Moyen Orient:Le chaos des alliances et des mésalliances politiques

« Vers l’Orient compliqué, je volais avec des idées simples ». Cette phrase prémonitoire du général De Gaulle, quoique quelque peu sortie de son contexte, résume à merveille la complexité de la scène moyen-orientale. C’est particulièrement vrai aujourd’hui, alors que nous assistons à l’émergence d’un casse-tête d’alliances et de contre-alliances où les acteurs eux-mêmes semblent parfois se perdre…

Ce blog a souvent ironisé sur les béantes contradictions de la politique américaine au Moyen-Orient. Les YPG syriens étaient des alliés mais leur alter ego du PKK, à quelques kilomètres de l’autre côté de la frontière, était « terroriste ». Pour une fois, Kurdes et Turcs devaient rire ensemble… très jaune. Et ne parlons même pas du soutien de la CIA à des groupes tirant sur les soldats envoyés par le Pentagone !

Soldats américains en Syrie…l’an passé.

Si l’empire US a souvent porté l’incohérence à son paroxysme, il n’est toutefois pas le seul. Nous allons voir, dans ce petit tour d’horizon schématique, une kyrielle de discordances chez les protagonistes du jeu dans la région.

Pourquoi l’Iran soutient-il en Libye ce qu’il combat en Syrie, pourquoi les Saoudiens arment-ils au Yémen ce qu’ils désarment en Égypte, comment diable le Hamas se retrouve-t-il dans le même camp qu’Israël sur le conflit syrien depuis dix ans ? Que penser des œillades émiraties envers les Iraniens malgré la proximité de ceux-ci avec le Qatar, ennemi juré d’Abu Dhabi ? Une proximité qui n’a d’ailleurs pas empêché l’Iran et le Qatar de s’affronter en Syrie. Syrie où Moscou et Téhéran sont alliés alors qu’ils se retrouvent dans des camps opposés en Libye. Faites vos jeux, rien ne va plus…

Avant de commencer, dressons un rapide tableau synoptique, forcément sommaire, des trois grandes oppositions qui traversent le Moyen-Orient. Ce sont en effet elles qui, ne se recoupant pas toujours, expliquent en partie le maelstrom.

  • Courant nassérien vs courant religieux

Pendant les décennies d’après-guerre, c’était la grande opposition qui divisait le Moyen-Orient. D’un côté, un bloc nationaliste, socialisant et laïc, férocement anti-sioniste, comprenant l’Égypte de Nasser, le Baath en Irak et en Syrie ou encore l’OLP d’Arafat. De l’autre, la tendance religieuse regroupée autour des pétromonarchies du Golfe.

La Guerre froide est évidemment venue mettre son grain de sel. Par proximité idéologique, l’URSS a soutenu le courant nassérien tandis que, par contrecoup, les États-Unis ont logiquement embrassé le courant religieux, d’autant plus qu’ils y avaient encore d’autres intérêts (pétrole, pétrodollar)

La chute de l’URSS a laissé le premier orphelin, même si celui-ci n’avait de toute façon jamais rien fait pour se placer dans une position confortable : conflit « fratricide » perpétuel entre la Syrie d’Assad père et l’Irak de Saddam, expulsion des 20.000 (!) conseillers soviétiques d’Égypte en 1972 etc.

Aujourd’hui, ce qui reste du nassérisme se compte sur les doigts de la main : l’Égypte des militaires (mais qui a complètement abandonné son anti-sionisme), la Syrie d’Assad fils et, d’une certaine façon, le général Haftar en Libye. C’est peu. Cependant, ce courant déclinant a été rejoint, au moins partiellement, par un autre, qui a totalement changé la donne en 1979…

  • Chiisme vs sunnisme

Sous l’éteignoir pendant des siècles, oppressé par la majorité sunnite, le chiisme a explosé avec la Révolution iranienne. Partout au Moyen-Orient, exaltées par le militantisme khomeyniste, les communautés chiites relevaient la tête, provoquant la panique, aussi bien du courant religieux sunnite (pétromonarchies) que d’une partie du courant nassérien qui se scinde alors.

Craignant une contagion révolutionnaire dans sa population majoritairement chiite, Saddam, fortement encouragé et financé par les pétromonarchies, déclenche en effet la guerre contre son voisin. Il reçoit l’appui diplomatique de l’Egypte tandis que la Syrie se range du côté des Iraniens. Soutenus à la fois par Bagdad et par Téhéran, les Palestiniens sont quant à eux un peu perdus…

Pour Israël, l’ennemi n’est plus le courant nassérien, qui s’est irrémédiablement affaibli au fil du temps, mais le nouvel « axe de la résistance » mis sur pied par les Iraniens : ce fameux arc chiite dont on a beaucoup parlé concernant la guerre en Syrie.

Nassérisme éclaté, partiellement remplacé par le chiisme qui s’est allié à certaines de ses composantes et en a combattu d’autres ; on pourrait croire que seul le courant religieux sunnite est sorti indemne des soubresauts moyen-orientaux. Il n’en est rien.

  • Frères musulmans vs wahhabisme

Nous n’allons pas entrer ici dans les innombrables querelles théologiques au sein de l’islam sunnite mais nous attacher à la principale opposition qui le traverse. Contrairement à une idée reçue, l’Arabie saoudite n’a pas toujours été l’ennemie des Frères Musulmans (appelons-les « FM » car le nom reviendra souvent). Durant des décennies, ces deux-là avaient un commun adversaire – le laïc Nasser – et Riyad accueille dans les années 60 des milliers de membres de la confrérie, souvent des enseignants chargés d’éduquer la population largement analphabète du pays [1].

Les choses commencent à déraper lors de la guerre du Golfe (1990-1991), lorsque ceux-ci s’opposent au déploiement des troupes américaines sur le sol saoudien. Elles s’enveniment définitivement avec le « printemps arabe » de 2011 qui amène les FM au pouvoir en Égypte, en Tunisie, en Libye et ailleurs. Depuis, le Saoud s’oppose résolument à la confrérie, d’autant plus que le sultan Erdogan, concurrent pour le commandement officieux des FM de la Oumma.

Ces considérations étant posées, voyons comment ces grilles de lecture se traduisent sur le terrain.

Commençons justement par l’Arabie saoudite. Nous avons vu plus haut qu’elle était à la fois anti-nassérienne, anti-chiite et anti-frériste. Diantre ! Quand un conflit éclate entre deux de ces composantes, qui soutient-elle ? Les faits présents ou passés nous permettent d’établir une typologie assez sûre. Les ennemis du Saoud sont dans l’ordre :

  1. les chiites et l’Iran
  2. les Frères musulmans
  3. les nassériens

Le tiercé gagnant de Riyad sera immanquablement 3 contre 1 (guerre Iran-Irak), 3 contre 2 (Égypte, Libye) ou 2 contre 1 (Syrie, Yémen).

Atterrés par la prise de pouvoir FM en Égypte, les Saoudiens y soutiennent le coup d’Etat militaire, pourtant laïc, en 2013. Et quand la sanglante répression pousse le Département d’Etat américain à interrompre son aide financière au Caire, ils sautent comme un diable de leur boîte pour offrir leurs pétrodollars.

Le général Haftar

En Libye, la guerre actuelle oppose le Gouvernement d’Entente Nationale (GNA en anglais) tendance FM à l’Armée Nationale Libyenne du général Haftar, nous y reviendrons. Sans surprise, l’Arabie saoudite soutient là aussi, avec armes et bagages, le général « nassérien » contre le gouvernement frériste.

Mais qu’entrent en scène l’Iran ou les chiites, et les Frères musulmans deviennent soudain beaucoup plus acceptables ! C’était évidemment le cas en Syrie quand ils combattaient Assad, allié de Téhéran. C’est également le cas au Yémen où le Saoud ravale sa fierté et épaule la milice al-Islah, principale force sur le terrain face aux Houthis chiites.

Si l’Arabie saoudite suit donc une stratégie à géométrie variable, graduelle en l’occurrence, deux poids lourds du Moyen-Orient conservent quant à eux une ligne directrice tout à fait cohérente, diamétralement opposée d’ailleurs. L’Égypte des militaires s’oppose universellement aux Frères musulmans, la Turquie les soutient partout.

Nous avons subrepticement évoqué le point chaud actuel, à savoir la Libye. La guerre y fait rage à peu près sans interruption depuis que les petits génies de l’OTAN se sont lancés dans un de leurs catastrophiques « regime change » en 2011. Si le général Haftar vient d’échouer aux portes de Tripoli à cause de la massive intervention turque, il contrôle encore la grande majorité du territoire (en rose).

Carte des territoires contrôlés au 26 juin 2020
Il est soutenu par tous les Etats qui, pour des raisons diverses, sont ennemis des Frères musulmans : Egypte, Arabie saoudite, Emirats Arabes Unis, Russie et, par ailleurs, la France. Le Caire, qui craint comme la peste la confrérie et ne veut pas voir un gouvernement qui en est issu à ses frontières, est même prêt à intervenir militairement pour aider Haftar.
Le GNA (en bleu sur la carte) est naturellement défendu par les pays proches des FM, au premier rang desquels la Turquie et le Qatar. Surprise (qui n’en est peut-être pas une finalement), il vient également de recevoir le soutien de l’Iran ! Echange de bons procédés – je me range de ton côté en Libye, tu continues à t’opposer aux sanctions US – lors de la visite du MAE iranien à Ankara ? Sans doute, mais il y a peut-être plus…
Le rapport entre Téhéran et les Frères musulmans – les « meilleurs ennemis du monde » – a toujours été compliqué. Peu de points communs entre le chef de file du monde chiite et le mouvement islamiste sunnite, sinon les points de friction. En Syrie, les milices iraniennes se battent depuis des années contre les groupes d’obédience frériste ; au Yémen, les Houthis font face à al-Islah etc.
Et pourtant, dans les hautes sphères surplombant les combats sur le terrain, les choses sont soudain beaucoup plus nuancées, car entrent en jeu les intérêts stratégiques profonds des puissances. Ainsi, pour Téhéran, la rupture de juin 2017 au sein du Conseil de Coopération du Golfe a été une véritable bénédiction :
Les Perses la jouent très fine, faisant d’une pierre deux coups. Les demandes qataries en nourriture et eau potable ont été acceptées et même devancées puisque l’Iran offre maintenant l’utilisation de trois ports pour le ravitaillement de son voisin. En intensifiant ses relations avec Doha, il espère faire exploser le Conseil de Coopération du Golfe, le biais par lequel l’axe Washington-Riyad-Tel Aviv fait pression sur Téhéran. Et en échange de l’aide de première nécessité fournie actuellement, on imagine qu’une condition a été posée : le retrait du soutien qatari aux rebelles modérément modérés de Syrie.
Depuis, les rapports sont restés excellents avec l’émirat gazier et l’Iran, engagé dans un bras de fer titanesque, semble décidé à jouer la carte turco-qatarie frériste contre la triade américano-saoudo-israélienne qui le harcèle. L’ennemi de mon ennemi est théoriquement mon ami, même si je le combats sur le terrain dans plusieurs guerres…
Ceci pourrait expliquer le surprenant soutien iranien au GNA libyen, qui place Téhéran complètement en porte-à-faux vis-à-vis de Moscou et même de son allié syrien ! Rappelons en effet qu’Assad et Haftar, mus par une commune détestation du sultan, ont noué des relations diplomatiques, le second allant jusqu’à ouvrir une ambassade à Damas. On donnerait cher pour connaître la réaction d’Assad à la récente prise de position iranienne.
Et que penser des Houthis qui, sans tout à fait se ranger derrière le GNA, s’opposent à l’intervention militaire égyptienne en Libye alors qu’eux-mêmes combattent depuis des années des groupes FM ? Est-ce par simple suivisme de la ligne iranienne ? A ce titre, il sera très intéressant de voir la réaction du Hezbollah qui, pour l’instant, reste muet sur la question. S’il prend parti, il se mettra à dos l’un de ses deux protecteurs, Damas ou Téhéran. Orient compliqué, décidément…
Si les contorsions d’une partie de l’axe chiite ont au moins l’excuse de viser à un objectif supérieur – la défense de l’Iran -, il n’en est rien pour le Hamas palestinien, dont la trahison « gratuite » reste dans toutes les mémoires. Soutenu à bout de bras pendant des décennies par l’Iran et la Syrie, il retourne sans vergogne sa veste en 2012 et prend parti pour les rebelles modérément modérés en lutte contre Assad, partageant même avec eux son savoir-faire en matière de tunnels et de roquettes.
A la base de cette décision stratégiquement infantile et suicidaire (l’Iran diminuera d’ailleurs fortement son aide financière), la religion. Le Hamas est frériste, comme la majorité de la rébellion syrienne au début de la guerre, Ahrar al-Cham par exemple. Certes, on peut se demander ce que les Frères musulmans ont jamais fait concrètement pour la cause palestinienne mais les dirigeants du mouvement gazaoui ne se posent apparemment pas la question. Elle finit cependant par revenir en force et, retournant une fois de plus son keffieh, le Hamas reprend bouche avec l’Iran qui, à cette occasion, se montre bien peu rancunier.
Ce qui nous amène indirectement à la Turquie. La politique néo-ottomane d’Ankara n’est plus à prouver et a maintes fois été décrite, notamment sur ce blog. Pour accomplir ses rêves sultanesques, elle s’appuie presque exclusivement sur les Frères musulmans, tant par proximité idéologique – l’AKP d’Erdogan est peu ou prou FM – que par pragmatisme – la confrérie est présente sur tous les théâtres où opèrent les Turcs, Syrie et Libye principalement.
Dans le dossier palestinien par contre, le sultan fait moins le fier, et c’est la seule incohérence de sa vision globalement homogène. S’il grogne de temps en temps, par exemple quand Israël lui coule un bateau (épisode de la flottille à destination de Gaza), il n’a jamais été au-delà des belles paroles et n’a aucune intention de rompre avec Tel Aviv tout comme, dans un autre registre, il est hors de question pour lui de quitter l’OTAN.

 

Terminons sur un pays dont on parle moins, mais qui ne jette pourtant pas sa part au chien  dans le grand concours de dissonance moyen-orientale. Les Émirats Arabes Unis suivent fidèlement la ligne saoudienne concernant l’organisation frériste qu’ils ont en horreur. Ils sont en pointe dans l’aide à Haftar en Libye, ont rompu avec le Qatar lors du grand esclandre de 2017 et s’opposent généralement partout où ils le peuvent à la Turquie.
Comme Riyad, ils ont cependant mis de l’eau dans leur chicha au Yémen, où ils soutiennent eux aussi les milices FM contre les Houthis. Mais le plus déroutant est que, contrairement cette fois au Saoud, qui suit avec un fanatisme épatant son obsession religieuse, les EAU n’ont rien contre l’axe chiite. Preuve en sont les très bonnes relations qu’ils entretiennent avec Téhéran (dont ils bombardent pourtant les protégés yéménites), accointance encore renforcée par la pandémie covidienne. Dans une région habituée à toutes les contorsions, le grand écart émirati remporte sans doute la palme.
Et si après tout cela, chers lecteurs, le jeu moyen-oriental vous paraît encore quelque peu obscur, voici une carte qui vous permettra de comprendre … ou pas.

Un dernier mot sur la Russie. Il a été relevé, notamment dans le livre de votre serviteur, que Moscou réussissait le tour de force de s’entendre bien avec à peu près tout le monde et, sans renier ses alliances, de ne fermer la porte à personne. Quand on voit le maelstrom moyen-oriental, ses innombrables contradictions et ses retournements incessants, c’est peut-être en effet l’approche la plus sage…

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Le général Haftar,un ancien actif de la CIA est devenu un casse-tête américain en Libye

Avril 2019,dans un renversement brutal de la politique américaine de longue date qui reconnaît uniquement le gouvernement d’accord national (GNA) soutenu par l’ONU à Tripoli comme l’autorité légitime sur la Libye, la Maison Blanche a déclaré  que le président Trump avait parlé par téléphone  au commandant basé à Benghazi, Khalifa Haftar. , s’engageant à soutenir le général et son armée nationale libyenne (LNA) alors qu’elle assiège la capitale.

Le communiqué de la Maison Blanche a déclaré que Trump « reconnaissait le rôle important du maréchal Haftar dans la lutte contre le terrorisme et la sécurisation des ressources pétrolières de la Libye, et les deux ont discuté d’une vision commune de la transition de la Libye vers un système politique démocratique et stable. »

Khalifa Haftar, centre, chef de l’armée nationale libyenne

 

Haftar, qui a fait la connaissance de Kadhafi en tant que jeune officier militaire, semblait être un fidèle partisan du chef libyen jusqu’en 1987, date à laquelle lui et 400 autres soldats ont été capturés par les forces adverses au Tchad voisin, où il a servi comme commandant en Libye. la guerre du chef là-bas.

Haftar s’est retourné contre son ancien patron lorsque Kadhafi a répudié l’échec de la campagne au Tchad, avec les prisonniers de guerre et Hifter lui-même. Hifter a rejoint le Front national pour le salut de la Libye (NFSL), un groupe de dissidents libyens soutenu par les États-Unis qui prévoyait de renverser Kadhafi.

La Maison Blanche du président Ronald Reagan avait précédemment approuvé une opération secrète, nommée « Tulip », qui visait à canaliser le soutien aux groupes dissidents dans le but de renverser le leader libyen. Kadhafi avait des liens avec des groupes terroristes et était allié à l’Union soviétique. Reagan l’a qualifié de «chien fou du Moyen-Orient».

C’est au Tchad que les hommes de Haftar ont établi des liens avec des agents des services de renseignement américains, selon plusieurs anciens responsables impliqués dans l’opération en Libye.

Selon un ancien responsable, les soldats libyens sous Haftar ont été formés par du personnel de la Division des activités spéciales de la CIA, la branche paramilitaire de l’agence. La CIA a refusé de commenter.

Récemment,des mercenaires venant d’agences du Qatar ont été filmé en Lybie.

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial : La « Réinitialisation mondiale » (« Global Reset »)

Imaginez, vous vivez dans un monde dans lequel on vous dit qu’il est une démocratie – et vous pouvez même le croire – mais en fait votre vie et votre destin sont entre les mains de quelques oligarques ultra-riches, ultra-puissants et ultra-inhumains. Ils peuvent être appelés État profond, ou simplement « la Bête », ou n’importe quoi d’autre d’obscur ou d’introuvable – peu importe. Ils sont inférieurs à 0,0001%. [1]

Faute d’une meilleure expression, appelons-les pour l’instant les « individus obscurs » (“obscure individuals”).

Ces « individus obscurs » qui prétendent diriger notre monde n’ont jamais été élus.

Nous n’avons pas besoin de les nommer. Vous découvrirez qui ils sont, et pourquoi ils sont célèbres, et certains d’entre eux totalement invisibles. Ils ont créé des structures, ou des organismes sans aucun format légal. Ils agissent totalement hors de la légalité internationale. Ils sont à l’avant-garde de « la Bête ». Il y a peut-être plusieurs « bêtes » en concurrence. 

Mais elles ont le même objectif : Un nouvel ordre mondial ou un seul ordre mondial (NWO, ou OWO).

Ces « individus obscurs » dirigent, par exemple, le Forum économique mondial (FEM – représentant la Grande industrie, la Grande finance et de Grande renommée), le Groupe des 7 – G7, le Groupe des 20 – G20 (les dirigeants des nations les plus « fortes » économiquement). Il existe également quelques entités de moindre importance, appelées la Société Bilderberg, le Conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations, CFR), Chatham House et d’autres encore.

Les membres de toutes ces entités se chevauchent. Et même ce front élargi représente moins de 0,001 %. Ils se sont tous superposés à des gouvernements nationaux souverains élus et constitutionnels, et à LA multinationale mondiale, les Nations unies, l’ONU.

En fait, ils ont coopté l’ONU pour faire leur travail. Les directeurs généraux de l’ONU, ainsi que les directeurs généraux des multiples sous-organisations de l’ONU, sont choisis pour la plupart par les États-Unis, avec le consentement de leurs vassaux européens – en fonction du profil politique et psychologique du candidat. Si sa « performance » à la tête de l’ONU ou de l’une de ses sous-organisations échoue, ses jours sont comptés. L’Union européenne, les organisations de Bretton Woods, la Banque mondiale et le FMI, ainsi que l’Organisation mondiale du commerce (OMC) – et – ne vous y méprenez pas – la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, ont également été cooptés ou créés par la ou les « Bête(s) ». Elle n’a pas de pouvoir réel. Uniquement pour s’assurer que la loi est toujours du côté des hors-la-loi.

Outre les principales institutions financières internationales, la Banque mondiale et le FMI, il existe ce que l’on appelle les banques régionales de développement et autres institutions financières similaires, qui contrôlent les pays de leurs régions respectives.

En fin de compte, c’est l’économie financière ou de la dette qui contrôle tout. Le banditisme néolibéral occidental a créé un système dans lequel la désobéissance politique peut être punie par l’oppression économique ou le vol pur et simple des biens nationaux dans les territoires internationaux. Le dénominateur commun de ce système est le dollar US (toujours) omniprésent.

Les « individus non élues »

La suprématie de ces « individus obscurs » non élus est de plus en plus évidente. Nous, « le Peuple », considérons qu’il est « normal » qu’ils prennent les décisions, et non pas ce que nous appelons – ou étions autrefois fiers d’appeler – nos nations souveraines et nos gouvernements souverainement élus. Ces derniers sont devenus un troupeau de moutons obéissants. « La Bête » a progressivement et tranquillement pris le dessus. Nous ne l’avons pas remarqué. C’est la tactique du salami : vous le coupez tranche par tranche et quand le salami a disparu, vous vous rendez compte qu’il ne vous reste plus rien, que votre liberté, vos droits civils et humains ont disparu. À ce moment-là, il est trop tard. Le Patriot Act étasunien en est un bon exemple. Il a été préparé bien avant le 11 septembre. Une fois le 11 septembre « arrivé », le Patriot Act a été adopté par le Congrès en un rien de temps – pour la protection future du peuple – les gens l’ont réclamé par peur – et – bingo, le Patriot Act a privé environ 90% de la population étasunienne de sa liberté et de ses droits civils. Pour de bon.

Nous sommes devenus esclaves de « la Bête ». « La Bête » décide de l’essor ou de l’effondrement de nos économies, de qui devrait être endetté, quand et où une pandémie devrait éclater, et des conditions de survie à la pandémie, par exemple le confinement social. Et pour couronner le tout, les instruments que « la Bête » utilise, très astucieusement, sont un minuscule ennemi invisible, appelé virus, et un monstre énorme mais aussi invisible, appelé LA PEUR. Cela nous empêche d’aller dans la rue, de retrouver nos amis, d’aller au théâtre, de faire du sport ou de pique-niquer dans le parc.

Bientôt, « la Bête » décidera qui vivra et qui mourra, littéralement – si nous la laissons faire. Ce n’est peut-être pas si loin. Une autre vague de pandémie et les gens pourraient ainsi supplier, crier et hurler pour obtenir un vaccin, pour sonner le glas et pour le super profit des grandes sociétés pharmaceutiques – et pour atteindre les objectifs des eugénistes qui parcourent ouvertement le monde – voyez ceci. Il est encore temps de dire NON collectivement. Collectivement et solidairement.

Prenez le dernier cas d’imposture flagrante. Comme par hasard, après le passage de la première vague de Covid-19, au moins dans le « Nord global », où se prennent les grandes décisions mondiales, au début du mois de juin 2020, le président non élu du FEM, Klaus Schwab, a annoncé « La grande Réinitialisation » (“The Great Reset”). Profitant de l’effondrement économique – le choc de la crise, comme dans « La doctrine du choc » – M. Schwab, un des leaders de « la Bête », annonce ouvertement ce que le FEM va discuter et décider pour le monde à venir lors de son prochain Forum de Davos en janvier 2021. Pour plus de détails, voir ceci.

Nous, le peuple, accepterons-nous l’ordre du jour des individus du FEM non élus ?

Le FEM se concentrera de manière opportune sur la protection de ce qui reste de la Terre Mère ; évidemment, au centre se trouvera le « Réchauffement climatique », basé sur le CO2 produit par l’humain. L’instrument de cette protection de la nature et de l’humanité sera l’Agenda 2030 des Nations unies – qui équivaut aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Il sera axé sur la manière de reconstruire l’économie mondiale délibérément détruite, tout en respectant les principes (« verts ») des 17 ODD.

Mais attention, tout est relié. Il n’y a pas de coïncidences. Le tristement célèbre Agenda 2021, qui coïncide avec et complète le soi-disant Agenda 2030 des Nations unies, sera dûment inauguré par la déclaration officielle du FEM de « The Great Reset », en janvier 2021. De même, la mise en œuvre de l’agenda de « The Great Reset » a commencé en janvier 2020, avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus – prévue depuis des décennies, les derniers événements visibles étant le rapport Rockefeller de 2010 avec son « Lockstep Scenario » (le Scénario du verrouillage), et l’événement 201, du 18 octobre à New York qui a simulé par ordinateur une pandémie de coronavirus, laissant en 18 mois 65 millions de morts et une économie en ruine. Cela a été programmé quelques semaines seulement avant le lancement de la véritable pandémie de COVID-19. Voir COVID-19, We Are Now Living the « Lock Step Scenario », voir en français La farce et l’agenda diabolique d’un «verrouillage universel» et ceci et ceci (et en français ceci).

 

Les émeutes raciales

Des émeutes raciales, initiées par le mouvement Black Lives Matter (financé par la Fondation Ford et l’Open Society Foundation de Soros), à la suite de l’assassinat brutal de l’Afro-Américain George Floyd par une bande de policiers de Minneapolis se sont répandues comme un feu de brousse en un rien de temps dans plus de 160 villes dans le monde, d’abord aux États-Unis, puis en Europe. Ces émeutes ne sont pas seulement liées à l’agenda de « la Bête », mais elles constituent une déviation bien commode de la catastrophe humaine provoquée par la  pandémie Covid-19. Voir aussi ceci.

Le plan infâme de « la Bête » pour mettre en œuvre ce qui se cache réellement derrière l’Agenda 2030 des Nations unies est l’Agenda ID2020 qui demeure méconnu du grand public. Voir La pandémie du coronavirus COVID-19 : Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». Cet agenda a été créé et financé par le gourou de la vaccination Bill Gates , tout comme la GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunizations), l’association des grandes entreprises pharmaceutiques – qui a participé à la création des vaccins coronavirus et qui finance avec la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) une part importante du budget de l’OMS

La « Grande réinitialisation » (« Great Reset »), telle qu’annoncée par Klaus Schwab du FEM, est censée être mise en œuvre par l’Agenda ID2020. C’est plus que ce que l’on pourrait croire. L’Agenda ID2020 est même intégré aux SDG, puisque la SDG 16.9 « d’ici 2030, fournira une identité légale [numérique] pour tous, y compris l’enregistrement gratuit des naissances » . Cela s’inscrit parfaitement dans l’objectif global de la SDG 16 : « Promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives pour un développement durable, fournir un accès à la justice pour tous et mettre en place des institutions efficaces, responsables et inclusives à tous les niveaux« .

Suivant la voie officielle de l’Agenda 2030 des Nations unies pour la réalisation des SDG, l’Agenda ID2020 « mise en œuvre » – qui est actuellement testé sur des écoliers au Bangladesh – fournira des cartes d’identité numérisées, éventuellement sous la forme de nanopuces implantées en même temps que les programmes de vaccination obligatoires, encouragera la numérisation de l’argent et le déploiement des 5G [4] – qui seraient nécessaires pour télécharger et contrôler les données personnelles sur les nanopuces et pour contrôler la population. L’Agenda ID2020 inclura très probablement aussi des « programmes » – par la vaccination ? – de réduction significative de la population mondiale. L’eugénisme est une composante importante du contrôle de la population mondiale future dans le cadre d’un NOW / OWO – voir aussi Georgia Guidestones, mystérieusement construit en 1980.

L’élite dirigeante a utilisé le confinement comme instrument pour mener à bien ce programme. Sa mise en œuvre se heurterait naturellement à des protestations massives, organisées et financées selon les mêmes modalités que les protestations et manifestations du BLM. Il se peut qu’elles ne soient pas pacifiques – et qu’elles ne soient pas planifiées comme telles. En effet, pour contrôler la population aux États-Unis et en Europe, où l’on s’attendrait à la plupart des manifestations de la société civile, une militarisation totale de la population est nécessaire. Cela est en cours de préparation.

Dans son essai « The Big Plantation« , John Steppling rapporte, à partir d’un article de NYT, que :

« Depuis 2006, un minimum de 93.763 mitrailleuses, 180.718 cartouches de chargeur, des centaines de silencieux et un nombre inconnu de lance-grenades ont été fournis aux services de police d’État et locaux aux États-Unis. Cela s’ajoute à au moins 533 avions et hélicoptères, et 432 MRAP – véhicules blindés de 9 pieds de haut, de 30 tonnes, protégés contre les embuscades et dotés de tourelles à canon et de plus de 44.900 pièces d’équipement de vision nocturne, régulièrement utilisés lors de raids nocturnes en Afghanistan et en Irak ».

Il ajoute que cette militarisation s’inscrit dans une plus vaste tendance. Depuis la fin des années 1990, environ 89 % des services de police étasuniens desservant des populations de 50.000 personnes ou plus disposaient d’une PPU (unité paramilitaire de police), soit près du double de ce qui existait au milieu des années 1980. Il appelle ces polices militarisées la nouvelle Gestapo.

Même avant la pandémie COVID-19, environ 15 à 20 % de la population se trouvait sur ou sous le seuil de pauvreté aux États-Unis. L’anéantissement économique post-covidien va au moins doubler ce pourcentage – et augmenter proportionnellement le risque de révoltes civiles et d’affrontements avec les autorités – ce qui renforce encore le raisonnement en faveur d’une force de police militarisée.

Le Crypto RMB chinois

Bien entendu, aucun de ces scénarios ne sera présenté au public par le FEM en janvier 2021. Il s’agit de décisions prises à huis clos par les acteurs clés de « la Bête ». Cependant, ce plan grandiose de la « Grande Réinitialisation » (« Great Reset ») ne va pas nécessairement se réaliser. La moitié au moins de la population mondiale et certains des pays les plus puissants, économiquement et militairement – comme la Chine et la Russie – y sont opposés. « Reset » peut-être oui, mais pas dans ces termes occidentaux. En fait, une réinitialisation de ce type est déjà en cours, la Chine étant sur le point de lancer une nouvelle monnaie cryptographique basée sur une chaîne de blocs, le RMB cryptographique, ou yuan. Il ne s’agit pas seulement d’une monnaie forte basée sur une économie solide, elle est également soutenue par l’or.

Alors que le président Trump continue de fustiger la Chine pour ses pratiques commerciales déloyales, pour sa mauvaise gestion de la pandémie de grippe (COVID-19), pour avoir volé des droits de propriété – une campagne sans fin contre la Chine -, pour avoir affirmé que la Chine dépend des États-Unis et que ces derniers vont couper les liens commerciaux avec la Chine – ou les couper complètement – la Chine appelle cela du bluff. La Chine se réoriente discrètement vers les pays de l’ANASE plus le Japon (oui, le Japon !) et la Corée du Sud, où le commerce représente déjà aujourd’hui environ 15 % de l’ensemble des échanges commerciaux de la Chine et devrait doubler au cours des cinq prochaines années.

Malgré le verrouillage et la perturbation des échanges commerciaux, les exportations globales de la Chine se sont rétablies avec une augmentation de 3,2 % en avril (par rapport à avril 2019). Cette performance globale des exportations chinoises s’est néanmoins accompagnée d’une baisse spectaculaire des échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine. Les exportations chinoises vers les États-Unis ont diminué de 7,9 % en avril (par rapport à avril 2019).

Il est clair que la grande majorité des industries étasuniennes ne pourraient pas survivre sans les chaînes d’approvisionnement chinoises. La dépendance occidentale à l’égard des fournitures médicales chinoises est particulièrement importante. Sans parler de la dépendance de la Chine à l’égard des consommateurs étasuniens. En 2019, la consommation totale des États-Unis, soit environ 70 % du PIB, s’élevait à 13,3 billions (mille milliards) de dollars, dont une bonne partie est directement importée de Chine ou dépend des ingrédients provenant de Chine.

Les maîtres du FEM sont confrontés à un véritable dilemme. Leur plan dépend beaucoup de la suprématie du dollar qui continuerait à permettre l’application de sanctions et la confiscation des actifs des pays qui s’opposent à la domination des États-Unis ; une hégémonie du dollar qui permettrait d’imposer les composantes du programme « The Great Reset » (la Grande réinitialisation), comme décrit ci-dessus.

À l’heure actuelle, le dollar est une monnaie fiduciaire, une dette créée de toutes pièces. Il ne bénéficie d’aucun soutien. Par conséquent, sa valeur en tant que monnaie de réserve se dégrade de plus en plus, en particulier vis-à-vis du nouveau crypto-yuan de Chine. Afin de concurrencer le yuan chinois, le gouvernement étasunien devrait s’éloigner de son système monétaire Ponzi, en se séparant du Federal Reserve Act de 1913 et en imprimant sa propre monnaie de l’économie étasunienne et éventuellement de l’or (crypto) – et non pas de la monnaie fiduciaire de la FED, comme c’est le cas aujourd’hui. Cela impliquerait de couper les liens plus que centenaires avec la FED, propriété du clan Rothschild et Cie, et de créer une véritable banque centrale appartenant aux citoyens. Ce n’est pas impossible, mais grandement improbable. Ici, deux « bêtes » pourraient s’affronter, car une puissance mondiale est en jeu.

Pendant ce temps, la Chine, avec sa philosophie de création sans fin, continuerait d’avancer de façon imparable avec son gigantesque plan de développement socio-économique du 21e siècle, l’Initiative ceinture et route (ICR, la Nouvelle route de la soie) reliant la Chine au reste du monde avec des infrastructures de transport terrestre et maritime, avec des projets de recherche et industriels communs, des échanges culturels – et surtout, un commerce multinational (multinational trade) avec des caractéristiques « gagnant-gagnant », l’égalité pour tous les partenaires – vers un monde multipolaire, vers un monde avec un avenir commun pour l’humanité.

Aujourd’hui déjà, plus de 120 pays sont associés à l’ICR – et le projet en chantier est libre pour que d’autres pays s’y joignent – et pour défier, démasquer et « désactiver » la Grande réinitialisation (Great Reset) de l’Occident.

Par Peter Koenig
Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique.

Article original en anglais :

The Global Reset – Unplugged. “The Deep State”,

Mondialisation.ca, 19 juin 2020

 

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NOTES 

[1] En 2019, les 2153 milliardaires du monde étaient plus riches que 4,6 milliards de personnes, a annoncé lundi un nouveau rapport de l’organisation caritative britannique Oxfam.

Le rapport, intitulé « Time to Care », a noté que :

–   Les inégalités économiques sont incontrôlables. Les 1% les plus riches du monde ont plus de deux fois plus de richesses que les 6,9 milliards de personnes [restantes].

–   le nombre de milliardaires a doublé pour atteindre 2.153.

–   L’année dernière, la richesse des 22 hommes les plus riches du monde était supérieure à celle de toutes les femmes africaines, a-t-il souligné.

–   Près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 5,50 dollars par jour.

–   Au sommet de l’économie mondiale, une petite élite est d’une richesse inimaginable. Leur richesse croît de façon exponentielle au fil du temps, avec peu d’efforts et indépendamment du fait qu’ils ajoutent de la valeur à la société.

–   les super-riches évitent de payer jusqu’à 30% de leurs impôts.

–   Les hommes possèdent 50% de richesse en plus que les femmes.

Top 7 des hommes les plus riches du monde en 2020 selon Forbes

  1. Jeff Bezos(113 milliards de dollars)

Âge : 56 ans

Pays : États-Unis

Source de richesse : Amazon

  1. Bill Gates(98 milliards de dollars)

Âge : 64 ans

Pays : États-Unis

Source de richesse : Microsoft

  1. Bernard Arnault et sa famille (76 milliards de dollars)

Âge : 71 ans

Pays : France

Source de richesse : LVMH

  1. Warren Buffet(67,5 milliards de dollars)

Âge : 89 ans

Pays : Etats-Unis

Source de richesse : Berkshire Hathaway

  1. Larry Ellison(59 milliards de dollars)

Âge : 75 ans

Pays : États-Unis

Source de richesse : Logiciels

  1. Amancio Ortega(55,1 milliards de dollars)

Âge : 84 ans

Pays : Espagne

Source de richesse : Zara

  1. Mark Zuckerberg(54,7 milliards de dollars)

Âge : 34 ans

Pays : Etats-Unis

Source de richesse : Facebook

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial sioniste: le plan des élites illuminati pour le 21e siècle selon Jacques Attali

 

 

Dans un livre que Henry Kissinger a qualifié de « brillant et provocateur … difficile à rejeter », Jacques Attali confirme que les banquiers Illuminati imposent à l’humanité un affreux « Nouveau Monde », opposé au bien, à la vérité ou à la réalité. Ce Nouvel Ordre Mondial est en cours de formation sous nos yeux, et que nous en sommes inconscients.  Dans « Une brève histoire de l’avenir » Attali parle en tant qu’initié illuminati, il a par conséquent accès aux plans de ces derniers concernant la planète terre. Il ne parle pas dans le vide.  Voici quelques thèmes pour vous donner une idée du livre.




Juif français (il a récemment déclaré au Congrès juif européen que la population juive mondiale doit augmenter de 200 millions, pour qu’Israël puisse survivre), Attali est un technocrate de haut niveau travaillant à la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Jacques Attali a un CV des plus variés. Pendant dix ans il a travaillé comme conseiller de l’ancien président français François Mitterrand. En 1980, il a lancé le programme européen Eurêka (un grand programme européen sur les nouvelles technologies qui a inventé, entre autres, le MP3).

 

IMMIGRATION

Les flux d’immigration vont s’étendre et submerger les États-nations. «La Grande-Bretagne deviendra un pays d’accueil majeur, notamment pour les citoyens des pays d’Europe centrale.

Le nomadisme deviendra aussi la norme en Occident : de plus en plus de gens vont quitter un pays pour un autre: bientôt, plus de dix millions d’entre eux changeront de pays chaque année.

Notre principal atout sera l’argent, mais beaucoup partiront parce qu’ils sont dégoûtés de leur patrie : «Ils ne voudront plus dépendre d’un pays dont ils rejettent le système fiscal, la législation et même la culture. Et aussi disparaître complètement, vivre une autre vie. Le monde sera donc de plus en plus rempli de personnes devenues anonymes de leur plein gré; ce sera comme un carnaval où tout le monde – la liberté ultime! – aura choisi une nouvelle identité pour lui-même. »

SEXUALITÉ

À l’avenir, les gens ne créeront plus de liens et ne créeront plus de familles. «Le couple ne sera plus la base principale de la vie et de la sexualité. [Les gens] préféreront choisir, en toute transparence, des amours polygames ou polyandres ».

Le moteur de cette tendance est la technologie qui libère les jeunes du contrôle parental.

Une culture dominée par les médias créera une population égocentrique qui «ne sera loyale qu’envers elle-même».

Les amoureux échouant à se marier pour la vie, « le monde ne sera plus qu’une juxtaposition de solitudes et une juxtaposition de masturbations« .

Attali écrit qu’au XXe siècle, la société « cherchait à évacuer le rôle reproductif de la sexualité en rendant la maternité artificielle, en utilisant des méthodes de plus en plus sophistiquées – pilules, travail prématuré, fécondation in vitro, mères porteuses« .

À l’avenir, la société ira même jusqu’à dissocier la reproduction et la sexualité. La sexualité sera le royaume du plaisir, reproduisant celle des machines. ‘

Les générations futures fabriqueront l’être humain comme un artefact sur mesure, dans un utérus artificiel, ce qui permettra au cerveau de se développer davantage avec des caractéristiques choisies à l’avance. L’être humain sera ainsi devenu un objet commercial.

SURVEILLANCE

Attali dresse le portrait d’une société de surveillance qui ferait grimacer la Stasi.

Même nos machines à laver conspireront contre nous, tandis que «l’emballage de produits alimentaires, de vêtements et d’articles ménagers deviendra « communicatif ».

Nous vivrons avec des robots peu fiables.

Le robot aspirateur peut facilement transmettre des données sur votre vie privée.

«Les robots domestiques deviendront universels dans la vie quotidienne. Eux aussi seront constamment connectés aux réseaux à haut débit dans l’omniprésence des nomades. Ils feront office d’aide domestique, d’aide aux handicapés ou aux personnes âgées, de travailleurs et de membres des forces de sécurité. En particulier, ils deviendront des « observateurs » ».

Toutes nos données seront collectées par des entreprises de sécurité publiques et privées. La principale forme de surveillance consistera en appareils de divertissement portables. L’embryon de ceci aujourd’hui est l’iPhone actuel qui envoie des données à la NSA.

 « L’objet nomade unique sera traçable en permanence. Toutes les données qu’il contient, y compris des images de la vie quotidienne de chacun, seront stockées et vendues à des entreprises spécialisées ainsi qu’à la police publique et privée. »

D’ici 2050, ces machines auront évolué pour devenir ce qu’Attali appelle des «machines d’autosurveillance» qui permettront à chacun de contrôler sa propre conformité aux normes.

Nous surveillerons notre consommation d’eau, d’énergie et de matières premières. Nous aurons même la «possibilité de mesurer, de manière permanente ou périodique, les paramètres de [notre] propre corps.

«Les insectes électroniques, portés par voie sous-cutanée, enregistrent sans cesse des battements de cœur, de la tension artérielle et du cholestérol. Des microprocesseurs connectés à divers organes surveillent leur fonctionnement par rapport aux normes. »’

Vivant des vies chaotiques et sans sécurité, nous serons dépendants des compagnies d’assurance. Ces entreprises veilleront à ce que leurs clients se conforment aux normes afin de minimiser les risques et les coûts… Elles viendront progressivement dicter des normes planétaires (Que manger? Que savoir? Comment conduire? Comment se protéger? Comment consommer? Comment produire?)’

Ces entreprises seront impitoyables.

«Elles pénaliseront les fumeurs, les buveurs, les obèses, les inemployables, les mal protégés, les agressifs, les négligents, les maladroits, les distraits, les dépensiers. L’ignorance, l’exposition aux risques, l’émaciation et la vulnérabilité seront considérés comme des maladies. »’

Les prisons « seront progressivement remplacés par la surveillance à distance d’une personne assignée à résidence. »

LE FUTUR DES USA

Le dollar restera dominant jusqu’à au moins 2025, lorsque les bailleurs de fonds étrangers commenceront à l’abandonner et que « la pyramide du crédit, basée sur la valeur du logement américain, s’effondrera ».

Les États-Unis vont alors commencer à se désintégrer, avec violence et chaos. Attali a déclaré: « Ce ne sera pas l’Afrique de demain qui ressemblera un jour à l’Ouest d’aujourd’hui, mais tout l’Occident qui pourrait évoquer demain l’Afrique d’aujourd’hui« .

« Les États-Unis pourraient alors, vers 2040, être la proie d’une tentation théocratique, explicite ou implicite, sous la forme d’un isolationnisme théocratique dans lequel la démocratie ne serait qu’une présence ténébreuse. »

Avant la fin du siècle, les États-Unis seront désintégrés et placés sous l’autorité d’un gouvernement mondial collectiviste.

GUERRES FUTURES

Vers 2030, Attali voit « l’hyperconflit » commencer, une période de violences et de bouleversements énormes, à partir de laquelle une « hyperdémocratie »; un gouvernement communautaire mondial, émergera vers 2060.

L’hyperconflit consistera en «guerres dévastatrices, en opposant des nations, des groupes religieux, des entités terroristes et des pirates du marché libre».

Les guerres à venir seront menées avec des armes «chimiques, biologiques, bactériologiques, électroniques et nanotechnologiques».

«Les armes chimiques seront capables de rechercher et de tuer des dirigeants sans être détectée]s; les pandémies devraient être prêtes à se déclencher à volonté; des armes génétiques complexes peuvent un jour être spécifiquement dirigées contre certains groupes ethniques. [voir : Les Américains développent des armes biologiques pour exterminer les Russes] .

Des nanorobots aussi minuscules que de la poussière, connue sous le nom de gelée grise, pourraient effectuer des missions de surveillance furtive et attaquer les cellules des corps ennemis. ‘

Même les vaches seront utilisées par les pionniers militaires, « les animaux clonés pourraient bien mener des bombes d’animaux vivants dans des missions, des monstres sortis du cauchemar« .

Ces armes seront largement disponibles.

« La plupart de ces armes seront accessibles aux petites nations, aux non-Etats, aux corsaires, aux pirates, aux mercenaires, aux maquisards, aux mafias, aux terroristes et à tous les types de trafiquants … Dans un avenir pas si lointain, il sera possible fabriquer une bombe électronique à 400 dollars avec un condensateur, une bobine de fil de cuivre et un explosif. »

LÉGALISATION DES DROGUES

Attali prédit un monde futur où les masses se noient avec amusement pour échapper à leurs vies incertaines et sans signification.

Nous revendiquerons le droit de nous enraciner.

« Ils vont regretter le temps où les frontières étaient fermées et où l’emploi à vie était garanti, les objets perduraient, les mariages étaient scellés et restaient scellés, les lois incassables. »

Le divertissement sera notre échappée principale.

«Certains se cloîtrent dans l’autisme d’une utilisation assidue d’objets nomades. Ils seront narcissiquement obsédés par les auto-contrôleurs, comme l’otaku japonais – ces fanatiques du nomadisme virtuel, de l’écoute autistique de la musique et de l’auto-surveillance du corps. ‘

De concert avec le divertissement, les drogues seront légalisées pour nous rendre insensibles à la folie croissante qui nous entoure.

«Alcool, cannabis, opium, morphine, héroïne, cocaïne, produits de synthèse (amphétamines, méthamphétamines, ecstasy). Les drogues chimiques, biologiques ou électroniques, distribuées par des « réparateurs automatiques », deviendront des produits de consommation dans un monde sans loi de police, dont les principales victimes seront les infranomades. « 

(Infranomades = pauvres du monde)

LE FÉMINISME NÉCESSAIRE AU SOCIALISME

Jacques Attali est un pionnier de la microfinance et a fondé PlaNet Finance, la troisième plus grande organisation du genre. La microfinance consiste à accorder des prêts à des populations pauvres et à des groupes communautaires du monde entier pour créer des entreprises.

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi 80% des microcrédits sont accordés à des femmes, Attali décrit le phénomène comme une « chose étrange », mais dans le livre, il en donne la véritable raison.

Les femmes renonceront à adopter le collectivisme.

En 2060, Attali voit l’hyperdémocratie (un gouvernement collectiviste mondial) devenir une réalité et les pionniers de ce système sont ce qu’il appelle des « transhumains ».

Les transhumains trouveront du plaisir à servir les autres dans leurs communautés. Ils vont « inaugurer une économie d’altruisme, de libre disponibilité, de réciprocité, de service public, d’intérêt général ».

« Les femmes deviendront transhumaines plus facilement que les hommes: trouver du plaisir à donner du plaisir est propre à la maternité. »

«La montée progressive des femmes dans tous les domaines de l’économie et de la société, notamment à travers la microfinance, augmentera énormément le nombre de transhumanistes. ‘

BRAINCHIPS

 

Le futur homme marchera dans les rues, terrifié par ses propres pensées. Il sera implanté avec une puce.

« Les prothèses bioniques directement connectées au cerveau nous aideront à construire des ponts entre les sphères de la connaissance, à produire des images mentales, à voyager, à apprendre, à fantasmer et à communiquer avec d’autres esprits. »

Cette technologie permet déjà à un quadraplégique d’écrire quinze mots à la minute par simple transmission de pensée et de les envoyer par courrier électronique. La télépathie est donc (déjà) la réalité. ‘

Nous allons tous récolter les «avantages» de cette technologie.

« Demain, ces processus permettront de créer de nouvelles formes de communication directe via l’esprit et d’améliorer le processus d’apprentissage et la création d’un réseau à l’écran. »

La conséquence de ce développement sera une surveillance suffocante. Aujourd’hui, l’État a accès à notre profil Facebook ; demain ce sera chacune de nos pensées.

Un jour, la conscience sera stockée numériquement et il sera possible de vivre dans plusieurs hôtes.

« Grâce aux progrès incroyables que nous pouvons attendre des nanosciences, chacun espère même transférer sa conscience de soi à un autre organisme, acquérir son propre double, des copies de personnes bien-aimées, d’hommes et de femmes de rêve, des hybrides construits avec des traits particuliers présélectionnés atteindre des objectifs précis. Certains chercheront même à dépasser l’espèce humaine avec une forme de vie dotée d’une intelligence différente et supérieure. »

Certains vivront des milliers d’années et entreront dans une zone crépusculaire entre la vie et la mort.

«Alors, l’homme, enfin fabriqué comme un artefact, ne connaîtra plus la mort. Comme tous les objets industriels, il ne pourra plus mourir, puisqu’il ne sera jamais né. »

LA FOLIE DE L’ORDRE DU JOUR

Le livre est jonché d’autres descriptions similaires du futur homme en tant qu’objet industriel, faisant écho au rêve communiste de «l’homme soviétique».

À un moment donné dans le livre, Attali affirme que les enfants seront élevés dans des laboratoires comme un « objet commercial ».

BUT FINAL DU NOM (NWO)

Vers la fin du livre, Attali nous dit le but ultime du Nouvel Ordre Modial (NOM ou NWO) est de détruire l’humanité.

 

L’hyperdémocratie va développer un bien commun défini par une intelligence collective, qui est « une intelligence qui lui est propre, qui pense différemment de chaque membre du groupe« , de la même manière, « qu’un ordinateur pense différemment de chaque processeur« .

Ensuite, nous nous effacerons nous-mêmes progressivement avec les progrès technologiques.

« Enfin, au stade ultime de l’évolution, nous pourrions assister (nous le sommes peut-être déjà) à une hyperintelligence des vivants, dont l’humanité ne sera qu’un composant infinitésimal. »

L’humanité mourra alors.

« L’histoire singulière de l’Homo sapiens sapiens atteindrait son apogée. »

NOTRE MONDE OU LE LEUR

Attali pense que toute opposition à l’ordre mondial à venir sera vaine car elle ne proposera pas un autre système.

« La plupart de ces nouveaux candidats ne proposeront aucun système de substitution … Attendez-vous à une poignée qui proposera un retour à la théocratie. »

Il ne suffit pas de critiquer et d’exposer, nous devons nous efforcer de créer notre propre monde avant qu’un culte fou ne nous détruise à jamais.

Source : Illuminati Insider foretold Migrants, Surveillance, Mechanical Procreation


COMMENTAIRE
Dans cet ouvrage Jacques Attali dresse l’état du monde futur, d’ici à 2050. Jonglant avec des images réelles (des catastrophes qui ont déjà eu lieu) et des images de synthèse, l’essayiste dessine le visage d’un avenir de plus en plus fascinant et inquiétant.

En résumé :

Pour Attali, le XXI° siècle sera divisé en quelques phases :

– l’hyperempire, qui débutera vers 2030, et qui verra le monde passer d’un système unipolaire américanomorphe à un système multipolaire, régi en pratique par le capital mondialisé,

– l’hyperconflit, qui débutera peu après l’avènement de l’hyperempire et le submergera progressivement, un temps de chaos anarchique et ultraviolent à l’échelle du globe,

– l’hyperdémocratie, qui succèdera à l’hyperconflit et se construira en réaction à ses excès, une sorte d’âge du Verseau, pacifique et « transhumain ».

Connaitre le passé pour mieux anticiper l’avenir.

Cette vision de l’avenir est appuyée en premier lieu sur une étude du passé. Pour Attali, l’histoire humaine se résume à un nombre limité de lois :

– Pour survivre, il faut savoir s’adapter

– L’homme s’écarte de plus en plus de sa condition naturelle, en particulier sur le plan sexuel

-L’Histoire a vu successivement le pouvoir des prêtres (à l’époque des tribus), puis celui des guerriers (à l’époque des royaumes appuyés sur l’agriculture), et enfin celui des marchands (dans le cadre de l’industrialisation).

-Le moteur de l’Histoire n’est ni la lutte des classes, ni la lutte des peuples, mais l’affrontement multimillénaire entre nomades et sédentaires, et ce sont d’une manière générale les nomades qui créent le progrès

-La démocratie résulte du marché (ce qui revient à confondre démocratie et ploutocratie), en particulier parce que le marché facilite l’échange au sein des élites, échange par hypothèse créateur de progrès, même quand il oppose des civilisations ennemies

-L’idéal démocratique, (c’est-à-dire selon Attali le sous-jacent théorique de la ploutocratie), consiste à établir les droits de l’homme. La loi universelle qui régit toutes ces lois secondaires est l’extension indéfinie de la liberté individuelle, supposée être l’objectif en soi de l’humanité.

 

 

 

 

 

Histoire et numismatique:Le 19 juin 1865 et le festival de Juneteenth

Juneteenth (un portemanteau de juin et du dix-neuvième; également connu sous le nom de Freedom Day) est un jour férié américain non officiel et un jour férié officiel du Texas, célébré chaque année le 19 juin aux États-Unis pour commémorer le général de l’armée de l’Union Gordon Granger annonçant des ordres fédéraux dans le ville de Galveston, Texas, le 19 juin 1865, proclamant que tous les esclaves du Texas étaient désormais libres. Bien que la proclamation d’émancipation les ait officiellement libérés près de deux ans et demi plus tôt et que la guerre de Sécession ait largement pris fin avec la défaite des États confédérés en avril, le Texas était le plus éloigné des États esclavagistes, avec une faible présence de troupes de l’Union , de sorte que l’application de la proclamation avait été lente et incohérente.

Bien que ce jour marque l’émancipation de tous les esclaves de la Confédération, l’institution de l’esclavage était toujours légale et existait dans les États frontaliers de l’Union après le 19 juin 1865. L’esclavage aux États-Unis n’a pas officiellement pris fin avant la ratification du treizième amendement à la la Constitution des États-Unis le 6 décembre 1865, qui a aboli l’esclavage entièrement dans tous les États et territoires américains.

Pendant la guerre de Sécession, le président Abraham Lincoln a publié la Proclamation d’émancipation préliminaire le 22 septembre 1862. Elle a été officiellement publiée le 1er janvier 1863, déclarant que toutes les personnes asservies dans les États confédérés d’Amérique en rébellion et non aux mains de l’Union devaient être libéré.

 

Plus isolés géographiquement, les planteurs et autres esclavagistes avaient migré vers le Texas des États de l’Est pour échapper aux combats, et beaucoup ont amené avec eux des esclaves, augmentant par milliers la population asservie de l’État à la fin de la guerre civile. Bien que la plupart vivent dans des zones rurales, plus de 1 000 résidaient à Galveston et à Houston en 1860, dont plusieurs centaines dans d’autres grandes villes. En 1865, il y avait environ 250 000 esclaves au Texas.

La nouvelle de la reddition du général Robert E. Lee le 9 avril 1865 parvint au Texas plus tard dans le mois. L’armée de l’Ouest du Trans-Mississippi ne se rendit que le 2 juin. Le 18 juin, le général de l’armée de l’Union, Gordon Granger, arriva à Galveston Island avec 2 000 soldats fédéraux pour occuper le Texas au nom du gouvernement fédéral. Le lendemain, debout sur le balcon de la villa Ashton de Galveston, Granger a lu à haute voix le contenu de « l’Ordre général n ° 3 », annonçant l’émancipation totale des personnes détenues comme esclaves:

<< Le peuple du Texas est informé que, conformément à une proclamation de l’exécutif des États-Unis, tous les esclaves sont libres. Cela implique une égalité absolue des droits personnels et des droits de propriété entre les anciens maîtres et les esclaves, et le lien existant jusqu’à présent entre eux devient celui entre l’employeur et la main-d’œuvre salariée. Il est conseillé aux affranchis de rester tranquillement dans leur maison actuelle et de travailler pour un salaire. Ils sont informés qu’ils ne seront pas autorisés à collecter aux postes militaires et qu’ils ne seront pas non plus soutenus dans l’oisiveté là ou ailleurs. « 

Bien que cet événement soit communément considéré comme « la fin de l’esclavage », la proclamation d’émancipation ne s’appliquait pas à ceux qui étaient réduits en esclavage sur le territoire tenu par l’Union, qui ne seraient libérés que plusieurs mois plus tard, le 18 décembre 1865, que le Le treizième amendement a été ratifié le 6 décembre 1865. La liberté des anciens esclaves du Texas a obtenu un statut juridique dans une série de décisions de la Cour suprême du Texas entre 1868 et 1874.

Les célébrations remontent à 1866, impliquant d’abord des rassemblements communautaires centrés sur l’église au Texas. Il s’est répandu dans le Sud et est devenu plus commercialisé dans les années 1920 et 1930, souvent centré sur un festival gastronomique. Pendant le mouvement des droits civiques des années 1960, il a été éclipsé par la lutte pour les droits civils de l’après-guerre, mais a de nouveau gagné en popularité dans les années 1970 en mettant l’accent sur la liberté et les arts afro-américains. Au 21e siècle, le Juneteenth était célébré dans la plupart des grandes villes des États-Unis.


PIÈCES RELATIVES À CETTE ÉPOQUE

1866 1 cent Indian head cent non listée très rare
A une conception devant le visage de l’indien qui devrait être un champ vide …. erreur très inhabituelle!
Évaluation sommaire de la pièce :$4,000 US.

 

CSA 1862 Monnaie confédérée T-39 Train sur  billets de banque de 100 $,
CSA 1862 Monnaie confédérée T-39 Train sur billets de banque de 100 $, revers

 

Médaille présidentielle Abraham Lincoln par George T. Morgan. Publié par la monnaie américaine. Bord lisse lisse, Ae 76 mm, 230,8 g, vers 1960; non distribué dans la boîte d’origine.

 

Pièce de monnaie, États-Unis, Half Dollar, 1946, US Mint, Denver«  Argent

État de Caroline du Sud, 1er décembre 1873, 2 dollars, Cr. 14

Imprimé par American Bank Note Company, New York

S / N: 1156, plaque B

Signé par Francis Lewis Cardozo, trésorier

Branches de coton avec des capsules, des fermières portant des gerbes de céréales en dessous / scène du port d’État avec des navires et des balles de coton au centre, protecteur vert en dessous / « 2 » dans le comptoir, vignette portrait de Marie De Montijo Eugénie ci-dessous, dos vert orné

CU, avec endossement du manuscrit au dos

Francis Lewis Cardozo (1836 – 1903), signataire de cette note, a été le premier afro-américain à occuper un poste à l’échelle de l’État aux États-Unis. Il a été élu secrétaire d’État de Caroline du Sud en 1868. Cardozo a occupé ce poste jusqu’en 1872, date à laquelle il est devenu trésorier d’État de Caroline du Sud. Il était diplômé de l’Université de Glasgow, éminent pasteur presbytérien, éducateur, instructeur à l’Université Howard et fonctionnaire du Département du Trésor des États-Unis.


 

1955 DDO Lincoln 1C NGC MS63 Marron
Valeur:2300 $US

 

État de Caroline du Nord, 1er janvier 1863, 25 cents, Cr. 143

 

 

 

Réécrire l’histoire:L’holocauste et le génocide des musulmans imposés par les États-Unis après le 11 septembre

Le scientifique australien et expert en holocauste / génocide Gideon Polya discute de son nouveau livre brillant et important, US-Imposed Post-9/11 Muslim Holocaust & Muslim Genocide. Il y définit les termes holocauste et génocide, esquisse le contexte historique et expose sans relâche le meurtre mené par les États-Unis de 27 millions de musulmans dans les guerres du 11 septembre, ainsi que des millions d’autres dans des événements connexes (la guerre contre l’Iran depuis 1978, le Irak depuis 1990, sur la Somalie depuis 1992, sur la Palestine depuis 1916, etc.).

Mon introduction, qui sera certainement controversée, commence ainsi:

«Le champ académique des études sur l’Holocauste, comme le champ fictif des études hitlériennes dans le roman de Dan DeLillo, White Noise, a un objectif absurdement étroit. Si vous recherchez des articles sur les études sur l’Holocauste sur Google Scholar ou Academia.edu, vous trouverez plusieurs dizaines de milliers d’articles, presque tous traitant de questions liées aux crimes dirigés par les Allemands contre les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. En effet, le terme même Holocauste, dont le sens originel était « offrande brûlée », a été quasiment une marque déposée par des juifs sionistes qui s’opposent fermement à ce qu’il soit utilisé pour décrire tout autre épisode historique de meurtre de masse, sauf un: le prétendument pré-planifié, l’extermination bureaucratique ordonnée et délibérée de six millions de Juifs européens, principalement dans des chambres à gaz, entre 1942 et 1945 [1]. Le H majuscule de l’Holocauste fonctionne comme une sorte de marque déposée cachée, suggérant que cet épisode particulier ne ressemble à aucun autre… »(Et il devient même plus controversé à partir de là…)

Ma conclusion:

«Le travail de Polya sur la mortalité évitable et les holocaustes cachés nous oblige à faire face à la question: est-ce que nous, les humains, arrêterons jamais de sacrifier des boucs émissaires sacrifier l’Autre? Arriverons-nous jamais à devenir les gardiens de nos frères et sœurs?»

Source : Gideon Polya on “US-Imposed Post-9/11 Muslim Holocaust & Muslim Genocide”

Truth Jihad / Kevin Barrett • June 15, 2020

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L’holocauste indien et le génocide des Musulmans par les États-Unis et l’Angleterre

Un exemple parmi des milliers d’autres : l’administration coloniale anglaise réprima très violemment l’insurrection au Kenya au début des années 50, entraînant la mort de dizaines de milliers de Kenyans. Des milliers d’autres ont été emprisonnés dans des camps et soumis à des violences extrêmes dont les preuves sont consignées dans les dossiers du Foreign Office : exécutions arbitraires, torture, abus sexuels, castrations, travaux forcés, privations de toutes sortes…

Charles Dickens

Mais ce qu’on oubliera de dire, pendant les célébrations, c’est qu’en réalité Charles Dickens, comme beaucoup de ses contemporains britanniques, était un raciste génocidaire [2]. Voilà ce qu’il a écrit à Emile de la Rue, le 23 octobre 1857 à propos de la soi-disant mutinerie indienne de 1857 : « Je voudrais être Commandant en Chef là-bas |[Inde] ! Voilà ce que je dirais à ces orientaux à qui il faut parler fermement (ce texte devrait d’ailleurs être énergiquement traduit dans tous les dialectes locaux), « Moi l’Inimitable, qui exerce une fonction dont je crois profondément qu’elle m’a été donnée par Dieu et non par Satan, j’ai l’honneur de vous informer, vous peuple indien, qu’il est de mon intention de procéder, en évitant autant que possible les cruautés inutiles et en opérant par miséricorde avec la plus grande célérité, à l’éradication de votre Race de la surface du globe car votre Race a défiguré la terre par des atrocités abominables [2000 Anglais ont été tués pendant la guerre d’indépendance de 1857 ou Mutinerie indienne de 1857] (voir Grace Moore (2004), « Dickens and the Empire. Discourses of class, race, and colonialism in the works of Charles Dickens » (Ashgate Publishing, Aldershot, UK) :  amazon.com).

Dickens n’était pas le seul de son espèce et le pouvoir britannique a agi avec une brutalité sans pareil. L’historien indien, Amaresh Misra, affirme dans son ouvrage « Guerre des civilisations : L’Inde en 1857 », que les Britanniques ont tué 10 millions d’Indiens en représailles pour les 2000 Anglais tués pendant la rébellion de 1857 (la soi-disant mutinerie indienne). Je cite : « Ce fut un holocauste, au cours duquel des millions de personnes disparurent. Ce fut un holocauste nécessaire aux yeux des Britanniques, parce qu’ils pensaient que le meilleur moyen d’avoir le dessus était d’exterminer toute la population des villes et des villages. Ce fut simple et sans merci. Les Indiens qui se trouvaient sur leur route étaient tués. Mais l’ampleur du massacre a été tenue secrète ». Mais pour les écrivains anglais, qui persistent à nier cet holocauste, environ 100 000 Indiens ont été tués. (voir l’article de Randeep Ramesh du Guardian du 24 août 2007 intitulé « India ‘s secret history : « a holocaust, one where millions disappeared… » sous-titré « Un auteur affirme que les représailles britanniques ont fait 10 millions de morts en Inde sur une période de 10 ans » :  guardian.co.uk)

L’holocauste indien perpétré par les Britanniques ne s’est pas limité à la décennie qui a suivi la rébellion de 1857. On estime que les morts indiennes dues aux privations subies pendant les deux siècles d’occupation britannique s’élèvent à 1,8 milliard et le carnage s’est terminé par l’holocauste Bengalais de 1942-1945 au cours duquel les Britanniques avec le concours des Australiens ont délibérément laissé mourir de faim 6 ou 7 millions d’Indiens (voir mon livre « Jane Australian and the Black Hole of British History » :  janeaustenand.blogspot.com.au) et la Partition de 1947 pendant laquelle un million d’Indiens sont morts et 18 millions se sont enfuis pour échapper aux meurtres de masse (voir mon livre « Body Count. Global avoidable mortality since 1950 » :  globalbodycount.blogspot.com.au).

Et pourtant l’histoire de l’Angleterre a été expurgée de l’holocauste indien de 1757-1947 et de l’holocauste bengalais de 1942-1945. Ainsi par exemple on ne trouve aucune mention de ces épouvantables atrocités dans les ouvrages et reportages historiques actuels comme « The Story of India de Michael Wood (BBC, 2007), A History of the English-speaking Peoples Since 1900 » de Andrew Roberts (Harper, 2006), « A History of Britain » de Simon Schama (BBC, 2002), « A Short History of the World » de Geoffrey Blainey (Viking, 2000), « A Very Short History of the World » de Geoffrey Blainey (Viking 2004) et « A Short History of the 20th Century » de Geoffrey Blainey (Penguin, 2005).

Un siècle et demi après la rébellion indienne de 1857, l’holocauste indien, et 70 ans après l’holocauste bengalais de la seconde guerre mondiale, la commission anglaise de l’holocauste, et la négation de l’holocauste*et la commission sur le génocide et la négation du génocide font pâle figure à côté de la guerre des Etats-Unis et de ses alliés contre les Musulmans, les Asiatiques et les Africains qui s’est concrétisée par la mort de 12 millions de Musulmans, morts de mort violente ou par suite des privations de guerre (0,2 millions de Palestiniens depuis 1990, 4,6 millions d’Irakiens de 1990 à 2012, 2,2 de Somaliens de 1992 à 2012, 5 millions d’Afghans de 2001 à 2012, et 50 000 Libyens en 20011-2012).

Voici ci-dessous l’horrible vérité concernant les holocaustes et génocides de Musulmans perpétrés par les Anglo-Américains et niés par eux ((voir :  sites.google.com) :

HOLOCAUSTE PALESTINIEN, GÉNOCIDE PALESTINIEN
Pour les Palestiniens dans leur totalité : 0,1 million de morts violentes et 1,9 million de morts évitables liées à l’occupation et à la privation entre 1936 et 2011 ; 0,75 million d’enfants de moins de 5 ans morts (1950-2012). En Palestine Occupée : 0,3 million de morts violentes et non violentes liées à l’invasion entre 1967 et 2011 ; 0,2 million d’enfants de moins de 5 ans morts après l’invasion, de 1967 à 2011 : 75% de ces morts auraient pu être évitées et constituent des crimes de guerre de l’état d’apartheid israélien soutenu par l’Alliance Atlantique en violation flagrante de la Convention de Genève et de la Convention de l’ONU sur le génocide) ; et 7 millions de réfugiés (voir « Palestinian Genocide » :  sites.google.com).
HOLOCAUSTE AFGHAN, GÉNOCIDE AFGHAN :
En octobre 2011 on comptabilisait 5,6 millions de morts dus à la guerre entre 2001 et 2011 ; 1,4 millions de morts violentes après l’invasion ; 4,2 millions de morts non-violentes évitables dues aux privations ; 2,9 millions d’enfants de moins de cinq ans morts après l’invasion (90% de ces morts auraient pu être évitées et constituent des crimes de guerre de l’Alliance Atlantique en violation flagrante de la Convention de Genève et de la Convention de l’ONU sur le génocide) ; 3,4 millions de réfugiés plus 2,5 millions de réfugiés pashtouns du Pakistan (voir « Afghan Holocaust, Afghan Genocide » :  sites.google.com).
HOLOCAUSTE IRAKIEN, GÉNOCIDE IRAKIEN :
Pour la période 2003- 2011, 2,7 millions de morts dus à l’invasion, 1,5 de morts violentes, 1,2 de morts non violentes dues aux privations de guerre, 0,8 million d’enfants de moins de 5 ans morts après l’invasion, 5 à 6 millions de réfugiés. Pour la période 1990-2003, 0,2 million de morts violentes, 1,7 million de morts non-violentes dues aux privations de guerre, 1,2 d’enfants de moins de 5 ans morts. Pour la période 1990-2011, 4,6 millions de morts dus à la guerre, 1,7 million de morts violentes, 2,9 millions de morts dus aux privations, 2 millions d’enfants de moins de 5 ans morts (90% de ces morts auraient pu être évitées et constituent des crimes de guerre des Etats-Unis et de leurs alliés en violation flagrante de la Convention de Genève et de la Convention de l’ONU sur le génocide) (voir Iraqi Holocaust, Iraqi Genocide » :  sites.google.com).
HOLOCAUSTE SOMALIEN, GÉNOCIDE SOMALIEN
Dans la période 1992-2011 (qui a vu se succéder l’invasion de l’Ethiopie et plus récemment celle du Kenya par les Etats-Unis) 0,4 millions de morts violentes, 1,8 million de morts évitables dues aux privations de guerre, 1,3 millions d’enfants de moins de 5 ans morts (90% de ces morts auraient pu être évitées et constituent des crimes de guerre des Etats-Unis et de leurs alliés en violation flagrante de la Convention de Genève et de la Convention de l’ONU sur le génocide), et 2 millions de réfugiés.
HOLOCAUSTE LIBYEN, GÉNOCIDE LIBYEN
à partir de 2011 : Avant l’invasion du pays par la France, les Etats-Unis et l’Angleterre (FUKUS)**, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans était seulement de 19 pour 1000 naissances en Libye (8 aux Etats-Unis) ; les rebelles soutenus par la coalition FUKUS ont déjà tué au moins 50 000 Libyens et en ont blessé 50 000 autres ; les rebelles soutenus par FUKUS se livrent au nettoyage ethnique des « Libyens noirs » ; Tawerga, où vivaient 10000 libyens en majorité noirs a été détruite et a fait l’objet d’un complet nettoyage ethnique ; 1 million de réfugiés noirs du Sub-Sahara se sont enfuis ; il y a environ 1,1 million de réfugiés en tout ; l’holocauste libyen et le génocide libyen ne font que commencer.
LES MORTS DUES AUX GÉNOCIDES DANS LE MONDE
Les atrocités détaillées ci-dessus font paraître dérisoire le nombre de morts causés par les guerres de la période précédente (1950 à 2005) contre le monde musulman en grande partie post-colonial et qui se montaient à 0,6 million ((voir mon livre « Body Count. Global voidable mortality since 1950 », G.M. Polya, Melbourne, 2007, et « Global avoidable mortality » :  globalavoidablemortality.blogspot.com).

 

Les derniers chiffres indiquent que, depuis 2001 à ce jour, pas moins de 27 millions de musulmans ont été tués au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Les assassins (principalement les États-Unis, GB, France, Israël)  justifient leur agression mortelle par la « guerre contre le terrorisme », par l’imposition de la démocratie à coup de missiles, de drones et de bombes (Assad doit partir, Saddam gaze son peuple et dispose d’ADM, l’Iran veut développer la bombe atomique, etc.). Naturellement, pour ces « défenseurs de la démocratie », tuer 20 millions de musulmans dans leurs propres pays, qui n’ont ni attaqué ni menacé ces pays agresseurs, ne constitue ni un génocide, ni un holocauste.
Conclusion 
Cependant l’ampleur de ces atrocités est cachée au public, sans le moindre remord, par les médias dominants qui nient ces génocides. Les médias dominants anglo-américaino-sionistes, la commission académique et politique sur l’holocauste et la négation de l’holocauste ont de toute évidence adopté la répugnante attitude des multinationales qui se résume dans l’expression « aller de l’avant », ce qui permet à l’alliance Atlantique soutenue par les sionistes racistes d’ignorer les malheureuses victimes des atrocités décrites plus haut et de se préparer à « aller de l’avant » en Syrie (22 millions d’habitants) et en Iran (74 millions d’habitants) aussi.
Les gens honnêtes ne peuvent pas se contenter de prendre le trottoir d’en face. La paix est le seul moyen mais le silence tue et le silence est complice. Les gens honnêtes doivent a) informer tous ceux qu’ils peuvent sur les atrocités commises par les anglo-saxons et leurs alliés et b) sanctionner et boycotter dans la mesure du possible tous les politiciens, partis, pays et multinationales complices de l’Alliance de guerre étasunienne contre les Musulmans, les Arabes, les Asiatiques et les Africains.

* Dr Gideon Polya enseigne la science dans une importante université australienne depuis 40 ans. Il a publié 130 ouvrages en 50 ans de carrière scientifique.

Source : http://newsnet.fr/63795 18/02/2012

NOTES

1-Voir ce lien important: https://michelduchaine.com/2020/06/19/reecrire-lhistoire-dun-mensonge

 

2-Charles Dickens (1812-1870), un raciste génocidaire…

L’oeuvre de Charles Dickens comprend « Esquisse par Boz », « Le magasin d’antiquité », « Oliver Twist », « Nicholas Nickleby », « Barnaby Rudge », « Un chant de Noël »,  » Martin Chuzzlewit » », « Le conte de deux cités », « David Copperfield », « les grandes espérances », « La maison d’âpre-vent », « La petite Dorrit », « Les temps difficiles », « L’ami commun » et « les aventures de M. Pickwick ».

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Le pillage de l’Afrique par les sionistes de la mafia khazare

 

 

Un cas récent a attiré l’attention sur le vol des ressources naturelles de l’Afrique par des milliardaires juifs et un fonds spéculatif de New York, facilité par leurs agents traîtres africains, par les politiciens sionistes et par les espions israéliens.

 

 

En 2008, le milliardaire israélien Beny Steinmetz a acquis grâce à la corruption  le permis d’exploitation minière pour l’un des plus grands gisements de minerai de fer du monde pour seulement 160 millions de dollars en versant 50 millions de dollars à l’épouse du président guinéen de l’époque. La valeur réelle de la mine a été révélée plus tard lorsqu’il a vendu une participation de 51% dans le projet à la société minière Vale pour 2,5 milliards de dollars. Cependant, après un changement de gouvernement guinéen, la licence a été révoquée par le nouveau président, Alpha Condé, car elle avait été acquise par corruption. Vale a poursuivi Steinmetz a poursuivi en justice pour leur avoir vendu frauduleusement la licence et un tribunal de Londres a accordé à Vale 1,25 milliard de dollars de compensation. Cependant, Steinmetz a récemment tenté d’annuler la décision en utilisant des informations découvertes par l’agence d’espionnage israélienne BlackCube (les lecteurs connaissent peut-être leur travail précédent sur la protection de Harvey Weinstein [1]), ce qui montrerait que le conseil d’administration était au courant de la corruption potentielle lors de l’acquisition. Les espions israéliens se vantent d’avoir obtenu ces informations par la tromperie en créant un réseau élaboré de sociétés écrans et en discutant avec les dirigeants de Vale sous de faux prétextes.

Dans un acte d’audace foudroyante, Steinmetz a soutenu que cela signifiait qu’il devrait être indemnisé par Valent. Il est encore trop tôt pour dire comment ce procès se terminera; Cependant, il est frappant de constater que M. Steinmetz n’a purgé aucune peine en prison malgré une enquête pour corruption et blanchiment d’argent aux États-Unis, en Guinée, en Suisse et en Roumanie.

 

Cela est peut-être lié aux relations politiques internationales. Les poursuites engagées contre lui en Guinée ont été abandonnées dans un règlement négocié par l’ancien président français crypto-juif, le sioniste Nicolas Sarkozy. Incroyablement, cet accord n’a pas seulement impliqué que M. Steinmetz doive échapper à la peine, mais lui a également permis de participer éventuellement au nouveau projet d’extraction de minerai de fer de Simandou en Guinée, en partenariat avec l’activiste sioniste et ancien PDG et trésorier du Parti conservateur britannique, Sir Mick Davis.

Il semble cependant que le gouvernement guinéen ait par la suite réaffecté les droits de développement à une société d’État chinoise, dans un exemple du conflit qui se déroule à travers l’Afrique

Ce n’est que le dernier exemple d’un intermédiaire juif corrompu utilisant la corruption pour obtenir des licences minières à des prix symboliques, ridiculement bas. Grâce à ce processus, l’argent qui devrait appartenir au peuple africain pour ses ressources naturelles est redirigé dans les poches des milliardaires juifs et de leurs sbires africains.

Un autre exemple de cette pratique est Daniel Gertler, un milliardaire israélien du diamant. Daniel y est arrivé en 1997, à l’âge de 23 ans, à l’invitation de la communauté locale de Chabad, qui a des racines profondes en République Démocratique du Congo (RDC) . Le grand rabbin du centre Chabad-Loubavith de Kinshasa pour s’est arrangé pour faire recevoir Gertler  par Joseph Kabila, le futur président et fils de l’ancien président. Ce dernier  a accordé à Gertler un monopole sur les ventes de diamants de la RDC pour le prix absurdement bas de 20 millions de dollars, dont il avait besoin pour financer son armée dans la guerre civile congolaise en cours.

Gertler a également utilisé ses relations internationales au profit des Kabila; il est intervenu en son nom auprès de Condoleezza Rice, sur les négociations de paix. En 2009, le gouvernement congolais a été contraint d’acquérir une mine de cobalt et de cuivre de fermer ses portes en retirant le permis d’exploitation à ses anciens propriétaires. La mine a ensuite été acquise par Gertler pour 60 millions de dollars,  et il l’a vendu peu après au groupe israélien Eurasian Resources Group pour 865 millions de dollars. (bénéfice de 805 millions, soit  1442%,  sur le dos du peuple congolais)

Ce n’est qu’un des nombreux projets dans lesquels il a collaboré avec le fonds spéculatif new-yorkais Och-Ziff pour sécuriser par corruption les droits miniers; ils ont répété un processus similaire à travers l’Afrique, comme en Libye, au Tchad, au Niger et en Guinée. Och-Ziff a été fondée et dirigée par l’ancien banquier juif de Goldman-Sachs,  Daniel Och, avec un investissement initial de 100 millions de dollars de la famille juive Ziff, qui étaient également d’importants investisseurs dans la Weinstein company et des donateurs aux partisans républicains du mariage homosexuel.

Les opérations africaines du fonds étaient gérées par Michael Cohen. Och-Ziff a ensuite été poursuivi pour ces trafics de corruption par le ministère américain de la Justice et condamné à une amende de 413 millions de dollars. Ce qui est exceptionnel, compte tenu de la mainmisse juive sur les États-Unis.

Mais il ne faut pas rêver. Comme dans le cas de Steinmetz, ni Gertler ni les dirigeants d’Och-Ziff n’ont jamais été emprisonnés pour leur vol des ressources naturelles de l’Afrique. On estime que le vol par la corruption de Gertler a coûté au peuple congolais 1,36 milliard de dollars. Gertler a été sanctionné par les États-Unis pour ses pratiques de corruption, et comme tous les malfrats juifs, on lui a permis de « s’enfuir » vers Israël pour fuir la justice américaine [2]. Cependant, il est récemment apparu qu’il avait engagé l’ancien directeur du FBI Louis Freeh et Alan Dershowitz pour faire pression pour que ces sanctions soient levées. Ces sanctions ne l’ont pas non plus empêché de continuer à jouer le rôle d’intermédiaire dans la vente de concessions pétrolières le long de la frontière ougandaise.

Le sud-africain Walter Hennig est une autre figure qui a travaillé avec Och-Ziff pour obtenir par corruption des droits miniers africains.

Walter Hennig est étroitement lié à l’éminent politicien de l’ANC et ancien terroriste « Tokyo » Sexwale [3] . Hennig et Sexwale ont tenté de conclure un accord par lequel ils prêteraient 25 millions de dollars à la nouvelle société minière du gouvernement guinéen et, en cas de défaut, très probable compte tenu des ressources limitées du gouvernement guinéen, recevraient la grande quantité de 30% des actifs de la société minière. . L’accord de prêt était secret et n’a été révélé au public que grâce aux efforts des journalistes d’investigation.

L’argent pour le prêt provenait à l’origine des fonds spéculatifs Och-Ziff [3]. Och-Ziff a aussi utilisé  Sexwale afin de faciliter un accord avec le gouvernement notoirement raciste anti-blanc de Robert Mugabe au Zimbabwe. En 2008, Och-Ziff a accordé un prêt de 100 millions de dollars à un Mugabe en faillite, et dont il avait besoin pour maintenir son contrôle avant les élections. En échange, Mugabe leur a donné une concession de platine, qui avait été confisquée aux Anglo-Américains.

Les Blancs sont fréquemment accusés d’avoir volé les ressources naturelles de l’Afrique, mais ce n’est qu’un écran de fumée pour couvrir le pillage de masse du continent auquel se livrent sans vergogne les juifs. Et pourquoi ne le feraient-ils pas, sachant qu’ils sont totalement intouchables, car protégés par l’Empire anglo-sioniste.

Source : The Zionist Plunder of Africa


EN COMPLÉMENTAIRE

 

Pourquoi la région riche en diamants n’a-t-elle pas de clinique Ebola? Où est Beny Steinmetz ou son frère?

 

 Le quartier riche en diamants de Kono, qui comprend la ville de Koidu, n’a pas de centre de traitement Ebola et les cas sont acheminés vers Kenema ou Kailahun, » (Voir: « Couvre-feu dans la ville de Sierra Leone après les émeutes, tirant sur le cas Ebola « , Mar. 21 oct. 2014 http://feeds.reuters.com/~r/reuters/healthNews/~3/YAop1hOatxw/story01.htm )

La mine de diamants Koidu du multimilliardaire Steinmetz en Sierra Leone

 

Tu peux répéter s’il te plait? Le propriétaire privé de la grande mine de diamants de la ville, Koidu, est Beny Steinmetz, dont la richesse est estimée entre 3,5 et 6 milliards de dollars, bien qu’il ait récemment vendu des intérêts à son frère, probablement en raison d’allégations contre Beny de corruption en Guinée voisine. .

Fosse de la mine de diamants Koidu

 

 

L’ONU dit qu’environ 1 milliard de dollars est ce qui est nécessaire pour faire face à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest – le multimilliardaire Steinmetz ne le remarquerait pas comme manquant! Il ne manquerait certainement pas le montant pour une petite clinique près de sa mine. Il pourrait s’agir d’une radiation d’impôt s’il paie des impôts.

Minuscule et mignon «hôpital du gouvernement Koidu» fourni par l’USAID il y a une décennie, avec les partenaires de l’ONG PREMIER URGENCE le peuple Koidu et NON la ou les sociétés minières! Non, en général, les sociétés minières ne font presque rien sauf retirer la richesse de l’Afrique et détruire son environnement. Pourquoi devraient-ils faire quoi que ce soit alors que les gouvernements, les bénévoles et les ONG feront tout? Ou laissez simplement la population s’en passer et l’environnement détruit. « Infirmière à l’hôpital de Koidu en Sierra Leone consultant des patients lorsque l’hôpital a été reconstruit après la guerre civile en Sierra Leone, mars 2006, USAID, L. Lartigue »

« Les travailleurs humanitaires américains ont aidé à reconstruire l’hôpital du gouvernement de Koidu, ce qui a amélioré la situation sanitaire auparavant alarmante dans la ville. Diverses autres organisations d’aide, dont l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, le HCR et ses partenaires, ont aidé à forer des puits, à reconstruire des cliniques et des écoles et à régénérer les moyens de subsistance dans la région, dans le cadre d’un programme visant à soutenir la réintégration des Sierra-Léonais qui sont revenus après avoir vécu depuis plusieurs années en tant que réfugiés dans les pays voisins. ”(Soulignez le nôtre) http://en.wikipedia.org/wiki/Koidutown-Sefadu

D’après nos lectures, les gouvernements, les ONG et les églises font presque tout ce qui se fait en Sierra Leone, tandis que Beny Steinmetz-Koidu a déplacé des communautés et creuse des trous béants sur 4,9 km2 de terrain pour obtenir environ 120000 carats par an de diamants ou plus. Il n’est certainement pas unique non plus. Quand on voit comment les enfants doivent marcher 5 kilomètres pour se rendre à l’école, ce pourrait être simplement pour contourner la concession minière! 4,9 km est d’environ 3 milles.

Steinmetz-Koidu Holdings (ou son nom actuel) a donné quelque chose à l’effort Ebola. Nous l’avons trouvé en train de faire des recherches hier, mais nous ne pouvons pas le retrouver, les médias ne sont donc pas impressionnés. Il n’y a rien sur leur site Web. Il comprenait des conteneurs pour le lavage des mains – peut-être 60 conteneurs? Certains s’en sont moqués, mais le chef aurait remercié la société minière. Steinmetz-Koidu Holdings a également donné de l’argent, d’après nos souvenirs, environ 40 millions de Sierra Leone Leone, ce qui semble être beaucoup d’argent jusqu’à ce que vous estimiez que cela ne vaut qu’environ 9 200 $, 8 800 francs suisses, 7 295 euros! (1 Leone sierra-léonais équivaut à 0,00023 dollar américain, 0,00022 franc suisse, 0,00018 euros). Cela peut ne pas être exact car les médias n’ont pas été tellement impressionnés par leur don que nous n’avons plus pu trouver de référence du tout! Et, notre mémoire n’est plus parfaite. Donc,

Nous ne serons cependant pas impressionnés tant qu’ils n’auront pas investi au moins 1 milliard de dollars (ou euros ou francs ou livres) dans la communauté et les soins de santé.

Selon Talini Beanie, 2013: « Les multinationales ont-elles investi dans des infrastructures de base telles que des routes pavées? La réponse est non…. Alors que les infrastructures d’assainissement et d’élimination des déchets ont également un besoin urgent d’investissements dans la plupart du pays, Kono a l’inconvénient supplémentaire de l’aggraver avec les dommages environnementaux causés par l’exploitation minière. ” Http://fellowsblog.kiva.org/fellowsblog/2013/05/02/the-curse-of-diamond-mining-in-sierra-leone

Nous espérons que vous regarderez la courte vidéo de 18 minutes de 2011 sur une communauté près de la mine de diamants, que nous avons publiée hier. Il ne s’agit pas de dérivés Creative Commons, nous l’avons donc publié séparément: https://miningawareness.wordpress.com/2014/10/22/kono-communities-affected-by-mining-sierra-leone/

Leurs allégations, qui sont très accablantes, ont été reprises ailleurs.

Ils parlent de problèmes avec leur eau, entraînant des diarrhées et des vomissements. Cela se trouve juste être les principaux symptômes d’Ebola, et les rendrait certainement affaiblis et plus sensibles à Ebola. Cela soulève également la possibilité d’un faux diagnostic.

Ils se plaignaient de maisons beaucoup plus petites que les maisons dont ils avaient été enlevés et faites de boue, au lieu de béton. La boue n’était pas correctement cuite en briques. (Les briques de terre seraient plus adaptées au climat, mais les briques de boue non cuites permettent entre autres de creuser des rats porteurs de maladies.)

Ils ont signalé que de très jeunes enfants devaient marcher 4,8 km pour se rendre à l’école sur des chemins boueux et non pavés et ont déclaré qu’ils aimeraient une école à proximité. Notez qu’ils marchent vers une école fournie par l’Église Méthodiste Unie, très probablement les Femmes Méthodistes Unies, et non par la société minière! Le bruit de l’exploitation minière était également un problème majeur.

Nous avons trouvé des préoccupations similaires sur Internet concernant la mine de Koidu, comme une enquête gouvernementale sur des logements de mauvaise qualité, avec une ventilation inadéquate et une seule sortie. C’était dans la région de Manjama du district de Kono, et destiné à reloger les résidents déplacés en raison des opérations de dynamitage de Koidu Holdings. Il semble avoir déjà appartenu, au moins en partie, à Beny Steinmetz à cette époque.

Un enseignant de l’école des filles de l’église méthodiste unie de Koidu a déclaré que l’explosion de la mine non seulement interrompt le travail scolaire, mais a également entraîné des fissures dans le bâtiment de l’école: «des fissures partout ». Dans le passé, ils avaient été notifiés, mais ils ont commencé à les prendre « au dépourvu ». Après l’explosion du 1er mars 2004, par Koidu Holdings, 3 femmes âgées qui n’ont pas pu évacuer se sont retrouvées hospitalisées, apparemment sous le choc (l’article n’est pas vraiment clair et parle de leur «réanimation rapide»). http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

Rupert Neate de The Guardian (16 oct. 2014) semblait très impressionné par 709 millions de Leones (163 000 USD, 103 000 livres, 130, 824 euros) donnés par la London Mining Co., et qu’ils aidaient à construire un centre Ebola de 130 lits . Mais qu’est-ce que cela implique? Selon le site Web de London Mining (7 oct. 2014), le centre de traitement Ebola est financé par les gouvernements américain et irlandais. Il sera exploité par l’International Medical Corps (IMC). London Mining a fourni un arpenteur et du carburant. Dawnus Mining a fourni du matériel de terrassement pour défricher le terrain (15 acres). Ils peuvent fournir une aide supplémentaire AU COÛT pour la construction, y compris les fondations en béton, la sécurité du périmètre et les installations de forage d’eau. Donc, ils donnent surtout de la main-d’œuvre – peut-être du bénévolat par leurs employés? Attention, quand vous lisez que les sociétés minières construisent ceci ou cela! Au moins, London Mining est honnête sur ce qu’elle fait ou ne fait pas. Cela ne semble pas toujours le cas.

Comme nous l’avons vu dans la vidéo hier, Steinmetz ne fait apparemment même pas ce à quoi on devrait s’attendre le moins (à moins que quelque chose ne change). Des personnes proches de ses exploitations minières à Koidu ont signalé des vomissements et de la diarrhée à cause de l’eau contaminée.

La mine Koidu est dans le coin supérieur droit (il y a 2 Koidus) où vous pouvez voir le barrage de résidus probable et les cliniques Ebola sont nommées avec le marqueur rouge. Les deux cliniques Ebola les plus proches sont alors la clinique de la Croix-Rouge à Kenema et la clinique Medicins Sans Frontières à Kailahun. Kailahun semble à peu près de la même taille que Koidu, peut-être plus petit. Kenema est une ville beaucoup plus grande.

 

 

Il y a l’USAID «Koidu Government Hospital», mais nous ne pouvons que deviner le nombre de lits car une fois tous les 10 ans, il semble que quelqu’un lui donne environ 30 lits. Donc, on suppose qu’il a de 30 à 60 lits. De plus, il n’est apparemment pas équipé pour Ebola hautement infectieux. «L’hôpital public» a été fourni par l’USAID et certains lits ont été donnés par l’ONU, plus récemment. Il n’a PAS été reconstruit par la société minière! Pourquoi Beny Steinmetz devrait-il le faire alors que le contribuable américain le fera pour lui? Et qui déteste tout le monde? Pas Beny Steinmetz mais le gouvernement américain. Qui a fourni le petit hôpital? Le gouvernement américain, pas Beny Steinmetz!
« Le gouvernement américain a dépensé 579 765 $ pour remettre en état l’hôpital public de Koidu. Ses partenaires d’exécution étaient PREMIER URGENCE, une organisation non gouvernementale et à but non lucratif française, et le peuple de Koidu lui-même. » Http://freetown.usembassy.gov/pr082703c.html
(« UNE GRANDE JOURNÉE POUR KONO: L’HÔPITAL DU GOUVERNEMENT DE KOIDU RÉNOVÉ ET L’ALLIANCE DE KONO PEACE DIAMOND LANCÉE, 27 août 2003 ») Notez qu’il y a deux endroits appelés Koidu, mais le celui avec l’hôpital semble être celui près de la mine.

Sans surprise, tout n’a pas été la paix et l’amour entre les sociétés minières et les travailleurs. Le gouvernement américain rapporte: « En avril, la police aurait tiré sur des grévistes de l’établissement d’African Minerals Ltd dans le district de Tonkolili, faisant un mort et plusieurs blessés. En décembre, des policiers ont ouvert le feu sur des manifestants dans la mine de diamant Octea, dans la ville de Koidu, dans le district de Kono, lors d’une grève des travailleurs. Deux individus non affiliés à la mine ont été tués, mais à la fin de l’année, les détails de l’incident n’étaient toujours pas clairs, et la police n’avait pas ouvert d’enquête sur les coups de feu  » http://state.gov/md204163.htm  » BUREAU OF DEMOCRACY, HUMAN RIGHTS, ET TRAVAIL, 2012 Country Reports on Human Rights Practices, Report, 19 avril 2013« 

« Le bail minier du projet Koidu Kimberlite, situé dans la chefferie Tankoro du district de Kono, mesure environ 4,9 km2…. Le projet devrait augmenter la production des deux fosses ouvertes d’environ 10 000 carats par mois actuellement à une moyenne de 45 000 carats par mois de 2012 à 2015, diminuant au fur et à mesure que la production souterraine entre en ligne et que l’opération est maintenue à 100 000 tonnes traitées. par mois. ” Http://en.wikipedia.org/wiki/Koidu_Holdings


Beny Steinmetz

« Beny Steinmetz
Né en 1956
Netanya, Israël
Résidence Genève, Suisse
Nationalité
Occupation israélienne Homme d’affaires
Valeur nette de 3,5 milliards de dollars américains (juin 2014)
Enfants 4
Beny Steinmetz (né en 1956) est un homme d’affaires israélien, avec un vaste portefeuille dans l’extraction de diamants, l’ingénierie et immobilier. [1] [2] [3]

Beny Steinmetz est né à Netanya, en Israël, en 1956, le quatrième enfant de Rubin Steinmetz. [4] Il a hérité du groupe genevois Steinmetz Diamond Group de son père. [1]

Ressources du groupe Beny Steinmetz

Steinmetz et son frère Daniel ont fondé ce qui est devenu plus tard Beny Steinmetz Group Resources (BSGR). Beny occupe actuellement un rôle de conseil auprès du conseil d’administration de la société. [3] En mars 2014, le quotidien suisse « Le Temps » a annoncé que Beny Steinmetz avait vendu des actions du Steinmetz Diamond Group (SDG) à son frère Daniel. [5] [6]

BSGR en Guinée controversée
En décembre 2008, un permis d’exploration de trois ans pour les blocs Simandou 1 et 2, en République de Guinée, a été attribué à BSGR Guinée, après que le gouvernement de Guinée, sous la présidence de son président d’alors, le général Lansana Conté, lui a ordonné être abandonné par son détenteur précédent, la multinationale anglo-australienne, la société minière Rio Tinto Group. [7] [8] [9] Conté a signé les droits d’exploitation de la moitié nord de Simandou, quelques jours avant sa mort, à Steinmetz pour 160 millions de dollars. Steinmetz a ensuite vendu une part de 51% à Vale pour 2,5 milliards de dollars. [10]

Koidu Holdings, qui fonctionnait auparavant en tant que coentreprise, appartient à 100% à la société BSGR depuis 2007. [11] [12] En 1997, il a fondé STI Ventures NV, une société de capital-risque qui investit dans de jeunes entreprises en Israël. [13] En 1999, il était le propriétaire de Tucows. [14] BSGR et une autre société d’investissement, IMR, contrôlent également Cunico. Une entreprise aujourd’hui disparue, dont il était le fondateur et actionnaire, Nikanor Plc, cotée à Londres, a été acquise par Katanga Mining en 2008. [15] Avec sa société appelée Scorpio, il possède des biens immobiliers au Kazakhstan, en Russie et en Europe de l’Est. [1] [2]

Le département américain de la Justice et le FBI ont enquêté sur l’acquisition par BSGR des droits d’extraire la moitié des gisements de minerai de fer à Simandou, en Guinée, en raison de préoccupations concernant la corruption et les pots-de-vin . [9] [16] [17] [18] En avril 2014, le gouvernement guinéen a annoncé qu’il disposait de «preuves précises et cohérentes» que BSGR avait obtenu les droits miniers de Simandou en versant des pots-de-vin à l’épouse du président de l’époque Lansana Conté en 2008, et que les droits seraient retirés à BSGR et à son partenaire Vale SA [19] Rio Tinto a ensuite intenté une action contre Steinmetz, BSGR et Vale, alléguant qu’ils avaient conçu un plan RICO pour voler «les précieux droits miniers de Rio Tinto». [20]

Autres entreprises commerciales

Il est également un investisseur de Gabriel Resources Ltd. [21]

Valeur nette

Le numéro de mars 2011 du magazine Forbes estimait sa fortune personnelle à 6 milliards de dollars américains. [22] En mars 2011, il était la deuxième personne la plus riche d’Israël, avant la mort de Sammy Ofer en juin 2011. [23] Selon Forbes en juin 2014, Steinmetz est le sixième Israélien le plus riche du monde avec une valeur nette de 3,5 milliards de dollars. [24]

Personnel

Steinmetz vit à Genève, en Suisse. [9] Il est marié et père de quatre enfants. [1] Avec sa femme, il supervise la Fondation Beny & Agnes Steinmetz, qui fait des dons aux écoles, aux hôpitaux, aux unités de l’armée et aux arts en Israël. [1] Il détient également la nationalité française et se décrit comme un «Israélien international» [25] ». http://en.wikipedia.org/wiki/Beny_Steinmetz (Références Wikipedia au bas de cet article)

Références – Lecture supplémentaire

« Mme Betty Bassie
Senior Teacher United Methodist Church Girls School, Koidu 
http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

« The New Citizen mardi 6 avril 2004, Volume 8 n ° 53
Par Sylvester T. Bangah http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

« Kimberlite Blast Lands 3 in Hospital (Standard Times, 16 mars 2004) » Par Saidu Kamara http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

« L’ancien conseiller de la société minière de Beny Steinmetz modifie son plaidoyer de culpabilité en coupable,
Frédéric Cilins admet avoir fait obstruction à l’enquête sur les allégations selon lesquelles des responsables guinéens auraient été corrompus pour octroyer des droits miniers», Simon Goodley, theguardian.com, mardi 11 mars 2014 15.27 GMT 
http: //www.theguardian. com / business / 2014 / mar / 11 / ancien-conseiller-de-beny-steinmetz-mining-firm-frederic-cilins

http://www.bloomberg.com/news/2014-10-22/african-minerals-founder-timis-to-buy-london-mining-operation.html

«Une entreprise minière au centre de la lutte contre Ebola en Sierra Leone fait faillite La société
britannique London Mining a joué un rôle central dans les efforts de lutte contre Ebola, en aidant à construire un centre de traitement de 130 lits près de Lunsar
 », par Rupert Neate

The Guardian, jeudi 16 octobre 2014 20.22 BST http://www.theguardian.com/world/2014/oct/16/london-mining-fight-ebola-sierra-leone-goes-bust

« Le magnat, l’épouse du dictateur et l’accord minier de 2,5 milliards de dollars du
FBI enquêtant sur la société BSGR de Beny Steinmetz après un accord lucratif pour extraire le minerai de fer de la chaîne de montagnes de Simandou
 , par Ian Cobain et Afua Hirsch à Conakry, Guinée The Guardian, mardi 30 juillet 2013 http://www.theguardian.com/world/2013/jul/30/africa-guinea-mining-bsgr-steinmetz

« Couvre-feu dans la ville de Sierra Leone après une émeute, tirant sur le cas d’Ebola Posté: mar. 21 oct. 2014 19:20:44 GMT
FREETOWN (Reuters) – Les autorités sierra-léonaises ont imposé un couvre-feu dans la ville orientale de Koidu mardi après un différend entre les jeunes et la police sur un cas présumé d’Ebola ont dégénéré en coups de feu et émeutes, ont déclaré des responsables. 
http://feeds.reuters.com/~r/reuters/healthNews/~3/YAop1hOatxw/story01.htm

Le 23 août, The Sunday Times a rapporté, à propos de Beny Steinmetz, qu’ils appellent un «magnat des mines israélien»: «Un mineur cherche un prêt pour le FBI et le métier à tisser Ebola»

Références aux articles de Wikipédia :
1. Forbes 2010
2. Michael Rochvarger, «Hapoalim confronts Beny Steinmetz», dans Haaretz, 13.05.10 [1]
3. BSG Resources Limited À propos de récupéré 2012-12-15
4. Sherwood, Harriet. « Beny Steinmetz: diamantaire israélien qui aime garder un profil bas ». Le gardien. Guardian Media Group. Récupéré le 30 juillet 2013.
5. Un journal suisse rapporte que Beny Steinmetz vend son intérêt pour Diamond Business, Jewish Business News, 30 mars 2014
6. «La Guinée dépouillerait Beny Steinmetz de ses concessions minières». Le gardien. 9 avril 14. Vérifiez les valeurs de date dans: | date = (aide)
7. Bate Felix, ‘Rio dit s’accorde avec la Guinée sur Simandou’, Reuters, 22 avril [2] Récupéré le 2012-12-15
8. «Rio reçoit l’ordre d’accorder la moitié de la concession guinéenne à BSG (Update2)». Bloomberg. 11 décembre 2008.
9. «Secrets enterrés: comment un milliardaire israélien a pris le contrôle de l’un des plus gros prix d’Afrique» par Patrick Radden Keefe. The New Yorker, 8 juillet 2013
10. «La Guinée et son minerai de fer: que le peuple en profite, pour une fois». L’économiste. 7 juin 2014.
11. Historique de la société Koidu Holdings récupéré le 15/12/2012
12. Joan Baxter, Poussière de nos yeux: un regard sans oeil sur l’Afrique, Wolsak et Wynn Publishers Ltd., 2008, p. 226 [3]
13. STI Ventures NV BusinessWeek
14. ISLA, Volume 54, Numéro 12, Oakland, Californie: Information Services on Latin America, 1999, p. 7379 [4]
15. «Histoire». Katanga Mining. Récupéré le 20/02/2012.
16. «L’agent d’arrestation du FBI pour corruption dissimule une réclamation dans une bataille sur une montagne de 10 milliards de dollars», The Guardian, 16 avril 2013
17. «L’accord de corruption du siècle: comment la Guinée a perdu des milliards de livres sterling dans le permis d’exploitation minière de Simandou», The Independent, 17 juin 2013
18. https://www.youtube.com/watch?v=HOfNE2gZH1o
19. Ian Cobain; Juliette Garside; Anne Penketh (9 avril 2014). «La Guinée dépouille Beny Steinmetz de ses concessions minières». Le gardien. Récupéré le 1er mai 2014.
20. Cobain, Ian (1er mai 2014). «Rio Tinto poursuit le milliardaire israélien Benny Steinmetz». Le gardien. Récupéré le 2 mai 2014.
21. «L’unité Steinmetz investit dans Gabriel Resources». Mining Weekly. 12 novembre 2009.
23. «Forbes Rich List -« The World’s Billionaires 2011 »- Beny Steinmetz»
23. «Sammy Ofer en tête des Israéliens dans la liste des milliardaires de Forbes», dans The Jerusalem Post, 03/10/2011 [5]
24. «Beny Steinmetz». Forbes. Récupéré le 31 mai 2014.
25. «Beny Steinmetz: diamantaire israélien qui aime garder un profil bas». Le gardien. 29 juillet 2013. http://en.wikipedia.org/wiki/Beny_Steinmetz (je souligne. Article consulté vers le 22 octobre 2014)

(à suivre)

 

 

Courte opinion du jour:Racisme anti-blanc , double langage et crimes impunis

Emily Jones

 

Cette petite fille s’appelait Emily Jones, elle avait 7 ans.
Elle était blanche, donc certainement raciste, future policière ou gendarme, et responsable de la colonisation.
Elle a été assassinée alors qu’elle jouait dans un parc, la gorge tranchée devant les yeux de son père il y a quelques semaines…
Ils sont où les Omar Sy, Camélia Jordana et autres artistes hollywoodiens en mal de succès pour la défendre ????
Ha bah non, ils sont pas là, la femme qui l’a assassinée est Somalienne, donc forcément…

Alors arrêtez avec vos hashtags à la con et vos images de profil débiles, parce qu’apparemment, toutes les vies ne se valent pas… 7 ANS BORDEL !!!!

Source:Valgelata Michel


 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

« Autant en Emporte le Vent » interdit, Colbert et Churchill déboulonnés : magistrale analyse de Zemmour

 

Ce qui se passe est terrifiant et inacceptable. Mais, loin d’être une question de racisme, de violences policières, c’est quelque chose d’infiniment plus grave. Et Eric Zemmour, hier soir, sur C News, dans Face à l’info a dit vraiment l’essentiel.

Ci-dessous un extrait de l’émission, le dernier quart d’heure, à ne pas manquer, afin de mieux comprendre ce qui se joue et de pouvoir… éclairer famille, voisins, amis, commerçants… qui se contenteraient de répéter ce que des journaleux aux ordres affirment sans rire à longueur d’antenne.

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Question de Christine Kelly :

S’agit-il d’une chasse aux sorcières comme on l’a vu dans les années 50 avec le Mac carthysme ou bien c’est juste un rééquilibrage qui s’opère ? 

Zemmour 

Mac Carthy a voulu extirper le danger communiste, considéré comme le mal, de la société.

Est-ce que, aujourd’hui, il s’agit d’extirper le mal raciste ? Non, on en est bien loin… C’est une histoire qui a commencé dans les années 80 avec SOS racisme. On a extirpé le mal, ça y est, c’est fini, plus personne ne défend des positions qui paraîtraient racistes. les programmes ont été expurgés, les cerveaux nettoyés. Le Mac Carthysme, c’est hier. 

Aujourd’hui nous sommes passés à une deuxième étape. Ce qui se passe là c’est la volonté de détruire l’histoire d’un peuple, de détruire l’histoire d’une civilisation pour l’éradiquer et la remplacer.

Quand on saccage la statue de Churchill, ça veut dire que là tout est possible… Ça veut dire que si Churchill est raciste, le Général de Gaulle aussi est raciste. quand il dit qu’il ne veut pas que son pays devienne Colombey-les-deux-mosquées, il faut aller saccager la statue du Général de Gaulle.Il faut interdire Voltaire parce qu’il a écrit une pièce qui s’appelle Mahomet. Et je vous parle même pas de Céline. Il faut interdire Balzac parce qu’il est réactionnaire. Il faut interdire Molière parce qu’il a écrit Les Femmes savanntes qui est misogyne. Il faut aller plus loin, il faut que les Juifs demandent que Saint-Louis ne soit plus évoqué parce qu’il a persécuté les Juifs. Ou que les protestants exigent que Richelieu et François premier soient exclus, que leurs statues soient dégagées parce qu’ils ont persécuté les protestants. Il faut que les gens d’origine vietnamienne exigent que les statues du Général Leclerc soient détruites parce qu’il a fait la guerre au Vietnam… C’est sans fin. L’objectif, aujourd’hui, c’est la destruction d’une culture, d’un peuple, d’une civilisation…

 

 

 

EN CONCLUSION

Ces minorités cherchent à détruire notre histoire et par là même, notre identité et les étapes à ce dessein passent d’abord, par notre culpabilisation, pour s’orienter vers notre repentance, notre soumission et au final, notre effacement à leur profit. En celà, elles sont aidées par la gauche et extrême-gauche voyant là, une opportunité à satisfaire leur idéologie révolutionnaire internationaliste.
Pour en venir au film: Autant en emporte le vent qui est instrumentalisé à dessein dans ce contexte idéalisé, lorsque je l’ai vu il y a très longtemps, à aucun moment je n’y ai perçu qu’il véhiculait du racisme mais une histoire d’amour avec des personnages pétris d’orgueil.; les serviteurs noirs étant là pour reproduire ce qu’était la société dans ce pays; ce que nous n’ignorions pas sans approuver leurs conditions de vie hors contexte filmographique.
Cependant, je vous reprends sur le point de l’origine de la guerre de Sécession; l’esclavage n’a pas été la cause de cette guerre mais des dissensions économiques et idéologiques ( politico-religieuses) entre des états du sud et nord. L’esclavage en fut un prétexte idéalisé tactique en cours de guerre pour affaiblir le Sud car celui-ci avait recours à une main d’oeuvre noire importante car plus agricole que le Nord lequel pourtant usait de l’esclavage dans certains domaines aussi.
Je peux vous citer un autre exemple d’idéalisation d’aller en guerre comme le slogan en 1917  » Lafayette, nous voilà »! justifiant l’entrée en guerre des USA contre l’Allemagne en soutien à leurs amis français.
Non ! là non plus, l’amitié franco-américaine n’en est pas la raison.
Les USA étaient menacés par l’Allemagne par intrigue auprès du Mexique pour l’inciter à entrer en guerre contre les USA sur leur frontière afin de les occuper sur leur sol, les dissuadant de venir en Europe.
Et l’affaire du Lusitania ne fut qu’un fait supplémentaire à leur décision d’intervenir en Europe.

Nous,les peuples blancs et français,voire occidentaux par la langue,la culture et la civilisation,nous sommes entrés dans une ère de légitime défense ou je vous suggère de tuer avant d’être exécutés.

Aux armes ,citoyens…car nos patries sont en danger!

 

 

 

La Grande Arnaque du COVID 19:La Révolution du masque

Qui aurait imaginé que les manifestations pour Floyd seraient le meilleur vaccin contre le Coronavirus? Les mêmes qui nous avaient averti que le virus serait un fléau mortel et que la seule solution était de rester à la maison, nous ordonnent maintenant de faire des marches, au coude à coude, tous contre la police! Ils ont donc sous leur commandement l’épouvantable pandémie, et le pouvoir de dire: la voilà qui arrive, ou bien non finalement. Toutes les manifs n’ont pas le même potentiel curatif: il est très dangereux de manifester contre le confinement, mais il est parfaitement hygiénique de manifester contre la police, disent-ils.

On aura rarement vu un tel retournement de veste tout en souplesse. Hier c’était le confinement, aujourd’hui mettons le feu. Les masques qu’ils voulaient nous faire arborer ont également changé de signification. Ce n’est plus l’amulette contre le fléau, un morceau de tissu qui ferait reculer le virus terrifié, comme par magie; maintenant, c’est l’insigne de la révolution. Après les révolutions colorées, orange, pourpre, verte, après les révolutions fleuries, de la rose et de la tulipe, vive la révolution du masque!

Le masque, c’est un signe que vous prenez au sérieux l’histoire officielle du Covid, comme le fait de porter une gousse d’ail en sautoir implique que vous croyez à l’imminence d’un assaut de vampires. Le Covid, c’est la nouvelle normalité; il est intégré au discours des « éveillés ». Les beaux visages blancs, à la manif, se protègent avec des masques; les beaux visages noirs n’ont pas besoin de masques, parce qu’il est évident qu’ils sont du côté du bien.

Les masques, ça sert à cacher la défaite. Le coronavirus, c’est un truc qui n’a pas marché. Le virus a déçu ses admirateurs. Notre collègue Anatoly Karlin avait promis que le corona tuerait des millions de gens et coulerait l’économie mondiale. Oops! Non seulement le petit Corona-chan n’a pas tué des millions de gens, il n’est même pas arrivé, en bien des lieux, à ajouter une juste pelletée pour améliorer les chiffres des défunts. Voyez par exemple le taux de mortalité de la Norvège. Avec le Corona (en 2020), on a eu moins de morts que sans, au cours des cinq années précédentes. Et il n’a gère contribué au total, le saloupiot!

 

La Norvège s’est infligée un confinement très douloureux pour arriver à ce chiffre record, si bas, et si inutile, qui casse les statistiques. La Suède n’a pas eu de confinement du tout. Les Suédois sont restés libres de se déplacer, d’aller au café, de travailler, de se détendre. Le virus n’a pas entravé le cours normal de leurs existences. Et le résultat n’est pas mal non plus; les Suédois sont morts avec leur Corona exactement autant que sans le fieffé virus, en 2018, par exemple :

Le Corona a tout juste ajouté  400 morts à la moisson de 2018, pas un petit million, pas le moindre millier. En en voyant le résultat, la première ministre norvégienne a dit: « on aurait dû faire comme la Suède« . C’était dur à assumer, pour une Norvégienne, parce qu’entre voisins, ils ont de vieux comptes à régler; mais elle l’a fait quand même.

Partout dans le monde, le « on s’est fait avoir » est un sentiment qui gagne  dans la population. 

Dans la sobre Allemagne, le Comité spécial des experts a établi que des millions de gens ont été livrés à leur triste sort, comme résultat des mesures gouvernementales. 125.000 patients sont déjà morts ou vont mourir, parce qu’on a remis à plus tard l’opération chirurgicale dont ils avaient besoin. Des milliers de gens se sont suicidés; l’espérance de vie a reculé; des millions de gens ont des problèmes psychiatriques sérieux, concluent les experts, comme résultat du confinement. Le gouvernement allemand a tenté de cacher le rapport, et les médias germaniques n’en ont pipé mot.

Le confinement n’a pas sauvé de vies, et il a probablement coûté beaucoup de vies, a estimé le professeur Michael Levitt, de l’université de Standford, et prix Nobel. Il avait prévu que le Royaume-Uni serait débarrassé du Covid en quelques semaines, et cela s’est vérifié dans la quinzaine suivante. Le virus est en train de disparaître tellement vite de Grande Bretagne que nous n’avons pas pu trouver assez de gens contagieux pour faire des essais de vaccins viables sur des volontaires en bonne santé, a dit un chercheur d’Oxford, et certains scientifiques envisagent d’infecter à dessein des volontaires avec le virus. On est très loin des rêves de Bill Gates et de l’OMS, du film Contagion qu’on nous avait annoncé, des milliards d’humains en attente du vaccin salvifique. Il n’y a même pas assez de gens malades pour tester leurs produits…

C’est fini, cette histoire de coronavirus. Il va partager nos existences comme tant d’autres virus, mais son puissant jumeau le virus de la panique va lui fausser compagnie. Certaines personnes sont outrées: le fantasme des millions de morts s’est effondré, mais la stratégie du confinement a creusé des cratères dans l’économie familiale, et a arrosé d’une manne exceptionnelle les Poches profondes. Au Royaume Uni, ce sont des milliers de locataires qui vont bientôt se retrouver à la rue. Aux US, ils y a 40 millions de chômeurs mais les Poches profondes ont ajouté une couche d’un demi billion de dollars à leur magot.

Il va falloir que ces gens-là justifient leurs agissements, car les peuples vont demander des comptes. Peut-être, à Dieu ne plaise, qu’ils pourraient demander une petite taxe spéciale pandémie, de 105% sur les  bénéfices de certains? Et ce sont eux, avec leurs médias, qui se sont jetés sur le cadavre de George Floyd, comme sur une occasion unique de changer de trajectoire en plein vol.

Les Maîtres du Discours ont bricolé un agenda pour les masses depuis des années; il y a des gens formatés par cet agenda. Ils pensent et agissent comme on leur dit de le faire. Ils font des marches quand on leur dit « en marche ». Ils restent à la maison quand on leur dit de ne pas sortir. Ce sont des braves gens, ils veulent faire le bien, ils aiment la vertu et le font savoir, il est facile de les flatter en invoquant leur supériorité morale. Ils prennent leurs ordres de marche dans les journaux libéraux dominants. Ils n’ont pas beaucoup de capacités critiques; il suffit de leur dire ce qui est bon et bien, ils embrayent. Ostensiblement, ils font savoir qu’ils sont des humains meilleurs que ces égotistes qui ne pensent qu’à eux, qui méprisent la vertu et qui embrassent n’importe quel préjugé.  

Malheureusement, leur supériorité morale est basée sur un mensonge.

Ce sont des membres dévots de l’église alternative juive pour les gentils « en éveil » de l’Occident. 

Certains sont des croyants fanatiques; d’autres sont des hypocrites ou simplement des fidèles par habitude. Gardons à l’esprit la qualité quasi  religieuse de ce mouvement; il serait vain d’y rechercher le moindre bon sens, la moindre logique. Dans la mesure où ils constituent une église, ils dénient toute légitimité à toute  autre ligne de pensée et de conduite. S’ils étaient dirigés par de bons bergers avisés, ils pourraient constituer une force morale de poids, dans le monde, mais ils n’ont pas cette chance. (1)

La création de ce troupeau « éveillé » et obéissant est la plus grande réussite des Maîtres du discours. 

La coronapanique a amplifié le phénomène. Les gens sont devenus psychotiques, mentalement affaiblis, malléables. 

Les Maîtres ont fourni le discours sur la supériorité morale: ils prétendent que leurs adeptes ne s’enferment pas, eux, pour sauver leur peau, mais pour sauver les vieux et les êtres fragiles d’une mort certaine. Quiconque n’est pas d’accord veut donc que les êtres fragiles succombent « pour le PIB ». Tous ceux qui ne portent pas de masque sont des gens qui veulent la mort des vieux, comme dans ce dialogue:

Paul Williams, @thepaulwilliams

Moi – J’ai hâte que le rugby et le tennis reprennent.

Twitter – Vous voulez que tout le monde meure de Covid et vous êtes heureux de tousser à la figure des retraités, autant dire aller lécher les bords de leurs tasses de thé, Paul ?

C’est forcément un mensonge. Ce n’est pas seulement le PIB qui a souffert, comme l’a affirmé notre collègue Karlin en intitulant Dulce et Decorum Est Pro PIB Mori ! sa tentative pour rester dans la tonalité morale élevée ; « vous savez, nous on prend soin des vieux, mais vous, tout ce qui vous intéresse, c’est le salut du PIB sans âme« , s’écrie-t-il. Non, nous parlons de ces milliers de trépassés à cause du confinement, et d’une perte incommensurable de liberté.

Non pas que je méprise le PIB. L’économie, c’est important, surtout pour les pauvres et la classe moyenne. Les Poches profondes se remplissent encore plus vite avec le confinement. Donc, si vous voulez jouer au petit jeu de la surenchère morale, vous pouvez riposter: « restez chez vous pour Wall Street« !, ou « restez chez vous pour les Poches profondes« !

Après avoir encouragé les manifestations pour Floyd, ils ont oublié leur bluff sur la terrible contagion du coronavirus. Mais  leur nouvelle cause est également basée sur un mensonge. On a pu lire sur des banderoles: « Celui qui ne marche pas en mémoire de George Floyd, est un sale con. Celui qui ne s’agenouille pas est un tueur. » C’est péremptoire et stupide.

Les chrétiens ont de meilleures réponses. Nous n’avons pas à nous repentir des péchés des autres. Nous n’avons pas à nous repentir de l’esclavage ou du meurtre de Floyd parce que nous n’avons mis personne en esclavage, et ce n’est pas nous qui avons tué ce gars-là. L’idée même de culpabilité collective est étrangère aux chrétiens. C’est une idée juive, mais les juifs ne sont pas assez bêtes pour accepter de porter sur eux-mêmes la moindre faute collective. Ils aiment attribuer une culpabilité collective aux goyim, rendant même les Américains coupables de l’holocauste, mais jamais à eux-mêmes. Si vous mentionnez le rôle important que les Juifs ont joué dans la traite des esclaves , vous serez traité d’antisémite, expulsé de la société bien élevée et houspillé : « Est-ce que TOUS les Juifs faisaient le commerce d’esclaves noirs ? Sûrement pas ! »

Seulement voilà, ça marche parce que l’Église du Réveil fournit un très important sentiment d’unité, comme le fait toute église. Aujourd’hui, nous sommes unis, assis à la maison, et nous sauvons des vies en portant des masques. Maintenant, nous marchons ensemble en portant des masques et en sauvant des vies. Les êtres humains ont besoin de conseils moraux et d’unité, ainsi que de privations volontaires et de frustration sexuelle: c’est l’Église du Réveil qui pourvoit à tout ça.

C’est une Nouvelle Internationale, ce Wokintern [après le Komintern]. Il y a des manifestations dans le monde entier pour soutenir cette Révolution américaine, et cela rappelle le soutien universel à la Révolution russe de 1917. Il y a pourtant une différence importante : en 1917, les travailleurs industriels du monde entier ont soutenu la Révolution soviétique ; en 2020, ce sont les hipsters du monde entier qui soutiennent la Révolution du masque [2].

La Révolution du masque suit à la lettre le manuel du Dr Gene Sharp. On y parle de construire la base révolutionnaire, d’avoir un symbole, d’exploiter au maximum le meurtre d’un citoyen par la police. C’est ce qui a été mis sur les rails lors des  printemps arabes, et en Europe de l’Est aussi. Il faut avoir une victime, c’est une condition sine qua non. En Égypte, c’est la mort du jeune Khaled Mohamed Saeed qui avait déclenché le Printemps arabe ; en Tunisie, le jeune Bouazizi qui s’était  immolé par le feu après avoir été maltraité par la police ; en Algérie, son exploit avait été suivi par celui de Bouterfif. En Russie, en août 1991, trois jeunes hommes avaient été accidentellement écrasés par un char d’assaut, et leur sang a servi de carburant au coup d’État d’Eltsine . George Floyd n’est que le dernier de cette longue liste de noms de victimes traînées sur l’autel de la révolution.

Suite à une nouvelle admonestation de Gene Sharp, les maîtres délégitiment le régime actuel de Trump et sabotent son soutien au sein de la police et des forces armées. En l’espace d’une journée, trois juges (nommés par Clinton et Obama) ont interdit à la Maison Blanche de bannir de ses propres conférences de presse un journaliste qui s’était mal conduit. Des lanceurs de cocktails Molotov ont été condamnés à une simple assignation à résidence par un juge de Brooklyn. Vendredi, le maire de Washington a demandé au président Trump de retirer tous les agents de la police fédérale qui font respecter la loi, et les troupes de la Garde nationale ; plus tôt, elle avait exigé le retrait des troupes et elle avait eu gain de cause. Le président Trump veut déployer 10.000 soldats à Washington, mais son secrétaire à la Défense, Mark Esper, n’est pas d’accord. « Mad Dog » Mathis, le chien enragé, attaque Trump. Les hauts républicains Bush, Romney et Powell retirent leur soutien à Trump.

Le contrôle des médias est la chose la plus importante dans la liste des choses à faire selon Gene Sharp. Les révolutionnaires ont le contrôle total des journaux, et luttent maintenant pour la domination des réseaux sociaux. Les employés de Facebook organisent des débrayages virtuels pour protester contre les posts de Trump. Les messages de M. Trump ont été qualifiés de « fake news » sur Twitter. C’est un tournant. Twitter a déclenché l’avalanche, en s’attaquant au Président et en montrant qu’on pouvait le faire impunément. Les grandes multinationales ont suivi. Ce sont les principales bénéficiaires de la révolution du masque qui va achever le démantèlement de l’État tel que nous le connaissons.

On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Le contrôle des médias, c’est tout bon ; la police démoralisée, excellent ; les juges de votre côté, parfait ; l’armée neutralisée, quelle merveille ; mais vous aurez toujours besoin de jeunes prêts à se salir les mains et à en découdre, physiquement, dans le monde réel.

Le peuple de l’éveil, ce sont des gens toujours plus forts pour brailler que pour faire le coup de poing. C’est cette carence qui a fait échouer l’excellent mouvement Occupy Wall Street. Il semble que ce qu’on appelle Antifa soit un petit mouvement comptant quelques dizaines de militants pour l’ensemble des États-Unis. Mais c’est un attrait pour la classe marginale noire : ils sont assez pugnaces et peuvent être cornaqués chaque fois que cela est nécessaire. Et si certains d’entre eux suivent George Floyd au royaume des ombres, encore mieux : la révolution a besoin de martyrs.

Notre collègue Le Saker estime qu’il ne peut s’agir d’une révolution : « pour qu’une révolution ait lieu, il faut une force capable de changer non pas la ou les personnes au pouvoir, mais de changer fondamentalement le régime, la politique elle-même, et de la remplacer par autre chose« . C’est un  romantique à l’ancienne. Les révolutions de couleur font bel et bien changer de régime à une nation donnée, qui passe d’un pouvoir présidentiel fort à un pouvoir direct des multinationales, comme cela s’est produit dans tant de pays [3].

Nous en avons la confirmation directement de la bouche des intéressés. Sur The Atlantic, l’un des principaux à avoir alimenté le RussiaGate, Franklin Foer, le confirme : « Ce qui se passe dans les rues – avec des fonctionnaires qui refusent de coopérer – ressemble beaucoup aux révolutions qui ont renversé les dictateurs en Serbie, en Ukraine et en Tunisie… Ce à quoi les États-Unis assistent ressemble moins au chaos de 1968, qui avait divisé une nation, et plus aux mouvements non-violents [et entièrement financés par George Soros et al] qui ont gagné un large soutien de la société dans des endroits comme la Serbie, l’Ukraine et la Tunisie, et ont balayé les dictatures comme celles de Milošević, Ianoukovitch et Ben Ali. Et cela, même si le mandat de Trump va se terminer par une élection » [si l’élection ne parvient pas à évincer Trump, il y aura une nouvelle élection, selon les nouvelles règles améliorées, jusqu’à ce qu’il soit battu, comme ce fut le cas en Serbie et en Ukraine].« 

Naturellement, aux États-Unis, ce sera différent de la Serbie ou de la Géorgie. Cela se passera en mode atlantique, ou mondialiste. Les États-Unis redeviendront le leader de l’OTAN ; les troupes américaines resteront partout à l’étranger ; le port du masque sera inscrit dans un amendement constitutionnel ; les écoles passeront à l’enseignement à distance à perpétuité ; les vaccinations seront obligatoires, sauf si vous êtes prêt à rester enfermé chez vous pour le restant de vos jours.

La foi chrétienne sera marginalisée . C’est déjà le cas dans les faits, puisque  la chrétienté (tant occidentale qu’orientale) n’a plus eu de communion, plus de liturgie pendant des mois. Les évêques anglicans ont demandé à ce que l’ouverture des églises soit reportée, parce que, nul ne l’ignore, assister à un service divin, c’est beaucoup plus dangereux qu’une manifestation anti-police. L’évêque (femme) de Washington DC s’est rangée du côté des émeutiers qui ont brûlé l’église du président, contre le président qui s’y était rendu. « [Trump] n’a pas prié », a déclaré Mariann E. Budde, l’évêque épiscopalienne de Washington. « Il n’a pas mentionné George Floyd, il n’a pas mentionné l’agonie des personnes qui ont été soumises à ce genre d’expression horrible du racisme et de la suprématie blanche pendant des centaines d’années. » Il est clair que cette dame appartient à l’Église crypto-juive du Réveil, et l’Église épiscopalienne est morte, en pratique.

Peut-être que la police va disparaître. Certaines villes très « éveillées » ont déjà cherché à éliminer la police. « Les villes se demandent s’il n’est pas temps de désengager la police et de « re-imaginer » la sécurité publique, dit le New York Times. – Au lendemain du meurtre de George Floyd, certaines villes se demandent si l’on ne demande pas à la police de faire des tâches qu’elle n’a jamais été censée faire. Les budgets sont en cours de réévaluation ». Les multinationales à l’origine de la révolution n’ont pas besoin de la police – elles ont leur propre sécurité d’entreprise, parfaitement capable de faire face à leurs problèmes. Et elles ne se soucient pas de savoir si votre quartier sera protégé par la police, ou si vous serez obligé de faire garder vos rues la nuit par votre fidèle Colt. Ils ne se soucient pas que vous restiez enfermé, que vous soyez agressé ou que vous soyez pillé, c’est le prix de la soi-disant liberté, l’autre nom du nouveau féodalisme numérique.

La révolution du masque en est à ses débuts : elle garde ses troupes de choc l’arme au pied et enthousiastes. L’étape suivante viendra après les élections, lorsqu’une victoire de Trump ne sera pas reconnue par la concurrence. « Si le vote servait à quelque chose, on ne nous laisserait pas voter« , a déclaré un petit Américain futé. Et cette fois, ce n’est pas un vote qui tranchera, à moins que les Américains ne votent pour le candidat démocrate. Après quatre années de préparation passées à diaboliser et à disqualifier Donald Trump, après une demi-année passée à enfiévrer leurs adeptes, les Démocrates, menés par l’Église du Réveil, ont bien l’intention de prendre le pouvoir même s’ils ne gagnent pas par le vote.

Peut-être que Donald Trump et ses partisans feraient bien de frapper avant qu’il ne soit trop tard. Il y a beaucoup de bons gros trésors qui appellent au pillage légitime, tout d’abord Wall Street. La sous-classe noire ne s’intéresse pas à ces banques ; mais l’État peut très bien les piller, sans faire de casse. L’État peut s’emparer des réseaux sociaux et d’autres choses très utiles. La décision de Trump de faire revenir d’Allemagne 10.000 GI est judicieuse. Le retour rapide des vétérans d’Afghanistan et d’Irak, des Philippines et du Japon devrait suivre. Ils profiteront de Washington DC et de la Silicon Valley. Trump ferait mieux d’oublier la Chine, l’Iran et la Russie et de se concentrer sur sa survie. Il doit absolument se préparer pour le 4 novembre et être prêt pour la rupture de l’Union si le pire devait arriver.


EN COMPLÉMENTAIRE

 

 les Antifa passent  à l’attaque

Les protestations violentes contre la mort de George Floyd, l’Afro-américain tué à Minneapolis par un policier, durent maintenant depuis trop longtemps.

 

Après Minneapolis, des émeutes ont éclaté à travers tout le pays. Deux autres personnes sont décédées à Chicago. Plusieurs blessés ont été signalés par la police, 60 arrêtés. À Saint Louis, la police a signalé que 4 policiers avaient été blessés avec des armes à feu lors des manifestations. New York connait des scènes de vandalisme et de pillages, comme à Dallas, Atlanta, Los Angeles… Guerre civile, ethnique, religieuse, voilà le résultat de la mondialisation et du multiculturalisme. Les cultures se dissolvent puis s’affrontent pour retrouver une identité.

 

 

Derrière ces violences, ces émeutes raciales qui ont pour véritable fondement la haine du blanc, se profilent la mouvance Antifa, violents extrémistes de gauche.  N’acceptant pas le résultat démocratique des élections américaines, ils sont polarisés contre Trump et la droite et profitent de la mort de ce multirécidiviste Floyd pour mettre les Etats-Unis à feu et à sang.En pointant du doigt les auteurs présumés des manifestations qui ont enflammé le pays, le président américain Donald Trump a annoncé que les États-Unis incluront des militants d’extrême gauche Antifa parmi les organisations terroristes.

Les Antifa contestent les actions qu’ils considèrent comme autoritaires, homophobes, racistes ou xénophobes. Le mouvement n’est pas affilié à d’autres groupes de gauche. Mais ses militants collaborent parfois avec d’autres réseaux locaux qui protestent contre les mêmes problèmes, comme Occupy ou Black Lives Matter.

Les objectifs sont généralement de contrer l’action des groupes considérés comme fascistes, racistes et de droite pour se doter d’une plateforme leur permettant de promouvoir leur point de vue. Ils pensent que le recours à la violence est justifié par le fait que si des groupes fascistes ou racistes sont autorisés à s’organiser librement, cela conduira inévitablement à la violence contre les marginalisés.

En ce qui concerne les origines du mouvement, de nombreuses personnes l’auraient rejoint aux États-Unis après l’élection de Trump en 2016. Le mouvement a gagné en visibilité en 2017. Après une série d’actions. Y compris les affrontements avec les nationalistes blancs à Charlottesville. 

Tandis que la gauche américaine, et des membres du staff de Joe Biden, soutiennent les émeutiers, les conservateurs ont condamné à plusieurs reprises leurs actions en affirmant que les militants du mouvement tentent d’empêcher la libre expression de leur pensée politique.

Les émeutes en cours n’ont plus rien à voir avec la mort de George Floyd, elles sont fomentées pour tenter d’empêcher la réélection de Trump en novembre.  Comme pour prendre au mot Soros qui parlait de “situation révolutionnaire” en janvier 2020…

Face à ces véritables scènes de guerre civile et ethnique à travers tout le pays, Trump s’est prononcé pour le retour de l’ordre et de la loi.  

Dans un discours télévisé, le président des États-Unis avait menacé de faire appel à l’armée si les États ne pouvaient pas rapidement maîtriser les violentes manifestations qui secouent l’Amérique après la mort de George Floyd. Dans son discours à la Maison Blanche, il a déclaré que les gouverneurs doivent établir une « présence policière écrasante ». Et déployer la garde nationale en « nombre suffisant pour dominer les rues » :

« Si une ville ou un État refuse de prendre les mesures nécessaires pour défendre la vie et les biens de leurs résidents, je déploierai l’armée américaine et résoudrai rapidement le problème pour eux. »

Trump a également expliqué que la mort de « George Floyd ne devait pas être arrivée en vain et que ceux qui avaient commis des erreurs devaient payer », mais « je suis le président de la loi et de l’ordre » et « le président – a-t-il souligné à nouveau – a le droit pour défendre son pays et protéger sa nation. Nous ne pouvons pas permettre que des manifestations pacifiques soient manipulées par des anarchistes professionnels et des groupes antifa. »

 

 


NOTES

 

(1) Il y a des personnalités noires pour soutenir Trump et pour démasquer les imposteurs. Voir ici deux vidéos du rappeur Lord Jamar: https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-rappeur-americain-Lord-Jamar-Black-Lives-Matter-est-un-mouvement-finance-par-Soros-et-dirige-par-59698.html. La résistance au mensonge existe aussi chez les Africains (un facteur parmi d’autres pour expliquer que le virus n’arrive pas à y creuser son trou?) et chez les descendants d’Africains, dans tous les pays du monde, même s’il est difficile d’en trouver la trace dans les médias. (ndt)

(2)Hipster désigne une personne ou une sous-culture définie par le stéréotype de jeunes adultes résidant principalement dans des quartiers gentrifiés. La gentrification, mot issu de l’anglais gentrification — en français québécois embourgeoisement ou, dans la presse, boboïsation (du terme bobo) — désigne « les transformations de quartiers populaires dues à l’arrivée de catégories sociales plus favorisées qui réhabilitent certains logements et importent des modes de vie et de consommation différents ».

(3) En Tunisie, Libye, Égypte, le Printemps arabe a été le moyen de détruire des états et d’installer au pouvoir la Confrérie des Frères Musulmans, dont le  Chef (pour le moment) est Erdogan, et dont l’objectif annoncé est la création du Califat Islamique (dont l’État Islamique / ISIS a été la première tentative). La haine d’Erdogan envers Poutine vient du fait que ce dernier a été le principal destructeur d’ISIS. Cet islamisme sunnite est l’allié-esclave  des sionistes et de l’Empire, et l’ennemi déclaré des états séculiers. Erdogan s’imagine en Grand Turc (Sultan, ou  Calife) rêvant de l’Empire ottoman allant du Maghreb aux Balkans, à l’Asie Centrale jusqu’aux confins de la Chine.

 

 

 

 

 

La Grande Arnaque du COVID 19: Un simple éternuement peut vous envoyer au goulag

Ils ont militarisé la grippe commune pour nous contrôler : Vous voulez voler ou manger? Montrez patte blanche. Voulez-vous un travail? Idem. Voulez-vous jouer ou vous promener ? kif kif bourricot.

Alors que nous débarquions de notre vol, un passager a déclaré que j’étais la seule personne à avoir toussé, et qui ne portait pas de marque de façon constante.

«J’ai un reflux reflux gastro-œsophagien», ai-je expliqué. « Je tousse toujours après avoir mangé« 

« C’est toujours une courtoisie courante« , répondit-il.

Il ne s’agit plus de savoir si vous êtes vraiment malade ou non, il s’agit d’obéir aux règles. En fin de compte, la personne qui n’obéit pas aux règles sera considérée comme malade.

Éternuer ou avoir le nez qui coule, des choses qui étaient monnaie courante, font maintenant de vous un ennemi public.

À l’aéroport de Mexico, ma température a été vérifiée quatre fois. Mais pas une seule fois au Canada.

Sur notre vol pour Toronto, il y avait une douzaine de travailleurs mexicains. Apparemment, même dans les moments difficiles, aucun Canadien n’est prêt à faire le sale boulot.

Quelles sont les chances de ces travailleurs de s’auto-imposer une quarantaine pendant 14 jours? Quelles sont les chances qu’ils soient condamnés à une amende et à une peine d’emprisonnement?

L’auto-mise en quarantaine et la distanciation sociale sont réservées aux goyim. Ils ne s’appliquent pas aux personnes qui servent l’agenda du Nouvel Ordre Mondial.

Mexique / Canada

J’ai passé l’hiver au Mexique pour le vérifier.

Je m’attends à une guerre nucléaire pendant le deuxième mandat de Trump. Mais je ne m’attend pas à une nouvelle calamité cet hiver.

Revenir au Canada, c’est comme retourner dans une zone de guerre.

L’establishment contrôlé par les banquiers attaque la population en général.

Le remède est 100 fois pire que la maladie. La sécurité financière de millions de personnes s’est évaporée. Plus de gens se sont probablement suicidés que sont morts du virus. Cette cascade est impardonnable!

La plupart des victimes sont décédées d’autres causes. Les statistiques ont été faussées.

Ils nous ont transformés en marionnettes. Distanciation sociale. Port de masque. Bonnes gens, c’est juste une grippe. Seuls les déjà mourants en meurent.

Je reviens au pays pour trouver la plupart des succursales bancaires fermées; restaurants et cafés faisant à emporter uniquement derrière les fenêtres en plexiglas. Chaque client est une menace mortelle.

Les employés doivent donc être protégés. La CAA ne fournira pas de manèges aux membres bloqués. Contactez le service client et vous devez écouter une diatribe sur le virus et la façon dont ils veulent vous aider.

Les gens font des émeutes pour la justice sociale tout en acceptant complètement la perte de leurs libertés fondamentales. Ils sacrifient tant sur un prétexte sommaire et ne le remettent même pas en question. Telle est notre foi en nos dirigeants. Tel est le contrôle exercé par les médias.

L’industrie pharmaceutique est un gang de criminels. Ils contrôlent la profession médicale. Bill Gates, qui espère gagner des milliards grâce au vaccin, a l’oreille des présidents et des premiers ministres.

Ils auraient dû mettre les malades en quarantaine. Au lieu de cela, ils ont mis en quarantaine les gens qui sont sains.

Lorsque vous contrôlez les malades, cela s’appelle une quarantaine.

Lorsque vous contrôlez les gens sains, cela s’appelle la tyrannie.

Comment osent-ils obliger les citoyens à rentrer au Canada en quarantaine pendant 14 jours même s’ils ne sont pas malades et ne présentent aucun symptôme?

Cela sous la menace de sanctions pouvant aller jusqu’à 750.000 $ et de six mois de prison … quand on ne sait pas si les cas asymptomatiques sont même contagieux.

Comment osent-ils utiliser cette mince excuse pour une pandémie comme prétexte pour saccager le monde entier?

Les médias suppriment les histoires des vies ruinées. Walmart est bondé mais la petite boutique qui fait vivre une famille est obligée de fermer.

J’emmerde les médias, les politiciens, les banquiers, la profession médicale.

Nous ne reviendrons jamais à la normale parce que nous ne ferons plus jamais confiance à ces enculés

Les funérailles de FLOYD démentent la distanciation sociale

 

 

« Tout le monde a vu les funérailles télévisées de George Floyd avec des centaines de spectateurs, après qu’on vous ait dit que vous ne pouvez pas aller aux funérailles de quelqu’un dans votre propre famille , vous ne pouvez pas aller à l’église, vous ne pouvez pas aller à la remise des diplômes de vos enfants, etc. Imaginez le regarder et ne réalisant toujours pas que vous jouez.

« La loi interdisait plus de 10 personnes aux funérailles de mes frères. Les funérailles de George Floyd étaient pour moi une gifle en pleine tronche. Ils ont fait de moi une marionnette. »

par Anon

Source- Reddit Conspiracy 

Il y a quelques semaines, j’ai perdu de façon inattendue mon frère aîné à la suite d’une crise cardiaque brutale non diagnostiquée. C’était un bel homme de 38 ans qui prenait   bien soin de lui. Il avait une femme aimante et deux adorables enfants de moins de six ans. Tant de gens l’aimaient et nous étions tous absolument dévastés par la nouvelle.

Lorsque les médias ont fait comprendre que Covid-19 était dangereux, j’ai pris toutes les précautions. Je suis resté seul dans mon petit appartement pendant des mois sans aucun contact.

Il est vite devenu évident que les chiffres de Covid-19 n’étaient pas aussi mauvais qu’ils le prétendaient. Ce qui était autrefois un acte justifiable d’aplatir la courbe et de maintenir nos hôpitaux gérables, s’est transformé en « vous êtes une personne mauvaise et égoïste si vous ne portez pas de masque et ne vous éloignez pas de la société jusqu’à ce que nous trouvions un remède« . La pression sociétale m’a fait avaler ces conneries.

Même si je ne craignais plus pour ma propre vie, je ne voulais pas tuer par inadvertance une vieille dame quelque part. C’était mon devoir en tant qu’humain de me mettre en quarantaine.

Après la mort de mon frère aîné, ma famille avait plus que jamais besoin les uns des autres. L’éloignement social de chacun n’était plus une option. Ma famille immédiate a pleuré ensemble, mais tous les autres ont dû rendre hommage à distance de façon maladroite. C’était pénible à regarder. Nous étions tous si isolés.

N’importe quelle autre année, j’aurais attendu des centaines d’amis et de familles à ses funérailles. Il était la personne la plus charismatique et véritablement aimante de ma vie. Mais il est décédé en l’an 2020, et la loi interdit à quiconque de dépasser la limite de 10 personnes lors des funérailles en plein air. Sur les 10 personnes autorisées à participer, une était prêtre et deux ont été nommées directeurs de funérailles. Peu importe combien nous avons supplié et plaidé, leur politique était inébranlable. Ils ne voulaient pas laisser tomber un directeur de funérailles pour que la belle-mère de ma belle-sœur soit à ses côtés pendant qu’elle enterrait les cendres de son mari.

Comme nous étions encore en train de pleurer mon frère, un flic a assassiné de manière dégoûtante George Floyd au Minnesota. Et des milliers de personnes ont assisté aux funérailles en salle dirigées par Al Sharpton. Des milliers de personnes qui n’ont jamais rencontré George Floyd se tenant par la main et beaucoup d’entre elles ne portaient même pas de masque. C’était une gifle au visage.

À partir de ce moment, des millions de personnes se sont rassemblées dans les rues pour protester contre des politiciens. Covid-19 était soudainement devenu une réflexion après coup. Les médias de masse avaient un nouvel ordre du jour « les émeutes sont hors de contrôle! Les flics battent la merde de tout le monde!« 

Ils ont trouvé une nouvelle façon de mettre en œuvre des couvre-feux et se sont réveillés avec un nouveau message: « Si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous. »

Un message qui représentait tout le contraire de ce qu’ils avaient condamné il y a à peine une semaine. « 

Source :  https://www.henrymakow.com/


Annexe (N. Bonnal)

Extermination des blancs (on n’oublie pas les dix millions musulmans liquidés et déplacés depuis le 11/9) : on s’en rapproche à grands pas, en Europe et en Amérique, et on commence à en parler en haut lieu. Le Donald en vieux sagouin surendetté et abonné à Epstein Island, aura prodigieusement servi ses maîtres et facilité cette extinction des espèces. Paul Craig roberts cite la vieille démente Hillary Clinton et souligne que les magnats d’entreprise veulent aussi nous liquider. Il y a de l’autre côté une hébétude absolue, une soumission, une collaboration parfois et ce sentiment, que j’ai toujours souligné, et qui me vient de Soljenitsyne (conférence de Harvard), que nous ne savons plus si nous sommes vivants. La race et la culture qui ont produit Shakespeare, Racine ou Mozart ne peuvent pas être les mêmes que celles qui produisent Macron, Castaner ou Merkel. Craig Roberts vous invite à relire le camp des saints de mon ami Raspail, moi à filer dans un pays… musulman.

 

 

 

 

 

 

Courte opinion du jour:Quelques nouvelles passées inaperçues

Les derniers jours auront vu certains thèmes phares faire la Une : tension sino-américaine croissante (sur laquelle nous reviendrons très bientôt), pétroliers iraniens vers le Venezuela bafouant ouvertement Washington, Hong Kong à nouveau en ébullition. D’autres nouvelles sont, par contre, restées dans l’ombre, tant dans les médias officiels qu’alternatifs. Elles ne sont pourtant pas dénuées d’importance, loin de là…

 

Beaucoup a été dit sur la petite friction entre Moscou et Assad ayant vu le jour il y a peu. En cause, un article du prestigieux Conseil russe aux Affaires internationales, affilié au MAE, qui a émis une inhabituelle critique sur la politique de Damas. Il n’en fallait pas plus pour que tout ce que le système impérial compte de petits génies nous resserve l’énième divorce syro-russe, plat indigeste déjà passé par toutes les tables depuis 2015.

Même un observateur respecté comme Bhadrakumar s’est cru obligé d’écrire un papier sur l’affaire, ce qui tend à prouver que, pour une fois, celle-ci n’était effectivement pas inventée de toute pièce. Mais ce que l’on dit moins, et même pas du tout, c’est que quelques jours après ces passagères chicanes, du matériel lourd a débarqué à Tartous à destination d’Assad : hélicoptères Mi-17, blindés etc. A ce prix, on en connaît beaucoup qui aimeraient se chamailler avec Moscou…

Soit dit en passant, l’ambassadeur russe à Damas, en poste depuis 2018, vient d’être nommé représentant spécial du président pour la Syrie, preuve supplémentaire que l’ours n’a aucune intention de lâcher son allié, bien au contraire.

A 12 000 kilomètres de là, il s’est passé des choses bien curieuses en Bolivie. Il y a deux mois, nous écrivions :

La situation était dans la balance jusqu’à ce que les élections prévues pour le 3 mai soient reportées sine die pour cause de coronavirus. En attendant, quel est l’état des forces en présence ? Il y a deux semaines, un sondage établissait la hiérarchie suivante :

  1. MAS : 32,6 %
  2. Carlos Mesa : 19,2 %
  3. Jeanine Áñez (présidente de facto) : 18,2 %
  4. Luis Fernando Camacho et Marco Antonio Pumari : 12,5 %
  5. Chi Hyung Chung évangéliste d’origine sud-coréenne) : 8,6 %

Le parti d’Evo Morales est donc largement en tête mais ne regroupe qu’un tiers de la population (…) La scène politique bolivienne est extrêmement divisée. Si le MAS est en tête, il ne peut prétendre gouverner avec un tiers des votants. Quant à l’autre « camp », si tant est qu’il n’y en ait qu’un seul, il est éclaté et se crêpe régulièrement le chignon.

Evo Morales

Le putschinho de novembre a remplacé la bande à Evo par une coterie de conservateurs, souvent religieux et parfois clairement illuminés, persuadés pour certains d’avoir chassé le diable du pouvoir. Quelle n’a pas dû être leur surprise en entendant les critiques acerbes du président de la Conférence épiscopale de Bolivie, Monseigneur Ricardo Centellas. Une attaque en règle, allant du maïs transgénique au manque de respirateurs pour les malades du Covid, et se terminant par ces mots assassins : « Un gouvernement de transition trop soucieux de placer ses affidés dans les institutions publiques n’est pas un gouvernement de transition« .

Paniqué, ledit gouvernement a tenté de rattraper la chose en tendant, un peu grossièrement, la main à l’Eglise. Si, depuis, la tension a baissé d’un cran, la division de l’autre « camp » est bien réelle, même entre gens censés partager les mêmes valeurs, et pourrait favoriser le MAS.

Terminons par une autre nouvelle passée inaperçue. La crise coronavirienne semblait avoir mis les pharaoniques routes de la Soie chinoises en pause. De fait, un certain nombre de projets ont, logiquement, marqué un temps d’arrêt. Pas tous, cependant. Un accord a été trouvé pour la construction de la ligne TGV entre la Chine et la Thaïlande, qui devrait être formellement signé en octobre. Il s’agit évidemment de bien plus que de simples rails : cette voie ferrée matérialise la poussée du dragon vers l’Asie du Sud-est.

Mike Pompeo

Est-ce tout à fait un hasard si l’inénarrable Pompeo vient de menacer l’Australie à propos de l’imminent accord entre l’Etat de Victoria et Pékin sur les routes soyeuses ? Si sa petite phrase – « Nous allons tout simplement déconnecter » – concernait avant tout les télécommunications et l’alliance Five Eyes, le ton du discours et son ambiguïté ont été très diversement appréciés, provoquant une tempête dont les partisans australiens dont l’Empire se seraient bien passés…

Source : Chroniques du Grand Jeu