Un cinquième protecteur de l’Amazonie tué en six mois au Brésil

 

Un Autochtone d’Amazonie a été assassiné alors qu’il tentait de protéger son territoire d’un groupe de bûcherons. Il s’agit du cinquième meurtre du genre à survenir au Brésil depuis six mois, selon la BBC.

Zezico Guajajara, de la communauté Guajajara, soutenait les efforts des Gardiens de la forêt, un groupe formé pour contrer la déforestation aux mains de bûcherons dans l’État de Marannao. Ancien enseignant, il est devenu la cinquième victime d’homicide en six mois parmi les siens.

Personne n’a encore été arrêté pour le meurtre de Zezico Guajajara. Cité par CNN, l’Association des peuples autochtones brésiliens estime que cet assasinat « est une évidence que la violence contre les peuples autochtones et leur vulnérabilité s’aggrave, en particulier pour ceux qui se battent pour défendre leurs territoires contre les envahisseurs ».

Le président montré du doigt

Le dictateur néolibéral du Brésil, Jair Bolsonaro, est critiqué de toutes parts pour ses politiques qui favorisent l’industrie forestière, au détriment de la protection de la forêt amazonienne et de ses habitants.  

Le quotidien britannique The Guardian rapporte que la pandémie de COVID-19 complique la situation, qui devient d’autant plus préoccupante avec le retour prochain de la saison des feux de forêt, alors que de moins en moins d’officiels du gouvernement brésilien se rendent sur le terrain pour s’assurer du respect d’ententes visant à protéger la forêt.

Un premier Autochtone d’Amazonie a d’ailleurs reçu un diagnostic positif à la COVID-19 la semaine dernière. Pour se protéger de la pandémie, plusieurs communautés ont entrepris de s’isoler. Malgré tout, des ONG ont confié à The Guardian que ces peuples amazoniens doivent faire face à une croissance des opérations minières dans la forêt entraînée par la hausse du prix de l’or.

Avec les informations de BBC, CNN et The Guardian.

 

Un jeune enfant d’Amazonie:quel futur pour cette génération?

 

 

 

 

Troisième Guerre Mondiale en préparation:l’escalade de la guerre est enclenchée depuis l’assassinat de Soleimani

L’élimination par les États-Unis du général iranien Qassem Soleimani interroge. Prise par Donald Trump en personne, la décision d’abattre le chef des Gardiens de la révolution à l’étranger, l’une des figures les plus importantes de la République islamique, arrivé à Bagdad sur invitation du gouvernement irakien, est d’autant plus cruciale qu’elle pourrait provoquer une nouvelle guerre au Moyen-Orientl’Iran ayant promis de le venger.

Au lendemain de la frappe du drone, le président américain a précisé les raisons ayant motivé sa décision : Soleimani préparait des attaques « imminentes » contre des diplomates et des militaires américains. « Une action d’envergure » menaçant des « centaines de vies américaines », a précisé dans la journée le secrétaire d’État Mike Pompeo, affirmant se baser sur des « évaluations » des services de renseignements américains. D’après le général Mark Milley, le chef d’état-major de l’armée américaine, ces preuves seraient « irréfutables ». Mais ni l’un ni l’autre n’ont donné de plus amples détails.

Des responsables américains, qui ont eu accès à ces renseignements, ont confié au New York Times que les menaces visaient particulièrement les ambassades et consulats américains au Liban, en Syrie et en Irak. Considéré comme l’architecte de la domination de l’Iran au Moyen-Orient, le général Qassem Soleimani revenait justement de ces trois pays et devait se rendre à Téhéran pour s’entretenir avec le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei.

« Opinion personnelle »

Mais tous n’ont pas été convaincus par les renseignements américains. Un haut responsable, qui a requis l’anonymat, affirme au New York Times que les éléments étaient trop légers pour en tirer la moindre conclusion. Surtout, il rappelle que l’ayatollah Khamenei n’avait pas donné son aval à un éventuel plan d’attaque fomenté par Soleimani. Chef de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants et farouche adversaire politique de Donald Trump, le sénateur démocrate Adam Schiff va plus loin. Selon lui, rien ne permet d’affirmer que l’élimination de Qassem Soleimani a permis de « sauver des vies américaines ». « Il s’agit d’une opinion personnelle du secrétaire d’État Pompeo, pas de conclusions des renseignements », souligne-t-il sur la chaîne américaine CNN. D’autres élus américains précisent que les éléments qui leur ont été présentés ne sont pas assez précis quant à la nature des cibles visées par les Iraniens ainsi que l’imminence de l’attaque.

Il apparaît que la décision des États-Unis d’abattre Qassem Soleimani trouve plutôt son origine dans une attaque perpétrée en Irak le 27 décembre dernier qui a coûté la vie à un civil américain. Trente-six roquettes ont été tirées ce jour-là contre une base irakienne à Kirkouk, dans le nord du pays, coûtant la vie à un sous-traitant américain et blessant quatre GI. Non revendiquées, les frappes ont été attribuées par Washington à la milice chiite irakienne des Brigades du Hezbollah, entraînée et financée par l’Iran. Une force qui a eu un rôle important au moment de la lutte au sol contre Daech en Irak.

Cela faisait deux mois que les soldats américains étaient visés par des attaques attribuées par Washington à cette milice. Or, pour la première fois, un citoyen américain (un traducteur) a perdu la vie. Pour Donald Trump, il ne fait aucun doute que Téhéran est derrière cette attaque. Depuis le mois de juin, le président américain se refuse à riposter aux attaques iraniennes dans le Golfe, dans le souci d’éviter une guerre dont il ne veut pas au Moyen-Orient et qui pourrait compromettre sa réélection. Or, à Téhéran, cette passivité est alors interprétée comme un signe de faiblesse. La mort d’un ressortissant américain « change la donne », estime le secrétaire américain à la Défense Mark Esper.

Déterminé, cette fois, à agir, Donald Trump, alors en vacances dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, s’est vu présenter par ses plus proches conseillers une liste de cibles iraniennes à viser, raconte le New York Times : des bases des Brigades du Hezbollah en Irak, des navires de guerre iraniens dans le Golfe, en passant par des dépôts de missiles. Ultime option envisagée, l’élimination de Qassem Soleimani, l’homme derrière le soutien iranien au Hezbollah libanais, au Hamas palestinien, à Bachar el-Assad et aux milices irakiennes.

Attaque de l’ambassade

Déjà présentée par le passé à George W. Bush et Barack Obama, cette éventualité avait jusqu’ici été toujours écartée par les précédents présidents américains, en raison des risques de représailles contre des soldats américains. Car Soleimani est un maillon essentiel du régime iranien, l’un des commandants de l’une des deux forces régulières du pays (les Gardiens de la révolution représentent l’armée idéologique de la République islamique, ).

Trump opte, le dimanche 29 décembre, pour une action moins radicale : le bombardement de cinq installations militaires de la milice chiite en Irak et en Syrie. Massive et sans précédent, l’attaque fait 25 morts dans les rangs des Brigades du Hezbollah et provoque la fureur du Premier ministre irakien Adel Abdel Mahdi. À l’unisson, toute la classe politique du pays dénonce une violation flagrante de la souveraineté nationale de la part des États-Unis. C’est pourquoi, deux jours plus tard, le mardi 31 décembre, les forces de sécurité irakiennes restent étonnamment passives lorsque des centaines de membres des milices chiites investissent l’ambassade des États-Unis située dans la zone verte, le quartier pourtant ultrasécurisé du centre de Bagdad.

« Extrêmement audacieux »

Assistant, impuissant devant son écran de télévision, à l’envahissement de la représentation américaine, Donald Trump se remémore la prise d’otages terrible de l’ambassade des États-Unis à Téhéran quarante ans plus tôt, et plus récemment le raid contre le consulat américain à Benghazi, en 2012 en Libye. Toujours en vacances dans sa propriété de Floride, le président fulmine. Pour lui, cette attaque porte à nouveau la marque de la République islamique. « L’Iran sera tenu pour pleinement responsable des vies perdues ou des dégâts occasionnés dans nos installations. Ils paieront LE PRIX FORT ! », prévient le président américain dans un tweet. « Ceci n’est pas une mise en garde, c’est une menace », insiste-t-il.

La manifestation est finalement dispersée par les forces américaines sans que les miliciens soient parvenus à pénétrer dans le bâtiment principal de l’ambassade. Mais le mal est fait et l’humiliation subie par les États-Unis est terrible. C’est à ce moment-là que Donald Trump ordonne à ses services d’éliminer Qassem Soleimani. « C’était extrêmement audacieux et a surpris nombre d’entre nous », raconte au Washington Post un haut responsable de son administration, tandis que d’autres officiels s’alarment déjà des conséquences pour les troupes américaines dans la région.

Interceptions et informateurs

Il s’agit alors de mettre la main sur le « numéro deux » officieux du régime iranien. Et la chose n’est pas si ardue. Incontournable depuis trente ans dans la région, Qassem Soleimani est constamment en déplacement au Moyen-Orient, se rendant ouvertement auprès des plus grands leaders politiques de l’« axe de la résistance » aux États-Unis, de Beyrouth à Bagdad en passant par Damas. S’estimant protégé par sa toute-puissance ? même le Mossad n’a jamais osé le cibler ? le général iranien ne vit pas caché, contrairement à Abou Bakr al-Baghdadi ou Oussama Ben Laden.

Suivi à la trace durant plusieurs jours à l’aide d’informateurs, d’interceptions téléphoniques et de drones de reconnaissance, Qassem Soleimani est repéré par les services américains : il doit arriver vendredi matin à l’aube à l’aéroport de Bagdad, par un vol officiel, pour y être accueilli par Abou Mahdi al-Mohandes, le chef des Brigades du Hezbollah. Celui-là même qui a participé à l’invasion de l’ambassade américaine mardi. Il est jeudi, 17 heures, et Donald Trump donne l’ordre d’abattre Qassem Soleimani.


LA VÉRITÉ

Ce que vous venez de lire correspond à la version officielle des choses…Voyons voir la Vérité qui se cache derrière tout cela:

 

Piège « diplomatique »: Soleimani tué lors d’une mission diplomatique en Irak pour recevoir une missive de Trump-Pompeo

Aucune interception magique n’était nécessaire, apprend-on maintenant de l’Irak, pour organiser l’assassinat de Soleimani. Nous apprenons maintenant que l’embuscade a été organisée par la voie diplomatique, en attirant Soleimani en Irak en lui promettant qu’il allait recevoir une offre de réduction des sanctions du président Trump.

Le général Qassem Soleimani a atterri en Irak pour rencontrer le Premier ministre Adel Mahdi, qui devait recevoir un message pour l’Iran de la part du président Trump. Il a plutôt été assassiné, et la note diplomatique du secrétaire d’État Michael Pompeo à l’envoyé iranien, Soleimani, était en fait une invitation à une embuscade mortelle. Méthode maffieuse.

Photo choc censurée:
le général Soleimani avec les troupes américaines en Irak
Esper et Pompeo ont menti à Trump

 

 

 

Soleimani s’est envolé de Damas et a été tué alors qu’il quittait l’enregistrement diplomatique à l’aéroport international de Bagdad.

L’Irak avait servi d’intermédiaire entre Téhéran et Washington, le général Soleimani jouant le rôle de représentant diplomatique de l’Iran.

Le gouvernement irakien avait demandé à Soleimani d’organiser et d’entraîner les forces qui avaient vaincu Daech, un processus qui se poursuivait comme il se poursuivait en Syrie en partenariat avec la Russie et la Turquie, dans le cadre de la Coalition d’Astana.

Trump menace l’Irak de «grandes sanctions» s’il est contraint d’abandonner les bases aériennes

Trump menace d’utiliser une base américaine en Irak pour bombarder Bagdad, détruire la production pétrolière irakienne ….

D’abord la Turquie, puis l’Irak et ensuite le Qatar, l’Amérique est expulsée du Moyen-Orient… il est temps de fabriquer plus de porte-avions… après tout, protéger et transporter ISIS autour du monde… et voler du pétrole est un travail difficile.

l’Irak devrait se préparer à des sanctions devant lesquelles celles imposées à l’Iran paraîtraient douces s’il devait expulser les troupes américaines sans couvrir d’abord les coûts d’une base aérienne équivalente, a déclaré le président américain Donald Trump.

«Nous avons une base aérienne extrêmement chère qui existe. Cela a coûté des milliards de dollars à construire, bien avant mon temps. Nous ne partirons pas à moins qu’ils ne nous remboursent pour cela », a déclaré Trump aux journalistes à bord d’Air Force One dimanche.

Les mesures punitives que les États-Unis sont prêts à infliger à leur prétendu allié dans la lutte contre l’État islamique seront encore plus sévères que les sanctions paralysantes déjà en vigueur contre Téhéran, a déclaré le président.

«S’ils nous demandent de partir, si nous ne le faisons pas de manière très amicale, nous leur imposerons des sanctions comme ils n’en ont jamais vues auparavant. Cela rendra les sanctions iraniennes gentilles »

L’avertissement de Trump à l’Irak intervient après que les députés irakiens ont adopté une résolution, défendue par le Premier ministre intérimaire du pays, demandant au gouvernement irakien d’expulser les troupes étrangères en annulant une demande d’assistance militaire auprès de la coalition dirigée par les États-Unis.

La résolution, adoptée ce dimanche, prévoit que certaines troupes étrangères pourraient rester en Irak à des fins de formation, mais le nombre d’instructeurs étrangers jugés nécessaires devrait être communiqué par les autorités irakiennes.

Trump promet de  détruire tous les sites culturels iraniens

Prenant exemple sur les idiots utiles de l’impérialisme et du sionisme que sont les terroristes islamistes sunnites, Trump a réitéré sa menace de détruire les sites culturels iraniens en représailles à de futures attaques potentielles de Téhéran, qui a promis de venger l’assassinat du général Qassem Soleimani, par les États-Unis.

Accusant l’Iran de « torturer » et de « mutiler » des soldats américains dans des attentats-suicides et en posant des bombes en bordure de route, Trump a laissé entendre que les attaques contre les troupes américaines justifient le fait que l’Amérique puisse impunément commettre des crimes de guerre –comme  la destruction du patrimoine culturel d’une nation :

« Ils ont le droit de tuer notre peuple. Ils sont autorisés à torturer et à mutiler notre peuple. Ils sont autorisés à utiliser des bombes en bordure de route et à faire exploser notre peuple. Et nous ne sommes pas autorisés à toucher leurs sites culturels? Cela ne fonctionne pas de cette façon. « 

La déclaration de Trump samedi selon laquelle les États-Unis pourraient tirer sur 52 sites importants pour le peuple et la culture iraniens a suscité une controverse aux États-Unis, de nombreux critiques, car  l’administration Trump imiterait alors les méthodes de ses « adversaires déclarés », l’État islamique (qui  a endommagé et détruit des sites culturels d’importance mondiale en Syrie et en Irak.) et les Talibans qui ont commis les mêmes prédations en Afghanistan.

Les satanistes veulent la troisième guerre mondiale en Iran

Source : Satanists want World War III in Iran—again

Les satanistes qui ont littéralement créé le chaos en Irak, en Afghanistan, en Libye et en Syrie, applaudissent maintenant Donald Trump pour avoir assassiné le général iranien Qassem Soleimani.

Le nettoyeur et belliciste ethnique John Bolton a récemment déclaré:

«Félicitations à toutes les personnes impliquées dans l’élimination de Qassem Soleimani. Longtemps en préparation, ce fut un coup décisif contre les activités malveillantes de la Force Quds iranienne dans le monde entier. J’espère que c’est la première étape d’un changement de régime à Téhéran. »[1]

Bolton n’est pas à la Maison Blanche, mais il sourit certainement parce qu’il est témoin que Trump réalise réellement l’aspiration d’Israël. Ce qui est intéressant, c’est qu’en 2011, Trump était partout dans les médias pour attaquer Obama et dire qu’Obama voulait mener une guerre inutile avec l’Iran. Trump a alors déclaré:

«Notre président va déclencher une guerre avec l’Iran parce qu’il n’a absolument aucune capacité de négocier – il est faible et inefficace. Donc, la seule façon dont il pense qu’il va être réélu, et aussi sûr que vous êtes assis là, c’est de déclencher une guerre avec l’Iran. »[2]

En 2012, Trump a de nouveau déclaré: «Ne laissez pas Obama jouer la carte de l’Iran pour déclencher une guerre afin d’être élu – faites attention , Républicains!» [3] En 2013, Trump n’a pas du tout pu fermer sa grande gueule: « Je prédis que le président Obama attaquera l’Iran à un moment donné pour sauver la face! » [4]

Obama n’avait aucune intention d’attaquer l’Iran. En fait, il a toujours affronté le régime israélien, l’entité même qui continue d’envoyer de précieux soldats américains mourir au Moyen-Orient. Obama a été le premier président de l’histoire à qualifier ouvertement le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de personne sans valeur et méprisable. “a chickenshit.”[5].

Alors maintenant, Trump fait exactement ce qu’il pensait qu’Obama avait l’intention de faire. Alors pourquoi les États Sionistes d’Amérique (Zionist States of America) ont-ils assassiné Qassem Soleimani? Eh bien, ils essayaient de sauver «des centaines de vies américaines» [6]! Trump a déclaré:

«Le général Qassem Soleimani a tué ou gravement blessé des milliers d’Américains sur une longue période, et complotait pour en tuer beaucoup plus… mais il s’est fait prendre! Il était directement et indirectement responsable de la mort de millions de personnes, y compris du grand nombre récent de manifestants tués en Iran même. »[7]

Quelqu’un peut-il donner à Trump une copie de On Bullshit (sur les conneries) de Harry G. Frankfurt? « L’une des caractéristiques les plus marquantes de notre culture est qu’on y trouve tellement de conneries« , écrit Francfort. « Tout le monde le sait. » [8]

Trump sait qu’il est une marionnette du régime israélien et qu’il essaie de plaire à ses maîtres. Il sait qu’aucun Américain sérieux ne soutiendrait une autre guerre au Moyen-Orient. Il sait que la guerre en Irak coûtera aux États-Unis au moins six mille milliards de dollars. Mais il doit obéir aux pouvoirs sataniques d’Israël. Il doit provoquer l’Iran afin que les États-Unis trouvent une excuse pour une autre guerre. En fait, dès que le général a été assassiné, Benjamin Netanyahu est rapidement monté sur le podium politique et a déclaré que Trump avait fait du bon travail, car il avait agi «rapidement, avec force et de manière décisive».

Mais Israël et les États-Unis peuvent regretter une telle décision car la Russie, la Chine et la France ne sont pas satisfaites. De plus, l’activité diabolique de Trump provoque une réaction massive dans le monde, et il semble que les responsables israéliens et leurs marionnettes aux États-Unis n’étaient pas prêts pour cette réaction.

Gardez à l’esprit que les dirigeants iraniens ont toujours sympathisé avec les Américains, malgré le fait que l’establishment anglo-américain a renversé un président iranien démocratiquement élu du nom de Mohammad Mosaddegh en 1953. [9]

Par exemple, juste après l’attaque du 11 septembre, ce sont les dirigeants iraniens eux-mêmes qui ont proposé de s’associer à l’armée américaine pour lutter contre le terrorisme. Les États-Unis ont toutefois rejeté l’offre généreuse. [10]

De plus, l’Iran, contrairement à l’Amérique, n’a jamais eu pour mission d’envahir des pays et de détruire le tissu moral et politique de ces pays. Nous savons déjà à quel point la guerre en Irak a été catastrophique. [11]

Ainsi, lorsque Khamenei déclare que l’Amérique est «mauvaise et méchante», il se réfère à la manifestation d’une idéologie diabolique qui est venue enrouler sans doute la planète entière [12]. Il ne fait nullement référence au peuple américain. Khamenei a même dit très clairement aujourd’hui que «Mort à l’Amérique» n’a rien à voir avec l’Américain moyen, mais a tout à voir avec l’idéologie sioniste, qui cherche à pressuriser la planète entière. Cette politique a été étoffée en 1979 [13] et elle est toujours d’actualité. L’ayatollah Khomeini postulait alors:

«Il n’y a aucun crime que l’Amérique ne commettra pas afin de maintenir sa domination politique, économique, culturelle et militaire sur les parties du monde où elle prédomine. Elle exploite les peuples opprimés du monde au moyen des campagnes de propagande à grande échelle qui sont coordonnées pour lui par le sionisme international.

«Au moyen de ses agents cachés et perfides, elle aspire le sang des peuples sans défense comme si elle seul, avec ses satellites, avait le droit de vivre dans ce monde. L’Iran a essayé de rompre toutes ses relations avec ce grand Satan et c’est pour cette raison qu’il fait face maintenant à des guerres qui lui sont imposées. »

Le «sionisme international» est une description appropriée de ce qui se passait alors. Comme je l’ai déjà suggéré, les États-Unis et l’Angleterre avaient déjà renversé un président démocratiquement élu en Iran en 1953, et les deux pays se développaient de manière agressive au Moyen-Orient pour maintenir en vie un empire diabolique.

L’ayatollah Khomeiny a tenté de résoudre le problème du «sionisme international» en faisant appel à l’unité musulmane. Mais c’était encore un autre problème parce que des pays comme l’Arabie saoudite se prosternaient déjà devant le «sionisme international». Comme le dit E. Michael Jones,

«Au moment même où il a invoqué l’unité islamique, Khomeiny a été forcé d’admettre que l’islam était en train de se diviser en deux factions en guerre. La grande bataille culminante de la croisade anti-communiste a masqué cette scission pendant des décennies, mais maintenant, alors que les guerres intra-islamiques font rage au Yémen et en Irak, Khomeiny s’est montré plus un prophète qu’un politicien capable de réaliser l’unité islamique. Dans les deux cas, le Grand Satan exacerbait la division comme moyen d’atteindre des objectifs géopolitiques. »[14]

Khomeiny a manifestement allumé un projecteur prophétique qui, encore une fois, est toujours d’actualité. Le «sionisme international» aspire toujours le sang de pratiquement toutes les nations de la terre à travers des activités secrètes, l’espionnage et des moyens trompeurs. [15] Et en rejetant métaphysiquement l’ordre moral et politique et en embrassant le chaos et la destruction, le sionisme international est essentiellement devenu le satanisme.

Ce principe a été exprimé par saint Athanase, qui a postulé que toute idée métaphysique qui nie ontologiquement le Logos et sa place centrale dans l’univers finira par être satanique. Dans un univers satanique, ce qui est vrai est en fait un mensonge et ce qui est un mensonge est par définition vrai. Le régime israélien et ses marionnettes aux États-Unis représentent le satanisme. Trump est l’un de leurs prédicateurs. En bref, une «allégeance active à Satan» est l’idéologie politique des États-Unis, de l’Arabie saoudite et même d’Israël, en particulier lorsqu’il s’agit de traiter des questions importantes au Moyen-Orient.

Khamenei a ajouté que tant que la politique étrangère des États-Unis demeurerait «mauvaise et méchante» [16], l’Iran et ses dirigeants continueraient de scander la mort à ceux qui perpétuent le nettoyage ethnique pratiquement partout au Moyen-Orient. Les représentants du mal au Moyen-Orient, dit Khamenei, ne sont autres que Donald Trump, John Bolton et Pompeo. [17] Khamenei a continué: «Les États-Unis sont l’incarnation du mal, mais se plaignent toujours lorsque vous scandez « Mort à l’Amérique ». [18]

Les États-Unis sont l’incarnation du mal parce que les politiciens ont adopté un principe essentiellement talmudique qui dit essentiellement que les guerres perpétuelles et le nettoyage ethnique au Moyen-Orient et ailleurs sont bons pour l’Amérique, malgré la preuve du contraire.

 

 

 

 

Jamal Khashoggi :Les photos qui prouvent son meurtre (coeurs sensibles s’abstenir)

Les  médias ont tout fait depuis le 25 octobre 2018,afin de faire disparaître les preuves  photographiques de l’assassinat horrible de Jamal Khashoggi au Consulat d’Arabie Saoudite en Turquie.

La simple tentative de faire disparaître ces preuves  et la disparition des policiers turcs qui ont retrouvés les parties du corps de Jamal Khashoggi nous montre l’odieux des politiciens criminels et corrompus qui dominent  cette affaire.

Donald Trump nous aura prouvé qu’on ne pourra jamais faire confiance en ce goujat issu de la mafia khazare.Cet ami fidèle d’Israël ne carbure qu’en billets verts…américains!Il forme un magnifique trio de scélérats avec le  tyran de Ryad,Mohammed bin Salmane et le dictateur  de Turquie Recep Erdogan.Ce sont de dangereux criminels en liberté,auxquels l’Union Européenne cherche a dissipper les crimes afin de profiter financièrement de la situation.

J’ai reçu ces quelques photos d’un ami dont je garde l’anonymat  et je fait suivre ces  terrifiantes et sadiques photos d’une évaluation de la situation:


LES PHOTOS

La photo du visage tuméfié de Jamal Khashoggi.La tête semble avoi été coupée!

 

des membres et diverses parties du corps furent retrouvées dans des sacs.

 

On a poussé l’horreur a enlever la peau du crâne de Khashoggi et les disposer au même endroit que ses parties génitales.

UN BREF RÉSUMÉ ET UNE ÉVALUATION DE LA SITUATION

 

 

 

De la disparition du journaliste Jamal Khashoggi le 2 octobre à l’aveu, samedi matin,le 21 octobre 2018,, par Ryad qu’il a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul, les développements d’une crise majeure.

L’éditorialiste saoudien s’était exilé aux Etats-Unis en 2017, redoutant une arrestation après avoir critiqué le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS).

Le consulat saoudien.

– Disparition –

Le 2 octobre 2018,arrivée de Jamal Khashoggi au Consulat.
Une image de vidéosurveillance montre Jamal Khashoggi (dans le cercle rouge) à côté de sa fiancé devant le consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, le 2 octobre

Un mardi après-midi d’automne, le journaliste saoudien en exil Jamal Khashoggi entre dans le consulat de son pays à Istanbul. Cet ancien proche de la famille royale est devenu, depuis l’arrivée au cœur du pouvoir de Mohammed Ben Salman, un critique affirmé du régime de Riyad. M. Khashoggi, 59 ans, est fiancé à une femme turque, Hatice Cengiz. Afin de pouvoir l’épouser, il doit accomplir une formalité administrative, d’où sa visite à la représentation diplomatique saoudienne. Les heures passent, il ne réapparaît pas. Sa fiancée, qui l’avait accompagné et était restée l’attendre à l’extérieur, alerte les médias et le gouvernement d’Ankara, une consigne que le journaliste lui avait donnée dans le cas où il tarderait à revenir.

Une capture écran extraite de la vidéosurveillance, publiée par le journal turc « Sabah » le 10 octobre, montre des hommes suspectés d’avoir participé à la disparition de Jamal Khashoggi à l’aéroport Ataturk d’Istanbul, le 2 octobre.

 

Le 2 octobre, vers 10H15 GMT, Jamal Khashoggi entre au consulat saoudien à Istanbul, selon une image de caméra de surveillance publiée par le quotidien américain Washington Post, avec lequel il collabore. Selon sa fiancée, il s’y est rendu pour des démarches en vue de leur prochain mariage.

Ce van, entré dans l’aire du consulat saoudien le 2 octobre, est au centre de nombreuses questions.

Le 3, la présidence turque affirme que le journaliste se trouve au consulat saoudien.

Des médias turcs publient le 10 octobre des images de vidéosurveillance qui permettent de suivre les déplacements, le 2 octobre, du groupe de quinze personnes soupçonnées d’avoir orchestré la disparition du journaliste. Les profils se précisent : il s’agit d’officiers des forces spéciales et de l’armée de l’air saoudiennes et de membres supposés de la sécurité rapprochée de Mohammed Ben Salman, accompagnés d’un médecin légiste. Dans les médias proches du pouvoir turc, on commence à évoquer des enregistrements établissant un démembrement à la scie à os du journaliste saoudien. Plus d’une semaine après le début de l’affaire, les premières réactions internationales tombent.

 


Le Washington Post affirme que les services de renseignement américains avaient connaissance d’un projet saoudien, impliquant le prince héritier, consistant à attirer le journaliste dans un piège pour l’arrêter. « Nous n’étions pas informés à l’avance de la possible disparition de M. Khashoggi », affirme le département d’État.

Donald Trump réclame des explications à l’Arabie saoudite sur le sort du journaliste. Il dit être en contact avec la fiancée de M. Khashoggi, qui a demandé son aide.


 

Dans une interview diffusée le 5 octobre par l’agence Bloomberg, le prince héritier affirme que Khashoggi est effectivement « entré » au consulat, mais qu’il en est sorti peu après.

– « Tué au consulat » –

Le 6, une source proche du gouvernement turc déclare que la police estime « que le journaliste a été tué au consulat par une équipe venue spécialement à Istanbul et repartie dans la même journée ». Ryad dément.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan, prononce un discours devant les partisans à Istanbul dimanche. Erdogan a annoncé qu’il annoncerait les détails de l’enquête turque sur la mort de Khashoggi mardi.

Le 7, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui s’exprime pour la première fois sur cette affaire, dit attendre les résultats de l’enquête.

« Le corps de Khashoggi a été probablement découpé et mis dans des caisses avant d’être transféré par avion hors du pays », affirme le Washington Post, citant un responsable américain.

Ryad doit « prouver » que le journaliste a quitté le consulat, dit M. Erdogan.

Le 10, des télévisions turques diffusent des images de vidéosurveillance montrant l’arrivée à Istanbul de Saoudiens soupçonnés d’avoir conduit l’opération.

Selon le Washington Post, Ankara aurait affirmé à Washington détenir des enregistrements audio et vidéo montrant comment Khashoggi a été « interrogé, torturé puis tué » à l’intérieur du consulat, avant que son corps ne soit démembré.

– Washington menace puis ménage Ryad –

Le 13, Donald Trump estime que l’Arabie saoudite pourrait être derrière la disparition et menace Ryad d’un « châtiment sévère », tout en excluant un gel des ventes d’armes.

Le 15, le président des Etats-Unis suggère après un entretien téléphonique avec le roi saoudien Salmane que la disparition « pourrait être le fait de tueurs hors de contrôle ».

Le 16, le secrétaire d’Etat Mike Pompeo affirme que Ryad est favorable à une enquête « approfondie », après des entretiens avec le roi et le prince héritier.

M. Trump réclame l’application du principe de présomption d’innocence en faveur de l’Arabie saoudite.

Le lendemain, il nie chercher à « couvrir » ses alliés saoudiens. Il souligne que les Etats-Unis ont besoin de Ryad dans la lutte contre le terrorisme et insiste sur la coopération militaire et sa dimension économique.

– Une « équipe d’exécution » –

Un journal pro-gouvernemental turc, affirmant s’appuyer sur des enregistrements sonores à l’intérieur du consulat, rapporte que le journaliste y a été torturé avant d’être « décapité ».

Selon le New York Times, l’un des hommes identifiés par les autorités turques comme faisant partie de l’équipe soupçonnée d’avoir perpétré l’assassinat appartient à l’entourage du prince héritier, et trois autres aux services de sécurité rattachés au prince.

– Washington durcit le ton –

Le 18, le secrétaire américain au Trésor annonce qu’il ne se rendra pas à une conférence économique à Ryad, boycottée par un nombre croissant de personnalités.

Donald Trump admet pour la première fois que Khashoggi est très probablement mort, menaçant Ryad de « très graves » conséquences si sa responsabilité est confirmée.

Washington décide cependant d’accorder un délai supplémentaire à l’Arabie saoudite pour s’expliquer.

– Fouilles et témoignages –

Le 19, les médias turcs indiquent que les enquêteurs ont élargi les recherches à une vaste forêt d’Istanbul. Des images de vidéosurveillance prises le 2 octobre montrent, selon une chaîne de télévision privée, au moins un véhicule muni de plaques diplomatiques y pénétrer après avoir quitté le consulat.

Les enquêteurs ont fouillé cette semaine le consulat et la résidence du consul saoudien.

Mike Pompeo prévient que les Etats-Unis disposent d’une « large gamme » de sanctions possibles contre l’Arabie saoudite s’il s’avérait qu’elle était derrière la disparition du journaliste.

– Ryad reconnaît la mort –

L’Arabie saoudite reconnaît dans la nuit du 19 au 20 octobre que Jamal Khashoggi a été tué dans le consulat, et annonce une restructuration de ses services de renseignements et des limogeages à leur tête.

« Les discussions entre Jamal Khashoggi et ceux qu’il a rencontrés au consulat du royaume à Istanbul (…) ont débouché sur une rixe, ce qui a conduit à sa mort », déclare l’agence de presse officielle saoudienne SPA, citant le parquet.

Le roi ordonne au prince héritier de restructurer les services des renseignements, dont un des hauts dirigeants, Ahmad al-Assiri, est limogé, ainsi qu’un conseiller de haut rang à la cour royale.

 

…l’histoire continue!

 

 

 

Aux héros inconnus (texte de Roméo Bouchard)

Aux HÉROS INCONNUS…

Pendant que le Québec tout entier, sans doute par un vieux complexe de colonisé, se confond en hommages pour un des siens, venu d’ailleurs, qui a fait fortune dans le grand monde avec un talent de chez nous,

beaucoup des nôtres tombent au combat dans l’indifférence et l’oubli:

 

Quatre des Québécois qui s'étaient rendus au Burkina Faso à des fins humanitaires et comptent parmi les victimes de l'attentat de vendredi, à Ouagadougou, étaient membres d'une même famille. Gladys Chamberland et son conjoint Yves Carrier, 65 ans, de même que leurs enfants Charlelie et Maude, ont été tués lorsque quatre djihadistes ont attaqué le restaurant Splendid ainsi que le café Cappucino de la capitale. La famille originaire de Lac-Beauport, dans la région de Québec, était dans ce pays africain depuis près d'un mois pour participer à la construction d'une école. Ils étaient accompagnés de deux autres bénévoles, qui seraient aussi originaires de Québec, complétant leur groupe de travailleurs humanitaires. La famille avait quitté le Québec à la fin décembre afin de se rendre en Afrique pour le compte de la Congrégation des sœurs de Notre-Dame du Perpétuel Secours. Il s'agissait du deuxième voyage sur le continent pour Gladys Chamberland, après un court séjour en 2013. Sur Facebook, elle avait d'ailleurs tenté de rassurer ses proches, en relayant un article selon lequel les chances de mourir du terrorisme étaient de 1 sur 116 millions. « Dix fois plus de chances de gagner le gros lot du 6/49 », peut-on y lire ensuite.
Quatre des Québécois qui s’étaient rendus au Burkina Faso à des fins humanitaires et comptent parmi les victimes de l’attentat de vendredi, à Ouagadougou, étaient membres d’une même famille.
Gladys Chamberland et son conjoint Yves Carrier, 65 ans, de même que leurs enfants Charlelie et Maude, ont été tués lorsque quatre djihadistes ont attaqué le restaurant Splendid ainsi que le café Cappucino de la capitale.
La famille originaire de Lac-Beauport, dans la région de Québec, était dans ce pays africain depuis près d’un mois pour participer à la construction d’une école.
Ils étaient accompagnés de deux autres bénévoles, qui seraient aussi originaires de Québec, complétant leur groupe de travailleurs humanitaires.
La famille avait quitté le Québec à la fin décembre afin de se rendre en Afrique pour le compte de la Congrégation des sœurs de Notre-Dame du Perpétuel Secours. Il s’agissait du deuxième voyage sur le continent pour Gladys Chamberland, après un court séjour en 2013.
Sur Facebook, elle avait d’ailleurs tenté de rassurer ses proches, en relayant un article selon lequel les chances de mourir du terrorisme étaient de 1 sur 116 millions. « Dix fois plus de chances de gagner le gros lot du 6/49 », peut-on y lire ensuite.

ce couple assassiné qui avait construit une école au Burkina Faso,
ces toxicomanes évincés du refuge qui était leur seul espoir,
ces assistés sociaux traités comme des voleurs alors que les banquiers et une caste de médecins cachent leur fortune dans les îles du Sud,
ces éducateurs épuisés qui tiennent le coup ou lancent la serviette,
ces jeunes qui ne trouvent pas d’emploi à leur mesure,
ces travailleurs en région qui perdent leur emploi,
ces vieux qui étirent leur vie dans la pauvreté et la grisaille des résidences après s’être usés toute leur vie pour leur patron et leur famille,
ces malades apeurés qui attendent d’être appelés,
ces travailleurs communautaires qui se voient amputés de leur soutien pendant que Bombardier et les médecins empochent,
ces citoyens auxquels ont refuse le droit de décider,

et par dessus tout, ce peuple québécois qui, si adulé soit-il à Las Vegas, n’en demeure pas moins toujours aussi ignoré et méprisé à Ottawa, dans ce qu’il a vécu et dans ce qu’il est, tant qu’on lui refusera une place digne de lui dans ce pays qu’il a fondé.

Roméo Bouchard

Vidéo sur l’histoire:L’assassinat de Jorge Eliécer Gaitán et les débuts la guerre civile colombienne en 1948

Photo du meurtre de Jorge Eliécer  Gaitan.
Photo du meurtre de Jorge Eliécer Gaitan.

 

 

 

 

 

L’assassinat de Jorge Eliécer Gaitán et les débuts la guerre civile colombienne en 1948

Le 9 avril 1948, le candidat présidentiel du parti libéral colombien Jorge Eliecer Gaitán est abattu en plein jour dans une rue de Bogota. L’assassinat déclenche une révolte populaire d’une extrême violence. Ce que l’on appellera le « Bogotazo » aboutit presque au renversement du gouvernement conservateur, fait trois mille morts et détruit le centre ville de la capitale. C’est le début de « la Violencia », la guerre civile colombienne.