Les services de renseignement israéliens utilisent une application téléphonique pour espionner et signaler les gens sur d’Internet

On a beaucoup parlé dans les médias juifs de mystérieux trolls russes influençant les élections, mais de véritables campagnes de cyber-désinformation sont organisées en public par le gouvernement israélien .

 

Une application pour téléphone portable appelée Act.IL disponible en téléchargement dans l’Apple Store recrute chaque jour des Juifs américains et les organise dans des opérations de trolls sur les réseaux sociaux dans le but de contrôler, diriger et supprimer les conversations publiques qui leur déplaisent sur le sionisme, le BDS et le pouvoir juif.

 

 

Le fondateur et PDG d’Act.IL, Yarden Ben Yosef , a servi dans une unité de renseignement de «combat spécial» dans l’armée israélienne. La plupart du personnel de l’entreprise est composé d’espions. Le programme reçoit un financement conjoint du donateur milliardaire du GOP (le magnat mafioso des jeux à Las Vegas, et financier de l’élection de Trump) Sheldon Adelson et de l’État israélien .

L’application fournit aux utilisateurs des fenêtres contextuelles de style Amber Alert contenant des liens vers Facebook, Twitter, Youtube, etc., des messages critiques à l’égard des Juifs, d’Israël ou du soutien aux Palestiniens et au BDS, ainsi que des instructions aux utilisateurs pour harceler, briguer et signaler en masse les cibles désignées afin de les bouter hors d’Internet. .

Après chaque «mission», les trolls reçoivent des points. Les harceleurs et stalkers les plus prolifiques sont célébrés sur un tableau de bord public.

 

 

Les médias britanniques affirment à plusieurs reprises que les trolls russes sont responsables du Brexit et ont tenté d’intervenir lors des dernières élections, mais aucune preuve n’a jamais été apportée. 

Pendant ce temps, les utilisateurs d’Act.IL ont été très actifs dans les cyberattaques visant Jeremy Corbyn et ses partisans dans le but de saper les perspectives électorales du Parti travailliste britannique.

Comme de bien entendu, ni les services de renseignement ni les médias britanniques (contrôlés par qui-vous-savez) ne semblent intéressés par cette ingérence étrangère dans leur processus électoral.

 

 

Les politiciens et les célébrités ne sont pas les seuls visés par cette opération de cyberguerre. D’innombrables étudiants américains, des militants de base   et des affiches sur Internet qui osent remettre en question Israël ou le pouvoir juif sont également inondés du harcèlement organisé par l’État israélien. Les trolls d’Act.IL ont même manipulé un sondage du concours Eurovision.

Les utilisateurs sont régulièrement invités à noyer les personnes et sites ciblés avec des plaintes astroturfées pour les faire virer aux États-Unis et dans d’autres pays sous contrôle juif, tels que la G.B. ou la France.

Selon @AntiBDSApp , qui rend compte des singeries du réseau, ces derniers temps, ils ont bombardé des articles de gauche dans le but de différencier Black Lives Matter, que les Juifs soutiennent largement et considèrent comme utiles, de la cause palestinienne, qu’ils considèrent comme dangereuse.

Un acteur étatique étranger joue en effet un rôle important en essayant de contrôler et d’influencer le discours en Amérique. Le Lobby, USA, un documentaire fortement censuré d’Al Jazeera détaille ce réseau d’espionnage juif. Divers autres programmes destinés à harceler et à terroriser les citoyens américains, comme la plate-forme doxing Canary Mission (qui place les nationalistes blancs et les militants palestiniens sur des listes des gens à abattre) fonctionnent en tandem avec des programmes comme Act.IL.

Parce que c’est le soutien astronomique d’Israël pour le pouvoir juif, ne vous attendez pas à entendre beaucoup parler des chasseurs de «trolls étrangers» à BellingCat ou au New York Times .

Source : Israeli Intelligence Uses Phone App To Troll and Mass Report People Off The Internet

Eric Striker Jul 25, 2020


EN COMPLÉMENTAIRE

Miriam Adelson souhaite intégrer un « Livre de Trump » dans la Bible

 

Miriam Adelson, l’Israélienne la plus riche du monde, chante les louanges de Donald Trump, suggérant même que Trump entre dans la Bible. Pourquoi donc?

 

Le 27 juin, Miriam Adelson, épouse du milliardaire (et capo di capi des casinos) Sheldon Adelson, a proposé que l’histoire de Donald Trump, héros et patriote, soit ajoutée à la Bible.

Son opinion, intitulée «Un temps de miracles», a été publié dans le quotidien israélien Israel Hayom – un journal qui, pure coïncidence, appartient à son mari, et dans lequel elle publie.

Dans son article, Mme Adelson a comparé les relations américano-israéliennes à un mariage qui « a subi des moments difficiles » mais qui s’est finalement « approfondi et épanoui grâce à des valeurs et à un destin partagés » (En effet, 134 milliards de dollars sur 70 ans de racket au détriment du peuple américain et au profit des juifs israéliens ont un effet d’approfondissement certain entre les dirigeants américains et Israël).

« Le livre de Trump« ? Une proposition étonnante en effet. On ne peut s’empêcher de se demander d’où cela vient.

Plusieurs réponses possibles me viennent à l’esprit:

  1. Les Adersons essaient d’acheter une faveur de Trump

 

  1. Trump a demandé une faveur aux Adelsons

 

  1. Les Adelsons fournissent à Trump la politique dont il pourrait avoir besoin pour aller de l’avant

Une autre grande faveur?

Dans le contexte d’une présidence Trump, tout est à vendre. Les Adelsons ont déjà acheté des articles coûteux à la Maison Blanche.

Selon OpenSecrets, le couple aurait versé des centaines de millions de dollars au parti républicain, dont des dizaines de millions pour Trump en personne.

Donald Trump remet
la Médaille présidentielle
de la liberté à
Miriam Adelson

 

Et puis voilà, en novembre 2018, Miriam Adelson a reçu la Médaille présidentielle de la liberté, geste que Robert Schlesinger de la chaîne NBC a commenté: «Il s’agit parfaitement de la nature crasseuse,  brutale et transactionnelle de Donald Trump et de sa présidence. » (Pour être honnête, de telles actions sont courantes au sein des deux partis. Aux dernières heures de sa présidence, le démocrate Bill Clinton, par exemple, a gracié un partisan israélien et a inculpé le fugitif Marc Rich.)

Quelques semaines plus tard (juste à temps pour Hanoukka), Trump a annoncé le transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, un geste que la plupart des pays du monde ont mal vu. De plus, Trump s’est récemment vanté auprès de la Coalition Juive Républicaine d’avoir ignoré les appels des dirigeants mondiaux qui auraient pu le forcer à se soustraire à cette néfaste et illégale décision. En refusant de consulter les dirigeants mondiaux, Trump interprète cela comme une démonstration de sa force de caractère: «contrairement à d’autres présidents, je tiens mes promesses». Il a ajouté: «Je peux vous dire qu’à mon avis, c’est la chose la plus importante qui est arrivée dans la vie de Sheldon et Miriam. »

Donc, il se peut que la tribune de Mme Adelson dans Israel Hayom soit le prix d’achat d’une breloque quelconque auprès  du président brocanteur. Peut-être exprime-t-elle un œil favorable sur l’annexion des colonies en Cisjordanie? Ou est-ca la tronche de son mari sur le mont Rushmore? (De manière plus appropriée, puisque Sheldon Adelson a exprimé ses regrets d’avoir servi dans l’armée américaine au lieu de l’armée israélienne, il devrait avoir un quartier à son nom au Golan, juste à côté de Trump Heights.)

Il est également possible que, plutôt que d’initier une nouvelle transaction, ses paroles flatteuses soient en réalité la conclusion d’une quelconque transaction.

Dernier versement?

Peut-être que le prix indiqué sur le déménagement de l’ambassade et le Bling Présidentiel de la Liberté a-t-il totalisé plus de 300 millions de dollars. Peut-être que les Adelsons devaient encore quelque chose à Trump – la communauté juive américaine, par exemple. Cela expliquerait ses mots:

    En toute justice, Trump devrait bénéficier d’un soutien sans faille parmi les Juifs américains, tout comme celui qu’il a  parmi les Israéliens. Le fait que cela n’ait pas été le cas (jusqu’à présent; les élections de 2020 étant toujours d’actualité) est une bizarrerie à laquelle les historiens réfléchiront longtemps.

Mme Adelson semble véritablement déconcertée par le fait que les Juifs de sa seconde patrie (elle a la double nationalité) ne sont pas aussi amoureux de Trump qu’elle-même – et elle croit apparemment que les historiens ne seront pas en mesure de résoudre ce mystère profond. Mais les théologiens pourraient le faire.

Dans son image de Trump en tant que prophète des temps modernes, elle a formulé son impopularité parmi les Juifs américains en termes bibliques: «Les érudits de la Bible noteront sans aucun doute les héros, les sages et les prophètes de l’Antiquité qui ont également été rejetés alors qu’ils sont venus pour nous guider.« 

 

En d’autres termes, “apprenez votre leçon, bonnes gens. Ne boudez pas ce prophète comme vous l’avez fait avec les autres. Embrassez-le. Votez pour lui en 2020. ”

(Tandis qu’Adelson fait cadrer les commentaires de sa femme dans le judaïsme, il convient de noter que ni les livres saints juifs ni les livres saints chrétiens ne soutiennent réellement le sionisme.)

Politique étrangère?

Ou peut-être, les Adelsons pensent-ils à une échelle encore plus grande. Peut-être qu’ils sont sur le marché de la politique étrangère de Trump et son compte Twitter.

D’abord la flatterie: « Trump est un homme d’affaires et un homme d’État ayant un instinct de justice. »

Puis un appel soigneusement conçu pour être sans restriction dans son allégeance: « Il voit un Israël qui fait tout ce qui est nécessaire pour sa sécurité et sa défense, contre vents et marées et contre le consensus international. »

En intégrant cette caractérisation, Trump pourrait facilement résister à la pression et maintenir le cap dans le cas d’une autre «guerre» avec Gaza. Son premier tweet a déjà été écrit pour lui: «Israël fait tout ce qui est nécessaire pour sa sécurité et sa défense». Et alors que les États membres de l’ONU se prépareraient à condamner une telle invasion, Trump resterait fermement et confortablement assis aux côtés d’Israël, en dépit du consensus international (“antisémite « ), convaincu qu’il possède un « instinct de justice » spécial que le reste du monde ne peut même envisager de comprendre.

De même, si on lui demandait d’approuver l’annexion de certaines parties occupées de la Cisjordanie ou de renégocier l’accord avec l’Iran, Trump pourrait créer un tweet basé sur l’hommage de Mme Adelson:

    Dans un autre service rendu à la justice historique, Trump a déclaré que les hauteurs du Golan étaient un territoire israélien et, pour les besoins de la sécurité d’Israël et du monde entier, il a retiré les États-Unis de l’accord nucléaire avec l’Iran.

 

Il n’est pas difficile d’imaginer ce qu’il pourrait tweeter: “La justice historique est une très bonne chose et l’annexion de la Cisjordanie par Israël en est un exemple remarquable. Israël peut compter sur les États-Unis pour soutenir la justice historique à chaque fois. « 

Miriam Adelson a donné à son président une autre déclaration détaillée de politique étrangère:

    [L’administration Trump] a clairement fait savoir que le Moyen-Orient devait faire face à un Israël fier et permanent sur la terre de Sion – un Israël dont les racines juives sont profondes et dont les revendications souveraines ancestrales sont sans égal.

La revendication des Juifs sur la terre (quels que soient les biens fonciers compris dans la «terre de Sion») est plus profonde et plus forte – tout simplement meilleure – que celle des Palestiniens, et il en sera ainsi, jusqu’à la fin des temps. (Sinon, les Adelsons pourraient ajouter quelques coupures de banque supplémentaires aux 300 millions de dollars qu’ils ont déjà dépensés pour créer un soutien bipartisan à Israël à Washington.)

Que faut-il rajouter de plus?

Seulement cela :

    Serait-ce trop de prier pour un jour où la Bible inclue un ‘Livre de Trump’, tout comme elle contient un ‘Livre d’Esther’ [1] célébrant la délivrance des Juifs de la Perse antique? En attendant que cela soit décidé, au moins, restons émerveillés devant cette période de miracles pour Israël, pour les États-Unis et pour le monde entier.



En effet, Israël a été le destinataire des meilleurs miracles que l’argent peut acheter.

Source Miriam Adelson wishes for the Book of Trump in the Bible

Par Kathryn Shihadah, dans Palestine Home

 

 

 

 

 

 

Facebook refuse de supprimer une fausse vidéo où la chef démocrate a l’air saoule

 

Facebook refuse de supprimer une vidéo altérée pour faire laisser croire que la chef des démocrates à la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a livré un discours alors qu’elle était saoule, ce qui met en lumière un problème majeur dans le plan du géant techno pour combattre les fausses nouvelles.

Le clip, d’abord rapporté par The Washington Post, montre la démocrate californienne discutant du président Donald Trump à un événement organisé par le Center for American Progress mercredi. Un troll non identifié a réduit la vitesse de la vidéo et monté le ton pour que son discours ait l’air confus, mais normal – créant alors la fausse apparence qu’elle avait les capacités affaiblies.

La fausse vidéo s’est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. L’avocat privé de Trump, Rudy Giuliani, a tweeté un lien vers la vidéo sur Facebook, où le clip avait alors pas loin d’un million de visionnements. (Giuliani a plus tard supprimé le tweet et a livré des excuses qui avaient l’air confuses.)

Facebook a depuis longtemps admis ses échecs dans la lutte aux fausses nouvelles dans la course à la présidentielle de 2016, et a dévoilé l’année suivant un système supposé arrêter le courant de matériel faux ou trompeur.

«Les fausses nouvelles sont nocives pour notre communauté, elles rendent le monde moins informé, et elles érodent la confiance», écrivait Facebook en avril 2017. «Ce n’est pas un nouveau phénomène, et nous tous – entreprises techno, entreprises médiatiques, salles de nouvelles, enseignants – nous avons la responsabilité de faire notre part pour y faire face.»

Mais un porte-parole de Facebook a déclaré vendredi que des «fakes news» évidentes, comme cette vidéo de Pelosi, techniquement ne brisaient pas les règles puisqu’il n’y a pas de politique contre la publication de faux contenu sur la plateforme. Facebook laissera donc la vidéo circuler.

Cela dit, Facebook a toutefois «mis en file d’attente» la vidéo pour une revue par une compagnie tierce de vérification des faits, ce qui voudrait dire qu’il juge la vidéo trompeuse. Alors maintenant, au lieu d’être supprimée complètement, la fausse vidéo du discours de Pelosi sera plus difficile à trouver sur la plateforme, selon le porte-parole.

L’annonce de Facebook a relancé les discussions sur les campagnes de salissage et les fausses nouvelles qui ont terni la dernière présidentielle. La vidéo de Pelosi rappelle celle d’Hillary Clinton devenue virale lors de sa campagne, qui la montrait physiquement ou mentalement indisposée.

«La vidéo modifiée/falsifiée de Nancy Pelosi n’est pas exactement une nouvelle affaire», a tweeté la journaliste de Wired Issie Lapowsky. «C’est copié du manuel “Hillary Clinton est malade” de 2016.»

Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:

Le clip de Pelosi continue à se propager sur Facebook. Un porte-parole a indiqué au Guardian que la compagnie est en constante réflexion sur la ligne entre la liberté d’expression et le contenu nocif:

«Il y a une tension ici: nous travaillons fort pour trouver le bon équilibre entre l’encouragement de la liberté d’expression et la promotion d’une communauté sécuritaire et authentique, et nous croyons que de réduire la distribution de contenu inauthentique atteint cet équilibre. Mais ce n’est pas parce que quelque chose est permis sur Facebook qu’elle devrait obtenir de la distribution. En d’autres mots, nous permettons aux gens de la publier en tant que forme d’expression, mais nous ne la montrerons pas à la une du fil d’actualité.»

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Le manuel de censure secret de Facebook révélé après que la plate-forme ait retiré une vidéo sur la terreur israélienne à l’encontre des Palestiniens (Common Dreams)

Après la publication jeudi par le New York Times d’un article sur les règles de censure mondiale de Facebook, la journaliste Rania Khalek a appelé le géant des médias sociaux à supprimer une vidéo dans laquelle elle explique comment, « en plus d’être un territoire occupé et colonisé, la Palestine est le laboratoire personnel d’Israël pour tester, affiner et présenter ses méthodes et ses armes de domination et de contrôle « .

Tweetant l’article du Times – et notant que, même si, selon le journal, « les modérateurs se sont fait dire de traquer et d’éliminer les rumeurs accusant à tort un soldat israélien d’avoir tué un infirmier palestinien », les soldats israéliens ont tué une auxiliaire médicale de 21 ans non armée plus tôt cette année, elle a annoncé vendredi matin que Facebook avait « juste enlevé » sa vidéo.


Voici l’article et la vidéo de Rania Khalek:

Rania Khalek,journaliste.

 

 

    En parlant de Facebook censurant le contenu au nom d’Israël, ils viennent de supprimer une vidéo que j’ai faite sur la façon dont Israël utilise la Palestine comme laboratoire d’armement.

    – Rania Khalek (@RaniaKhalek) 28 décembre 2018

    Voici ma vidéo sur la façon dont Israël utilise la Palestine comme laboratoire d’essais d’armes, que Facebook a effacé sans explication.

https://t.co/kT6YvZpVPj

    – Rania Khalek (@RaniaKhalek) 28 décembre 2018

Après qu’elle et d’autres journalistes éminents eurent porté plainte, Khalek annonça quelques heures plus tard que Facebook avait restauré la vidéo. « Il faudra se souvenir qu’à l’heure actuelle, ces géants des médias sociaux ont la capacité de faire disparaître du contenu comme bon leur semble », a-t-elle déclaré dans un tweet. « C’est effrayant et alarmant et on devrait s’y opposer haut et fort. »

Après quelques plaintes, la vidéo est de retour sur Facebook.


Voici donc la copie  du fameux vidéo avant que tout soit à nouveau censuré.Avec ce que  j’ai investi dans mon site web depuis quelque temps,je peux sauvegarder toutes les vidéos importantes menacées de censure par  Facebook et autres  merdias:

 

 


Il est bon de ce souvenir qu’en ce moment, ces géants des médias sociaux ont la possibilité de faire disparaître du contenu comme bon leur semble. C’est effrayant et alarmant et il faut s’y opposer haut et fort.

– Rania Khalek (@RaniaKhalek) 28 décembre 2018

Parmi ceux qui ont souligné la censure de la vidéo de Khalek par Facebook

 

 

vendredi, Ben Norton du Real News Network – qui l’a qualifiée d' »excellent reportage vidéo informatif » – et Glenn Greenwald de The Intercept, qui a souligné que la plateforme a fait taire les voix palestiniennes et pro-palestiniennes depuis plus d’un an. Les utilisateurs qui en parlent ou qui y font référence sont menacé d’exclusion par Facebook…!

    Facebook vient de supprimer ce reportage vidéo excellent et informatif de @RaniaKhalek, dans lequel elle explique comment Israël utilise la Palestine comme un laboratoire pour les armes et la technologie militaire.

Il n’explique pas pourquoi la vidéo a été retirée.

https://t.co/GN234qFy4K

– Ben Norton (@BenjaminNorton) 28 décembre 2018

    Depuis au moins 18 mois, Facebook efface agressivement les pages des Palestiniens et des voix pro-palestiniennes, obéissant aux exigences du gouvernement israélien. Félicitations à ceux qui ont pensé que c’était une bonne idée pour la Silicon Valley d’agir comme censeur paternel et gardien de l’internet : https://t.co/BTs9JBvfwT

    – Glenn Greenwald (@ggreenwald) 28 décembre 2018

 

Glenn Greenwald

« Avec Mark Zuckerberg, Sundar Pichai, Sheryl Sandberg et Eric Schmidt, nous faisons confiance à la censure et à la réglementation de l’Internet avec les motifs les plus bienveillants, dévoués comme ils l’ont été toute leur vie à protéger les sans-voix et les marginalisés « , ajoute Greenwald, faisant allusion au PDG de Facebook, le PDG de Google, le directeur de Facebook et le directeur général de Alphabet, la société mère de Google.

Max Fisher

Le combat court et réussi pour restaurer la vidéo de Khalek, cependant, n’est qu’un des innombrables cas où Facebook a retiré du contenu sans fournir d’explication à l’utilisateur ou au public. Le rapport de Max Fisher pour le Times offre un aperçu de ses pratiques de censure secrètes mais largement critiquées.

Un examen de 1.400 pages fournies au journal par un employé inquiet – et vérifiées comme authentiques par Facebook, qui aurait fait des mises à jour – « a révélé de nombreuses lacunes, des préjugés et des erreurs flagrantes« , a écrit Fisher. « Les règles de proximité sont nombreuses et font de l’entreprise un arbitre beaucoup plus puissant que ce qui a été publiquement reconnu ou reconnu par l’entreprise elle-même.

Bien que Facebook prétende que le livre des règles est destiné à la formation, les modérateurs – qui « déclarent se sentir dépassés » lorsqu’ils essaient de prendre des décisions en aussi peu que huit à dix secondes – disent à Fisher qu’ils le consultent régulièrement. Et bien que le personnel de Facebook aurait élaboré des règles de modération lors de réunions toutes les deux semaines, « l’entreprise sous-traite une grande partie de la modération post-par-post à des entreprises qui recrutent des travailleurs en grande partie non qualifiés, dont beaucoup sont recrutés hors des centres d’appels« .

Les directives longues et déroutantes que Facebook donne aux modérateurs ont donné des résultats mitigés et, parfois, alarmants. Comme l’a fait remarquer Fisher, « ils ont permis à un langage extrémiste de s’épanouir dans certains pays tout en censurant le discours dominant dans d’autres« .

Mark Zuckerberg,patron de Facebook

Il a expliqué :

Par exemple, on a déjà dit aux modérateurs de supprimer les appels à la collecte de fonds pour les victimes des volcans en Indonésie parce qu’un co-parrain de la campagne figurait sur la liste interne des groupes interdits sur Facebook. Au Myanmar, une erreur administrative a permis à un groupe extrémiste de premier plan, accusé d’avoir fomenté un génocide, de rester sur la plate-forme pendant des mois. En Inde, les modérateurs se sont fait dire à tort de noter les commentaires critiques à l’égard de la religion.

La principale conclusion de son article, a déclaré Fisher sur Twitter, est double : Facebook « intervient dans les affaires politiques et sociales du monde entier », agissant « comme une branche invisible du gouvernement« , et « fait tout cela au rabais, envoyant des diapositives PowerPoint désorganisées à des entreprises de sous-traitance qu’il peut à peine contrôler ». Et il fait beaucoup, beaucoup d’erreurs en cours de route. »

    (2) Facebook fait tout cela au rabais, en envoyant des diapositives PowerPoint désorganisées à des entreprises de sous-traitance qu’il peut à peine contrôler. Et il fait beaucoup, beaucoup d’erreurs en cours de route.

    – Max Fisher (@Max_Fisher) 27 décembre 2018

 

Article originel : Facebook’s Secret Censorship Manual Exposed as Platform Takes Down Video About Israel Terrorizing Palestinians

Par Jessica Corbett

Nouvel Ordre Mondial:LA FEUILLE DE ROUTE DE SANTE SEXUELLE, UN TRANQUILLISANT SOCIAL…?

LA FEUILLE DE ROUTE DE SANTE SEXUELLE, UN TRANQUILLISANT SOCIAL…?

 La feuille de route 2018-2020 sur la stratégie nationale de santé sexuelle en France montre que l’accent est mis sur l’éducation sexuelle et le « santé reproductive » (contraception, avortement, insémination artificielle)

En particulier, l’accès aux méthodes d’avortement d’avortement devrait être garanti aux jeunes. Une consultation globale « santé sexuelle » sera mise en place pour tous les jeunes âgés de 15 à 18 ans afin de les informer sur la contraception et l’avortement. 
En outre, des projets innovants donneront un accès gratuit à une offre de préservatifs. Cette stratégie éducative favorise la sexualisation (sur-accentuation abusive et focalisation sur la disposition sexuelle dans le but de distraire) des jeunes, mais ignore des questions importantes sur la relation, telles que la « prise de responsabilités » ou la « fidélité ».

Ainsi, le philosophe Serge Canfrantan écrivait dans son livre « Leçon 163 : Sagesse et révolte  » :
 » Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […] On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. « 
Cette stratégie semble maintenant s’appliquer à la jeunesse française.

(Source : V&VC 20/2018)
(en photo : Ariane Bilheran)

Nouvel Ordre Mondial:D’étranges TOURS s’érigent à New York, dans les tunnels et sur les ponts.

D’étranges tours se hissent à New York, sur les tunnels et ponts, au coût de 100 millions de dollars, et elles sont, dit le président de la division des ponts et des tunnels de la MTA , de l’art déco. Mais une enquête de Politico nous démontre que c’est de l’art déco signé « Big Brother »!

La ville de San Jose (côte ouest américaine) commencera des pourparlers avec une société de technologie pour installer des appareils qui pourraient inclure des caméras de surveillance sur certains lampadaires de la ville et ce, malgré les préoccupations de certains fonctionnaires et groupes de protection de la vie privée

 

 

Des lumières de rue utilisées pour faire de la surveillance civile: George Orwell n’y avait même pas pensé!
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2012/01/des-lumieres-de-rue-utilisees-pour.html

 

 

 

 

L’American Civil Liberties du Michigan expose l’utilisation de caméras de surveillance de la police dans les quartiers résidentiels

 

http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2012/10/lamerican-civil-liberties-du-michigan.html

Le Département de Police de New York (NYPD) annonce son système « qui voit tout »
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2012/07/le-departement-de-police-de-new-york.html

Même les membres du conseil d’administration du MTA (Metropolitan Transportation Authority) en charge des tours ne peuvent pas dire pour quelles raisons elles sont utilisées ou ce qu’elles contiennent, a rapporté Dave Carlin de CBS2.

« Nous ne savons pas vraiment quel est le but de tout cela », a présicé Carlin.

C’est un projet de 100 millions de dollars, de la MTA, qui est entouré de secret.

L’homme de la MTA chargé des ponts et des tunnels, Cedrick Fulton, a esquivé les questions de Carlin mercredi.

« J’ai dit aucun commentaire », a-t-il dit.

Quelques membres du conseil d’administration de la MTA, y compris le commissaire Polly Trottenberg de la New York City Transportation, disent qu’ils connaissent trop peu l’objectif de ces tours et ce, même si la moitié de l’argent est déjà dépensé et les tours déjà en place.

Les résidents soupçonnent qu’il y a beaucoup plus dans les tours et se demandent ce qui s’y passe vraiment de l’intérieur.

« Je devine que ce n’est pas seulement une décoration », a dit Alyssa Renkas, du Upper West Side.

« C’est un peu étonnant que la MTA approuve 100 millions de dollars pour ce qui nous semble être de grands pylônes décoratifs », a déclaré John Kaehny, le chef du groupe de surveillance Reinvent Albany. « Ce que nous demandons, c’est la transparence du MTA ».

CBS2 a demandé des réponses du président de la MTA, Joe Lhota.

Carlin: « Certains membres de votre conseil d’administration disent qu’ils ne connaissent pas les détails. »

Lhota: « La base de ces nouvelles pièces qui sont érigées inclut toutes les fibres optiques nécessaires à des articles de sécurité intérieure ».

En d’autres termes, la technologie antiterroriste. Cela pourrait-il inclure la reconnaissance faciale? Nous ne le savons pas et Lhota ne nous le dira pas.

« Je ne suis pas libre de discuter de ça », a-t-il déclaré à Carlin.

Lhota a déclaré que toute la technologie nécessaire à la sécurité intérieure demeure en place à tous les points de passage, même pour ceux qui n’ont pas encore les nouvelles tours.

L’enquête de Politico

À l’origine, la MTA a déclaré aux membres du conseil d’administration que les tours étaient de nature «architecturale» et que leur but était de «créer un thème unifiant pour les différents ponts et tunnels».

Le groupe Reinvent Albany, dont la mission est d’assurer la transparence du gouvernement de New York, a envoyé une lettre au Bureau du budget du Congrès américain pour demander une enquête sur le programme d’installation des tours.

Politico, un média politique basé à Washington, a commencé à poser des questions à la MTA pour obtenir des réponses plus précises.

« Elles [les tours] hébergent des caméras, des dispositifs de surveillance de la circulation et d’autres équipements liés à la sécurité intérieure qui étaient autrefois hébergés par les anciennes structures de péage, a déclaré le porte-parole de la MTA, Shams Tarek.

Interrogé sur le fait que les membres du conseil d’administration n’avaient pas été mis au courant de la réelle utilité de ces tours, il a répondu que les membres n’avaient pas reçu tous les éléments du projet parce que la sécurité n’est pas discutée en détail ».

Le coût de l’ensemble du programme était un mystère jusqu’à  tout récemment, alors qu’un commissaire de la ville de New York et un membre du conseil d’administration de la MTA ont pressé Fulton, président de la division des ponts et des tunnels de la MTA, sur la question.

Nous sommes dans le monde .réel. de Big Brother!

 

Sources: CBS Local / Politico