Le manifeste de la plus haute trahison,celui du pétrole de Bernard Landry

 

« Si on veut maintenir notre filet de sécurité sociale, il nous faut des revenus. »— Bernard Landry

 

Nous voyons ici tomber les masques:il s’agit non pas du Manifeste pour le Pétrole,mais du manifeste de la plus haute trahison imaginée contre le peuple québécois.Cette coalition caquiste ,péquiste et libérale qui prêche en faveur de maintenir le poumon artificiel branché sur l’état-providence pour ne pas qu’il tombe trop vite ,est de la pure démence.Bernard Landry suit le même chemin que Lucien Bouchard :il a du voir la Lumière de la Lucidité.Voir un ancien premier-ministre péquiste s’associé à des libéraux corrompus ,qui nous parle de l’avenir du Québec,c’est quelque part nous prendre pour des imbéciles heureux.Oser dire que c’est pour maintenir notre filet de sécurité sociale,c’est provoquer la division sociale du Québec,car tout le monde connait l’aventure passé du PQ avec Hyndai qui nous a voler des millions sans produire une seule voiture.Tout le monde comprend que cette Assemblée Nationale ne représente plus les intérêts du Québec,mais des intérêts associés au crime organisé,à l’industrie pétrolière,aux communistes capitalistes de la Chine et aux multinationales associées au Plan Nord de Jean Charest.
Le gouvernement du Québec,en continuant de la sorte ,à vouloir perpétuer le mythe de la croissance économique et du tout va dans l’industrie pétrolière ,va s’asseoir sur un baril de poudre ,face aux générations à venir.
En tant que citoyen ,j’ose crier que: « Assez,c’est assez…et je suis écoeuré de mourrir au milieu de tous ces caves. »

REGARDONS LES ÉLÉMENTS DE CE TORCHON CAPITALISTE GROSSIER

Tout dabord,prenons le temps de regarder tout de suite les signataires du pseudo-manifeste:

  • André Brisson, administrateur
  • Bernard Landry, ancien premier ministre du Québec et professeur à l’UQAM
  • Éric Forest, maire de Rimouski
  • Françoise Bertrand, présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)
  • Johanne Desrochers, présidente-directrice générale de l’Association des ingénieurs-conseils du Québec
  • Joseph Facal, professeur agrégé à HEC Montréal et ancien président du Conseil du Trésor du Québec
  • Michel G. Hudon, avocat-conseil
  • Monique Jérôme-Forget, conseillère spéciale chez Osler et ancienne ministre des Finances du Québec
  • Serban Teodoresco, président de Preventa
  • Simon Prévost, président de Manufacturiers et exportateurs du Québec
  • Yves-Thomas Dorval, président de Conseil du patronat du Québec
André Brisson
André Brisson

André Brisson serait la haute instance dans cette affaire de manifeste,car il provient du milieu d’Ultramar.Donc,on peut affirmer qu’Ultramar aurait financer ce manifeste de Bernard Landry.

http://ca.linkedin.com/pub/andr%C3%A9-bisson/35/768/6a8

Donc,le chat va sortir lentement du sac.

Ce sont des acteurs politiques importants ,particulièrement liés au monde des affaires.À la lecture du manifeste,la famille Desmarais doit jouir:on va pouvoir continuer à faire des affaires.

Il est écrit que c’est pour faire face au défi de la dette et à celui du vieillissement de la population, le Québec a le devoir d’exploiter le pétrole qui se trouve sur son territoire, plaide un groupe d’anciens politiciens et de décideurs économiques. Ne pas le faire serait une erreur, écrit-on dans un manifeste en faveur de cette énergie fossile.

« Bien qu’il soit trop tôt pour estimer le nombre d’emplois créés par une exploitation du pétrole québécois, nous savons fort bien que d’autres endroits dans le monde se sont fortement enrichis grâce à des projets similaires », écrit-on, en citant l’exemple de la Norvège et de son fonds souverain de 891 milliards de dollars.

On cherche à justifier la destruction de l’environnement en disant que :L’exploitation du pétrole pourrait notamment améliorer la balance commerciale de la province, ajoute-t-on, estimant entre 11 et 14 milliards de dollars les sommes envoyées à l’étranger chaque année pour importer de l’or noir.

La propagande en faveur du pétrole capitaliste et sale est bien partie.
La propagande en faveur du pétrole capitaliste et sale est bien partie.

 

Les ennemis de l’État :Certains écologistes « rêvent en couleurs »

Pour les signataires du manifeste, ceux qui affirment que le pétrole est une énergie du passé « rêvent en couleurs ». On consommera du pétrole au cours des prochaines décennies, plaident-ils.

En entrevue à Radio-Canada, l’ex-premier ministre Bernard Landry a joué la carte du pragmatisme. « Le rêve serait que l’humanité tourne le dos aux hydrocarbures fossiles », a-t-il affirmé, ajoutant du même souffle que notre civilisation n’était pas prête à faire ce virage dans les années à venir….Bernard Landry veut nous faire croire que nous ne serons jamais prêts de toute façon.

Les futurs terroristes pointés du doigt: Certains groupes opposés à l’exploitation du pétrole, « omniprésents dans le débat public », n’hésitent pas à recourir à des « stratégies de désinformation », dénonce-t-on par ailleurs, sans préciser de quelle organisation il est question.

Le groupe se dit malgré tout préoccupé par les changements climatiques. « Exploiter notre pétrole n’est pas contraire à cette préoccupation qui doit aujourd’hui animer tous les États du monde. Les pays responsables veulent d’ailleurs être moins dépendants du pétrole », dit-on, en appuyant notamment la stratégie d’électrification des transports du gouvernement. Et si l’exploitation du pétrole est nécessaire, elle doit se faire « selon de hauts standards de protection de l’environnement ».

Décidément,les politicards du Québec,prennent « les enfants du Bon Dieu pour des Canards Sauvages! »Est-ce qu’on a l’air si imbéciles que cela.

Besoin d’informations

Le maire de Rimouski, Éric Forest, l’un des signataires, insiste d’ailleurs pour dire que le manifeste vise la tenue d’un « débat de société » sur le sujet, un débat qui ne pourra avoir cours tant que toutes les informations pertinentes concernant ses impacts ne seront pas connus. « Il faut agir de façon correcte, transparente et responsable et avoir toutes les données. Connaître les coûts, les bénéfices et les impacts environnementaux. Et par la suite, comme société, on fera un choix », dit-il.

Éric Forest explique qu’il a signé le manifeste pour enclencher le débat, et souligne qu’il est lui-même trop peu informé pour le moment pour appuyer avec une certitude totale toute exploitation. Le maire ne cache pas qu’il n’est pas déjà vendu à l’idée, affirmant même « qu’on se doit de prioriser les approvisionnements en eau potable versus une exploitation pétrolière ».

Selon lui toutefois, il y a urgence de prendre une décision sur le sujet, afin de clarifier la législation.

Cette position s’approche de celle du directeur général pour le Québec de la Fondation David Suzuki, Karel Mayrand. En débat sur les ondes d’ICI Radio-Canada Première avec Éric Forest, l’écologiste a affirmé qu’il était d’accord avec M. Forest sur le fait que « le Québec a besoin d’un débat appuyé sur des données scientifiques ».

Le golfe du Saint-Laurent
Le site Old Harry, dans le golfe du Saint-Laurent, qui pourrait faire l’objet d’une exploitation pétrolière.

Selon lui, l’intérêt de l’exploitation pétrolière québécoise est encore loin d’être prouvée autant du point de vue économique qu’environnemental. « On sait qu’il y a des gisements, mais à quel coût pourra-t-on les exploiter? Il reste beaucoup de choses à documenter. Il y a des risques et beaucoup de choses sont mal comprises. Prenons le temps de bien faire les choses, le pétrole ne disparaîtra pas », lance-t-il.

M. Mayrand affirme qu’il croit possible que l’exploitation des gisements pétroliers se fasse de façon responsable, « sans qu’il y ait d’impacts écologiques majeurs », bien qu’il souligne que cette activité aura toujours des conséquences. « En Norvège, il y a 2000 petits déversements annuellement », note-t-il.

Karel Mayrand reproche toutefois aux signataires du manifeste de vouloir axer le débat uniquement sur la production de pétrole, et de refuser de mettre de l’avant la diminution de la consommation pétrolière. Selon lui, en adoptant certaines politiques bien ciblées, le gouvernement peut jouer un rôle majeur dans cette diminution et devrait être encouragé dans ce sens.

Rien à gagner, selon Greenpeace et Équiterre

Cette dernière assertion est appuyée par Greenpeace et Équiterre, qui estiment que le Québec n’a rien à gagner en exploitant le pétrole, mais doit plutôt investir dans « l’économie verte ».

« On ne peut pas faire une chose et son contraire. Il faut faire des choix. Si on investit dans le pétrole, on n’aura pas d’argent pour investir dans la lutte contre les changements climatiques », dit le directeur principal d’Équiterre, Steven Guilbeault.

Soulignant que le Québec se veut un chef de file de cette lutte, il mentionne que même la Banque mondiale dans un récent rapport suggère de réduire l’exploitation des hydrocarbures, et qu’en Norvège, l’exploitation du pétrole est de plus en plus controversée.

Le porte-parole de Greenpeace, Patrick Bonin, ajoute de son côté que chaque dollar investi dans le développement des énergies vertes rapporte de six à huit fois plus que le même dollar dépensé dans le secteur des hydrocarbures.

Un coup de pouce pour Québec

Forage pétrolier

Cette sortie de plusieurs personnalités en faveur du pétrole survient alors que le gouvernement de Pauline Marois tente de convaincre les Québécois du bien-fondé de l’exploitation de cette ressource.

On peut penser que le Parti québécois est en train d’adopter  des éléments du programme politique de la CAQ …et pourrait s’allier à elle beaucoup plus facilement qu’avec Québec Solidaire ou Option Nationale.

Que ce soit le pétrole de la Gaspésie, de l’île d’Anticosti ou du golfe Saint-Laurent, le gouvernement a l’intention de s’engager dans cette voie. « C’est une priorité d’exploiter nos ressources naturelles », avait déclaré la première ministre Marois lors d’une entrevue à L’actualité en 2013.

La ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, a renchéri mercredi, indiquant que le Québec a un intérêt certain à exploiter le pétrole, puisqu’il en importe 14 milliards de dollars annuellement, et que malgré des projets d’électrification, il continuera à en consommer en quantité importante. Selon la ministre toutefois, il est important qu’une grande partie des revenus générés par cette activité reviennent au Québec. Elle affirme que des emplois bien payés qui entraînent une hausse des impôts, « ce n’est pas suffisant ».

Donc,nous sommes à la remorque de l’état-providence!

Ce mois-ci, le gouvernement doit d’ailleurs lancer une étude sur le potentiel économique des hydrocarbures du banc des Américains, en Gaspésie. Cette zone côtière est située à environ 15 km à l’est de Percé.

Le ministère des Ressources naturelles a publié le 17 décembre 2013,un appel d’offres de procéder à un examen de ce secteur, ainsi que de celui d’Old Harry située entre les Îles-de-la-Madeleine et Terre-Neuve-et-Labrador.

Pour leur part, le Parti libéral du Québec et la Coalition avenir Québec plaident aussi pour l’exploitation du pétrole sur le territoire québécois, alors que Québec solidaire rejette avec force cette idée.

« Le message, c’est de dire : « Regardez, ce n’est pas une question de parti politique, mais d’avenir du Québec ». C’est ça qu’on a entendu aujourd’hui », s’est réjoui le leader parlementaire de la CAQ, Gérard Deltell.

« À l’heure de l’urgence climatique, ce manifeste pour un Québec fossile rate la cible. S’il est vrai que l’importation de pétrole coûte au Québec 11 milliards de dollars par année, les auteurs du manifeste proposent un nouveau problème plutôt qu’une solution. Mettre en production le pétrole québécois, un pétrole essentiellement non conventionnel, ne ferait que retarder un virage inévitable vers les énergies vertes », a rétorqué Québec solidaire, dans un communiqué.

Quand on est rendu que c’est l’extrême-gauche qui donne le meilleur  discours de la journée,ça commence à sentir mauvais au Québec.

René Lévesque doit se retourner tout le temps  ,dans sa tombe,de ce temps-ci…même s’il fait  -30 dégrés.

Avec le Parti vert du Québec qui est noyeauté par   le cours  de science politique de l’Université Concordia ,comme le NPD l’avait été par McGill ,nous pouvons penser être de plus en plus contrôler par la corruption et le crime organisé…et un jour davantage contrôlés par des capitaux étrangers,avant de disparaître à jamais,en tant que peuple,si nous ne nous réveillons pas.

Actuellement,seule la désobéissance civile peut  arrêter  ce pillage et cette destruction de notre environnement.

Sources: Radio Canada,diverses nouvelles en lignes.

Michel Duchaine,citoyen du Québec ,Chercheur et Diseur de Vérité.