logique du too big to fail qui encourage l’irresponsabilité et qui évite les questions gênantes. Cette directive constitue surtout un aveu d’impuissance, et les épargnants en paieront le prix.