Le système envoie de l’huile sur le feu de la ” Pandémie du virus de la peur”:Le monde n’est pas prêt à faire face au coronavirus, prévient un expert canadien

Le docteur Bruce Aylward

 

 

Le monde n’est pas préparé à affronter une épidémie planétaire de Covid-19, a prévenu mardi un épidémiologiste canadien de renom qui a dirigé une mission de l’Organisation mondiale de la santé en Chine pour étudier le coronavirus.

Le docteur Bruce Aylward a passé deux semaines en Chine, notamment dans la ville de Wuhan, considérée comme l’épicentre de l’éclosion. Il a invité les pays du monde à se préparer à la possibilité que le virus se propage sur leur propre territoire.

Il estime que les pays devraient solliciter l’expertise de la Chine pour gérer et traiter les personnes atteintes du Covid-19. Il a rappelé que Pékin avait pris les grands moyens pour tester, isoler et soigner ceux qui ont été infectés par le virus.

Le docteur Aylward a estimé que la propagation du virus semblait inévitable. Tous les pays doivent s’assurer que leurs hôpitaux augmentent le nombre de places disponibles et disposent de suffisamment d’appareils respiratoires pour les patients les plus malades, a-t-il dit.

Ils devraient aussi se préparer à placer en isolement un grand nombre de personnes entrées en contact avec ceux chez qui la maladie a été confirmée, a-t-il ajouté.

L’administratrice en chef de la santé publique du Canada, la docteure Theresa Tam, a affirmé lundi que la priorité du Canada était de retarder le plus possible une éventuelle épidémie au pays, tout en soulignant que le système de santé se préparait à cette possibilité.


La propagation du coronavirus mène les autorités américaines à sonner l’alarme

Les autorités américaines de santé publique, dont la Dre Nancy Messonnier, une des responsables des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, ont estimé quasi inévitable la propagation du coronavirus aux États-Unis.

 

Contrastant avec le ton rassurant employé par les autorités américaines jusqu’ici, la principale agence fédérale américaine en matière de santé publique a lancé un avertissement mardi : il faut se préparer dès maintenant à une éventuelle propagation du coronavirus dans les communautés du pays, car elle est presque inévitable.

Ultimement, nous nous attendons à ce que la maladie se propage aux États-Unis, a averti la Dre Nancy Messonnier, une des responsables des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis, au cours d’une conférence de presse.

Les autorités ont dit ignorer si la propagation sera importante ou non, mais ont indiqué que les Américains doivent être prêts à faire face à une perturbation importante de leur vie quotidienne.

Nous demandons au public américain de se préparer à la perspective d’une propagation de grande ampleur, a insisté la Dre Messonnier.

En raison de l’absence de vaccin ou de traitement pour le nouveau coronavirus, les communautés et les individus doivent se protéger par d’autres moyens, a déclaré la Dre Messonnier.

Les autorités sanitaires américaines exhortent donc les établissements hospitaliers, les entreprises et les écoles à prévoir dès maintenant des moyens de limiter l’impact du coronavirus lorsqu’il se répandra dans leur communauté, évoquant par exemple le télétravail et la fermeture d’écoles.

La multiplication rapide, ces derniers jours, de nouveaux cas à l’extérieur de la Chine continentale, berceau de l’épidémie, explique l’urgence exprimée dans les nouveaux avertissements officiels, a précisé la Dre Messionnier.

Il y a 79 331 cas confirmés de COVID-19 à travers le monde, dont l’immense majorité en Chine, mais le virus progresse de façon foudroyante, avec des foyers de contamination importants à Hong Kong, en Iran, en Italie, au Japon, à Singapour, en Corée du Sud, à Taïwan et en Thaïlande.

Lundi, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé la communauté internationale à se préparer à une éventuelle pandémie du nouveau coronavirus, jugeant très préoccupante […] l’augmentation soudaine de nouveaux cas dans plusieurs pays.

Les États-Unis dénombrent pour leur part 57 cas de coronavirus; 43 des personnes touchées étaient des passagers du bateau de croisière Diamond Princess.

Inquiétudes bipartites devant la stratégie du gouvernement

Le message a aussi été relayé devant un sous-comité du Sénat par le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Alex Azar, qui a reconnu l’existence d’un défi sanitaire sans précédent, potentiellement grave, à l’échelle mondiale.

Le nombre d’Américains atteints augmentera inévitablement, a-t-il averti.

M. Azar a notamment indiqué que les services de santé du pays auront besoin de 300 millions de masques pour les travailleurs de la santé et de ventilateurs supplémentaires pour les hôpitaux.

Des élus démocrates et républicains ont exprimé des préoccupations devant le degré de préparation de l’administration de Donald Trump.

Le sénateur républicain John Kennedy a reproché au secrétaire à la Santé de ne pas avoir de réponses à fournir à plusieurs questions. M Azar n’a notamment pas indiqué le nombre estimé d’Américains qui risquaient d’être touchés, selon les prévisions des responsables sanitaires.

En matinée, le président Trump, en visite officielle en Chine, s’est fait rassurant. Le coronavirus est très bien contrôlé aux États-Unis, a-t-il écrit sur Twitter.

Je pense que c’est un problème qui va disparaître, nous sommes très près d’un vaccin, a-t-il aussi soutenu devant les médias.

Le président du comité sénatorial chargé d’étudier notamment les questions de santé, le républicain Lamar Alexander, a indiqué au réseau CNN que la mise au point d’un vaccin devrait prendre 18 mois.

Lundi, l’administration Trump a demandé 2,5 milliards de dollars américains pour aider à contrer la propagation du virus.

Le Dow Jones touché par le coronavirus

Les marchés réagissent nerveusement au risque d’une pandémie et ses possibles répercussions sur l’économie.

Partout les rue sont désertes en Chine.

Après avoir perdu 1000 points la veille, le Dow Jones Industrial Average a chuté de près de 900 points, soit 3,3 %, mardi après-midi, après l’avertissement lancé par les CDC.

Entre les deux reculs, le président Trump a minimisé les impacts économiques possibles d’une éventuelle propagation du virus aux États-Unis. Je pense que ça va être sous contrôle, a-t-il affirmé depuis la Chine. Sur Twitter, il avait précédemment déclaré que les marchés boursiers commençaient à lui sembler très bien.


S’ASSEOIR DEVANT LA TÉLÉ POUR CULTIVER LA

“Pandémie du virus de la peur”

 

L’exagération de la dangerosité du coronavirus par rapport à d’autres maladies ainsi que la préparation de la réponse des principaux acteurs deux mois avant l’épidémie laissent pantois. Il n’est pas possible de tirer de conclusions, pour le moment.
Étant entendu que le coronavirus ne doit pas être sous-évalué et qu’on doit suivre les 10 règles préventives du ministère de la Santé, il faut adopter une 11ème règle fondamentale : empêcher la diffusion du virus de la peur.

Celui-ci est répandu surtout par la télévision, en commençant par la Rai qui consacre les journaux télévisés quasiment entièrement au coronavirus. Le virus de la peur pénètre ainsi dans tous les foyers à travers les chaînes de télé.

Tandis qu’elles lancent la plus grande alarme pour le coronavirus, elles taisent le fait que la grippe saisonnière, épidémie beaucoup plus mortelle, a provoqué en Italie pendant la 6ème semaine de 2020 —selon l’Institut supérieur de la santé— en moyenne 217 décès par jour, dus aussi à des complications pulmonaires et cardiovasculaires liées à la grippe. Elles taisent le fait que —selon l’Organisation mondiale de la santé— meurent en Italie en une année du HIV/Aids plus de 700 personnes (en moyenne deux par jour), sur une total mondial d’environ 770.000.
À propos de la campagne alarmiste sur le coronavirus, Maria Rita Gismondo —directrice de macrobiologie clinique, virologie et diagnostic de bio-urgences du laboratoire de l’hôpital Sacco de Milan, où s’analysent les échantillons de contagions possibles— déclare : « C’est une folie. On a transformé une infection à peine plus sérieuse qu’une grippe en une pandémie létale. Regardez les chiffres. Ce n’est pas une pandémie ». Mais la voix de la scientifique n’arrive pas au grand public, alors que chaque jour, de la Rai service qui qui devrait public, aux chaînes Mediaset et pas seulement, on diffuse chez les Italiens la peur pour « le virus mortel qui de Chine se répand dans le monde ». Campagne de fait correspondant à ce que déclare le secrétaire USA au commerce Wilbur Ross dans une interview à Fox Business : « Je pense que le coronavirus contribuera au retour des emplois de la Chine aux USA. En Chine il y a eu d’abord le SARS, ensuite la peste porcine et maintenant le coronavirus ». Donc, commente le New York Times, « la perte pour la Chine pourrait être un gain pour l’Amérique ». Autrement dit, le virus pourrait avoir un impact destructeur sur l’économie chinoise et, dans une réaction en chaîne, sur celles du reste de l’Asie, de l’Europe et de la Russie, déjà touchées par la chute des flux commerciaux et touristiques, à l’avantage des USA restés économiquement indemnes.
Global Research, le centre de recherche sur la mondialisation dirigé par le professeur Michel Chossudovsky, est en train de publier sur l’argument de l’origine du virus une série d’articles d’experts internationaux. Ceux-ci soutiennent qu’« on ne peut pas exclure que le virus ait été créé en laboratoire » [a]. Cette hypothèse ne peut pas être considérée comme « complotiste » et exorcisée comme telle. Pourquoi ? Parce que les États-Unis, la Russie, la Chine et les autres grandes puissances ont des laboratoires où sont menées des recherches sur des virus qui, modifiés, peuvent être utilisés comme agents de guerre biologique y compris sur des secteurs ciblés de population. C’est un domaine entouré du plus dense secret, souvent sous couvert de recherche scientifique civile.
Mais des faits émergent : la présence à Wuhan d’un bio-laboratoire où des scientifiques chinois, en collaboration avec la France, effectuent des recherches sur des virus létaux, parmi lesquels certains envoyés par le Laboratoire canadien de microbiologie. En juillet 2015, l’Institut gouvernemental britannique Pirbright, a breveté aux USA un « coronavirus atténué ». En octobre 2019 le Johns Hopkins Center for Health Security a effectué à New York une simulation de pandémie par coronavirus en prévoyant un scénario qui, s’il se réalisait, provoquerait 65 millions de morts . Mais on ne simule pas la pandémie du virus de la peur, qui se répand avec des effets socio-économiques destructeurs.

Si vous réfléchissez:l’enjeux  est là:vous laver le cerveau pour vous briser moralement,économiquement puis enfin prendre le contrôle politique de la situation.


 

Le coronavirus est une arme de guerre biologique

En Italie,plus de 10 villes sont en quarantaine.

Dans une interview explosive, le Dr Francis Boyle, qui a rédigé la loi américaine sur les armes biologiques, a fait une déclaration détaillée déclarant que le coronavirus de Wuhan 2019 est une arme de guerre biologique offensive et que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le sait déjà. Cette arme biologique a été développée aux États-Unis et a été acheté par un laboratoire chinois de Wuhan.

Francis Boyle est professeur de droit international à l’Université de l’Illinois College of Law. Il a rédigé la législation nationale américaine de mise en œuvre de la Convention sur les armes biologiques, connue sous le nom de « Loi sur la lutte contre le terrorisme des armes biologiques de 1989 », qui a été approuvée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès américain et promulguée par le président George HW Bush.

Dr Francis Boyle,une sommité mondiale dans le domaine

Dans une interview exclusive accordée à Geopolitics and Empire, le Dr Boyle discute de l’épidémie de coronavirus à Wuhan, en Chine et du laboratoire de biosécurité de niveau 4 (BSL-4) dont il pense que la maladie infectieuse s’est échappée. Il pense que le virus est potentiellement mortel et constitue une arme de guerre biologique offensive ou un agent d’armes à double usage de guerre biologique génétiquement modifié avec des propriétés de gain de fonction, c’est pourquoi le gouvernement chinois a initialement tenté de le couvrir et prend maintenant des mesures drastiques pour le contenir.

Le laboratoire Wuhan BSL-4 est également un laboratoire de recherche spécialement désigné par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Dr Boyle soutient que l’OMS sait très bien ce qui se passe.

La position du Dr Boyle contraste fortement avec la version des grands médias selon lesquels le virus provient d’un marché de fruits de mer, qui est de plus en plus remis en question par de nombreux experts.

« Je voudrais noter que Wuhan possède également l’unique super laboratoire de biosécurité de niveau quatre en Chine qui travaille avec les agents pathogènes les plus mortels au monde, y compris, oui, les coronavirus. »


CITATION

« Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Nicholas Murray Butler (1862-1947), Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie et du Council on Foreign Relations


Coïncidence… !?

En 2018, L’OMS nous préparait en ces termes : « La mystérieuse « maladie X » pourrait être la prochaine épidémie mondiale meurtrière » ( https://aphadolie.com/2018/03/13/loms-avertit-que-la-mysterieuse-maladie-x-pourrait-etre-la-prochaine-epidemie-mondiale/)


Interview explosive.  Le professeur Francis Boyle explique comment le coronavirus CoVid-19 a été conçu comme une arme biologique

(Natural News) Ce qui suit est l’une des interviews les plus importantes de l’année. Le professeur Francis Boyle, expert en guerre biologique, est l’invité d’Alex Jones dans Alex Jones Show, partageant ses découvertes incontestables concernant le coronavirus conçu comme une arme biologique «pour une propagation efficace dans la population humaine», selon l’un des articles scientifiques auxquels il fait référence.

Nous avons confirmé les conclusions du professeur Boyle en achetant le document complet en PDF  et en le consultant dans un article détaillé .

Cet article décrit le nouveau coronavirus CoVid-19 comme possédant des propriétés uniques de “gain de fonction” qui en font l’arme biologique parfaite, tout en confirmant que ces nouvelles propriétés étaient d’origine artificielles, et non pas d’évolution virale naturelle. (En d’autres termes, il a été conçu.)

Ci-dessous, nous imprimons la transcription complète de l’interview de Francis Boyle / Alex Jones, ainsi que la vidéo de l’échange complet ci-dessous, via Brighteon.com. (Le spectacle complet est également publié sur Banned.video)

Transcription complète… PARTAGEZ ça partout, republiez, tweetez et couvrez:

(Veuillez excuser toutes les erreurs mineures, cela a été transcrit un peu vite en raison de l’urgence du message…de même que la traduction automatique)

Alex: Très bien. Je n’ai pas touché au coronavirus aujourd’hui parce que j’attendais le professeur Francis A. Boyle pour venir, éminent expert américain du droit international; responsable de la rédaction de la loi de 89 sur la lutte contre le terrorisme en matière d’armes biologiques, qui a été adoptée en droit mondial, la loi de mise en œuvre américaine de la convention sur les armes biologiques. Il a siégé au conseil d’administration d’Amnesty International et représenté la Bosnie-Herzégovine auprès de la Cour mondiale. Il a servi de conseiller juridique à la délégation palestinienne, aux négociations de paix au Moyen-Orient. En 2007, il a prononcé les conférences sur la paix de Bertrand Russell. Le professeur Boyle enseigne le droit international à l’Université de l’Illinois et est l’auteur de – et il passe en revue tous les différents livres qu’il a écrits. Il est titulaire d’un doctorat en droit, magna cum laude; est titulaire d’un doctorat en science politique de l’université de Harvard. Son dernier livre est Poems Against the Empire, qui est un recueil de réflexions poétiques sur ses expériences de lutte pour la paix, la justice, les droits de l’homme, le droit international, le bien-être social et la Constitution des États-Unis. Et il nous rejoint maintenant. Je l’appellerais le libéral classique. Aujourd’hui, un libéral ou un gauchiste est un fasciste. C’est comme un néo-con en tant que fasciste. Et donc, les termes ne veulent rien dire. Et il a de grandes nouvelles exclusives de rupture ici. Et il m’a envoyé des notes, mais je pense que la meilleure façon de le faire est pour au moins les trois segments suivants, qu’il héberge à peu près, afin qu’il puisse vous guider à travers cela. Mais c’est une sérieuse nouvelle. Il s’agit de nouvelles très importantes auxquelles tout le monde devrait prêter attention. Le coronavirus de Wuhan est sorti du laboratoire de guerre biologique. C’est même ce que dit la Maison Blanche maintenant. Le Dr Boyle et d’autres le disaient il y a trois semaines. Les laboratoires de l’UNC devraient être fermés, tout le monde a fait l’objet d’une enquête pour violation de la loi sur les armes biologiques contre le terrorisme. Il a des études majeures qui viennent de sortir. Il est donc un expert des armes biologiques et de la loi. Nous avons huit minutes pour faire une pause ici, puis un segment de neuf minutes – un segment de 10 minutes. Je vais nous mettre en pause, docteur Boyle. Mais allez-y et hébergez. Vous avez la parole ici. Merci de vous joindre a nous.

Dr Boyle: Eh bien, Alex, merci beaucoup de m’avoir donné le meilleur de moi-même à votre auditoire. Oui. J’ai envoyé à votre assistant un e-mail lundi que j’avais révisé mon opinion sur certaines questions et aussi, j’avais trouvé ce que je concluais que c’était le pistolet fumant que le coronavirus de Wuhan était sorti de cette installation BSL-4. Et vous remarquerez maintenant que le sénateur Cotton dit la même chose. Il était derrière moi à la faculté de droit de Harvard, et malgré cela, le New York Times l’a critiqué. Et comme vous le savez, le sénateur Cotton est un ancien combattant décoré. Pas de surprise pour le New York Times. Alors oui, j’ai maintenant ces études scientifiques. Fondamentalement, j’ai lu ces choses au cours du week-end, c’est pourquoi, j’ai changé d’avis et dit que j’avais de nouvelles informations et alerté votre assistant un lundi. Et aujourd’hui est le premier jour où je pourrais vous donner une longue interview. Je veux parcourir ces études scientifiques afin que vous et le public qui en comprenne compreniez les implications. Je pense qu’ils sont l’arme à feu de ce qui s’est passé ici. Le premier est celui de quelques scientifiques du vivant: trois de Marseille en France et un des laboratoires de recherche clinique de Montréal. Il a été publié sur la recherche antivirale le 10 février 2020, d’accord. Et j’ai eu la chance de le lire le week-end. Vous savez, j’ai lu ce genre de choses pendant le week-end. Maintenant, je ne vais pas parcourir toute cette étude, mais ils ont fait une analyse génétique du coronavirus de Wuhan. Et permettez-moi de conclure, la partie critique ici où il est dit, “et peut fournir un gain de fonction au nCoV 2019 pour une diffusion efficace dans la population humaine par rapport aux autres bêta-coronavirus.” Permettez-moi de le répéter: «et pourrait fournir un gain de fonction au nCoV 2019 pour une diffusion efficace dans la population humaine par rapport aux autres bêta-coronavirus.» Et donc, Alex, vous vous souvenez du premier entretien que j’ai accordé à votre collègue, M. Shroyer, puis des entretiens de suivi que je vous ai accordés, j’ai déclaré que c’était clairement un gain de fonction, agent de guerre biologique offensif …

Alex: –Tu as dit il y a trois semaines, tu l’as dit il y a deux semaines et maintenant ce n’est pas seulement un grand Institut indien. Maintenant, plus de scientifiques vivants l’ont scanné. Ils disent exactement ce que vous disiez.

Dr Boyle: D’accord? Eh bien, cet article est le pistolet fumant. D’accord. Il est clair que–

Alex: Redites aux gens l’article et comment ils le trouvent.

Dr Boyle: Eh bien, vous pouvez – je l’ai eu sur une recherche antivirale de Science Direct le 10 février 2020.

Alex: Recherche antivirale–

Dr Boyle:  10 février 2020. Et c’est un titre long, mais il commence par “Le pic du coronavirus glycoprotéine contient un site de clivage semblable à la furine absent dans le CoV du même clade.”

Alex: C’est exactement ce que le prestigieux Indian Institute a dit, c’est qu’il a les points où l’ARN artificiel a été injecté, je veux dire, ils peuvent voir exactement où cela s’est produit.

Dr Boyle: D’accord. Mais c’était une génétique – comme vous le savez, qui a été retirée sous la pression politique. Mais maintenant, nous avons ici quatre scientifiques de la vie très distingués. Oui, c’est tout. Et le pistolet fumant ici se trouve à la page 11, près du bas, le dernier paragraphe complet à partir du bas où il est écrit: «peut fournir un gain de fonction au coronavirus pour une propagation efficace dans la population humaine …

Alex: Expliquez ce que signifie ce gain de fonction car nous ne sommes pas tous des experts dans ce domaine comme vous, docteur.

Dr Boyle: D’accord. Bon gain de fonction – Oh, alors laissez-moi répéter. Alex, comme je vous l’ai déjà dit, la technologie de gain de fonction est le génie génétique de l’ADN d’une substance de guerre biologique dangereuse pour commencer–

Alex: C’est une soupe d’agents pathogènes déjà mauvais.

Dr Boyle: D’accord. C’est une charge turbo et le gain de fonction ne peut être effectué en toute sécurité que dans un BSL-4 ou un BSL-3. Donc, je pense clairement, c’est le pistolet fumant que le coronavirus de Wuhan est sorti de cette installation BSL-4.

Alex: Alors, cela reflète-t-il ce que l’Institut indien a dit ou est-ce différent?

Dr Boyle: Eh bien, je pense que cela va au-delà de ce que l’étude indienne a dit, mais nous y reviendrons dans une minute, l’étude indienne. D’accord. Je pense, vous savez, je l’ai maintenant, excusez-moi – à condition que le pistolet fumant soit là. Il s’agit clairement d’un agent de guerre biologique armé et il n’y a aucune utilisation scientifique ou médicale légitime pour le gain de technologie fonctionnelle, la technologie ADN sur la guerre biologique –

Alex: Donc, il n’y a aucune excuse pour dire que c’est un test de vaccination qui est sorti.

Dr Boyle: C’est de l’argenterie. Il s’agit clairement d’un agent de guerre biologique offensif et il n’a aucun moyen médical ou autre légitime –

Alex: C’est au-delà du sensationnel. Est-ce pour cela que nous voyons une réponse très sérieuse à cela?

Dr Boyle: Eh bien, vous savez, Alex, nous en avons discuté pour la première fois il y a plus de trois semaines et ils m’attaquent toujours pour être un théoricien du complot et des fausses nouvelles et je suis un dingue et un dingue et tout le reste. Donc, il y a eu une riposte massive dans tous les grands médias contre cela. Et en effet, comme je vous l’ai déjà dit, j’avais été complètement censuré par tous les médias d’information aux États-Unis.

Alex: Mais tout ce que vous avez dit a été confirmé et maintenant de grands groupes scientifiques sont sortis et l’ont confirmé. Revenons à ce pistolet fumant et récapitulons-le et accédons directement à tous les autres documents.

[pause de programme]

Alex: Eh bien, nous avons un expert de premier plan en droit international qui a dirigé de grandes délégations au sein du gouvernement américain; expert en armes biologiques, antiterrorisme; responsable de la rédaction de la loi antiterroriste sur les armes biologiques qui a été adoptée en tant que loi mondiale, le Dr Francis Boyle ici. Et je lis les mêmes études que lui. De plus en plus de scientifiques viennent le voir et disent que cette chose est artificielle et ils montrent comment, et ils disent que c’est concluant. Vous savez, ces grands instituts indiens sont sortis et ont dit la même chose il y a trois semaines. Et donc, nous allons parcourir plus de ces études dans ce segment-segment suivant, mais juste en tant que père, en tant que citoyen, en tant qu’humain, en tant que citoyen de la planète Terre. Je vais demander au Dr Boyle ce qu’il pense vraiment que le jeu de fin est là. Est-ce que cela a été accidentellement libéré comme nous l’espérions et c’est déjà assez mauvais ou est-ce encore plus sinistre? Utilisent-ils cela comme excuse pour envahir Taïwan comme ils le font actuellement? Dr Boyle. Veuillez continuer avec les études, le pic de, puis nous avons la ventilation complète ici avec l’étude.

Dr Boyle: Très bien, laissez-moi maintenant passer à la deuxième étude, qui est un autre pistolet fumant et une bombe, Alex; il n’y a pas d’autre mot pour ça. Vous vous souvenez dans notre précédente interview, vous m’aviez demandé si cela venait de l’installation BSL-4 à Winnipeg, Canada – avait été volé de là-bas. J’ai dit que cela aurait pu arriver. Winnipeg est notre équivalent de Fort Detrick. Ils font tous les types de guerres biologiques hideuses et offensives de type nazi là-haut que vous pouvez imaginer. Mais encore une fois, sur la base de documents, de documents scientifiques, j’ai eu la chance de lire pendant le week-end. J’ai changé d’avis à ce sujet. Je pense que j’ai la preuve définitive d’où cela vient et cela vient du laboratoire de biowarfare BSL-3 de l’Université de Caroline du Nord. Maintenant, je les ai condamnés auparavant parce qu’ils ont fait du travail de gain de fonction, du génie génétique ADN sur tous les agents de guerre biologique hideux que vous pouvez imaginer, y compris le MERS à ce moment-là, l’agent du syndrome respiratoire du Moyen-Orient, qui encore une fois, est un coronavirus biofarqué. Maintenant, cela m’est venu à l’esprit…

Alex: Dites-le encore une fois parce que nous allons remonter cela pendant que vous parlez. Vous avez dit l’autre étude – nous l’avons relevée.

Dr Boyle: Une étude [inaudible] a révélé un gain de fonction en génie génétique de l’ADN sur le MERS, qui est respiratoire au Moyen-Orient –

Alex: –et c’était l’université de?

Dr Boyle: Caroline du Nord. Droite? Ils y ont un laboratoire de guerre biologique BSL-3.

Alex: Oh, c’est quelque chose que je continue de lire qu’ils font des trucs de niveau quatre au niveau trois, non?

Dr Boyle: Je pense que oui, mais ils le font avec un niveau trois. La dernière fois que j’ai vu, c’est tout ce qu’ils avaient. Mais laissez-moi parcourir cette étude. Elle est intitulée «Un groupe de coronavirus de chauves-souris en circulation ressemblant au SRAS montre un potentiel d’émergence humaine.»

Alex: Dites-le encore parce que nous avons des auditeurs de radio. Des centaines de stations. Un cluster de type SRAS – le nom du document – Un cluster de type SRAS

Dr Boyle: «Un groupe de coronavirus de chauves-souris en circulation ressemblant au SRAS présente un potentiel d’émergence humaine.»

Alex: C’est le 21 décembre 2015. Nous l’avons à l’écran.

Dr Boyle: C’est juste. Nat Med, c’est tout. Maintenant, si vous regardez attentivement, notez d’abord qui a été impliqué dans cette ingénierie génétique ADN du SRAS, qui est déjà un agent de guerre biologique pour lui donner des activités fonctionnelles. Et il y a tous ces gens de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. Il a quelqu’un de la Food and Drug Administration, vous ne pouvez donc pas faire confiance à la Food and Drug Administration. Et puis, tout en bas de la liste, qui est impliqué? Zhengli-Li Shi, Laboratoire clé des agents pathogènes spéciaux et de la biosécurité, Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences, Wuhan, Chine. Il est donc très clair pour moi que ce scientifique de l’Institut de virologie de Wuhan a obtenu ce gain de technologie fonctionnelle pour le SRAS dans ce laboratoire de l’Université de Caroline du Nord. Et il ne l’a pas volé – ou il ou elle ne l’a pas volé. Ce qui s’est passé, c’est que si vous lisez attentivement jusqu’à la fin des remerciements de l’article, ils ont reconnu le prix de la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine. En d’autres termes, le gouvernement chinois les a payés pour qu’un de leurs meilleurs experts en guerre biologique soit impliqué dans ce type de …

Alex: Au fait, Dr Boyle, restez là.

Dr Boyle: Certainement.

Alex: Je lis le journal. Je veux dire, je sais que vous avez eu de grandes nouvelles, vous nous avez envoyé des liens, mais je viens de le lire. Et vous parlez d’information fracassante – c’est le gouvernement chinois qui paie exactement la même chose avec un laboratoire américain. Comment avez-vous découvert cela? Ceci est une information explosive. Comment diable avez-vous trouvé ça?

Dr Boyle: Eh bien Alex, je vous ai dit que cela faisait partie de mes responsabilités professionnelles de rester au courant de la guerre biologique, alors je l’ai découvert dans mes recherches. C’est juste une partie de mon travail.

AlexVous l’expliquez très bien, monsieur, – notre prochain invité est super, nous allons déménager demain. C’est trop gros et maintenant vous avez le temps, alors faites très simple pour tout le monde. Pourquoi ces deux papiers sont-ils si explosifs parce que je suis assis là à regarder ça. C’est incroyable. C’est incroyable.

Dr Boyle: J’ai plus que cela.

Alex: Oh, je sais.

Dr Boyle: J’ai remarqué qu’ils ont bien reconnu le prix de la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine. En d’autres termes, ces meilleurs scientifiques de l’Université de Caroline du Nord ont pris l’argent sale de la Chine pour permettre à l’un de leurs meilleurs experts en matière de guerre biologique de cet institut de virologie de Wuhan, qui a l’installation BSL-4, de savoir exactement ce qu’ils étaient en train de faire, et ils ont permis à ce scientifique chinois de travailler avec eux pour donner un gain de fonction à la capacité génétique de l’ADN de la guerre biologique au SRAS, ce qui est assez dangereux pour commencer. Et permettez-moi de parcourir une partie du langage ici. C’est vraiment un truc explosif; il est clair que ce laboratoire doit être fermé immédiatement et tous les scientifiques doivent être soumis à une sérieuse enquête par le gouvernement américain pour cela, et leur responsabilité ici et pour avoir violé ma Loi sur les Armes Biologiques et le Terrorisme de 1989. Mais permettez-moi de continuer. Voici ce qu’ils ont dit. «Nous avons construit un virus chimérique qui code pour une nouvelle protéine de pointe zoonotique dans le contexte d’un SRAS viable. Cette approche a caractérisé la menace posée par le pic du coronavirus du SRAS –

Alex: Dr. Boyle, restez là. Nous devons aller faire une pause. Ceci est votre bombe informationelle. Je lis le papier ici. Ils admettent qu’ils ont construit le virus même que la Chine a payé aux États-Unis pour construire et maintenant qu’il a été libéré. Et pourquoi l’ont-ils libéré? Alors Xi Jinping pourrait prendre le pouvoir et envahir Taiwan. Sensationnel. C’est incroyable. Peu importe ce que vous avez entendu sur cette émission, c’est la plus folle et la plus documentée. C’est exagéré et nous les avons pris en flagrant délit. Incroyable. Nous revenons tout de suite. Dites à tous ceux que vous connaissez de vous connecter dès maintenant. C’est incroyable.

[pause de programme]

Alex: Je ne veux pas devenir métaphysique ici, mais mon père est un chirurgien bucco-dentaire et un dentiste à la retraite et il a également développé des médicaments qui ont été approuvés par le Pentagone et d’autres choses. Et il a un bureau ici et il travaille ici à temps partiel. Et il y avait quelque chose dans l’émission d’aujourd’hui avec l’arrivée du Dr Boyle – j’ai dit, vous savez, mon père a acquis ce crâne de la faculté de médecine. C’est un vrai crâne. Et l’un de mes premiers souvenirs est d’avoir deux, trois ans, et le crâne est dans une boîte noire et j’aime basculer et l’ouvrir. Je l’ai laissé tomber par terre et le berger allemand l’a pris et a couru avec lui dans le jardin. Mon père s’est énervé. Il a dit: «C’est important. Vous devez respecter cela. C’est un vrai crâne. ” Donc, l’un de mes premiers souvenirs est un berger allemand qui court dans la cour avec un crâne. Mais c’est juste drôle, je pensais que l’émission d’aujourd’hui, je ne savais pas pourquoi, je suis juste allé dire: “Papa, je peux mettre ton crâne en l’air?” Il l’avait dans le bureau et il a dit: “Oui, respectez simplement le crâne et tout va bien.” Mais le fait est que c’est réel. Il se passe quelque chose de grand. Et maintenant, je regarde tous ces rapports prestigieux remontant à il y a cinq ans, comment ils ont conçu cela, et le Dr Francis Boyle a écrit la loi américaine sur les armes biologiques, et il est ici en train de la présenter et je peux lire les rapports. Il est ridicule à quel point il est évident que les Chinois ont payé une université américaine – c’est partout dans les nouvelles. Yale et Harvard sont en difficulté pour quelque 300 millions de dollars, mais il s’avère que c’est des milliards au total. C’est le Wall Street Journal, New York Times, pour le financement communiste chinois. Donc, pour quelque raison que ce soit, nous sommes meilleurs en science qu’eux et ils nous amènent à financer et à construire leur grille de surveillance, tout cela. Donc, pour quelque raison archétypale aujourd’hui, je suis comme, je veux un crâne sur le spectacle aujourd’hui. J’aurais peut-être montré ce crâne en 20 ans quelque chose à l’antenne une ou deux fois. Pourquoi suis-je allé chercher le crâne? Je pensais juste qu’aujourd’hui j’aimerais faire ça pour souligner que nous sommes tous humains et c’est comme Macbeth, assis là quand ils déterrent son ancien professeur et qu’il parle au crâne. Donc, c’est tout au milieu de ça. Dr Boyle. S’il vous plaît, revenez à l’endroit où vous vous trouviez avant que nous allions faire une pause. Et vous en savez encore plus d’où cela vient, car cela nous donnera, espérons-le, la réponse de la situation.

Dr Boyle: D’accord. Eh bien, pour continuer ensuite, il est dit que cette approche a caractérisé la menace posée par un pic dans les voies respiratoires humaines primaires. En d’autres termes, ils conçoivent cela pour infecter les êtres humains par leurs voies respiratoires et ensuite cela dit, in vivo. En d’autres termes, ils utilisent des animaux vivants –

Alex: Ralentis et recommence. Encore une fois, redonnez-leur le nom du journal. C’est tellement énorme. Ils le font pour infecter les gens. Tu as raison. Ils devraient être arrêtés.

Dr Boyle: Bien sûr, ils devraient être poursuivis. Aucune question à ce sujet. C’est, je pense, celui que vous aviez déjà là-haut. Mais en tout cas–

Alex: Je vais arrêter de vous interrompre. Récapitulez simplement ce que vous venez de dire. Parcourez à nouveau cela.

Dr Boyle: D’accord. «Nous avons construit un virus chimérique», alors ils ont uni ces différents agents de guerre biologique dans une chimère, comme je vous l’ai dit, la grippe porcine était…

Alex: Et tu as dit il y a trois semaines que c’était une chimère.

Dr Boyle: Chimère, à droite. Et ici, ils le font pour avoir un «pic dans les cellules primaires des voies respiratoires humaines in vivo». C’est des substituts pour nous, d’accord. Maintenant, si vous continuez ici, ils ont pris des souris et avec leur technique, ils ont trouvé une réplication robuste comparable au SRAS.

Alex: Merveilleux.

Dr Boyle: Donc, ils utilisent le gain de la technologie fonctionnelle –

Alex: Ils le testent pour s’assurer qu’il se propage rapidement.

Dr Boyle:

C’est vrai. Et ce n’est pas seulement le SRAS, c’est un gain de fonction. «Ensemble, les données ont confirmé la capacité d’infecter les cellules des voies respiratoires humaines», et cetera. Ils savent exactement ce qu’ils font ici.

Alex: Je veux dire, tout comme Ford fabrique des camions F-150, vous venez de découvrir qui a fabriqué cela et ils s’en vantent ouvertement.

Dr Boyle: D’accord. Laisse-moi continuer. «Ensemble, les données indiquent que les virus utilisant ce qu’ils ont assemblé sont capables d’induire des maladies considérables chez la souris dans le contexte fondamental du SRAS.

Alex: Ouah. Et encore une fois, le SRAS est la même famille de coronavirus.

Dr Boyle: D’accord. C’est un coronavirus armé. Ils concluent également qu’ils ne pouvaient vraiment pas trouver d’anticorps contre celui-ci.

Alex: Ouah.

Dr Boyle: Donc, c’est extrêmement dangereux.

Alex: Total de secousses.

Dr Boyle: Permettez-moi de continuer alors–

Alex: Je commence juste à demander, vous savez, ces gens devraient être arrêtés très rapidement.

Dr Boyle: D’accord. Maintenant, permettez-moi de continuer ici où ils disent que leur nouveau virus génétiquement modifié d’ADN constitue un gain en pathogenèse. C’est là un gain de fonction; ils l’admettent. La pathogenèse signifie la létalité et l’infectiosité et nous savons que même Lancet a déclaré que la létalité est d’environ 15%. Si vous désagrégez les chiffres même publiés par le gouvernement chinois, c’est environ 17%. Donc, ensemble, ces données représentent un carrefour de gains de préoccupations de recherche fonctionnelle et elles indiquent clairement qu’elles vont continuer de toute façon. Ils soulignent également qu’ils impliquaient un pseudo-virus à base de VIH, préparé comme décrit précédemment …

Alex: – c’est ce que les Indiens ont trouvé. Oh mon Dieu.

Dr Boyle: Voilà pourquoi j’allais y arriver. Le VIH est–

Alex: C’est ridicule.

Dr Boyle: Non, non. C’est le type de travail de guerre biologique nazi que ces scientifiques font, Alex.

Alex: Oh, non, je suis d’accord. Mais ils publient. Ils admettent l’avoir fait.

Dr Boyle: Permettez-moi de continuer, Alex. Dans une note de bas de page, il est écrit: «Les cellules ont été obtenues à l’origine à Fort Detrick.»

Alex: Oh mon Dieu.

Dr Boyle: C’est une guerre biologique –

Alex: Cela signifie donc que le gouvernement des États-Unis Biowarfare Creek dirigeait cela.

Dr Boyle: Ils y ont également participé. Oui.

Alex: Jésus. Permettez-moi de vous poser cette question. Quand vous avez appris cela, ce week-end, comment était-ce? Votre cœur battait-il plus vite?

Dr Boyle: Non, j’ai décidé, eh bien, d’en informer votre assistant lundi matin, puis plus tard dans la matinée, CNN en Inde m’a interviewé à ce sujet, mais ce n’était que pour environ 20 minutes. Et puis j’ai dû retourner à mon enseignement. Mais vous savez, c’est ce que je fais professionnellement –

Alex: Non, je sais, mais c’est incroyable. Je lis ici le rapport d’il y a cinq ans. Évidemment, je ne pense pas que l’université savait que cela serait utilisé pour cela, mais que pensaient-ils faire lorsqu’ils donnaient une arme biologique à un gouvernement autoritaire étranger? Je veux dire-

Dr Boyle: Eh bien, c’est de la cupidité. Ils ont été payés.

Alex: C’est comme tu l’as dit, ils prennent juste l’argent, comme tu l’as dit, il y a trois semaines –

Dr Boyle: –de la Chine communiste et de leur principal expert en matière de guerre biologique.

Alex: Eh bien, voici un exemple. Je possède des fusils de calibre 50. Si un criminel connu venait à moi et me disait: “Je veux les acheter”, je dirais: “Enfer, non.” Vous ne donnez pas aux criminels 50 fusils de calibre. Eh bien, les fusils de calibre 50 sont dangereux, mais rien par rapport à cela. Que diable se passe-t-il? Comment pouvez-vous, en tant que laboratoires de recherche sur les armes sous couvert de recherche sur la sécurité, donner aux ChiComms des trucs comme ça? Tu as raison. Je suis ici depuis 25 ans. Je n’ai jamais vu un scandale aussi important. Tout va bien ici. Ils l’admettent.

Dr Boyle: C’est encore pire que cela parce que tout ce travail, ce travail sur les armes biologiques impliquant la virologie de Wuhan, a été approuvé et financé par les National Institutes of Health …

Alex: Ouah.

Dr Boyle: – dont j’ai déjà discuté avec vous et l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses. D’accord. Je vous l’ai déjà dit, ces agences étaient à la hauteur de leurs yeux dans le développement de la recherche et le test d’armes de guerre biologique offensive.

Alex: Dr. Boyle, restez là. Vous êtes un grand professeur et incroyable. Quand nous reviendrons, vous devez tout récapituler et le résumer pour le spectateur moyen, parce que je suis intelligent, les téléspectateurs sont intelligents, mais j’ai été à l’antenne – je ne suis pas seulement dramatique – je suis en ondes depuis 25 ans. Je n’ai jamais été aussi choqué. Je lis ces rapports principaux; nous les avons retirés d’Internet. Ça y est. Il s’agit du même virus il y a cinq ans, concocté, vendu au gouvernement chinois. Je sais que vous ne spéculez pas, mais quand vous revenez, pourquoi est-il sorti maintenant? Quelle est la fin du jeu? Comment va-t-il devenir mauvais?

[pause de programme]

Alex: (Rédaction d’un discours promotionnel sur les aliments stockables)… C’est grand, devant et au centre. Ce que nous couvrons en ce moment avec le professeur Francis Boyle et les aveux qu’une université américaine a conçu le virus exact qui se propage maintenant à travers le monde. Donc, pour finir avec sa provenance, le fait que ce soient des fusils fumants, monsieur, en résumé, je sais que cela limite le temps dont nous disposons, et je l’apprécie vraiment. Revenez demain si vous le pouvez, puis voyez la situation dans son ensemble – la réponse, comment vous pensez qu’elle est sortie, pourquoi elle a été publiée. Je veux dire, je sais que c’est de la spéculation, mais nous savons que c’est conçu; nous savons que le gouvernement américain sait qu’il est conçu. Nous savons que cela s’est produit avant Trump il y a cinq ans, mais comment cela a-t-il pu arriver?

Dr Boyle: Eh bien, permettez-moi de revenir ici à cette deuxième étude pour souligner – il est dit à la fin, «le manuscrit actuel a été examiné par l’agence de financement, les National Institutes of Health. La poursuite de ces études a été demandée et approuvée par les National Institutes of Health. » Notez que les National Institutes of Health sous Fauci financent ce travail de guerre biologique nazie et ils ont approuvé et demandé un développement ultérieur, ce qui, évidemment, cette étude était de 2015 et le NIH voulait qu’il devienne un virus pathogène encore plus mortel. Et vous pouvez également voir ici l’argent de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses. Cette femme, je pense que vous prononcez son nom, [INAUDIBLE]) est maintenant là en public ou elle est à la hauteur de ses yeux aussi, tout comme Fauci. Et enfin, j’ai initialement condamné ce laboratoire de Caroline du Nord parce que faire gagner un travail de fonction sur MERS comme je l’ai dit. Aujourd’hui aux USA Today, Tony Fauci admet que le taux de létalité du MERS est d’environ 36%, alors que le SRAS est de 10%. Ce Wuhan est de 15% à 17%. Alors, remarquez Tony Fauci et l’Institut national de la santé –

Alex–sont de retour en arrière.

Dr Boyle: Non, ils savent très bien qu’ils payaient ce laboratoire de Caroline du Nord en coopération avec le laboratoire et le programme Wuhan BSL-4 pour développer des armes de guerre biologique …

Alex: Est-ce la raison pour laquelle le sénateur Cotton et même la Maison Blanche ont dit: “Hé, la Chine, nous n’achetons pas la provenance de cela”, car ils savent que la Chine a payé une université américaine pour le faire. Permettez-moi de vous poser cette question alors. À quel point ça va être mauvais? Pourquoi la Chine a-t-elle fait cela? Je sais que c’est de la spéculation, mais en tant que simple citoyen, pas seulement un avocat et un expert en la matière, qu’est-ce que tu penses? Pourquoi est-ce sorti maintenant? Vont-ils l’utiliser contre Taiwan? Nous savons que la Chine l’a achetée comme arme biologique.

Dr Boyle: Eh bien, permettez-moi de discuter d’un autre article scientifique avec vous. Archives of Virology 2010, 155. Et ici, Wuhan travaillait avec un institut en Australie pour concevoir génétiquement une super-arme biologique impliquant le SRAS et le VIH. C’est juste ici; vous pouvez le lire, d’accord. Et apparemment, cela a réussi. Donc pour autant que je sache, Alex, ce qui s’est passé, c’est que le Wuhan est à la virologie a pris le… et c’était le gouvernement australien savait tout cela. Et il dit que ce travail a été financé conjointement par le programme clé d’État pour les subventions de recherche fondamentale du ministère chinois des Sciences, de la Technologie et de la Connaissance. Et l’autre écrivain ici, Australian Animal Health Laboratory en Australie. Donc, pour autant que je sache ici, ce qui s’est passé ici, Alex, c’est que les scientifiques de Wuhan ont pris le SRAS de Caroline du Nord avec un gain de fonction, qui est déjà une arme de guerre biologique, et ils ont pris la technologie ici derrière ce système bien développé Arme VIH du SRAS et ils l’ont tous ramené au Wuhan un BSL-4 et ont essayé de l’ADN génétiquement modifié en une chimère, en une arme de guerre biologique impliquant le coronavirus, le virus VIH et le gain de fonction.

Alex: Tout est clair dans les journaux. Ils admettent qu’ils l’ont fait. Vous l’avez inversé: un travail incroyable. Pensez-vous que cela a été fait exprès alors? Qui a tout à gagner? [INAUDIBLE] en tant que professeur de droit, qui ferait cela? Qui a tout à gagner?

Dr Boyle: Eh bien, il est clair que la Chine a un programme de guerre biologique coûteux. Ils n’ont pas aussi cher que le nôtre. Je veux dire, nous avons 12 installations BSL-4 ici aux États-Unis qui font toutes ce travail de guerre biologique nazie. Ils devraient tous être fermés demain ainsi que–

Alex: Oh, je suis totalement d’accord. Et puis en donner les fruits à la Chine. Les ChiComms peuvent venir nous acheter des armes biologiques?

Dr Boyle: Ils l’ont acheté. Ce qui est intéressant ici, Alex, c’est qu’ils ne l’ont pas volé; ils l’ont acheté. Et nous leur avons vendu, et nous leur avons vendu l’accès. Ils l’ont ramené à ce Wuhan BSL-4 …

Alex: Y a-t-il une spécificité raciale?

Dr Boyle: Eh bien, comme je l’ai déjà dit, nous avons vu une victime noire africaine que j’ai vue. Donc, en ce moment, je retiens mon jugement là-dessus, mais vous savez, les Chinois ont mis tout cela ensemble pour eux-mêmes. Et bien sûr, ils prévoyaient de l’utiliser comme guerre biologique contre nous. Il n’y a pas – je veux dire, qui d’autre –

Alex: Pensez-vous qu’il est sorti d’un accident ou qu’en pensez-vous?

Dr Boyle: À partir de maintenant, Alex, je pense que c’était un accident. L’installation BSL-4 avait connu des fuites de SRAS au moins deux fois auparavant et je pense que c’était un accident et cela est maintenant confirmé par les scientifiques chinois eux-mêmes. Et c’est la quatrième étude que je veux vous soumettre …

Alex: Reste là. Nous ferons encore cinq minutes avant que Paul Watson ne prenne le relais. Avec le Dr Francis Boyle, l’auteur de la convention sur les armes biologiques des États-Unis et tout le reste. Cela fait 25 ans que je suis en ondes, et ça dépasse tout. Je veux dire, nous parlons de nos enfants tout l’avenir, tout le reste. J’ai eu cette prémonition ce matin. J’ai dit, laissez-moi juste récupérer le crâne que mon père a obtenu de ses journées médicales. Permettez-moi de mettre ceci ici comme un petit accessoire pour penser à la mortalité et au fait que nous sommes tous mortels et le voilà. Et maintenant, nous ne faisons que l’étendre. C’est juste des trucs de fin de journée. Sinon, ce sera autre chose. Je veux dire, que font ces laboratoires? Pourquoi le vendent-ils à des gouvernements étrangers? Cela doit cesser. C’est un comportement de savant fou. Ils veulent réduire la population mondiale. Ils veulent le distribuer afin de pouvoir nier qui l’a fait. Ils veulent juste un déni plausible pour les rejets d’armes biologiques et la réduction massive de la population. C’est vraiment ce qui se passe.

[pause de programme]

Alex: Nous avons vu la réponse paniquée des gouvernements en action, mais leur propagande va bien. Le Dr Francis Boyle est notre invité ici pendant encore cinq minutes. Paul Joseph Watson s’apprête à reprendre. Notre invité est l’auteur de la loi américaine sur les armes biologiques qui est devenue une loi internationale. Dans les quatre minutes qui nous restent, Docteur, nous apprécions vraiment que vous synthétisiez ou résumiez tout ce que vous pensez vraiment se passer dans les bombes. Et cette nouvelle étude que vous tentiez d’intégrer en plus de toutes les autres études dont vous venez de parler.

Dr Boyle: D’accord. Ceci est la dernière étude. Il vient de sortir cette semaine. Origines possibles du coronavirus nCoV 2019. Ce qui est important ici, vous pouvez l’obtenir à ResearchGate. Ce qui est important ici, c’est que c’est par deux professeurs de l’Université de Technologie de Chine du Sud – ils sont tous professeurs. Et leur conclusion de cette étude est que le coronavirus de Wuhan s’est échappé de cette installation BSL-4. Permettez-moi de répéter – même les scientifiques chinois disent maintenant, indépendamment de moi, que cela a coulé. Et je crois que c’était probablement un accident qu’il y ait un de ces scientifiques de la mort là-bas dans l’installation de Wuhan BSL-4 essayant de génétiquement modifier la technologie de la Caroline du Nord, la technologie australienne, le VIH, le SRAS, le gain de fonction ensemble dans le super arme de guerre biologique et en quelque sorte infecté. Il y a eu des spéculations de ces auteurs sur les résidus animaux, ou ils les ont respirés ou quelque chose comme ça. Cette personne a ensuite été infectée, mais comme elle est asymptomatique, elle ne le savait pas. Et maintenant, même s’ils disent que c’est 14 jours, un expert britannique de la santé estime que cela pourrait être 24 jours. Quel que soit cet expert, ce scientifique de la mort est sorti et a fait ses activités de la vie normale pendant les 14 à 24 jours suivants et il s’est répandu tout autour de Wuhan.

Alex: Oh, ils jouaient avec le feu et ils ont été brûlés.

Dr Boyle: D’accord. Ils se sont tiré une balle dans le pied, Alex. C’est mon évaluation en ce moment, oui. Ils l’utilisaient – je pense qu’ils le développaient pour une utilisation contre nous ou contre les Russes et / ou les Russes. Ils ont une énorme frontière là-haut.

AlexOui, toute la division russo-sino.

Dr Boyle: D’accord. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, mais quand même, la Russie a beaucoup de terres là-bas et la Chine – et pas beaucoup de monde.

Alex: Bien sûr, ils peuvent anéantir les Russes, c’est leur cible. [INAUDIBLE] trail.

Dr Boyle: Et la Chine a beaucoup de gens et ils ont besoin de plus de terres, donc je n’exclus pas que cela aurait été dirigé …

Alex: Bien sûr. La Chine a toujours regardé la Russie avec avidité. D’accord. Tout puissant. Si vous pouvez revenir demain, le lendemain – nous avons besoin de mises à jour. Ceci est la plus grande nouvelle jamais connue. Et je dirais simplement que c’est incroyable. Les rapports, les revues scientifiques, le Dr Boyle – incroyables. Comment appelons-nous cette interview? Nous sommes toujours en vie. Je veux dire, je ne sais pas comment appeler cela une fois que nous l’afficherons sur Infowars.

Dr Boyle: Eh bien, Alex, permettez-moi également de dire que nous ne pouvons pas faire confiance au FBI pour faire la bonne chose ici. Ils ont menti, ils se sont cachés et ils ont saboté l’Amerithrax sortant de Fort Detrick. Nous allons devoir faire venir ici d’autres agences d’enquête de droit fédéral pour s’occuper de cette Caroline du Nord…

Alex: Et vous êtes l’auteur de la loi américaine sur les armes biologiques, donc je pense que vous êtes tout à fait l’autorité à ce sujet. Alors, encore une fois, veuillez vous joindre à nous demain ou chaque fois que vous le pouvez. Dr Boyle. Des informations très puissantes et tout simplement incroyables. Merci beaucoup.

Dr Boyle: Eh bien, merci Alex et j’espère que vous pourrez diffuser cela dans le monde entier parce que les médias d’information traditionnels aux États-Unis et en Europe m’ont blackballé et mis sur liste noire –

Alex: Bien sûr. Je ne sais même pas comment appeler ça. Pistolet fumant, virus de Wuhan, propagation par l’homme dans le monde entier, dissimulation. Je veux dire, la Chine nous a acheté le virus Wuhan armé. Merci, docteur Boyle. Paul Watson prend le relais en ce moment.

– Fin de transcription de fin

Source : Full transcript of “smoking gun” bombshell interview: Prof. Francis Boyle exposes the bioweapons origins of the CoVid-19 coronavirus

https://www.naturalnews.com/2020-02-20-full-transcript-smoking-gun-interview-prof-frances-boyle-coronavirus-bioweapons.html

 

 

 

Les armes du Nouvel Ordre Mondial:Les armes biologiques du Pentagone…une menace pour toute l’humanité

L’armée américaine produit régulièrement des virus, bactéries et toxines mortels en violation directe de la Convention des Nations Unies sur l’interdiction des armes biologiques. Des centaines de milliers de personnes inconscientes sont systématiquement exposées à des pathogènes dangereux et à d’autres maladies incurables.
Des scientifiques spécialistes de la guerre biologique utilisent la couverture diplomatique pour tester des virus créés par l’homme au sein des laboratoires biologiques du Pentagone dans 25 pays à travers le monde. Ces bio-laboratoires américains sont financés par la « Defense Threat Reduction Agency » (DTRA) dans le cadre d’un programme militaire de 2,1 milliards de dollars – le « Cooperative Biological Engagement Program » (CBEP), et sont situés dans des pays de l’ex-Union soviétique comme la Géorgie et l’Ukraine, le Moyen-Orient, l’Asie du Sud-est et l’Afrique.
Carte des laboratoires du Pentagone.

 

Le centre Lugar de la république de Georgie

 

 

La Géorgie est un terrain d’essai pour les armes biologiques
Le « Lugar Center » est le laboratoire biologique du Pentagone en Géorgie. Il est situé à seulement 17 km de la base aérienne militaire américaine Vaziani dans la capitale Tbilissi. Des biologistes de l’« US Army MedicalResearch Unit-Georgia » (USAMRU-G) ainsi que des entrepreneurs privés sont chargés du programme militaire. Le laboratoire de niveau de biosécurité 3 n’est accessible qu’aux citoyens américains ayant une habilitation de sécurité. Ils jouissent de l’immunité diplomatique en vertu de l’accord de coopération en matière de défense conclu en 2002 entre les États-Unis et la Géorgie.
L’accord USA-Géorgie accorde un statut diplomatique au personnel militaire et civil américain (y compris les véhicules diplomatiques) travaillant sur le programme du Pentagone en Géorgie. Les informations obtenues du registre fédéral américain des contrats clarifient certaines des activités militaires sdu « Lugar Center» – parmi lesquelles la recherche sur les bio-agents (anthrax, tularémie) et les maladies virales (par exemple la fièvre hémorragique de Crimée-Congo), et la collecte d’échantillons biologiques pour des expériences futures.
Les entrepreneurs du Pentagone produisent des agents biologiques sous couverture diplomatique
La « Defense Threat Reduction Agency » (DTRA) a confié une grande partie du travail dans le cadre du programme militaire à des entreprises privées, qui ne sont pas tenues de rendre des comptes au Congrès et qui peuvent fonctionner plus librement et contourner la primauté du droit. Le personnel civil américain travaillant au « Lugar Center » jouit également de l’immunité diplomatique, bien qu’il ne s’agisse pas de diplomates. Ainsi, les entreprises privées peuvent travailler, sous couverture diplomatique, pour le gouvernement américain sans être sous le contrôle direct de l’État hôte, en l’occurrence la République de Géorgie. Cette pratique est souvent utilisée par la CIA pour couvrir ses agents. 
Trois sociétés privées américaines travaillent au laboratoire biologique américain à Tbilissi – « CH2M Hill », « Battelle » et « Metabiota ». En plus du Pentagone, ces entrepreneurs privés effectuent des recherches biologiques pour l’ICA et divers autres organismes gouvernementaux. 
« CH2M Hill » a obtenu 341,5 millions de dollars de la DTRA dans le cadre du programme du Pentagone pour les bio-laboratoires en Géorgie, en Ouganda, en Tanzanie, en Irak, en Afghanistan et en Asie du Sud-Est. La moitié de cette somme (161,1 millions de dollars) est allouée au « Lugar Center », dans le cadre du contrat géorgien. Selon « CH2M Hill », la société américaine a obtenu des agents biologiques et a employé d’anciens scientifiques spécialistes de la guerre biologique au « Lugar Center ». Ce sont des scientifiques qui travaillent pour une autre société américaine impliquée dans le programme militaire en Géorgie.
« Battelle » en tant que sous-traitant de 59 millions de dollars au « Lugar Center » a une vaste expérience dans la recherche sur les bio-agents, car la société a déjà travaillé sur le programme américain d’armes biologiques dans le cadre de 11 précédents contrats avec l’armée américaine (1952-1966).

 

La société privée effectue des travaux pour les laboratoires biologiques DTRA du Pentagone en Afghanistan, en Arménie, en Géorgie, en Ouganda, en Tanzanie, en Irak, en Afghanistan et au Vietnam. « Battelle » effectue de la recherche, du développement, des essais et de l’évaluation en utilisant des produits chimiques hautement toxiques et des agents biologiques hautement pathogènes pour un large éventail d’organismes gouvernementaux américains. Il s’est vu attribuer quelque 2 milliards de dollars de contrats fédéraux au total et se classe 23e parmi les 100 premiers contrats du gouvernement américain.
Le projet CIA-Battelle : « Clear Vision »
Le Projet Clear Vision (1997 et 2000), une enquête conjointe de la CIA et du « Battelle Memorial Institute », dans le cadre d’un contrat accordé par l’Agence, a reconstruit et testé une bombe à anthrax de l’époque soviétique afin d’en tester les caractéristiques de dissémination. L’objectif déclaré du projet était d’évaluer les caractéristiques de dissémination des bio-agents des bombes. L’opération clandestine CIA-« Battelle » a été omise dans les déclarations de la Convention américaine sur les armes biologiques soumises à l’ONU.

 

Les spores d’anthrax sous le microscope

 

Expériences top secrètes

« Battelle » a exploité un bio-laboratoire Top Secret (« National Biodefense Analysis and Countermeasures Center » – NBACC) à Fort Detrick, Maryland dans le cadre d’un contrat du ministère américain de la Sécurité intérieure (DHS) au cours de la dernière décennie. La société s’est vu attribuer un contrat fédéral de 344,4 millions de dollars (2006 – 2016) et un autre contrat de 17,3 millions de dollars (2015 -2026) par le DHS

Parmi les expériences secrètes, réalisées par « Battelle » au NBACC, on trouve :

-. Évaluation de la technologie de dissémination des poudres.

-. Évaluation du danger posé par les toxines aérosolisées.

-. Évaluation de la virulence de B. Pseudomallei (Meliodosis) en fonction des particules d’aérosol chez les primates non humains.

La mélioïdose a le potentiel d’être développée en tant qu’arme biologique, c’est pourquoi elle est classée dans la catégorie B, Agent de bioterrorisme

Outre les expériences militaires menées au « Lugar Center » en Géorgie, « Battelle » a déjà produit des agents de bioterrorisme au niveau de biosécurité 4 du NBACC « Top Secret Laboratory » de Fort Detrick aux États-Unis. Une présentation du NBACC énumère 16 priorités de recherche pour le laboratoire. Il s’agit notamment de caractériser les pathogènes classiques, émergents et génétiquement modifiés pour leur potentiel de BTA (agent de menace biologique) ; d’évaluer la nature de l’induction non traditionnelle, nouvelle et non endémique d’une maladie à partir d’une BTA potentielle et d’accroître la capacité de tester des aérosols sur les primates non-humains.

Les bio labs du Pentagone à l’épicentre de la crise d’Ebola

La société américaine « Metabiota Inc. » a obtenu des contrats fédéraux à hauteur de 18,4 millions de dollars dans le cadre du programme DTRA du Pentagone en Géorgie et en Ukraine pour des services de consultation scientifique et technique. Les services de « Metabiota » comprennent la recherche mondiale sur les menaces biologiques sur le terrain, la découverte de pathogènes, l’intervention en cas d’éclosion et les essais cliniques.

« Metabiota Inc. » avait été engagé par le Pentagone pour effectuer des travaux pour DTRA avant et pendant la crise d’Ebola en Afrique de l’Ouest et a reçu 3,1 millions de dollars (2012-2015) pour des travaux en Sierra Leone – l’un des pays de l’épicentre de l’épidémie d’Ebola.

Un rapport en date du 17 juillet 2014, rédigé par le « Viral Hemorrhagic Fever Consortium », accusait « MetabiotaInc. » de ne pas respecter une entente existante sur la façon de communiquer les résultats des tests et de contourner les scientifiques sierra-léonais qui y travaillent. Le rapport soulève également la possibilité que« Metabiota » cultive des cellules sanguines au laboratoire, ce qui, selon le rapport, est dangereux, ainsi que le diagnostic erroné de patients en bonne santé. Toutes ces allégations ont été démenties par « Metabiota ».

Expériences militaires sur les insectes piqueurs

La guerre entomologique est un type de guerre biologique qui utilise des insectes pour transmettre des maladies. Le Pentagone aurait effectué de tels tests entomologiques en Géorgie et en Russie.

Mouches piqueuses en Géorgie

En 2014, le « Lugar Center » a été équipé d’une installation pour les insectes et a lancé le projet « Sensibilisation au codage à barres des mouches des sables en Géorgie et dans le Caucase ». Le projet couvrait une zone géographique plus vaste à l’extérieur de la Géorgie – le Caucase. En 2014-2015, des espèces de mouches phlébotomines ont été collectées dans le cadre d’un autre projet « Surveillance Work on Acute Febrile Illness » et toutes les mouches des sables (femelles) ont été testées pour déterminer leur taux d’infectiosité. Un troisième projet, incluant également la collecte des mouches des sables, a étudié les caractéristiques de leurs glandes salivaires.

En conséquence, Tbilissi est infesté de mouches piqueuses depuis 2015. Ces insectes vivent à l’intérieur, dans les salles de bains, toute l’année, ce qui n’était pas le comportement typique de ces espèces en Géorgie auparavant (normalement la saison des mouches des phlébotomes en Géorgie est exceptionnellement courte -de juin à septembre). La population locale se plaint d’avoir été mordue par ces mouches nouvellement apparues alors qu’elles étaient nues dans leurs salles de bains. Elles ont également une forte résistance au froid et peuvent survivre même à des températures inférieures à zéro dans les montagnes.

Piqûres de mouches au Daghestan, Russie

Depuis le début du projet du Pentagone en 2014, des mouches similaires à celles de Géorgie sont apparues au Daghestan voisin (Russie). Selon la population locale, Elles piquent et provoquent des éruptions cutanées. Leurs habitats de reproduction sont des drains domestiques.

Les mouches piqueuses
Les mouches de la famille des phlébotomines portent dans leur salive des parasites dangereux qu’elles transmettent par une morsure à l’homme. La maladie, que ces mouches portent est d’un grand intérêt pour le Pentagone. En 2003, lors de l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis, les soldats américains ont été sévèrement piqués par des mouches des sables et ont contracté la leishmoniose. La maladie est originaire d’Irak et d’Afghanistan et si elle n’est pas traitée, la forme aiguë de la leishmoniose peut être fatale. Un rapport de l’armée américaine de 1967 « Arthropodes d’importance médicale en Asie et en URSS européenne » énumère tous les insectes locaux, leur répartition et les maladies qu’ils véhiculent. Les mouches piqueuses, qui vivent dans les drains, sont également répertoriées dans le document. Leurs habitats naturels, cependant, sont les Philippines, et non la Géorgie ou la Russie. 
Opération Whitecoat : Des mouches infectées testées pour piquer les humains
En 1970 et 1972, des tests de fièvre de la mouche des sables ont été effectués sur des humains selon un rapport déclassifié de l’armée américaine – US Army Activities in the US, Biological Warfare Programs, 1977,vol. II, p. 203. Au cours de l’opération, les bénévoles de « Whitecoat » ont été exposés à des piqûres de mouches des sables infectées.
L’« Opération Whitecoat » était un programme de recherche médicale en biodéfense mené par l’armée américaine à « Fort Detrick » (Maryland) entre 1954 et 1973. Malgré l’arrêt officiel du programme américain de fabrication d’armes biologiques, l’USAMRIID a effectué une expérience en 1982 pour vérifier si les mouches des sables et les moustiques pouvaient être des vecteurs du virus de la vallée du Rift, de la dengue, du Chikungunya et de l’encéphalite équine orientale – virus que l’armée américaine a étudié afin de déterminer leur potentiel en tant qu’armes biologiques. 
Insectes tueurs
Le Pentagone a une longue histoire dans l’utilisation des insectes comme vecteurs de maladies. Selon un rapport partiellement déclassifié de 1981 de l’armée américaine, les scientifiques américains spécialistes de la guerre biologique ont mené un certain nombre d’expériences sur les insectes. Ces opérations faisaient partie de la guerre entomologique des États-Unis dans le cadre du Programme des armes biologiques des États-Unis.
Le Pentagone : Comment tuer 625 000 personnes pour seulement 0,29 $ par décès
Un rapport de l’armée américaine en 1981 a comparé deux scénarios – 16 attaques simultanées sur une ville par des moustiques A. Aegypti, infectés par la fièvre jaune, et l’attaque par aérosol Tularemia, et évalue leur efficacité en termes de coût et de pertes.
Certaines parties du rapport de l’armée américaine de 1981, comme la « Production de masse d’Aedes Aegypti » n’ont pas été déclassifiées, ce qui pourrait signifier que le projet est toujours en cours. L’Aedes Aegypti, également connu sous le nom de moustique de la fièvre jaune, a été largement utilisé dans les opérations militaires américaines. Les mêmes espèces de moustiques seraient les vecteurs de la dengue, du chikungunya et du virus Zika, qui provoque des malformations génétiques chez les nouveau-nés. 
Opération Bellweather
L’ « US Army Chemical Research and Development Command, Biological Weapons Branch », a étudié l’activité de piqûre de moustiques en plein air lors d’un certain nombre d’essais sur le terrain à « Dugway ProvingGround », Utah, en 1960. Les moustiques femelles vierges Aedes aegypti, qui avaient été affamés, ont été testés sur des troupes en plein air.
Expériences militaires avec des moustiques et des tiques tropicaux en Géorgie
De telles espèces de moustiques et de puces (étudiées dans le passé dans le cadre du programme américain « Entomological Warfare Program ») ont également été collectées en Géorgie et testées au « Lugar Center ». Dans le cadre du projet DTRA « Virus et autres arbovirus en Géorgie » en 2014, le moustique tropical Aedes albopictus, jamais vu auparavant, a été détecté pour la première fois et après des décennies (60 ans), l’existence du moustique Aedes Aegypti a été confirmée en Géorgie occidentale.
Aedes Albopictus est un vecteur de nombreux pathogènes viraux, virus de la fièvre jaune, Dengue, Chikungunya et Zika. Ces moustiques tropicaux Aedes Albopictus n’ayant jamais été vus auparavant en Géorgie, ont également été détectés en Russie voisine (Krasnodar) et en Turquie. Selon les données fournies par le « Centre européen de prévention et de contrôle des maladies », leur propagation est inhabituelle pour cette partie du monde.
Les moustiques Aedes Aegypti n’ont été distribués qu’en Géorgie, dans le sud de la Russie et dans le nord de la Turquie. Ils ont été détectés pour la première fois en 2014 après le début du programme du Pentagone au « Lugar Center ».
L’épidémie de fièvre charbonneuse («Anthrax») en Géorgie et les essais humains de l’OTAN
En 2007, la Géorgie a mis fin à sa politique de vaccination annuelle obligatoire contre la fièvre charbonneuse du bétail. En conséquence, le taux de morbidité de la maladie a atteint son maximum en 2013. La même année, l’OTAN a commencé les essais de vaccins contre l’anthrax chez l’homme au « Lugar Cente r» en Géorgie.
Recherche du Pentagone sur l’anthrax russe
L’anthrax est l’un des bio-agents transformé en arme de guerre par l’armée américaine dans le passé. Malgré les affirmations du Pentagone selon lesquelles son programme n’est que défensif, il existe des faits contraires. En 2016, au « Lugar Center », des scientifiques américains ont effectué des recherches sur la « Séquence du génome de la souche 55-VNIIViM du vaccin Bacillus anthracis soviétique et russe », qui a été financée par le « Cooperative Biological Engagement Program » de la « Defense Threat Reduction Agency » (DTRA) des États-Unis à Tbilissi, et administrée par « Metabiota » (l’entrepreneur américain dans le cadre du programme du Pentagone en Géorgie). En 2017, le DTRA a financé d’autres recherches.
Dix séquences de génome d’isolats humains et d’animaux de Bacillus anthracis du pays de Géorgie, qui ont été effectuées par l’USAMRU-G au « Lugar Center »
34 personnes infectées intentionnellement par la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) en Géorgie. La fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) est causée par une infection par un virus transmis par les tiques (Nairovirus). La maladie a été caractérisée pour la première fois en Crimée en 1944 et a reçu le nom de fièvre hémorragique de Crimée. Elle a ensuite été reconnue en 1969 comme la cause de la maladie au Congo, d’où le nom actuel de la maladie. En 2014, 34 personnes (dont un enfant de 4 ans) ont été infectées par la FHCC. dont 3 sont morts. La même année, des biologistes du Pentagone ont étudié le virus en Géorgie dans le cadre du projet DTRA « Epidémiologie des maladies fébriles causées par les virus de la dengue et d’autres arbovirus en Géorgie ». Le projet comprenait des tests sur des patients présentant des symptômes de fièvre et la collecte de tiques, en tant que vecteurs possibles de CCHV pour des analyses de laboratoire.
La cause du foyer de la FHCC en Géorgie est encore inconnue. Selon le rapport du Département vétérinaire local, une seule tique de toutes les espèces collectées dans les villages infectés s’est révélée positive pour la maladie. Malgré les affirmations des autorités locales selon lesquelles le virus a été transmis à l’homme à partir d’animaux, tous les échantillons de sang animal étaient également négatifs. L’absence de tiques et d’animaux infectés est inexplicable étant donné la forte augmentation des cas humains de la FHCC en 2014, ce qui signifie que le foyer n’était pas naturel et que le virus s’est propagé intentionnellement. En 2016, 21 590 autres tiques ont été collectées pour la base de données ADN pour des études futures au Lugar Center dans le cadre du projet du Pentagone « Assessing the Seroprevalence and Genetic Diversity of Crimean-Congo Hemorrhagic Fever Virus (CCHFV) and Hantavirus in Georgia » (Évaluation de la séro prévalence et de la diversité génétique du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo) et des virus de l’hantavirus en Géorgie.
Un bio-laboratoire militaire blâmé pour l’épidémie mortelle de la FHCC en Afghanistan
237 cas de fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) ont également été signalés dans tout l’Afghanistan, dont 41 étaient mortels en décembre 2017. Selon le ministère afghan de la Santé, la plupart des cas ont été enregistrés dans la capitale Kaboul, où 71 cas ont été signalés avec 13 morts, et dans la province de Herat, près de la frontière avec l’Iran (67 cas).

 

L’Afghanistan est l’un des 25 pays du monde avec des laboratoires biologiques du Pentagone sur leur territoire. Le projet en Afghanistan fait partie du programme de bio défense des États-Unis – « Cooperative BiologicalEngagement Program » (CBEP), financé par la « Defense Threat Reduction Agency » (DTRA). Les entrepreneurs de DTRA, travaillant au « Lugar Center » en Géorgie, « CH2M Hill » et « Battelle » ont également été engagés pour le programme en Afghanistan. « CH2M Hill » a obtenu un contrat de 10,4 millions de dollars (2013-2017). Les entrepreneurs du Pentagone en Afghanistan et en Géorgie sont les mêmes, tout comme les maladies qui se propagent parmi la population locale dans les deux pays.

Pourquoi le Pentagone collectionne et étudie les chauves-souris

Les chauves-souris seraient les hôtes réservoirs du virus Ebola, du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et d’autres maladies mortelles. Cependant, les modes précis de transmission de ces virus à l’homme sont actuellement inconnus. De nombreuses études ont été réalisées dans le cadre du DTRA « Cooperative Biological Engagement Program » (CBEP) à la recherche d’agents pathogènes mortels d’importance militaire chez les chauves-souris.

L’ingénierie des virus mortels est légale aux États-Unis

On pense que MERS-CoV provient des chauves-souris et se propage directement aux humains et/ou aux chameaux. Cependant, comme Ebola, les modes précis de propagation du virus sont inconnus. 1980 cas avec 699 décès ont été signalés dans 15 pays à travers le monde (en juin 2017) causés par le MERS-CoV.3.

Tularemia en tant qu’arme biologique

La tularémie, également connue sous le nom de fièvre du lapin, est classée comme un agent bioterroriste et a été développée dans le passé comme tel par les États-Unis. Cependant, les recherches du Pentagone sur la tularémie se poursuivent, ainsi que sur les vecteurs possibles des bactéries telles que les tiques et les rongeurs qui causent la maladie. Le DTRA a lancé un certain nombre de projets sur la tularémie ainsi que d’autres pathogènes particulièrement dangereux en Géorgie. Les agents pathogènes dangereux (EDP), ou agents sélectionnés, représentent une préoccupation majeure pour la santé publique à l’échelle mondiale. Ces agents hautement pathogènes ont le potentiel de devenir des armes avec la preuve de leur importance militaire vue à travers les projets suivants du Pentagone : Épidémiologie et écologie de la tularémie en Géorgie (2013-2016)(60 000 vecteurs ont été collectés pour les isolats de souches et la recherche génomique) ; Épidémiologie de la tularémie humaine en Géorgie et Épidémiologie des maladies humaines et surveillance des pathogènes particulièrement dangereux en Géorgie (étude de certains agents parmi les patients atteints de fièvre indifférenciée et de fièvre hémorragique/choc septique).

Le programme militaire américain est une information sensible

L’Ukraine n’a aucun contrôle sur les bio laboratoires militaires sur son propre territoire. Conformément à l’accord de 2005 entre le DoD américain et le ministère ukrainien de la santé, le gouvernement ukrainien n’est pas autorisé à divulguer publiquement des informations sensibles sur le programme américain et l’Ukraine est obligée de transférer au ministère américain de la défense (DoD) des pathogènes dangereux pour la recherche biologique. Le Pentagone s’est vu accorder l’accès à certains secrets d’État de l’Ukraine en relation avec les projets dans le cadre de leur accord.

Scientifiques spécialistes de la guerre biologique sous couverture diplomatique

Parmi l’ensemble des accords bilatéraux entre les États-Unis et l’Ukraine figure la création du Science and Technology Center in Ukraine (STCU) – une organisation internationale financée principalement par le gouvernement des États-Unis, à laquelle le statut diplomatique a été accordé. Le STCU soutient officiellement les projets de scientifiques qui participaient auparavant au programme soviétique d’armes biologiques. Au cours des 20 dernières années, le STCU a investi plus de 285 millions de dollars dans le financement et la gestion de quelque 1.850 projets de scientifiques qui travaillaient auparavant à la mise au point d’armes de destruction massive. 

364 Ukrainiens sont morts de la grippe porcine

L’un des laboratoires du Pentagone est situé à Kharkiv, où, en janvier 2016, au moins 20 soldats ukrainiens sont morts du virus grippal en seulement deux jours et 200 autres ont été hospitalisés. Le gouvernement ukrainien n’a pas rendu compte des soldats ukrainiens morts à Kharkiv. En mars 2016, 364 décès ont été signalés en Ukraine (81,3 % causés par la grippe porcine A (H1N1) pdm09 – la même souche qui a causé la pandémie mondiale en 2009).

La police enquête sur une infection par une maladie incurable

Une infection à l’hépatite A très suspecte s’est propagée rapidement en quelques mois seulement dans le sud-est de l’Ukraine, où se trouvent la plupart des bio labs du Pentagone.

La police locale a lancé une enquête sur « l’infection par le virus de l’immuno-déficience humaine et d’autres maladies incurables ». Il y a trois ans, plus de 100 personnes de la même ville ont été infectées par le choléra .Les deux maladies se seraient propagées par l’eau potable contaminée. Au cours de l’été 2017, 60 personnes atteintes d’hépatite A ont été admises à l’hôpital de la ville de Zaporizhia, la cause de cette épidémie est encore inconnue. Dans la région d’Odessa, 19 enfants d’un orphelinat ont été hospitalisés pour l’hépatite A en juin 2017. 29 cas d’hépatite A ont été signalés à Kharkiv en novembre 2017. Le virus a été isolé dans de l’eau potable contaminée. L’un des laboratoires biologiques du Pentagone est situé à Kharkiv, qui a été blâmé pour l’épidémie mortelle de grippe il y a un an, qui a coûté la vie à 364 Ukrainiens.

L’Ukraine et la Russie frappées par une nouvelle infection au choléra hautement virulente

En 2011, l’Ukraine a été frappée par une épidémie de choléra. 33 patients auraient été hospitalisés pour diarrhée grave. Une deuxième flambée a frappé le pays en 2014, lorsque plus de 800 personnes dans toute l’Ukraine ont été signalées comme ayant contracté la maladie. En 2015, au moins 100 nouveaux cas ont été enregistrés dans la seule ville de Mykolaiv.

Une nouvelle variante très virulente de l’agent du choléra, Vibrio cholera, avec une forte similitude génétique avec les souches signalées en Ukraine, a frappé Moscou en 2014. Selon une étude génétique de l’Institut russe de recherche anti-peste de 2014, la souche de choléra isolée à Moscou était similaire à la bactérie qui a causé l’épidémie en Ukraine voisine. « Southern Research Institute », l’un des entrepreneurs américains travaillant dans les bio-laboratoires en Ukraine, a des projets sur le choléra, ainsi que sur la grippe et Zika – tous des pathogènes d’importance militaire pour le Pentagone. En plus du « Southern Research Institute », deux autres sociétés privées américaines exploitent des bio-laboratoires militaires en Ukraine – « Black&Veatch » et « Metabiota ».

« Black & Veatch Special Project Corp. » a obtenu 198,7 millions de dollars pour la construction et l’exploitation de bio-laboratoires en Ukraine (deux contrats de 5 ans en 2008 et 2012 totalisant 128,5 millions de dollars), ainsi qu’en Allemagne, Azerbaïdjan, Cameroun, Thaïlande, Ethiopie, Ethiopie, Vietnam et Arménie. Metabiota a obtenu un contrat fédéral de 18,4 millions de dollars dans le cadre du programme en Géorgie et en Ukraine. Cette société américaine a également été engagée pour effectuer des travaux pour le DTRA avant et pendant la crise d’Ebola en Afrique de l’Ouest, la société a reçu 3,1 millions de dollars (2012-2015) pour des travaux en Sierra Leone. Southern Research Institute est un sous-traitant principal dans le cadre du programme DTRA en Ukraine depuis 2008. La société a également été un entrepreneur principal du Pentagone dans le passé dans le cadre du programme américain des armes biologiques pour la recherche et le développement d’agents biologiques, avec 16 contrats entre 1951 et 1962.

Le Défecteur soviétique a produit de l’anthrax pour le Pentagone

Le « Southern Research Institute » a également été sous-traitant d’un programme du Pentagone pour la recherche sur l’anthrax en 2001. L’entrepreneur principal étant « Advanced Biosystems », dont le président à l’époque était Ken Alibek (un ancien microbiologiste soviétique et expert en guerre biologique du Kazakhstan qui a fait défection aux États-Unis en 1992).

250.000 $ pour le lobbying auprès de Jeff Sessions

Le « Southern Research Institute » a fait pression sur le Congrès américain et le Département d’État américain pour « des questions liées à la recherche et au développement pour le renseignement américain » et « la recherche et le développement dans le domaine de la défense ». Les activités de lobbying ont coïncidé avec le début des projets du Pentagone sur les bio-laboratoires en Ukraine et dans d’autres anciens États soviétiques. L’entreprise a payé 250.000 $ pour faire du lobbying auprès du sénateur Jeff Sessions en 2008-2009 (actuellement le procureur général américain nommé par Donald Trump), lorsque l’institut s’est vu attribuer un certain nombre de contrats fédéraux.

Pendant une période de 10 ans (2006-2016), le « Southern Research Institute » a payé 1,28 million de dollars pour faire du lobbying auprès du Sénat américain, de la Chambre des représentants, du Département d’État et du Département de la défense (DoD). L’aide du sénateur Jeff Sessions au Capitole – Watson Donald, est maintenant directeur principal au « Southern Research Institute ».

La police enquête sur l’empoisonnement par la toxine botulique en Ukraine

115 cas de botulisme, avec 12 décès, ont été signalés en Ukraine en 2016. En 2017, le ministère ukrainien de la Santé a confirmé 90 nouveaux cas d’intoxication par la toxine botulique (l’une des substances biologiques les plus toxiques connues), dont 8 décès. Selon les autorités sanitaires locales, la cause de l’épidémie était une intoxication alimentaire sur laquelle la police a ouvert une enquête… Le gouvernement ukrainien a cessé de fournir des antitoxines en 2014 et aucun vaccin contre le botulisme en stock n’était disponible pendant l’épidémie de 2016-2017.

Le botulisme est une maladie rare et extrêmement dangereuse causée par une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. 1 g de la toxine peut tuer jusqu’à 1 million de personnes. 

La neurotoxine botulini que représente une menace majeure pour les armes biologiques en raison de son extrême puissance, de sa facilité de production et de transport. Elle provoque des paralysies musculaires, une insuffisance respiratoire et finalement la mort si elle n’est pas traitée immédiatement. Un seul gramme de toxine cristalline, uniformément dispersée et inhalée peut tuer plus d’un million de personnes. Elle pourrait être disséminée par aérosol, ou par contamination de l’eau et/ou des approvisionnements alimentaires.

Le Pentagone produit des virus, bactéries et toxines vivants.

La toxine botulique a été testée comme arme biologique par l’armée américaine dans le passé, ainsi que l’anthrax, Brucella et Tularemia. Bien que le programme américain de fabrication d’armes biologiques ait officiellement pris fin en 1969, les documents montrent que les expériences militaires n’ont jamais pris fin. Actuellement, le Pentagone produit et teste des agents biologiques vivants dans les mêmes installations militaires que par le passé – « Dugway Proving Ground ».

Usine d’armes biologiques aux États-Unis

L’armée américaine produit et teste des bio-agents dans une installation militaire spéciale située à Dugway Proving Ground (West Desert Test Center, Utah), comme le prouve un rapport de l’armée américaine de 2012. L’installation est supervisée par le Commandement des essais et de l’évaluation de l’Armée de terre. La Division des sciences de la vie (LSD) de Dugway Proving Ground est chargée de la production d’agents biologiques. Selon le rapport de l’Armée de terre, les scientifiques de cette division produisent et testent des agents biologiques en aérosol au Lothar Saloman Life Sciences Test Facility (LSTF).

Expériences en aérosol avec la neurotoxine botulinique et l’anthrax

Des documents prouvent que l’armée américaine produit, possède et teste des aérosols de la toxine la plus mortelle au monde – la neurotoxine botulique. En 2014, le Département de l’Armée de terre a acheté 100 mg de toxine botulique de Metabiologics pour des tests à « Dugway Proving Ground ».Les expériences remontent à 2007, lorsqu’une quantité non spécifiée de la toxine a été achetée au département de l’armée par la même société – « Metabiologics ». Selon le « West Desert Test Center Report 2012 », l’installation militaire effectue des tests avec de l’aérosol de neurotoxine botulique, ainsi qu’avec de l’anthraxen aérosol, du Yersinia pestis et du virus de l’encéphalite équine vénézuélienne (VEE).

Le rapport de l’armée américaine énumère de nombreuses techniques de dissémination, y compris par des pulvérisateurs aérosols biologiques. De tels pulvérisateurs appelés disséminateurs Micronair ont déjà été mis au point par l’armée américaine et testés à Dugway Proving Ground. Selon les documents, ils peuvent être montés sur le véhicule, ou portés comme un sac à dos, avec un système de pompe qui peut être monté sur l’unité pour augmenter la précision du déclenchement. Les pulvérisateurs Micronair peuvent libérer de 50 à 500 ml de simulant bio-liquide par minute à partir de réservoirs de 12 litres.

Les États-Unis ont volé des bactéries dans l’usine d’armes biologiques de Saddam

Hussein.Bacillus thuringiensis est un insecte pathogène largement utilisé comme biopesticide. B. thuringiensis (BT) Al Hakam a été collecté en Irak par la Commission spéciale des Nations Unies dirigée par les États-Unis en 2003. Il porte le nom d’Al Hakam, l’usine irakienne de production d’armes biologiques. Outre les essais sur le terrain du Pentagone, cette bactérie est également utilisée aux Etats-Unis pour la production de maïs génétiquement modifié, résistant aux ravageurs. Les photos affichées par la CIA prouvent que la bactérie a été collectée par les États-Unis en Irak. Selon la CIA, les flacons contenant du bio-pesticide ont été récupérés chez un scientifique d’Al Hakam.

CIA : Un total de 97 flacons – y compris ceux qui portent des étiquettes conformes aux articles de couverture d’al Hakam sur les protéines unicellulaires et les biopesticides, ainsi que des souches pouvant être utilisées pour produire des agents d’armes biologiques – ont été récupérés dans la résidence d’un scientifique en Irak en 2003.

Les informations provenant du registre fédéral américain des contrats montrent que le Pentagone effectue des tests en utilisant les bactéries volées dans l’usine d’armes biologiques de Saddam Hussein en Irak. Le projet fédéral de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) pour l’analyse en laboratoire et les essais sur le terrain avec des bactéries.

Les tests sont effectués sur la base aérienne de Kirtland (Kirtland est le siège du Centre des armes nucléaires du Commandement du matériel de l’armée de l’air). Ici, les armes sont testées, ce qui signifie que les essais sur le terrain avec des simulants biologiques (bactéries) font également partie de ce groupe. L’entrepreneur de DTRA sur ce projet – « Lovelace Biomedical and Environmental Research Institute » (LBERI), exploite un laboratoire de biosécurité animale de niveau 3 (ABSL-3) qui a le statut d’agent de sélection. L’installation est conçue pour effectuer des études sur les bio aérosols. La société a obtenu un contrat de 5 ans pour des essais sur le terrain avec des simulants biologiques à la base aérienne de Kirtland.

Essais sur le terrain avec des simulants biologiques (bactéries)

Ce que le Pentagone fait aujourd’hui est exactement ce qu’il a fait dans le passé, ce qui signifie que son programme d’armes biologiques n’a jamais pris fin. L’armée américaine a effectué 27 essais sur le terrain avec de tels simulants biologiques, impliquant le domaine public de 1949 à 1968, lorsque le président Nixon a officiellement annoncé la fin du programme.

Essais sur le terrain en Tchétchénie

La Defense Threat Reduction Agency (DTRA), qui gère le programme militaire américain au Lugar Center en Géorgie, aurait déjà effectué des essais sur le terrain avec une substance inconnue en Tchétchénie, en Russie.

Au printemps 2017, des citoyens locaux ont fait état d’un drone disséminant de la poudre blanche près de la frontière russe avec la Géorgie. Ni la police des frontières géorgienne, ni le personnel américain opérant à la frontière entre la Géorgie et la Russie n’ont commenté ces informations.

Projet militaire américain de 9,2 millions de dollars à la frontière entre la Russie et la Géorgie

DTRA a un accès complet à la frontière entre la Russie et la Géorgie, accordé dans le cadre d’un programme militaire appelé « Projet de sécurité de la frontière terrestre de la Géorgie ». Les activités liées au projet ont été confiées à une société privée américaine – Parsons Government Services International. DTRA a déjà passé des contrats avec Parsons pour des projets de sécurité frontalière similaires au Liban, en Jordanie, en Libye et en Syrie. Parsons a obtenu un contrat de 9,2 millions de dollars dans le cadre du projet de sécurité à la frontière entre la Russie et la Géorgie.

En 2017, des citoyens tchétchènes ont remarqué un drone pulvérisateur près de la frontière russe avec la Géorgie.

La « US Defense Agency » teste les insectes GM pour transmettre les virus GM

Le Pentagone a investi au moins 65 millions de dollars dans l’édition génétique. La « US Defense Advanced Research Projects Agency » (DARPA) a attribué 7 équipes de recherche pour développer des outils d’ingénierie du génome chez les insectes, les rongeurs et les bactéries dans le cadre du programme Safe Gene de la DARPA, en utilisant une nouvelle technologie CRISPR-Cas9.

Dans le cadre d’un autre programme militaire – « Insect Allies », les insectes GM sont conçus pour transférer des gènes modifiés aux plantes. Le projet DARPA, d’une valeur de 10,3 millions de dollars, comprend la modification génétique des insectes et des virus qu’ils transmettent. « Ecological Niche-preference Engineeringg » est un troisième programme militaire en cours pour l’ingénierie du génome chez les insectes. L’objectif déclaré du Pentagone est de concevoir des organismes génétiquement modifiés afin qu’ils puissent résister à certaines températures, changer leur habitat et leurs sources de nourriture.

Les humains génétiquement modifiés

Outre l’édition de gènes chez les insectes et dans les virus qu’ils transmettent, le Pentagone veut aussi concevoir des humains. Le projet DARPA « Advanced Tools for Mammalian Genome Engineering Project » vise à créer une plateforme biologique à l’intérieur du corps humain, l’utilisant pour fournir de nouvelles informations génétiques, et ainsi altérer les humains au niveau de l’ADN. La DARPA veut insérer un 47e chromosome artificiel supplémentaire dans les cellules humaines. Ce chromosome produira de nouveaux gènes qui seront utilisés pour l’ingénierie du corps humain. SynPloid Biotek LLC a obtenu deux contrats dans le cadre du programme totalisant 1,1 million de dollars (2015-2016 – 100600 $ pour la première phase de la recherche ; 2015-2017 – 999 300 $ pour des travaux qui ne sont pas spécifiés dans le registre fédéral des contrats. L’entreprise n’a que deux employés et aucun dossier antérieur sur la recherche biologique.

Recherche très secrète sur les virus synthétiques

Entre 2008 et 2014, les États-Unis ont investi environ 820 millions de dollars dans la recherche en biologie synthétique, la Défense étant un contributeur majeur. Une grande partie des projets militaires sur la biologie synthétique sont classés, parmi lesquels un certain nombre d’études classifiées par le groupe secret de conseillers militaires américains JASON – par exemple, Emerging Viruses and Genome Editing pour le Pentagone,et Synthetic Viruses for the National Counterterrorism Center.

JASON est un groupe consultatif scientifique indépendant qui fournit des services de consultation au gouvernement américain sur les questions de science et de technologie de défense. Il a été créé en 1960 et la plupart des rapports JASON qui en résultent sont classifiés. Pour des raisons administratives, les projets du JASON sont gérés par la MITRE Corporation, qui a des contrats avec le Département de la Défense, la CIA et le FBI.

Depuis 2014, MITRE a obtenu quelque 27,4 millions de dollars en contrats avec le DoD. Bien que les rapports JASON soient classifiés, une autre étude de l’US Air Force intitulée « Biotechnology Genetically Engineered Pathogens », jette un peu de lumière sur ce que le groupe secret JASON a étudié – 5 groupes de pathogènes génétiquement modifiés qui peuvent être utilisés comme armes biologiques. Il s’agit d’armes biologiques binaires (combinaison mortelle de deux virus), de maladies d’échange d’hôtes (virus animaux qui « sautent » vers l’homme, comme le virus Ebola), de virus furtifs et de maladies de concepteurs. Les maladies de conception peuvent être conçues pour cibler un certain groupe ethnique, ce qui signifie qu’elles peuvent être utilisées comme armes biologiques ethniques.

Armes biologiques ethniques

L’arme biologique ethnique (arme biogénétique) est une arme théorique qui vise principalement à nuire à des personnes d’ethnies ou de génotypes spécifiques. Bien que la recherche et le développement d’armes biologiques ethniques n’aient jamais été officiellement confirmés publiquement, les documents montrent que les États-Unis collectent du matériel biologique de certains groupes ethniques – Russes et Chinois. L’armée de l’air américaine a collecté des échantillons d’ARN russe et de tissus synoviaux, ce qui fait craindre à Moscou un programme clandestin d’armes biologiques ethniques américaines.

Outre les Russes, les États-Unis ont collecté du matériel biologique auprès de patients sains et cancéreux en Chine. L’Institut national du cancer a prélevé des échantillons biologiques sur 300 sujets de Linxian, Zhengzhouet Chengdu en Chine. Un autre projet fédéral, intitulé « Serum Metabolic biomarkers discovery study of Esophageal Squamous Cell Carcinoma in China », comprend l’analyse de 349 échantillons de sérum prélevés chez des patients chinois.

Le « US National Cancer Institute » a collecté du matériel biologique auprès de patients de l’hôpital chinois du cancer à Pékin. Le matériel biologique chinois a été collecté dans le cadre d’une série de projets fédéraux, y compris la salive et les tissus cancéreux. Parmi eux, le génotypage d’échantillons d’ADN provenant de cas de lymphomes et de témoins (patients sains), de blocs de tissus de cancer du sein provenant de patientes atteintes de cancer du sein, d’échantillons de salive de 50 familles ayant 3 cas ou plus de cancer UGI, de génotype 50 SNP’S pour les échantillons d’ADN de l’hôpital du cancer, de Pékin, de génotypes de 3 000 cas de cancer gastrique et de 3 000 témoins (patients sains) à Pékin.

Comment le Pentagone a aidé les compagnies de tabac à tirer profit d’Ebola

La « Defense Advanced Research Projects Agency » (DARPA) a investi 100 millions de dollars dans la production de vaccins à partir de plants de tabac. Les sociétés impliquées dans le projet appartiennent aux plus grandes compagnies de tabac américaines.

« Mediacago Inc. » est détenue conjointement par « Philip Morris » et « Kentucky BioProcessing », une filiale de « Reynolds American » qui appartient à « British American Tobacco ». Actuellement, ils produisent des vaccins anti-grippaux et anti-Ebola à partir de plants de tabac. Le programme « Blue Angel » de 100 millions de dollars a été lancé en réponse à la pandémie de grippeH1N1 en 2009. Medicago reçoit 21 millions de dollars pour produire 10 000 millions de doses d’un vaccin anti-grippal en un mois. Le Dr John Julias, directeur du programme Blue Angel, explique :

« Bien que de multiples espèces végétales et d’autres organismes soient explorés comme plateformes alternatives de production de protéines, le gouvernement américain a continué d’investir dans la fabrication à base de tabac. »

La méthode de production de vaccins à base de plantes fonctionne en isolant une protéine antigénique spécifique qui déclenche une réponse immunitaire humaine à partir du virus ciblé. Un gène de la protéine est transféré à une bactérie, qui est utilisée pour infecter les plantes. Les plantes commencent alors à produire la protéine qui sera utilisée pour les vaccinations.

Il n’est pas clair pourquoi le Pentagone a choisi d’investir dans des vaccins produits à partir de plants de tabac parmi toutes les autres espèces de plantes qu’ils ont explorées. Medicago, copropriété de Philip Morris, a payé 495 000 $ pour faire pression sur le Département de la Défense, le Congrès et le Département de la Santé et des Services Humains pour  » le financement de l’avancement de la technologie à l’appui des applications de préparation à la santé publique « . Le Pentagone a financé des compagnies de tabac pour développer de nouvelles technologies et tirer profit des vaccins.

Les expériences biologiques sont des crimes de guerre L’article 8 du Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI) définit les expériences biologiques comme des crimes de guerre.

Toutefois, les États-Unis ne font pas partie du traité international et ne peuvent être tenus responsables de leurs crimes de guerre. 


Par Dilyana Gaytandzhieva

Journaliste d’investigation bulgare et correspondante au Moyen-Orient. Au cours des deux dernières années, elle a publié une série de reportages sur la contrebande d’armes. Au cours de l’année écoulée, elle a subi des pressions de l’Agence de sécurité nationale bulgare et a été licenciée du journal bulgare Trud Daily sans explication. Malgré cela, Dilyana poursuit son enquête. Son reportage actuel donne un aperçu de la vigueur du Pentagone dans le développement des armes biologiques. 

 

Source :

https://southfront.org/pentagon-bio-weapons/

https://fr.sott.net/article/32606-Les-armes-biologiques-du-Pentagone

https://nsarchive2.gwu.edu/NSAEBB/NSAEBB58/RNCBW_USABWP.pdf

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TÉMOIGNAGE :

 

Épidémie au Kazakhstan causée par les tests américains d’armes  de guerre bactériologique

 

Mes camarades et moi avons constamment écrit et parlé des activités du laboratoire de référence militaire américain pour l’étude des dangereux agents pathogènes ouvert à Almaty, ouvert par les autorités du Kazakhstan en 2016. Les autorités ont rejeté toutes les accusations de personnalités publiques et d’écologistes sur le danger que représente ce labo, spécialement construit avec l’argent du Pentagone dans une zone sismique et dans une grande métropole. Des employés du ministère de la Santé de la République du Kazakhstan ont été contraints d’admettre que de nouvelles souches toxiques de la maladie contagieuse de la rougeole ont été découvertes en Ukraine et que les vaccins locaux ne peuvent pas les combattre efficacement.

Ukraine, Géorgie et Kazakhstan : terrains d’entraînement à l’utilisation d’armes biologiques

Ainsi, Zhandarbek Bekshin, président du Comité de la santé publique du ministère de la Santé, médecin hygiéniste en chef du pays, a déclaré le 29 janvier que des recherches de haute technologie avaient été menées pour identifier les causes de la rougeole qui ne sont pas typiques du Kazakhstan, les même qui ont causé l’épidémie en Ukraine.

«Le 24 janvier, nous avons reçu les résultats d’une étude génomique sur les agents pathogènes en circulation chez des patients au Kazakhstan. L’étude a montré que ce sont les mêmes souches D8 et B3 qui circulent sur le continent européen. Nous sommes allés plus loin. Ensuite, une étude plus détaillée a montré que la souche «B», qui circule davantage au Kazakhstan, possède les lignées génétiques «Dublin» et «Kaboul». Parmi celles-ci, «Kaboul» est très toxique. Elle a provoqué une épidémie en Ukraine », a déclaré le médecin hygiéniste en chef du pays.

Selon les médecins, ces deux souches n’ont jamais circulé au Kazakhstan. Contre elles, il n’y a pas d’immunité chez les enfants et les adultes vaccinés. Les experts estiment qu’il s’agit de nouvelles souches résistantes aux vaccins existants et spécialement conçues pour effectuer ce que l’on appelle des tests permettant de propager d’autres maladies plus dangereuses.

Il est clair que la rougeole, une maladie qui n’entraîne pas de cas mortels massifs, bien qu’elle puisse affecter gravement le système nerveux en cas de complications, affecte le foie, les reins, le système immunitaire et est très dangereuse pour les enfants. Mais, en prenant l’exemple de cette maladie contagieuse modifiée dans les laboratoires militaires américains, les mécanismes de propagation de maladies plus dangereuses sur les territoires des anciennes républiques de l’Union soviétique – Ukraine, Géorgie et Kazakhstan – sont en train d’être mis au point loin des Etats-Unis et dans des pays qui sont limitrophes de la Russie et, pour le Kazakhstan près de la Chine. Le génotype de la population locale est proche de celui des résidents de la Fédération de Russie. Ils sont donc extrêmement pratiques pour élaborer des méthodes et des technologies de propagation des épidémies, et de l’analyse du comportement et de la dynamique de propagation de certaines maladies. De plus, les services de renseignement occidentaux découvrent eux-mêmes la capacité des systèmes de santé locaux à résister et à faire face rapidement à une épidémie.

Parallèlement, il s’agit également d’une vérification du système de soins de santé et des services épidémiologiques en Russie, car il était censé propager la rougeole à partir du territoire de l’Ukraine, du Kazakhstan et de la Géorgie, qui servent comme têtes de pont. Comme vous le savez, en Fédération de Russie, les médecins ont réussi à mettre au point rapidement un vaccin extrêmement efficace qui protège bien contre les souches ukrainiennes Dublin et Kaboul. Et inversement, les services épidémiologiques de l’Ukraine et du Kazakhstan ont montré leur inefficacité, puisque plus de 40.000 enfants sont tombés malades au même endroit.

Au Kazakhstan, les responsables du ministère de la Santé sont constamment confus quant aux chiffres, affirmant qu’environ 910 cas, puis environ 950, manipulent clairement les statistiques et la comptabilité. Le fait est que les médecins hospitalisent tout le monde soupçonnés d’avoir la rougeole, et de ne fournir des données officielles que sur les personnes pour lesquelles le fait de la maladie a été prouvé en laboratoire. Autrement dit, les personnes en quarantaine dans les hôpitaux est infiniment plus que les données officielles de 950 citoyens. Et le médecin hygiéniste en chef du Kazakhstan est resté silencieux pendant cinq jours, disposant de données sur de nouvelles souches de rougeole, et bien au contraire, il a insisté sur le fait qu’il n’y avait pas d’épidémie dans le pays.

Au début, les parents refusaient de vacciner les enfants en raison de leurs croyances religieuses, mais tous les membres des réseaux sociaux ont commencé à dire que le refus de vaccination et de transfusion sanguine n’était pas conforme à la tradition islamique. Maintenant, il s’avère que les anciennes vaccinations sont généralement inefficaces et ne pourraient pas protéger contre la rougeole «ukrainienne». Ensuite, les responsables ont commencé à ressentir une frénésie frôlant la panique, lorsque les médecins exhortent quotidiennement les citoyens à se faire vacciner, bien qu’ils restent silencieux sur le fait que, cette fois-ci, ils ont fait venir de Russie d’énormes quantités de vaccin.

Craignant également la propagation de la grippe «géorgienne» à l’aéroport d’Astana, tous les citoyens géorgiens doivent être contrôlés par des médecins hygiénistes pour détecter les températures élevées et même dans le terminal, ils ont installé des capteurs spéciaux pour détecter les passagers malades. Cela prouve que les autorités kazakhes sont bien conscientes des menaces posées par les activités des laboratoires de biologie militaire américains en Ukraine, en Géorgie et dans leur propre pays, à Almaty, mais préfèrent garder le silence sur ce sujet, en inventant des versions idiotes.

La chose la plus intéressante est que le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies a émis un avertissement spécial sur le danger de contracter la rougeole et a même inclus le Kazakhstan dans la liste des pays où il existe une menace biologique pour les citoyens américains. Les épidémiologistes américains recommandent vivement à leurs citoyens de se faire vacciner avant de se rendre au Kazakhstan. Ils ont même affiché un calendrier de vaccination indiquant le calendrier et les types de vaccins, en fonction de l’âge. Ce centre a même assigné une couleur de menace verte à son avertissement.

En fait, cela prouve indirectement l’implication des États-Unis dans la propagation de cette épidémie massive de rougeole. On peut en conclure que, dans la pratique, ce ne sont pas du tout des souches «ukrainiennes», mais plutôt des souches très américaines plantées à partir des laboratoires de référence des agents pathogènes dangereux dans trois républiques à la fois. Les autorités kazakhes essaient maintenant de nous dire que ces souches de rougeole de Dublin et de Kaboul sont arrivées dans le pays à cause de l’immigration, c’est-à-dire de l’arrivée massive de citoyens ukrainiens infectés. Mais c’est tout à fait ridicule! Comment expliquer comment que, sans Ukrainiens, il y a autant de malades infectés dans les villages reculés des régions d’Atyrau, de Mangystau, du Turkestan, d’Almaty et d’Akmola?

Il convient de noter que la première flambée de rougeole, comme l’épidémie de méningite survenue il y a un an, a été marquée dans la ville d’Almaty et dans les oblats d’Almaty, où le laboratoire de référence doté d’équipements coûteux est doté de 130 millions de dollars de double usage. C’est de là que vient la rougeole et, avant cela, la méningite vers les régions isolées du pays et ensuite ont abouti à Astana. Et rien d’autre!

Quel est le but du laboratoire de biologie militaire du Pentagone à Almaty?

Des scientifiques militaires américains, cachés derrière des activités diplomatiques, testent des virus créés artificiellement dans les laboratoires du Pentagone dans 25 pays (pays de l’ex-URSS (Azerbaïdjan, Arménie, Géorgie, Kazakhstan, Moldavie, Ouzbékistan et Ukraine (trois laboratoires), Moyen-Orient et Asie du Sud-Est. et Afrique), exposant des centaines de milliers de personnes d’infections provenant d’agents pathogènes et de maladies dangereuses, et nous, Kazakhstanais, sommes depuis longtemps des «cobayes». Si nous rappelons les épidémies massives de méningite qui ont eu lieu l’année dernière, ainsi que le décès de centaines de têtes de saigak il y a quelques années, l’émergence de foyers de maladies atypiques ou supprimés depuis longtemps, alors tout se met immédiatement en place.

 

Il est également nécessaire de prendre en compte le fait que le Kazakhstan est le territoire d’occurrence de pathogènes naturels de terribles maladies, telles que le charbon, la peste et de nombreuses autres espèces. Leurs versions modifiées artificiellement peuvent toucher des millions de personnes, la faune et la flore, ainsi que porter atteinte à l’agriculture et à l’économie du pays, et le territoire de notre État peut devenir un tremplin pour la propagation de ces maladies vers les pays voisins d’Asie centrale, Chine, Iran et Russie. De plus, le Kazakhstan est un pays membre de l’UEE, de l’Union douanière, de l’OTSC, de l’OCS, pour lesquels de nombreux obstacles sont assouplis ou supprimés.

Je déplore personnellement que la vaste expérience et les réalisations de scientifiques, épidémiologistes, biologistes, médecins soviétiques, ainsi que le matériel génétique de maladies collectées depuis près de 70 ans et la lutte contre les épidémies en Asie centrale et au Kazakhstan soient allés au Pentagone. Après tout, l’armée américaine a déployé ce laboratoire à Almaty sur la base d’un institut de recherche anti-peste liquidé par les autorités du Kazakhstan «indépendant». Naturellement, personne n’a demandé à la communauté scientifique, ni aux résidents d’Almaty, ni même aux autorités locales, puisque cet établissement d’armes biologiques a été ouvert sur ordre personnel du président Nursultan Nazarbayev!

Il est clair que cela résultait non pas d’une décision momentanée, mais d’un long processus pluriannuel visant à la liquidation des instituts de recherche soviétiques et au processus général de dégradation de la science nationale, de l’éducation, de la culture et de la redistribution active de la propriété, clôturé par instituts de recherche scientifique. À un moment donné, nous avons activement soutenu en 2010-13 la lutte des employés de «l’Institut de recherche sur les maladies de la peau et des maladies vénériennes» (NIKVI) contre la liquidation de leur institution, qui a eu lieu avec un succès variable auprès des fonctionnaires du ministère de la Santé.

À Astana et à Akorda, personne ne craignait que cela ne conduise à une catastrophe. Le même candidat en sciences médicales NIKVI, Azizov Davlet a déclaré que «la fermeture de NIKVI aura pour conséquence l’élimination du service de la peau vénérienne, ce qui provoquera une flambée de maladies de la peau au Kazakhstan», mais le pire est encore arrivé. Les autorités kazakhes ont, non seulement fermé, mais elles ont même transféré tous ces développements non seulement de l’institut anti-peste, mais également d’autres instituts de recherche médicale et scientifique de la RSS du Kazakhstan vers les  mains de biologistes militaires américains!

Par conséquent, nous sommes tous dans une zone de catastrophe biologique et écologique plus ou moins imminente, transformée en un grand terrain d’entraînement pour le développement de nouveaux agents pathogènes contre nous et contre la faune locale, et nous deviendrons bientôt un théâtre et un territoire pour les opérations militaires futures qui, comme nous le savons, sont hybrides. Cette “bombe” nous submergera, ainsi que des millions d’habitants des pays voisins. Devons-nous nous taire et avaler aussi calmement que la création en 2017 d’un dépôt de déchets radioactifs des centrales nucléaires américaines et japonaises, et du centre d’uranium faiblement enrichi de l’Est du Kazakhstan, construit avec de l’argent des États-Unis, de l’Union européenne et du Saoudien Saoudite?

Que devons-nous à faire

Il est clair que le gouvernement kazakh n’a aucune intention d’organiser des «référendums». Il y a quelques années, une enquête menée par l’agence Kazakhstan Today sur les habitants d’Almaty a été menée. 92% des personnes interrogées ont répondu NON à la question «Êtes-vous d’accord avec la création du biolaboratoire américain d’infections particulièrement dangereuses à Almaty? ”

Mais maintenant, il est déjà possible de s’organiser en groupes d’initiative sur les réseaux sociaux, en créant des pages spécialisées, en organisant des émissions vidéo, en enregistrant des vidéos et en les distribuant sur YouTube.

En conséquence, il est maintenant tout à fait réaliste de constituer un groupe d’initiatives composé de médecins, biologistes et journalistes, retraités ou en activité, qui seraient en mesure de lancer une telle campagne d’information et de rassembler des informations, ainsi que d’envoyer des demandes de renseignements concernant le danger potentiel d’une telle situation. Laboratoire de biologie militaire des États-Unis dans divers instituts de recherche des pays de la CEI et de l’UEE. Je pense que c’est assez réel! L’essentiel est de comprendre qu’il est nécessaire d’agir activement et d’élever la demande en faveur de l’élimination complète de la bombe biologique à Almaty!

Cela est suivi logiquement par les demandes de destruction du dépôt nucléaire, du centre d’uranium faiblement enrichi à Ust-Kamenogorsk et d’autres organisations militaires et paramilitaires des États-Unis et de l’OTAN au Kazakhstan, et cessation du transit des marchandises pour la guerre contre le peuple afghan.

Par Ainur Kurmanov, 10/2/2019

Coprésident du Mouvement socialiste du Kazakhstan, en particulier pour le News Front

Source : Epidemic In Kazakhstan: US Blamed for Germ Warfare Test

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les armes de la Troisième Guerre Mondiale:les armes spatiales les plus dangereuses mises au point ou projetées

Alors que l’espace a été un excellent forum pour l’exploration pacifique, il est aussi un excellent terrain de haut à partir de laquelle pour obtenir un avantage militaire. satellites d’espionnage ont été utilisés pendant des décennies. Et sous une forme ou une autre, aussi longtemps que l’ère spatiale a été autour, divers organismes ont envisagé d’utiliser l’espace comme une plate-forme pour les lancements de missiles ou d’autres activités. Dans ce diaporama, je vous présente  le top 10 des concepts d’armes spatiales à partir au fil des ans jusqu’en 2017 …et plus loin,dans le futur.

 

 

Missiles Missiles ont été effectivement utilisés pour environ 1000 ans, bien que l' Encyclopedia Britannica souligne qu'il n'y a pas d' histoire autorité des premières fusées . La Chine est généralement cité comme l'endroit où les fusées sont apparus, suivis par l' Europe. Roquettes Metal-cylindres ont été utilisés d' abord en Inde au 18ème siècle, qui a déclenché une version anglaise de Sir William Congreve. Rockets ont également été utilisés de façon limitée dans la guerre américano-mexicaine, la guerre de Sécession et la Première Guerre mondiale. D' importantes améliorations dans rocketry, cependant, ont commencé à apparaître dans le domaine militaire dans la Seconde Guerre mondiale. Les deux puissances de l' Axe et les Alliés utilisé des missiles, mais il a été l' allemand fusée V-2 qui a attiré le plus d' attention, en raison des plus de 1.000 missiles qui ont été tirés à la Grande - Bretagne. Lorsque l' Allemagne a perdu la guerre, plusieurs des scientifiques de roquettes de la nation ont été repris par l'Union soviétique et les États-Unis. Cela a contribué à améliorer la technologie des fusées dans les deux pays et a incité la course à l'espace entre les superpuissances. Les missiles sont, bien sûr, encore en usage aujourd'hui, d' autant plus que les missiles balistiques intercontinentaux (ICBM)
Les missiles
Les missiles ont été effectivement utilisés depuis  environ 1000 ans, bien que l’ Encyclopedia Britannica souligne qu’il n’y a pas d’ histoire faisant  autorité des premières fusées . La Chine est généralement cité comme l’endroit où les fusées sont apparues, suivis par l’ Europe.Les  roquettes de type  Métal cylindré ont été utilisées d’ abord en Inde au 18ème siècle, qui a déclenché une version anglaise de Sir William Congreve. Les rockets ont également été utilisés de façon limitée dans la guerre américano-mexicaine, la guerre de Sécession et la Première Guerre mondiale.
D’ importantes améliorations dans la  “roquetterie”, cependant, ont commencé à apparaître dans le domaine militaire durant la Seconde Guerre mondiale. Les deux puissances de l’ Axe et les Alliés ont utilisé des missiles, mais c’est la  fusée V-2 allemande qui a attiré le plus d’ attention, en raison de plus de 1.000 missiles qui ont été tirés sur la Grande – Bretagne. Lorsque l’ Allemagne a perdu la guerre, plusieurs des scientifiques des roquettes de la nation allemande ont été repris par l’Union soviétique et les États-Unis dans l’Opération Paperclip. Cela a contribué à améliorer la technologie des fusées dans les deux pays et a incité la course à l’espace entre les superpuissances. Les missiles sont, bien sûr, encore en usage aujourd’hui, surtout avec le développement  des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM)

 

 

Le Mahem DARPA Ennemis orientés vers le bas un dispositif qui blastes flux de métal en fusion ne seront probablement pas supporter beaucoup de chance. Cette idée, popularisée dans les romans de science-fiction tels que Arthur C. Clarke "Earthlight" (1955), peut devenir de vrais qu'un jour grâce au financement de l'Agence américaine Defense Advanced Research Projects (DARPA). La Munition explosive Magneto hydrodynamiques (Mahem) a été annoncé en 2008. Bien qu'aucun des mises à jour ont eu lieu pendant un certain temps, la page pour Mahem est toujours actif sur le site Web de la DARPA. Les promesses du programme «le potentiel d' une plus grande efficacité, un meilleur contrôle, et la capacité à générer et avec précision le temps de multiples jets et des fragments d'une seule charge» , avec ce que les fonctionnaires DARPA écrit est «précision de létalité." Mahem pourrait être déployé sur les fusées, les fonctionnaires ajoutés.
Le Mahem de  DARPA
C’est un dispositif qui désintègre  flux de métal en fusion ne seront probablement pas supporter beaucoup de chance. Cette idée, popularisée dans les romans de science-fiction tels que Arthur C. Clarke “Earthlight” (1955), peut devenir  vrai un jour grâce au financement de l’Agence américaine Defense Advanced Research Projects (DARPA).
La Munition explosive Magneto hydrodynamique (Mahem) a été annoncé en 2008. Bien qu’aucune des mises à jour ont eu lieu pendant un certain temps, la page pour Mahem est toujours active sur le site Web de la DARPA. Les promesses du programme «le potentiel d’ une plus grande efficacité, un meilleur contrôle, et la capacité à générer et avec précision le temps de multiples jets et des fragments d’une seule charge» , avec ce que les fonctionnaires DARPA ont écrit sur ce sujet: «précision de létalité.” Mahem pourrait être déployé sur des fusées.Je prépare un article sur DARPA.

 

 

projet THEL Le programme tactique High Energy Laser (THEL) a couru entre 1996 et 2005, selon Northrop Grumman . THEL a été créé comme un projet conjoint entre les Etats-Unis et Israël. Au cours de cette décennie de développement, le système basé sur le sol détruit tours 46 de mortier, de roquettes et de l' artillerie - qui ont tous été aéroporté. Bien que le programme est plus actif, Northrop Grumman affirme que la technologie est maintenant en cours de reconstruction pour l'Etat Testbed Laser solide expérience de l'armée américaine qui, comme THEL, aura lieu à White Sands Missile Range au Nouveau-Mexique.
Le projet THEL
Le programme tactique High Energy Laser (THEL) a couru entre 1996 et 2005, selon Northrop Grumman . THEL a été créé comme un projet conjoint entre les Etats-Unis et Israël. Au cours de cette décennie de développement, le système basé sur le sol détruit tours 46 de mortier, de roquettes et de l’ artillerie – qui ont tous été aéroporté.
Bien que le programme n’est plus actif, Northrop Grumman affirme que la technologie est maintenant en cours de reconstruction pour l’Etat Testbed Laser,une  solide expérience de l’armée américaine qui, comme THEL, aura lieu à White Sands Missile Range au Nouveau-Mexique.

 

 

 

Avec autant de satellites en orbite autour de la Terre, comment serait-il difficile d'équiper l'un avec une arme prête à tirer sur la Terre, ou d'autres satellites, en fonction des besoins dictés? Alors qu'un tel concept irait à l'encontre des accords tels que le Traité sur l'espace extra-atmosphérique, qui interdit les armes de destruction massive en orbite, quelques organisations militaires ont discuté au cours des dernières années par. Un célèbre projet américain des années 1950 était de projet Thor, qui n'a jamais dépassé le stade de la conception. Divers concepts pour les armes spatiales au fil des ans inclus " Rods de Dieu » , qui chuterait armes à énergie cinétique de l' orbite, ainsi que de petits satellites qui auraient à bord des systèmes leur permettant de viser d'autres satellites ou au sol en dessous de ciblage.
Avec autant de satellites en orbite autour de la Terre, il ne  serait pas difficile d’en équiper un avec une arme prête à tirer sur la Terre, ou vers  d’autres satellites, en fonction des besoins dictés! Alors qu’un tel concept irait à l’encontre des accords tels que le Traité sur l’espace extra-atmosphérique, qui interdit les armes de destruction massive en orbite, quelques organisations militaires en ont discuté au cours des dernières années .
Un célèbre projet américain des années 1950 était le projet Thor, qui n’a jamais dépassé le stade de la conception. Divers concepts pour les armes spatiales au fil des ans incluant  les  ” Rods de Dieu » , qui ferait chuter des  armes à énergie cinétique  hors de l’ orbite terrestre, ainsi que de petits satellites qui auraient à bord des systèmes leur permettant de viser d’autres satellites ou au sol .

 

Station spatiale Almaz de l'Union soviétique La station spatiale Almaz a été conçu dans les années 1960, visant à rendre plus facile pour l'Union soviétique à la recherche de cibles en mer, selon l'expert spatial russe Anatoly Zak, qui dirige le site russe Espace Web . On croyait que les humains ayant en orbite fournirait une plate - forme puissante pour la reconnaissance orbitale et de permettre le changement rapide des cibles que les batailles ont évolué. L'Union soviétique a porté sur la course à la lune dans les années 1960, ce qui retarde le premier déploiement de Almaz jusqu'en 1973. Il a été annoncé au monde comme Saliout-2, la deuxième station spatiale Saliout, afin de ne pas rendre les autres conscients des Soviétiques deux projets de la station spatiale, sans parler d'un militaire, Zak a écrit. Une défaillance dans Saliout-2 a empêché l' équipage de se rendre, mais les stations spatiales Almaz ultérieures Saliout-3 et Saliout-5 a eu des équipages à bord. (Saliout-4 n'a jamais été envoyé en orbite.) Les cosmonautes sont déclarés avoir une surveillance effectuée sur au moins une mission, et ont tiré un coup de canon en 1975 , mais des problèmes techniques avec les stations empêché la plupart des missions de courir pour leurs longueurs prévues.
La station spatiale Almaz de l’Union soviétique
La station spatiale Almaz a été conçu dans les années 1960, visant à rendre plus facile pour l’Union soviétique  la recherche de cibles en mer, selon l’expert spatial russe Anatoly Zak, qui dirige le site russe Espace Web . On croyait que les humains, ayant été placé  en orbite, fourniraient une plate – forme puissante pour la reconnaissance orbitale et que cela  permettrait le changement rapide des cibles durant les batailles ,mais tout cela a évolué.
L’Union soviétique a participé à la course à la lune dans les années 1960, ce qui  a retardé le premier déploiement de Almaz jusqu’en 1973. Cela  a été annoncé au monde comme Saliout-2, la deuxième station spatiale Saliout, afin de ne pas rendre les autres conscients que les Soviétiques  avaient deux projets de  stations spatiales:un militaire et l’autre scientifique,selon  Zak .
Une défaillance survenue dans Saliout-2 a empêché l’ équipage de se rendre dans l’espace, mais les stations spatiales Almaz ultérieures Saliout-3 et Saliout-5 ont  eu des équipages à bord. (Saliout-4 n’a jamais été envoyé en orbite.) Les cosmonautes sont déclarés avoir  eu à faire une surveillance militaire sur au moins une mission, et ont tiré un coup de canon en 1975 , mais des problèmes techniques avec les stations ont empêché la plupart des missions de pouvoir accomplir  leurs longueurs prévues.
Laboratoire américain Manned Orbiting Le Orbiting Laboratory Manned (MOL) était un projet US Air Force que, malgré jamais lancer un astronaute, a eu une vie mouvementée 1963-1969 (les années du programme d'activité). Certaines des étapes du projet a vu la sélection inclus 17 astronautes, la création d'un site de lancement à Vandenberg Air Force Base en Californie et modifiant le vaisseau spatial de la NASA Gemini pour accueillir le nouveau programme. L' un des principaux objectifs du programme était de reconnaissance, sous un nom de code du projet Dorian. Le système de caméra a été conçu pour obtenir des photographies de l'Union soviétique, entre autres points chauds, avec une résolution meilleure que tout satellite de son temps aurait pu atteindre. MOL aurait également pu porté missiles (non nucléaire, mais quelque chose pour provoquer une peur) et des filets pour attraper vaisseaux ennemis. Beaucoup de nouveaux détails ont été dévoilés à la fin de 2015 avec la sortie de plus de 20.000 pages de documents MOL. Le programme a été annulé après que les coûts estimés gonflé. (MOL devait coûter plus de 3 milliards $ en dollars de la journée, avec 1,3 milliard $ déjà dépensés, au moment de l'annulation.) Certains des soi-astronautes MOL, tels que Bob Crippen et Richard Truly, transféré à la NASA pour les premiers vols de la navette spatiale.
Le laboratoire américain Manned Orbiting
L’ Orbiting Laboratory Manned (MOL) était un projet US Air Force que, malgré jamais lancer un astronaute, a eu une vie mouvementée 1963-1969 (les années du programme d’activité). Certaines des étapes du projet ont vu la sélection inclure  17 astronautes, la création d’un site de lancement à Vandenberg Air Force Base en Californie et des modifications sur  le vaisseau spatial Gemini de la NASA , pour accueillir le nouveau programme.
L’ un des principaux objectifs du programme était la  reconnaissance, sous un nom de code du projet Dorian. Le système de caméra a été conçu pour obtenir des photographies de l’Union soviétique, entre autres points chauds, avec une résolution meilleure que tout satellite de son temps aurait pu atteindre. MOL aurait également pu transporter des missiles (non nucléaire, mais quelque chose pour provoquer une peur,une hystérie collective) et des filets pour attraper des vaisseaux ennemis. Beaucoup de nouveaux détails ont été dévoilés à la fin de 2015 avec la sortie de plus de 20.000 pages de documents sur MOL.
Le programme a été annulé après que les coûts estimés eurent gonflé. (MOL devait coûter plus de 3 milliards $ en dollars  du voyage , avec 1,3 milliard $ déjà dépensés, au moment de l’annulation.) Certains des pseudo-astronautes  de MOL, tels que Bob Crippen et Richard Truly,furent  transféré à la NASA pour les premiers vols de la navette spatiale.

 

 

 

 

Intercontinental Ballistic Missiles ICBM (missiles balistiques intercontinentaux) sont des missiles terrestres qui peuvent voler plus de 3.500 miles (5.600 kilomètres), selon l'Encyclopedia Britannica . L'Union soviétique a envoyé en l' air le premier ICBM en 1958, et aux États - Unis d'abord tiré un en 1959, suivi de quelques autres nations. Israël, l' Inde et la Chine ont récemment développer ICBM, et la Corée du Nord peut le faire aussi bien. ICBM peut être navigué par ordinateur ou par satellite et mis en évidence à la terre sur une ville particulière ou, si suffisamment sophistiqué, une cible dans une ville. Alors qu'ils sont le plus célèbre pour être en mesure de transporter des armes nucléaires, ils pourraient également livrer des armes chimiques ou biologiques - bien que dans la mesure où les gens savent, ce potentiel n'a jamais été réalisé. L'Union soviétique et les États-Unis ont accepté de réduire leurs stocks d'ICBM en 1991 dans le cadre du traité Start I, mais la Russie et les Etats - Unis ont encore et ICBM de test aujourd'hui.
Intercontinental Ballistic Missiles
Les ICBM (missiles balistiques intercontinentaux) sont des missiles terrestres qui peuvent voler à  plus de 3.500 miles (5.600 kilomètres), selon l’Encyclopedia Britannica . L’Union soviétique a envoyé en l’ air le premier ICBM en 1958, et les États – Unis en ont  d’abord tiré un en 1959, suivi de quelques autres nations. Israël, l’ Inde et la Chine ont récemment développé les ICBM,.On a vu que  la Corée du Nord peut le faire aussi bien.
L’ICBM peut être contrôlé par ordinateur ou par satellite et mettre en évidence une cible sur terre :soit une ville particulière ou, si suffisamment sophistiqué, une cible dans une ville. Alors qu’ils sont  plus célèbres pour être en mesure de transporter des armes nucléaires, ils pourraient également livrer des armes chimiques ou biologiques – bien que dans la mesure où les gens le savent, ce potentiel n’a jamais été réalisé. L’Union soviétique et les États-Unis ont accepté de réduire leurs stocks d’ICBM en 1991 dans le cadre du traité Start I, mais la Russie et les Etats – Unis ont encore de nombreux missiles de ce type  et les  ICBM sont encore testé aujourd’hui.

 

Après quatre missions dans l'espace, il est pas encore tout à fait clair ce que l'avion spatial X-37B est en train de faire là-haut en orbite - mais certaines personnes ont spéculé que le véhicule pourrait être une sorte d'arme Air Force. L'avion réutilisable ressemble à une version plus petite de la navette spatiale de la NASA, mais il est exploité robotically et peut rester en orbite pendant plus d'un an à la fois. Pour sa quatrième mission ( en cours), en 2015 , l'armée américaine a confirmé un couple des charges utiles - une enquête sur les matériaux avancés de la NASA et un système de propulsion expérimentale Air Force, par exemple - mais la plupart des détails sur les missions X-37B restent classés. Une vidéo Tech Report Air Force en 2015 avait beaucoup d' idées sur ce que le plan pourrait faire là - bas, tels que les bombardements de l' espace, interférer avec les satellites ennemis, effectuer la reconnaissance ou peut - être faire tout ce qui précède dans le même temps. Mais les responsables de la Force aérienne ont toujours nié que le X-37B est une arme, en soulignant que le vaisseau spatial expérimente les technologies pour les futurs engins spatiaux et la réalisation d' expériences en provenance et à l' espace.
Après quatre missions dans l’espace, il n’est pas encore tout à fait clair ce que l’avion spatial X-37B est en train de faire là-haut en orbite – mais certaines personnes ont spéculé que le véhicule pourrait être une sorte d’arme Air Force.
L’avion réutilisable ressemble à une version plus petite de la navette spatiale de la NASA, mais il est exploité robotiquement et peut rester en orbite pendant plus d’un an à la fois.C’est une sorte de drone spatial. Pour sa quatrième mission ( en cours), en 2015 , l’armée américaine a confirmé un couple des charges utiles – une enquête sur les matériaux avancés de la NASA et un système de propulsion expérimentale  par l’Air Force, par exemple – mais la plupart des détails sur les missions de l’ X-37B restent classés.
Une vidéo  de Tech Report Air Force en 2015 avait donné beaucoup d’ idées sur ce que l’appareil pourrait faire là – bas, tels que des bombardements de l’ espace, interférer avec les satellites ennemis, effectuer la reconnaissance ou peut – être faire tout ce qui précède dans le même temps. Mais les responsables de la Force aérienne ont toujours nié que le X-37B soit une arme, en soulignant que le vaisseau spatial expérimente les technologies pour les futurs engins spatiaux et la réalisation d’ expériences en provenance de l’ espace.

 

Systèmes anti-satellite En 1985, un jet F-15A a tiré un missile anti-satellite à Solwind P78-1, un satellite qui a découvert plusieurs comètes de soleil surpâturage mais a été prévue pour la mise hors service en raison de ses instruments commencent à échouer. Solwind P78-1 a été détruit avec le véhicule miniature Air-Lancé (AIMV) tiré de l'avion, mais le test a généré plus de 250 morceaux de débris spatiaux assez grand pour apparaître dans les systèmes de suivi. Congrès a interdit d'autres tests d'ici la fin de l'année, et la Force aérienne a arrêté le programme en 1987. Le test réussi faisait partie d'une plus grande US poussée au moment de trouver un moyen de détruire les satellites sans violer les règles des traités qui ont interdit les armes nucléaires sur les engins spatiaux. Des exemples énumérés par l' Union of Concerned Scientists inclus le système de défense stratégique (parfois appelé "Star Wars") et l'Armée de l' Air / Navy Mid-Infrared Chemical Advanced Laser qui a été conçu pour être tiré à partir du sol. Un test en 1997 semblait submerger ou endommager le capteur de satellite qui a été ciblé. Efforts ultérieurs inclus l'ASAT énergie cinétique (qui a été annulé) et le système de communication compteur, qui a utilisé les capacités de radio-brouillage. Les systèmes anti-satellites ont également été étudiés par l'Union soviétique, la Chine et l' Inde, entre autres. Par exemple, un célèbre 2007 test anti-satellite par la Chine a généré un énorme nuage de débris spatiaux. En 2013, un tesson du satellite détruit frappé un satellite russe et détruit cela aussi .
Systèmes anti-satellite
En 1985, un jet F-15A a tiré un missile anti-satellite sur la sonde  Solwind P78-1, un satellite qui a découvert plusieurs comètes se dirigeant vers le  soleil  mais  était prévu pour sa mise hors service en raison de ses instruments qui  commencaient à échouer. Solwind P78-1 a été détruit avec le véhicule miniature Air-Launch (AIMV) tiré de l’avion, mais le test a généré plus de 250 morceaux de débris spatiaux assez grands pour apparaître dans les systèmes de suivi.Le Congrès a interdit d’autres tests d’ici la fin de l’année, et la Force aérienne a arrêté le programme en 1987.
Le test réussi faisait partie d’une plus grande  recherche militaire afin  de trouver un moyen de détruire les satellites sans violer les règles des traités qui ont interdit les armes nucléaires sur les engins spatiaux. Des exemples énumérés par l’ Union of Concerned Scientists inclus le système de défense stratégique (parfois appelé “Star Wars”) et l’Armée de l’ Air / Navy Mid-Infrared Chemical Advanced Laser qui a été conçu pour être tiré à partir du sol. Un test en 1997 semblait submerger ou endommager le capteur de satellite qui a été ciblé. Des efforts ultérieurs inclus l’ASAT énergie cinétique (qui a été annulé) et le système de communication compteur, qui a utilisé les capacités de radio-brouillage.
Les systèmes anti-satellites ont également été étudiés par l’Union soviétique, la Chine et l’ Inde, entre autres. Par exemple, un célèbre test anti-satellite par la Chine,en 2007, a généré un énorme nuage de débris spatiaux. En 2013, un tesson du satellite détruit a frappé un satellite russe et  l’a  aussi rendu inopérable .
Manipuler un Asteroid Les scientifiques savent que les astéroïdes sont les tueurs ultimes. Après tout, un 6-mile de large (10 km) space rock est soupçonné d'avoir fait disparaître les dinosaures il y a environ 66.000.000 années. Les spectateurs ont vu les impacts humains potentiels dans des films tels que "Meteor" (1979) , "Deep Impact" (1998) et "Armageddon" (1998). Et même relativement petits astéroïdes peuvent avoir un impact important, grâce aux vitesses énormes au cours de laquelle des objets spatiaux se déplacent. Par exemple, les scientifiques pensent que l'objet qui a explosé au-dessus de la ville russe de Chelyabinsk en Février 2013, générant une onde de choc qui a brisé des milliers de fenêtres et blessé 1.200 personnes (en raison des éclats de verre volants), était à seulement 66 pieds (20 mètres ) large. Mais la manipulation d' un astéroïde est dans le domaine de la science - fiction, pour l' instant. La NASA a une mission d' astéroïdes proposée sur les livres; d' abord, l'agence a proposé de déplacer un petit astéroïde proche de la Terre pour la recherche scientifique, mais élu pour arracher un rocher au large un astéroïde à la place . Cette Redirect Mission Asteroid est actuellement prévue pour le lancement au début des années 2020. Même si certains experts disent que les astéroïdes sont " armes moche ," parce qu'ils sont utilisables uniquement une fois tous les quelques centaines d' années, la science - fiction vous a couvert là aussi. Aliens effacent Buenos Aires avec un astéroïde dans le film 1997 "Starship Troopers" , par exemple. Roches spatiales ont même effacé des Martiens dans des livres tels que "Protector" (1973), par Larry Niven.
Manipuler un Asteroide
Les scientifiques savent que les astéroïdes sont les tueurs ultimes. Après tout, un pareil rocher spatial de 6 miles de large (10 km) space rock est soupçonné d’avoir fait disparaître les dinosaures il y a environ 66 millions d’ années. Les spectateurs ont vu les impacts humains potentiels dans des films tels que “Meteor” (1979) , “Deep Impact” (1998) et “Armageddon” (1998). Et même relativement parlant de petits astéroïdes peuvent avoir un impact important, grâce aux vitesses énormes au cours de laquelle des objets spatiaux se déplacent. Par exemple, les scientifiques pensent que l’objet qui a explosé au-dessus de la ville russe de Chelyabinsk en Février 2013, générant une onde de choc qui a brisé des milliers de fenêtres et blessé 1.200 personnes (en raison des éclats de verre volants), était à seulement 66 pieds (20 mètres ) de large.
Mais la manipulation d’ un astéroïde est dans le domaine de la science – fiction, pour l’ instant. La NASA a une mission d’action sur les  astéroïdes dans ses cartons de projets; d’ abord, l’agence a proposé de déplacer un petit astéroïde proche de la Terre pour la recherche scientifique, mais élu pour arracher un rocher au large un astéroïde à la place . Cette Redirect Mission Asteroid est actuellement prévue pour le lancement au début des années 2020.
Même si certains experts disent que les astéroïdes sont des  ” armes moche ,” parce qu’ils sont utilisables uniquement une fois tous les quelques centaines d’ années, la science – fiction vous a couvert là aussi. Par exemple:les Aliens effacent Buenos Aires avec un astéroïde dans le film  de 1997 “Starship Troopers” . Des roches spatiales ont même effacé des Martiens dans des livres tels que “Protector” (1973), par Larry Niven.

 

 

 

 

 

Les armes de la Troisième Guerre Mondiale:la Chine communiste a développé une superbombe à impulsion électromagnétique pour vaincre les américains

Les effets de la bombe seraient inimaginables.
Les effets de la bombe seraient inimaginables.

 

 

 Les membres de l’armée chinoise cherchent à utiliser une impulsion électromagnétique dans le cadre d’un “one-two punch» pour assommer – littéralement en quelques secondes – tous les appareils électroniques de défense , non seulement sur Taiwan , mais aussi sur les navires de guerre américains qui pourraient défendre l’île.

Cette révélation vient dans un article de Lou Xiaoqing qui dit l’ Armée de libération du peuple voit une arme EMP comme le principal moyen de vaincre les défenses de  Taiwan et de faire la désactivation des moyens de défense américains à proximité.

Étant donné qu’une telle stratégie a été rendue publique dans un article intitulé «bombes à impulsions électromagnétiques chinoises,” et…il est considéré comme reflétant la position du gouvernement chinois officiel.

Xaoqing a dit que si les Chinois utiliseraient un dispositif nucléaire à haute altitude qui créerait l’impact EMP destructeur sur l’électronique de Taiwan, il devrait exploser à une attitude de 18 miles pour éviter civile dommageable et de matériel militaire sur le continent chinois, qui pourrait se produire si la bombe a explosé à une altitude plus élevée.

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” La Chine est attiré par la lutte contre l’armée américaine au-delà de  la portée effective des armes classiques, en les utilisant comme un moyen d’attaque surprise ou un facteur d’intimidation», a déclaré Xaoqing. “Les Etats-Unis devront  abandonner l’utilisation de groupes de combat de porte-avions pour défendre Taiwan.”

Xaoqing a déclaré que l’armée chinoise a calculé que l’armée américaine est trop fragmentée et, couplée avec le ralentissement de l’économie, serait moins susceptible de venir à l’assistance de Taiwan, forçant Taiwan à se défendre.

Contrairement à la croyance populaire, le Taiwan Relations Act 1979 ne nécessite pas que  les États-Unis doivent intervenir militairement si la partie continentale de Chine attaque Taiwan. Au lieu de cela, il a adopté ce qu’on appelle une politique d ‘«ambiguïté stratégique» dans laquelle les Etats – Unis ne vont pas  confirmer ni nier que la Nation  interviendrait au nom de Taiwan.

La législation, cependant, ne nécessite les États – Unis de «fournir Taiwan avec les bras d’un caractère défensif” et “pour maintenir la capacité des États-Unis pour résister à tout recours à la force ou d’ autres formes de coercition qui mettrait en péril la sécurité ,la vie sociale ou/et  du système économique, du peuple de Taiwan “.

 

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Comme WND a indiqué précédemment, la Chine accorde une priorité au développement des armes EMP qui pourraient être utilisées contre les porte-avions américains, qui en plus arrivent dans les mers de Chine du Sud et de l’ Est dans le cadre de la nouvelle politique américaine “Pivot vers l’ Asie”.

Cette politique consiste à contester les allégations de la Chine sur l’ ensemble de l’Est et du Sud de la Chine maritime et toucher  la confiance en soi de plus en plus montré par Pékin, qui cherche à prendre le contrôle exclusif sur les minéraux vitaux et de l’ énergie dans la région.

Il y a déjà eu des cas de confrontations militaires entre la Chine et ses voisins,dans le passé, tels que le Vietnam, les Philippines et le Japon.

Avec l’histoire de l’ animosité, la Chine et le Japon ont maintenant des revendications contradictoires de propriété sur deux îles de la mer de Chine méridionale.

La Chine appelle les îles Diaoyu alors que le Japon se réfère à eux comme Senkaku. Les Japonais ont une preuve de leur demande – en les ayant achetés des citoyens privés il y a des années – et les États – Unis soutiennent l’allégation du Japon.

Une étude de 2005 des États – Unis (Centre national renseignement terrestre )qui a été classé secret , mais libéré il y a deux ans a dit le développement de la Chine des armes de grande puissance basées sur les micro – ondes, fait partie de l’arsenal  de destruction massive des pays pauvres.Ce sont des armes qui permettent à un pays technologiquement inférieur tels que la Chine et même la Corée du Nord ,de  vaincre les forces militaires d’un pays plus avancé comme les États-Unis.

 

Les micro – ondes et les rayons gamma émis par une explosion nucléaire sont des formes d’énergie électromagnétiques. Les bombes sont conçues pour exploser à une altitude élevée pour assommer tous les appareils électroniques non protégés, y compris les réseaux électriques, les ordinateurs et les automobiles sur une vaste zone géographique.

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Même le rapport NGIC déclassifié a souligné que l’utilisation d’un EMP contre Taiwan à une altitude de 30 à 40 km  “limiterait  les effets du PEM à Taiwan et son voisinage immédiat et minimiserait  les dommages à l’ électronique sur le continent.”

Le rapport particulier dit que les missiles balistiques  DF-21 de moyenne portée de la Chine communiste pourrait être la plate – forme à utiliser pour lancer une attaque EMP sur Taiwan.

En décrivant la stratégie  “one-two  punch” de la Chine, Xaoqing dit que dans le premier coup de poing l’armée chinoise  désactiverait  l’ électronique non-durcis et les centres de commandement et de contrôle.

Il a dit qu’un missile  EMP serait particulièrement intéressant , car  il  agit avec la vitesse de la lumière dans tous les temps,  frapperait  plusieurs cibles sur une vaste zone et  minimiserait les dommages dans des environnements politiquement sensibles.

Compte tenu de l’altitude relativement faible de 18 miles à laquelle un EMP chinois  exploserait  sur Taiwan, Xaoqing dit le second poinçon créerait certains effets sur la santé de l’ exposition à un EMP.

Il a dit que basé sur la recherche chinoise en 2005 qui a évalué les effets d’une EMP sur les cellules cardiaques, il rendrait le cœur des gens incapables de fonctionner aussi bien qu’ils le devraient, avec la mort possible ou des dommages graves au cœur et, par extension, la mort à ceux qui sont exposés à un EMP.

En cas d’ exposition à des explosions à des altitudes plus élevées, les effets d’une EMP seraient moins dommageables pour la santé des populations, a-t – il dit.

Bien qu’il n’y aurait pas un taux de destruction de 100 pour cent, Xaoqing dit, il a dit qu’il pourrait conduire à l’ invalidité à long terme pour les personnes les plus sensibles à un EMP, comme les personnes âgées, les jeunes et les bébés à naître.

 

 

 

 

 

 

 

Alerte Sérieuse Troisième Guerre Mondiale:L’Institut Weizman d’Israël fabrique des armes batériologiques et chimiques pour l’État Islamique

Faisant face à d’énormes difficultés depuis le commencement des frappes aériennes russes en Syrie le 30 septembre 2015, des groupes d’assaut relevant de Daech et des autres groupes de la rébellion en Syrie et en Irak utilisent désormais des gaz de combat mais également des bactéries pathogènes dont celle du Vibrio Cholerae.

drapeaux israel-nazi

L’usage d’armes chimiques dans la région n’est pas nouveau. Le 16 mars 1988, en pleine guerre Irak-Iran,  l’aviation irakienne avait utilisé des gaz de combat livrés avec l’aide de Washington contre des rebelles kurdes à Halabja. Si à l’époque, ce bombardement chimique avait provoqué un véritable tollé international, grandement exploité par les médias, il n’en est tout autrement aujourd’hui: Daech ( État Islamique en arabe) et la rébellion dite « modérée » utilisent ouvertement du gaz sarin, de l’Ypérite (gaz moutarde) et des germes sans la moindre condamnation de ce que l’on appelle la communauté internationale.

En Irak, Daech procède systématiquement à la contamination de points d’eau et de barrages hydrauliques avec des agents pathogènes génétiquement modifiés ou particulièrement résistants aux traitements conventionnels.

Une épidémie de Choléra fait actuellement rage au Nord de l’Irak mais également en Syrie et la Sud de la Turquie. La situation est loin d’être maîtrisée et des observateurs avisés n’écartent plus la survenue d’une épidémie régionale.Étrangement,il y a 100 ans maintenant ,la grippe espagnole avait commencée dans des circonstances similaires.

Des officiels irakiens tentent d’alerter le monde sur la gravité de la situation mais leurs appels sont pour l’instant confinés. Aucun média international et encore moins ceux des puissances atlantistes et arabes soutenant les forces radicales au Moyen-Orient n’évoque ce nouvel aspect-fort inquiétant, de la guerre en cours.

La Russie a promis de livrer plus de 1000 tenues de protection NBC (Nuclear, Biological, Chemical) à l’armée irakienne dans le cadre d’Accords bilatéraux mais les besoins des militaires irakiens en la matière risquent d’augmenter très rapidement si Daech continue à se procurer des armes bactériologiques et chimiques auprès de tierces parties dont l’objectif et de faire perdurer le chaos dans la région.

Institut  Weizmann en Israel

Des centaines d’unités de protection NBC sont actuellement livrés par la Russie à quelques régiments de l’armée syrienne dont ceux de la Garde Républicaine.

A Homs, une province du centre de la Syrie où l’armée syrienne, soutenue par l’aviation russe, tente de contrôler afin de désenclaver le littoral méditérranéen et reprendre les voix de communications entre le Sud et le Nord de la Syrie, des groupes d’assaut appartenant à Daech mais également au Front Ennosra et d’autres groupes « modérés » utilisent de plus en plus de gaz de combat pour stopper l’avancée des troupes syriennes et les milices de la défense populaire.

Au moins trois unités de l’infanterie mécanisée syrienne ont rapporté avoir été confrontées à des gaz de combat durant la seule semaine écoulée. Signe qui ne trompe pas, quelques unités du Hezbollah engagées dans des combats sur l’axe Homs-Alep commencent à s’équiper de tenues de protection NBC.

Officiellement, Damas ne dispose plus d’un arsenal chimique. Ce dernier, démantelé en 2014 suite à des menaces de guerre totale de la part des Etats-Unis, a longtemps été considéré comme la principale arme de dissuasion stratégique asymétrique face au très imposant arsenal thermonucléaire et bactériologique d’Israël avec lequel la Syrie est techiquement en guerre depuis des décennies.

 

En Iran, les officiels iraniens demeurent grandement préoccupés par la survenue subite d’une épidémie,notamment dans les provinces occidentales et l’industrie pharmaceutique iranienne, grandement perturbée par les sanctions internationales imposées par Washington à cause du programme nucléaire iranien, concentre depuis quelque temps une grande partie de ses efforts sur les traitements anti-infectieux.

Ce qui demeure étrange est le silence des médias à ce sujet. C’est à peine si on évoque l’épidémie du Choléra sévissant en Irak septentrional menaçant de déborder sur tous les pays de la région. Par contre pas un traître mot sur l’usage par les rebelles syriens et irakiens, « modérés » inclus,  d’armes chimiques dans des combats contre les armées régulières.

Il semble évident que  Daech et ses sponsors n’hésiteraient aucunement à utiliser des armes de destruction massive contre des zones densément peuplées pour jeter l’effroi et stopper les contre-offensives du camp adverse en cours. Des opérations spéciales menées par l’armée russe auraient entre autres visé un centre d’entraînement de la rébellion « modérée » où on tentait de produire des bombes « sales » (radio-actives) à partir de composants de contrebande en provenance de pays du voisinage.

La guerre au Moyen-Orient risque encore de perdurer. Si la stratégie russe s’avère rationnelle et intrinsèquement cohérente, l’entêtement irrationnel des pays soutenant la rébellion et par dessus tout le jusqu’au boutisme de pays comme l’Arabie Saoudite, Israël, le Qatar et la Turquie laissent entrevoir un intérêt marqué moins par l’extension du domaine du conflit mais son aggravation. Jusqu’à quel niveau? Tout l’art des états-majors à Moscou ou à Washington sera de savoir le  maintenir en deçà d’un certain seuil limite. Un exercice que certains analystes assimilent à une sorte de convergence sur un statu quo. Mais que l’on s’y trompe pas un instant: la moindre faille sera exploitée par les deux protagonistes pour achever une victoire, même à la Pyrrhus…

EN CONCLUSION

Le déclenchement  d’une grande pandémie entrerait parfaitement dans les vœux du Plan Illuminati de Dépopulation.Le problème est défini totalement par le rôle de téléspectateur  qu’occupe le citoyen occidental moyen:après 8 heures de travail abrutissantes,le citoyen moyen s’assoie devant sa télévision et écoute les  nouvelles choisies pour lui,par les médias  contrôlés par le système politique.Il est donc  en situation de lavage de cerveau.Pour reprendre en main son sens critique,ce même “citoyen moyen ”   doit  fermer sa télévision et apprendre à réfléchir.

 

 

 

Le plan Illuminati en Afrique est en marche : utilisation du virus d’Ebola depuis des rituels de cannibalisme jusqu’à une arme de destruction massive

Est-ce de l'hystérie collective ou cette histoire serait vraie?
Est-ce de l’hystérie collective ou cette histoire serait vraie?

La police gardait un centre de traitement Ebola en Sierra Leone, le samedi,26 juillet 2014, le jour après que des milliers de gens ont défilé sur la clinique suite à des allégations par une ancienne infirmière que le  virus mortel a été inventé pour cacher des «rituels cannibales”  sur place, a affirmé un chef de la police régionale .

À travers la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone, au moins 660 personnes sont mortes de la maladie, selon l’Organisation mondiale de la santé, ce qui va exercer une forte pression sur les systèmes de santé de certains des pays les plus pauvres d’Afrique.

Le virus continue de se propager. Un Libérien qui est mort dans la capitale commerciale du Nigeria, Lagos, a été testé positif pour le virus, le vendredi, a affirmé le ministre de la Santé du Nigéria .

La Sierra Leone a maintenant le plus grand nombre de cas, à 454, dépassant la Guinée voisine où l’épidémie est originaire depuis  Février 2014.

Des foules en colère se sont rassemblées vendredi en dehors de l’hôpital principal Ebola du pays à Kenema dans l’est  du pays ouest-africain où des dizaines de personnes  reçoivent un traitement pour le virus, et ont menacé de le brûler et éliminer les patients.

Selon des habitants, la police a tiré des gaz lacrymogènes pour disperser la foule et que un garçon de 9 ans a été blessé à la jambe par une balle de la police.

Inspecteur général adjoint Alfred Karrow-Kamara a déclaré samedi la protestation a été déclenché par une ancienne infirmière qui avait dit à une foule à un marché de poissons à proximité qui “Ebola était irréel et un gadget destiné à la réalisation de rituels cannibales”. Lire la suite ou écouter de la vidéo ci-après:(en anglais)

Cover-up for cannibalism rituals in Africa

POUR COMPRENDRE DAVANTAGE

Les gens avaient commencé < se rassembler depuis leurs quartiers d'habitations.
Les gens avaient commencé à se rassembler depuis leurs quartiers d’habitations.

Vendredi, des milliers de gens ont défilé sur le centre de traitement d’Ebola en Sierra Leone où une infirmière avait prétendu que le virus Ebola a été inventé comme une solution pour dissimuler des «rituels cannibales” à la paroisse. En dehors de l’hôpital principal Ebola à Kenema, en Sierra Leone, des foules en colère ont pris le centre de traitement par la tempête. A l’intérieur de cet hôpital à l’est à distance, des dizaines de patients sont actuellement traités pour le virus. Les manifestants ont menacé de retirer les patients de l’hôpital et les déposer sur le terrain.

Dans les trois pays affectés par ce virus (Guinée, Libéria et Sierra Leone), plus de 660 vies ont été perdues à cause de la maladie. L’Organisation mondiale de la santé craint que ce fardeau met à rude épreuve les systèmes de santé o certains des pays les plus pauvres en Afrique. Sierra Leone a maintenant dépassé la Guinée et est actuellement le pays avec le plus grand nombre de cas diagnostiqués (454) du virus Ebola.

Durant les manifestations, la police a tenté disperser les foules à l’aide de gaz lacrymogènes. Les foules ont également affirmé qu’un garçon de neuf ans a reçu une balle dans la jambe par un membre  de la police.

En ce qui concerne cette situation unique, Alfred Karrow-Kamara, inspecteur général adjoint a expliqué que les manifestations ont été déclenchées par une ancienne infirmière qui avait travaillé dans le centre de traitement qui a parlé du virus dans un marché aux poissons locaux. Elle a prétendu que le virus Ebola a été rien de plus qu’une excuse irréel, un gadget conçu pour couvrir les rituels cannibales. L’inspecteur général adjoint a assuré le public que le calme régnait maintenant à Kenema et une force de police armée avait été placé autour de la station de la clinique et de la police afin d’assurer que les activités pourraient être menées normalement.

Le virus Ebola est très contagieux et peut tuer jusqu’à 90 pour cent des personnes infectées, bien que l’épidémie actuelle a un taux de destruction d’environ 60 pour cent. Les symptômes varient de vomissements et de la diarrhée à différentes qualités d’hémorragie interne et externe.

Ernest Bai Koroma, Président de la Sierra Leone a déclaré samedi qu’il veillera à ce que le gouvernement intensifie ses activités et les interventions destinées à contenir la maladie et empêcher sa propagation. Il a également dit que son objectif est de mettre fin à la maladie dans 60 à 90 jours.

Un médecin spécialite américain est même décédé sur place...frappé par la puissance du virus.
Un médecin spécialite américain est même décédé sur place…frappé par la puissance du virus.

Selon l’OMS, les efforts pour contenir les épidémies d’Ebola sont entravés par des infrastructures  de mauvaises qualité  pour administrer  les soins de  santé ainsi que le manque de personnel. En outre, la peur et la méfiance à l’égard des professionnels de la santé peuvent encore entraver les efforts que les épidémiologistes et d’autres experts mettent en traiter et prévenir la maladie, en tant que citoyens de la Sierra Leone ont tendance à avoir plus de foi dans la médecine traditionnelle que dans la médecine allopathique.

L’AUTRE CÔTÉ DE LA MÉDAILLE: LE PLAN ILLUMINATI ET LA FABRICATION D’UNE ARME DE DESTRUCTION MASSIVE

Deux grands amis qui se ressemblent:Georges Sorros et Barack Hussein Obama.
Deux grands amis qui se ressemblent:Georges Sorros et Barack Hussein Obama.

À l’origine de l’affaire:il y a Georges Soros,le propriétaire de Avaaz.

Georges soros is funding the Bio weapons lab at Ebola center

* La fondation de George Soros finance le  laboratoire de Kenema qui fabrique et fait de la recherche sur des armes biologiques .Le labortoire serait à l’origine de la mise au point de l’épidémie d’Ebola récente, et il est sur ​​le point d’être fermé, apparemment au milieu d’une enquête.

* Le coordinateur des médias de  l’OMS , Glenn Thomas, a été très probablement impliqué dans Fielding Medias et d’autres renseignements sur la façon dont l’OMS gère la situation …afin de protéger les politiciens du Sierra Leone et Georges Sorros. Il y aurait une enquête sur  ce qu’il comptait faire sur le laboratoire controversé  de Kenema.

Glenn Thomas était au courant des preuves tangibles montrant que le laboratoire faisait semblant de  donner des  diagnostics positifs pour Ebola.Il y aurait des liens d’affaires avec  Université de Tulane (la seule université américaine qui aurait passé du secteur public au secteur privé) en Louisiane qui financerait aussi le laboratoire de Kenema  (via la fondation de Georges Sorros),elle fournirait du personnel , de l’appui technique  et  elle  aurait servie d’intermédiaire entre  …l’US Army?…la CIA?…CFR? Trilatérale?…la secte des Illuminati?…X?….Toutes ces réponses et suggestions…Possible! 

Pour justifier le tout,on forçait les gens à subir un traitement qui leur donnerait le virus  Ebola? A-t-il refusé d’aller plus loin ,Glenn Thomas, sous ou  avec la couverture?

* Les grands médias sont silencieux sur le laboratoire  de fabrication d’armes biologiques de Kenema fermeture ainsi que sur l’ordre de l’Université de Tulane à arrêter les essais Ebola. Donc, ce que les autres canaux sont laissés là pour que cette information dans le domaine public ou se propager à travers les réseaux de médias sociaux si l’OMS ne publie pas l’information ou de prendre des mesures?

*L’Université de Tulane abrite un département de médecine en pays tropicaux.Elle aurait eu comme étudiant,David Filo  qui est le co-fondateur de la firme Yahoo et un grand ami de Georges Sorros.

David Filo (à droite) et Jerry Yang,les deux fondateurs de Yahoo.Inutile de vous dire qu'ils sont milliardaires.
David Filo (à droite) et Jerry Yang,les deux fondateurs de Yahoo.Inutile de vous dire qu’ils sont milliardaires.

* George Soros a des liens avec le président Ernest Koroma de la Sierra Leone depuis de nombreuses années.Ils sont tous les deux francs-maçons affiliés  à des loges alliées aux Illuminati.Ils sont une partie du problème du virus Ebola et ne font pas  partie de la solution.

 

Arthur Porter ,le grand ami de l'espion canado-saoudien qui a fraudé les élections du 7 avril 2014 au Québec...Philippe Couillard. Eh bien Arthur porter a été le conseiller principal du président corrompu et dangeereux du Sierra leone ,Ernest Koroma.Il était aussi l'ambassadeur plénipotentiaire du Sierra Leone au Canada ...et membre de la même loge maçconnique que celui-ci.
Arthur Porter ,le grand ami de l’espion canado-saoudien qui a fraudé les élections du 7 avril 2014 au Québec…Philippe Couillard.
Eh bien Arthur Porter a été le conseiller principal du président corrompu et dangereux du Sierra leone ,Ernest Koroma.Il était aussi l’ambassadeur plénipotentiaire du Sierra Leone au Canada …et membre de la même loge maçonnique que celui-ci.
 Franc Maçon : "Au Gabon ou au Congo on ne peut pas espérer avoir un poste si l'on n'est pas initié" Antoine Glaser ...on peut ajouter :la même chose surtout au Sierra Leone.

 “Au Gabon ou au Congo on ne peut pas espérer avoir un poste si l’on n’est pas initié” Antoine Glaser
…on peut ajouter :la même chose surtout au Sierra Leone.
Ernest Bai Koroma contrôle tout le gouvernement du Sierra Leone grâce à son appartenance aux francs maçons et aux Illuminati...depuis 2007.
Ernest Bai Koroma contrôle tout le gouvernement du Sierra Leone grâce à son appartenance aux francs maçons et aux Illuminati…depuis 2007.
Nelson Mandela est un franc maçon bien connu...et illuminati.
Nelson Mandela était un franc maçon bien connu…et illuminati.
Deux grands amis illuminati et francs maçons de leur vivant:Nelson Mandela et Kadhafi.
Deux grands amis illuminati et francs maçons de leur vivant:Nelson Mandela et Kadhafi.

EN CONCLUSION

Le plan Illuminati qui consiste à éliminer  plus de 40% de la population mondiale,a plus de chance de réussite dans  l’élaboration d’une pandémie  dont le centre serait l’Afrique Noire.L’endroit est idéal,car c’est de là que sont parti les grandes épidémies des siècles passés.

Chez un malade du virus d'Ebola,les organes internes montrent des signes évident d'une rapide évolution de la maladie.Il s'agit d'une fièvre hémorragique.
Chez un malade du virus d’Ebola,les organes internes montrent des signes évident d’une rapide évolution de la maladie.Il s’agit d’une fièvre hémorragique.

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Hors texte   La pandémie est commencée

Voici ce que je viens de recevoir:

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Traduction Google

Ministère de la Santé et de l’assainissement de la Sierra Leone

Il y a 2 heures.

Ebola Mise à jour 27 juin, 2014

• Pour le 26 Juin 2014, un total de neuf échantillons ont été reçus par le Laboratoire de Kenema: Kenema (8) et Bo (1)

• Parmi les neuf échantillons reçus par le laboratoire, 2 ont été confirmés positifs pour le virus Ebola de Kenema tandis que 4 échantillons (3 Kenema et Bo 1) sont des cas négatifs. Les trois autres résultats de laboratoire sont en attente

• Le nombre cumulé de cas testés est de 347, avec 181 cas confirmés en laboratoire du virus Ebola

• Le nombre cumulé de décès confirmés est de 53

• Quarante-huit (48) cas sont actuellement admis à l’hôpital public de Kenema

• Dix-huit (18) cas ont été déchargé de l’hôpital public de Kenema

• Liste de ligne de contacts et le suivi des contacts de cas continue dans les districts ayant des cas confirmés

• Les membres du Parlement de Bo ont quitté Freetown pour sensibiliser leurs électeurs avec le soutien du Ministère de la Santé et de l’Assainissement
………….

…et puis juste après :

Maladie à virus Ebola en Afrique de l’Ouest – mise à jour

Bulletin d’information sur les flambées épidémiques
17 juillet 2014

Épidémiologie et surveillance

Mise à jour sur la maladie

Les Ministères de la Santé de la Guinée, du Libéria et de la Sierra Leone, trois pays d’Afrique de l’Ouest, continuent à notifier de nouveaux cas de maladie à virus Ebola et de nouveaux décès. Entre le 13 et le 14 juillet 2014, 18 nouveaux cas et 11 décès ont été notifiés par ces trois pays, comme suit: Guinée, 6 nouveau cas et 5 décès; Libéria, 2 nouveaux cas et 1 décès; Sierra Leone, 11 nouveaux cas et 4 décès. Ces chiffres recouvrent des cas et décès confirmés en laboratoire, probables et suspects.

Au 14 juillet 2014, le nombre cumulé de cas attribués à la maladie à virus Ebola dans les trois pays atteignait 982, avec 613 décès. La répartition et la classification des cas sont les suivantes: Guinée, 411 cas (301 confirmés, 95 probables et 15 suspects) et 310 décès (203 confirmés, 95 probables et 12 suspects); Libéria, 174 cas (70 confirmés, 42 probables et 62 suspects) et 106 décès (51 confirmés, 34 probables et 21 suspects); et Sierra Leone, 397 cas (346 confirmés, 39 probables et 12 suspects) et 197 décès (153 confirmés, 39 probables et 5 suspects).

Ce qui montre la perte de contre de cette maladie ,par les autorités!

 

Par la dissection,les poumons montrent des signes très précis de la propoagation de la maladie.
Par la dissection,les poumons montrent des signes très précis de la propoagation de la maladie.

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COMMENT SE PROTÉGER DE LA MALADIE D’EBOLA

Le gouvernement de l’État de Lagos a confirmé hier un cas possible de virus Ebola, qui est actuellement étudié été alors que le patient a vécu  depuis plus de 40 ans au Libéria, qui est maintenant un suspect, et une possibilité de 30 autres personnes qui pourraient avoir été en contact avec lui. 

Le Conseiller spécial du gouverneur de l’Etat de Lagos sur la santé publique, le Dr Yewande Adeshina, lors d’un briefing ,a  noté que le  libérien  de plus de 40 ans ,est dans un hôpital privé dans le domaine Obalende de l’Etat. Et que pour la sécurité  de l’hôpital, le Libéria a  bouclé son périmètre  et la victime isolée.

Cependant, il y a la nécessité pour nous tous, même si vous n’êtes pas à Lagos, à surveiller et à rester en sécurité. Voici quelques conseils: QUELLE EST LA MALADIE virus Ebola Ebola virus disease (EVD) ou fièvre hémorragique Ebola (FHE) est la maladie humaine causée par des virus d’Ebola. Les symptômes commencent deux jours pour trois semaines après avoir contracté le virus de la fièvre, de la gorge et des douleurs musculaires, des maux de tête. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la maladie a un

taux de létalité pouvant atteindre 90 pour cent, ce qui signifie environ 90 pour cent des personnes qui souffrent de la maladie pourrait mourir.

TRAITEMENT 

 

  • Aucun vaccin pour EVD est disponible. Plusieurs vaccins sont testés, mais aucun n’est disponible pour l’usage clinique.   

TRANSMISSION

  • Ebola est introduit dans la population humaine par contact étroit avec le sang, les sécrétions, les organes ou d’autres fluides corporels d’animaux infectés.
  • Ebola se propage ensuite dans la communauté grâce à la transmission d’humain à humain, une infection résultant d’un contact direct (à travers la peau ou des muqueuses) avec le sang, les sécrétions, les organes ou des liquides biologiques des personnes infectées, et le contact indirect avec les environnements contaminés par de tels fluides.
  • Les rituels funéraires, où parents et amis sont en contact direct avec le corps de la personne décédée peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola.
  • Les hommes qui ont guéri de la maladie peuvent toujours transmettre le virus par le biais de leur sperme jusqu’à sept semaines après la guérison de la maladie.
  • Les agents de santé ont été souvent contaminés, tout en traitant les patients suspects ou confirmés de EVD.

PRÉVENTION:

  • Lavez-vous les mains fréquemment. Comme pour les autres maladies infectieuses, une des mesures préventives les plus importantes pour le virus Ebola est lavage fréquent des mains. Utilisez de l’eau et du savon ou utiliser désinfectants pour les mains à base d’alcool contenant au moins 60 pour cent d’alcool lorsque l’eau et le savon ne sont pas disponibles.
  • Évitez la viande de brousse. Dans les pays en développement, les animaux sauvages, y compris les primates non humains, sont vendus sur les marchés locaux. Évitez d’acheter ou de manger un de ces animaux.
  • Eviter le contact avec des personnes infectées. En particulier, les soignants doivent éviter tout contact avec les liquides et les tissus de l’organisme de la personne, y compris le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et la salive. Les personnes atteintes d’Ebola sont les plus contagieux dans les derniers stades de la maladie.
  • Suivez les procédures de contrôle des infections. Si vous êtes un travailleur de soins de santé, de porter des vêtements de protection – comme des gants, des masques, des blouses et une protection oculaire. Garder les personnes infectées isolées des autres. Désinfecter soigneusement et disposer des aiguilles et d’autres instruments. Les aiguilles et les seringues ne doivent pas être réutilisés.
  • Ne pas manipuler les restes. Les corps des personnes décédées de la maladie d’Ebola sont encore contagieux. Des équipes spécialement organisées et formées à enterrer les restes, en utilisant l’équipement de sécurité approprié.
  • Éviter de voyager dans les zones de foyers connus.
  • Méfiez-vous des personnes présentant des symptômes grippaux et de la fièvre soudaine.

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Méditez  et priez  pour l’humanité et la Vie sur Terre!


Sources multiples …dont:
http://blogs.reuters.com/globalinvest

http://birdflu666.wordpress.com/2014/

http://dublinsmick.wordpress.com/2014

 

C’était hier: 20 ième anniversaire de l’impact multiple de la comète Shoemaker-Levy sur Jupiter

 

Photo de l'époque prise par Hubble.
Photo de l’époque prise par Hubble.

 

 

 

 

 

 

 

En 1992, la comète Shoemaker-Levy 9 passa très près de Jupiter. Ce passage eu 2 effets : 1) l’orbite de la comète fut modifiée, ce qui l’amena à recroiser l’orbite de Jupiter avec fortes probabilités de collision 2 ans plus tard, 2) les forces de marées brisèrent cette comète en au moins 21 fragments. Et effectivement, les 21 fragments tombèrent sur Jupiter à la queue-leu-leu entre le 16 juillet 1994, 20h et le 22 juillet 1994, 8h. Le plus gros impact libéra une énergie équivalente à 6 millions de mégatonnes de TNT, (600 fois l’arsenal nucléaire mondial de l’époque). Chaque impact occasionna sur Jupiter une “tache noirâtre”, d’un diamètre voisin de celui de la Terre. Cette couleur sombre proviendrait soit de la matière de la comète elle-même, matière pulvérisée dans l’atmosphère jovienne, soit plus probablement de composés organiques sombres provenant de l’intérieur de Jupiter et remontés à la surface des nuages par l’impact. Ces taches sombres s’estompèrent et disparurent en quelques mois.

 

Impact comète Jupiter 22 au 26 juillet 1994 p2
Page d’un magazine de l’époque.

 

Mais qu’est-ce réellement la comète Shoemaker-Levy 9?

LA THÉORIE DU TEST ANTI-MATIÈRE

Selon de nombreux chercheurs  sur le web,la comète Shoemeker-Levy 9 est très curieuse :elle serait même unique dans les annales de l’astronomie!Voici donc  l’exposition de cette théorie:

Un programme de recherche pour trouver une énergie, qui soit plus puissante que l’atome.

L’armée Américaine lança dans les années soixante-dix un programme classifié, afin de trouver une nouvelle forme d’énergie, “ultime”, qui soit bien plus puissante que celle de l’atome. Ce projet prît le nom de “D.S.P. 32”, “Defense Support Program 32” (Programme de soutien à la Défense n° 32). (1)

Et la recherche militaire parvint à obtenir une forme d’énergie, qui repoussa alors les limites de la science. Ce fût ce que l’on appela “l’antimatière”. D’une puissance phénoménale inouï, dix mille fois plus puissante qu’une la fission nucléaire.

La recherche sur l’antimatière.

Le programme DSP 32 travaillait dans le but d’atteindre deux objectifs. Le premier était de trouver un autre moyen de “fusion”, que les accélérateurs de particules, en utilisant les “laser”. Et le second, de pousser à leur limite, un certain nombre de paramètres de la Physique nucléaire.

Des laboratoires américain comme Livermore, Sandia, Los-Alamos, Nevada, avaient déjà dirigé leurs recherches vers les très hautes densités, dans le cadre de la maîtrise de la fusion de l’hydrogène (2).

Dans leurs expériences la puissance des lasers s’exprimait en térawatts (mille milliards de watts) et les pressions en millions d’atmosphères. Il leur fallait allait beaucoup plus loin dans les paramètres de la Physique. Et pouvoir dépasser la pression fantastique de cent millions d’atmosphères, pour atteindre le seuil où la matière est en rupture d’équilibre, un seuil où certaines de ses caractéristiques s’inversent, c’est là que nous avons l’antimatière.

Mais pour obtenir cette pression fatidique, une technologie très sophistiquée est bien sûr nécessaire. Et comme elle n’existait pas, ils leur fallut la créée, en partant dans de nouvelles directions. Les lasers gigantesques de l’époque, même à rayons x, n’étaient pas assez puissants. C’est en reprenant certaines des idées de Sakharov (3), que les premiers succès ont étaient obtenu. En effet, dans les années cinquante, le savant Soviétique avait mis au point un système de canon électromagnétique qui, en comprimant un solénoïde à l’aide d’un explosif, permettait d’obtenir une pression magnétique de l’ordre de vingt-cinq millions d’atmosphères. Qui transformait une mini-charge d’aluminium en plasma et l’expulsait à des vitesses vertigineuses de l’ordre de centaines de kilomètres par seconde.

Ils cherchèrent donc à améliorer ce système. Le solénoïde classique a été remplacé par un solénoïde supraconducteur et l’explosif conventionnel, par une petite charge atomique, dite “de laboratoire”, permettant ainsi d’atteindre le seuil de pression nécessaire. La cible, aussitôt transformée en plasma, est expulsée dans une “cheminée” où les particules d’antimatière ainsi obtenues sont instantanément triées électromagnétiquement et ensuite récupérées dans une “bouteille magnétique”.

Le danger de l’antimatière.

Il faut savoir que, contrairement à une bombe nucléaire qui n’explose que lorsqu’on active le système de mise à feu, l’antimatière, elle, une fois crée, du fait de son extrême instabilité, elle doit être confiné en permanence. Cela se fait à l’aide de champs magnétiques, pour l’empêcher d’entrer en contact avec la matière. Ce qui la ferait exploser ! Et que chacune des charges “à antimatière” fabriqué, possède une puissance égale et souvent supérieure à plusieurs bombes nucléaires.(4)

expérimenter des bombes d’antimatière à grande échelle, des bombes qui soient des milliers de fois plus puissantes que tout ce qui avait été réalisé jusqu’ici. L’espace terrestre étant trop étroit géographiquement et stratégiquement pour ce genre de projet, se tournent donc vers l’espace.

 

Un premier test “grandeur-nature” en direction du Soleil.

Nous savons qu’un premier test a eu lieu, à l’aide de fusée Titan. Avec une capacité de charge de un “module-bombe” par fusée, plaçait à l’intérieur du dernier étage. Seize premières bombes, donc seize fusées Titan sont parties vers le Soleil et ont explosé dans, ou à l’approche de la couronne solaire. La forte luminosité du Soleil ne leur a sans doute guère permis une observation précise de leurs effets.

Il y eu aussi un test avec envoi d’une cargaison de module-bombes, au cours du second vol de la navette Columbia le 12 novembre 1981 (c’était officiellement, le second vol de ses quatre vols-test de “qualification”).

Le test de bombes suivant l’a était à destination de Jupiter où cette fois, les observations des effets pourraient être nettement plus visibles et permettre une bien meilleur analyse.

La “mission scientifique” AMPTE.

Le 16 août 1984, une fusée Delta (n°175), porteuse de la mission AMPTE, “Active Magnetospheric Particle Tracer Explorer”, décollait de Cap Canaveral. Ce programme d’une durée d’un an consistait, à l’aide de trois petits satellites, à larguer plusieurs “nuages” de baryum et de lithium en différents endroits de l’espace intra et extra-magnéto-sphérique. Puis d’observer l’évolution de ces éléments traceurs, afin d’étudier les interactions des vents solaires avec notre magnétosphère. Cette expérience avait été réalisée avec la collaboration de plusieurs laboratoires différents (des Etats-Unis, de la R.F.A. et du Royaume-Uni). Si la mission officielle était d’améliorer la connaissance scientifique, le but réel était d’expérimenter en conditions réelles, la création d’un phénomène cométaire, afin d’étudier son évolution dans le temps et dans différentes conditions spatiales. En effet, sous l’action des rayonnements solaires, le Baryum et le Lithium sont rapidement ionisés et ont alors la particularité de devenir fluorescents, créant ainsi une comète artificielle.

La mission AMPTE a été l’une des phases importantes de la préparation du projet d’essai sur Jupiter. Une étape primordiale dans la recherche d’un “système de camouflage”, par un nuage de particules, composé d’un alliage de Baryum et de Lithium. Pour que l’on pense à une comète et que personne ne se rende compte de l’origine réelle des impacts et des explosions sur la planète. Avec cette mission spatiale “scientifique”, les scientifiques ont en fait étaient manipulés sans le savoir, à des fins militaires. (5)

Ce qu’était vraiment, la “comète” Shoemaker-Levy.

Dans la nuit du 25 mars 1993, trois astronomes amateurs, Eugene et Carolyne Shoemaker et David Levy detectèrent une vingtainne d’objets, s’étalant sur 160 millions de kilomètres. De son observatoire du Mont Palomar (Californie), Carolyn fût la première à observer ce qui deviendra “la comète périodique Shoemaker-Levy 9” (ou “SL9”). “Je suis tombée sur cet objet à l’aspect très étrange. J’ai pensé que ce devait être une comète, mais c’était la comète la plus étrange que j’ai jamais vu”, déclara-t-elle.

Effectivement, comme vous pouvez le voir sur cette photo prise le 1er juillet 1993 par le télescope Hubble, c’est une “comète” plutôt bizarre:

 

Comète Shoemaker-Levy 001
La comète Shoemaker-Levy 9 …telle que découverte.

 

L’astronome venait en fait de découvrir les fameux nuages lumineux de Baryum-Lithium, qui étaient générés par les modules-bombes, situés en leurs centres. L’importance des nuages avait été adaptée à la puissance présumée des bombes correspondantes. Dans certains cas, les modules étaient groupés deux par deux, et ont pût soit s’écarter progressivement l’un de l’autre (les “fragments” P et Q), soit rester très proches (les “fragments” G et K) comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous. Ces derniers provoquant ainsi des explosions à quelques minutes d’intervalle l’une de l’autre. Dont les phases se sont intercalées et chevauchées, peut-être avec des puissances et des épicentres quelque peu différents.(6)

Impact Jupiter 1994 p002

 

Le test des modules-bombes.

Les modules de “SL9” ont été placés sur une orbite de Jupiter très excentrique d’une période de 2 ans. La forme de cette orbite est donc elliptique. Cette orbite a plusieurs particularités: à l’une de ses extrémités (périastre), elle passe à une distance du centre de Jupiter, qui est inférieure au rayon de la planète elle-même, d’où une collision inéluctable. Alors qu’à l’autre extrémité (apoastre), elle frôle la limite de la zone d’attraction gravitationnelle de Jupiter.

Si “SL9” avait eu une vitesse très légèrement supérieure, elle aurait quitté l’influence de Jupiter et aurait continué son chemin sur une orbite solaire. En regardant cette orbite, on s’aperçoit que c’est le meilleur choix si l’on veut qu’un objet circule un certain temps au large de Jupiter, en ayant le maximum de chances de se faire repérer, avant de revenir ensuite percuter la planète. Les choix de la route orbitale et des autres éléments qui décidèrent des points d’impacts, ont étaient calculés pour que les collisions se produises sur la face cachée de la planète, invisible depuis la Terre. Une précaution indispensable car ces explosions ressemblent aux explosions nucléaires, avec en plus de très puissantes émissions de rayonnements électromagnétiques (principalement des rayons gamma). Et cela aurait pût révélés la véritable nature des explosions. Toutefois, alors qu’aucun observateur ne pouvait voir directement ces événements, depuis la Terre. Mais il y eu tout de même un témoin inattendu des évènements, la sonde Galiléo.

La sonde Galiléo, témoin involontaire de toute l’opération.

Ce programme d’exploration avancée de Jupiter (après plusieurs reports) à finalement était lancé le 8 octobre 1989. La sonde Galiléo partie dans le système solaire, afin de bénéficier de plusieurs réactions gravitationnelles, pour pouvoir atteindre enfin Jupiter en décembre 1995, au terme d’un trajet d’une durée de plus de six années. Curieusement, alors que les impacts de “SL9” étaient sur la face cachée de Jupiter, Galiléo (illustration ci-dessous) se trouvait au même moment, avec une vue directe les événements.

 

Galileo

 

Cette sonde, équipée de caméras et de multiples détecteurs hyper sophistiqués, avait connu depuis son départ plusieurs problèmes techniques. Et même si cela est bien-sûr possible dans le vide spatial, il faut sans doute faire le tri. Pour discerner les pannes réelles des pannes “imaginaires”, dirons-nous. Qui offraient un bon prétexte technique pour occulter une partie de l’information aux astronomes ainsi qu’au public.

Parmi celles-ci, on peut citer:

– Un retard d’une cinquantaine de secondes dans l’ouverture du parachute du module atmosphérique, qui nous masque la composition des premiers kilomètres de l’atmosphère de Jupiter, et justement à l’altitude où les explosions semblent avoir eu lieu.

– Une panne momentanée des bandes enregistreuses qui nous prive des images rapprochées des satellites de Jupiter “Io” et “Europe”.

– Une erreur de programmation qui nous voile certaines données sur les impacts de “SL9”, sur Jupiter.

Sans compter la possibilité que des informations recueilles ont dût être filtrées et censurées avant d’être rendue accessible à la presse et à la communauté scientifique, cela est plus que probable (7). En fait, les militaires voulaient avoir l’avantage et bien-sûr la primeur des images de Galiléo. On peut être sûr qu’elles n’ont pas étaient perdues pour tout le monde. Ils avaient bien besoin d’un “visuel” de leur test “grandeur nature”.

L’opération “SL9”.

L’opération “SL9” était une opération de grande envergure. Ce n’est pas moins que six missions militaires, à l’aide de navettes spatiales, qui furent utilisées. Les lancement de navettes se sont étalés sur trois ans et ont eu lieu depuis Cap Canavéral:

– Le 8 août 1989 (STS 28), avec la navette Columbia;

– Les 22 novembre 1989 (STS 33) et 28 avril 1991 (STS 39) avec la navette Discovery;

– Les 28 février 1990 (STS 36), 15 novembre 1990 (STS 38) et 24 novembre 1991 (STS 44), avec la navette Atlantis;

En outre, on peut aussi remarquer que lors de leur lancement, tous ces vols étaient officiellement pour les médias, des missions militaires pour la mise en place de satellites pour le Département de la Défense.(8)

Chacune des navettes emmenait dans sa soute, une autre capsule spatiale. En quelques sortes, des “cargos” de forme cylindrique et équipé d’un propulseur à l’arrière (9). La technologie ayant beaucoup évolué, depuis les premiers essais réalisé vers le Soleil, les bombes s’étaient fortement miniaturisée et allégée, permettant à chaque navette, d’en transporter un plus grand nombre qu’auparavant (illustration ci-dessous). Les six “vaisseaux-cargo” n’avaient pas tous la même taille. Quatre de ces “vaisseaux” contenaient chacun trois modules-bombes, les deux autres, de taille supérieure, en transportaient six chacun. Ce qui faisait un total de vingt-quatre bombes.

 

Les modules de bombes dans la navette spatiale...une partie de la théorie.
Les modules de bombes dans la navette spatiale…une partie de la théorie.

 

Les quatre petits “vaisseaux-cargo” avaient été fabriqués, pour qu’ils puissent aussi être lancés à partir d’une fusée Titan IV, en cas d’une possible défaillance des vols-navettes. Chacun de ces “vaisseaux” prit la route de Jupiter, d’après une trajectoire adaptée selon la position de la Terre, au moment de son lancement et le temps qu’il mettrait pour arriver à destination.

Il faut préciser que ces vaisseaux-cargo (illustration ci-dessous) ont rejoint directement un point de l’orbite de Jupiter, aux environs du 1er mars 1993. Ainsi le dernier vaisseau-cargo, partie de la Terre le 24 novembre 1991, a effectué ce parcours en guère plus de quinze mois.

 

Largage des modules-bombes.
Largage des modules-bombes.

 

L’opération de largage des modules-bombes.

Après avoir fait le trajet en solitaire, les six vaisseaux-cargo se sont donc retrouvés à une quarantaine de millions de kilomètres de Jupiter. De là, ils se sont positionnés et alignés sur l’orbite connue de la “SL9”, les portes des soutes furent ouvertes et les modules-bombes ont été éjectés automatiquement (illustration ci-dessous). Une fois la cargaison larguée, les capsules de transport se sont écartées de l’orbite et se sont auto-détruites en explosant.

Éjection des modules.
Éjection des modules.

 

La technique de camouflage et l’opération de bombardement.

Les modules-bombes se sont ensuite positionnés plus précisément sur leur orbite à l’aide d’un petit propulseur (illustration ci-dessous). C’est là que la méthode de camouflage fût mise en application: le baryum-lithium a été liquéfié par chauffage, puis vaporisé à l’extérieur du module. Dans le froid spatial il s’est re-solidifié, en très fines particules que les rayonnements solaires ont rapidement ionisés.

 

Propulsion autonome des modules.
Propulsion autonome des modules.

 

Grâce à l’énergie de l’antimatière et à la technologie des supraconducteurs, un très puissant champ magnétique externe a alors était activé, créant de ce fait une magnétosphère artificielle autour du module, laquelle a pût ainsi piéger et conserver la plus grande partie de ce nuage de particules ionisées. Faisant alors passer les modules-bombes, pour des “débris cométaires” aux yeux des astronomes (la “SL9”).

Durant la phase d’approche de Jupiter, lorsque les modules ont traversé la magnétosphère de la planète, les interactions des deux champs magnétiques ont fait que les modules ont perdu progressivement la partie périphérique externe du nuage, pour ne conserver que le noyau central, qui était plus dense et plus proche des bombes. A l’entrée dans l’atmosphère, c’est donc ce noyau de poussières qui, en entrant en collision avec les molécules de la couche atmosphérique externe, a provoqué la première luminosité visible (et observable depuis la Terre), au delà de l’horizon de Jupiter.

Les modules, avaient tous étaient conçus globalement sur le même principe (illustration ci-dessous). Toutefois, ils comportaient tous, dans un soucis d’expérimentation et de test, un certain nombre de variantes. En taille, en puissance explosive, en système de mise à feu. Ainsi, c’est le module K qui a provoqué les plus fortes interactions avec la magnétosphère de la planète.

Créant de puissantes accélérations de particules, ions et électrons, qui s’y trouvent. Ces particules, voyageant rapidement le long des lignes du champ magnétique de la planète, ont produite des effets dans l’infrarouge, l’ultraviolet et des émissions de rayons x dans l’atmosphère de Jupiter.

Croquis  approximatif des bombes.
Croquis approximatif des bombes.

Le premier impact de “SL9” (en fait le largage des bombes, illustration ci-dessous) a eu lieu le 16 juillet 1994 et le bombardement de Jupiter s’est poursuivi jusqu’au 22 juillet. Chaque impact se trouvera être visible de la Terre dix minutes plus tard.

Larguage de la bombe anti-matière.
Larguage de la bombe anti-matière.

 

Les impacts provoquèrent des boules de feu géantes, des panaches s’élevant à 3300 km d’altitude et des retombées de débris, créant de gigantesques tâches sombres (certaines atteignant parfois quatre fois la taille de notre Terre!).

La puissance du septième impact, le plus important, sera évalué à un million de mégatonne (deux cent fois la puissance de toutes les bombes thermo-nucléaires de la planète !). Les fragments de l’explosion, penetrant dans la haute atmoshère de Jupiter à 60 km/h à la seconde, s’y enfoncèrent à quelques 100 km de profondeur (où la pression atteint un bar). En laissant derrière eux une trainée de gaz ionisé, d’une température de dix mille degrés. Le tout réagit alors à la manière d’un geyser et du gaz provenant des couches profondes de Jupiter, se trouve alors expédié à des milliers de kilomètres de la planète. En formant un nuage opaque. Voilà pourquoi les effets visuels ont étaient si spectaculaire (photo ci-dessous

 

Le 7 ième impact.
Le 7 ième impact.

 

De nombreux scientifiques furent très intrigué et certains d’entre-eux ne furent pas dupe. La fréquence de collision entre Jupiter et une aussi grosse “comète” est en moyenne de deux mille ans. Pour que cela se produise au moment où le télescope spatial Hubble était réparé, où la sonde Galiléo se trouvait bien placée en vue directe, où les détecteurs infrarouges étaient efficaces, alors que les Etats-Unis voyaient l’aboutissement de leurs recherches sur l’antimatière, cela relève bien plus que d’une synchronicité chanceuse.

De plus, l’analyse par les radios-téléscopes et la sonde Galiléo, qui sont capables de sonder chimiquement l’atmosphère par les ondes radars, afin de déterminer la nature des composants présents sur les planètes, a bien montrée dans ces relevés la présence d’émissions de Tritium sur Jupiter. Emissions qui ont étaient détectées après le bombardement de la planète. Et l’explosion d’une charge “à antimatière”, provoque toujours des résidus de Tritium (et aussi de Lithium).

Y-a-t-il eu d’autres tests à destination de Jupiter ?

Après les tests sur Jupiter, qui est un astre froid et gazeux. Il semblerait logique qu’ils aient voulu expérimenter ces bombes sur un astre, non plus gazeux, mais tellurique. C’est-à-dire un astre rocheux, comme la Terre ou la Lune. Il fallait bien sûr que cet astre soit relativement loin de la Terre, ce qui exclurait la Lune, Mars, Vénus et Mercure. Il fallait aussi qu’il y ait la possibilité de bien voir les effets des explosions, c’est-à-dire de disposer d’un moyen d’observation fiable.

Et les satellites de Jupiter, répondent justement à ces conditions, avec la sonde Galiléo qui est en place pour permettre leur observation rapprochée.

De plus, on pourrait rapprocher cette possibilité, avec la curieuse panne d’enregistrement de Galiléo lorsqu’elle a frôlé Io et Europe en décembre 1995 (qui nous a privé d’images rapprochées des deux satellites de Jupiter).

Une des raisons pour lesquels les Etats-Unis acceptent le désarmement nucléaire.

Paradoxalement, c’est grâce à l’antimatière, que les Etats-Unis sont maintenant tout-à-fait d’accord, pour arriver à un désarmement nucléaire (peut-être pas en totalité, mais avec de fortes diminution).(10)

Avec leur armement à “antimatière”, ils disposent d’une arme bien plus puissante que la bombe atomique, sans avoir les contraintes de la “radioactivité”. De plus, ils sont les seuls à détenir cette technologie. Donc pour les forces Américaines, c’est la suprématie militaire mondiale assurée. C’est bien là le principal avantage de la technologie à antimatière. On a pas besoin d’en mettre beaucoup, donc ça prend moins de place dans la soute des bombardiers, ou dans un missile (par exemple “à tête multiples”), alors ils peuvent en transporter et/ou en mettre beaucoup plus. Tout en gardant, à l’unité, une capacité de destruction énorme.

Mais, comme officiellement, “les Etats-Unis n’ont pas d’armement à antimatière”, on peut penser qu’ils garderont une certaine capacité de frappe nucléaire. Ne serait-ce que pour faire illusion auprès des autres pays. Il est vrai que le pays le plus puissant de la planète, “militairement parlant”, ne va pas se retrouver comme ça, du jour au lendemain, sans aucune arme atomique. N’oublions qu’elles ont étaient mises en place, comme “armes de dissuasion”.

Note:

(1) Les D.S.P. sont des programmes de la Défense existant depuis les années soixante. Ces programmes avaient tous, tout-au-moins au début, une mission “Stratégique et tactique de détection de lancement de missile, et d’explosions nucléaires”. C’est pourquoi ils étaient souvent en rapport avec l’espace, surtout par la fabrication, l’amélioration et le lancement de satellites espions. Mais ils peuvent aussi être sous la responsabilité d’un “Department” Américain quelconque: US Army, USAF, US Navy,…etc. Ils n’ont en général pas de “nom de code” et on les identifie par un numéro (possibilité d’une lettre en plus).

(2) Ce programme expérimental était appelé “Centurion-Halite”, c’était un programme officiel de recherche sur la maîtrise de la fusion de l’hydrogène.

(3) Andreï Dmitrievitch Sakharov, (21 mai 1921-14 décembre 1989), est un physicien nucléaire Soviétique, qui devint le concepteur (avec Tamm) de la Bombe H. Il fût un militant des Droits de l’Homme, des libertés civiles et pour une ouverture de l’URSS. Il a obtenu le Prix Nobel de la Paix en 1975.

(4) Evidemment, ils “relativisent”, si je peux dire, leur extrême puissance, en réduisant la quantité d’antimatière contenue dans les bombes fabriquaient pour une utilisation terrestre. Les bombes utilisables sur Terre sont de la taille d’une balle de golf (avec la force de destruction d’environ une tonne de TNT).

(5) Et utiliser l’espace à des fins militaire est strictement interdit par l’ONU. Les “Traités et principes des Nations Unies relatif à l’espace extra-atmosphérique”, adopté à l’unanimité par l’Assemblée Générale, déclarent que toute exploitation militaire de l’espace est interdite.

(6) La “SL9” a été découverte le 24 mars 1993, mais des astronomes l’ont également vue sur des photos du 15 mars 1993. Curieusement, avant cette date, rien n’a été observé, alors que la “SL9” était sensée s’être désintégrée à proximité de Jupiter en juillet 1992 et aurait donc dût voyagé sur cette orbite avec son nuage de poussière, depuis 8 mois (ayant parcouru plus de 40 millions de kilomètres).

(7) C’est ainsi que plusieurs scientifiques se sont étonnés que Galiléo n’est enregistrée que des effets relativement minimes des impacts de “SL9”. Alors que les astronomes basés sur Terre, cinq fois plus éloignés et beaucoup plus mal placés, ont eux observés des effets grandioses, qui allaient parfois jusqu’à saturer les détecteurs.

(8) “STS”, “Space Transport System”, terme utilisé pour désigner un vol-navette. Les missions militaires portent le nom de: “STS Contingency Support Office Departement of Defense”. La navette est désignée par le terme “Space Shuttle”.

(9) La “charge utile”, transportable par une navette est de trente tonnes. Il faut savoir que lors des essais en vol “à vide”, il s’avéra que la navette était très difficile à maneuvrer, et devenait presque incontrôlable. Pour rétablir ce problème d’équilibre et pouvoir rétablir son “assiette”, comme on dit en jargon aéronautique, et comme cela aurait trop coûteux de la modifier, on décida de toujours charger le satellite, en le plaçant systématiquement le plus à l’arrière de la soute. Une conséquence de cette contrainte est que la soute, ne peut donc pas être utilisée au maximum de sa contenance.

(10) D’autant plus que l’énergie nucléaire présente dans les bombes, peut être reconvertie en nucléaire “civile”, et servir à alimenter les centrales nucléaire pour fournir de l’électricité. C’est donc “tous bénéfices” pour eux, maintenant qu’ils ont l’alternative de l’antimatière.

Source: “Ovnis et armes secrètes Américaines”, par Jean Claude PETIT, Editions Albin Michel;

http://mystere-des-civilisations.overblog.com/le-projet-d-s-p-32

http://www.jp.petit.org;

http://www.2.jpl.nasa.gov

http://rustyjames.canalblog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’armement secret du Nouvel Ordre Mondial:les armes de fréquences électromagnétiques commandés à distance

 

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L’arme nouvelle…Personnel Halting and Stimulation Response (PHaSR)

 

L’un des outils utilisés par l’armée américaine dans la modification du comportement et le contrôle de l’esprit est le soudain développement des   armes de fréquences électromagnétiques commandés à distance . Ces armes utilisent les  micro-ondes, ELF ( fréquences extrêmement basses ) et les  fréquences acoustiques afin  de manipuler secrètement les esprits des personnes sous  attaque . L’utilisation d’armes de fréquence sur les humains vers le contrôle comportemental et  de les assassiner, n’est pas nouvelle. Depuis plus de 50 ans, les armes de fréquence Neuro -Electro- magnétiques ont été mis au point pour leur utilisation dans la guerre secrète . Ces « armes classées » , ou des armes “non-létales ‘ « silencieuses» ont également été mis au point par l’expérimentation sur des personnes sans méfiance ,par leur développement précoce . Diriger un faisceau de fréquences à un cerveau humain peut provoquer une série d’ effets secondaires graves . Les ondes ELF provoquent des nausées, des maux de tête ,une  accélération du rythme cardiaque sans cause , pour n’en nommer que quelques-uns. En 1974 , la première transmission réussie non classés de la voix humaine directement dans le crâne d’une personne vivanet a été réalisée par le Dr Joseph C. Sharp de l’armée américaine et de  Walter Reed ,de l’institut de recherche, en transformant la voix d’un hypnotiseur ELF  . Cette technique a été développée  plus tard dans le procédé de cryptage Smirnov , et utilisé dans la guerre du Golfe . Il est possible d’hypnotiser une cible sans  que la “personne” soit consciente et en laissant nulle trace de la preuve.
C’est par des fréquences qui oscillent dans une certaine gamme de fréquences d’émission que la victime peut être manipulée . Il existe six types d’ ondes cérébrales : Delta est la gamme de fréquences jusqu’à 4 Hz et est associée au sommeil. Theta est la gamme de fréquence de 4 Hz à 8 Hz et est associé à la somnolence , l’enfance , l’adolescence et l’âge adulte . Alpha (la vague de Berger ) est la gamme de fréquence de 8 Hz à 12 Hz . Sensorielle rythme moteur ( SMR ) est une fréquence moyenne ( environ 12-16 Hz ) associé à l’immobilité physique et la présence de corps . Une cible aura du mal à se déplacer à chaque fois que cette fréquence est appliquée . Beta est la gamme de fréquence supérieure à 12 Hz . Une onde faible bêta d’amplitude avec de multiples et différentes fréquences est souvent associée à la pensée active , occupée ou anxieuse et  de concentration active . Gamma est la gamme de fréquences d’environ 26 à 80 Hz . Les rythmes gamma semblent être impliqués dans l’activité mentale supérieure , y compris la perception , la résolution de problèmes , la peur et la conscience . La forme  d’onde d’une arme de fréquence dépend de la façon dont les fréquences doivent être adressées à la cible . L’Office des brevets et des marques des États-Unis détient une grande quantité de brevets pour les machines qui peuvent être utilisées dans les systèmes de contrôle mental directs ou subliminaux . L’un d’eux est un système d’audition , le brevet US # 4,877,027 , par Wayne Brunkan 31 Octobre 1989. C’est un procédé pour induire directement un son dans la tête d’une personne , à l’aide des micro-ondes dans la gamme de 100 MHz à 10 000 MHz , modulé avec une forme d’onde de rafales modulés en fréquence . Un autre est la méthode et le système pour modifier la conscience , le brevet US # 5,123,899 , de James Gall , le 23 Juin 1992. Un système pour modifier les états de conscience humaine impliquant l’ utilisation de l’application simultanée de plusieurs stimuli , les sons de préférence , ayant des fréquences différentes . Pourtant, une autre est la méthode Superposition et appareils utiles pour les messages subliminaux , le brevet US # 5,134,484 , de Joseph Wilson , le 28 Juillet 1992. et la méthode de modifier le comportement d’une personne ,un générateur de  messages subliminaux, le brevet US # 5,270,800 , de Robert Sweet , le 14 Décembre 1993. Un générateur de message subliminal combinée et supra- liminal pour une utilisation avec un récepteur de télévision ; permet un contrôle complet des messages subliminaux et de leur présentation .

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Également applicable aux ordinateurs  et aux câbles de télévision . Le système sur la méthode  de message Auditifs  Subliminaux , le brevet US # 4,395,600 , René Lundy et David Tyler , le 26 Juillet 1983. Un message subliminal avec amplitude contrôlée peut être mélangé avec de la musique de fond . Et  le projecteur psycho- acoustique  , le brevet US # 3,568,347 , Andrew Flandre , le 23 Février 1971. Un système de production de troubles psychologiques sonores et provoquant une surdité partielle dans les troupes  ennemies , dans des situations de combat .

Plus sur les armes de fréquence  …clé en mains et  lavage de cerveau .

On se croirait dans un  vieux film de science fiction,mais c'est la réalité.
On se croirait dans un vieux film de science fiction,mais c’est la réalité.

Les officiers aux commandes de l’US Army   rêvaient de posséder une arme capable de projeter dans l’esprit des autres personnes ,des ordres subliminaux .Tout réside dans la compréhension de ce qui est communiqué dans ce que vous lisez actuellement . Dans les années 1950 ,le  Royaume-Uni et les Etats-Unis ont décidé de mettre en place le plus grand réseau d’espionnage dans le monde pour s’assurer que toutes les communications entre les Russes et les espions (ou des alliés) puissent être contrôlées. Ce système a été continuellement mis à jour depuis sa création . Le nom du système est Echelon et se compose d’un vaste réseau de postes d’écoute , des ordinateurs très sophistiqués , une énorme quantité de personnes , et toute une quincaillerie. Echelon capte toutes les communications via Internet , GSM , UMTS , lignes fixes , TV et radio , des communications par satellite ( privé , militaire et diplomatique ) et à l’écoute de chaque mot , chaque “Tag” que bien des ordinateurs font . Les ordinateurs fonctionnent avec une liste de mots clés et lorsqu’un message contient un ou plusieurs mots-clés le message est dirigé vers un spécialiste qui examine son contenu . Si le message est «suspect»…une autre mesure est alors entreprise .
Cette technologie  de “gouvernement noir” et  ” d’armes silencieuses ” a été mise au point pour surveiller l’emplacement et pour manipuler les “esprits” de la population en général . Les centres Echelon sont situés partout dans le monde y compris à  Menwith Hill , North Yorkshire, en Angleterre . HAARP , (Mind Control) contrôle mental  à distance (Computer Center , Alaska ). Et Pine Gap , près d’Alice Springs, Territoire du Nord , Australie .
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Active System… un déni de respect envers  les peuples

 

LE DÉVELOPPEMENT D’UNE PUISSANTE ARME DE DESTRUCTION MASSIVE

 

La NSA s’est également construit un réseau de tours de 500 pieds de haut , chaque tour  est placée à une distance de 200 miles  en série  et c’est un réseau  qui s’étend de l’est à l’ouest des États-Unis . Le réseau est appelé GWEN , ( Réseau d’urgence Onde de Sol) , et il  transmet des fréquences très basses combinées à des fréquences  Ultra Hautes  et il est (…ou serait ,selon les autorités)  utilisé dans le cas où les systèmes de communication aux États-Unis seraient  devenus inutilisables en raison d’une attaque nucléaire .

Terrible coïncidence:  des fréquences de GWEN coïncident avec les fréquences utilisées par les armes de fréquence .

Si vous commencez à penser à ce qui peut arriver à une haute tour de 500 pieds lorsqu’elle  est exposée à une arme nucléaire,vous comprenez que c’est nul et si   vous  commencez  à  vous questionner sur  la construction de structures élevées dans une bonne stratégie pour les scénarios nucléaires . Les systèmes téléphoniques sont également mobiles, et les GSM et UMTS fonctionnent également dans les mêmes zones de fréquence que certaines armes de fréquence , ce qui signifie que ces systèmes , comme GWEN , peuvent potentiellement être utilisés comme une arme, par modification de la modulation de la fréquence et de la direction du signal .Donc d’un simple clic on peut nettoyer la population américaine…sans retombées radioactives.

Big Brother non seulement nous espionne,mais complote pour nous enlever la vie si besoin est,pour maintenir son contrôle!

Plus nous attendons,plus le danger grandit!

Source: Anonyme …dans une  puissante armée