Alerte Fukushima:Les millions de tonnes métriques d’eau irradiée de la centrale de Fukushima seront déversées dans le Pacifique dans deux ans

Sous le couvert de la fausse pandémie,le gouvernement japonais a annoncé mardi que l’eau radioactive décontaminée provenant de la centrale nucléaire de Fukushima sera déversée dans l’océan Pacifique dans deux ans.

 

Cette décision a rapidement été condamnée par les pêcheurs de la région, les résidents et les voisins du Japon.

Déjà les manifestants contre le projet le plus nocif jamais imaginé,envahissent les rues de Tokyo.

La décision était attendue de longue date, mais elle était retardée en raison de la colère qu’elle suscite et de préoccupations liées à la sécurité. Elle a été prise lors d’une rencontre du gouvernement japonais, qui estime qu’il s’agit de la meilleure option.

L’eau qui s’accumule est stockée depuis 2011 dans des réservoirs sur le site de la centrale de Fukushima Daiichi, dont les réacteurs ont à ce moment été endommagés par un tremblement de terre et un tsunami. L’eau de refroidissement a alors été contaminée et a commencé à fuir. Les capacités de stockage maximales de la centrale seront atteintes à la fin de l’an prochain.

Le premier ministre Yoshihide Suga a dit que le déversement dans l’océan est l’option la plus réaliste et qu’on doit se débarrasser de l’eau pour pouvoir démanteler la centrale, un projet qui prendra des dizaines d’années.

Il a assuré que le gouvernement mettra tout en oeuvre pour vérifier que l’eau est sécuritaire et pour venir en aide à l’agriculture, aux pêcheries et au tourisme de la région.

Le gestionnaire de la centrale, Tokyo Electric Power Co., et le gouvernement expliquent que le tritium, qui est inoffensif en petites quantités, ne peut être éliminé de l’eau, mais que les concentrations de tous les autres radionucléides ciblés peuvent être abaissées à des niveaux permettant le rejet de l’eau dans l’environnement. Des scientifiques préviennent qu’on ne sait rien des conséquences à long terme pour la vie marine d’une exposition à de telles quantités d’eau faiblement contaminée.

Le gouvernement met l’emphase sur la sécurité de l’eau, affirmant qu’il s’agit d’eau «traitée» et non «radioactive», même si les concentrations de radionucléides peuvent seulement être réduites et non complètement éliminées. La quantité de matériel radioactif qui persisterait dans l’eau n’est pas connue.

Le rejet de l’eau dans l’océan serait la solution la plus réaliste, selon un comité gouvernemental qui s’est penché sur la question pendant près de sept ans.

Selon le plan adopté par le gouvernement mardi, TEPCO commencera à rejeter l’eau dans environ deux ans, après avoir construit un édifice et élaboré des procédures qui respectent les normes de sécurité. Le plan affirme que le rejet de l’eau ne peut être remis à plus tard, et qu’il est essentiel pour améliorer l’environnement autour de la centrale et permettre aux résidents d’y vivre en sécurité.

Des résidents, des représentants des pêcheurs et des groupes environnementaux affirment tous que la décision fait fi de la santé et de la sécurité environnementales, et qu’elle nuira encore plus à l’image et à l’économie de Fukushima.

Un représentant des pêcheurs locaux, Hiroshi Kishi, a dit que l’annonce de cette décision, moins d’une semaine après sa rencontre avec M. Suga, «piétine» tous ceux qui vivent de la pêche au Japon.

Les pêcheries locales reprennent à peine leurs activités après une décennie pendant laquelle leurs prises ont seulement servi à des tests, et elles peinent à survivre à une chute de la demande.

Des manifestants se sont massés devant le bureau du premier ministre pour réclamer l’annulation du projet.

Environ 70 % de l’eau dans les réservoirs est trop contaminée pour être rejetée dans l’environnement telle quelle. Elle devra donc être retraitée et diluée avec de l’eau de mer auparavant, explique le rapport. Des calculs préliminaires indiquent qu’il faudra près de 40 ans pour rejeter toute l’eau dans l’océan, mais que l’opération sera terminée bien avant que la centrale n’ait été entièrement démantelée.

Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Rafael Mariano Grossi, a dit dans une vidéo que le rejet dans l’océan respecte les pratiques internationales, tout en admettant que «la quantité énorme d’eau à la centrale de Fukushima en fait une affaire unique et complexe».

La Chine et la Corée du Sud ont réagi fortement à la décision de mardi.

Un ministre sud-coréen, Koo Yun-cheol, a dit que le plan est «absolument inacceptable» et a demandé au Japon de dévoiler comment l’eau sera traitée et sa sécurité vérifiée. La Corée du Sud interdit l’importation de fruits de mer provenant de certaines régions du Japon depuis 2013 et pourrait resserrer cette mesure.

La Chine a décrié une décision «extrêmement irresponsable», accusant le Japon de ne pas respecter la santé des pays voisins.


Voir nos articles antérieurs relatifs à la catastrophe qui se prépare

Nouvelle en développement:Le Japon s’apprête à inonder le Pacifique avec 1 million de tonnes d’effluent radioactif

 

 

 

Alerte Fukushima:Des déchets radioactifs à perte de vue sur l’ensemble des sites

 


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Sur ce lien: VINTAGE PAR MICHEL

 

 

 

 

Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima! Trop forts des japonais ! — La vérité est ailleurs

Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima Publié par wikistrike.com sur 9 Septembre 2018, 08:45am Catégories : #Santé – psychologie Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima Par Tyler Durden Plus de sept ans après le tremblement de terre et le tsunami qui ont dévasté […]

via Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima! Trop forts des japonais ! — La vérité est ailleurs

Alerte Fukushima:Tepco reconnaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits du réacteur 2

Le 30 juin 2016, Tepco reconnaissaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits dans le réacteur 2.

La photo interne du réacteur no 2 qui dérange:la matière en fusion radioactive s’est répandu partout.

Depuis ce temps,Tepco a effectué une recherche en balayage aux muons avec le KEK (High Energy Accelerator Research Organization).
Tepco décrit les résultats de cette recherche en disant qu’il est hautement probable que la majeure partie des combustibles nucléaires fondus soient restés au fond du réacteur, à l’intérieur de ses structures. Ils ont aussi détecté une partie des combustibles fondus contre un mur du réacteur. Ceci signifie que le magma a éclaté en plusieurs morceaux, restés en différents endroits.Les scientifiques de  Tepco ne précisent pas le pourcentage de combustible fondu qu’ils ont pu détecter.
Tepco n’identifie pas non plus les endroits, donc on ne peut être certain que le combustible fondu soit entièrement resté dans l’enceinte pressurisée du réacteur ou en dehors dans l’enceinte de confinement principale.

Donc,il est presqu’impossible de pouvoir dormir tranquille là-dessus car on ignore le développement réel  de la situation interne du réacteur no 2 qui,comme on le sait,a atteint un niveau record de radio-activité.


Iori Mochizuri avec son seul compagnon.

*Une information de notre correspondant  Iori Mochizuki,à Fukushima.
Il était à Yokohama, qui  se trouve environ 300 km de la centrale nucléaire de Fukushima lorsque l’événement du  311 a  eu lieu.
Il a commencé à écrire quand il a été obligé de recueillir des informations pour décider de partir  ou non.
En ce moment, c’est le seul correspondant de nouvelles au monde sur le sujet de Fukushima qui écrit en anglais en tant que  citoyen japonais qui était là le 11/03/2011.

Plusieurs articles sont publiés tous les jours et tous les articles portent sur la situation actuelle du plan de Fukushima, les problèmes de santé en cours chez les Japonais, la situation des médias et les effets globaux, etc. La plupart ne sont pas couverts par les médias partout dans le monde.

Iori Mochizuki doit constamment  se  méfier des autorités japonaises qui cherchent à le faire taire car il exporte les information à l’extérieur du Japon.

 

 

 

Alerte Fukushima: grave élévation du niveau de radioactivité sur les fruits de mer

 

Bronwyn Delacruz

 

Bronwyn Delacruz, une étudiante de l’école secondaire de Grande Prairie, Alberta, Canada a découvert qu’une variété de fruits de mer, en particulier les algues, sont imprégnées de niveaux élevés de rayonnement. (1) (7) Après cela,elle est devenue préoccupé par le peu d’inspection des aliments sur les étalages canadiens qui devrait effectivement  avoir  lieu avec notre nourriture, et de découvrir que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a cessé ses tests d’ essai  sur les aliments importés (cf: pour évaluer le rayonnement) en 2012.Depuis lors,elle a décidé de mener ses propres tests et ses propres enquêtes.

Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.
Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.

Elle a utilisé un compteur Geiger (que d’autres ont fait et ont également trouvé des niveaux élevés de rayonnement) dans le cadre d’un projet de science, qui se affiche à la Foire nationale canadienne .

Certains des échantillons de  varech que je ai trouvé était plus élevé que ce que l’Agence internationale de l’énergie atomique établit que la contamination radioactive, qui est de 1450 compte sur une période de 10 minutes. Certains de mes échantillons ont atteint des niveaux  comme 1700 ou 1800.   (1)

 

 

 

Elle assiste le Composite High School, et elle a testé plus de 300 échantillons individuels d’algues, avec 15 marques exportées du Nouveau-Brunswick, la Colombie-Britannique, la Californie, Washington, la Chine et le Japon. Chaque produit a été acheté dans un magasin d’épicerie Alberta.

Je voulais juste pour voir s’ils ont  été contaminé et j’ai trouvé des niveaux de contamination radioactive dans tous les échantillons », dit-elle. «Je suis un peu inquiète que tout cela atterrisse dans nos épiceries. Le niveau du varech était plus élevé que ce qui a été considéré comme dangereux, certains d’entre eux se rapprochait de 1700, 1800 (chiffres) »  (7)

Comme la plupart d’entre vous, la lecture de tout cela,vous  saurez, lorsqu’il s’agit de catastrophes environnementales, les retombées nucléaires de Fukushima sont parmi les pires qui se sont passé dans l’histoire. Nous parlons d’un incident qui continue de produire plus  de 300 à plus de 450 tonnes d’eau contaminée qui contient de l’iode radioactif, le césium et le strontium-89-90 fuite dans l’océan Pacifique sur une base quotidienne, même des années après que  l’événement a eu lieu .

Il n’y a pas longtemps, des poissons avec des niveaux mortels de césium radioactif ont été capturés au large de la côte de Fukushima. Plusieurs poissons ici ont montré des  niveaux de radioactivité qui ne sont pas sans danger pour la consommation humaine. L’un des échantillons (une dorade noire) pris à  40 kilomètres au sud de la centrale,a été  testé à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif, ce qui en fait 124 fois plus mortel que le seuil considéré comme sûr pour la consommation humaine.  (3)

La fameuse dorade noie testée à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif.Ce poisson aurait une dose létale 124 fois plus puissance que l’être humain peut supporter.

Mais comme ce rayonnement a atteint l’Amérique du Nord,qu’en est-il des aliments importés? Selon des chercheurs de l’Australie, la France et l’Espagne:

Suite à la catastrophe de Fukushima de Mars 2011, de grandes quantités d’eau contaminés par des radionucléides, y compris du césium-137, ont été libérés dans l’océan Pacifique. Avec une demi-vie de 30,1 années, le Cs-137 a le potentiel de se déplacer sur de grandes distances à l’intérieur de l’océan. Notre recherche suggère que les courants  d’eau près de  Fukushima vont faire  dériver le  Cs-137 qui va pénétrer l’océan intérieur et s’étendre aux autres bassins océaniques au cours des deux prochaines décennies et au-delà.  (2)

Les scientifiques ont estimé que à partir de  2014 , le panache radioactifs de la catastrophe de Fukushima ,s’échappant de la centrale nucléaire depuis 2011 ,a déjà atteint les côtes de l’Amérique du Nord, malgré que l’alarme au  rayonnement atmosphérique avait été  détecté sur la côte ouest américaine, quelques jours après l’incident. Les modèles  par ordinateur ont tous également identifié que le rayonnement voyagerait  à travers les océans du monde pour les années à venir . ( 4 ) ( 5 )

Bien que,”officiellement parlant”, les évaluations gouvernementales venant des ministères  de la santé publique ont été faites illustrant que les particules radioactives qui font leur chemin jusqu’aux eaux d’Amérique du Nord auront un effet limité sur la santé humaine, beaucoup de gens ne le croient pas, et le projet de l’école secondaire de Bronwyn semble soulever de nombreuses questions.

Les quantités de rayonnement de fuite sont nocives pour la planète et la santé de toutes les espèces, y compris les humains. Une version majeure de la radioactivité, comme celle de Fukushima, est une préoccupation majeure, avec les inconnues restant autour de nombreux risques pour la santé à long terme tels que le cancer,les mutations animales,etc. (4) (5)

Une étude publiée dans la revue par des pairs  au Journal of Pediatrics  a constaté que l’iode radioactif de Fukushima a provoqué une augmentation significative de l’hypothyroïdie chez les bébés en Californie. (6)  Même si le Japon est de 5000 miles à travers l’océan Pacifique, l’étude a révélé que  les niveaux très élevés de rayonnement bêta atmosphériques sur la côte ouest sont directement corrélés avec cette tendance courante chez les nouveau-nés après la catastrophe nucléaire de Fukushima.

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DE NOMBREUSES NOUVELLES ESPÈCES EN MUTATION  …DONT UN MONSTRUEUX PRÉDATEUR

 

http://http://www.gentside.com/embed/E2A2B0aXwM_n2AXHAD4tqA
Australie : Un requin blanc de 3 mètres mangé par un super-prédateur ? 

 

Au cours d’une étude scientifique réalisée au large des côtes australiennes, le chercheur Dave Riggs a fait une découverte surprenante. Après avoir posé une balise sur un requin adulte de 3 mètres, celui-ci a retrouvé quelques mois plus tard l’appareil échoué sur une plage sans plus aucune trace du squale. En examinant la balise de plus près, le chercheur a conclu que le requin avait certainement été avalé tout cru par un monstre marin encore inconnu. Qu’a-t-il bien pu arriver à cette femelle requin que Dave Riggs et son équipe étaient parvenus à étiqueter quelques mois plus tôt dans le cadre d’une expérience scientifique? Après l’avoir relâché dans la nature, ceux-ci ont réalisé avec stupeur que quelques temps plus tard, le grand squale avait disparu au fond même de l’estomac d’un autre prédateur… La disparition mystérieuse d’un requin blanc Au cours d’un grand projet d’étiquetage des requins blancs qui se déroulait en Australie, Dave Riggs et son équipe s’étaient employés à marquer un requin femelle de 3 mètres afin de pouvoir suivre ses pérégrinations au large des côtes. Mais 4 mois plus tard, les scientifiques sont tombés des nues lorsqu’ils ont découvert la balise échouée seule sur une plage, et plus de requin du tout! En examinant d’un peu plus près la pièce contenant des informations sur l’itinéraire du grand blanc, Dave Riggs et ses équipiers ont fait une découverte plutôt troublante. La veille de Noel, le requin se serait dirigé à grande vitesse vers le fond de l’océan à près de 600 mètres de profondeurs où les températures avoisinent les 7 °C. En quelques secondes, la balise aurait ensuite enregistré un brusque changement de température équivalent à 26 degrés Celsius. Pour les chercheurs, pas de doute: le requin avait certainement dû se retrouver avalé dans le ventre d’un animal encore bien plus imposant que lui. Sur la piste d’un squale cannibale ? Car selon Dave Riggs, il ne fait aucun doute qu’un tel écart de températures ne peux s’expliquer que par le fait que le requin de 3 mètres a certainement été avalé tout rond par un autre animal. Reste à savoir lequel? Super-prédateur, squale cannibale? Quel genre de monstre marin le requin marqué par l’équipe de Dave Riggs a-t-il pu rencontrer le jour de sa disparition? Selon les hypothèses avancées, celui-ci aurait pu croiser la route d’une créature capable de mesurer plus de 5 mètres de long et de peser près de 2 tonnes.

 

 

 

 


LE CANADA DANS TOUT CELA

 

Delacruz espère également attirer l’attention des législateurs à Ottawa une pétition exhortant le gouvernement fédéral à faire plus de tests de rayonnement sur la nourriture.

L’ACIA déclare en ligne qu’il « continue de surveiller les événements au Japon », mais n’a pas de plans immédiats pour reprendre les tests de rayonnement régulier, notant que « les contrôles japonais sur la vente de produits contaminés restent intacts. »

L’agence a fait des tests approfondis sur une variété d’aliments pour un an et demi après la catastrophe nucléaire au Japon, mais n’a trouvé aucune source de préoccupation à ce moment-là.

« Plus de 200 échantillons d’aliments ont été testés et tous ont été jugés en deçà des niveaux de radioactivité de une action de Santé Canada, » l’ACIA indique dans un affichage Février 2014 son site Web . « À ce titre, l’amélioration des contrôles à l’importation ont été levées et aucun test supplémentaire n’est prévu. »

Donc,nous ,les consommateurs québécois et canadiens,sommes abandonnés  à nous-mêmes afin que la loi néolibérale du libre-marché puisse continuer à survivre…avec  les profits capitalistes qui vont avec.

Triste société qui ose prétendre respecter le droit,la démocratie,le bonheur,le respect…!Youhou Justin Trudeau sort de tes prières islamiques!

 

 

Que pouvons-nous faire à ce propos?

Pour nous ignorer complètement cette situation et nier ce ne est pas la réponse, ce est pourquoi la sensibilisation continue est essentielle pour apporter des changements. Une chose que nous pouvons faire à ce sujet, comme un eefort collectif humain, est de changer la façon dont nous regardons les méthodes de production d’énergie. De toute évidence,   nous ne avons pas besoin de réacteurs nucléaires pour bouillir l’eau pour produire de la vapeur afin de pousser une turbine qui produit de l’électricité, il y a de meilleures façons et il est temps de les mettre en œuvre.

Un autre aspect très important est la puissance de la conscience. Un certain nombre d’études scientifiques ont prouvé que la conscience seule a le pouvoir de modifier le monde matériel physique que nous percevons autour de nous (vous pouvez en lire plus à ce sujet  ici ), ce qui inclut la guérison par intention. Par la sensibilisation, et vraiment réaliser combien dommageable ces retombées sont néfastes et négatives pour toutes les formes de vie. Il nous faudra une grande quantité d’amour, la prière et l’intention de cicatriser  ces blessures  dirigées vers nos eaux et la région environnante. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que la puissance de la conscience joue un rôle important dans le nettoyage de ce gâchis.

Fukushima est juste une autre occasion pour la race humaine de se réveiller.Il ne  nous sera pas donné des possibilités illimitées, mais ces événements  nous serviront à ouvrir les yeux sur notre potentiel illimité pour créer quelque chose de nouveau,UNE ÈRE NOUVELLE, et d’exploiter d’une manière qui est plus en harmonie avec la planète et tous les êtres avec qui  nous partageons notre petite planète bleue.

Il y a aussi des exemples de scientifiques offrant des solutions. Un de ces exemples proviennent de la Fondation Keshe, et vous pouvez en savoir plus à ce sujet  ici .

 

Sources:

(1) http://metronews.ca/news/calgary/982233/alberta-students-science-project-finds-high-radiation-levels-in-grocery-store-seafood/

(2) http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S096706371300112X

(3) http://rt.com/news/fukushima-fish-cesium-radiation-548/

(4) http://www.davidsuzuki.org/blogs/science-matters/2013/10/despite-fukushima-scientists-say-eating-west-coast-fish-is-safe/

(5) http://www.climatescience.org.au/content/336-fukushima-radioactive-plume-reach-us-three-years

(6) http://www.scirp.org/journal/PaperInformation.aspx?PaperID=28599#.U0WMjV5n9GE

(7)  http://www.dailyheraldtribune.com/2014/03/25/local-science-project-finds-high-levels-of-radiation-in-seaweed

https://twitter.com/gpchs_gppsd

http://www.gppsd.ab.ca/school/gpcomposite/Pages/default.aspx

Alerte Danger Planétaire:les radiations en provenance de Fukushima ont atteint un niveau “inimaginable”

De septembre 2012 à novembre 2014,les fuites radioactives conséquentes à l’arrosage continue des réacteurs sont passées de 200 à 450 tonnes d’eau métriques chaque jour.Depuis janvier 2017,tout semble s’aggraver sans possibilité  d’en  connaître beaucoup plus.Mais depuis l’an passé,les fuites  d’informations ont forcé TEPCO à rendre public certaines informations,mais le gouvernement japonais censure tout.

 

Le niveau des radiations à l’ intérieur d’ un des réacteurs endommagés à la centrale nucléaire de Fukushima a atteint un ” inimaginable niveau” selon les experts. Parce que beaucoup de matériel nucléaire de Fukushima a échappé dans l’océan Pacifique, il y a beaucoup de scientifiques qui croient que ce fut la pire catastrophe écologique de l’histoire de l’ humanité, mais la plupart des gens dans la population générale semblent penser que , puisque les médias traditionnels vraiment ne parlent pas à ce sujet plus que tout doit être sous contrôle. Malheureusement, ce n’est pas vrai du tout. En fait, PBS arapporté l’an dernier que « il est inexact de dire que Fukushima est sous contrôle lorsque lesniveaux de radioactivité dans l’océan indiquent des fuites en cours “. Et maintenant , nous venons d’ apprendre que le niveau de rayonnement à l’ intérieur du réacteur 2 est si élevé qu’aucun humain ne pourrait survivre à une simple exposition.

Grues sur la centrale de Fukushima Daiichi en Février 2016. Le processus de démantèlement devrait prendre environ quatre décennies

Selon le Japan Times , le niveau de rayonnement à l’ intérieur de la zone de confinement du réacteur 2 est maintenant estimé à «530 sieverts par heure” …!

Le niveau de rayonnement dans l’enceinte de confinement du réacteur 2 à la centrale de Fukushima n ° 1  (qui est endommagée) a atteint un maximum de 530 sieverts par heure , le plus élevé depuis la crise de “triple core” en Mars 2011,a déclaré Tokyo Electric Power Co. Holdings Inc. .

Tepco a déclaré jeudi ,16 mars 2017 que la lecture de la radioactivité a été prise à l’entrée de l’espace juste en dessous de la cuve sous pression, qui contient le cœur du réacteur.

Le chiffre élevé indique qu’une partie du combustible fondu qui s’est échappé de la cuve sous pression est rendu à proximité.

Photo du réacteur no 2,le 30 janvier 2017

 

Photo prise par le petit robot sous le réacteur.

 

 

 

 

Il est difficile de trouver les mots pour exprimer la gravité de tout cela.

Si vous avez été exposé à un niveau de seulement 10 sieverts par heure de rayonnement, cela signifierait une mort presque certaine. Donc , 530 sieverts par heure est tout simplement hors des cartes,hors des normes. Selon le Guardian , cette mesure récente est décrite par les scientifiques comme «inimaginable» …

La lecture récente, décrite par certains experts comme «inimaginable», est beaucoup plus élevé que le précédent record de 73 sieverts une heure dans cette partie du réacteur,il y a peu de temps encore.

Une seule dose d’un sievert est suffisante pour causer la maladie d’irradiation et des nausées; 5 sieverts serait tuer la moitié des personnes exposées dans un délai d’ un mois, et une dose unique de 10 sieverts se révéler fatale en quelques semaines .

Et vraiment l’une des plus  mauvaises nouvelles est qu’il semble y avoir un trou de 2 mètres qui a été créé par la fonte du  combustible nucléaire  “dans la grille métallique sous la cuve sous pression dans la cuve de confinement primaire du réacteur” . Ce qui suit vient de Bloomberg

“De nouvelles photographies montrent ce qui peut être du combustible nucléaire fondu qui aurait coulé   sous l’un des réacteurs  (épaves) de Fukushima  , un jalon potentiel dans la recherche et la récupération du carburant près de six ans après avoir été perdu dans l’une des pires catastrophes atomiques dans l’histoire.

Tokyo Electric Power Co. Holdings Inc., la plus grande entreprise de services  du Japon, a publié des images lundi montrant une grille sous le réacteur  No 2 de Fukushima Dai-Ichi  recouvert de résidu noir. La société, mieux connu comme Tepco, a  envoyé  une espèce de robot  développé spécialement pour investiguer à Fukushima   pour déterminer la température et de la radioactivité du résidu.”

http://www.youtube.com/watch?v=infVQiVgW1k

Si cela ne suffit pas  à vous faire peur, une source de nouvelles japonaise rapporte que ce combustible nucléaire fondu “a depuis été en contact avec de l’ eau souterraine qui coule du côté de la montagne” ...

Le combustible fondu a depuis été en contact avec de l’ eau souterraine qui coule du côté de la montagne, la production d’ eau contaminés par la radioactivité tous les jours . Afin de démanteler le réacteur, il est nécessaire de retirer le combustible fondu, mais des niveaux élevés de rayonnement à l’intérieur du réacteur avait entravé le travail pour localiser les débris fondu.

Si cette catastrophe aurait été seulement limitée au Japon, tout l’hémisphère nord ne serait pas en danger.

Mais ce n’est pas le cas.

La plupart de la contamination nucléaire de Fukushima a fini dans l’océan Pacifique, et de là il a été littéralement pris dans le reste de la planète. Ce qui suit a été signalé par PBS

Plus de 80 pour cent de la radioactivité des réacteurs endommagés a fini dans le Pacifiquebien plus que le niveau atteint à  Tchernobyl ou à Three Mile Island. De cette somme , une petite fraction est actuellement sur le fond – le reste a été emporté par le courant Kuroshio, une version du Pacifique ouest du Gulf Stream, et porté à la mer où il mélangé avec (et a été dilué par) l’énorme volume de le Pacifique Nord.

Nous ne savons pas s’il y a une connexion, mais il est très intéressant de noter que la pêche le long de la côte ouest des États-Unis ne parviennent pas à trouver la  cause d’une diminution spectaculaire des populations de poissons. Il suffit de consulter l’extrait suivant d’une histoire qui a été publié le 18 Janvier 2017 …

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HORS TEXTE

Diminution des stocks de poissons

 

18 janvier 2017 Le secrétaire américain du Commerce Penny Pritzker , a déterminé aujourd’hui que la pêche commerciale pour le saumon et crabe en Alaska, en Californie et à Washington.

 

Ces dernières années, chacune de ces pêcheries ont connu defortes baisses soudaines et inattendues de la biomasse des stocks de poissons ou perte d’accès en raison des conditions inhabituelles de l’ océan et du climat. Cette décision permet auxcommunautés de pêche de demander l’ aide de secours aux sinistrés du Congrès.

En Alaska:

  • Golfe de l’Alaska pêche au saumon rose (2016)

En Californie:

  • Californie dormeur et de la pêche au crabe (2015-2016)
  • pêche au saumon yurok tribu Klamath River Chinook (2016)

A Washington:

  • Fleuve Fraser tribu Makah et du Bas-Elwha Klallam tribu pêche du saumon rouge (2014)
  • Grays Harbor et Willapa Bay non-traité pêche au saumon coho (2015)
  • Nisqually Indian Tribe, Jamestown S’Klallam tribu, Port Gamble S’Klallam Tribe et Squaxin Island Tribe Sud Puget pêche au saumon du son (2015)
  • Quinault Indian Nation Grays Harbor et Queets rivière pêche au saumon coho (2015)
  • pêche au crabe dormeur tribu Quileute (2015-2016)
  • pêche à la traîne du saumon océan (2016)

Le secrétaire américain du Commerce Penny Pritzker a déterminé aujourd’hui, qu’il y a des échecs de la pêche commerciale pour neuf saumon et crabe pêche en Alaska, en Californie et à Washington.

Au cours des dernières années, chacune de ces pêcheries ont connu soudaines et inattendues des diminutions importantes des stocks de poissons de la biomasse ou la perte d’accès en raison des conditions océaniques et climatiques inhabituelles. Cette décision permet aux communautés de pêche de chercher catastrophe une aide d’urgence du Congrès.

 

 

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Les choses sont particulièrement mauvaises en Alaska , et les biologistes sont “perplexes” sur les raisons pour lesquelles cela pourrait se produire …

En 2016, les récoltes de saumon rose à Kodiak, Prince William Sounds, Chignik et  Cook Inlet sont venus terriblement sous les prévisions et les biologistes perplexes quant à pourquoi.

La valeur estimée de 2016 courriers de Kodiak était de 2,21 millions $, comparativement à une moyenne de cinq ans de 14,64 millions $, et à Prince William Sound la valeur ex-navire était de 6,6 millions $, beaucoup moins que la moyenne de 44 millions $ sur cinq ans . La récolte totale de l’État était la plus faible depuis la fin des années 1970.

Bien que les biologistes de l’Etat ne sont pas prêts à déclarer une cause de la performance du saumon rose pauvres, le communiqué de presse du département du Commerce a attribué les catastrophes aux «conditions océaniques et climatiques inhabituelles.”

Plus au sud, on rapportait le mois dernier que des millions de sardines mortes se sont échouées  sur les côtes du Chili.

 

 

 

 

 

 

Je pourrais continuer et avec beaucoup d’autres exemples de ce genre, mais nous espérons que vous retiendrez le point.

Quelque chose de vraiment étrange  se passe dans le Pacifique, et beaucoup de gens croient qu’il y a un lien vers Fukushima.

Pas trop longtemps, je l’ ai écrit sur la façon dont l’élite de la Silicon Valley sont à se « préparer fiévreusement », mais la vérité est que nous devrions tous l’être.  Notre planète est de plus en plus instable, et la catastrophe nucléaire de Fukushima est juste un morceau du puzzle.

Mais ic’est certainement un élément très important. Les matières nucléaires de Fukushima entrent continuellement  dans la chaîne alimentaire, et une fois que les matières nucléaires pénètre dans notre corps , il va lentement irradier nos organes pour les années à venir. Ce qui suit est un extrait d’un article d’ opinion absolument remarquable par Helen Caldicott qui a été publié dans le Guardian

Le rayonnement interne, d’autre part, émane d’éléments radioactifs qui pénètrent dans l’organisme par inhalation, ingestion ou absorption cutanée.Les radionucléides dangereux tels que l’ iode-131, le césium 137 et d’ autres isotopes actuellement libérés dans la mer et l’ air autour de Fukushima sont bio-concentré à chaque étape de diverses chaînes alimentaires (par exemple dans les algues, crustacés, petits poissons, gros poissons, puis les humains ; ou le sol, l’ herbe, la viande et le lait de vache, puis les humains). Après leur entrée dans le corps, ces éléments – appelés émetteurs internes – migrent vers des organes spécifiques tels que la thyroïde, le foie, les os et le cerveau, où ils rayonnent en continu sur de petites quantités de cellules avec de fortes doses de radiations alpha, bêta et / ou gamma, et pendant de nombreuses années, peut induire la réplication cellulaire incontrôlée – qui est, le cancer . En outre, la plupart des nucléides restent radioactifs dans l’environnement pour des générations, et , finalement , causeront l’ incidence du cancer et des maladies génétiques qui ont augmenté au fil du temps.

Vous commencez à comprendre la gravité de la situation?

Malheureusement, cette crise va être avec nous pour un très, très longtemps.

Selon un journal imp en ligne, , ils ne sont même pas surs vont commencer à extraire le combustible nucléaire fondu de ces réacteurs jusqu’en 2021, et il est projeté que le nettoyage général “peut prendre aussi longtemps que 40 ans» …

La mise hors service des réacteurs coûtera ¥ 8000000000000 (70,4 G $), selon une estimation en Décembre 2016 du Ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie. Le retrait du carburant radioactif est l’une des étapes les plus importantes dans un nettoyage qui peut prendre aussi longtemps que 40 ans.

La nature sans précédent de la catastrophe de Fukushima signifie que Tepco fonde ses efforts sur la technologie pas encore inventé pour enlever le combustible fondu sur les réacteurs.

La société cherche  à se décider d’une procédure de retrait de carburant pour le premier réacteur au cours de l’exercice financier se terminant Mars 2019, et de commencer à extraire le combustible en 2021.

Beaucoup de gens qui finissent par mourir à la suite de cette crise ne pourront jamais savoir même que c’ était Fukushima qui a causé leur mort.

Personnellement, je suis convaincu que ce soit la plus grande crise de l’environnement que l’humanité ait jamais connu, et si la dernière lecture du réacteur 2 est une indication, les choses a pris une tournure très sérieuse pour le pire.

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ANNEXE1

dispersion océanique de césium radioactif dérivé de Fukushima : un examen

 

Introduction


Le 11 Mars 2011, le Grand Est du Japon Tremblement de terre ( Mw 9.0) a eu lieu à la limite de la plaque au large de la côte de Tohoku, le nord du Japon. Un énorme tsunami a été généré et a causé 15 729 morts et 4539 disparus dans les régions Hokkaido, Tohoku et Kanto (L’Agence nationale de la police, en date du 24 Août 2011). Des enquêtes préliminaires ont signalé des vagues du tsunami avec des hauteurs de roulage à haut excédant 30 m (Mori et al ., 2011 ). Le tsunami a également frappé les sites de Fukushima Dai-ichi nucléaire Power Plant (PPPN) situé à 37˚25’N, 141˚02’E, et une perte d’énergie électrique à FNPP a donné lieu à des réacteurs surchauffés et desexplosions d’hydrogène. Les matières radioactives ont ensuite été libérés dans l’océan par les retombées atmosphériques (comme les aérosols et les précipitations) et que les rejets directs (rejets contrôlés liés aux questions de sécurité au FNPP), ainsi que des fuites non contrôlée de l’eau de refroidissement fortement contaminé (Buesseler et al ., 2011 , Chino et al ,. 2011 , Takemura et al ., 2011 ). Ce rejet accidentel de radionucléides anthropiques (principalement l’ iode 131, le césium-134 et -137, 131 I, 134 Cs et 137 Cs) ont donné lieu à desaugmentations sévères de ces radionucléides dans les produits de la pêche dans les zones côtières de Fukushima et les préfectures adjacentes (Buesseler, 2012 , Yoshida et Kanda, 2012 , Wada et al ., 2013 ; et Nakata Sugisaki,2015 ). En raison de sa demi-vie relativement longue (2,07 ans pour les 134 Cs et 30,07 ans pour les 137 Cs), l’évaluation de ces isotopes radioactifs Cs dans le milieu marin est important pour tenir compte des risques pour les écosystèmes marins et la santé publique par la consommation des produits de la pêche . En général, le césium est un élément conservateur et se produit principalement dans la phase dissoute dans le milieu marin. La concentration de césium radioactif dans les organismes marins est fortement affectée par sa concentration dans l’eau de mer environnante. En fait, les changements temporels des concentrations radioactives Cs de nombreuses espèces de poissons pélagiques dans la zone côtière près de Fukushima et les préfectures voisines ont été associées à celles de l’ eau de mer après l’accident FNPP (par exemple, Wada et al ,. 2013 , Takagi et al ,. 2015 ; Morita et al ., données non publiées). Kaeriyama et al . ( 2015 ) et Morita et al . données non publiées ont révélé les changements temporels pris du retard dans le temps en Cs radioactif dans les organismes (zooplanctons et Saury Pacifique) et l’ eau de mer en régime non stationnaire après l’accident FNPP, et a montré que avaient été élevés par rapport aux taux de concentration de ces organismes avec les avant l’accident FNPP. En ce qui concerne zooplanctons, Baumann et al . ( 2015 ) ont examiné la possible absorption de Cs radioactif Fukushima-dérivé de phytoplancton dominé les particules en suspension. En conséquence, Cs radioactif serait transféré au niveau trophique supérieur non seulement par l’ eau de mer environnante , mais aussi par des interactions proies-prédateurs dans l’écosystème pélagique. Shigenobu et al . ( 2014 ) ont rapporté les concentrations radioactives Cs de graisse greenling ( Hexagrammos otakii ) capturés au large de la côte de la préfecture de Fukushima, et fait état de deux spécimens de valeurs aberrantes pris en Août 2012 et mai 2013 , qui avaient ambigüe élevées 137concentrations Cs de plus de 1000 Bq / kg humide. Analyse de probabilité a indiqué que les deux morues du gras de valeurs aberrantes avaient migré du port de FNPP. Dans le port de FNPP, extrêmement élevées 137concentrations Cs ont été signalées dans le sébaste japonais ( Sebastes cheni ), hakeling brun ( Physiculus maximowiczi ) et de la graisse greenling ( H. otakii ) pris en Janvier et Février 2013 (Fujimoto et al ., 2015 ). La concentration maximale de 137 Cs (129 kBq / kg par voie humide) a été détectée à partir de matières grasses Lesourcil. Wada et al . ( 2013 ) avec le corrigendum (Wada et al ., 2014 ) a résumé les résultats de la surveillance des concentrations radioactives Cs dans les produits de la pêche de la préfecture de Fukushima et a révélé lestendances de séries chronologiques. Des tendances claires comprennent une diminution plus lente de Cs radioactif dans les poissons démersaux par rapport aux poissons pélagiques, ainsi que l’ hétérogénéité spatiale; spécimens prélevés dans la zone sud de FNPP avaient tendance à avoir des concentrations plus élevées de Cs radioactif que ceux qui sont pris dans la zone nord de FNPP. Sohtome et al . ( 2014 ) ont rapporté les tendances au cours du temps de la concentration de Cs radioactif chez les invertébrés dans le réseau alimentaire benthique côtière près de la PPPN. La différence de tendance à la baisse observée dans les organismes et les concentrations de Cs radioactif dans certains des oursins ( Echinocardium cordatum et Glyptocidaris crenularis ) ont été clairement affecté par les sédiments contaminés dans leur prises tube digestif.

Ce document met l’ accent sur le Cs radioactif dans l’ eau de mer et résume les estimations du montant total des libérés Cs radioactifs du site FNPP, les changements spatio-temporelles des concentrations de 134 Cs et 137 Cs non seulement au large de la côte de Fukushima et les préfectures voisines, mais également dans le Pacifique Nord et des mers adjacentes telles que la mer du Japon, mer de Chine orientale, en fonction des résultats de mesure et des modèles de simulation publiés pendant 4 ans depuis l’accident FNPP.

Montant total de Césium radioactif FNPP-Libéré

Informations sur le montant total de l’radioactif libéré FNPP-Cs dans le Pacifique Nord est l’ information essentielle pour permettre un suivi et une gestion efficace des ressources. Cependant, en dépit de son importance, l’estimation des dépôts atmosphériques est complexe en raison du manque de données d’ observation de l’environnement océanique. Les rapports d’activité de 134 Cs / 137 Cs, désintégration corrigé Mars-Avril 2011, ont été signalés presque 1,0 pour l’ensemble du Pacifique Nord (par exemple, Buesseler et al ,. 2011 , 2012 , Kaeriyama et al ,. 2014 ). Ce ratio signifie une quantité équivalente de 134 Cs et 137 Cs a été libéré dans l’océan.En vertu de la limitation des données concernant non seulement la quantité de Cs radioactif dans les aérosols ,mais aussi sur les précipitations dans le Pacifique Nord, l’ estimation des dépôts atmosphériques reste une source d’incertitude considérable (5-15 PBq de 134 Cs et 137 Cs, 1 PBq = 10 15  Bq, Tableau  1 ). En revanche, le rejet direct des radioactifs Cs ( 134 Cs et 137 Cs) dans l’océan comme une fuite incontrôlée de l’eau de refroidissement fortement contaminée est bien estimée comme approximation de la valeur de 3,5 PBq, à l’exception de Bailly du Bois et al . ( 2012 ) et Charette et al . ( 2013 ) (tableau  1 ). Dietze et Kriest ( 2012 ) ont discuté des surestimations possibles par Bailly du Bois et al . ( 2012 ) en raison de problèmes méthodologiques. Charette et al . ( 2013 ) ontestimé l’inventaire de rejet direct à partir des données d’ observation de Cs radioactif avec des isotopes du radium en mai-Juin 2011, et aucun dépôt atmosphérique a été pris en charge. Leurs estimations des rejets directs peuvent être inclus dans le dépôt atmosphérique. Tsumune et al . ( 2012 ) ont montré clairement que les rejets directs ontcommencé le 26 Mars 2011 en utilisant 131 I / 137 rapports d’activité Cs, qui variait beaucoup plus avant le 26 Mars 2011 , lorsque le dépôt atmosphérique est la principale source. Les estimations les plus récentes ont révélé que 3-4 PBq de 134 Cs et 137 Cs ont été directement rejetés dans l’océan et 12-15 PBq de 134 Cs et 137 Cs ont été déposés sur l’eau de mer de surface dans le Pacifique Nord (Aoyama et al ., 2015a ).

Vue schématique du système actuel: (a) dans le Pacifique Nord et (b) autour des îles japonaises. Les lignes continues indiquent le courant de surface et les lignes en pointillés indiquent la circulation des eaux de mode. FNPP: Fukushima Dai-ichi centrale nucléaire; STMW: subtropicale mode eau; CMW: Mode Central Water. Sur la base de Kumamoto et al . ( 2014 ); Oka et al . ( 2011 , 2015 ); Talley ( 1993 ) et Yasuda ( 2003 ) [figure de couleur peut être consulté à wileyonlinelibrary.com ].

 

 

 

 

 

 

 

Ce document met l’accent sur le Cs radioactif dans l’eau de mer et résume les estimations du montant total des libérés Cs radioactifs du site FNPP, les changements spatio-temporelles dans les concentrations de 134Cs et 137Cs non seulement au large de la côte de Fukushima et les préfectures voisines, mais aussi dans le Pacifique Nord et des mers adjacentes telles que la mer du Japon, mer de Chine orientale, en fonction des résultats de mesure et des modèles de simulation publiés pendant 4 ans depuis l’accident FNPP.

Cette revue résume les plus de 70 articles publiés au cours des 4 années écoulées depuis l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi qui a eu lieu le 11 Mars 2011, et détaille le modèle de dispersion radioactive de césium dans les mers du Pacifique Nord et adjacentes. La quantité totale de césium radioactif de Fukushima dérivé libéré dans le Pacifique Nord par dépôt atmosphérique et rejet direct, des variations spatio-temporelles de la côte du Pacifique autour du lieu de l’accident, et les niveaux de concentration de césium radioactif autour des îles japonaises, non seulement le Pacifique côte mais aussi dans les mers adjacentes, comme la mer du Japon, mer de Chine orientale sont résumées. Sur la base des données d’observation obtenues principalement pendant 2 ans depuis l’accident, et les résultats de la simulation, la dispersion océanique de césium radioactif dans toute la région du Pacifique Nord est décrit. Le césium radioactif dérivé Fukushima-est dispersé sous forme de l’eau de surface et étendue sur le côté est du Pacifique Nord en 2014, et a également été observée par une intrusion vers le sud jusqu’à subsurface eaux comme subtropicale mode eau et le mode Eau Central. Le mouvement de césium radioactif lié à l’eau de mode est important en termes de circulation de césium dans l’intérieur de l’océan. Certaines nouvelles technologies et techniques relatives à la surveillance d’urgence de la radioactivité dans l’environnement de l’océan sont également signalés, dont l’efficacité a été démontrée par l’utilisation par rapport à l’accident de Fukushima.

 


ANNEXE2

DEVANT L’AMPLEUR DU DANGER,LE GOUVERNEMENT JAPONAIS ORDONNE UN PLAN  D’ÉVACUATION COMPLET

Les zones à évacuer:on parle de plus de 40 millions de personnes

 

Sur les 11 municipalités de la préfecture de Fukushima qui sont entrées sous les ordres d’évacuation après la centrale de Fukushima 2011 N ° 1 effondrements de centrales nucléaires, cinq ne disposent pas de plans d’évacuation en cas d’accident nucléaire se produit à nouveau, même si d’interdiction d’entrée des commandes sont progressivement levées.

Le gouvernement central demande des municipalités locales situées à proximité des centrales nucléaires à élaborer des plans d’évacuation en cas d’urgence nucléaire. Selon la politique du gouvernement central, les gouvernements locaux devraient donner des ordres d’évacuation immédiate aux résidents vivant à moins de 5 kilomètres d’une installation en cas d’une « urgence à grande échelle » – situations, y compris la perte de puissance à refroidissement des réacteurs nucléaires.

En règle générale, ceux qui vivent entre 5 et 30 kilomètres d’une usine font l’objet d’une évacuation à l’intérieur, et quand une dose de rayonnement de 20 microsieverts par heure est détectée, l’évacuation devrait être achevée dans un délai d’une semaine. L’évacuation immédiate est recommandée lorsque la dose atteint 500 microsieverts par heure.

Un représentant du village de Katsurao, dont les habitants ont commencé à retourner, dit Shimbun Mainichi que le gouvernement municipal n’a pas créé son plan d’évacuation, car « il n’y a que deux fonctionnaires en charge de la question. » Le fonctionnaire a ajouté: « Nous ne facturons « t ont des connaissances spécialisées (sur les évacuations nucléaires) et nous ne pouvons pas le manipuler avec tous les autres travaux que nous devons faire.Ni l’État ni le gouvernement Fukushima Préfectoral nous donne des conseils « .

Un responsable du village de Iitate, où l’ordre d’évacuation sera levée à la fin de Mars, a déclaré en plus d’une pénurie de main-d’œuvre, « il est difficile de faire un plan avant d’examiner le nombre de résidents reviendront. » La ville de Tamura , dont les habitants ont commencé à revenir, et les villes de Futaba et Okuma, où il reste inconnu alors que les résidents seront en mesure de revenir, ne pas les plans d’évacuation.

Pendant ce temps, les villes de Namie et Tomioka ont tracé leurs plans, qui prennent le principe de base d’évacuer tous les habitants de la ville en cas d’une urgence à grande échelle – mesure plus drastique que la politique du gouvernement central exige – dire que juste après la politique d’évacuation de l’Etat ne pas protéger la sécurité de leurs résidents. Namie Le maire Tamotsu Baba dit au Mainichi, « Les résidents ne croient pas qu’ils seraient en sécurité si elles restent à l’intérieur d’un bâtiment. »

En ce qui concerne les plans d’évacuation locaux, une équipe de soutien aux victimes des accidents nucléaires au Cabinet Office souligne que, si ces plans ne sont pas obligation pour l’Etat de lever les ordres d’évacuation, les gouvernements locaux devraient préparer des mesures de prévention des catastrophes.

La centrale nucléaire de Fukushima frappé n ° 1 est différent des autres centrales nucléaires dans le pays que les travaux de démantèlement est en cours pour l’ensemble de ses six réacteurs. Dans le même temps, une route rugueuse est prévue pour le projet d’enlever combustible fondu, et la dose de rayonnement à l’intérieur de l’heure estimée réacteur n ° 2 est jusqu’à 650 sieverts.

Selon un sondage d’opinion par l’Agence pour la reconstruction ciblant les habitants de la ville de Tamura, 61,5 pour cent de ceux qui ont dit qu’ils voulaient vivre dans d’autres municipalités que Tamura UCTE mentionne sur les travaux de démantèlement et de gestion de la centrale nucléaire comme raisons de ne pas vouloir venir arrière.

Hirotada Hirose, professeur émérite à l’Université chrétienne de Tokyo  et un expert en matière de prévention des catastrophes nucléaires, a déclaré: « L’état du combustible nucléaire fondu (à la centrale de Fukushima) est inconnue et les répliques sismiques continuent encore dans la préfecture de Fukushima. Il est un problème que les ordres d’évacuation sont levées tandis que les gouvernements locaux ne sont pas venus avec leurs plans d’évacuation « .

 


ANNEXE 3

LA BANALISATION ET L’EXPORTATION  DU PROBLÈME 

Au Japon et à  Fukushima ,on médite sur le recyclage du sol pour les parcs publics et espaces verts

Les travailleurs se déplacent de grands sacs en plastique noir contenant de la terre irradiée. Fukushima préfecture, près de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.

 

Le sol de la préfecture de Fukushima peut être utilisé comme site d’enfouissement pour la création de « espaces verts » au Japon, un groupe gouvernemental a proposé, face à un potentiel réaction du public sur les craintes d’exposition aux radiations résiduelles de la terre décontaminée.

Le comité consultatif du ministère de l’ Environnement a proposé lundi la réutilisation du sol qui a été contaminé lors de la crise nucléaire de Fukushima de 2011 dans le cadre des décharges futures désignées pour un usage public, que Kyodo News a rapporté

Dans sa proposition, le groupe environnemental évité ouvertement en utilisant le mot « parc » et au lieu dit « espace vert », apparemment pour éviter un tollé général prématurée, Mainichi Shimbun.

Suite à une enquête de la prise de nouvelles, le ministère de l’Environnement a précisé que « les parcs sont inclus dans l’espace vert. »

En plus de décontaminer et recycler la terre contaminée pour les nouveaux parcs, le ministère a également insisté sur la nécessité de créer une nouvelle organisation qui sera chargée de gagner la confiance du public sur les perspectives de ces modes de recyclage.

Pour calmer les inquiétudes du public immédiat, le groupe a déclaré que le sol décontaminé sera utilisé en dehors des zones résidentielles et sera couverte d’un niveau séparé de la végétation pour répondre aux directives du gouvernement approuvé l’année dernière.

En Juin l’année dernière, le ministère de l’Environnement a décidé de réutiliser le sol contaminé avec une concentration de césium radioactif entre 5 000 à 8 000 becquerels par kilogramme pour les travaux publics comme les routes dans tout le pays et les banques de marée.

En vertu de ces lignes directrices, qui peuvent désormais être étendus à utiliser pour les parcs, le sol contaminé doit être recouvert de terre propre, de béton ou d’autres matériaux.

Une telle décharge, le gouvernement a dit à l’époque, ne causera pas de mal aux résidents à proximité car ils souffriront une exposition inférieure à 0,01 mSv par an après la construction est terminée.

La centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a subi une défaillance panne et ultérieure de ses systèmes de refroidissement en Mars 2011, quand il a été frappé par un tremblement de terre et un tsunami meurtrier qui a frappé le centre, crachant le rayonnement et forçant 160.000 personnes à fuir leurs maisons. ont été touchés trois des six réacteurs de la centrale par des effondrements, ce qui rend la catastrophe nucléaire de Fukushima la plus grave depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986.

https://www.rt.com/news/382515-japan-recycling-fukushima-soil/#.WNoJ3cpBs98.facebook

Gouv propose la réutilisation du sol décontaminé sur la terre verte de Fukushima

Le ministère de l’Environnement a proposé lundi la réutilisation du sol décontaminé de la préfecture de Fukushima catastrophe a frappé les sites d’enfouissement pour les parcs et espaces verts.

Lors d’une réunion d’un comité consultatif, le ministère a également appelé à lancer une nouvelle organisation pour élaborer des plans sur la façon de gagner la compréhension du public au sujet de la réutilisation des sols décontaminés, les responsables du ministère.

Les propositions viennent à un moment où la préfecture de Fukushima fait face à une pénurie de sol en raison des travaux de décontamination à la suite de la fusion nucléaire 2011.

Source:http://english.kyodonews.jp/news/2017/03/465656.html

 

 

 

 

 

 

Le coût du nettoyage de Fukushima

L’administration Abe a décidé d’utiliser l’argent des contribuables pour décontaminer les zones dans la préfecture de Fukushima interdite aux personnes en raison de retombées de substances radioactives des effondrements Mars 2011 à Fukushima n ° 1 de la centrale électrique de Tokyo Electric Power. La décision, qui dévie de la politique actuelle que Tepco doit payer pour les efforts de décontamination, reflète une proposition présentée en Août par la coalition au pouvoir du  Parti libéral démocratique et du  Komeito du Premier ministre Shinzo Abe, mais jamais discuté par le conseil d’experts ou du gouvernement,soit  “Le régime politique corrompu du Japon”.

L'ensemble du Site
L’ensemble du Site

Le gouvernement peut vouloir justifier le mouvement comme un effort pour aider à accélérer le retour à leurs communautés ville natale de personnes évacuées. Pourtant, il sera difficile pour l’administration de se soustraire à la critique que la mesure est rien, mais un plan de sauvetage financé par les contribuables pour Tepco, qui est responsable de retombées nucléaires qui a touché tant de gens à Fukushima.

En procédant à des travaux de décontamination, l’administration espère lever les ordres d’évacuation dans certaines des ” zones de non-droit” dans environ cinq ans. On espère que ces zones serviront de bases pour les activités visant à promouvoir la reconstruction de la catastrophe nucléaire. Comme première étape, le gouvernement prévoit de mettre de côté 30 milliards ¥ dans le budget fiscal 2017. Jusqu’à présent, aucun travail de nettoyage à grande échelle a été réalisée à l’intérieur de ces zones, qui chevauchent sept municipalités autour de la centrale Tepco.

Il y avait plus de 1,100 réservoirs d'eau irradiée d'entreposés sur le site.
Il y avait plus de 1,100 réservoirs d’eau irradiée d’entreposés sur le site.

La position du gouvernement est qu’il est sécuritaire pour les personnes évacuées de retourner dans leurs communautés si la dose cumulative annuelle il y a 20 millisieverts (mSv) ou moins, bien que la limite légale autorisée pour les personnes dans des circonstances normales est de 1 mSv. Le millisievert est une mesure de l’absorption du rayonnement par l’organisme humain. En zones interdites, la dose annuelle tops 50 mSv et ne devrait pas tomber en dessous de 20 mSv au cours des cinq prochaines années.

Les retombées radioactives de Fukushima  continuent de préoccuper.
Les retombées radioactives de Fukushima continuent de préoccuper.

Fidèle au principe du pollueur norme payeur, qui a également été appliquée à l’Minamata empoisonnement au mercure catastrophe dans les années 1950 et 60, la loi spéciale pour faire face aux dégâts de la catastrophe de Fukushima stipule que Tepco doit assumer le coût de nettoyage, ainsi que les travaux de décontamination est payé par l’argent des contribuables, l’utilitaire doit plus tard rembourser le gouvernement. Maintenant, le gouvernement prévoit de réviser la loi spéciale sur la décontamination et d’autres lois afin qu’il puisse payer les travaux de décontamination prévue à Fukushima. Pour contrer la critique possible que le régime ne vise qu’à aider Tepco, le gouvernement fait valoir que le travail prévu vise à améliorer l’infrastructure publique dans les zones de non-droit alors évacués peuvent retourner. Cependant, le travail comprendra gratter la terre végétale et l’abattage des arbres, ce qui en fait pas différent que les efforts de décontamination dans d’autres domaines.

On continue de ramasser nombres de déchets douteux.
On continue de ramasser nombre de déchets douteux.

Pour justifier l’utilisation de l’argent des contribuables, le gouvernement dit aussi que Tepco a versé une indemnité aux personnes évacuées des zones de non-droit sur l’hypothèse selon laquelle ils ne seraient pas en mesure de retourner dans leurs foyers pendant une période prolongée. Ainsi, dans une directive révisée pour la reconstruction de la préfecture de Fukushima, le gouvernement dit qu’il va payer pour la décontamination prévue sans demander le remboursement de Tepco.

Derrière la décision du gouvernement pour l’utilisation de l’argent des contribuables est la dépense exponentielle  de décontamination, avec la dernière estimation passant de l’original ¥ 2,500,000,000,000 pour ¥ 4,000,000,000,000, qui ne comprend pas le coût du nettoyage des zones de non-droit. Le gouvernement attend les travaux prévus dans ces zones à coûté environ 300 milliards ¥ sur cinq ans, mais le prix pourrait augmenter si le travail devient prolongée. Et le fardeau des contribuables peut encore augmenter si la portée de la décontamination payé par le gouvernement dans ces domaines est élargi.

À cause de plus de 450 tonnes d'eau irradiée rejetée à la mer,ce sont des millions de poissons morts que nous retrouvons,maintenant,face à la baie de Fukushima et sur les plages japonaises.
À cause de plus de 450 tonnes d’eau irradiée rejetée à la mer,ce sont des millions de poissons morts que nous retrouvons,maintenant,face à la baie de Fukushima et sur les plages japonaises.

Dans un mouvement connexe, le Ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie est venu avec une idée de passer une partie du coût de la rémunération de Tepco pour les victimes de la catastrophe de Fukushima sur les consommateurs sous la forme de la hausse des factures d’électricité, le coût total estimé pour le démantèlement la centrale de Fukushima n ° 1 plante, la compensation et la décontamination a gonflé de l’original ¥ 11000000000000 pour ¥ 21500000000000. Ces mouvements non seulement augmenter le fardeau financier des personnes, mais brouillent également la responsabilité de la compagnie d’électricité pour les ravages qu’il a causé. Le gouvernement peut dire que les mesures sont nécessaires pour aider à promouvoir la reconstruction de Fukushima. Mais ils pourraient détourner l’attention du public à partir du principe qu’il est Tepco qui doit payer pour le démantèlement de ses réacteurs, l’indemnisation des victimes et de nettoyage des zones contaminées.

http://www.japantimes.co.jp/opinion/2016/12/23/editorials/cost-cleaning-fukushima/#.WF15Dlzia-c

 

 

2011-2016 l’héritage mortel tenu secret de Fukushima pour les générations futures

Cinq ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima, au Japon, et trente ans après la catastrophe de Tchernobyl, en Ukraine, un examen approfondi des études scientifiques menées par Greenpeace ont conclu que les impacts dévastateurs de l’environnement, de santé et sociaux continuent et sont tenus de continuer pour les générations à venir . Pendant ce temps, l’industrie nucléaire et les gouvernements continuent de minimiser les conséquences des catastrophes et les risques mortels associés au lien nucléaire en général.

Plus de 1,100 réservoirs ont été érigé autour de la centrale de Fukushima Daiichi...afin de stocker les énormes quantités d'eau irradiée.
Plus de 1,100 réservoirs ont été érigé autour de la centrale de Fukushima Daiichi…afin de stocker les énormes quantités d’eau irradiée.

Les militants et les experts de Greenpeace ont également effectué des travaux de champ de rayonnement pour exposer la crise incessante au Japon, en plus de la Russie, la Biélorussie et l’Ukraine, tout en soulignant que de grandes masses de populations humaines sont encore et continuent d’être exposées à la contamination radioactive  et ses effets néfastes sur une base quotidienne.

L’ONG souligne que les catastrophes qui ont commencé à la centrale nucléaire de Tchernobyl (NPP) en 1986 et à la centrale de Fukushima Daiichi en 2011 ont démontré non seulement les terribles conséquences initiales des accidents nucléaires; ils nous ont aussi laissé avec des conséquences à long terme pour la santé humaine et l’environnement qui sont encore avec nous aujourd’hui et seront avec nous longtemps après demain.

Les enfants de la communauté autour de Fukushima sont tous irradiés. Une nouvelle génération de mutants est née.
Les enfants de la communauté autour de Fukushima sont tous irradiés.
Une nouvelle génération de mutants est née.

 

Greenpeace souligne que l’industrie nucléaire aime encadrer ces accidents en termes de nombre minimisé de la mort, mais que la réalité est beaucoup plus insidieuse. Les impacts vont bien au-delà des dizaines de milliers de morts et des centaines de milliers qui souffrent des conséquences de la détérioration de la santé publique, souligne Greenpeace. L’ONG note que:

1.À la suite d’une catastrophe nucléaire, les gens sont mis sous pression écrasante. Ils doivent évacuer leurs communautés pour éviter les risques de rayonnement. Ils sont déplacés de leurs amis, leurs familles et les communautés pour les années.

2.Malgré toutes les preuves du contraire, l’industrie nucléaire et ses partisans du gouvernement continuent de cacher les menaces de l’énergie nucléaire au  public. Le risque réel de l’énergie nucléaire, cependant, est incontournable pour des centaines de milliers de gens  de Tchernobyl et des survivants de  Fukushima . Malgré l’immense souffrance qui accompagne la perte de votre maison ou de vivre dans un environnement contaminé, l’ampleur et la gravité de ces effets continuent d’être minimisé ou déformé.

3.Ce rapport vise à clarifier la façon dont les gouvernements, les exploitants de réacteurs et les régulateurs nucléaires étaient préparés à faire face non seulement avec les évacuations d’urgence immédiatement après les accidents, mais avec la gestion à long terme des centaines de milliers de personnes déplacées, ainsi qu’avec les communautés contaminées et le danger persistant sur les terres agricoles.

Alors que Greenpeace utilise un ton civilisé de transmettre les conclusions de ses études et enquêtes sur le terrain, l’industrie nucléaire et les gouvernements coopèrent avec elle sont loin de cette civilité.

 

En 2015 des scientifiques japonais associés à l’Université d’Okayama ont conclu que ils ont détecté un excès de cancer de la thyroïde par échographie chez les enfants et les adolescents dans la préfecture de Fukushima dans les quatre ans de la libération des isotopes radioactifs, il est peu probable d’être expliqué par une poussée de dépistage.
Considérant que cancer de la thyroïde est causée par l’iode radioactif et que des centaines d’autres isotopes cancérigènes avec une demi-vie beaucoup plus ont été libérés, il est probable que le cancer de la thyroïde est que la pointe d’un iceberg des augmentations à long terme des cancers.
La conclusion des chercheurs Toshihide Tsuda, Akiko Tokinobu, Eiji Yamamoto et Etsuji Suzuki a été publié dans un article du journal Epidemiology. L’article est intitulé “le dépistage du cancer de la thyroïde par échographie chez les résidents âgés de 18 ans et moins à Fukushima, Japon: 2011-2014”.
Le gouvernement japonais, cependant, continue de sévir sur les hôpitaux et les médecins qui diagnostiquent des symptômes clairs de la maladie de rayonnement chez les enfants, comme un grand nombre d’enfants d’âge scolaire souffrant de saignements de nez pour ce qu’ils sont – la politique dictée par le gouvernement: “Nosebleeds sont la période normale! “. Les communautés qui ont été évacués pendant l’évacuation boged en 2011 sont contraints de retourner dans les zones fortement contaminées qui auraient été décontaminés. À moins que les familles reviennent à des “zones décontaminées” ils perdent le soutien financier du gouvernement et risque de se retrouver sans emploi, sans-abri, déracinés et sans le sou.

Une rapide évaluation en 2014 avait démontré un risque extrêmement élevé d'un tremblement de terre majeur pour les 30 années à venir.
Une rapide évaluation en 2014 avait démontré un risque extrêmement élevé d’un tremblement de terre majeur pour les 30 années à venir.

Alors  à quoi peut ressembler une décontamination nucléaire orchestrée par le  gouvernement japonais et l’industrie privée du nucléaire? Retirez quelques centimètres de terre végétale dans les villages, dans les rizières, et à partir d’un sujet de 50 – 100 couloir d’un mètre de large le long des routes qui relient les villages. Peu importe que le vent va souffler certaines des substances les plus dangereuses connues de l’humanité vont  être de retour. Désolé, mais le plutonium n’a pas appris à lire  les  écriteaux “Off Limits” . L’eau des collines et des forêts fortement contaminées continue à couler à ces communautés décontaminés. À la fin de 2013, une étude a révélé un taux alarmant de bioaccumulation des isotopes radioactifs dans les forêts dans un rayon de 120 km autour de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi estropiée.
Les scientifiques ont mesuré seulement dans le rayon de 120 km, il est donc prudent de conclure que la bioaccumulation a également lieu en dehors de ce rayon. – Désolé,  mais les isotopes ne peuvent pas faire la lecture des pancartes  “Arrêtez-vous ici». Une autre étude à partir de 2015 a montré que les sapins et autres plantes autour de la centrale nucléaire estropiée ont été frappés par une vague de mutations.
La conclusion inévitable est que ces mutations vont faire leur chemin jusqu’à la chaîne alimentaire, et l’Homo sapiens sapiens est au-dessus de celle-ci. En Novembre 2015, l’ancien ambassadeur du Japon en Suisse, Mitshei Murata, a appelé le président du Comité international olympique pour déplacer les Jeux Olympiques 2020 de Tokyo ou d’annuler les jeux sur la situation à la centrale cléaire Fukushima Daiichi  paralysée.

La carte japonaise des lieux à risque pour des tremblements de terre majeurs.
La carte japonaise des lieux à risque pour des tremblements de terre majeurs.

Les scientifiques ont mesuré seulement dans un  rayon de 120 km, il est donc prudent de conclure que la bioaccumulation a également lieu en dehors de ce rayon. Désolé,mais  les isotopes ne peuvent pas faire la lecture et respecter les panneaux  où il est écrit  Arrêtez-vous ici». Une autre étude à partir de 2015 a montré que les sapins et autres plantes autour de la centrale nucléaire estropiée ont été frappés par une vague de mutations.
La conclusion inévitable est que ces mutations vont faire leur chemin jusqu’à la chaîne alimentaire, et l’Homo sapiens sapiens est au-dessus de celui-ci. En Novembre 2015, l’ancien ambassadeur du Japon en Suisse, Mitsuhei Murata, a appelé le président du Comité international olympique pour déplacer les Jeux Olympiques 2020 de Tokyo ou d’annuler les jeux à cause de la situation à la centrale nucléaire Fukushima Daiichi .

L’avertissement de l’ancien ambassadeur a été largement ignoré. Aussi largement ignoré est le fait que le Siège du gouvernement japonais pour la promotion de la recherche Tremblement de terre a publié une prévision géographique pour les grands tremblements de terre. Le rapport révèle que la probabilité de l’apparition de grands tremblements de terre dévastateurs dans certaines des régions les plus densément peuplées du Japon au cours des 30 prochaines années est de 26% ou plus. Certaines des centrales nucléaires du Japon sont situées dans les zones de plus forte probabilité de  tremblements  de terre et de risque de tsunami.
La terre végétale et d’autres substances contaminées sont transportées par camion vers les dépôts et les incinérateurs à travers le Japon. La pratique a efficacement distribuée la contamination dans tout le pays. Le résultat inévitable sera une augmentation de la prévalence des cancers et d’autres maladies liées à travers le Japon.
Il est sûr de suggérer que cette prévalence accrue dans tout le pays fera qu’une augmentation dans les zones «contaminées» semblera plus «normale». Les chiffres ne mentent pas, les gouvernements et l’industrie nucléaire le  font continuellement.


 

La répression des journalistes  et des Chercheurs et Diseurs de Vérité au Japon

Donc qu’arrive-t-il  aux journalistes fouineurs?

Le parlement japonais a adopté une loi qui rend la publication ou la révélation de l’information  «non autorisée» ou à propos de la centrale ,comme  une infraction criminelle qui est passible de prison allant jusqu’à dix ans. Mais les curieux (lire les honnêtes) journalistes étaient déjà une espèce menacée avant l’adoption de la législation qui a neutralisé la presse.

La journaliste Mako Oshidori a été mise en garde.
La journaliste Mako Oshidori a été mise en garde.


En 2014, le journaliste et comédienne  Mako Oshidori était présent lors d’une conférence en Allemagne et la conférence de presse subséquente (enregistrement vidéo). Mako a rapporté qu’elle a découvert un mémo  de TEPCO, dans lequel l’opérateur de Fukushima Daiichi (de TEPCO ) ordonne aux fonctionnaires de «couper  court aux questions  de Mako-chan , de manière appropriée”.
Mako Oshidori a été inscrit à l’École des sciences de la vie à Tottori Université Faculté de médecine pendant trois ans. Mako Oshidori a souligné que TEPCO et le gouvernement japonais  font un  cover-up de la mort des travailleurs de Fukushima et que les agents du gouvernement ont commencé à la suivre autour après qu’elle a commencé à étudier le cover-up.

Le mémo adressé par TEPCO à Mako Oshidori est une preuve des activités criminelles du gouvernement japonais.
Le mémo adressé par TEPCO à Mako Oshidori est une preuve des activités criminelles du gouvernement japonais.

Mako a déclaré:

“Je l’ai appris par des chercheurs qui étaient mes amis, ainsi que des représentants du gouvernement. Je vais vous montrer une photo que je secrètement pris de l’agent, de sorte que vous savez quel genre de surveillance que je veux dire. Quand je parlais à quelqu’un, un agent de surveillance de la force publique du gouvernement central sont très proches, en essayant d’espionner la conversation ….

«Je voudrais parler de mon entrevue d’une infirmière qui travaillait à (la) Fukushima Daiichi centrale nucléaire (NPP) après l’accident. .. Elle était infirmière à Fukushima Daiichi en 2012. Elle  a quitté son emploi avec TEPCO en 2013, après que je l’ai eu  interviewé.

“A partir de ce moment-là, il y a plusieurs travailleurs de la centrale qui sont morts, mais seulement ceux qui sont morts au travail sont rendus publics. Certains d’entre eux sont morts soudainement tout arrêt de travail, par exemple, au cours du week-end ou dans leur sommeil, mais aucun de leurs décès sont signalés.

“Non seulement cela, ils ne sont pas inclus dans le nombre de décès des travailleurs. Par exemple, il y a quelques travailleurs qui quittent le travail après beaucoup d’exposition aux rayonnements, tels que 50, 60 à 70 mili Sieverts, et finissent par mourir un mois plus tard, mais aucun de ces décès ne sont  signalés, ou inclus dans l’étude sur les décès au travail. Telle est la réalité des travailleurs des centrales nucléaires ».

 


LA CATASTROPHE DE TCHERNOBYL ABANDONNÉE DEPUIS 2015?

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Le feu qui dispersait les isotopes radioactifs dans l’air,près de Tchernobyl,en avril 2015.

 

Vraiment? Eh bien oui, l’année 2015 était  le 3o «anniversaire» de la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine, mais en Avril 2015, le dragon, crachant toujours  le feu nucléaire  a distribué ses  isotopes hautement cancérigènes et toxiques en Ukraine, la Russie, la Biélorussie, et au-delà,dans l’atmosphère , encore une fois.
La libération des isotopes dans l’atmosphère  est arrivé quand un feu de forêt a éclaté,en 2015, au sein de la zone d’exclusion et des pompiers ont  lutté pendant des semaines pour tenter de contenir le feu autant qu’ils pouvaient  pour empêcher que le feu ne puisse atteindre  une installation de stockage des déchets nucléaires.
Rappelez-vous les études sur la bioaccumulation dans les forêts japonaises? Le feu propage les isotopes nouvellement libérés sous le vent. Est-ce que les autorités ukrainiennes mettent en garde les résidents ,de ne pas rester  sous le vent à l’intérieur, au moins pendant ou après la pluie?
Bien sûr que non, et quand il vient à l’industrie nucléaire, le record de l’Ukraine des droits humains ne sont pas incomparables avec ceux du Belarus voisin qui, en passant, a commencé à construire de nouveaux réacteurs nucléaires avec  garantie de sécurité”.

En 2001, le citoyen du  Belarus,le  Dr Yury Bandajevski, pédiatre, a été condamné à huit ans de prison  sur le motif qu’il «avait reçu des pots de vin des parents d’élèves”. Toute personne ayant au moins “certains” aperçus de la culture du  Belarus et de  la culture russe sait que la manière de donner des «cadeaux» est un art très institutionnalisé et sophistiqué qui fait partie du tissu politique et social russe .Particulièrement depuis la prise du pouvoir par le dictateur communiste Staline.
Amnesty International, son avocat, (et non moins le Dr Christopher Busby et le Dr Helen Caldicott) ont souligné que son arrestation et l’emprisonnement étaient  liés à des rapports et la recherche scientifique qui était critique de la recherche officielle sur les effets de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl.
Bandazhevsky a été libéré sur parole le 5 Août 2005, après une pression internationale considérable d’organisations de défense des droits. Des études menées par Bandazhevsky ont révélé que le nombre de morts résultant de la catastrophe de Tchernobyl doit être mesurée dans les centaines de milliers, et non en quelques milliers, tels que proclamés par les gouvernements de l’Ukraine et de la Biélorussie et approuvé par l’AIEA. Il est à noter que l’AIEA est chargée de “promouvoir l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire» et que toutes les questions de santé liées au nucléaire sont étudiés et évalués par l’AIEA, et non par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

5 ans bbb

Un couple de Perspectives  au-delà de l’ Arrogance humaine?

Une partie des déchets nucléaires de faible puissance doit être stocké en toute sécurité pendant des décennies, voire des siècles ,tandis que les déchets de haut niveau, y compris le plutonium et une cohorte d’autres isotopes produits artificiellement parmi les plus meurtrièrs du monde doivent être stockés en toute sécurité loin des dizaines de milliers à des centaines de milliers d’années.

L’industrie nucléaire et les gouvernements qui ont endossé cela , nous prennent pour une bande d’abrutis,NOUS,le peuple. Jusqu’à présent, il n’y a pas un seul pays dans le monde qui a résolu la question de savoir comment et où stocker les déchets les plus toxiques de la planète:les déchets nucléaires. D’une manière générale, les déchets nucléaires , et  les soi-disantes  «barres de combustible irradiées” sont stockées dans les centrales nucléaires, transportés par camion autour, conservés dans des réservoirs qui continuent à fuir, balayées sous le tapis, etc … Un spectacle de propagande récente sur Russia Today (RT) a tenter de  faire croire aux gens “combien il était amusant de nager dans un lac qui a été créé par une explosion nucléaire souterraine” .. voyez-vous  la dérive du système?

 

Pour vous donner une idée de l’arrogance et / ou de l’ignorance / négligeance criminelle impliquée, posez-vous les questions suivantes:  

Jusqu’où peut on remonter le cours de l’histoire  dans nos annales? De 5000 – 6000 années? Depuis combien d’années est-ce que des célébrités comme Lao Tseu, Bouddha, Jésus de Nazareth ou le prophète Mohamed sont nés? Quand était-ce la dernière fois que l’hémisphère nord a été couvert par des centaines de mètres de glace? Combien de temps cela va prendre  avant que les grandes dunes  du désert du Sahara se transforment en lacs et un océan à nouveau – comme cela se produit à intervalles réguliers? Aller le chercher. Et puis demandez-vous où voulez-vous stocker quoi que ce soit en toute sécurité pour quelques centaines de milliers d’années. En tant que membre de la famille de l’Homo sapiens sapiens, la couronne de la création / ou l’évolution, je suis sûr que vous pouvez le comprendre, non? Si ces questions vous faire au courant de ce que nous partageons environ 99% de nos gènes avec l’homme de Neandertal, peut-être qu’il est temps de se lever ,de mettre son pied par terre  et d’arrêter de cautionner  l’idiotie dans laquelle le Nouvel Ordre Mondial veut nous faire dormir.

Le temps de se réveiller et de se mettre en marche est arrivé,et rien,absolument rien ne pourra arrêter la révolution  mondiale des peuples et des nations quand elle sera enclenchée!La désobéissance civile viendra à bout des gouvernements corrompus et l’Ère Nouvelle s’étendra sur la Terre!

 

 

 

 

Alerte Fukushima:plus de 1,100 réservoirs d’eau irradiée menacent toutes les formes de vie sur Terre

 Des rangées de réservoirs de stockage massif ligne d'eau contaminée bâtis près  de la centrale de Fukushima n ° 1 de l'énergie nucléaire au début de Février. (Satoru Semba,emplyé de TEPCO)

Des rangées de réservoirs de stockage massif ligne d’eau contaminée bâtis près de la centrale de Fukushima n ° 1 de l’énergie nucléaire au début de Février. (Satoru Semba,emplyé de TEPCO)

 

OKUMA, Préfecture de Fukushima – Vu des airs, les rangées de différents réservoirs de stockage de l’eau irradée à la centrale  nucléaire de Fukushima n ° 1  paralysée …ressemblent à un plateau géant de circuit intégré.

Comme le cinquième anniversaire approche du tremblement de terre et du tsunami qui a déclenché la catastrophe nucléaire, l’installation frappée est en passe de manquer d’espace pour positionner les réservoirs contenant de l’eau radioactive hautement contaminée.

En date du 12 février 2016, il y avait 1.106 réservoirs  massifs d’eau radioactive  sur les lieux.

Tokyo Electric Power Co., exploitant de la centrale, construit des réservoirs pour stocker l’eau contaminé par les radiations qui se sont accumulées à l’usine depuis la catastrophe qui s’est déroulée en Mars de 2011.

L’utilitaire prévoit de construire 20 autres réservoirs de stockage d’eau pour accueillir 30.000 tonnes d’eau qui devraient être produites dans les derniers mois de 2016.

Comme les réservoirs occupent une grande partie des terrains de stationnement, les espaces verts et les terrains vacants, TEPCO n’a pas d’autre choix que de construire de nouveaux réservoirs dans les ruelles étroites entre les énormes conteneurs.

L’accumulation d’eau contaminée a été un problème persistant à l’usine, qui est seulement dans les tout premiers stades de la mise hors service, un processus qui prendra de 30 à 40 ans.

Ces réservoir d’eau irradiée laissent planer une menace absolue qui risque d’exterminer la vie sur notre planète…telle que  nous la connaissons!

*De Satoru Temba,employé de TEPCO

Fukushima. La vie arrêtée

Des voitures irradiées...
Des voitures irradiées…

 

Le 11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d’un tsunami ravageait la côte est du Japon, provoquant la mort de milliers de personnes et l’accident nucléaire de Fukushima. L’arrêt de trois réacteurs du site provoqua une réaction en chaîne et le rejet d’une importante quantité de produits radioactifs. L’inertie des autorités japonaises et de l’opérateur du site, la Tepco, eut également de nombreuses conséquences sanitaires. Parmi celles-ci, l’évacuation forcée et parfois arbitraire de la population qui vivait à proximité de la centrale, dans un rayon de vingt kilomètres. Dans sa grande générosité, la Tepco a indemnisé les foyers concernés à hauteur de 8 000 euros…

Une moto abandonnée depuis 2011.
Une moto abandonnée depuis 2011.

Le 5 septembre dernier, la commune japonaise de Naraha, qui se trouvait à la limite de la zone des vingt kilomètres, est officiellement redevenue habitable. Les anciens habitants (2.694 foyers, 7.368 personnes) avaient jusqu’à présent le droit de revenir pour préparer leur retour, mais pas de se réinstaller totalement. Le cinéaste japonais Sono Sion a montré la vie de ces exilés forcés dans le très beau  documentaire «Land of Hope».

Des voitures ,des motos et  autres  items envahis par la végétation.
Des voitures ,des motos et autres items envahis par la végétation.

Le photographe et cinéaste Arkadiusz Podniesinski s’est rendu dans la zone interdite pour une série extraordinaire. Jeudi, une étude menée par le professeur Toshihide Tsuda démontrait que le nombre de cas de cancer de la thyroïde affectant la population soumise à la radioactivité était 50 fois supérieur à la normale.

 

Vue aérienne d'un vrai cimetière d'autos ... créé en 2011 par  le tsunami et l'accident nucléaire qui a suivi.
Vue aérienne d’un vrai cimetière d’autos … créé en 2011 par le tsunami et l’accident nucléaire qui a suivi.

 

 

...mêmes des karts.
…mêmes des karts.

 

 

...des vélos sous leurs abris rouillent lente
…des vélos sous leurs abris rouillent lente

 

...des étalages recouverts de poussière.
…des étalages recouverts de poussière.

 

...des magasins ébranlés  et laissés à l'abandon .
…des magasins ébranlés et laissés à l’abandon .

 

...comme l'intérieur de multiples épaves de vaisseaux échoués sur la Terre.
…comme l’intérieur de multiples épaves de vaisseaux échoués sur la Terre.

 

...des bureaux immobiles...
…des bureaux immobiles…

 

...des reliques récentes de notre technologie...
…des reliques récentes de notre technologie…

 

....des écoles sans élèves ni professeurs...
….des écoles sans élèves ni professeurs…

 

...même un dépôt  d'ordinateurs périmés attend  dans l'ombre du temps.
…même un dépôt d’ordinateurs périmés attend dans l’ombre du temps.

 

Comme vous le voyez,c’est à Fukushima qu’a vraiment commencé la Grande Mort du Monde…Mort de Civilisation et de Vie!