Cette petite fille s’appelait Emily Jones, elle avait 7 ans. Elle était blanche, donc certainement raciste, future policière ou gendarme, et responsable de la colonisation. Elle a été assassinée alors qu’elle jouait dans un parc, la gorge tranchée devant les yeux de son père il y a quelques semaines… Ils sont où les Omar Sy, Camélia Jordana et autres artistes hollywoodiens en mal de succès pour la défendre ???? Ha bah non, ils sont pas là, la femme qui l’a assassinée est Somalienne, donc forcément…
Alors arrêtez avec vos hashtags à la con et vos images de profil débiles, parce qu’apparemment, toutes les vies ne se valent pas… 7 ANS BORDEL !!!!
« Autant en Emporte le Vent » interdit, Colbert et Churchill déboulonnés : magistrale analyse de Zemmour
Ce qui se passe est terrifiant et inacceptable. Mais, loin d’être une question de racisme, de violences policières, c’est quelque chose d’infiniment plus grave. Et Eric Zemmour, hier soir, sur C News, dans Face à l’info a dit vraiment l’essentiel.
Ci-dessous un extrait de l’émission, le dernier quart d’heure, à ne pas manquer, afin de mieux comprendre ce qui se joue et de pouvoir… éclairer famille, voisins, amis, commerçants… qui se contenteraient de répéter ce que des journaleux aux ordres affirment sans rire à longueur d’antenne.
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Question de Christine Kelly :
S’agit-il d’une chasse aux sorcières comme on l’a vu dans les années 50 avec le Mac carthysme ou bien c’est juste un rééquilibrage qui s’opère ?
Zemmour
Mac Carthy a voulu extirper le danger communiste, considéré comme le mal, de la société.
Est-ce que, aujourd’hui, il s’agit d’extirper le mal raciste ? Non, on en est bien loin… C’est une histoire qui a commencé dans les années 80 avec SOS racisme. On a extirpé le mal, ça y est, c’est fini, plus personne ne défend des positions qui paraîtraient racistes. les programmes ont été expurgés, les cerveaux nettoyés. Le Mac Carthysme, c’est hier.
Aujourd’hui nous sommes passés à une deuxième étape. Ce qui se passe là c’est la volonté de détruire l’histoire d’un peuple, de détruire l’histoire d’une civilisation pour l’éradiquer et la remplacer.
Quand on saccage la statue de Churchill, ça veut dire que là tout est possible… Ça veut dire que si Churchill est raciste, le Général de Gaulle aussi est raciste. quand il dit qu’il ne veut pas que son pays devienne Colombey-les-deux-mosquées, il faut aller saccager la statue du Général de Gaulle.Il faut interdire Voltaire parce qu’il a écrit une pièce qui s’appelle Mahomet. Et je vous parle même pas de Céline. Il faut interdire Balzac parce qu’il est réactionnaire. Il faut interdire Molière parce qu’il a écrit Les Femmes savanntes qui est misogyne. Il faut aller plus loin, il faut que les Juifs demandent que Saint-Louis ne soit plus évoqué parce qu’il a persécuté les Juifs. Ou que les protestants exigent que Richelieu et François premier soient exclus, que leurs statues soient dégagées parce qu’ils ont persécuté les protestants. Il faut que les gens d’origine vietnamienne exigent que les statues du Général Leclerc soient détruites parce qu’il a fait la guerre au Vietnam… C’est sans fin. L’objectif, aujourd’hui, c’est la destruction d’une culture, d’un peuple, d’une civilisation…
EN CONCLUSION
Ces minorités cherchent à détruire notre histoire et par là même, notre identité et les étapes à ce dessein passent d’abord, par notre culpabilisation, pour s’orienter vers notre repentance, notre soumission et au final, notre effacement à leur profit. En celà, elles sont aidées par la gauche et extrême-gauche voyant là, une opportunité à satisfaire leur idéologie révolutionnaire internationaliste. Pour en venir au film: Autant en emporte le vent qui est instrumentalisé à dessein dans ce contexte idéalisé, lorsque je l’ai vu il y a très longtemps, à aucun moment je n’y ai perçu qu’il véhiculait du racisme mais une histoire d’amour avec des personnages pétris d’orgueil.; les serviteurs noirs étant là pour reproduire ce qu’était la société dans ce pays; ce que nous n’ignorions pas sans approuver leurs conditions de vie hors contexte filmographique. Cependant, je vous reprends sur le point de l’origine de la guerre de Sécession; l’esclavage n’a pas été la cause de cette guerre mais des dissensions économiques et idéologiques ( politico-religieuses) entre des états du sud et nord. L’esclavage en fut un prétexte idéalisé tactique en cours de guerre pour affaiblir le Sud car celui-ci avait recours à une main d’oeuvre noire importante car plus agricole que le Nord lequel pourtant usait de l’esclavage dans certains domaines aussi. Je peux vous citer un autre exemple d’idéalisation d’aller en guerre comme le slogan en 1917 » Lafayette, nous voilà »! justifiant l’entrée en guerre des USA contre l’Allemagne en soutien à leurs amis français. Non ! là non plus, l’amitié franco-américaine n’en est pas la raison. Les USA étaient menacés par l’Allemagne par intrigue auprès du Mexique pour l’inciter à entrer en guerre contre les USA sur leur frontière afin de les occuper sur leur sol, les dissuadant de venir en Europe. Et l’affaire du Lusitania ne fut qu’un fait supplémentaire à leur décision d’intervenir en Europe.
Nous,les peuples blancs et français,voire occidentaux par la langue,la culture et la civilisation,nous sommes entrés dans une ère de légitime défense ou je vous suggère de tuer avant d’être exécutés.
Aux armes ,citoyens…car nos patries sont en danger!
Pour faire face à l’effondrement en cours, il va falloir prendre des mesures un peu plus drastiques que la seule extinction des lumières de l’Élysée. Clément Montfort, réalisateur et journaliste indépendant, interpelle le Président de la République Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux. Son interrogation est de taille : « Éclairez-nous, Mr. le Président […]
Derrick Jensen (né le 19 décembre 1960) est un écrivain et activiste écologique américain, partisan du sabotage environnemental, vivant en Californie. Il a publié plusieurs livres très critiques à l’égard de la société contemporaine et de ses valeurs culturelles, parmi lesquels The Culture of Make Believe (2002) Endgame Vol1&2 (2006) et A Language Older Than Words (2000).
Plus de renseignements sur l’analyse de Deep Green Resistance, et donc de Derrick Jensen, dans cet excellent documentaire qu’est END:CIV, que je vous offre ici :
Quel est le problème avec la civilisation?
20 prémisses
Derrick Jensen explore la question dans son livre « Endgame » en deux volumes. Il y cite 20 prémisses en guise de résumé:
Première prémisse:La civilisation n’est pas et ne sera jamais soutenable. D’autant moins la civilisation industrielle.
Deuxième prémisse: Les communautés traditionnelles abandonnent ou vendent rarement volontairement les ressources dont elles dépendent, tant qu’elles n’ont pas été détruites. Elles ne permettent pas non plus volontairement la dégradation de leurs terres dans le but d’en extraire d’autres ressources — or, pétrole, etc. Il s’ensuit que ceux qui convoitent ces ressources feront ce qu’ils peuvent pour détruire ces communautés traditionnelles.
Troisième prémisse:Notre mode de vie — la civilisation industrielle est fondé sur, requiert une violence étendue et permanente.Sans elle,cette civilisation s’effondrerait très rapidement .
Quatrième prémisse:La civilisation se base sur une hiérarchie clairement définie, largement acceptée et pourtant très souvent passée sous silence. La violence exercée par ceux au sommet de cette hiérarchie sur ceux d’en bas est quasiment toujours invisible, c’est-à-dire qu’elle passe inaperçue. Quand elle est remarquée, elle est alors entièrement rationalisée. La violence exercée par ceux d’en bas sur ceux d’en haut est impensable, et quand elle prend place, est considérée avec stupeur, horreur, et voit ses victimes adulées.
Cinquième prémisse:La propriété de ceux du sommet de la hiérarchie est plus importante que celle de ceux d’en bas. Il est acceptable que ceux d’en haut augmentent la quantité de propriétés qu’ils contrôlent — autrement et plus simplement dit, qu’ils gagnent encore plus d’argent — en détruisant ou en exploitant la vie de ceux d’en bas. Cela s’appelle production. Si ceux d’en bas endommagent la propriété de ceux d’en haut, ceux d’en haut peuvent tuer, ou détruire les vies de ceux d’en bas. Cela s’appelle justice.
Sixième prémisse:La civilisation est incorrigible. Cette culture ne connaitra jamais aucune sorte de transition volontaire vers un mode de vie soutenable. Si on ne l’arrête pas, la civilisation va continuer à paupériser la grande majorité des humains et à dégrader l’état de la planète jusqu’à ce qu’elle (la civilisation, et la planète aussi probablement) s’effondre. Les effets de cette dégradation continueront à nuire aux humains et aux non-humains longtemps après cet effondrement.
Septième prémisse: Plus nous attendons que cette civilisation s’effondre — ou plus nous attendons nous-mêmes pour la démanteler — plus l’effondrement sera problématique, et plus les choses seront graves pour les humains et les non-humains qui vivront cela, et pour ceux qui viendront après.
Huitième prémisse: Les besoins du monde naturel sont plus importants que les besoins du système économique.
Une autre version de la huitième prémisse:Tout système économique ou social ne bénéficiant pas aux communautés naturelles sur lesquelles il se base est insoutenable, immoral et stupide. La soutenabilité, la moralité et l’intelligence (ainsi que la justice) requièrent le démantèlement de tout système économique ou social de ce genre, ou au minimum qu’on l’empêche d’endommager le monde naturel.
Neuvième prémisse:Bien qu’un jour nous serons à l’évidence moins nombreux qu’aujourd’hui, cette réduction de population peut se produire (ou être achevée, selon la passivité ou l’activité dont nous faisons preuve à l’approche de cette transformation) de multiples façons. Certaines de ces façons sont caractérisées par une violence et une privation extrêmes : une apocalypse nucléaire, par exemple, réduirait à la fois la population et la consommation, de manière horrible; la même chose est vraie d’une croissance sans limites, suivie d’un crash. D’autres façons pourraient être moins violentes. Étant donné le degré actuel de violence dont fait preuve cette culture à l’encontre des humains et du monde naturel, il est cependant impossible d’imaginer une réduction de population et de consommation sans violence ni privation, pas parce que ces réductions impliqueraient en elles-mêmes de la violence, mais parce que violence et privation sont devenues la norme. Toutefois, certaines façons de réduire la population et la consommation, quand bien même violentes, consisteraient à faire diminuer le niveau de violence requis et causé par le transfert (souvent forcé) des ressources des pays pauvres vers les pays riches, ce qui provoquerait en parallèle une réduction de la violence à l’encontre du monde naturel. Personnellement et collectivement nous pouvons être capables à la fois de réduire et d’adoucir le caractère de la violence qui se produira lors de cette transformation. Ou peut-être pas. Mais nous pouvons être sur de cela : si nous n’appréhendons pas cela de manière proactive — si nous nous refusons à parler de notre présente situation et de ce que l’on peut y faire — la violence n’en sera indubitablement que plus sévère, et la privation plus extrême.
Dixième prémisse:Cette culture dans son ensemble et la plupart de ses membres sont fous. Cette culture est animée par une pulsion de mort, une pulsion de destruction du vivant.
Onzième prémisse:Depuis le début, cette culture — la civilisation — est une culture d’occupation.
Douzième prémisse:Il n’y a pas de gens riches dans le monde, et pas non plus de gens pauvres. Il y a juste des gens. Les riches possèdent peut-être tout un tas de pièces et de bouts papiers verts censés valoir quelque chose — ou leur prétendue richesse est peut-être plus abstraite encore : des nombres stockés dans des disques durs de banques — et les pauvres ne possèdent peut-être rien de tout ça. Les « riches » prétendent posséder la terre, tandis que les « pauvres », eux, n’ont pas le droit d’exprimer de telles prétentions. Un des buts premiers de la police est d’imposer par la force les délires de ceux qui possèdent beaucoup de pièces et de bouts de papiers verts. Dans le monde réel, ces délires s’accompagnent de conséquences extrêmes.
Treizième prémisse:Ceux au pouvoir règnent par la force, et plus tôt nous nous affranchirons des illusions qui prétendent le contraire, plus tôt nous pourrons au moins commencer à prendre des décisions raisonnables sur si, quand, et comment nous allons résister.
Quatorzième prémisse:Depuis la naissance — et probablement depuis la conception, mais je ne saurais comment défendre cette assertion — nous sommes individuellement et collectivement éduqués à haïr la vie, haïr le monde naturel, haïr la nature, haïr les animaux sauvages, haïr les femmes, haïr les enfants, haïr nos corps, haïr et craindre nos émotions, et à nous haïr nous-mêmes. Si nous ne détestions pas le monde, nous ne permettrions pas qu’il soit détruit sous nos yeux. Si nous ne nous détestions pas, nous ne permettrions pas que nos maisons — et nos corps — soient empoisonnés.
Seizième prémisse: Le monde matériel est primordial. Cela ne signifie pas que l’esprit n’existe pas, ni que le monde matériel soit tout ce qu’il y ait. Cela signifie que l’esprit se mélange à la chair. Cela signifie aussi que les actions dans le monde réel ont des conséquences bien réelles. Cela signifie que nous ne pouvons compter ni sur Jésus, ni sur le Père Noël, ni sur la déesse mère, ni sur le lapin de Pâques pour nous sortir du pétrin. Cela signifie que cette pagaille est une vraie pagaille, et pas un battement de cil de Dieu. Cela signifie que nous devons y faire face nous-mêmes. Cela signifie que durant notre passage sur Terre — et que l’on atterrisse ou pas autre part après la mort, et que l’on soit condamné ou privilégié en vivant ici — la Terre est ce qui importe. Elle est primordiale. Elle est notre maison. Elle est tout. Il est stupide de penser ou d’agir comme si ce monde n’était pas réel et primordial. Il est stupide et pathétique de ne pas vivre nos vies comme si elles étaient réelles.
Dix-septième prémisse: C’est une erreur (ou, plus probablement, du déni) de baser nos décisions sur si oui ou non des actions découlant de tout cela vont ou ne vont pas effrayer les geôliers ou les masses états-uniennes.
Dix-huitième prémisse:notre perception actuelle du « moi » n’est pas plus soutenable que notre usage actuel d’énergie ou de technologie.
Dix-neuvième prémisse:Le principal problème de cette culture relève de la croyance selon laquelle contrôler et abuser le monde naturel est légitime.
Vingtième prémisse:Au sein de cette culture, la finance — et pas le bien-être communautaire, pas la morale, pas l’éthique, pas la justice, pas même la vie — dirige les décisions sociales.
Modification de la vingtième prémisse:Les décisions sociales sont principalement déterminées (et souvent exclusivement) sur la base de si oui ou non ces décisions entraineront une augmentation des fortunes monétaires des preneurs de décisions et de ceux qu’ils servent.
Re-modification de la vingtième prémisse:Les décisions sociales sont principalement déterminées (et souvent exclusivement) sur la base de si oui ou non ces décisions augmenteront le pouvoir des preneurs de décisions et de ceux qu’ils servent.
Re-modification de la vingtième prémisse:Les décisions sociales sont principalement fondées (et souvent exclusivement) sur la croyance quasiment jamais discutée selon laquelle les preneurs de décisions et ceux qu’ils servent sont autorisés à amplifier leur pouvoir et/ou leurs fortunes monétaires au détriment de ceux d’en bas [et du monde naturel et de ses habitants non-humains, NdT].
Re-modification de la vingtième prémisse:Au cœur — si tant est qu’il lui en reste un peu — du problème, vous verriez que les décisions sociales sont principalement déterminées sur la base de leurs capacités à servir les desseins de contrôle ou de destruction de la nature sauvage.
CONCLUSION PERSONNELLE
A la lumière de cette idée, la destruction de la civilisation, prônée ici, revient pour l’humanité à s’extirper avec élégance et moindre coût humain du néolithique et inventer l’ère suivante.En faisant cela,nous protégeons de nombreuses formes de vie qui seraient anéanties par la poursuite de l’expansion de l’actuelle civilisation néolibérale capitaliste.
Abolir cette civilisation est devenu un devoir,une condition de légitime défense!
Seule la désobéissance civile à grande échelle peut y parvenir!
TOUT D’ABORD:UN ACCORD TEMPORAIRE POUR ÉVITER LE DRAME
Les démocrates et les républicains du Sénat des États-Unis sont parvenus à un accord temporaire pour rétablir le financement des activités gouvernementales fédérales, après trois jours d’une paralysie déclenchée par une impasse en matière d’immigration et de sécurité aux frontières.
Cette annonce, effectuée lundi par le leader des démocrates au Sénat, Chuck Schumer, est survenue peu de temps avant un vote sur cette mesure, mesure qui a été largement adoptée par 80 voix contre 18, et deux abstentions.
« Nous voterons aujourd’hui pour rouvrir le gouvernement », a ainsi déclaré M. Schumer sur le plancher de la Chambre haute du Congrès.
Selon le leader démocrate, les membres de son parti continueront de négocier avec les républicains pour parvenir à un projet de loi qui protègera de jeunes immigrants contre les risques d’une déportation.
Les démocrates martelaient depuis le début des négociations que toute législation permettant de financer les activités gouvernementales à court terme devait comprendre des protections pour ces jeunes immigrants, arrivés aux États-Unis lorsqu’ils étaient mineurs, et qui son surnommés « Dreamers ».
De leur côté, les républicains exigeaient justement le maintien du financement étatique avant toute négociation sur l’immigration.
Le gouvernement américain est arrivé à « court d’argent » à minuit, dans la nuit de vendredi à samedi, et les législateurs ont travaillé durant toute la fin de semaine, en vain. Les détails d’un accord bipartisan ont commencé à apparaître plus nettement dans la foulée d’échanges entre sénateurs des deux partis, dimanche et lundi matin.
Des dizaines de milliers d’employés fédéraux avaient commencé à fermer leurs officines, lundi, première journée ouvrable depuis le début du « shutdown », mais les services essentiels, comme les services de sécurité et les opérations en matière de défense, avaient été maintenus.
Mesure temporaire et positionnement
M. Schumer a précisé qu’il était parvenu à un accord avec le leader de la majorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, pour que le gouvernement fédéral puisse continuer à fonctionner jusqu’au 8 février, en échange de la mise au point d’un plan pour régler la question des « Dreamers ».
Par ailleurs, les résultats du vote au Sénat démontrent que certains opposants à la mesure de financement temporaire se positionnent en vue des élections de mi-mandat, en novembre de cette année, voire en prévision de la prochaine course à la Maison-Blanche, en 2020.
Parmi les sénateurs démocrates ayant voté contre le projet de loi, on compte ainsi Dianne Feinstein, Elizabeth Warren et Cory Booker, tous de possibles candidats à l’investiture démocrate pour la course de 2020.
Joshua Roberts
Bernie Sanders, sénateur « socialiste » indépendant d’obédience démocrate et candidat défait à l’investiture en 2016, s’est lui aussi rangé du côté des opposants à la mesure.
Le seul intérêt des politiciens néolibéraux semble être leur réélection!
L’AVENIR DU MONDE
La fermeture (évitée de justesse) du gouvernement des États-Unis au cours de la fin de semaine du 27-28 janvier 2018 est susceptible de devenir réelle et permanente à mesure que les négociations au plus haut niveau continuent de discuter de son remplacement, de multiples sources d’accord. Les dirigeants occidentaux de l’ordre du vieux monde se réunissent cette semaine à Davos, en Suisse, pour débattre de cette question, selon les sources.
Pendant ce temps, des sources du Pentagone disent que « la fermeture a été orchestrée pour que le Congrès puisse être arrêté, car ils perdent l’immunité quand ils ne sont pas en session. » En outre, les sources disent que le président américain Donald Trump « a été convoqué pour rencontrer les hauts gradés au Pentagone le 18 janvier, alors que la Marine a chassé des sous-marins voyous et que les militaires utilisent la fermeture pour arrêter la Cabale, mettre fin au gouvernement d’entreprise, et lancer la République pour ouvrir la monnaie mondiale de réinitialisation (GCR »).
De plus, les sources ont ajouté: « La Chambre pourrait publier le mémo de la FISA, qui fera tomber les criminels du ministère de la Justice, du FBI, du Conseil national démocratique, de la CIA, ainsi que des organisations Obama et Hillary Clinton« .
Trump peut même lire la note de service à l’adresse de l’État de l’Union le 30 janvier « , ont ajouté les sources.
Roy Bennet et sa femme. Le leader de l’opposition est mort avec son épouse lors de l’écrasement de l’hélicoptère dans lequel il avait pris place.
Les sources disent également: « Le leader de l’opposition zimbabwéenne Roy Bennett a été tué au Nouveau-Mexique pour solidifier le dollar zimbabwéen et ouvrir la voie au RMC ». Un dollar zimbabwéen adossé à l’or est poussé par beaucoup comme une nouvelle monnaie africaine pour remplacer le mishmash actuel des monnaies contrôlées par Rothschild.
Cependant, il est encore loin d’être certain que le RMC se déroulera comme prévu par les gens du Pentagone et les agences, car dans le monde entier, la situation est extrêmement volatile et échappe au contrôle des États-Unis.
Le facteur le plus important à garder à l’esprit est que le gouvernement américain est le gouvernement le plus endetté de l’histoire de la planète et qu’une grande partie de cette dette est due à la Chine. Si les États-Unis reniaient unilatéralement la dette, ils ne seraient plus en mesure de contrôler le système du dollar américain qui permet au Pentagone d’opérer autour de la planète. Il en résulterait que les soldats américains, qui ne reçoivent déjà pas de solde à cause de la fermeture du gouvernement, sont forcés de mendier dans les rues ou de voler des gens sous la menace d’une arme à feu partout dans le monde. Comme pour souligner cette situation, l’agence de notation chinoise Dagong a déclassé la dette souveraine et locale américaine à BBB+ avec une perspective négative, la plaçant en dessous du Pérou ou du Maroc.
Voici ce qu’ils avaient à dire au sujet de la dette américaine:
L’impact négatif permanent de la superstructure sur la base économique a continué de détériorer les sources de remboursement de la dette du gouvernement fédéral, et cette tendance sera encore aggravée par les réductions d’impôt massives du gouvernement. Le recours croissant au mode de développement économique axé sur la dette continuera d’éroder la solvabilité du gouvernement fédéral. »
Dagong ne se rend probablement pas compte de la profondeur du problème. Le Pentagone, lors de sa toute première vérification par des vérificateurs externes, a déjà constaté que 21 billions de dollars avaient disparu entre 1998 et 2015. Cela représente plus de 35 fois le budget militaire officiel des États-Unis pour 2016, selon de multiples sources.
Les sources de la CIA, du MI6 et du Pentagone disent que l’argent manquant a été dépensé…pour construire d’énormes armées mercenaires hors du contrôle des structures gouvernementales officielles : les personnes derrière ISIS/Daech, la guerre contre le Yémen, Blackwater/Academi, etc. De plus, les sources disent qu’une grande partie de l’argent a été dépensé pour le « Programme Spatial Secret« .
Puisque nous essayons de nous concentrer sur le monde visible d’ici et maintenant, voyons quelles parties du Programme Spatial Secret sont visibles pour nous, membres de la « population de surface ».
Elon Musk, avec ses programmes Tesla Motors et SpaceX, vient tout de suite à l’esprit. La capitalisation boursière de Tesla Motors, qui s’élève à 350 milliards de dollars, représente 50 fois son chiffre d’affaires et 218 fois son bénéfice. Traditionnellement, la capitalisation boursière était considérée comme raisonnable à environ dix fois les bénéfices. Manifestement, Musk est un important canal de blanchiment d’argent pour tout cet argent drôle de banque centrale privée qui a été inventé récemment. Il est également important de se rappeler que les sources du Pentagone et de la NSA s’accordent pour dire que SpaceX et Musk sont les vrais suspects de la récente « menace » des missiles nord-coréens.
Ensuite, il y a bien sûr Alphabet/Google, dont le président récemment licencié Eric Schmidt s’est rendu en Corée du Nord en 2013 avant que le récent brouhaha de missiles ne commence. Google a maintenant été relié au vol malaisien 370/17 disparu et à la disparition des microbiologistes et des ingénieurs informaticiens.
Quoi qu’il en soit, nous avons assisté ces dernières années à d’innombrables tentatives de la part des cabalistes de la mafia khazare pour faire exploser les armes nucléaires et lancer leur « Armageddon », pour ensuite les faire stopper à chaque fois par des forces souvent mystérieuses.
Donald Trump est lié à la mafia khazare,comme je l’ai expliqué antérieurement.
Nos sources du Pentagone admettent que « le Programme Spatial Secret » a peut-être servi à détruire des missiles nucléaires dirigés contre Hawaï et le Japon et à empêcher la Cabale de quitter la terre. »
Pendant ce temps, de retour ici sur la surface de la planète terre, il est clair que les oligarques de la côte ouest américaine sont attaqués dans leurs bastions californiens. Les récents incendies mystérieux en Californie sont maintenant suivis d’essaims sismiques tout aussi mystérieux à Reno, au Nevada, la semaine dernière. N’oubliez pas, Reno est le dernier grand centre bancaire offshore non réglementé sur terre, où la famille Rothschild s’est rassemblée.
La base souterraine de Reno est liée à la technologie des disques anti-gravité et à l’activité nazie en Antarctique. Un lien avec la preuve de ceci a été retiré de l’Internet juste au moment de la publication de ce bulletin.
C’est peut-être pour cette raison qu’un haut fonctionnaire de la CIA, qui est un parent de l’amiral Byrd, célèbre pour son exploration de l’Antarctique, a demandé à rencontrer des représentants de la White Dragon Society avant et pendant l’événement de la Lune Bleue du 31 janvier pour « discuter de l’avenir de la planète Terre ». La réunion se tiendra la semaine prochaine dans un lieu secret en Asie du Sud-Est. Nous espérons que nous aurons un rapport détaillé de cette réunion disponible pour nos lecteurs dans l’édition du 5 février 2018 de ce bulletin.
Il ne fait aucun doute que le gouvernement secret des États-Unis est sous pression comme jamais auparavant en raison de l’effondrement du contrat social américain actuel. Cela se voit dans le graphique du lien ci-dessous qui montre l’augmentation exponentielle – et non durable – de la richesse des 1% les plus riches de la population depuis 2014.
La situation en Californie est peut-être la plus critique de toutes. D’énormes campements de tentes pour les sans-abri sont apparus à côté des maisons de riches Californiens. En outre, le ressentiment a atteint le point où les bus transportant des employés d’Apple et de Google sont lapidés et fusillés.
Avec ce contexte tendu, la Californie rurale s’éloigne des enclaves côtières de San Diego, Los Angeles et San Francisco de l’archipel. Dans ce cas, le gouvernement californien et les maires locaux ont manifesté ouvertement leur révolte contre le gouvernement fédéral américain. C’est pourquoi les forces militaires américaines ont suivi leurs arrestations d’oligarques khazariens de la côte est avec des arrestations massives en Californie, disent des sources du Pentagone.
À l’échelle internationale, le gouvernement américain actuel perd son appui à l’échelle planétaire. En voici quelques exemples:
La Turquie, alliée de l’OTAN, a commencé à attaquer les forces soutenues par les États-Unis en Syrie.
Le Pakistan, allié de longue date des États-Unis, a officiellement mis fin à son alliance avec les États-Unis.
La Corée du Nord et la Corée du Sud ont mis sur pied une équipe olympique commune pour envoyer un message au monde entier qu’elles ne veulent pas être divisées artificiellement en tant que peuple et servir d’excuse pour lancer la troisième guerre mondiale.
Le Canada, l’Inde, le Japon, le Brésil, la Chine et l’UE attaquent les politiques commerciales protectionnistes de Trump.
Ce sont ces affres de mort du gouvernement américain qui ont donné une urgence au rassemblement des puissances occidentales (alliance atlantique) à Davos, en Suisse. Là-bas, une faction milite pour le rétablissement de la République des États-Unis d’ Amérique. Une autre faction cherche à financer une prise de contrôle amicale par le Canada et la création d’une administration compétente aux États-Unis d’Amérique du Nord. Ce que les deux factions ont en commun, c’est le souhait de ne pas voir l’hégémonie américaine être remplacée par une hégémonie chinoise.
Les Chinois, pour leur part, disent qu’ils veulent aider à créer un gouvernement mondial qui soit amical et équitable pour tous les peuples de la planète, selon des membres éminents des sociétés secrètes asiatiques. Ils insistent pour ne pas vouloir ou chercher l’hégémonie chinoise. Cependant, certaines factions affirment clairement qu’elles pensent que c’est au tour de la Chine de régner sur la planète depuis l’Occident.
Quoi qu’il en soit, au fur et à mesure que les choses avancent, plus le temps passe, plus la Chine est forte et plus l’Occident est faible. Les sociétés occidentales se noient maintenant dans la dette, ont des disparités de richesse socialement déstabilisatrices et ont des populations vieillissantes qui diminuent. C’est pourquoi l’Occident doit réformer fondamentalement son architecture gouvernementale, sociale et économique. L’alternative à un redémarrage, y compris un jubilé et une redistribution ponctuelle de l’actif, sinon ce sera une décadence progressive qui aboutira à l’effondrement généralisé des structures actuelles. La Californie en est un avant-goût.
C’était annoncé de longue date, un effondrement total était annoncé depuis longtemps déjà, il ne fait que se confirmer! Et celui-ci ne se limite pas à la simple finance comme nous le verrons plus loin dans l’article, même si de ce côté-là, les informations sont de plus en plus inquiétantes!
On voit déjà se profiler ,à l’horizon,l’ombre des 4 Cavaliers de l’Apocalypse.
Autre annonce du jour qui ne trompe pas et qui montre bien l’étendue de la catastrophe financière en cours en France (qui bien sûr n’est pas intéressante pour la télévision…), le fait que la BCE rachète les dettes des groupes du CAC 40, tout simplement énorme!!!
Le suspens est enfin levé. Lundi 18 juillet 2016, la Banque centrale européenne (BCE) a dévoilé la liste des obligations d’entreprises qu’elle a commencé à racheter le mois dernier. Au total, l’institution a acquis pour 10,427 milliards d’euros de dettes privées entre le 8 juin et le 15 juillet. Si le montant par entreprise et par pays n’est pas connu, une chose est sûre : selon les analystes, les grands groupes tricolores arrivent en tête.
« Ce n’est pas une surprise : le marché obligataire français est le plus gros de la zone euro, devant l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Italie », explique Maxime Sbaihi, économiste chez Bloomberg Intelligence.
Dans le détail, la BCE a ciblé une bonne partie du CAC 40 : Axa, Total, Danone, Sanofi, Orange, Pernod Ricard ou encore Air Liquide et Schneider Electric ont vu une partie de leur dette rachetée par l’institution. Le luxe est également prisé, avec LVMH et Kering, tout comme l’énergie avec Engie et Total. Hors CAC 40, sont présents La Poste, JC Decaux ou EDF. Les groupes allemands, comme BMW, BASF et Daimler, ont également été privilégiés par la BCE.
Celle-ci s’est lancée dans le rachat de dettes privées en complément de celui de dettes publiques, entamé en 2015.
Au total, ces programmes représentent un volume de 80 milliards d’euros par mois, dont seule une petite partie est consacrée aux obligations d’entreprises (3 à 6 milliards par mois environ).
Les dettes privées éligibles doivent être notées au moins « BBB – » par l’une des trois grandes agences de notation, afin de garantir leur qualité.
Les titres de banques et de filiales de banques sont exclus, mais pas ceux des assureurs.
Localisation de la BRI dans la pyramide de contr¸ole illuminati du Nouvel Ordre Mondial.
Mais comme expliqué plus haut, l’effondrement à venir ne se limite pas à la finance, car si le système financier se « casse la gueule » dans un krach pire que celui de 1929, on peut se dire que l’on continuera à manger en récoltant ce qu’on trouve… Même pas! Car selon une étude, la planète « connaît une chute de la biodiversité terrestre remettant en cause la capacité des écosystèmes à subvenir aux besoins humains ». En clair: La nature subviendra de plus en plus difficilement aux besoins humains!
L’alarme n’est pas tirée par des zadistes opposés à la destruction d’une zone humide. Ni par des militants de la Ligue de protection des oiseaux, inquiets de la disparition des volatiles. C’est une étude publiée dans la revueScience, qui conclut que 58 % de la surface terrestre, habitée par 71 % de lapopulation mondiale, connaît une chute de la biodiversité terrestre remettant en cause la capacité des écosystèmes à subvenir aux besoins humains.Selon les 23 scientifiques internationaux ayant traité statistiquement 2,38 millions de rapports sur l’état de la faune et la flore terrestres, la diversité des espèces a en effet baissé de 15,4 % sur plus de la moitié des terres émergées. Pour être soutenable, la perte de biodiversité doit rester inférieure à 10 %, selon une autre étude publiée dans Scienceen 2015. « Cette perte de biodiversité, si elle reste incontrôlée, sapera les efforts vers un développement durable de long terme », concluent-ils.
Tim Newbold, chercheur spécialisé dans l’impact humain sur la biodiversité au sein du University College of London, a dirigé ces recherches. Il est inquiet : « Les fonctions écosystémiques sont gravement menacées par cette disparition des espèces. Dans de nombreuses zones, l’intervention humaine devra bientôt remplacer les services rendus par la nature. »
Pollinisation, épuration des eaux, production d’oxygène…
Ces services écosystémiques sont aussi nombreux que vitaux. La pollinisation, la production de nutriments nécessaires à la croissance des plantes, l’épuration naturelle des eaux ou encore la production d’oxygène sont pourtant menacées par la baisse de la biodiversité des écosystèmes. Le directeur de recherches doute de la capacité de l’être humain à imiter la nature grâce aux innovations technologiques : « Je ne pense pas que quiconque puisse aujourd’hui affirmer que l’être humain en est capable. »
Pour Pierre-Henri Gouyon, chercheur à l’institut de systématique, évolution et biodiversité au Muséum national d’histoire naturelle, la question n’est pas tant de savoir si une telle option est réalisable, mais souhaitable : « On pourrait sans doute remplacer les abeilles par de petits robots. Ce serait avant tout moins efficace et plus coûteux. Tout cela alors qu’on pourraitpréserver la biodiversité et les services écologiques qui en découlent. Ce n’est tout simplement pas le monde dans lequel je nous souhaite de vivre. »
La pêche industrielle du crabe de l’Alaska aura tôt fait de le faire disparaître. Le droit des américains et des consommateurs capitalistes de bouffer leur repas de crabes doit être maintenu.
Cette érosion de la biodiversité est documentée de longue date par la communauté scientifique. En 2009, une équipe internationale de chercheurs, menée par Johan Rockström, définissait neuf limites planétaires à ne pas dépasser. L’étude portait notamment sur les seuils à respecter en matière d’utilisation de l’eau douce, de pollution chimique et de changement climatique. Ils concluaient déjà à une érosion de la biodiversité qui mettait en danger les écosystèmes dans lesquels l’être humain vit.
À chacun de faire sa part du colibri, et de multiplier les gestes pour la planète! Si l’on peut survivre à un effondrement économique, cela s’avère plus délicat lorsqu’il s’agit de la biodiversité. Pourtant celle-ci est extrêmement riche, elle se compte en millions d’espèces, mais combien s’éteignent chaque secondes par la faute de l’homme? Avec pour principales raisons le profit et la production de nourriture, ce qui est totalement inepte quant à la seconde raison, puisqu’il n’est pas nécessaire d’abattre des forêts pour produire plus de nourriture…
L’ensemble des techniques alternatives de production vont s’avérer indispensables et salvatrices, que cela soit la permaculture, l’aquaponie, et l’ensemble des autres techniques. Si nous pouvons nous passer d’argent, cela ne le sera pas pour la nourriture.
Une comparaison entre le gigantopithecus et l’humain.
Il fallait s’en douter, tout comme nos ancêtres, ces incroyables bâtisseurs, que nous ne pouvons même pas encore égaler de nos jours, ne sont pour l’archéologie moderne que de pauvres australopithèques attardés qui ne connaissaient même pas la roue.
Nos ancêtres géants, encore plus anciens dans le temps apparemment, ne seraient quant à eux, que de vulgaires grands singes, qui auraient disparus de la surface de la Terre, car ils n’auraient pas voulu manger leurs légumes… !
La falsification remonte après la 2e guerre, mais l’histoire commence en 1935, quand le paléoanthropologue allemand Gustav von Koenigswald débarque de Java à Hongkong, où il cherche des fossiles d’Homo erectus. Un jour, il pousse la porte d’un apothicaire pour jeter un coup d’oeil sur ses fossiles, car cette profession en utilise pour confectionner des remèdes traditionnels.
A plusieurs reprises, certains de ses confrères ont ainsi fait des découvertes sensationnelles. Justement, au fond du gourbi, un vieux Chinois est en train de moudre des bouts d’os. Parmi eux, Gustav découvre une dent énorme. Un frisson le saisit quand il comprend qu’elle n’appartient à aucun animal connu ! Cette molaire ne peut appartenir qu’à un primate… gigantesque.
Au cours des quatre ans qui suivent, le jeune Allemand écume les échoppes de Hongkong et de Canton. Son obstination finit par payer, car il trouve trois autres dents similaires, qu’il finit par attribuer à un primate géant, baptisé Gigantopithecus blacki .
Mais voici que la guerre surprend von Koenigswald à Java. Par précaution, il enferme ses précieuses dents dans une bouteille qu’il enterre dans le jardin d’un ami. Juste à temps. Les Japonais, qui débarquent dans l’île, le font prisonnier. Cependant, quelques mois auparavant, il avait confié des moulages de ses fossiles au célèbre paléontologue Franz Weidenreich, qui s’était illustré en décrivant l’homme de Pékin, un Homo erectus.
Ce confrère parvient à rallier le Museum de New York, où il se met à défendre une autre hypothèse : Giganto appartiendrait à la lignée humaine ! L’homme descendrait donc d’un singe géant asiatique, et non pas d’un primate africain.
Bien sur, tout est fait pour discréditer cette affirmation, on trouve d’autres fossiles, de dents, de mâchoires, qui seront déclarées appartenir à des grands singes, pas questions, de reconnaitre que des géants vivaient sur la Terre, ou plutôt régnaient sur la Terre, car la datation des fossiles fait apparaître en Inde cet homme géant il y a 6,5 millions d’années et le disparaître voilà seulement cent mille ans !
Ils mesuraient pour les plus ‘’petits’’ au minimum 3 mètres, pour un poids minimum de 550 kilos…
Une empreinte fossilisée dans la pierre…bien avant l’apparition de l’homme actuel.
Preuves du mensonge officiel, c’est que l’on ne connait pratiquement rien de son anatomie ou de ses habitudes. Les seuls enregistrements fossiles le concernant sont quatre bouts de mâchoires inférieurs et des centaines de dents.
Partant de là, les scientifiques et autres archéologues à la solde du pouvoir, en déduisent et affirment, que son proche cousin moderne serait l’orang-outan, qu’il était doté de longs bras musculeux sur lesquels il s’appuyait probablement en marchant, qu’il devait forcément être lent et pataud, qu’il était strictement végétarien, qu’il ne vivait que dans la forêt, et qu’il pouvait à peine se reproduire !
Un millier de dents et quelques morceaux de mâchoire, c’est bien peu pour dresser un portrait-robot. Pourtant, les paléontologues ont réussis cet exploit de faire croire et admettre à la terre entière, que ce géant n’était un grand singe !
Et pourtant, selon plusieurs études, d’autres singes et les premiers humains en Afrique qui disposaient d’une dentition comparable ont pu survivre à des transitions similaires.
Bref, on ne connait rien à ces anciennes créatures, mais on nous affirme que ce ne sont que de grands singes, donc veuillez circuler svp, il n’y a rien à voir, merci !
Mais alors, pourquoi Franz Weidenreich, ce médecin, anatomiste, paléoanthropologue, et spécialiste de l’évolution humaine, affirmait que Giganto appartiendrait à la lignée humaine ?
Franz Weidenreich était détenteur d’un doctorat en médecine, il était d’origine allemande, et Il fut professeur invité à l’Université de Chicago en 1934, il est né le 7 juin 1873 à Edenkoben et il est mort le 11 juillet 1948 à New York. A la lecture de ce qui suit, je pense que les doutes qui subsistent s’envoleront définitivement, il avait tout à fait raison !
Franz Weidenreich
Par bien des manières, on peut affirmer que Franz Weidenreich fut, parmi les scientifiques ayant étudié l’évolution humaine au XXe siècle, l’un des plus importants et des plus influents. Jugez plutôt :
Pendant la première moitié du XXe siècle, presque tous les anthropologues croyaient que l’homme de Piltdown était l’ancêtre de l’homme moderne. L’homme de Piltdown avait des caractéristiques que beaucoup de scientifiques avaient définies comme devant être celles du chaînon manquant : une grande capacité crânienne et une denture proche de celle du singe.
Dans les années 1920, trente ans avant que des analyses au fluorure montrent, en 1953, que « l’homme de Piltdown » était un canular, Franz Weidenreich avait examiné les restes et signalé qu’ils étaient composés du crâne d’un homme moderne et de la mâchoire d’un orang-outan, avec les dents rangées vers le bas.
Franz Weidenreich, étant un anatomiste, il avait facilement pu démontrer qu’il s’agissait d’un canular. Mais, il fallut trente ans pour que l’ensemble de la communauté scientifique accepte de reconnaître qu’il avait raison.
Il faudra sans doute attendre 10 fois plus, pour que l’ensemble de la communauté scientifique accepte de reconnaître qu’il avait raison, quand il affirmait que Giganto appartenait à la lignée humaine !?
L’empreinte du géant de Lepakshi,en Inde.
Un chaud partisan de la théorie de Weidenreich fut Carleton Coon, dont les travaux sur l’origine des races furent bien sur eux aussi controversés, pourtant ce n’est pas non plus n’importe qui, jugez par vous-même…
Carleton Stevens Coon, né le 23 juin 1904 à Wakefield dans le Massachusetts et décédé le 3 juin 1981 à Gloucester dans le Massachusetts, était un anthropologue américain, professeur d’anthropologie à l’université de Pennsylvanie, maître de conférence et professeur à Harvard et président de l’association américaine d’anthropologie physique. Il est notamment connu pour avoir écrit The Origin of races.
Pour info, en 1939 il met à jour l’ouvrage de William Z. Ripley The Races of Europe qui fait autorité parmi les anthropologues.
Carleton Stevens Coon
Carleton Coon évoque son rôle au sein de l’Office of Strategic Services (OSS), agence américaine de renseignement qui sera dissoute après la guerre pour former le CIA. Son statut d’anthropologiste en Afrique du Nord lui permit en effet d’y exercer un grand nombre de responsabilités, allant de l’organisation de groupes de résistance ou de l’engagement au côté des groupes de résistance français jusqu’à la participation à certains combats.
Carleton Coon reste engagé auprès de l’armée américaine après la guerre : c’est ainsi que de 1954 à 1957, il prend des photographies aériennes de nombreuses place stratégiques telles la Corée, Ceylon, l’Inde, le Japon… pour le compte de l’US Air Force.
C’est en 1962 que paraît son œuvre majeure, The Origin of Races, travail qu’il veut préliminaire à une étude plus vaste intitulée Races of the World. C’est ainsi qu’en 1965, il publie The Living Races of Man. Le livre est âprement critiqué par ses adversaires, pour une petite erreur d’édition. Malgré ces critiques, l’ouvrage est réédité de nombreuses fois, et reste trente ans plus tard une référence utile tant pour le profane que pour les spécialistes.
En conclusion, je reprends mon introduction, qui est assez parlante je trouve : Une chose importante est à noter, c’est que tous ceux qui se voudraient critiquer, ou contester les travaux de ces deux pointures mondiale que sont Franz Weidenreich et Carleton Stevens Coon, dans ce domaine, ne leur arrivent même pas à la cheville, et n’ont même pas réalisés le 10e du ¼ de leur travaux et études, et n’atteignent aucunement leur immense renommée, et connaissances.
Mais bon, nous ne sommes que de pauvres conspirationnistes attardés, et il faut que l’on admettent une fois pour toute, que les géants n’ont jamais existés, ni les ovnis d’ailleurs, que les extraterrestres n’existent pas, puisque nous sommes seul dans l’univers, et aucune planète dans l’univers n’abrite, ou n’a jamais abritée la vie, et les monuments gigantesques construits ici-bas avec des pierres de plusieurs centaines de tonnes ne sont que des constructions faites par des australopithèques attardés qui ne connaissaient même pas la roue, et de toute façon, nous ne comprenons rien à rien, et nous délirons, car nous fumons trop de la moquette!
Est-ce que cette histoire est crédible ?
un pendentif vieux de 4500 ans environ montrant un géant. Les proportions de ce géant rappellent exactement celles des Dieux sumériens tout comme la configuration de son crâne. Ce pendentif a été offert par un archéologue à une de ses parentes, en Turquie en 1920.
Le manuscrit mexicain de Pedro de los Rios écrit : « Avant le Déluge que l’on estime à 4 008 ans après la création du monde, la Terra d’Anahuac était habitée par des êtres gigantesques, les Tzocuillixeo. »
Quand les Espagnols d’Hernan Cortès débarquent en Amérique, ils apprennent des sages des tribus indigènes qu’à l’origine des temps, des femmes et des hommes de grandes tailles existaient. Des ossements leur sont montrés. Cortès envoie même un fémur de géant à son Roi.
Nous retrouvons pareilles légendes autour du lac Titicaca jusqu’en Patagonie. Le marin et chroniqueur italien Antonio Pigafetta (1491 – 1534) dans Magellan, le premier tour du monde, y décrit un peuple gigantesque : « Un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d’une stature gigantesque se présenta à nous. Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture ».
Des récits analogues ont été écrits par des navigateurs très connus comme Drake, Hernandez, Knyvet et de Weert. Près de Vichy, à Glozel, on relève des empreintes de mains gigantesques ayant appartenu à un homme il y a dix mille ans.
De vieux poèmes anglo-saxons racontent qu’en Grande-Bretagne habitaient des civilisations disparues, des hommes de grandes tailles. ]ennifer Westwood écrivain et experte dans la recherche des légendes anglaises, écrit qu’à l’origine, la Grande-Bretagne est une île peuplée de géants. On l’appelle alors Albion.
On raconte qu’après la chute de Troie, le héros Brutus décide d’envahir Albion avec son armée. Les géants sont défiés et vaincus, un seul est épargné, il s’agit de Gogmagog. Il mesure 4 mètres (source Albion : A Guide to Legendary Britain ; 1985).
Notre siècle compte aussi ses découvertes sur les géants…
En 1936 l’anthropologiste allemand Larson Kohl défriche sur la rive du lac Elyasi, en Afrique du Sud, des ossements ayant appartenu à un géant. Entre 1937 et 1941, les paléontologistes et anthropologistes allemands, le Pr Gustav von Königswald et le Pr Frank Weidenreich trouvent, dans des pharmacies chinoises du continent et de Hong-Kong, plusieurs ossements humains d’une taille impressionnante.
En 1944, le Pr Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants en présence de l’American Ethnological Society. Le Dr Rex Gilroy, un archéologue australien, directeur du Mount York Natural History Museum, découvre à Mount Victoria des empreintes fossilisées de pied de géants.
Le Dr Burkhalter de la société française de préhistoire, écrit en 1950 dans la revue du musée de Beytouth que l’existence des géants à la période acheuléenne, est un fait scientifique établi.
Lors de fouilles dans le Caucase, en 1964, on trouve dans une grotte d’Alguetca, près de Mangliss, des squelettes d’hommes mesurant de 2,80 mètres à 3 mètres. Le journaliste allemand Ernst Probst écrit sur le thème des géants. Il mentionne l’existence d’un tableau peint par un certain Bartholmaus Sarburgh, exposé au Musée de l’Histoire de Bern. La peinture reproduit un fémur de géant trouvé sur les bords du Rhin, à Oppenheim sur Mainz.
En 1895, un géant fossilisé de plus de 3,70 mètres est découvert par un orpailleur dans le comté d’Antrim. Il est exposé et photographié dans le dépôt de marchandises de la London and North-Western Rallway Company’s Broad Street, puis à Liverpool et à Manchester. Qu’est donc devenu ce géant fossilisé de 3,70 m exposé dans un dépôt de Londres en 1895 ? Des analyses pourraient aujourd’hui nous apporter des réponses inestimables.
À travers toutes les époques, sous l’Empire romain, au Moyen-âge, au XIXème siècle et encore de nos jours, dans le monde entier, des scientifiques, des archéologues, des hommes d’Eglise, des voyageurs, des historiens témoignent, cherchent, compilent dans des documentations très denses les traces et les preuves de l’existence sur Terre des géants, ces hommes ayant mesuré parfois jusqu’à plus de 4 mètres.
Goliath a toujours été considéré comme un personnage de légende, au même titre que le géant du Petit Poucet. Jusqu’à ce que le neurologue Vladimir Berginer émette l’hypothèse qu’il ait réellement existé. Sa taille démesurée (que Berginer évalue à trois mètres) serait le résultat d’une tumeur de l’hypophyse, affection appelée acromégalie-gigantisme.
Si l’on en croit la Bible, Goliath appartenait à une tribu de la vallée de Réfaïm, dans l’actuelle région de Bashan. Or, sur les hauteurs du Golan, qui surplombe leur ancien territoire, s’élève encore aujourd’hui un monument vieux de 5 000 ans, le Gilgal Réfaïm.
Selon le Dr Schroch ,cette empreinte serait celle d’un géant de plus de 15 mètres.
En outre, plusieurs éléments provenant de sources antiques semblent faire état de l’existence de géants – sinon du mythe – à l’époque : des représentations de géants sur des sceaux et dans des temples, des mentions de géants dans les légendes syriennes et égyptiennes, etc.
Depuis la fin des années 80, des chercheurs britanniques sont sur la piste de preuves. Sur le site funéraire de Tell es-Sa’idiyeh, en Jordanie, l’archéologue Jonathan N. Tubb et ses collaborateurs du British Museum ont mis au jour des ossements humains aux dimensions surprenantes. Une preuve de l’existence de géants dans l’Antiquité ?
On retrouve la trace de géants dans toutes les cultures ou presque, et j’en suis à me demander si ces statues et représentations de géants que l’on peut admirer encore de nos jours, ne seraient pas au final des représentations bien réelles, un hommage à de véritables géants qui auraient peuplés la Terre en des temps anciens, toutes les anciennes constructions sont de tailles gigantesques, et dédiées aux géants, que les moins de 2 000 ans ne peuvent pas connaitre !
Les indiens qui habitent dans la région de Tianhuanaco, dans les Andes, (à 20 Km du lac Titicaca) disent que les colossales pierres qui ont bâti cette cité mégalithique ont été acheminées par des géants. Ils sont décrits comme des hommes très intelligents, à la peau claire.
Des fouilles ont permis de trouver des restes d’ossements, des crânes et des squelettes d’hommes mesurant plus de 3 mètres. La plus prestigieuse et la plus fascinante des découvertes est celle de tunnels souterrains s’étirant sur des kilomètres et menant à de majestueuses salles aussi grandes que des hangars d’avion.
CAIRO, Egypt – The Serapeum, an ancient stone tomb of an Apis bull, is unveiled in Saqqara, Egypt, on Sept. 20, 2012. (Kyodo)
Les indiens expliquent que ces souterrains parcourent une grande partie de l’Amérique du Sud.
Au XVème siècle, le capitaine espagnol Francisco Pizzaro est le premier à découvrir ces galeries souterraines dans la montagne des Incas. Toujours au Pérou, des découvertes inattendues, comme à Ollantaytambo ou Sacsayhuaman, posent la question de civilisation de géants disparus ayant certainement eu des connaissances scientifiques oubliées et particulièrement élaborées.
Bizarrement, en certain de ces lieux nous trouvons des représentations de dinosaures. Les sites mégalithiques renvoient en permanence à une civilisation de géants. C’est le cas de Carnac, de Stonehenge dont le nom celte Chior gaur signifie « la danse des géants », ou de son équivalent dans le nord d’Israël, à Gilgal Refaïm.
Il y a deux ans, en Bosnie, des pyramides ont été découvertes sous des forêts et de la végétation. Les légendes parlent encore dans ce cas précis de géants-constructeurs.
Nous trouvons pareillement dans le monde d’énigmatiques pyramides qui font l’objet du plus grand silence scientifique, comme en Chine centrale, dans les plaines du Qin Chuan. L’une d’entre elle surnommée la « grande Pyramide Blanche », pointe à environ 300 mètres de hauteur, soit deux fois la taille des plus imposantes pyramides d’Egypte.
L’une de ces pyramides égyptienne, Khéops, d’après des manuscrits appartenant à la tradition copte, aurait été construite par une race de géants.
L’étude des géants renverse notre compréhension du monde. Car il est possible que ces géants aient existé à une époque où tout était gigantesque.
Effectivement, nous abordons de manière scientifique toutes les formes de gigantisme, dans la flore, avec les dinosaures et y compris pour les singes avec le Gigantopithecus et le Meganthropus. Pourquoi avons-nous alors oublié les géants de la race humaine ?
Outils de silex géants découverts au Botswana.
Nous pourrions logiquement supposer que des hommes gigantesques auraient pu vivre à une époque où tout était gigantesque et connaître les dinosaures. Cela est d’autant plus troublant que dans son ouvrage Buried Alive, le Dr Jack Cuozzo va dans ce sens. Il montre la photographie dans la grotte de Bernifal (France ) d’un combat opposant un mammouth à un dinosaure.
De même, Fran Barnes, spécialiste en art pariétal écrit qu’à San Rafael Swell (Utah), il y a des dessins de la préhistoire qui ressemblent à un reptile ailé, un ptérosaurien.
L’ancien peuple de Sumatra a également produit de nombreuses pièces d’art avec des créatures ayant de longues queues, de longs cous et des crêtes semblant correspondre à des Hadrosaures. Une de ces pièces est d’ailleurs exposée au Musée Ethnographique de Budapest.
Des mosaïques de l’Empire romain datant de 200 ans avant J.C. reproduisent des dinosaures marins, des Tanystropheus. En 1571, les conquistadors rapportent que sur des pierres de sépulture Inca figurent d’étranges créatures. Le Dr Javier Cabrera en a authentifié plus de mille.
En 1496, l’Evêque Richard Bell est enterré à la Cathédrale de Carlisle, en Angleterre. Des dinosaures sont dessinés sur les parties en cuivre qui recouvrent sa tombe. Autre cas très intéressant. Dans le Queensland, plusieurs récits de tribus aborigènes décrivent des créatures ressemblant à des plésiosaures.
Dans le nord de cette région australienne, les Yarru (ou Yarrba) parlent d’une créature semblable vivant dans les cavernes d’une forêt équatoriale. Cette peinture est très intéressante car elle montre des Indiens ou des hommes autour d’un plésiosaure et représente tout l’appareil digestif, gastro-intestinal de l’animal.
Cela nous permet-il de penser que les chasseurs aborigènes auraient tué et dépecé ce dinosaure ? Ces grands animaux se sont-ils alors vraiment éteints il y a 70 millions d’années ?
Il est pertinent d’envisager une époque où les hommes et les dinosaures auraient cohabité, mais l’étude des géants remet en cause le darwinisme et l’évolutionnisme, les fondements de la science contemporaine… Et c’est d’ailleurs bien pourquoi la question de leur existence est négligée, ignorée, ridiculisée par la science moderne et comme écrasée sous une chape de plomb !
Pourtant comme nous le voyons, ils ont existés, et toutes les anciennes cultures et civilisations, leur rendent hommage, avec des statues et des constructions gargantuesques…
A Dara en Syrie,on a découvert ces empreintes géantes qui auraient supporté un géant de plus de 20 mètres.
La bible et l’Islam parlent de géants, juste deux exemples :
Pour la bible : Dans la Genèse, il est dit « Et il y avait des géants sur la Terre en ces temps-là (…)
Pour l’Islam : Il est mentionné dans un Hadîth que Dieu créa Adam au paradis avec une taille de 60 coudées soit environ 30 mètres actuels !
Tiré de wikipédia, quelques faits sur des empreintes et ossements fossiles :
XIXe siècle :
En 1833, des soldats auraient découvert, à Lompock Rancho, en Californie, le squelette d’un homme de 12 pieds, soit 4 mètres, dans un terrain dans lequel ils souhaitaient enfouir de la dynamite. En 1877, on aurait découvert, à Spring Valley (Nevada) près de la localité d’Eureka, en partie scellés dans du quartzite, les ossements d’une jambe humaine mesurant un mètre du genou à l’extrémité des orteils.
En 1879, un squelette de 2,95 mètres de haut aurait été extrait d’un tertre funéraire, à Brewersville (Indiana). Il avait un collier de mica autour du cou et, à ses pieds, une figurine humaine incrustée de silex. En 1890, L’anthropologue Georges Vacher de Lapouge a déterré le bras et un os de la jambe d’un homme de 3,5 mètres de hauteur à Castelnau-le-Lez, France et pour cette raison nommé « Géant de Castelnau ». Les os ont été étudiés à l’Université de Montpellier et cela a confirmé que l’être humain mesurait le double de la taille d’un être humain normal.
En 1893, un squelette géant est découvert près du phare de Caraquet, au Canada, par le gardien. La découverte est annoncée dans Le Courrier des provinces maritimes. En 1894, un compte-rendu de presse américain parle de la découverte de gigantesques ossements humains trouvés à Montpellier, France, par des ouvriers travaillant sur un réservoir d’eau.
Des crânes humains de 71, 79 et 81 centimètres de circonférence ont été signalés parmi des ossements humains qui ont indiqué une race d’hommes de trois à quatre mètres de haut. Les os auraient été envoyés à l’Académie de Paris.
XXe siècle :
En 1908, près du parc d’État de Dinosaur Valley, des empreintes de pas humains géants furent découverts dans la Glen Rose Formation. En 1912, dans la région du Transvaal de l’est (actuellement Mpumalanga) en Afrique du Sud, une empreinte géante de pied humain pétrifiée aurait été trouvée par le chasseur Stoffel Coetzee.
La même année, 18 squelettes mesurant entre 2,3 et 3 mètres auraient été découverts dans le Wisconsin par Charleton Voice. Leurs crânes seraient bien plus grands que ceux de l’homme du XXIe siècle. Il semblerait aussi qu’ils n’appartenaient pas tous à la même ethnie.
En 1935, le géologue Clifford Burdick aurait relevé sur les bords de la Paluxy River (Glen Rose, Texas) des empreintes de géants jouxtant celles de dinosaures. En 1936, l’anthropologue Ludwig Kohl-Larsen aurait découvert, sur la rive du Lac Eyasi (Tanzanie) des ossements humains géants. Il est connu pour la découverte de la grotte Mumba (Mumba cave). En 1956, il fit paraître un livre sur les mythes Hadzabe, dont certains à propos de géants.
En 1937, deux paléontologues allemands, Gustav Heinrich Ralph von Koenigswald et Franz Weidenreich, auraient trouvé en Chine plusieurs ossements humains d’une taille étonnante. Weidenreich est l’auteur d’un livre sur le sujet faisant référence au Gigantopithèque, qui est un singe et non un humain. En 1944, Weidenreich fait un exposé sur ces restes de géants à l’American Ethnological Society.
D’après Louis Burkhalter, des outils préhistoriques géants auraient été exhumés à Safita en Syrie et dans le sud du Maroc, par le capitaine R. Lafanechere. Les outils syriens pèseraient de 2,5 à 3,5 kg et ceux du Maroc de 4,15 à plus de 8 kg, ce qui validerait selon lui la théorie de l’existence historique de géants humains. La découverte d’autres outils géants a été mentionnée.
En 1964, dans une grotte d’Alguetca située près de Manglisi (province de Kvemo Kartli, Géorgie), des archéologues auraient mis au jour des squelettes d’hommes mesurant près de 3 mètres. En 2002, la ville de Dmanisi dans la même province a vu la découverte de vestiges attribués à l’Homo georgicus, qui n’est pas un géant.
En 1976, le squelette d’un être humain géant aurait été découvert près du château Trezzo d’adda, province de Milan, en Italie. Le squelette a été identifié comme Rodchis, le fils du roi de Lombardie Poto au VIIIe siècle. Son squelette était trop grand pour le tombeau de 2 mètres de long, ses genoux et la tête ont été pliés pour adapter sa taille énorme qui était d’environ 2,5 mètres de haut.
Rex Gilroy, auteur australien, aurait découvert, à Mount Victoria en Nouvelle-Galles du Sud, des empreintes fossiles de pieds de géants.
XXIe siècle :
En 2004, l’équipe de prospection Aramco Exploration Team aurait découvert en Arabie saoudite un squelette humain de proportions extraordinaires qui pourrait se rattacher au peuple Ad cité par le Coran.
En 2008, les os d’un être humain géant auraient été retrouvés dans les gorges de Borjomi, en Géorgie (Caucase). La nouvelle a été rapportée par 1TV, la première chaîne de télévision en Russie. Le géant a été estimé à 2,5 ou 3 mètres de haut. Ses os ont été étudiés par le Dr Abesalom Vekua, du Musée national Géorgien.
Louis Burkhalter de la Société préhistorique française a écrit en 1950 dans la revue du musée de Beyrouth que l’existence de géants à la période acheuléenne (durant la majeure partie de la période glaciaire) était un fait scientifiquement établi…
Est-il possible que plusieurs civilisations ultra sophistiquées aient existé par le passé et que la nôtre suivra cette course inévitable d’un effondrement total? L’effondrement de notre société est-il imminent? Voici plusieurs questions que la NASA se posent. L’étude, en partie financée par le Goddard Space Flight Center suggère que les civilisations telles que nous les connaissons, connaissent une fin brutale dû à un grand nombre de facteurs différents.
Si nous nous intéressons à l’histoire, disons il y a 3000 à 5000 ans en arrière, nous découvrirons plusieurs preuves qui prouveront les capacités avancées des civilisations passées, qui étaient aussi brillantes que la nôtre. Ce modèle cyclique a été le sujet de plusieurs questions scientifiques quant à la future existence de la société et de la civilisation telles que nous les connaissons. En revenant encore plus loin en arrière, 10,000 ans avant la naissance de JC, on découvre les restes d’anciennes civilisations qui remontent à une période inconnue de nous autres. Il y a 5000 ans, la civilisation Égyptienne est née. D’où vient la culture égyptienne? Sa religion? Quelles sont ses origines? Apparemment nous ne savons rien mais ce que les archéologues ont exhumé des différentes strates, il semblerait que beaucoup d’objets « impossibles » aient une existence légitime. Que d’anciennes civilisations ont véritablement existé et qu’elles avaient déjà développé tout ce que nous connaissons, prenons pour acquis et apprécions de nos jours. On tombe sur ce genre de découvertes en ancienne Mésopotamie, en Amérique Centrale, en Chine…
Il est difficile de renier ce modèle qui revient sans cesse, et qui est une analyse pure et dur de la NASA financé par le meilleur de l’humanité.. Tout cela pour découvrir les origines des civilisations sur Terre et qui ont mis des milliers d’années à se développer. Plusieurs individus considèrent cela comme la preuve ultime que le cycle des civilisations passe en mode reset assez fréquemment.
Ces facteurs n’ont cessé de se reproduire et ont été les coupables de la naissance d’anciennes civilisations avant l’existence même de notre propre civilisation. Dans ce rapport, le mathématicien Safa Motesharri et son modèle « des dynamiques humaines et naturelles » stipule, que le« processus de naissance et de chute de ces cycles récurrents sont à jamais présent dans l’histoire. »« La Chute de l’Empire Romain et celles de Han, Mauryan, et Gupta, ainsi que plusieurs empires mésopotamiens, représentent toutes la preuve que des civilisations à la fois fragiles et impermanentes surgissent de cette terre. »
L’étude est arrivée à la conclusion que plusieurs facteurs sociaux ont contribué à l’effondrement de chacune de ces sociétés avancées: « La demande constante en ressources en raison de la pression exercée sur la capacité de processus écologique, »; et « la stratification économique de la société en élites multiples [donc les riches] et la plèbe [les pauvres] ». Ces phénomènes sociaux ont joué un« rôle considérable dans le caractère ou le processus d’effondrement, » de ces « cinq milles dernières années ».
Bien que notre civilisation est dans une phase technologique avancée, cela ne veut pas dire qu’elle va immédiatement disparaître dans un chaos innommable. Selon l’étude, les « changements technologiques peuvent accroître l’efficacité de l’utilisation des ressources mais peut aussi provoquer une consommation excessive de ces dernières. »
L’exemple majeur de civilisation incroyable qui a disparu par le passé est celle d’Amérique Centrale. Les anciens Mayas étaient hautement sophistiqués et il semblerait qu’une déforestation massive ait été à l’origine de leur déclin et extinction. « Les effondrements de civilisations super puissantes sont inévitables. », « les élites consomment trop et donnent peu en retour et cela mènera inévitablement à la fin de notre société et de cette civilisation. »
Peu de temps après 9/11, la CIA a créé un groupe de travail d’urgence qui a enquêté sur les activités suspectes de Wall Street qui a eu lieu avant l’attaque.
Est-ce que ce signal annonce
la fin du dollar? Un motif alarmante a causé beaucoup dans la communauté du renseignement pour préparer secrètement la population à un « scénario du pire ».
Et ce que beaucoup d’Américains ne savent pas est que leurs conclusions étaient radicalement différent que les conclusions de la Commission 9/11 du gouvernement.
Selon la version officielle du gouvernement américain,la CIA a déterminé que des paris contre les actions d’American et United Airlines ont atteint des niveaux considérablement accrus dans les jours avant que les agents d’Al-Qaïda ont détourné les trois avions qui seraient utilisés dans les attaques contre les tours jumelles et le Pentagone.
Le quatrième avion a été abattu près de Shanksville, en Pennsylvanie (selon la version officielle du gouvernement US) après que passagers ont combattu les terroristes …à bord de l’appareil. On sait tous que pas un seul morceau de l’avion n’a été récupéré…par même un morceau de cadavre.Il s’agit du premier avion dans l’histoire de l’aviation,qui se soit totalement désintégré en s’écrasant au sol.
De leur enquête officielle, la CIA en est venu à une conclusion importante.
Voici donc le lien vers le vidéo de l’interview de Rickards:Economical meltdown
En utilisant les marchés financiers, ils pourraient identifier les menaces imminentes pour notre sécurité nationale contre les terroristes, les nations rivales, et de faiblesses internes qui rôdent dans notre économie.
Cela a conduit au lancement d’une opération sensible appelée Project Prophecy. Et sa mission était claire.
Empêcher un autre 9/11. Et il a peut-être fait exactement cela.
Le système intégré de projet Prophecy a prouvé sa précision le 7 Août 2006, lorsque il a détecté les signes avant-coureurs d’une attaque terroriste imminente.
Trois jours plus tard à Londres, un complot visant à faire exploser dix avions de ligne américains a été contrecarré. Et 24 extrémistes pakistanais ont été arrêtés.
Cependant, l’un des architectes de Project Prophecy nous avertit maintenant que la prochaine attaque est sur le point de nous frapper de plein fouet.
Seulement cette fois il va venir de l’intérieur.
Jim Rickards est un vétéran de trois décennies des plus grandes entreprises d’investissement de Wall Street et les fonds spéculatifs. Il a également aidé à construire l’infrastructure de la technologie connue sous le nom de « cerveau» du NASDAQ.
Et il est expert en menaces financières de la CIA et conseiller en guerre asymétrique.
Dans une interview exclusive avec Money Morning, Rickards a révélé que lui et son équipe ont détecté une série de signaux économiques dangereux qui prédisent un rapide effondrement de l’économie de l’ordre de $100 trillions.
Et ils croient que cela conduira à un événement plus grave que les années 1930.
Une Grande Dépression de 25 ans
Leur date estimée de cette catastrophe est le 23 mai 2015.
Pour empirer les choses, ils croient que cela est impossible d’arrêter.
« Tout le monde sait que nous avons un niveau dangereux de la dette. Tout le monde sait que la Fed a des milliers de milliards de dollars imprimés par imprudence . Ce ne sont pas des secrets pour personne », a déclaré Rickards dans l’interview.
« Mais tous les signes maintenant clignotent au rouge vif que nos poulets sont sur le point de revenir à la maison pour se percher. »
Un des signes d’alerte que Rickards a révélé est que la CIA surveille de près ce qui concerne la Misery Index.
Des décennies en arrière, il a été créé afin de déterminer à quel point ,l’empire américain était proche d’un effondrement social. Il ajoute simplement le taux d’inflation vrai avec le taux de chômage réel.
Toutefois, la Réserve fédérale a changé à plusieurs reprises la façon dont touta été calculée depuis des années…afin de ne pas effrayer le « bon peuple qui dort au gaz ».
«Aujourd’hui, vous entendez rarement le discours du gouvernement sur l’indice de la misère avec le public», a déclaré Rickards.
« La raison en est qu’ils ne veulent pas que vous sachiez la vérité. Et la vérité est que l’indice de la misère a atteint des niveaux qui sont plus sévères que ce que nous avons vu avant la Grande Dépression. Ce est un signal d’un système complexe qui est sur à se effondrer. »
Rickards continué de montrer à part une succession de tableaux dans l’interview qui se est avéré que l’Amérique a secrètement atteint, ou dépassé, les niveaux de crise dans son marché boursier, avec notre système basé sur le dollar US, et de la banque qui sont plus sévères que dans 1929.
Et il est pas seul dans ses craintes.
Un rapport étonnant de tous les 16 branches de la commission du renseignement américain a récemment fait surface.
Il a révélé que ces organismes ont déjà commencé à évaluer conjointement l’impact de «La chute du dollar comme monnaie de réserve mondiale. »
Et notre règne comme la superpuissance d’attaque étant anéanti de façon « équivalent à la fin de l’Empire britannique dans la période après la Deuxième Guerre mondiale. »
À un moment de l’entrevue, Rickards a examiné les cinq points chauds qui pourraient fixés tout cela en mouvement.
Et puis il a décrit ce qui se passerait immédiatement à la suite.
« Je me attends à la première phase apparaît comme un accident de 70% du marché boursier presque instantanée. De l’extérieur, personne ne le voir venir. » Rickards expliqué.
« Une fois qu’il devient clair que ce ne est pas un krach éclair – ce est une crise systémique dans l’économie elle-même, ce est alors que la gravité de la situation va sombrer dans. »
Détails du plan gouvernemental de
« Day After plan » Avertissement en ressort:
des mesures d’urgence ont déjà été mises «en jeu» pour cette période de 25 ans de Grande Dépression.
Près de la fin de la discussion, il a fait un aveu qui a choqué toutes les personnes présentes.
«Notre gouvernement a déjà mis en œuvre « The Day After Plan » pour cet effondrement, pour être clair que ce est leur nom pour lui, The Day After plan», a admis Rickards.
Ils ont préparé les emplacements pour l’évacuation de nos dirigeants à des sites baptisés zone A, zone B, et site R, qui est également connu comme The Rock.
« Regardons cela de cette façon dont les Américains sont debout au fond d’une montagne très grand -. Mont Everest, le Kilimandjaro … ils regardent et voient une avalanche dévaler. »
«Détermination de l’une flocon de neige qui a commencé ce chaos ne devrait pas être notre objectif. Reconnaissant la gravité de la situation et se déplaçant à la sécurité devrait être», a expliqué Rickards.
La question que nous devrions tous nous poser maintenant est « …a-t-il raison…ou Est-ce du terrorisme médiatique? »
Oui elle fait peur cette étude de la NASA , mais c’est mathématique, inévitable : on ne peux pas faire de croissance infinie dans un monde fini , je rappel ce principe fondamental , avec le dessin du futur : L’overshoot !
Vous avez certainement dû entendre parler de la dernière étude de la NASA sur la chute de nos civilisations. Selon cette étude, nous en avons au mieux pour quelques décennies avant de disparaître de la surface de la Terre. Au-delà de l’alarmisme affiché aussi bien dans cette étude que dans ses conclusions, l’humanité tout entière fait face à des défis d’ampleur historique. Il me semblait intéressant d’essayer de revenir sur cette étude qui a déchaîné de très nombreux commentaires sur les réseaux sociaux et dans ma messagerie électronique !! Essayons donc d’y voir plus clair, et d’analyser ce sujet loin de toute panique et en prenant du recul.
Quel est le point de vue défendu par l’étude de la Nasa ?
Petite précision, vous trouverez en annexe le lien vous permettant d’avoir accès à l’original, c’est-à-dire au document complet, en anglais et en 27 pages !
On peut résumer cette étude en disant qu’elle pointe du doigt la menace d’épuisement des ressources naturelles et la répartition des ressources.
Les chercheurs ont utilisé un modèle mathématique baptisé Handy (Human and Nature Dynamical) et ont répertorié les raisons qui ont provoqué la chute d’autres civilisations : les Mayas, l’empire Mésopotamien, l’Empire romain, la dynastie Han, etc. En étudiant la dynamique homme-nature, l’étude montre qu’il y a un cycle récurrent constaté tout au long de l’histoire et qui provoque un « effondrement brutal » des civilisations.
Parmi les causes récurrentes d’effondrement, on retrouve : – le climat ; – la démographie ; – l’eau, l’agriculture ; – l’énergie.
Lorsqu’elle se produit, la convergence de ces facteurs aboutit à un effondrement civilisationnel.
« Pour les auteurs, il serait faux de croire que les progrès technologiques permettront de résoudre ces problèmes avant qu’il ne soit trop tard, car ils entraînent une consommation plus importante. Seule solution envisagée par cette étude : la mise en place de politiques adaptées qui viseraient à réduire les inégalités et la consommation des ressources. »
En clair, cette étude de la NASA prône en réalité la mise en place de politiques systématiques de « décroissance » pour sauver l’humanité.
L’effondrement des sociétés complexes du Professeur Tainter
C’est un excellent ouvrage. Je vous joins en annexe là encore le lien vous permettant de le lire ou le relire dans son intégralité. Pour résumer là encore, pour ce professeur américain qui a étudié avec minutie les effondrements de sociétés dans notre histoire les facteurs qui conduisent au drame sont les suivants :
1/ Les sociétés humaines sont des organisations faites pour résoudre les problèmes.
2/ Les systèmes sociopolitiques ont besoin d’énergie pour se maintenir.
3/ La complexité accrue porte en elle des coûts accrus par habitants.
4/ L’investissement dans la complexité sociopolitique, en tant que réponse à la résolution des problèmes, atteint souvent un point de rendements marginaux décroissants.
5/ À mesure que le rendement marginal de l’investissement dans la complexité décline, la société investit toujours plus lourdement dans une stratégie proportionnellement moins rentable. Il faut alors faire face aux poussées de tensions en dehors du budget de fonctionnement courant.
6/ Les rendements marginaux décroissants font de la complexité une stratégie d’ensemble de moins en moins séduisante, si bien que des parties d’une société perçoivent un avantage croissant à une politique de séparation ou de désintégration. Logiquement, divers segments de la population accroissent leur résistance active ou passive, ou tentent ouvertement de faire sécession.
Par rapport à cette grille de lecture, force est de constater qu’un pays comme la France obtient à peu près un sans-faute aux critères de l’effondrement. Comme quoi, nous pouvons être premier quelque part et avec facilité. Les exilés fiscaux, ou nos compatriotes qui font tout simplement le choix et ils sont de plus en plus nombreux à aller tenter leur chance à l’étranger, ne sont rien d’autre que des « segments de la population qui accroissent leur résistance active ».
Nous finançons notre complexité par toujours plus d’impôts sur toujours plus de choses comme la cigarette électronique, les boissons, et la créativité de nos élites est sur ce sujet sans limite. Le « choc de simplification » lancé par notre président est un vieux serpent de mer. Tout le monde veut simplifier la complexité, or la complexité s’est emballée, elle nous échappe, nous courons derrière elle. Nous la subissons. Aussitôt lancé, le choc de simplification fut bien vite oublié, et soyons francs, parmi vous… qui se souvient encore de ce sujet alors qu’il faisait la « une » de nos médias il y a moins d’un an.
Le Club de Rome et Dennis Meadows
Dennis Meadows est l’un des auteurs de l’étude visionnaire sur « Les limites à la croissance” qui, dès 1972, alertait sur le risque d’une crise d’effondrement dans la première moitié du 21e siècle provoquée par l’épuisement des ressources de la planète. Cela fait donc 40 ans que certains ont déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’insoutenabilité de notre modèle économique basé sur l’idée suivante : « croissance infinie de la consommation de masse dans un monde fini ».
Or il n’est nul besoin d’aucun modèle mathématique pour comprendre ce que le simple bon sens d’un enfant permet de comprendre. La croissance infinie dans un monde fini est une aberration intellectuelle en soi. Or notre système repose pour le moment sur ce postulat aberrant. Pour le dépasser, il faudrait que nous puissions par exemple accéder à d’autres planètes et que nous puissions évidemment les exploiter de façon massive. C’est là encore illusoire tant les coûts et les technologies pour y arriver nous manquent.
Soyons réalistes. Il ne s’agit pas d’envoyer un équipage de courageux aventuriers modernes vers Mars pour quelques mois et de 4 personnes ! Il s’agirait de coloniser, d’habiter, d’exploiter et de rapatrier des ressources sur Terre. Nous devrions bâtir des cargos spatiaux au lieu de nos porte-conteneurs. Nous n’y sommes évidemment pas et nous risquons, car là est le problème, de ne jamais atteindre le moment où nous serons techniquement capables d’aller exploiter facilement une autre planète et de connaître notre effondrement bien avant.
Dennis Meadows n’est pas n’importe qui puisqu’il était le directeur du MIT, une très célèbre université, et son étude de 1972 a décrit plusieurs scénarios d’évolution possible de l’économie, de la population et des ressources mondiales, chaque scénario correspondant à des choix différents que l’humanité pouvait collectivement faire à partir de 1972. Leur scénario « On continue comme avant », qui correspond grosso modo à ce qui s’est passé par la suite, prédisait que l’approche des limites de la planète commencerait à exercer un fort impact sur la croissance à partir des environs de l’année 2010, impact qui irait ensuite croissant, finissant par déboucher d’ici 2050 au plus tard sur un effondrement, c’est-à-dire une baisse précipitée du niveau de vie et peut-être de la population mondiale, dans une situation d’épuisement des ressources et de l’environnement naturel.
Pour ceux qui voudront approfondir ce sujet (et je le leur conseille), vous trouverez le lien vers la dernière interview donné par Monsieur Meadows et en français dans le texte !
Maintenant que nous avons vu à travers les travaux de 3 personnes ou groupes différents que l’idée d’un effondrement était loin d’être aussi improbable, posons la question qui fâche vraiment !
La civilisation occidentale est-elle aujourd’hui menacée sérieusement de disparition ?
Je parlerais plutôt d’une possible disparition de la civilisation telle que nous la connaissons dans le sens où le délitement des structures occidentales ne signifie pas qu’elles seront remplacées par un nouvel « âge sombre ». L’actuelle crise économique peut à ce titre être considérée de deux façons : elle pourrait être un élément directement déclencheur de notre potentielle chute ou bien un élément précurseur à travers les tensions qu’elle pourra générer dans les prochaines années, dans ce cas cela signifierait qu’en réalité, l’effondrement a déjà commencé.
Ce rapport de la NASA fait par ailleurs écho, comme nous l’avons vu à d’autres travaux, notamment ceux du Club de Rome qui avait analysé sous un angle environnementaliste les cycles d’exploitations des matières premières. Il avait ainsi été conclu que la croissance économique finirait par connaître une fin logique face à la limite des ressources naturelles disponibles dans un système de consommation de masse, l’idée de base pouvant être résumée par « la croissance infinie dans un monde fini est par définition impossible ». L’autre texte de référence en la matière est celui de l’américain Joseph Tainter (L’effondrement des sociétés complexes) qui relève d’une analyse plus politique et historique sur la fin des grandes civilisations.
Cela nous amène effectivement à se demander si le système que nous connaissons, basé sur la consommation et la production de masse, peut tenir éternellement en reposant sur l’abondance complète des matières premières et de l’énergie, le tout devant être disponible à un coût très bas !
À l’instar de la NASA et du Club de Rome, je suis de ceux qui pensent que de telles structures ne peuvent durer, en particulier dans un contexte mondialisé comme le nôtre. Une fois que cela est dit, il ne faudrait pas dire que notre situation est pour autant désespérée : ce n’est pas parce que notre système ne peut plus faire de la consommation de masse sa pierre angulaire que la civilisation en tant que telle est condamnée à l’effondrement. Il ne faudrait pas confondre à ce titre le système économique pur (ainsi que son corollaire le monde politique) d’une civilisation dans son ensemble : la chute récente du système soviétique est là pour rappeler l’importance de telles nuances. La fin d’un système économique n’est pas la fin d’une culture et encore moins la fin d’une civilisation, en revanche cela peut aussi le devenir !
La complexité fragilise une société la rendant sensible au moindre changement
Il est clair que la compréhension et la prédiction de notre environnement est de plus en plus difficile. Tainter évoque l’idée, de manière assez pragmatique du reste, qu’une société se fragilise au fur et à mesure qu’elle devient plus performante, et donc plus complexe.
Par exemple, il n’y a pas 20 ans de cela, il était possible pour à peu près n’importe qui de réparer le phare de sa voiture, un simple changement d’ampoule étant nécessaire pour y arriver. Aujourd’hui, un tel problème demande de se rendre à la concession, d’utiliser des outils spéciaux, de démonter la moitié du pare-chocs, et d’acheter une ampoule spéciale dont le prix est 10 fois plus important.
Dans la même logique, la multiplication des équipements électroniques de nos automobiles multiplie les sources de pannes, et ces pannes sont aujourd’hui impossibles, ou presque, à réparer pour l’individu moyen. De moins en moins autonomes, nous finissons par dépendre de ce que l’on appelle les « services-support » (fourniture d’eau, d’énergie, de nourriture, de vêtements par des services extérieurs…). Plus ces services se popularisent plus ils fragilisent par définition un équilibre d’ensemble en généralisant l’interdépendance.
Ainsi, lors des tempêtes de neige du début de l’année 2013, le gouvernement avait été obligé d’immobiliser les semi-remorques à l’entrée de l’Île-de-France, ce qui avait fini par créer des pénuries dans plusieurs secteurs au bout de quelques jours. Dans un registre similaire, l’impact du tsunami qui a frappé le Japon en mars 2011 sur les entreprises japonaises avait fini par créer des problèmes d’approvisionnement aux quatre coins de la planète. Autrement dit, plus nous développons des systèmes spécifiques, moins nous sommes capables de nous adapter à des événements imprévus.
Cette question de la complexité est d’ailleurs d’autant plus préoccupante qu’elle n’est plus tellement limitée dans l’espace à l’ère de la globalisation. Le problème est qu’il est impossible ou presque de « simplifier » un système trop complexe, et l’exemple du « choc de simplification » souhaité par le gouvernement Hollande est ici assez révélateur puisqu’il a en vérité généré de nouvelles lois qui ont encore ajouté à la complexité de l’État français. Enfin, dans une société complexe, les individus sont ultra-spécialisés et ne maîtrisent plus par définition les savoir-faire nécessaires à une survie dans un monde plus « naturel ». Une société complexe rend donc les gens moins résilients car dépendants des autres qui détiennent d’autres compétences. La complexité rend donc chacun de nous plus sensible et plus fragile aux aléas du monde.
Un facteur ne peut conduire à un effondrement !… Quoique!
Nos sociétés sont à la fois complexes donc fragiles mais jusqu’à un certain stade cette complexité et cette « technicité » permettent de trouver des solutions et des palliatifs. Une société complexe est aussi d’une certaine façon adaptable. C’est la raison pour laquelle, hormis un aléas totalement extrême, l’effondrement d’une civilisation est toujours plurifactoriel et il s’agit de la convergence de facteurs économiques, sociaux, politiques, énergétiques ou encore culturels.
Certains pensent donc qu’une crise énergétique majeure ne serait pas en mesure de mener nos sociétés industrielles à un effondrement. Si cela peut sembler logique si l’on admet que les chutes des civilisations sont multifactorielles, c’est néanmoins oublier un peu vite à quel point l’ensemble de notre vie dépend aujourd’hui du pétrole et de ses dérivés. Nous sommes à la fin de l’âge du pétrole abondant et peu coûteux et le problème n’est d’ailleurs pas tant de savoir quand coulera la dernière de goutte de pétrole du dernier puits que de savoir combien coûteront les barils lorsqu’ils seront véritablement plus rares. Nos médicaments, notre médecine, nos vêtements, notre alimentation, nos engrais, notre mobilier, tout, absolument tout dépend aujourd’hui de l’accessibilité aux énergie fossiles. Aucune civilisation dans notre histoire n’a jamais été aussi dépendante de la fée énergie et l’essentiel de l’énergie aujourd’hui c’est le pétrole. Nous sommes incapables pour le moment de mener ce que l’on appelle la transition énergétique vers les énergies propres ou renouvelables.
Je pense donc que pour la première fois dans notre histoire, un seul facteur, et nous regrouperons tout sous le vocable « matière premières » peut aboutir à un effondrement des sociétés telles que nous les connaissons si ce sang indispensable à notre système économique venait à manquer. Or, et tous les chiffres le montrent sans ambiguïté, ils sont en train de manquer.
Pour aller un peu plus loin dans le raisonnement, l’Empire romain ne disposait d’aucune source d’énergie sauf celle des bras des esclaves. Son effondrement était donc effectivement multifactoriel. Les mêmes phénomènes se sont peu ou prou répétés jusqu’à l’émergence de notre civilisation que nous pouvons qualifier « d’industrielle ». Sans énergie nous sommes condamnés à très brève échéance et c’est également ce qui explique, ne soyons pas naïfs, la nécessité d’intervenir en Irak, en Libye, en Syrie, ou encore en Ukraine. Tous les pays du monde sont lancés dans une « guerre douce » aux matières premières. Lorsqu’elles manqueront vraiment ces « guerres douces » pourraient devenir autrement plus dangereuses.
Alors évidemment, on a envie tout de même d’espérer et se dire qu’il y a forcément des solutions.
Ces mécanismes d’effondrements sont-ils irréversibles et peut-on avoir un peu d’espoir ?
Le plus bel exemple historique est selon moi l’Histoire de l’humanité, cette dernière étant ponctuée de grands chocs et de réadaptations souvent surprenantes.
Contrairement à une idée reçue, la chute de l’Empire romain n’a pas signifié la fin de toute civilisation et de toute technique, bien que cela ait évidemment représenté une « régression ». Néanmoins, les civilisations qui suivent arrivent toujours à dépasser le seuil technologique et économique de celles qui les ont précédés. Du moins est-ce le cas dans l’histoire de l’Occident.
Le problème est de se demander ce qui pourrait remplacer la société globalisée à une époque où aucun contre-modèle n’existe pour s’y substituer, ce qui est en soi quelque chose de totalement inédit sur le plan historique.
Un effondrement de ce système où chacun est interdépendant se fera en toute logique à l’échelle mondiale et rien ne pourra venir se placer en alternative.
Lorsqu’un système s’effondrait autrefois, il avait toujours la possibilité d’être absorbé par un voisin plus puissant (c’était le cas de Rome avec la puissance militaire des tribus germaniques et la matrice intellectuelle du christianisme), ce qui est effectivement impensable en l’état actuel des choses.
Vers quoi pourrait mener un effondrement de nos modèles de société ? Faut-il aller jusqu’à craindre un nouveau Moyen Âge ?
Comme je le disais plus haut, on peut dissocier la fin d’un système politico-économique de la fin d’une civilisation, ce à quoi on peut ajouter un troisième scénario, autrement plus apocalyptique, à savoir la fin de l’humanité.
Le plus inquiétant est que ce schéma, aussi spectaculaire soit-il, n’est pas à exclure entièrement.
Au-delà de l’aspect globalisé de notre système, une fragilité supplémentaire est à prendre en compte aujourd’hui : notre incroyable potentiel de destruction technologique.
Lorsque l’Empire romain s’est effondré, il n’existait pas de laboratoires P4 concentrant des masses de virus mortels, ni de centrales nucléaires, et encore moins d’arsenaux nucléaires capables de vitrifier cent fois la planète entière.
Or on peut légitimement s’interroger sur ce qu’il se passerait si jamais ces structures n’étaient plus gérées par un personnel compétent. D’ailleurs, cette problématique du potentiel de destruction technologique fut une véritable problématique lors de l’effondrement de l’Union Soviétique avec la hantise qu’une ogive nucléaire se retrouve revendue au marché noir par des militaires dont les soldes n’étaient plus payées depuis… plusieurs années !!
Si l’on peut toujours espérer que le système capitaliste, dans son acceptation la plus resserrée (respect de la propriété privée dans les moyens de production), puisse s’appuyer sur son incroyable capacité d’adaptation pour trouver un nouveau souffle et de nouveaux postulats de fonctionnement (comme l’économie circulaire par exemple), des scénarios noirs ne sont donc clairement pas à exclure. Cela nous renvoie à l’ouvrage phare de Nassim Taleb, Les Cygnes Noirs, pour qui ce qui façonne l’histoire de l’humanité n’est pas la « moyenne normale des événements »… mais les événements extrêmes et hautement improbables.
L’effondrement est-il donc inéluctable ?
La réponse ne vous plaira pas, car on n’aime pas les mauvaises nouvelles, mais oui, l’effondrement de la civilisation telle que nous la connaissons n’est qu’une question du temps et même si ces sujets parce qu’ils sont particulièrement anxiogènes ne sont pas publiquement détaillés, tous ceux qui y réfléchissent un peu sérieusement aboutissent à la même conclusion.
La croissance de la population mondiale est exponentielle mais nos ressources ne le sont pas. Le problème peut donc se résumer de façon assez simple. Soit nous trouvons plus de ressources et je peux vous garantir que ce n’est pas sur Terre que nous les trouverons, soit nous réduisons notre consommation de ressources, soit nous réduisons notre population donc la demande.
Il y a donc trois paramètres et pas un de plus sur lesquels vous pouvez jouer. Il n’y a dans ce problème que 3 variables et elles sont parfaitement connues de tous.
Plus de ressources. Moins de consommation de ressources Moins de consommateurs de ressources.
Pour le plus de ressources, il faudrait comme lors de la découverte de l’Amérique, et ce fut un apport considérable en nouvelles richesses et ressources pour la vieille Europe, que nous quittions cette fois non pas notre continent pour en découvrir un nouveau, mais que nous allions exploiter une autre planète. Il faut que nous le fassions avant de nous effondrer ce qui évidemment semble très mal parti.
Nous pouvons aussi réduire de façon drastique notre consommation et c’est d’ailleurs ce qui se passe avec nos chômeurs et nos « pauvres » qui sont des millions à être décroissants par nécessité et non par choix. Nous pouvons revenir à un mode de vie beaucoup plus simple, quitter les villes et se rapprocher de la terre. Les villes sont une aberration en termes de ressources puisqu’un citadin par définition doit tout se faire apporter et dépend de l’ensemble des services de supports. Il n’a aucune autonomie possible. Il ne peut ni cultiver, ni élever des poules ni de lapin lui-même logeant dans un clapier hors de prix. J’espère que nous saurons nous adapter de cette façon-là car si nous ne le faisons pas alors il ne restera que la dernière variable.
Réduire la population humaine… cela peut se faire par la maladie, les guerres ou la famine. Choisissez votre fin ou votre faim mais dans tous les cas cette option est fort désagréable.
Comment se préparer ?
Là encore je vous indique en lien un article que j’avais écrit à ce sujet récemment et intitulé « Comment vous préparer à l’effondrement économique ».
Sachez que les problèmes d’accès aux matières premières, auxquels nous sommes déjà confrontés, sont avant tout des problèmes économiques. Souvenez-vous qu’avant la crise des subprimes en 2007, nous avions tous les yeux rivés sur le prix du baril de pétrole qui avait dépassé les 150 dollars le baril !! Pourquoi à votre avis ? Tout simplement parce qu’il n’y avait plus assez de pétrole pour fournir en énergie un monde en croissance économique forte.
Cela veut dire que la croissance ne PEUT pas revenir contrairement à tout ce que nous expliquent nos crétins de dirigeants pour la simple et bonne raison que si nous avions demain une croissance économique mondiale forte alors le prix des matières premières flamberait et qu’en flambant, le prix très élevés des matières premières viendrait « casser » la croissance économique et la reprise qui serait forte. Il est indispensable de comprendre ce mécanisme. Tout le monde l’a oublié ou occulté, mais de 2005 à 2007 nous l’avons pourtant tous vécu et nous avons pu mesurer l’effet de la raréfaction des ressources. Alors que l’économie se porte mal partout dans le monde, le prix du pétrole est aujourd’hui 10 fois plus élevé que lors de la première guerre du Golfe !!!
Soyez donc conscient que quoi que l’on vous raconte, il n’y aura pas de retour possible à une croissance économique forte et durable. Nous sommes déjà rentrés dans l’ère de la rareté et elle précède le moment de l’effondrement.
Alors stockez ce qui vous sera utile, ayez des outils et pas « made in china », ayez de quoi tenir en attendant votre première récolte, apprenez à cultiver, à coudre, à réparer, à faire du cheval, à chasser, à piéger, apprenez à vous débrouiller et à devenir le plus autonome possible, mais surtout si vous le pouvez quitter les villes car en cas d’effondrement de la civilisation les villes n’offriront aucune chance de survie à long terme et c’est exactement ce qu’il se passe en Grèce. En Grèce, c’est un véritable exode urbain qui a lieu. 60 % des Grecs des villes veulent rejoindre les campagnes, dernières planches de salut pour affronter la misère urbaine.
Alors certains me diront mais c’est beaucoup trop pessimiste comme analyse ou comme approche ! Sauf que mes chers amis, la crise a commencé à l’été 2007 ! Il y a presque 7 ans !! Nous sommes en train d’attendre depuis 7 années entières le retour de la croissance que l’on nous promet à chaque vœux présidentiels de fin d’année !!! 7 années d’attente pour ne rien voir venir si ce n’est plus de misère et plus de pauvreté, plus de dégradations dans notre mode de vie, plus d’impôts et moins de richesses… Ce mouvement ne concerne pas que notre pays. Il est mondial.
Alors au bout de 7 années d’attente, ne croyez-vous pas que la bonne question ne serait pas plutôt de se demander et si l’effondrement avait déjà commencé ? Et si l’effondrement n’était pas « brutal » comme l’indique la NASA, mais justement relativement lent ? Et à votre avis, comment l’Empire romain s’est-il effondré ? Le 16 avril 376 à 15h23 ? En réalité, et la NASA nous induit tous en erreur dans ce cas, l’effondrement d’une civilisation, parce qu’elle a des structures, des règles, des lois, des corps constitués, une culture, une technique, etc., parce qu’elle possède forcément une forme de force et de résilience qui ont expliqué son succès et son développement ne s’effondre jamais brutalement. Au début, c’est une lente déliquescence, presque impalpable ou l’on confond crise passagère avec crise terminale, puis les événements s’accélèrent progressivement, et enfin, au dernier stade, lorsque l’on atteint certains « effets de seuil », c’est-à-dire une accumulation suffisante de problèmes, alors la fin de la chute est brutale.
L’effondrement a déjà commencé. Il est économique, technologique, environnemental, social, politique et évidemment moral. Il ne s’agit pas de la fin du monde mais de la fin d’un système, celui dans lequel et par lequel nous vivons tous actuellement.
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