Divulgation de documents:Poutine menace de divulguer des preuves satellites du 11 septembre 2001

Poutine va encore frapper, mais il va frapper fort. La Russie prépare la publication de preuves de l’implication du gouvernement américain et des services de renseignement dans les attentats du 11 septembre. La liste des preuves comprend des images satellites.

Enron était chargé de la sécurité des tours du WTC lors des événements du 11 septembre 2001.

Les documents publiés peuvent prouver la complicité du gouvernement américain dans les attentats du 11 septembre 2001 et la manipulation réussie de l’opinion publique. L’attaque a été planifiée par le gouvernement américain, mais exercée en utilisant son mandataire, de sorte qu’une attaque contre l’Amérique et le peuple des États-Unis ressemblait à un acte d’agression par des organisations terroristes internationales.

Le motif de la tromperie et du meurtre de ses propres citoyens servait les intérêts pétroliers américains et les sociétés d’État du Moyen-Orient. Les preuves seront si convaincantes qu’elles démystifient complètement la couverture officielle du 11 septembre soutenue par le gouvernement américain.

photo d’un trou laissé au Pentagone le 11 septembre 2001 avant l’effondrement de la structure …

La Russie prouve que l’Amérique n’est pas étrangère à l’utilisation du terrorisme sous fausse bannière contre ses citoyens afin d’obtenir un prétexte pour une intervention militaire dans un pays étranger. Dans le cas des « attentats du 11 septembre », la preuve sera l’imagerie satellitaire concluante.

En cas de succès, les conséquences des tactiques de Poutine exposeraient les politiques terroristes secrètes du gouvernement américain. La crédibilité du gouvernement sera mise à mal et devrait provoquer des manifestations de masse dans les villes conduisant à un soulèvement, selon des analystes américains.

911 Mysteries – 11 septembre 2001, Les mysteres du World Trade Center

Et comment les États-Unis regarderont-ils l’arène politique mondiale? La validité de la position de l’Amérique en tant que chef de file dans la lutte contre le terrorisme international sera totalement minée, donnant immédiatement l’avantage aux États voyous et aux terroristes islamiques.

Moscou (Pravda) : Les experts américains estiment que malgré le fait que les relations entre les États-Unis et la Russie ont atteint le pire point depuis la guerre froide, Poutine n’a apporté jusqu’à Obama que des troubles mineurs. Les analystes pensent que c’est le « calme avant la tempête ».

L’évolution réelle de la situation pourrait être bien pire, préviennent les experts.

Alors que George W Bush est dans une école au moment de l’attentat,un conseiller lui chuchote quelque chose au moment précis ou le premier avion frappe une tour!

Les preuves satellites russes prouvant la démolition contrôlée du World Trade Center à l’aide d’« armes spéciales » ont été examinées par un éditeur à Moscou.

Source :  CSS

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La Russie combat le Mondialisme et le Great Reset

La Russie crée un champ de résistance globale. La rupture avec l’Occident n’est pas une rupture avec l’Europe. C’est une rupture avec la mort, la dégénérescence et le suicide. Ce n’est pas une guerre contre l’Ukraine. C’est une confrontation contre le globalisme en tant que phénomène planétaire intégral. C’est une confrontation à tous les niveaux – géopolitique et idéologique.
La Russie rejette tout dans le mondialisme – l’unipolarisme, l’atlantisme, d’une part, et le libéralisme, l’anti-tradition, la technocratie, la Great Reset en un mot, d’autre part. Il est clair que tous les dirigeants européens font partie de l’élite libérale atlantiste. La Russie est désormais exclue des réseaux mondialistes. Elle n’a plus le choix : soit construire son monde, soit disparaître.
La Russie a tracé une voie pour construire son monde, sa civilisation.
Et maintenant, la première étape a été franchie. Mais le souverain face au mondialisme ne peut être qu’un grand espace, un État-continent, un État-civilisation. Aucun pays ne peut résister longtemps à une déconnexion complète.
La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial.
Sa victoire serait une victoire pour toutes les forces alternatives, de droite comme de gauche, et pour tous les peuples.
Nous entamons, comme toujours, les processus les plus difficiles et les plus dangereux. Mais quand on gagne, tout le monde en profite. Ça devrait être comme cela. Nous créons les conditions d’une véritable multipolarité. Et ceux qui sont prêts à nous tuer maintenant seront les premiers à profiter de notre entreprise demain.
Qu’est-ce que cela signifie pour la Russie de rompre avec l’Occident ? 
C’est le salut. L’Occident moderne, où triomphent les Rothschild, Soros, Schwab, Bill Gates et Zuckerberg, est la chose la plus dégoûtante de l’histoire du monde. Ce n’est plus l’Occident de la culture méditerranéenne gréco-romaine, ni le Moyen Âge chrétien, ni le XXe siècle violent et contradictoire.
C’est un cimetière des déchets toxiques de la civilisation, c’est l’anti-civilisation.
Et plus tôt et plus complètement la Russie s’en détache, plus tôt elle revient à ses racines. Aux racines chrétiennes, gréco-romaines, méditerranéennes, européennes… C’est-à-dire aux racines communes au véritable Occident.
Ces racines – les leurs ! – l’Occident moderne les a supprimés. 
Et elles sont restés en Russie. 
La Russie n’est pas l’Europe occidentale. 
La Russie a suivi les Grecs, Byzance et le christianisme oriental. Et elle suit toujours cette voie. Oui, avec des zigzags et des détours. Parfois dans des impasses. Mais ça bouge. 
La Russie est née pour défendre les valeurs de la Tradition contre le monde moderne. C’est précisément cette « révolte contre le monde moderne ». Vous comprenez ? (…)

Autre fait:une puissante entité gouverne  les blocks politiques

Deux questions :
1°/ Pourquoi avoir gardé le silence pendant plus de vingt ans et dévoiler ces preuves précisément maintenant ?
2°/ Pourquoi la réaction opérée par la Russie contre subversion atlantiste en Ukraine coïncide-t-elle si bien elle aussi avec la fin de l’opération covid, ou du moins de sa première phase ?

Sans mettre en cause la droiture des intentions de P, cela suggère tout de même fortement que P soit lui-même contrôlé par une entité supérieure qui contrôle également le bloc « occidental ».
La dialectique hégélienne, instrument favori de la subversion luciférienne, consiste en l’affrontement violent des contraires. Ces contraires, la « thèse » et « l’antithèse » ne sont certainement pas « de mèche », ils s’en veulent réellement et s’affrontent réellement.
La guerre est le moteur de la Révolution, comme l’a écrit le monstre Hegel :
« La guerre maintient la santé morale des peuples dans leur indifférence envers les déterminations finies, elle les protège contre l’accoutumance à ces déterminations et contre leur durcissement, de même que le mouvement du vent protège les eaux de la corruption à laquelle les réduirait une tranquillité durable, ou encore davantage une paix éternelle y réduirait les peuples ». (Hegel, Principes de la philosophie du droit, § 324 Rem. Kaan p. 249, cité par Jacques d’Hondt, De Hegel à Marx, PUF, 1972, p. 75.)

On lira alors avec profit cet article majeur : https://viveleroy.net/principe-du-moteur-de-la-revolution/

 


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Sur ce lien:VintageparMichel

 

 

Les dossiers de Michel Duchaine:Donald Trump poursuit les comploteurs de l’attentat « sous faux drapeau » du 11 septembre 2001

Depuis  l’élection de Donald Trump, un vent de guerre ouverte souffle en ce moment entre d’une part le « Deep State » américain, et d’autre part les forces de la NSA fidèles au président élu Donald Trump, et les forces saoudiennes fidèles au prince héritier Mohammed bin Salman. Après avoir ciblé les pervers sexuels et les pédophiles des élites démocrates des médias américains et de Hollywood, Trump cible maintenant les comploteurs du coup d’État qui s’est traduit par les attaques du 11 septembre 2001 (9 / 11).

En effet,  selon http://www.whatdoesitmean.com/index2427.htm, le 16 février 2016, Trump avait promis t que s’il est élu « on découvrira qui a vraiment démoli le World Trade Center … ce n’étaient pas les Irakiens .. .Ce sont peut-être des Saoudiens « .

Trump savait très bien de quoi il parlait.  En tant que constructeur de classe mondiale de gratte-ciels emblématiques, le président Trump a immédiatement compris que l’effondrement des bâtiments du World Trade Center était causé par un évènement d’implosion de démolition contrôlée. En effet, aucun esprit sain ne peut croire qu’un carburéacteur kérosène pourrait faire fondre les poutres massives en béton armé avec lesquelles ces types de bâtiments sont construits. Si cela était possible, on verrait maintenant des dizaines de millions de radiateurs résidentiels au kérosène dans le monde entier déjà réduits en bassins de métal fondu.

Pour ce qui est de la véritable cause des attentats du 11 septembre, Trump savait (et tout le monde sauf le peuple américain) que c’était un ignoble et sinistre complot orchestré par la Famille du Crime Bush et par la puissante famille Ben Laden (aidées par la Famille du Crime Clinton ) afin de détruire le Moyen-Orient et l’Afghanistan afin de construire des pipelines pour contrôler le flux mondial de gaz naturel et de pétrole. Pour les crimes commis dans ce dernier pays, la CPI Cour pénale internationale prépare des accusations de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité contre les États-Unis

Le complot du 11 septembre a commencé en novembre 1998, lorsque l’ancien président George H.W. Bush, au nom de la compagnie financière privée multinationale The Carlyle Group s’est rendu à Djeddah, en Arabie Saoudite, pour rencontrer la famille Ben Laden, à laquelle assistait le milliardaire singapourien Leonard Glenn Francis, propriétaire de la compagnie maritime internationale Glenn Marine Group.

Une dernière réunion entre le président Bush et la famille Ben Laden pour « officialiser » et « activer » le complot du 11 septembre,  a eu lieu à nouveau à Djeddah, en janvier 2000 , durant laquelle une « séance d’essais » a été approuvée, mais «certaines parties» n’acceptant de procéder effectivement à cette vile attaque qu’à la condition que  George W. Bush est élu président des États-Unis. Ce fut  effectivement le cas cette année-là, lorsque la Cour suprême des États-Unis ordonna à la Floride de stopper le décompte de ses voix de vote, permettant ainsi à Bush de l’emporter.

 

George W. Bush devenant président en janvier 2000, le complot du 11 septembre s’est accéléré avec l’achat et le paiement par  ces comploteurs assassins  d’agents de renseignement de la Navy américaine pour coordonner les attaques contre le World Trade Centers (WTC) et contre le l’US Capitol Building. En effet,  Leonard Glenn Francis avait si complètement corrompu la Navy que presque tous les amiraux de la marine américaine étaient sous son contrôle.

Ces traîtres du Renseignement de l’US Naval Intelligence craignant que leur centre de contrôle du Pentagone pour les attentats du 11/9 pourrait éventuellement faire l’objet d’une contre-attaque, ils l’avaient  massivement renforcé, notamment en l’équipant de fenêtres résistantes de 2 pouces d’épaisseur et pesant chacune 2500 livres, pouvant résister aux explosions, et dont le travail a été achevé tôt le matin du 11 septembre 2001.

Le 11 septembre 2001, à 9 heures, le président George H.W. Bush, l’ensemble du groupe Carlyle et la famille Ben Laden, se sont rassemblés à l’hôtel Ritz Carlton à Washington DC pour célébrer ce qui leur serait une victoire, mais qui, pour le reste du monde, a été l’un des crimes les plus horribles contre le peuple américain.

Cependant, ces vils plans ont été contrecarrés quand un mystérieux avion  “Aurora Aircraft” a décollé de la région tout aussi mystérieuse Area 51 du Nevada, a volé à Mach 6 (6 fois la vitesse du son) vers la Pennsylvanie où il a oblitéré l’avion destiné à frapper le bâtiment du Capitole des États-Unis. Il s’est ensuite dirigé vers le Pentagone où il a tiré un puissant missile de croisière détruisant complètement le bureau (surprotégé) du Centre de Contrôle du Renseignement Navaltuant instantanément  de nombreux officiers du renseignement naval américain. Après cette contre opération, l’attaque du 11/9 fut immédiatement stoppée,

photo d’un trou laissé au Pentagone le 11 septembre 2001 avant l’effondrement de la structure …
… alors que le peuple américain a été endoctriné pour croire que ce trou a été fait par un avion comme ça.

Immédiatement après les attentats du 11 septembre, le président George W. Bush a rapidement chassé d’Amérique tous les membres de la famille Ben Laden qui pensaient fêter  la victoire à l’hôtel Ritz Carlton, à Washington DC, en les envoyant par avion d’abord au Texas d’où ils ont ensuite gagné l’Arabie saoudite

 

On se rappelle que Bush avait déclaré sans vergogne : « Le fait que mon père rencontre le frère d’Oussama le 11 septembre 2001, ne fait pas de lui un suspect terroriste » – Mais le « papa », l’ancien président George HW Bush a néanmoins coupé tous les liens entre son groupe Carlyle et la famille Ben Laden six semaines plus tard, le 26 octobre 2001 . Et ce n’est qu’après coup que l’on a décidé qu’Oussama Ben Laden, l’ancien agent de la CIA, était le meilleur « bouc émissaire », on en a fait le « cerveau » des attentats du 11 septembre.

 

Toujours dans la foulée des événements du 11 septembre 2001, le général des Marines John Kelly a formé une alliance avec le général  Michael Flynn, qui est considéré comme le plus efficace des services secrets militaires américains de l’époque moderne, afin de  reconstruire l’ensemble de l’organisation du renseignement naval américain, et ils tentèrent de découvrir les faits réels de ce crime monstrueux contre l’Amérique et son peuple.

Dans une opération de renseignement classique «suivez l’argent»,  les généraux Kelly et Flynn du ont commencé à découvrir la corruption massive qui avait mené l’US Navy à faire partie du complot du 11 septembre, mais ils étaient farouchement combattus tout à la fois par les régimes Bush et Obama à chaque étape du processus – si bien qu’ils ont dû se détourner de l’armée américaine et obtenir de l’aide forces du FBI « loyales à leur cause » , qui étaient toutes basées en Californie, et non pas à Washington DC.

Appuyés par ces forces du FBI en Californie, Kelly et Flynn (appuyés par quelques responsables loyaux du renseignement militaire américain) ont réussi à obtenir, le 17 décembre 2013,  un plaidoyer de culpabilité d’un comploteur de second niveau (du coup d’État du 11 septembre). Il s’agit d’un officier de renseignement des forces navales américaines, nommé John Beliveau.

Mais Beliveau est reste caché pendant près de trois ans, par peur d’être liquidé par le régime d’Obama. Il réapparaît le 14 octobre 2016, date à laquelle il a été traduit devant un tribunal fédéral américain et condamné pour ses crimes.

De la «graine» de l’officier de renseignement naval américain John Beliveau, les généraux Kelly et Flynn ont pu commencer à «faire pousser l’arbre» ​​pour détruire ce nid de complices d’attaque du 11 septembre (maintenant appelé le “Fat Leonard Scandal” ) – et qui a considérablement accéléré sous la direction du président Trump avec son ordre, en juin dernier, de déposer les premières accusations contre ces monstres en vertu de la loi militaire américaine et qui, il y a quelques heures, a commencé à cibler plus de 440 officiers de la Marine américaine, dont 60 amiraux parmi les 221 Amiraux de la Marine.

 

 

Au moment même où le président Trump se dirige contre ces comploteurs du 11 septembre, les forces saoudiennes fidèles au prince héritier Mohammed bin Salman ont, au cours des dernières 48 heures,  arrêté presque tous ceux qui ont assisté à la «célébration de la victoire» avec la famille du Crime Bush au Ritz Carlton Hotel, à Washington DC, le 11 septembre 2001, pour inclure les frères d’Oussama Ben Laden Bakr Bin Laden et Shafiq Bin Laden, à l’exception du prince Mansour bin Muqrin et d’autres hauts responsables saoudiens qui ont été tués lorsque leur hélicoptère a été abattu alors qu’ils tentaient de fuir le pays, et le prince Abdul Aziz bin Fahd qui est mort dans un échange de tirs avec des forces qui tentaient de l’arrêter.

Ainsi donc, le président Trump avait chronométré avec le prince héritier Mohammed bin Salman cette attaque contre ces comploteurs du 11 septembre pour coïncider avec son séjour en Asie, tout en restant  sous la protection de forces loyales pour l’empêcher d’être assassiné. Cependant, les forces du «Deep State» ne manqueront pas de contre-attaquer en essayant de pousser le monde au bord de la guerre.


Entretien de Kevin Barrett sur Press TV:

Les 15 « pirates de l’air » saoudiens du 11 Septembre étaient des agents de la CIA

Quinze des pirates de l’air des attentats du 11 septembre 2001 étaient saoudiens, agents de la CIA et travaillaient pour le gouvernement des États-Unis, qui cherchait à détruire le Moyen-Orient pour le bénéfice d’Israël et pour doubler le budget militaire américain, dit le Dr. Kevin Barrett, un académique qui a étudié les évènements du 11 septembre depuis la fin 2003.

Le Dr. Barrett est un membre fondateur de l’association the Scientific Panel for the Investigation of 9/11, et a fait ces remarques dans un entretien téléphonique avec Press Tv , après qu’un bon nombre de législateurs aient appelé la Maison Blanche à déclassifier des documents qui jettent la lumière sur la complicité possible de l’Arabie Saoudite dans les attentats terroristes du 11 septembre 2001.

Les 15 Saoudiens pirates de l’air n’étaient que des hommes de paille

“Nous savons que 15 des pirates étaient saoudiens, les supposés pirates, parce qu’ils n’étaient pas dans les avions, aucun des 19 pirates, ou quelque arabe que ce soit ne se trouvait dans les quatre avions détournés, ce d’après la liste des passagers et d’après toutes les preuves qu’il y aurait s’ils avaient été dans les avions, mais rien n’a été produit,” a dit Barrett.

Donc, ces 15 hommes de paille saoudiens, qui furent cadrés pour encaisser le blâme des attentats, étaient en fait des agents de la CIA. Nous savons cela, j’ai eu ceci confirmé directement par une source de la CIA, que ces 15 Saoudiens, entrèrent et ré-entrèrent de manière répétitive avec des soi-disant visas de travail, mais il y a un numéro spécial de visas de travail qui ne sont donnés qu’aux agents de la CIA en récompense de leurs services pour l’agence de renseignement centrale et ces visas leur permettent de venir aux États-Unis. Typiquement, ils sont payés pour leur travail pour la CIA en Arabie Saoudite, et on leur donne ce type spécial de visa qui est maquillé comme visa de travail mais c’est d’un type particulier,” a t-il déclaré.

L’ensemble de ces 15 types possédaient ce genre de visa. Ceci montre qu’ils étaient tous en fait des agents de la CIA. Certains d’entre eux vivaient avec des personnels du FBI en Californie. Ces 15 personnes ne travaillaient pas contre le gouvernement des États-Unis mais pour lui et ils furent spécifiquement cadrés de manière à ce que l’Arabie Saoudite puisse être éventuellement blâmée pour les attaques du 11 septembre, qui furent en fait perpétrées par Israël et ses sbires américains,” a-t-il fait remarquer.

Le but était de s’assurer que l’Arabie Saoudite ne puisse pas sortir de l’orbite gravitationnelle américaine, comme le roi l’avait menacé en Août 2001. Similairement, le Pakistan fut aussi cadré. Le patron des services de renseignements pakistanais l’ISI fut trompé, ou on lui donna l’ordre, quoi qu’il en soit, d’envoyer de l’argent à Mohamed Atta, puis ceci fut révélé dans un canard indien. De la même manière, le Pakistan menaçait de quitter l’orbite américaine en 2001.”

Bien évidemment, l’appareil impérialiste, dominé par les sionistes ici aux Etats-Unis, ne voulaient pas du tout d’un Pakistan nucléaire et d’une Arabie Saoudite riche en pétrole tous deux indépendants. Alors, il a utilisé le 11/9 pour les ramener dans l’orbite impérialiste, ce n’est qu’un des éléments,” a observé l’expert.

Quel fut le but du 11 septembre ?

Bien sûr le but du 11/9 fut de détruire sept pays en cinq ans comme en a déjà parlé l’ancien général Wesley Clark, pays qui étaient des ennemis ou des menaces perçues pour Israël. Toute cette vérité fera-t-elle surface lors de la publication des 28 pages manquantes, ce qui pourrait mener à la réouverture de l’affaire des attentats ?” a dit le Dr. Barrett.

Bien si cela rouvre le fait que le bâtiment 7- la plus évidente des démolitions contrôlées de New York- fut celle du bâtiment 7 du WTC, mais les deux tours jumelles furent elles aussi des démolitions contrôlées. Il n’y a eu aucun pirate de l’air dans aucun de ces avions. Pas un seul nom arabe dans ces avions. Pas un gramme de preuve qu’aucun de ces gars ne fut dans les avions”, a t-il dit.

Si ces faits ressortent et que nous apprenons que le 11 septembre fut une opération de couverture et d’enfumage menée par Israël et ses agents américains, ceci incluant les quasi-agents comme le sont les George W. Bush, Dick Cheney et Donald Rumsfeld etc, une opération qui fut agencée comme un nouveau Pearl Harbor, non seulement pour détruire le Moyen-Orient pour le profit du “Grand Israël”, mais aussi pour permettre de plus que doubler le budget militaire américain et revigorer l’empire américain (NdT: via son complexe militaro-industriel et de la sécurité qui engrange le fric depuis lors…) et bien cela s’est terminé par tuer l’empire américain,” a t-il continué.

“Cela a certainement aidé Israël; ils ont détruit tous leurs voisins, virtuellement. Mais les Etats-Unis sont maintenant dans un triste état. Pour faire tourner la table, nous avons besoin de promesses comme celle de Trump de révéler au peuple qui a vraiment effondré les tours jumelles du WTC et ce fut les sionistes,” a noté l’analyste.

Une fois que nous saurons tout cela, nous serons peut-être dans une position de revamper radicalement la structure du pouvoir ici aux États-Unis, de reprendre cette structure corporatiste dominée par les sionistes, les banques, l’industrie de l’investissement et l’appareil médiatique et ainsi de pouvoir rendre l’Amérique à son peuple, mettre fin à l’empire américain et nous presser dans une nouvelle ère de paix multi-polaire,” a conclu le Dr. Barrett.

 

 

 

 

 

 

Vers un 11 septembre économique

Obama,une lignée moins pure!

Mes chères contrariées, mes chers contrariens !

Ce qui est sûr, c’est que jamais, je dis bien jamais le suspense n’aura été aussi haletant. Évidemment, nous en sommes au même point. Rien n’a bougé du côté américain.

Pourtant, encore une fois, l’or baissait fortement aujourd’hui puisque « officiellement » un accord était à portée de main. Cette fois les républicains proposaient à Obama de repousser la limite jusqu’au 15 janvier, histoire de se laisser un peu de temps pour négocier et… sans doute laisser passer les fêtes de Noël avant de rejouer un nouveau psychodrame.

Pendant ce temps, les marchés boursiers montaient également en Europe dans l’euphorie générale et la plus grande des félicités compte tenu de ces perspectives alléchantes d’accord entre les deux camps.

Manque de chance, en fin d’après-midi boom, crac, ouille, patatras… Le mamamouchi en chef locataire du bureau ovale a renvoyé tout ce petit monde à ses études en leur disant « no » , ce qui, même en anglais, est assez facile à comprendre. Non. Obama ne veut pas de cet accord, du pistolet sur la tempe. Il veut une reddition sans concession de l’ennemi en rase campagne et sans doute leur faire signer un armistice plein de déshonneur. Autant dire que ce soir, nous ne prenons pas le chemin d’un accord, y compris de dernière minute, et que la situation devrait commencer à inquiéter sérieusement les marchés.

Pourtant, les marchés poursuivent leur autisme. Pour eux, il ne PEUT pas ne pas y avoir d’accord. Un tel défaut serait impensable.

J’ai expliqué à travers plusieurs éditos ces derniers jours pourquoi je pensais qu’il était possible qu’un défaut soit envisagé par la classe politique américaine et quels seraient les avantages.

Encore une fois, je ne dis pas que c’est ce qui va se produire, car effectivement cela auraient des conséquences incalculables ou presque, mais c’est désormais une véritable option qui doit être prise en considération.

Un défaut américain serait un « 11 septembre économique »

Nous nous souvenons tous ce que nous faisions le 11 septembre 2001, tous, sans exception. Cet événement a marqué l’inconscient planétaire et collectif. Nous avons été sidérés, hébétés, surpris, choqués, effrayés et avons ressenti à peu près toute la palette des sentiments humains possibles.

Cet événement a été un point de rupture historique. Les attentats du 11 septembre ont changé le monde considérablement. C’était un point de basculement, un cygne noir, un événement hautement improbable qui pourtant est arrivé.

Un défaut américain jeudi 17 octobre serait un événement de la même ampleur, un véritable 11 septembre économique.

Les conséquences en chaîne seraient multiples. Pénuries nombreuses, ruine des épargnants partout à travers la planète, krach boursier d’ampleur inégalée, arrêt quasi-total du commerce mondial et de la mondialisation, nécessité de la relocalisation, fin du modèle de croissance actuel si tant est qu’il nous permette de faire réellement de la croissance, augmentation du chômage dans des proportions jamais vues dans l’histoire, repli national de chaque pays sur soi, exacerbation des tensions… Voilà ce que pourrait être un monde post-17 octobre.

Comme pour le 11 septembre, les choses basculent néanmoins avec une certaine forme de lenteur. Il s’agit de mouvements historiques qui, bien qu’initié par un point de rupture violent, rapide, et surprenant, prennent des années.
Entre le 11 septembre 2001 et l’attaque de l’Irak par les USA, il faudra attendre presque deux ans puisque les USA vont en Irak en 2003. Les conséquences de tels événements sont donc extrêmement durables.

C’est pour les raisons que je viens de vous exprimer ici que personne ne croit à l’hypothèse qu’il n’y ait pas d’accord et que bien évidemment la « raison » l’emportera au dernier moment, à minuit moins une.

Mais si ce n’était pas le cas, nous vivrons alors un événement majeur, qui changera le monde et le système économique à jamais, les rapports de forces et la géopolitique.

La dette américaine est le dollar et la dette est le dollar !

Pour bien saisir la gravité de la situation, il faut bien comprendre la relation étroite entre la monnaie le dollar et la dette américaine.

La dette US est libellée… en dollar. Cela signifie que le montant de la dette impacte directement le montant de dollars en circulation. Lorsque les investisseurs achètent de la dette américaine, il faut d’abord qu’ils achètent des dollars. Inversement lorsqu’ils vendent de la dette, ils vendent des dollars. Il y a une opération de change sauf si les investisseurs conservent leurs dollars par exemple pour acheter du pétrole !

Si les investisseurs se débarrassent brutalement de la dette des États-Unis, alors cela reviendra à se débarrasser du dollar. Le dollar chutera alors considérablement, déstabilisant l’ensemble du monde dans la mesure où le dollar est LA monnaie de réserve et compose plus de 60 % des réserves de changes. Un défaut américain avéré signerait la fin et la mort de l’économie mondiale telle que nous la connaissons.

C’est pour cela que personne ne veut y croire. Pourtant, je pense que c’est erreur dans la mesure où le défaut américain éventuel ne serait pas immédiat, il ne serait pas total. Il se ferait à travers un savant pilotage de communication que vous voyez, à mon sens, déjà à l’œuvre. On entretient l’espoir d’un accord à travers des déclarations auxquelles tout le monde s’accroche désespérément. Ils ne feraient pas défaut totalement jeudi 17 à 15h12 très précisément… Il y aurait des échéances payées, d’autres pas. On commencerait par couper toutes les dépenses sociales, entretenant l’espoir que les dettes, elles, soient payées. Bref, ce serait un défaut contrôlé, piloté entraînant un effondrement économique au ralenti, par itération et par étapes, même si au bout du compte et au bout d’un an ou deux, le changement aura été radical.

Il ne faut pas confondre l’événement de rupture avec ses conséquences qui se déclinent sur plusieurs horizons de temps, le court, le moyen et le long terme.

Les attentats du 11 septembre ont marqué notre entrée dans ce nouveau siècle, mais il est fort probable que pour refermer définitivement le siècle précédent nous ayons « besoin » d’un événement similaire en termes économiques. Alors et seulement alors, vous pourrez dire que vous avez vu finir le monde ancien.

Dette : la Maison Blanche rejette le nouveau plan de la Chambre

Il y a eu donc tout au long de cette journée, cette succession d’informations contradictoires, de dépêches opposées.
L’information est devenue une espèce de brouillard épais duquel émerge régulièrement un refus. Au bout du compte, il ne reste que les désaccords. Pourtant, l’espoir est savamment entretenu et avec une efficacité redoutable.

« La Maison Blanche a rejeté mardi le nouveau plan des républicains de la Chambre des représentants. Elle cherche à relever in extremis le plafond de la dette des États-Unis, l’assimilant à une demande de rançon. »
« Le président Barack Obama a dit et répété que les membres du Congrès n’avaient pas à exiger de rançon pour assumer leurs responsabilités fondamentales de voter un budget et de payer les factures du pays. »

Alors qu’il ne nous reste plus qu’une seule journée avant la date limite, la situation ne semble pas avoir bougé d’un centimètre et le blocage reste total. Mais rassurez-vous, cela n’arrivera jamais, à moins que…

Restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez-bien !!

(Source:  Charles SANNAT)