Résistance au Nouvel Ordre Mondial:le « Convoi de la liberté » entame son siège à Ottawa pour faire plier Justin Trudeau

Accueillis en héros par les manifestants, mais camouflés par la majorité des médias, plusieurs milliers de camionneurs arrivent à Ottawa ce 28 janvier, après un long voyage de protestation. Ils rejoignent ainsi le « Freedom Convoy » (« convoi pour la liberté ») aux côtés d’une impressionnante foule de manifestants. Les participants au rassemblement arriveront entre aujourd’hui et demain et resteront pour une durée indéterminée. L’objectif est de siéger la capitale jusqu’à ce que Justin Trudeau lève la vaccination obligatoire, ainsi que le passeport vaccinal.

 

 

 

 

 

 

Ils sont partis des quatre coins du pays, sont rejoints par d’autres camionneurs étrangers, et ont levé plus de six millions de dollars en moins de deux semaines à travers la plateforme de dons GoFundMe. Alors qu’ils arrivent sur Ottawa, Justin Trudeau, de son côté, est déclaré cas contact et doit donc s’isoler chez lui.

Deux camps médiatiques très inégaux

À l’étranger, le mouvement est très majoritairement tu. Sur place, entre le Canada et les États-Unis, les médias s’écharpent entre eux et transmettent deux informations bien différentes.

D’un côté, le Journal de Montréal prévoit « 10 000 manifestants » et « 2 700 camions », relevant d’ores et déjà « une rhétorique complotiste », la présence de « groupes d’extrême droite », et une similitude avec l’invasion du Capitole aux États-Unis. Ils écrivent aussi que la sécurité « craint des débordements violents », notamment parce que Catherine McKenney, une conseillère municipale, leur a dit que les manifestants « ne sont pas là juste pour lever la voix contre les obligations vaccinales, mais pour nourrir la haine contre notre tissu social ». Une vision des choses qui est sans surprise partagée par le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, qui n’a pas hésité à qualifier le mouvement de « frange minoritaire, qui ne représente pas le point de vue des Canadiens », s’appuyant sur les « 90 % de camionneurs vaccinés », tout en appelant à ce que « tout le monde se vaccine ».

De l’autre côté, la chaîne d’information américaine Fox News se met en branle pour mettre en avant le mouvement. Ils ont accordé une interview à Theo Fleury, double médaillé d’or aux Jeux Olympiques en hockey, pour qu’il donne son impression sur l’événement. Après s’être ouvertement moqué de Justin Trudeau, lui prêtant volontiers un « syndrome de dérangement vaccinal », il assure que « 50 000 camionneurs et 1,4 million de personnes se retrouveront devant le Parlement à Ottawa, et ils vont y rester jusqu’à ce que Trudeau démissionne ou qu’ils nous rendent toutes nos libertés et tous nos droits. » Des chiffres qui sont largement partagés par les soutiens du mouvement sur les réseaux sociaux.

Deux des plus gigantesques figures médiatiques se sont aussi exprimées en faveur du convoi : Joe Rogan, qui en a parlé dans son podcast (le plus écouté des États-Unis), et Elon Musk, qui s’est fendu d’un habile tweet, faussement mystérieux : « Les camionneurs canadiens règnent. » On ne sait donc pas s’il parle des 90 % défendus par Justin Trudeau, ou des 10 % qui semblent former le convoi. On peut toutefois deviner sa position en lisant son deuxième tweet, juste en dessous : « Les radios citoyennes sont libres de tout contrôle gouvernemental ou médiatique. »

Bientôt un convoi en Europe ?

L’ampleur du mouvement, si elle est étouffée par la plupart des médias, semble avoir insufflé un vent de révolte de l’autre côté de l’Atlantique. Idriss Aberkane s’est fait le relai d’un appel européen, qui voudrait voir un convoi se former de la même façon qu’au Canada pour rouler jusqu’à Bruxelles.

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Au Canada, manifestants et camionneurs se préparent en fanfare pour le « convoi de la liberté »

 

 

 

 

 

 

Au Canada, des centaines de camionneurs opposés à l’obligation vaccinale se sont mis en route dimanche, partant de Vancouver, pour rouler jusqu’à Ottawa. L’arrivée est prévue pour le vendredi 28. Là-bas, ils doivent retrouver le « convoi pour la liberté », un rassemblement de manifestants opposés aux mesures sanitaires. Leur trajet, qu’ils ont voulu le plus lent possible, pour ralentir le trafic, ne se fait pas sans embûches.

Un mouvement qui se veut solidaire

Leur objectif : faire reculer le gouvernement concernant l’obligation vaccinale requise pour passer la frontière. Cela étant, les participants ne s’arrêtent pas là, et souhaitent que l’obligation vaccinale soit levée pour tous les corps de métiers : « Permettons à tout le monde de retourner au travail et mettons fin à cette rhétorique divisive et discriminatoire », a confié un camionneur au Vancouver Sun.

Cette solidarité n’est pas sans rappeler le mouvement des dockers de Trieste, en Italie, qui avaient vivement protesté en octobre dernier. Là aussi, la protestation semble être bien accueillie par les Canadiens.

Dans un article du Journal de Montréal, on lit aussi que « certains élus conservateurs ont publiquement affiché leur soutien ». Parmi eux, le politicien Andrew Scheer, qui s’est attaqué à la politique de Justin Trudeau sur Twitter en félicitant les camionneurs : « Merci aux camionneurs ! Trudeau s’attaque à la liberté individuelle et menace la capacité de tout le monde à faire son épicerie à cause de sa surenchère dans les mandats de vaccination. Il est la plus grande menace pour la liberté au Canada », a-t-il écrit.


Ce dont le Canada a besoin, c’est une « quarantaine politique » de Justin Trudeau

 

Un mouvement de masse contre le mandat Covid se déroule d’un océan à l’autre à travers le Canada en solidarité avec les camionneurs transfrontaliers. Des dizaines de milliers de personnes se joindront aux camionneurs à Ottawa. 

Selon Justin Trudeau, les camionneurs non vaccinés « peuvent présenter un risque de transmission de la COVID-19 au grand public ». Quelle absurdité. Les camionneurs restent pour la plupart du temps dans leur camion, ils effectuent des tâches administratives et supervisent le chargement et le déchargement. Ils livrent les marchandises et ont des contacts limités avec les grand public.

Tous les camionneurs transfrontaliers devront « être vaccinés afin d’éviter une quarantaine de 14 jours », précise Justin Trudeau.

 

Trudeau a-t-il été vacciné ?

Est-ce pertinent pour le Convoi de la liberté en solidarité avec les camionneurs ? Le Premier ministre exige que les camionneurs soient vaccinés. Justin a-t-il été vacciné ?

Vérifiez-le et décidez par vous-même : il y a des indications, encore à confirmer, que le premier ministre Trudeau n’a pas été vacciné.

Voir vidéo, témoignage et analyse de Registered Nurse ).

cliquez sur l’image ci-dessous

 

 

 

 

 

 

 

Le commerce entre les États-Unis et le Canada constitue la pièce angulaire de notre économie nationale

Les précédents gouvernements canadiens ont protégé les structures du commerce transfrontalier nord-américain. Et maintenant, Justin Trudeau nous a entraînés dans le plus grand gâchis économique de l’histoire de notre pays, tout en violant les droits fondamentaux des Canadiens.

Ce dont nous avons besoin ici au Canada, c’est d’une «quarantaine politique» indéfinie de notre non illustre premier ministre. 

Je peux dire en tant qu’économiste que cette décision irresponsable du gouvernement Trudeau (qui est en cours) aura des impacts dévastateurs sur les producteurs, les camionneurs, les compagnies de transport ainsi que sur tout le réseau du commerce de gros et de détail. Cela nous affectera tous.

Il est prouvé que le commerce transfrontalier est délibérément miné. Ce mandat politique crée déjà des pénuries de biens essentiels, notamment de la nourriture, du carburant et des produits pharmaceutiques. Cela affectera également la livraison de produits essentiels expédiés via les États-Unis depuis la Chine, l’Union européenne et l’Amérique latine.

Nous devons veiller à ce que le commerce transfrontalier entre les États-Unis, le Canada et le Mexique soit pleinement rétabli.

Tous les mandats covid-19 doivent être dûment suspendus.

Nous devons affronter et questionner la légitimité du gouvernement Trudeau.

Nous devons engager un dialogue impliquant les camionneurs, les propriétaires des sociétés de transport, les forces de l’ordre, les douaniers des deux côtés de la frontière, les producteurs, les grossistes, les détaillants.

Le gouvernement dira : Nous nous engageons à sauver des vies, à protéger les gens contre « V le virus ». Quelle absurdité. Ils manipulent le commerce transfrontalier. Ils détruisent la vie des gens.

Le gouvernement Trudeau est corrompu. Cette décision lourde de conséquences a été prise au nom de puissants intérêts financiers.  Son intention tacite est de déclencher une nouvelle vague de faillites.

Il est important que les mandats et les restrictions du gouvernement en matière de Covid-19 soient levés et que le commerce transfrontalier soit protégé et soutenu.

#Oui, c’est un vaccin tueur

Les différents mandats de Covid ont été utilisés pour mener la campagne de peur et encourager les Canadiens à prendre leur nouvelle dose de vaccin (booster).

Alors que les médias répètent sans cesse que le virus est plus dangereux que le vaccin, les effets dévastateurs du vaccin à ARNm sont maintenant confirmés de manière irréfutable.

Les chiffres officiels des décès liés au vaccin signalés sont régulièrement publiés par les États-Unis, le Royaume-Uni et l’UE. Ils ne sont pas publiés par Santé Canada. Voir la déclaration de Doctors for Covid Ethics .

Selon le dernier rapport du VAERS : 

« Il y a eu plus de décès, plus d’invalidités permanentes et plus d’hospitalisations à la suite des vaccins expérimentaux COVID-19 [aux États-Unis], qu’il n’y en a eu après tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 31 dernières années combinées. »

De plus, les effets dévastateurs du vaccin sont maintenant confirmés par un  rapport confidentiel de Pfizer publié en novembre dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) . Les données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer dans ce document confidentiel sont désormais dans le domaine public. Ils ne voulaient pas que nous le lisions :

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « bouche du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Il s’agit de facto d’un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui, c’est un vaccin tueur.

L’ initiative Convoi de la liberté  se concentre sur le contexte politique plus large, en vue de confronter le gouvernement Trudeau et d’abroger le récit de Covid-19 et ses divers mandats politiques, y compris le vaccin à ARNm.

Ce mouvement ne doit pas être détourné de son objectif. Il doit se concentrer sur l’abrogation immédiate du vaccin à ARNm, qui a entraîné une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Il est essentiel de dissiper les mensonges.

Le test Covid-19 est invalide. Les données utilisées pour justifier les mandats Covid-19 n’ont aucun sens

Le test RT-PCR qui est utilisé par les gouvernements pour justifier leurs mandats politiques a maintenant été déclaré invalide à la fois par l’OMS et le CDC (qui a demandé son retrait aux États-Unis à compter du 31 décembre 2021).

Toutes les données relatives aux soi-disant « Cas Covid confirmés » résultant du test PCR sont totalement invalides.

Les kits de test rapide Covid-19 à domicile

En novembre 2021, 94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’autotest et de test antigénique) ont été livrés et distribués aux provinces, et 140 millions de kits supplémentaires ont été commandés par le gouvernement fédéral au début janvier pour un coût de 1,7 milliard de dollars.

Tester Tester Tester : 

Le Canada compte 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 234 millions de kits de test rapide qui ont contribué au cours des deux derniers mois à faire grimper les cas dits positifs du Covid-19.

Cela a créé la panique dans les familles partout au Canada. La campagne de peur est passée à la vitesse supérieure.

Ironiquement, les kits d’antigène et d’auto-test recommandés par Santé Canada sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est maintenant reconnu comme «l’étalon-or» .  Le test PCR est totalement dysfonctionnel. Il ne Il ne permet pas de détecter et  d’identifier le SARS-CoV-2.

Tous ces chiffres sur les « cas confirmés de Covid-19 » n’ont aucun sens.

Les chiffres officiels (Royaume-Uni, États-Unis, UE) sur les décès et les effets indésirables liés au vaccin sont RÉELS.

Le convoi canadien pour la liberté :  première étape vers le développement d’un vaste mouvement de masse

Le mouvement Convoi de la liberté a l’appui de de plus de 65 pays. Les camionneurs australiens enverront un convoi à Canberra le 31 janvier.

Plus de 60 000 camionneurs des États-Unis dont 15 000 de la Californie traverseront la frontière et se retrouveront à Ottawa pour cet événement important.

Dans un sondage en ligne de CTV, 77 % des Canadiens ont voté en faveur du Convoi pour la liberté en appui aux  camionneurs. (sur 17 698 suffrages exprimés). 12.3o pm (27 janvier).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un nombre imposant de véhicules dans le secteur du parlement à Ottawa

 

Un nombre impressionnant de véhicules avait envahi le centre-ville d’Ottawa dans le secteur du parlement, vendredi soir.

La mobilisation des camionneurs a commencé à prendre forme dans l’après-midi devant le parlement. De nombreux manifestants provenant du Québec font partie des opposants contre la vaccination obligatoire des camionneurs transfrontaliers et autres mesures sanitaires.

Sur la rue Wellington devant le parlement, un Sherbrookois, assis sur la portière d’un véhicule en marche, anime la foule en jouant du tambour.  «Enough is enough man! on veut notre liberté!» lance le manifestant, tout sourire, au journaliste de La Presse Canadienne. 

Dans le véhicule qui le précède, le conducteur brandit une pancarte sur laquelle il est écrit «Nous sommes les marginaux!». 

«Trudeau nous traite de marginaux. Il verra samedi qu’est ce que des marginaux sont capables de faire», a prévenu le conducteur à La Presse Canadienne. 

En fin d’après-midi, ils étaient plusieurs centaines devant la colline du Parlement où beaucoup de drapeaux du Québec se mêlaient aux drapeaux patriotes, à ceux du Canada et aux pancartes affichant des slogans hostiles au premier ministre Justin Trudeau. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paul Poulin, un vétéran du Royal 22e Régiment, s’est déplacé au parlement dans le but de faire «tomber toutes les restrictions» et il promet de «rester le temps qu’il faudra». 

«Quand la vérité sortira, c’est triste à dire, mais il y a des gens qui devront passer au jugement», a expliqué l’homme vêtu d’un uniforme milliaire avant d’ajouter en désignant le parlement: «Si vous vous demandez si je suis un complotiste, moi je ne fais pas de complot, aller dans la grosse cabane derrière moi si vous voulez trouver des complots». 

Le camionneur André Landry a fait la route depuis Grand-Remous avec sa femme pour manifester. Les deux refusent de se faire vacciner. «Je suis assez raide que les aiguilles ont cassé quand ils ont essayé de me vacciner», a plaisanté le camionneur plutôt costaud qui ne croit pas en l’efficacité des vaccins. 

 

 

 

 

 

 

 

 

«Je ne peux plus aller aux États-Unis, mais c’est pas grave, dans mon boute j’ai de l’ouvrage en masse», a-t-il expliqué en disant qu’il manifeste par solidarité pour ses collègues, mais aussi pour que cessent «toutes, toutes, toutes les restrictions». 

Interrogé sur la possibilité que des groupes mal intentionnés se servent de la cause des camionneurs pour commettre des actes déplorables, André Landry a répondu «qu’icitte c’est toute du monde pacifique, à part si des antifas cherchent à faire du trouble». 

Quand le journaliste de La Presse Canadienne lui fait remarquer que quelques minutes plus tôt, trois hommes l’ont entouré en lui lançant des insultes et en criant «f… you! get away now!», le forçant ainsi à quitter les lieux en plein milieu d’une entrevue, le camionneur de Grand-Remous garde le sourire et explique que c’est parce «qu’il y a plein de monde comme vous autres qui content des menteries».

Selon lui, et plusieurs manifestants rencontrés devant le parlement, les journalistes, les médecins et les politiciens mentent à la population. 

Une grande mobilisation samedi

Pendant ce temps, plusieurs convois en provenance de plusieurs régions du pays se préparent à la grande mobilisation de samedi dans la capitale.

À Les Coteaux en Montérégie, Dominick Prud’homme en était aux derniers préparatifs vendredi après-midi d’un convoi qu’il organise dans sa région.

Il est doublement vacciné, sa femme, qui l’accompagnera dans la capitale samedi, l’est également.

«On est vacciné, on est quelques autos qui partons, tous des vaccinés ensemble», a mentionné M. Prud’homme.

«J’ai embarqué dans ce mouvement-là principalement parce que je suis contre le passeport vaccinal», a-t-il dit avant d’ajouter: «Je me demande jusqu’à quel point là on va continuer de viser les non-vaccinés et leur enlever des droits?».

Il a expliqué à La Presse Canadienne qu’il avait suivi la plupart des mesures sanitaires depuis le début de la pandémie, mais que maintenant, il en a «plein son truck».

«Je suis bien loin d’être un scientifique ou un expert dans le domaine, mais si on regarde ce qui se passe, on a à peu près les pires mesures, puis on a le pire bilan», a t-il mentionné pour expliquer son exaspération.

Plus la journée avançait vendredi,28 janvier 2022 et plus le centre-ville d’Ottawa se remplissait de camions et plus les klaxons se faisaient entendre près du parlement.

Vers 19h, une boule de feu, qui pourrait être un feu d’artifice, a été lancée dans les airs sur la rue Queen, non loin du parlement.

Le Service de police d’Ottawa a déclaré qu’il avait appelé des renforts pour aider au maintien de la paix alors que des milliers de véhicules, dont des camions lourds,  poursuivaient leur route vers la capitale nationale vendredi.


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Troisième Guerre Mondiale en préparation:Tentative de changement de régime au Kazakhstan

Dans leur quête  sans fin pour pouvoir positionner des missiles de première frappe autour de la Russie, les États-Unis et l’UE ont tenté de s’emparer de l’Ukraine, mais se rendent compte qu’ils ne peuvent pas le faire sans une guerre de la Russie; alors maintenant ils essaient de renverser le gouvernement du Kazakhstan voisin.

Au cours des dernières 72 heures, toutes sortes de désobéissance civile ont surgi, avec des manifestations soudaines et sauvages dans les rues de nombreuses villes et villages.
Ces émeutes relativement inattendues qui touchent le cœur de l’Asie centrale ne pouvaient qu’attirer le regard des observateurs du Grand jeu eurasien. Et conduisent déjà à des interprétations diverses et variées. Simple révolte populaire ? Tentative de révolution colorée manigancée par  Washington comme première réponse à l’ultimatum de Poutine? A moins que l’Ours ne cherche à démontrer aux Kazakhs qu’il serait dangereux de s’accoquiner avec la Turquie du derviche tourneur Erdogan au détriment du voisin russe…

L’étincelle qui a mis le feu aux poudres (et aux stations-service) est le doublement du prix du carburant il y a quelques jours, faisant passer le prix du litre de GPL, utilisé comme carburant par de nombreux automobilistes, de 50-60 tenge à 120 (1 euro ≈ 500 tenge). Les manifestations se sont multipliées, la fronde a gagné toutes les villes du pays et d’autres revendications, plus politiques, ont commencé à se faire jour.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le Kazakhstan est le théâtre de grandes manifestations à caractère socio-économique ; celles-ci éclatent même avec une admirable régularité tous les cinq ans. En 2011 à Zhanaozen, une grève générale des employés du secteur pétrolier a fait 14 morts. En 2016, c’est une réforme agraire qui déclenche les protestations. Et aujourd’hui, la crise est à nouveau partie de Zhanaozen, petite ville décidément bien turbulente…

Côté économique, le Kazakhstan n’a pas grand chose à envier aux pétromonarchies du Golfe pour ce qui est des inégalités et il n’est guère étonnant qu’avec son passé communiste, il voie de temps en temps fleurir des flambées de revendications sociales.

L’ampleur soudaine et vaste des manifestations indique quelque chose de bien organisé est en cours : des pots-de-vin américains et européens, versés à des organisateurs clés, pour déstabiliser et renverser le gouvernement.
Ce qui se passe actuellement au Kazakhstan est une reconstitution précise de ce qui s’est passé en Ukraine en 2014. À cette époque, les États-Unis et l’UE ont versé des milliards aux Ukronazis qu’ils ont utilisés pour renverser le gouvernement.

Le but recherché par les USA et l’UE ? Simple : amener le Kazakhstan dans la sphère d’influence des États-Unis afin que des missiles américains puissent être placés sur le territoire du Kazakhstan, pour les diriger contre la Russie.

Il est important de noter que la Russie et la Chine sont fortement investies au Kazakhstan, en particulier dans l’industrie pétrolière et gazière. De plus, le Kazakhstan abrite le cosmodrome de Baïkonour, loué à l’Agence aérospatiale russe.

En septembre 2013, une visite au Kazakhstan du nouveau président chinois de l’époque, Xi Jinping, a conduit à la signature d’accords énergétiques d’une valeur de 30 milliards de dollars, dont l’acquisition par la China National Petroleum Corporation (CNPC) d’une participation de 8,3 % dans Kashagan, le plus grand champ pétrolifère au monde. .

Par ailleurs, d’ambitieux projets visent à faire du Kazakhstan une plaque-tournante énergétique et infra-structurelle entre la Chine et l’Europe sous la supervision russe, véritable cauchemar de qui vous savez.

 

À l’échelle mondiale, le Kazakhstan produit également 43% de tout l’uranium sur terre. Il y a donc des implications mondiales à ces troubles soudains. Les prix de l’uranium montent en flèche sur les marchés mondiaux.

Mais évidemment, la position stratégique du pays, cœur de l’Eurasie, lien territorial incontournable entre l’ours et le dragon, attire irrémédiablement l’attention dès qu’il s’y passe quelque chose. Son rôle de pivot ferait baver d’envie n’importe quel stratège US dans la lignée de Mackinder, Spykman et Brzezinski, et il n’a pas fallu attendre longtemps pour que certains voient dans les événements actuels la main de tonton Sam.

Son pays plongeant dans le chaos, le président Tokaïev a quémandé l’aide de l’Organisation du Traité de Sécurité Collective d’obédience russe, et l’on ne parle soudain plus du tout du Derviche dans les chaumières kazakhes…

Par le biais de Nikol Pachinyan (l’Arménie est présidente de l’OTSC cette année), qui retrouve au passage une posture internationale à laquelle il ne s’attendait peut-être pas de sitôt, la demande a été acceptée presque dans l’heure. Américains et Turcs n’ont pas eu le temps de placer un mot que déjà, des troupes russes et arméniennes sont en partance pour le Kazakhstan !

Si l’opération est théoriquement limitée dans le temps, certains russo-sceptiques craignent que la présence du contingent de la paix ne s’éternise et n’offre un boulevard à Moscou. Dans tous les cas, l’ours a posé sa patte et marqué résolument son territoire.

 


NOUVELLES MISES À JOUR (jeudi,6 janvier 2022,9h00 am)

Des coups de feu et des combats de rue éclatent dans la plus grande ville du Kazakhstan

Des tirs nourris signalés dans le centre d’Almaty, après que la police est intervenue pour réprimer les émeutes

 

 

 

 

 

 

 

 

Les forces de sécurité kazakhes se sont attaquées aux émeutiers à Almaty, avec des tirs nourris entendus dans le centre-ville près du bâtiment administratif calciné. La police dit avoir repoussé une « attaque » contre son QG, faisant des morts parmi les assaillants.

Une nouvelle tentative de déloger des manifestants violents du centre-ville aurait été lancée par la police et l’armée jeudi soir. Des témoins ont rapporté avoir entendu des tirs nourris dans le centre-ville, à proximité du bâtiment de l’administration locale qui a été envahi et incendié par de violents manifestants mercredi.

Plusieurs camions militaires, transportant apparemment des troupes, ont été vus se dirigeant vers le centre d’Almaty.

Un journaliste d’un média local a été blessé à la jambe lors de l’opération de police, a rapporté Spoutnik Kazakhstan. Le journaliste a reçu les premiers soins des forces de l’ordre.

Plusieurs personnes blessées ont été vues fuyant les tirs, a rapporté l’agence, citant son propre correspondant. On les a vus partir en petits groupes, certains d’entre eux emportant les blessés.

La police a déclaré qu’une nouvelle tentative de prendre d’assaut le quartier général de la police de la ville avait également été repoussée jeudi. Un nombre indéterminé d’assaillants a été « éliminé » lors de l’attentat raté, a affirmé le porte-parole de la police, Saltanat Azirbek.

Le siège, qui reste l’un des rares bâtiments gouvernementaux à ne pas être envahi par les manifestants, a subi un autre assaut pendant la nuit, plusieurs assaillants auraient été tués lors de cette tentative, selon Azirbek, qui a déclaré que « l’opération de nettoyage » se poursuit jeudi dans toute la métropole. .

Pendant ce temps, des informations non confirmées dans les médias locaux ont indiqué que la tour de télévision d’Almaty, située sur les pentes de la montagne Kok Tobe juste au sud-est de la ville, a été envahie par des émeutiers. La tour de l’ère soviétique, qui fait toujours partie des bâtiments les plus hauts du Kazakhstan, dispose d’un abri anti-atomique de guerre.

Cependant, les informations faisant état de la capture de la tour de télévision ont été démystifiées par la police locale peu de temps après leur apparition. Ils ont confirmé que la tour avait été attaquée, mais ont insisté sur le fait qu’ils étaient capables de repousser la tentative de saisir l’installation.

Près de 2 300 personnes ont été arrêtées à travers le Kazakhstan au milieu des troubles, a déclaré le ministère de l’Intérieur du pays aux médias locaux. Quelque 18 policiers et militaires ont été tués et 748 autres blessés.


NOUVELLES  MISES À JOUR (Jeudi,6 janvier 2022,22h00)

L’ordre constitutionnel est en grande partie rétabli dans toutes les régions du Kazakhstan, selon le président

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus de 3 000 personnes ont été arrêtées au Kazakhstan en lien avec des émeutes, 26 émeutiers armés ont été tués et 18 blessés dans des affrontements avec les forces de sécurité, a rapporté vendredi la chaîne de télévision publique Khabar 24, citant une source au ministère de l’Intérieur.
L’ordre constitutionnel a été principalement rétabli autour du Kazakhstan, les autorités régionales contrôlent la situation, a déclaré vendredi matin le président Tokayev.
Le président kazakh a également déclaré que les terroristes utilisaient des armes, infligeant des dommages aux biens des personnes, ajoutant que des opérations antiterroristes étaient nécessaires jusqu’à l’extermination complète des hommes armés.
Des coups de feu ont de nouveau été entendus à Almaty, au Kazakhstan, aux petites heures de vendredi, a déclaré un correspondant de Spoutnik, ajoutant que les barricades avaient été démantelées et qu’il n’y avait ni policiers ni manifestants dans les rues.

 

 

 

 

 


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Géopolitique du coronavirus : entretien avec Valérie Bugault

Au cœur d’une crise mondiale inédite par son ampleur, Strategika vous propose l’éclairage d’analystes et de penseurs reconnus dans leur domaine d’expertise. Nous avons posé à chacun une série de questions qui portent sur les différents aspects de cette véritable crise de civilisation ainsi que sur ses répercussions politiques, géopolitiques et sociales.

 

La première à nous répondre est Valérie Bugault.

Valérie Bugault est docteur en droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne et avocate. Depuis 2009, elle a cessé ses activités d’avocate pour se consacrer à la diffusion auprès du public du résultat de ses nombreux travaux de recherches. Elle est aujourd’hui analyste de géopolitique (économique, juridique et monétaire) et conférencière. Ses sujets de recherche sont les institutions – nationales et internationales – la monnaie, l’entreprise, le droit et le fonctionnement de l’économie globale.

Elle est auteur de quatre livres, récemment publiés aux éditions Sigest :

– « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017

– « La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018

– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019

– « Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019

Strategika – On lit beaucoup d’éléments contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?

VB : que la « version officielle » de la crise coronavirus est fausse qu’il n’y a pas d’épidémie ; de même, ce n’est pas parce que la « version officielle » des attentats terroristes est fausse que les attentats n’ont pas lieu. Des événements ont lieu, et c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman, c’est-à-dire le jeu de rôles bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installée furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. »

Nous sommes face à une sorte de dissonance cognitive globale parce que les phénomènes auxquels nous sommes confrontés reçoivent une ou plusieurs explications officielles partielles (dans le meilleur des cas), contradictoires et/ou erronées qui ne permettent pas un accès intellectuel à l’ensemble du phénomène. En réalité, la méthodologie suivie dans la couverture de cette crise du coronavirus est similaire à celle qui nous est imposée d’une façon générale pour orienter les processus intellectuels : un séquençage (puisque le mot est désormais à la mode) ou un émiettement des connaissances, une sorte de fordisme appliqué à toute l’échelle des connaissances. A cela s’ajoute un autre phénomène d’émiettement et d’isolement des populations : les milieux médicaux fréquentent peu ou pas d’autres milieux, chacun restant dans son pré carré par l’organisation même de la société. Ainsi, les constats et la vie que mènent les uns sont quasi hermétiques aux constats et à la vie que mènent les autres, leurs seuls points de contact étant leur façon (directe ou indirecte) de consommer.

Ainsi, nous recevons des retours en provenance du corps médical, d’autres en provenance d’organisations internationales, d’autres en provenance des différents pays du monde. D’autres sources d’informations sont inhérentes à la structuration de notre propre gouvernement (décret, lois…), d’autres sources d’informations encore proviennent de médias dits indépendants qui contredisent partiellement ou totalement les sources précédentes…

Finalement, pour y voir clair, il faut et il suffit de remettre de l’ordre, c’est-à-dire qu’il faut hiérarchiser et contextualiser les phénomènes ; encore faut-il que cette hiérarchisation soit pertinente.

Dans l’ordre nous avons : l’apparition peu préparée d’un virus en Chine, pays qui connaît historiquement cette typologie de virus. Ensuite, une série de nouvelles alarmistes en forme d’hécatombe. Ensuite, bien sûr, le virus se répand sur la surface du globe pendant que l’on apprend que la Banque mondiale (que je ne présente plus) avait prévu, dès 2017, des « bonds spécifiques aux pandémies ». Ensuite une litanie de pays touchés et d’innombrables populations confinées pour, prétendument, lutter contre la propagation dudit virus. Pendant que les « morts » se multiplient et que les services hospitaliers étouffent littéralement sous cette affluence de gens à détecter ou à traiter.

Le tout se produisant dans un contexte géopolitique très particulier où la puissance économique chinoise, aujourd’hui arrivée à maturité, s’est alliée à la puissance militaire russe pour contrer l’hégémonie américaine et Cie.

Ce qui n’est pas dit dans ce tableau est pourtant l’essentiel : les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce que j’appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London.
En réalité, les États occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.

Si l’on veut bien prendre en compte l’ensemble de ces éléments, un tableau assez clair se dessine.

Dans ce tableau, d’un côté apparaît un virus très contagieux et qui devient dangereux lorsqu’il se fixe dans les poumons et les voies respiratoires. Les patients, à ce stade, n’ont quasi plus de virus dans le corps et il devient inutile de leur appliquer le traitement préconisé par le Professeur Didier Raoult, comme ce dernier l’indique très clairement lui-même. Hormis ces cas de complications qui, apparemment ne sont pas si rares que ça, ledit virus est relativement anodin, il procure des symptômes plus ou moins gênants mais ne met pas en jeu de pronostique vital des patients infectés. Didier Raoult, professeur français spécialiste mondialement réputé en virologie et infectiologie, a émis des hypothèses de travail qui ont été confirmées par des spécialistes chinois ayant eu à traiter le virus et par un professeur Sénégalais (Pr. Seydi) qui a eu à affronter le virus Ebola et qui est, à ce titre, reconnu comme une sommité dans son domaine. Le traitement préconisé ne coûte pas cher (car les brevets très anciens sont tombés dans le domaine public) ; il n’est pas efficace à 100 % en fonction, notamment, du moment tardif ou non où il a été administré. Voilà, pour l’essentiel, ce qu’il importe de retenir.

De l’autre côté du tableau, on a des médecins stipendiés (la plus en vogue actuellement est la sulfureuse Karine Lacombe qui sévit sur les grandes ondes et est multi stipendiée des lobbies pharmaceutiques) ainsi que tout l’appareil d’Etat et les corps constitués (Inserm…), tous reliés, de près ou de loin, aux lobbies pharmaceutiques qui sont montés aux créneaux pour disqualifier les travaux des éminents spécialistes décrits ci-dessus. Sans oublier le fait que la campagne présidentielle de Macron a été partiellement financée par Big Pharma.

En outre, je ne fais qu’effleurer rapidement, car l’énumération en serait vraiment trop longue, toutes les décisions politiques actuelles prises en opposition ouverte à l’objectif officiel d’enrayement de l’épidémie, qui passent par la classification début 2020 d’un médicament en vente libre depuis des décennies en substance vénéneuse, par le refus d’octroyer des autorisations administratives à des chercheurs proposant des tests pour détecter l’infection au coronavirus, par le refus de l’aide proposée par des industriels pour la fabrication de respirateurs… Ajoutons à cela, pour compléter le tableau, la déconstruction méthodique du service de santé publique, allant de la liquidation des stocks de matériels aux restrictions de lits et de personnels hospitaliers, aggravée depuis la présidence Sarkozy.

Cette crise sanitaire laisse ainsi apparaître les véritables acteurs politiques cachés derrière les oripeaux étatiques ! On perçoit, aujourd’hui mieux qu’hier, que l’Etat est tenu par des intérêts privés qui préconisent des remèdes très coûteux, voire peu efficients, en attendant le futur vaccin obligatoire. Sur la ligne d’arrivée pour gagner le cocotier des contrats publics et privés de commandes massives de vaccins : Johnson & Johnson qui annonce ce 31 mars qu’il sera prêt à tester son premier vaccin dès septembre 2020 ! D’autres laboratoires restent bien évidemment en lice pour la cagnotte du futur vaccin…

Il faut toutefois savoir deux choses. Premièrement, tous les vaccins rapidement fabriqués se sont historiquement révélés peu efficaces et même dangereux pour la santé humaine. Deuxièmement, un vaccin contre un virus par hypothèse mutant, comme l’est le coronavirus, a très peu de chance d’être efficace. Ce problème est aggravé par le fait que la maladie Covid-19 met en cause plusieurs souches différentes, dont l’une d’elle se subdivise encore en plusieurs variantes.

En conclusion, si les pouvoirs publics voulaient effectivement enrayer l’épidémie, ils décideraient de traiter, à moindre coût qui plus est, un maximum de gens en amont, comme le préconise le Dr. Raoult et d’autres grands spécialistes du monde entier. Cette aune du traitement médical préventif massif est la mesure exacte de l’honnêteté du gouvernement français.

En d’autres termes, si le gouvernement était honnête, il ne prendrait pas l’option dilatoire actuelle consistant à mettre tous les obstacles en place pour que les gens ne soient pas massivement traités selon les préconisations du Pr. Raoult ; pendant que les mesures de confinement ciblées sur les populations locales les plus normées deviennent de plus en plus rigoureuses alors même que ces mesures excluent les populations rebelles situées dans les zones de non droit, et les camps de migrants.

Par ailleurs, notons que le gouvernement français, qui a également récemment, sur préconisation de l’ONU, vidé massivement et prématurément les prisons de prisonniers de droit commun [1] (ce qui a fait l’objet d’un communiqué officiel de professionnels de la magistrature), punira d’emprisonnement les contrevenants multirécidivistes qui auront dépassé leur heure de promenade quotidienne autorisée, qui auront dépassé leur périmètre de promenade autorisée, ou qui auront oublié leur laisser-circuler…

On se rend bien compte ici de deux choses :

  • Que la volonté affichée de protéger les populations cache une volonté sournoise de les mettre en état de choc et de les surveiller massivement ;
  • Que l’anarchie sociale en cours de développement, est consciencieusement organisée par les pouvoirs publics eux-mêmes, sous le faux prétexte d’enrayer une épidémie.

Strategika – Cette pandémie précède-t-elle un effondrement économique et systémique ?

 

Plus de 3 milliards de personnes sont appelées à se confiner dans le monde. Pour la première fois de son histoire, l’humanité semble réussir à se coordonner de manière unitaire face à un ennemi global commun. Que vous inspire cette situation ?

Valérie Bugault

Cette pandémie va-t-elle forcer l’humanité à se doter d’un gouvernement mondial comme le préconisait Jacques Attali lors de la pandémie de grippe A en 2009 ?  En 2009 toujours, Jacques Attali expliquait que « l’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur ». Que vous inspire cette idée ?     

VB : Effectivement, de multiples informations montrent que l’existence d’une pandémie était prévue, pour ne pas dire attendue, par un certain nombre d’institutions et de personnages, au premier rang desquels on peut citer, pèle mêle, la fondation Bill et Melinda Gates, le centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, le Forum économique mondial, l’OMS, la Banque mondiale, Jacques Attali, le magazine « The Economist » (année 2019 et 2020) … Avec le britannique Gordon Brown qui appelle ouvertement à la constitution d’un gouvernement mondial pour faire face à cette pandémie de coronavirus.

Nous faisons donc globalement, ou mondialement, si vous préférez, face à une situation inédite dans l’histoire, dans laquelle un petit groupe de gens [2], cachés derrière l’anonymat des capitaux et des institutions internationales et menés par quelques banquiers privés, organisent des chocs ou tirent parti de chocs afin de faire avancer leur agenda global de prise de contrôle politique du monde en instituant un « gouvernement mondial ».

Pour réaliser ce gouvernement mondial, il faut avoir préalablement développé, chez les individus en général et chez les dirigeants politiques en particulier, le sentiment de la nécessité d’une régulation des évènements à l’échelle globale. Une pandémie est en effet le phénomène qui répond le mieux à ce type de besoin. Dès le départ, on peut et on doit suspecter une manipulation.

Par ailleurs, il devient en effet de plus en plus évident que ce coronavirus résulte de la combinaison, aidée, de deux virus naturels, combinaison qui aurait malencontreusement fuité d’un ou de plusieurs laboratoires. Nous ne saurons probablement jamais le véritable déroulement des évènements ayant abouti à la dissémination de ce type de virus.

Ensuite, et en raison de l’homogénéisation de la réponse politique apportée à cette crise sanitaire par différents pays, il est tout à fait nécessaire que les citoyens victimes aiguisent leur vigilance et se tiennent sur leur garde car la manipulation devient évidente dans le contexte de privatisation généralisée des États.

Toutefois, on ne saurait trop insister sur l’impérieuse nécessité de discriminer les informations reçues. Ainsi, à titre personnel, je ne pense pas qu’il faille mettre sur un même plan la réponse politique chinoise et la réponse politique des pays européens.

D’une part, il ne faut pas oublier que la Chine, actuel opposant victorieux à l’hégémonie économique du bloc de l’ouest sous l’égide de l’OTAN, a été le premier pays attaqué par ce virus.

D’autre part, les dirigeants chinois ont publiquement incriminé les GI’s américains dans la propagation du virus sur leur territoire.

Enfin, il faut se souvenir qu’aux USA, se sont produits, courant 2019, deux évènements extrêmement importants qui peuvent aisément être corrélés :

  • Une sorte d’épidémie pulmonaire grave avait été mise sur le dos des fabricants de cigarettes électroniques et
  • Un laboratoire (Fort Detrick) a dû être fermé (Trump vient d’ailleurs récemment d’ordonner sa réouverture pour lutter contre le coronavirus !), durant l’été 2019, pour cause de fuites.

Il devient assez loisible d’imaginer que les conséquences de cette fuite de matériel bactériologique, volontaire ou non (nous ne le saurons jamais), a été artificiellement endossée par le puissant lobby du tabac – ce qui lui a permis d’éliminer un concurrent inoffensif naissant mais menaçant (l’industrie de la cigarette électronique) – avec la bénédiction des instances gouvernementales qui ont ainsi évité d’avoir à rendre des comptes publics.

Par ailleurs, il faut absolument toujours conserver à l’esprit que les gouvernements officiels sont privatisés mais que même dans ce cas de figure, il y a quantité de gens qui œuvrent quotidiennement dans ces structures et qui ne sont pas eux-mêmes corrompus. Ainsi, même en cas de fuite bactériologique issue d’un laboratoire secret on ne peut pas être sûr que cette fuite soit volontaire ; des individus infiltrés et aux ordres directs des puissances financières peuvent très bien avoir organisé ces fuites à l’insu de leurs collègues.

Par ailleurs, je voudrais revenir sur l’existence des laboratoires secrets de recherche bactériologiques. Il faut comprendre que le problème se pose dans les mêmes termes qu’il s’est déjà posé en matière d’armes nucléaires : beaucoup de pays disposent légitimement de ce type de laboratoires sans qu’il soit question de les utiliser à des fins offensives. De la même façon, beaucoup de pays disposaient et disposent de l’arme nucléaire, tandis que très peu les ont utilisées à des fins offensives. Nous connaissons par ailleurs depuis longtemps la propension des puissances anglo-saxonnes et de leurs affiliés à cibler les populations civiles, qui n’ont, à vrai dire, à leurs yeux, aucune espèce d’importance et seraient plutôt considérées comme étant surnuméraires (voir les Georgia Guidestones, les travaux du « Club de Rome », et ceux de tous leurs descendants).

A ma connaissance, la puissance chinoise n’a jamais utilisé de façon offensive ni la bombe nucléaire, ni toute autre arme de destruction massive. En revanche, les USA, et leurs affiliés, n’ont plus de preuves à apporter quant à leur capacité à utiliser ce type d’armes pour viser, en particulier (c’est devenu une sorte de spécialité) les populations civiles.

Une fois ces préalables explicités et le contexte rétabli, il devient possible de répondre à votre première question.

En effet, la mise en confinement des gens bien-portants porte un coup d’arrêt brutal à l’économie des pays. En fonction de la durée du confinement, ces pays, surtout lorsqu’ils sont endettés, ne pourront que très difficilement s’en remettre. Cette remise sur pied devra, à l’évidence, s’accompagner d’une remise en cause de leur fonctionnement interne. Par ailleurs, les bienfaits abondamment claironnés de la globalisation économique, qui a rendu chaque pays dépendant des autres, reçoivent, eux aussi, un énorme démenti par cette crise sanitaire qui rend visible l’extrême dénuement industriel des pays dits développés, lesquels ne sont plus autosuffisants en quoi que ce soit. On peut en effet en déduire, sans risque d’erreur, qu’il y aura un « avant la crise du coronavirus » et un « après la crise du coronavirus ».

Nous sommes collectivement sur une ligne de crête et les choses peuvent basculer, en fonction de la capacité de réaction des citoyens, soit dans le sens du globalisme intégral avec gouvernement mondial, soit dans celui d’une reprise en main politique des pays par leurs ressortissants.

Strategika – Comment voyez-vous l’évolution de la pandémie et ses conséquences politiques et sociales dans les semaines et les mois à venir ?

VB : Soit les citoyens cèderont à la peur, soit ils réfléchiront et comprendront que la peur est elle-même entretenue de façon contrôlée par leurs dirigeants qui prennent toutes les décisions permettant au coronavirus de se propager en toute tranquillité, ou plutôt, en toute facilité. C’est ainsi, qu’ils refusent à leur population l’accès aux soins et médicaments utiles à l’endiguement du processus de contamination pendant qu’ils mettent les gens en confinement suffisamment longtemps pour pouvoir leur imposer – il s’agit ici de la mise en œuvre de la « servitude volontaire » – un futur vaccin miracle. Ce vaccin, outre son prix financier, sera sans doute agrémenté de sels d’aluminium (qui est devenu l’adjuvant obligatoire), d’ARN messagers (qui permettront de faire, in vivo et à grande échelle, des expériences génétiques sur le génome humain), et surtout de puce RFID, qui permettront à tout un et chacun de recevoir ses rémunérations et d’avoir accès à son compte en banque.

Cette étape de la vaccination obligatoire sera tout à fait décisive pour assurer aux globalistes (banquiers, big pharma et consorts) le contrôle direct sur les populations. Chaque personne devra ainsi obéir sous peine de se voir retirer l’accès à tous ses moyens de subsistances. Étant ici précisé qu’en raison de l’effondrement économique, il est fortement à craindre que les moyens de subsistances ne soient in fine aucunement reliés à un travail individuel productif mais plutôt à un subside universel reçu de l’Etat fantoche entièrement aux ordres des puissances financières.

Strategika – Existe-t-il une issue politique à la situation que vous venez de décrire et quelle forme pourrait-elle prendre selon vous ?

VB : Il faut partir du principe naturel que chaque problème a une solution à la condition exclusive d’être bien posé. Dans le cas présent, bien sûr qu’il existe des issues politiques à ce problème, je dirai même que les seules issues favorables sont de nature politique au sens propre du terme. Autrement dit, seule une reprise en main politique de l’organisation des États par leurs ressortissants pourra aboutir à une issue favorable aux populations. Sinon, nous assisterons au basculement général souhaité par l’oligarchie supranationale vers un gouvernement mondial aux mains des puissances financières, les populations étant vouées à être fortement réduites puis mises en esclavage, pour la partie qui aura survécu.

J’ai, dans mes travaux, expliqué comment la Société pourrait être réorganisée pour devenir réellement politique, c’est-à-dire pour que les ressortissants des Etats puissent devenir acteurs à part entière des choix politiques de leur pays. Il suffit de consulter la partie « Le renouveau institutionnel » situé page 278 et suivantes de mon ouvrage « Les raisons cachées du désordre mondial », publié en mars 2019 aux éditions Sigest. Je ne reviendrai pas ici sur ce sujet qui requiert des développements trop long. Ces développements seront peut-être l’occasion d’un nouvel entretien pour Strategika ?

Strategika – Comment liez-vous la crise actuelle à votre domaine d’expertise et à votre champ de recherche ?

VB : En vérité, cette crise est liée à mes travaux à plusieurs égards. J’ai mentionné, ci-dessus, la question institutionnelle d’organisation des États. Mais ce n’est en effet pas le seul lien. L’autre lien très important est relatif aux évolutions en cours de la monnaie mondiale.

J’ai déjà expliqué à maintes et maintes reprises que le Brexit, dont on peut se féliciter en apparence, avait été initié par les banquiers de la City afin d’avoir toute liberté d’action, en étant libérés des lourdeurs institutionnelles de l’UE, pour piloter le changement de monnaie mondiale.

Comme prévu par Keynes au siècle dernier, le dollar, sous la double casquette de monnaie nationale et de monnaie mondiale, n’était, dès le départ, économiquement pas viable. Ainsi, sa fin prévisible pouvait être programmée. Elle a eu pour première étape sa décorrélation du standard or tandis que la seconde étape, à laquelle nous assistons en direct, est sa décorrélation du standard pétrole qui avait succédé au standard or.

Actuellement, la plupart des pays du monde sont convaincus de l’inanité de conserver le dollar comme monnaie de réserve internationale. Trump lui-même passe à l’action puisqu’il vient de prendre des mesures pour fusionner la Fed et le département du Trésor dans l’objectif de créer, sur le modèle du Yuan et du Renmibi, deux types de dollar : un dollar interne et un dollar devise qui circulera sur les marchés internationaux. Le reset monétaire approche donc à grands pas. Ainsi, une monnaie mondiale viable, contrôlée par les banquiers il va sans dire, pourra bientôt voir le jour, sous forme de panier de devises, qui circulera de façon entièrement dématérialisée.

Je ne détaillerai pas ici – car les développements y seraient trop longs – l’escroquerie bancaire originelle ayant consisté à identifier la monnaie avec un bien matériel (au départ un métal précieux) dans le commerce. Toute une histoire, que je raconte dans mon livre, co-écrit avec le banquier Jean Rémy, intitulé « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », publié en juin 2017 aux éditions Sigest.

J’ajoute que la fin du dollar en tant que monnaie internationale est la condition sine qua non pour qu’advienne une monnaie mondiale viable, du moins selon les critères de fonctionnement économiques et monétaires imposés par les banquiers internationaux. Or, la fin du dollar monnaie mondiale suppose la fin de l’hégémonie de l’empire américain. Dès lors, il devient facile de comprendre que certains membres décisionnaires de cet empire se sont violemment opposés, et s’opposent encore violemment, à ce projet qui aboutira à une disparition de leur situation dominante. Cette partie des dirigeants américains qui se rebellent peut être qualifiée de patriote, il s’agit des gens qui étaient ouvertement impliqués dans la domination du monde par les Américains eux-mêmes. A l’opposé, ces derniers ont pour pires ennemis internes les globalistes apatrides, dont la tête se situe à la City of London, et qui œuvrent en sous-mains pour l’avènement d’un gouvernement mondial, lequel suppose la disparition de l’empire US.

Cette distinction, essentielle à la bonne compréhension des choses, entre dirigeants patriotes et dirigeants apatrides existe également en Chine et en Russie où, par exemple, le gouvernement civil semble dirigé par les partisans des globalistes apatrides tandis que l’armée semble aux mains des dirigeants patriotes, Poutine faisant la jonction entre les deux factions opposées. Concernant la Chine, il faut garder à l’esprit le considérable nettoyage ayant eu lieu depuis des années, y compris dans les plus hautes instances dirigeantes, pour purger l’appareil d’Etat des élites compradores, lesquelles peuvent être reliées aux dirigeants apatrides siégeant à la City of London. Cette opposition entre dirigeants patriotes et dirigeants compradores existe également dans des pays comme l’Iran.

Ainsi, dans cette lutte de nature géopolitique, structurée autour des questions juridiques d’organisation du circuit de commandement, rien ne me semble encore acquis ni pour un camp, ni pour l’autre. Il est néanmoins possible de faire la prévision selon laquelle la victoire serait écrasante pour les patriotes, à la condition que ces derniers s’allient avec leur population et ne cherchent pas à la dominer, comme cela leur a été inculqué par leurs anciens alliés compradores.

Rien ne résisterait à l’alliance entre dirigeants patriotes et populations locales. C’est précisément cette alliance que redoutent les puissances globalistes. Notons à cet égard que les mesures restrictives de liberté ordonnées par les différents gouvernements pour lutter contre la propagation du coronavirus vont à l’encontre de cette alliance naturelle qui permettrait le succès des patriotes sur les globalistes. Vous voyez que les choses ne sont pas simples… et que, décidemment, cette « pandémie de coronavirus » arrive à point nommé pour soutenir la stratégie des globalistes alors que ces derniers étaient en situation de faiblesse…

D’un autre côté, cette pandémie permet des ouvertures inespérées dans la remise en cause générale de la stratégie globaliste. Encore faut-il avoir le courage de saisir cette occasion. Je terminerai mon exposé en disant que les cartes sont actuellement dans les mains des populations civiles : ces dernières ont enfin, phénomène unique dans l’histoire, la possibilité de reprendre leur destin en main ; ce qui signifie, très précisément, qu’elles ont la possibilité de réinstaurer des gouvernements politiques en lieu et place des ersatz actuels entièrement aux mains des puissances financières. Les peuples auront ce qu’ils méritent : ils recevront, s’ils acceptent de se prendre en charge – en contrepartie d’un peu de courage – des fruits extrêmement bénéfiques… mais l’accepteront-ils ? Là est la question… Je profite de ce texte pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond.

Finalement, les lois naturelles, tellement honnies des globalistes [2], reprennent le dessus et les choses vont entrer dans l’ordre : soit on lutte collectivement pour survivre collectivement, soit on ne lutte pas collectivement et ce sera la fin de la civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.

Source : Stratégika

NOTES 

[1] Cela nous rappelle ce qui s’est passé en Tunisie et ailleurs (Égypte, Libye, etc.) lors du sinistre Printemps Arabe. Des criminels de haut vol ont été récupérés par les Islamistes et libérés immédiatement: moyennant des salaires mirobolants, ces criminels ont été recyclés pour devenir des « djihadistes », c’est-à-dire des criminels qui tuent « au nom d’Allah ». Cela veut dire que les normes humaines ne les concernent pas. On a vu (et on continuera de voir) ce qu’ils ont fait (et ce qu’ils feront) en Syrie, en irak, en Libye, en Égypte, en Tunisie, en Europe et ailleurs. Le capo di capi de ces criminels s’appelle Recep Erdogan, et son plus proche lieutenant s’appelle Rached Ghanouchi, président actuel la chambre des députés du Tunistan.  Ce sont les chefs politiques et idéologiques de tous les terroristes islamistes dans le monde. Naturellement, l’Occident le sait et les aime, malgré leurs innombrables erreurs. Mais ils lui rendent tellement de services, qu’il est toujours prêt à les soutenir.

[2] Dans cet article, Valérie Bugault fait gaffe à ses os : elle ne dit pas explicitement qui sont les mondialistes, ces apatrides qui dirigent la City de Londres et la finance internationale.  Pour le lecteur non avisé, et qui n’aurait pas déviné qui sont ces gens qui se cachent derrière le langage prudent de V. Bugault, voici  :

Fils de Labo — Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Fils de Labo DE MATTHIEU BAUMIER 4 AOÛT 2019 Lincorrect ©Nicolas Pinet Le philosophe, codirecteur du Département d’éthique biomédicale du Collège des Bernardins, spécialiste des questions liées à la bioéthique et au transhumanisme, Dominique Folscheid vient de publier un essai percutant qui tombe à point nommé. Made in labo, sous-titré De la procréation artificielle au transhumanisme, est […]

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Historique : Trump face au peuple sans frontière des migrants et à ses colonnes infernales

Venue d’Amérique latine, une colonne de 7.000 migrants se dirige vers les USA, revendiquant le droit d’y établir un « peuple sans frontière ». Si elle passe, des colonnes infernales de nomades prédateurs seront partout fondées à envahir le Nord. Un devoir historique incombe à Trump. Le dix-huitième siècle français a inventé le mot sensibilité et la […]

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Remplacement de population:«Relocalisation» par l’UE des faux réfugiés et envahisseurs par pays et par nombre

L’Union européenne a «relocalisé» – c’est-à-dire s’il est offert des trajets gratuits – plus de 45 000 envahisseurs non blancs prétendant être des réfugiés, les transférant de Grèce et d’Italie vers d’autres États membres de l’UE à compter du 30 avril de cette année, selon les chiffres officiels.

En regardant cette carte de « Relocalisation »,on voit qu’il s’agit d’un agenda caché,un plan!

 

Selon les statistiques conservées par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) des Nations Unies , un total de 34 694 envahisseurs – 22 005 de Grèce et 12 689 d’Italie – ont été «transférés» dans 24 autres États européens depuis le début du programme. Cela n’inclut pas les 11 000 personnes qui ont été envoyées au Royaume-Uni.

Selon les chiffres de l’OIM, au 30 avril 2018, les nations suivantes avaient «reçu» des envahisseurs comme suit:

Autriche: de Grèce 0; D’Italie 43; Total 43.

Belgique: de Grèce 700; D’Italie 471; Total 1.171.

Bulgarie: de Grèce 50; D’Italie 10; Total 60.

Croatie: De la Grèce 60; D’Italie 22; Total 82.

Chypre: depuis la Grèce 96; D’Italie 47; Total 143.

République tchèque: de Grèce 12; D’Italie 0; Total 12.

Estonie: depuis la Grèce 141; D’Italie 6; Total 147.

Finlande: De la Grèce 1 202; D’Italie 778; Total 1 980.

France: depuis la Grèce 4 400; D’Italie 635; Total 5 035.

Allemagne: De la Grèce 5 391; D’Italie 5.434; Total 10 825.

Irlande: De Grèce 1 022; D’Italie 0; Total 1 022.

Lettonie: de Grèce 294; D’Italie 34; Total 328.

Liechtenstein De Grèce 10; D’Italie 0; Total 10.

Lituanie de Grèce 355; D’Italie 29; Total 384.

Luxembourg depuis la Grèce 300; D’Italie 249; Total 549.

Malte de la Grèce 101; D’Italie 67; Total 168.

Pays-Bas De Grèce 1 755; D’Italie 1 020; Total 2,775.

Norvège de Grèce 693; D’Italie 815; Total 1 508.

Portugal De la Grèce 1 192; D’Italie 356; Total 1 548.

Roumanie de la Grèce 683; D’Italie 45; Total 728.

Slovénie de Grèce 172; D’Italie 81; Total 253.

Slovaquie De Grèce 16; D’Italie 0; Total 16.

Espagne De Grèce 1 124; D’Italie 235; Total 1 359.

Suède De Grèce 1 656; D’Italie 1 392; Total 3 048.

Suisse De Grèce 580; D’Italie 920; Total 1500.

La Grande-Bretagne est notamment absente de ces chiffres de l’OIM, pour des raisons inconnues. Cependant, cela ne signifie pas que le Royaume-Uni n’a pas participé au programme. Jusqu’à présent, selon les chiffres officiels, au moins 11 000 faux réfugiés ont été accueillis par ce pays depuis le début des «réinstallations» .

Le programme de «relocalisation» a été adopté en septembre 2015 «pour reloger les demandeurs d’asile italiens et grecs, afin de les aider à faire face aux pressions de la crise des réfugiés».

Dans le cadre de ce programme, jusqu’à 106 000 envahisseurs «susceptibles de traiter leurs demandes avec succès (taux de reconnaissance moyen de l’UE supérieur à 75%) devaient être délocalisés de Grèce et d’Italie, où ils étaient arrivés, vers d’autres États membres où ils souhaiteraient voir leurs demandes d’asile traitées. « 

La majorité d’entre eux étaient des hommes (63%), des adultes (68%) et des nationalités syrienne (52%), érythréenne (35%) et irakienne (11%). Le programme comprenait également 585 «mineurs non accompagnés».

C’est ce stratagème auquel les gouvernements hongrois et polonais se sont opposés et dans lequel ils ont refusé de participer, affirmant qu’aucun de ces soi-disant «réfugiés» ne fuyait pour sauver leur vie et que tous avaient un refuge leur pays d’origine ou dans des États beaucoup plus proches de leur domicile.

 

 

 

Afrique du Sud: 55 meurtres et 109 viols chaque jour, alors que la vague de crimes noirs continue d’envelopper le pays

En Afrique du Sud, entre 2017 et 2018, 55 meurtres, 109 viols, 137 infractions à caractère sexuel, 878 agressions, 44 vols de voiture et 819 cambriolages ont eu lieu chaque année, et au moins 5 meurtres par mois, selon les chiffres officiels publiés par le Sud. Services de police africains (SAPS).

 

 

Le SAPS «Statistiques de la criminalité 2017/2018» a été publié le 11 septembre 2018 lors d’une réunion d’information spéciale donnée au Parlement sud-africain par le ministre de la police sud-africain, Bheki Cele.

Selon les chiffres, pour la période d’avril 2017 à mars 2018, il y avait

20 336 meurtres, ou 55 par jour;

50 108 infractions sexuelles, soit 137 par jour;

18 233 tentatives de meurtres, soit 49 par jour;

167 352 agressions avec l’intention d’infliger des lésions corporelles graves, ou 458 par jour;

156 243 voies de fait simples, ou 428 voies de fait par jour;

50 730 vols qualifiés, soit 138 par jour;

138 364 vols qualifiés avec circonstances aggravantes, ou 379 par jour;

40 035 viols, soit 109 par jour;

6 786 agressions sexuelles, ou 18 par jour;

2 066 tentatives d’infractions sexuelles, ou 5 par jour;

1 221 infractions sexuelles avec contact, ou 3 par jour;

16 325 carjackings, soit 44 par jour;

22 261 vols qualifiés dans des locaux résidentiels, ou 60 vols par jour;

20 047 vols qualifiés dans des locaux non résidentiels, ou 54 vols par jour;

71 195 cambriolages dans des locaux non résidentiels, ou 195 par jour;

228 094 cambriolages dans des locaux résidentiels, ou 624 par jour;

50 663 vols de véhicules à moteur et de motocycles, ou 138 par jour;

129 174 vols de ou à partir de véhicules à moteur, ou 353 par jour;

28 849 vols de stock ou 79 par jour;

302 656 «tous les vols non mentionnés ailleurs» ou 829 par jour;

73 277 «crimes commerciaux» ou 200 par jour;

62 180 vols à l’étalage, soit 170 par jour;

17 558 possession illégale d’armes à feu et de munitions, ou 48 par jour;

323 547 «crimes liés à la drogue», ou 886 par jour.

En outre, il y avait 238 vols qualifiés d’espèces dans des véhicules de transport en commun; 13 vols de banque; et 1 202 détournements de camions.

Selon M. Cele, les 20 336 meurtres enregistrés étaient de 1 320 de plus que l’année précédente, une statistique qui, selon lui, a placé l’Afrique du Sud «près d’une zone de guerre… mais nous ne sommes pas en guerre».

Le SAPS n’a publié aucune statistique raciale avec son rapport annuel sur la criminalité – une omission inutile car tout le monde en Afrique du Sud sait que 99,99% des criminels en Afrique du Sud sont noirs.

* L’Union agricole du Transvaal (TAU), l’un des plus grands syndicats paysans représentant les agriculteurs blancs, a publié une déclaration dans laquelle elle déclarait que «selon le service de police de la SA, 62 meurtres ont été commis au cours du dernier exercice.

«Cependant, la base de données de TAU SA reflète un chiffre de 70, ce qui implique un chiffre légèrement supérieur à 10% par rapport aux statistiques officielles. Cette différence et la nécessité de parler d’une seule voix sur un sujet qui suscite de plus en plus l’intérêt international, exigent une consolidation ».

Manifestation de fermiers blancs près de Pretoria.
De plus en plus les sud-africains noirs manifestent contre ce type de racisme meurtrier et sauvage qui relève davantage de la vengeance.
A l’autre côté du spectre,les afrikaners s’entraînent et se préparent mentalement.

 

 

 

Nouvel ordre Mondial:Le Parti Islamique Belge annonce que «l’État islamique à 100%» est l’objectif final

Le Partij Islam espère probablement bien faire dans les zones à forte densité de population musulmane comme Molenbeek et Anderlecht où le parti a déjà une certaine représentation, rapporte HLN.

On se permet même un selfie…Il ne manque que Justin Trudeau,l’ami canadien des islamistes pour ajouter a l’insulte!
Le parti islamique belge Partij Islam doit présenter des candidats dans 28 municipalités lors des prochaines élections municipales belges et a déclaré son intention de créer un Etat islamique dans lequel les femmes et les hommes doivent monter dans des bus séparés.

Le conseiller municipal d’Anderlecht, Redouane Ahrouch, trésorier du parti, a déclaré aux médias belges: « Notre objectif est un Etat islamique à cent pour cent ».

Ahrouch, qui travaille également comme conducteur de bus à Anderlecht, a déclaré que de nombreuses femmes se sont plaintes auprès de lui que des hommes essayaient de les harceler sexuellement et de les attraper. Sa solution au problème, a-t-il dit, est de séparer les transports publics par sexe afin que les femmes aient leurs propres bus.

Le parti estime également que toute femme devrait être autorisée à porter le foulard islamique partout où elle veut et que toutes les écoles du pays devraient être obligées d’offrir de la viande halal dans leurs menus scolaires. L’année dernière, la Cour européenne des droits de l’homme a confirmé l’interdiction belge du port du voile intégral en public.

Le secrétaire d’Etat belge à l’Asile et à la Migration, Theo Francken, a critiqué les positions du parti en déclarant: « Les femmes n’ont pas de droits dans leur monde de la  charia. Et cela commence avec des transports publics séparés. Je suis dégoûté par cette soirée ISLAM. C’est cracher sur l’Europe. « 

Un prospectus du Parti Islam

Le parti n’est pas le premier parti islamique en Europe, puisque des partis similaires se sont formés à travers le continent dans des pays comme les Pays-Bas, l’Autriche et la Suède.

Denk, un parti musulman centré sur la communauté turque aux Pays-Bas, a remporté plusieurs sièges lors des élections nationales de l’année dernière, et le parti islamique Nida à Rotterdam a tenté de s’allier avec les partis de gauche cette année. le parti qui a comparé Israël à l’État islamique en Syrie et en Irak.

En Suède, le parti Jasin s’est vu refuser l’enregistrement par la commission électorale du pays après que des révélations ont révélé qu’il avait été pris sous contrôle  par des extrémistes islamistes radicaux.

Avis aux Phillippe Couillard,Justin trudeau et Emmanuel Macron de ce Monde