Nous avons des nouvelles de la cigale et la fourmi La Cigale, s’étant faite vaccinée , Se trouva fort dépourvue Quand le Variant fut venu. Les vaccins ne protégeaient Point plus qu’un stock de PQ, Point plus qu’un bout de tissu.
Elle va pleurer grise mine Chez la Fourmi sa voisine, l’accusant de l’avoir infectée n’étant, elle, pas vaccinée ! Mais la Fourmi reste digne, face à cette verve assassine.
Elle connait la plandémie honteuse, Et répondit à cette emmerdeuse : – Que faisiez-vous sur les réseaux ? N’étiez-vous pas hier du côté des collabos? Aviez-vous cherché d’autres pistes ? Non bien sûr ! vous n’êtes pas complotiste !
– Nuit et jour à tout venant, J’ai écouté le gouvernement, Suivi la bien-pensance sans faille, Les vaccinés n’sont pas cobayes ! BigPharma le jure, foi d’animal, Nos vies sont leur intérêt principal !
– J’en suis fort aise… Eh bien, toussez maintenant et PASSez votre chemin !
*On a récemment découvert ce poème du Führer Adolph Hitler dans une pile de dossiers dissimulés.Ce poème change notre vision du Fühere ,pour ceux qui le honnissent!
Photo d’Adolph Hitler datant de la même année que le poème.Vous le reconnaissez ici,à droite.
Dans le fourré de la forêt en Artois (Traduction directe de l’allemand au français)
C’était dans le bosquet du bois d’Artois. Profondément dans les arbres, sur un sol imbibé de sang, Lay étira un guerrier allemand blessé, et ses cris résonnèrent dans la nuit. En vain … aucun écho n’a répondu à son appel … Sera-t-il saigner à mort comme une bête, Ce coup dans l’intestin meurt seul?
Puis tout à coup … Des pas lourds s’approchent de la droite. Il entend comment ils frappent le sol de la forêt … Et un nouvel espoir jaillit de son âme. Et maintenant de la gauche … Et maintenant des deux côtés …
Deux hommes s’approchent de son lit misérable. Un Allemand et un Français. Et chacun regarde l’autre d’un regard méfiant, Et menaçant ils dirigent leurs armes. Le guerrier allemand demande: « Que faites-vous ici? » « J’ai été touché par l’appel à l’aide du pauvre. »
« C’est ton ennemi! » « C’est un homme qui souffre. » Et tous les deux, sans paroles, baissèrent leurs armes. Alors entrelacé leurs mains Et, avec des muscles tendus, soigneusement soulevé Le guerrier blessé, comme si sur une civière, Et l’a porté à travers les bois.
Ils sont venus aux avant-postes allemands. « Maintenant c’est fini, il aura de bons soins. » Et le Français se retourne vers les bois. Mais l’Allemand saisit sa main, Looks, ému, dans des yeux affligés de tristesse Et lui dit avec un pressentiment sérieux:
« Je ne sais pas ce que le destin nous réserve , Qui régit d’une manière impénétrable dans les étoiles, peut-être tomberai-je, victime de ta balle, peut-être que la mienne te tombera sur le sable, indifférente aux batailles.
Quoi qu’il en soit, quoi qu’il advienne: nous avons vécu ces heures sacrées, Où l’homme s’est trouvé dans l’homme … Et maintenant, adieu! Et que Dieu soit avec vous!
Originally posted on Moonath – l’Univers des mots: ? au bout de la nuit l’écho du ciel dans les feuilles habille la terre au coeur des jardins le reflet du jour prend feu pur et silencieux voilé de rêves le matin s’éveille au vent gorgé de rosée conquérant du temps un coq déchire les…
« Il me paraît donc vraisemblable que la conscience, originellement immanente à tout ce qui vit, s’endort là où il n’y a plus de mouvement spontané, et s’exalte quand la vie appuie vers l’activité libre. Chacun de nous a d’ailleurs pu vérifier cette loi sur lui-même. Qu’arrive-t-il quand une de nos actions cesse d’être spontanée pour […]
C’est inexplicable cette vie humaine. Personne n’a de vie en soi ; on vit toujours pour quelqu’un d’autre. Regarde cette fleur sauvage qui ne porte même pas de nom. Comme elle est pleinement elle-même, sous prétexte de l’aimer, je la cueille, et je mets fin à son destin. Ainsi sur cette terre, sous ce ciel, quelqu’un vit innocemment sa vie ; d’autres, s’accordant des droits sur lui, font négligemment un geste pour l’interrompre, avant de disparaître un jour eux-mêmes, sans que personne ait jamais su pourquoi. Oui, pourquoi ? François Cheng
*Nous ouvrons aujourd’hui,une nouvelle perspective historique de notre site web:nous publierons dorénavant ,occasionellement,des bandes dessinées.
Les bandes dessinées sont un art remarquable qui associe le dessin et le texte.Elles sont les témoins de nos états d’âme et un reflet de notre personnalité et de notre époque.
Les dessins graphiques ont toujours existé dans la culture innée des Humains de la Terre.Dans cent ans,dans mille ans,nos descendants,si Dieu le veut,redécouvrieront cet héritage que nous leur lèguerons.Aussi allons-nous diversifier les parutions de bandes dessinées sur ce site;un jour nous publierons un album,un autre un « comic book » à l’américaine,un autre jour ce sera au tour d’un petit format des années ’70 et en d’autres occasions,nous aurons de grands formats des années ’50.
Notre première bande dessinée s’intitule « Le crépuscule des Dieux,épisode 5 ».C’est un album tout en couleur avec une histoire de style gothique.
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Page 46 Fin
*J’ai pensé à vous pour le temps des Fêtes…il y en aura d’autres mes ami(e)s!Faites moi vos suggestions!
Je suis un peuple qui historiquement est lié au mot bravoure. Je suis un peuple qui ouvre grand son coeur et qui t’acceuille avec amour. Je suis un peuple divisé entre cette bravoure et la couardise.…
Je suis un peuple qui n’en finit plus de se relever face a tant d’année de traitrises
Je suis un peuple que l’on veut éteindre.
Je suis un peuple mené par des ministres prenant serment en anglais pour mieux me faire mal et m’atteindre.
Je suis un peuple qui de génération en génération voit des rêves s’évanouir dans des regards tristes de nos ainé(e)s.
Je suis un peuple bafoué , volé, violé.
Je suis un peuple d’octobre, criant haut et fort le poing levé sa quête de liberté.
Je suis un peuple aimant qui ne demande que le respect et la reconnaissance des ses droits francophones.
Je suis un peuple qui en parti rêve de hisser, un jour, une grande voile sur un vaisseau dormant depuis trop longtemps, comme un cri d’automne.
Je suis un peuple qui croit en lui et qui espère.
Je suis ce peuple rassemblé patriotiquement, en attente de ce moment, avec mes soeurs et frères.
Je suis ce peuple et il s’appelle Québec
Je suis ce peuple qui veut juste qu’on le respecte.
Je suis ce peuple qui ne veut pas mourir ensevelit dans une terre en glaise.
Je suis ce peuple embourbé dans de$ marai$ fédéraliste$.
Je suis ce peuple gentil et ouvert que l,on traite de raciste.
Je suis ce peuple qui n,arrête pas de payer et de se faire taxer.
Je suis ce peuple qui un jour ira s’affirmer.
Je suis ce peuple qui a si bel héritage à protéger.
(René Déry)