​Le 11 Septembre 20 ans plus tard – Aux États-Unis, le commerce de la guerre

Dans son discours de fin de mandat prononcé il y a 60 ans, le 17 janvier 1961, le président Dwight D. Eisenhower prévenait son pays contre le risque que faisait déjà peser l’industrie de la défense sur la démocratie américaine. La Deuxième Guerre mondiale, puis la guerre froide avaient survolté ce secteur.

Des soldats américains déchargent leurs armes après avoir traversé la frontière koweïtienne dans le cadre du dernier convoi militaire américain à quitter l'Irak le 18 décembre 2011.
Des soldats américains déchargent leurs armes après avoir traversé la frontière koweïtienne dans le cadre du dernier convoi militaire américain à quitter l’Irak le 18 décembre 2011.

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel, avait alors dit le commandant en chef, lui-même général cinq étoiles. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. »

Dire que la prophétie noire des cassandres en uniforme s’est réalisée relève de l’euphémisme : le budget militaire américain annuel frise les 700 milliards, soit environ 35 % du total mondial. Les États-Unis demeurent d’ailleurs les premiers exportateurs d’armes dans le monde grâce à des entreprises comme Lockheed Martin, Boeing ou Rayhteon Technologies — en fait, grâce à des milliers de compagnies, petites, grandes et gigantesques.

Les conflits en chaîne déclenchés après les attaques du 11 septembre 2001 ont fait s’affoler tous les indicateurs. Selon les dernières estimations rationnelles dévoilées au début du mois par le projet Costs of War, le pays a consacré 8000 milliards de ses dollars aux campagnes d’Afghanistan, d’Irak et d’ailleurs au Moyen-Orient.

 

La « guerre au terrorisme » a justifié des pratiques dérogatoires à certains droits fondamentaux. Une loi d’exception, le Patriot Act, a permis des détentions secrètes, a créé des statuts de combattants (dits ennemis ou illégaux) bafouant l’habeas corpus. La prison hors des frontières américaines (et donc hors Constitution) de Guantánamo est devenue le théâtre emblématique de cette guerre hors norme liberticide. Washington et ses alliés proches, dont le Canada, ont aussi instauré en secret une surveillance mondialisée de populations entières, comme l’a révélé le lanceur d’alerte Edward Snowden.

« Le terme “complexe militaro-industriel” est plus juste que jamais », indique Heidi Peltier, directrice du projet Costs of War et professeure au Département de science politique de la Pardee School of Global Studies de l’Université de Boston. « De plus en plus d’observateurs étendent d’ailleurs maintenant le concept pour parler du complexe militaro-industriel du Congrès. »

Cette référence supplémentaire aux élus s’appuie sur la réalité des « portes tournantes » établies entre les deux chambres de la branche législative et les industries militaires. Dans ce mouvement de va-et-vient profitable, des politiciens deviennent des administrateurs de compagnies militaires et vice versa.

Un exemple frappant : avant d’être le va-t-en-guerre en Afghanistan puis en Irak du président Bush fils, le vice-président Dick Cheney, ancien secrétaire à la Défense de Bush père, a été président du conglomérat Halliburton, qui a reçu des dizaines de milliards pour des contrats de l’armée depuis le début du siècle. En plus, beaucoup d’élus (représentants comme sénateurs) possèdent des actions de compagnies du secteur militaire.

Des comptes incomplets

Mme Peltier a été interviewée la veille du dévoilement des derniers comptes ahurissants parlant de ces 10 000 milliards de dollars canadiens et d’environ 900 000 morts. Le projet sur les coûts de la guerre a été lancé en 2010, à l’approche du dixième anniversaire des attaques terroristes qui ont servi de casus belli aux États-Unis et à leurs alliés de l’OTAN.

« Les données justes manquaient ou semblaient bien incomplètes, explique la directrice. Quand le département de la Défense publiait des chiffres sur les budgets militaires ou les dépenses liées aux conflits, ou sur le nombre de victimes, ceux-ci semblaient toujours sous-estimés. Il manquait des catégories. Le but principal du projet a donc été et demeure de fournir des comptes complets sur les coûts des guerres après le 11 Septembre. Nous avons examiné le sujet sous plusieurs angles dans une perspective multidisciplinaire. »

De même, l’approche du vingtième anniversaire, combinée à la fin de l’occupation de l’Afghanistan, a stimulé la production de nouvelles études. « Avec nos études, nous espérons informer les décideurs politiques pour leurs futures prises de décisions politico-stratégiques, dit la directrice Peltier. Malheureusement, on répète sans cesse les mêmes erreurs. Chaque fois, on nous promet une intervention militaire de courte durée, peu dispendieuse [cheap],sans beaucoup de pertes de vies. Chaque fois, c’est le contraire qui se produit, à l’exception de la première guerre du Golfe. Chaque fois, l’intervention se révèle longue, coûteuse et fait perdre de nombreuses vies. »

Mme Peltier elle-même s’est intéressée récemment aux compagnies ayant signé des contrats avec l’armée pour fournir du matériel ou du personnel. Elle parle d’une « camo economy », utilisant donc le diminutif des soldats pour désigner le camouflage dont bénéficient les nouveaux profiteurs de la guerre. « Cette économie camoufle beaucoup de coûts financiers et humains réels des conflits, résume-t-elle. L’emploi de mercenaires illustre bien ce problème. Le recours aux armées privées permet de réduire le nombre annoncé de soldats de l’armée régulière déployés sur les terrains d’opération et le nombre de morts. »

Rien qu’en 2019, le Pentagone adépensé 370 milliards de dollars américains pour des services, du matériel et des « ressources humaines » fournis par des « contractors », soit plus de la moitié du budget du département de la Défense. C’est aussi 164 % de plus que pour les dépenses semblables engagées en 2001. Depuis l’invasion de l’Afghanistan en 2001, on estime que 8000 personnes au service des « contractors » ont perdu la vie par rapport à environ 7000 soldats des troupes régulières.

L’enquête de Mme Peltier, économiste de formation, déboulonne aussi la croyance que le recours au secteur privé permet finalement de faire des économies. On connaît la rengaine. Au contraire, les contrats se donnent souvent sans la concurrence qui permettrait de faire baisser les prix. Rien qu’en 2008 et en 2019, le département américain de la Défense a dépensé 1200 milliards de cette manière, créant dans les faits de très profitables situations de monopole.

Vingt ans après, le 11-Septembre reste synonyme d’héroïsme des New-Yorkais. Les dirigeants new-yorkais répètent que c’est grâce à leur « résilience » que la ville a, depuis un mois, ramené sous les 1 % le taux de contamination d’un virus qui a tué plus de 23 000 New-Yorkais.

La professeure ne parle d’ailleurs pas (ou pas seulement) d’une privatisation de la guerre (comme dans la formule de la socialisation des risques et de la privatisation des profits), mais carrément de sa commercialisation.

« Le modèle de la privatisation s’applique quand des services normalement offerts par le gouvernement sont transférés au secteur privé, explique-t-elle. Je n’aime pas ce terme ici. Ce qui arrive n’a pas vraiment à voir avec l’habituel recours au privé avec des fonds provenant des impôts servant à acheter des services au meilleur coût dans l’intérêt du public. Quand l’argent commun est dépensé pour des raisons de sécurité en employant une compagnie qui ne fait pas face à la pression de la concurrence du marché, on doit parler de commercialisation de la guerre. »

Il y a 5 ans ,j’avais fait une vidéo qui comportait cette image.Bien sur c’était sur You Tube qui l’a censuré!

 

 

 

 

 

 

 

 


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La Russie tente de geler le conflit en Libye

La guerre en Libye s’est transformé en conflit par procuration entre de nombreux acteurs internationaux.

 

Le gouvernement d’entente nationale (GNA), dirigé par le Premier ministre Fayez al-Sarraj, est soutenu par les Frères musulmans. Son principal sponsor politique et financier est le Qatar et son principal allié militaire est la Turquie. L’Italie soutient également Sarraj. Le GNA contrôle la capitale, Tripoli, et Misrata dans l’ouest du pays.

 

Du côté opposé, on trouve l’ancien agent de la CIA, Khalifa Haftar, et son armée nationale libyenne (ANL). Il contrôle l’est de la Libye et la plupart des ressources pétrolières. Il est soutenu par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Grèce et la France.

 

La Russie se voit dans le conflit en tant qu’arbitre.

Elle veut rétablir ses intérêts commerciaux à long terme en Libye, qui s’étaient volatilisés après la guerre que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont menée contre ce pays en 2011. Elle a vendu des armes à Haftar via les EAU et a permis à des mercenaires russes de prendre part à la guerre aux côtés de l’ANL d’Haftar.

 

Depuis avril 2019, Haftar tente de prendre Tripoli et d’expulser le GNA. Le combat a été plus difficile et a duré beaucoup plus longtemps qu’il ne s’y attendait. La situation économique des deux camps est imbriquée et complique la guerre. En janvier, la Russie a demandé à Haftar d’arrêter de se battre. Elle a tenu une conférence de paix à Moscou et l’a exhorté à signer un accord de cessez-le-feu :

Après des heures de négociations négociées par la Russie et la Turquie, Haftar a demandé, lundi soir, d’avoir jusqu’à mardi matin pour étudier l’accord déjà signé par Fayez al-Sarraj, le chef du gouvernement d’entente nationale (GNA) reconnu par les Nations unies.

 

Mais Haftar, dont les forces avaient lancé, en avril, une offensive pour s’emparer de Tripoli, la base du GNA, a quitté Moscou sans signer l’accord, a déclaré mardi le ministère russe des affaires étrangères, selon l’agence de presse TASS.

Cette attitude envers la Russie ne sera pas oubliée.

 

Avant la réunion de Moscou, la Turquie avait promis un soutien militaire au GNA. En échange, le GNA avait signé un accord avec la Turquie pour délimiter une frontière maritime entre la Turquie et la Libye. Cette frontière convenue ignore les droits de la Grèce et de Chypre et ne sera jamais reconnue au niveau international. Mais la Turquie utilise l’accord pour revendiquer des droits étendus en Méditerranée orientale.

 

Une semaine après l’échec des pourparlers à Moscou, une autre tentative de négociation d’un cessez-le-feu, cette fois à Berlin, a également échoué. L’Allemagne a de nouveau tenté de faire entendre raison à Haftar, lors d’une visite en mars, mais sans résultat.

 

Pendant ce temps, le conflit s’intensifie grâce aux fournitures turques de drones et d’artillerie et aux 13 000 « rebelles syriens » engagés par la Turquie comme mercenaires pour renforcer le GNA. L’opération turque est financée par le Qatar, qui est également intervenu récemment pour arrêter la chute de la livre turque.

systèmes de défense aérienne Pantsir

Les Émirats arabes unis ont contré cette poussée turque en fournissant à la LNA davantage de systèmes de défense aérienne Pantsir, de fabrication russe, et en recrutant davantage de mercenaires en Russie et au Soudan. Face aux Pantsirs, les drones turcs sont tombés par douzaines, les lignes de front ne bougeant pratiquement pas.

 

Le 17 mai, la donne a changé. Les drones turcs ont soudainement pu frapper les Pantsirs et, en une journée, en ont détruit au moins six. Au même moment, les mercenaires russes ont reçu l’ordre de se retirer du front. Laissées sans protection, les forces de Haftar ont pour la plupart fui et le GNA a avancé. Ces cartes montrent les changements récents.

8 mai 2020

 

8 juin 2020

 

 

 

Il n’y a pas eu de fuites sur ce qui s’est passé en coulisses. Il est possible que la Turquie ait réussi à brouiller électroniquement le radar des Pantsirs afin que ses drones puissent les éliminer. Mais si elle avait cette capacité, pourquoi ne l’a-t-elle pas utilisée plus tôt ?

 

Certains pensent que la Russie en a assez des entourloupes d’Haftar et juge nécessaire de le punir pour son attitude.

 

Mais la Russie ne l’a pas complètement laissé tomber. Peu après l’attaque sur les Pantsirs, des avions de chasse russes ont été acheminés de Russie en Libye et installés sur la base aérienne d’Al-Jufra, qui est sous le contrôle de l’ALN. Ils permettront à la Russie de maintenir un équilibre entre les parties en conflit.

 

Jusqu’à présent, ce plan a bien fonctionné. Samedi, l’Égypte a annoncé un nouveau cessez-le-feu en Libye à partir d’aujourd’hui et Haftar l’a finalement accepté :

Haftar et Aguila Saleh, présidente de la Chambre des représentants basée à Tobrouk, ont participé à la conférence du Caire. Plusieurs diplomates étrangers, dont des envoyés américains, russes, français et italiens, y ont assisté. Haftar et Saleh sont des alliés.

 

Il n’y avait pas de représentants de l’administration de Tripoli, ni de ses principaux bailleurs de fonds, la Turquie et le Qatar, à la conférence.

Vendredi, le GNA a pris Tarhuna, une ville située à 60 kms au sud-est de Tripoli. Les « rebelles syriens » ont immédiatement commencé à piller la ville. Cette action a mis fin au siège de Tripoli qu’Haftar tenait depuis 15 mois.

 

La Russie aurait dit à la GNA de ne pas se déplacer plus à l’est et de respecter le cessez-le-feu qu’Haftar avait accepté. Elle veut qu’Haftar garde le contrôle de l’Est. La Russie a tracé une ligne traversant Syrte, une ville qui couvre les champs pétrolifères de l’Est, ce qui va également créer des profits pour Moscou. La base aérienne d’Al-Jufra, à 220 kms au sud de Syrte, est également censée rester sous le contrôle d’Haftar. Le pays serait ainsi divisé en deux moitiés.

 

 

 

Mais la victoire du 17 mai est montée à la tête du GNA et de ses commanditaires et leur a donné de mauvaises idées. La Turquie a soudainement changé ses objectifs de guerre :

À la lumière des derniers développements, la Turquie a identifié un nouvel objectif en Libye. Ankara ne cherche plus à forcer Haftar à participer aux négociations diplomatiques. La nouvelle mission consiste plutôt à mettre hors d’état de nuire cette source d’instabilité, cet homme qui assassine la population civile de Tripoli.

Le gouvernement du GNA a posé une condition à son acceptation du cessez-le-feu :

Le ministre de l’intérieur basé à Tripoli, Fathi Bashagha, a déclaré que la partie gouvernementale n’engagerait des discussions politiques qu’après avoir pris Syrte et la base aérienne intérieure de la Jufra, au sud. Le mois dernier, les États-Unis ont accusé la Russie de déployer au moins 14 avions sur la base pour soutenir les mercenaires russes soutenant Haftar, une accusation rejetée par Moscou.

 

Prendre Syrte ouvrirait la porte aux milices alliées à Tripoli pour faire pression encore plus loin vers l’est, afin de prendre potentiellement le contrôle d’installations pétrolières vitales, de terminaux et de champs pétrolifères que les tribus alliées à Haftar ont fermés au début de l’année, asséchant ainsi la principale source de revenus de la Libye.

Depuis vendredi, les « rebelles syriens » sous commandement turc tentent de prendre Syrte, qui est aux mains de l’ALN. Mais soudain, les avions récemment livrés par la Russie sont entrés en action. Plusieurs convois du GNA, qui se dirigeaient vers Syrte, ont été bombardés. Les drones turcs tombent à nouveau du ciel.

 

L’Égypte a commencé à positionner des équipements militaires lourds sur sa frontière occidentale. Elle ne veut pas d’une Libye contrôlée par les Frères musulmans comme voisin. La zone tampon que l’ALN d’Haftar lui fournit est une priorité pour sa propre sécurité. L’Égypte, ainsi que la France, la Grèce, Chypre et les Émirats arabes unis, ont également rejeté les aspirations turques en Méditerranée orientale.

 

Si la Russie retirait son soutien et renonçait complètement à Haftar, l’Égypte serait obligée d’intervenir en Libye. Une guerre turco-égyptienne sur le sol libyen deviendrait alors probable.

 

Les États-Unis sont quasiment restés en dehors du jeu actuel. Mais s’ils semblaient auparavant favoriser Haftar, ils ont récemment exprimé leur inquiétude quant au rôle de la Russie en Libye et ont fait quelques remarques positives à l’égard du GNA.

 

L’Europe est divisée sur la question, la France et la Grèce étant du côté de l’ANL tandis que l’Italie du côté du GNA. Il est donc impossible pour l’UE de jouer un rôle important.

 

La Russie tente de parvenir en Libye à la même situation qu’en Syrie (et en Ukraine). Elle veut geler le conflit actif en pressant les deux parties de s’en tenir à une ligne et en n’intervenant que lorsque cette ligne est franchie par l’une ou l’autre des parties. Elle continuera à faire pression pour que des négociations soient menées entre les deux parties en conflit et leurs parrains.

 

 

 

 

Troisième Guerre Mondiale en préparation:Prélude à la guerre contre l’Iran

« L’Iran a annoncé avoir mené une attaque sur des cibles terroristes en Syrie, ce 1er octobre, en représailles à l’attentat meurtrier perpétré dans la ville iranienne d’Ahvaz le 22 septembre. Les Gardiens de la révolution ont publié sur leur site internet plusieurs photographies montrant des traînées de fumées ainsi que des points lumineux dans un ciel nocturne, au-dessus d’un relief montagneux désertique.

Les nouveaux missiles iraniens peuvent frapper dans toute la région,en cas d’attaque ou même d’invasion.

« Le quartier général des responsables du crime terroriste d’Ahvaz a été attaqué il y a quelques minutes à l’est de l’Euphrate par plusieurs missiles balistiques tirés par la branche aérospatiale des Gardiens de la révolution », a ainsi écrit l’armée d’élite de la République islamique sur son site. « Selon les premières informations, de nombreux terroristes takfiri et les chefs responsables du crime terroriste d’Ahvaz ont été tués ou blessés dans cette attaque », ont-ils ajouté.

Les discours prononcés par les chefs d Etat à l’ONU se matérialisent donc. L’Iran avait prévenu que les représailles contre l’attentat perpétré sur son sol et ayant donné la mort à 25 militaires seraient terribles, voilà qui est fait. Le président Rohani avait nommément accusé les USA, et Trump en contrepoids accusé Téhéran d’aider et de soutenir le terrorisme. Jamais en reste, Israël avait sorti d’on ne sait où une photo A4 montrant un bâtiment iranien censé abriter des arsenaux atomiques. Le tout sans preuves bien entendu.

De fait, comme un enchaînement, l’Etat français a envoyé ce 2 octobre à l’aube 200 policiers faire une perquisition au Centre Zahra, siège du parti antisioniste français, tenu par des chiites favorables au Hezbollah et au Hamas, que Paris avec ses alliés qualifie de terroristes – il s’agit de partis démocratiquement élus qui ont le malheur d’être contre la politique de l’Etat hébreu.

Ce même jour, la France a gelé pour six mois les avoirs sur son sol de la direction du ministère iranien du Renseignement et de deux Iraniens, une mesure liée au projet déjoué d’attentat contre un meeting de l’opposition iranienne à Villepinte (près de Paris), le 30 juin 2018. L’un de ces deux ressortissants iraniens est Assadollah Assadi, un diplomate de 46 ans interpellé en Allemagne.

En outre, une source diplomatique française a confié à l’AFP, sous couvert d’anonymat, que le ministère du Renseignement iranien avait « commandité » le projet d’attentat contre le rassemblement de Villepinte. Evidemment Téhéran a tout nié en bloc.

A compter de la riposte iranienne, la France, sous commandement de l’Etat hébreu, serre les boulons et s’attaque donc à la dissidence, tout du moins à une certaine dissidence, sur laquelle elle pratique l’inversion accusatoire. Il s’agit d’un prélude à la guerre qui dans le futur opposera l’allié saoudien à l’Iran. Cette guerre par procuration au nom de Jérusalem, dans l’hexagone, doit partir sur des bases assainies, c’est-à-dire sur un terrain ou l’information est sous contrôle et les opposants derrière les barreaux ou empêchés de nuire. D’où ces opérations. A propos desquelles les oppositions en France, RN ou FI, toutes sous contrôle de Tel Aviv, ne trouveront, vous verrez, absolument rien à redire ».


EN RÉPONSE A DONALD TRUMP:

Khamenei promet de ne jamais «livrer l’Iran à l’ennemi»

Une photo fournie par le bureau du guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, le montre le 4 octobre 2018 saluant des dizaines de milliers de miliciens islamiques (« bassidjis ») réunis au stade Azadi à Téhéran, avant de prononcer un discours

Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a affirmé jeudi qu’il n’autoriserait « jamais » que l’Iran soit livré à ses ennemis alors que les relations entre la République islamique et les Etats-Unis sont de nouveau au plus bas.

« Faire courir l’idée, conformément aux souhaits de l’ennemi, qu’il n’y a pas d’autre solution que de se livrer à l’ennemi, c’est la pire des trahisons vis-à-vis de la nation iranienne, et cela n’arrivera pas », a déclaré l’ayatollah Khamenei dans un discours à Téhéran retransmis par la télévision d’Etat.

« Avec l’aide de Dieu, tant que je suis vivant et en capacité, et avec votre aide, je n’autoriserai jamais qu’une telle chose arrive », a ajouté le numéro un iranien devant plusieurs dizaines de milliers de miliciens islamiques (« bassidjis ») réunis au stade Azadi.

Le terme « ennemi » englobe généralement pour l’Iran l’ensemble des ennemis du pays et de l’islam, au premier rang desquels les Etats-Unis, qualifiés de « Grand Satan » par les autorités iraniennes.

Revenant sur les sanctions économiques rétablies par les Etats-Unis contre l’Iran en août après la dénonciation unilatérale par Washington de l’accord international sur le nucléaire iranien, M. Khamenei a assuré que celles-ci ne viendraient pas à bout de son pays, contrairement à ce qu’espère selon lui la Maison Blanche.

« Notre économie nationale peut surmonter les sanctions, et avec l’aide de Dieu nous les mettrons en échec, et cette défaite signifiera la défaite de l’Amérique et que l’Amérique recevra une nouvelle gifle de la nation iranienne », a-t-il dit.

Mercredi, la Cour internationale de justice (CIJ), saisie par Téhéran, a ordonné aux Etats-Unis de suspendre certaines sanctions contre l’Iran visant des importations « à des fins humanitaires ».

Une photo fournie par le bureau du guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, le montre le 4 octobre 2018 saluant des dizaines de milliers de miliciens islamiques ("bassidjis") réunis au stade Azadi à Téhéran, avant de prononcer un discours Une photo fournie par le bureau du guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, le montre le 4 octobre 2018 saluant des dizaines de milliers de miliciens islamiques.

La décision de la Cour a été accueillie comme une « victoire » par l’Iran, mais Washington a indiqué n’avoir aucune intention de suivre l’avis des juges de La Haye en annonçant mettre fin au « traité d’amitié » irano-américain de 1955 sur la base duquel l’Iran avait présenté sa plainte à la CIJ.

Le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif a réagi à cette abrogation unilatérale en qualifiant Washington de « régime hors la loi ».

L’Iran et les Etats-Unis ont rompu leurs relations diplomatiques en 1980.

 

 

Lers armes du Nouvel Ordre Mondial:Une nouvelle vidéo montre un robot ressemblant à un être humain faisant un backflip

Le nouveau développement du robot militaire Atlas.

 

 

Une nouvelle vidéo montre un robot exécutant des prouesses acrobatiques étonnantes, des backflips aux sauts de demi-tour.

Le robot bizarrement humanoïde, appelé Atlas, mesurait 4,9 pieds (1,5 mètre) de haut et pèse 165 livres (75 kilogrammes), et utilise le lidar et la stéréovision pour naviguer dans son environnement, selon Boston Dynamics, qui fabrique le robot. Atlas est conçu pour pouvoir faire face à des situations d’urgence où la vie humaine serait normalement menacée, comme entrer dans des bâtiments qui se sont effondrés après un tremblement de terre, ou traiter des patients qui ont des maladies mortelles hautement contagieuses,  selon la Défense avancée. Agence de projets de recherche (DARPA ).

Dans la vidéo, la nouvelle version de l’humanoïde fait une sorte de saut deformation appelé plyométrie , sautant entre des plates-formes surélevées, faisant un virage à 180 degrés dans les airs sur des plateformes surélevées et effectuant un backflip sur une plateforme. Bien qu’il ne puisse pas donner une course pour son argent à la gymnaste américaine Simone Biles en ce moment, le robot parvient à tenir l’atterrissage. [ Rêves mécaniques: 22 androïdes humains de la science-fiction

 

D’autres vidéos montrent le robot empilant des boîtes sur une étagère, marchant sur une promenade dans la neige avec un «ami» humain et poursuivant et ramassant une boîte qui a délibérément été déplacée hors de sa portée. Selon le site Web de Boston Dynamics, Atlas peut transporter des charges utiles allant jusqu’à 24 lb. (11 kg).

Atlas a d’autres capacités semblables à celles de l’humain, comme un sens de l’équilibre, de sorte qu’il résiste à la chute lorsqu’il est poussé, et peut se relever après une poussée féroce.

La version actuelle d’Atlas n’est pas encore aussi agile que l’humain moyen; quand il marche, il utilise une démarche maladroite ressemblant à une personne qui doit vraiment, vraiment, se rendre à une salle de bain.Et bien qu’il puisse voyager sur un terrain accidenté, la vidéo semble montrer qu’il trébuche là où un humain pourrait bien aller.   

Pourtant, la version actuelle d’Atlas est une amélioration spectaculaire par rapport à ses ancêtres: en 2013, quand il a fait ses débuts au DARPA Robotics Challenge, Atlas pesait 330 livres. (150 kg) et nécessitait un cordon d’alimentation, a rapporté Technology Review à l’époque .

Le but ultime de ce type de robot est de remplacer les humains sur les champs de bataille du futur et aussi dans les fusées d’exploration spatiale.

 

 

 

 

 

Les armes de la Troisième Guerre Mondiale:Moscou annonce que son planeur nucléaire hypersonique armé avec des ICBM est prêt

Le planeur hypersonique nucléaire mortelle qui cherche à révolutionner l’aviation de défense pourrait parcourir la distance de Moscou à Londres dans les 13 minutes et peut pénétrer lOTAN système de défense antimissile.

Après avoir lancé les premiers tests sur le premier planeur futuriste de Russie l’ année dernière dans le cadre du projet de la Russie 4202, l’avion semble être le Yu-74  qui est « prêt pour l’ action » , rapporte le Daily Star ,de Grande-Bretagne.

Un dessin d'artiste représentant le planeur russe.
Un dessin d’artiste représentant le planeur russe.

Le planeur peut voyager à une vitesse de Mach 10 (7,680MPH ou 12,3560kmh) et sera officieusement ajustement avec RS-28 Sarmat missiles balistiques intercontinentaux, bien que des détails sur les caractéristiques du planeur restent top secret. En Avril, les responsables militaires américains ont confirmé l’existence de planeur hypersonique mortelle de la Russie.

Considéré comme une première dans une course de plus en plus d’armes de l’aviation, les États-Unis et la Chine sont maintenant dépêchons pour développer des planeurs hypersoniques comparables équipés de missiles balistiques intercontinentaux nucléaires de plus en plus l’écart de la défense entre les superpuissances militaires et le reste du monde.

Le rapport sur le développement du planeur hypersonique de la Russie vient à un moment où les relations de Moscou avec l’Occident approche d’un point de basculement historique conduit plus récemment par des accusations que le président Vladimir Poutine tente d’intervenir dans l’élection politique américaine après la campagne de Hillary Clinton a lancé une allégation désespérée que le fichier de sauvegarde WikiLeaks exposant sa propre offre, rejoint par les médias et les responsables du Parti démocratique, pour renverser l’élection présidentielle 2016 était un complot des Russes.

La folie de russophobie semble avoir débordé sur les relations de défense avec les agressions fébriles sur la stratégie de Moscou en Syrie de stabiliser le régime d’Assad au moins aussi longtemps que nécessaire pour extirper Daesh et d’autres éléments djihadistes en plus de la lutte renouvelée en Crimée après que les forces ukrainiennes étaient contrecarré dans un complot terroriste, un incident qui a amené Moscou et Kiev au bord.

Il semble y avoir un peu d’opportunisme dans la déclaration de la défense des capacités de la Russie par les médias occidentaux avec des fuites récentes affirmant que l’OTAN serait outgunned par la machine militaire de Moscou si un conflit devait en résulter dans un effort transparent pour faire pression sur des crédits de défense ont augmenté pour subventionner davantage le complexe militaro-industriel occidental. 

Bien que le dernier rapport britannique Daily Star peut être en ligne avec cette veine d’exagérer la menace de la Russie, le programme des capacités militaires hypersoniques de Moscou a été un des rapports secrets et similaires ouverts sur les incroyables capacités de l’expérimental Yu-74 ont été détaillées par l’analyse de la défense webspite Ostkraft.ru qui ont déterminé que les vitesses de maniabilité et en circulation de l’avion rendraient les systèmes de défense antimissile de l’OTAN et le bouclier américain THAAD inutile.

Vue de dessous du Yu-74.
Vue de dessous du Yu-74.

 

 

 

 

Les armes du Nouvel Ordre Mondial:Le destroyer furtif américain entre en service

BATH, Maine – Le plus imposant et plus dispendieux destroyer jamais construit pour la marine américaine est entré en service mercredi.

Le destroyer furtif Zumwalt a quitté Bath Iron Works —où il a été assemblé, dans l’État du Maine — à destination de Baltimore, d’où il prendra la route de son port d’attache, à San Diego.

Le capitaine James Kirk devant le  fameux destroyer furtif .
Le capitaine James Kirk devant le fameux destroyer furtif .

Le destroyer de 185 mètres pourrait faire d’autres arrêts en chemin.

La forme angulaire du navire a été conçue pour minimiser sa signature radar. Sa coque non classique lui permet de percer les vagues plus efficacement et son rouffle composite abrite ses radars et ses capteurs. Il dispose également d’une propulsion électrique et de canons sophistiqués qui peuvent propulser des obus à une distance de près de 120 kilomètres.

Et comme il se doit, le navire le plus futuriste de la Navy est commandé par nul autre que le capitaine James Kirk.

Quelques photos et images:

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Dessin d'artiste de la marine US.
Dessin d’artiste de la marine US.

 

 

Denuit!
De nuit!

 

080723-N-0000X-001 An artist rendering of the Zumwalt class destroyer DDG 1000, a new class of multi-mission U.S. Navy surface combatant ship designed to operate as part of a joint maritime fleet, assisting Marine strike forces ashore as well as performing littoral, air and sub-surface warfare. (U.S. Navy photo illustration/Released)
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An artist rendering of the Zumwalt class destroyer DDG 1000, a new class of multi-mission U.S. Navy surface combatant ship designed to operate as part of a joint maritime fleet, assisting Marine strike forces ashore as well as performing littoral, air and sub-surface warfare. (U.S. Navy photo illustration/Released)

 

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Conspiration :20 000 kalachnikovs à bord d’un mystérieux navire arrêté en Grèce

Mitraillettes

 

Les garde-côtes grecs ont intercepté un cargo battant pavillon du Sierra Leone avec environ 20 000 fusils d’assaut Kalachnikov à son bord. La destination finale du navire, arrêté près d’Imia sur la mer Égée orientale, reste inconnue.

Le cargo Nour M, a été arraisonné jeudi soir, emmené près de l’île de Symi. Le lendemain matin, escorté par des navires des garde-côtes, il a été conduit à l’île de Rhodes.

Le capitaine turc du navire et sept membres d’équipage, dont deux Turcs et cinq Indiens, ont été placés en état d’arrestation, d’après les informations données par les garde-côtes à l’agence de presse Athens-Macedonian News Agency(ANA-MPA).

La cargaison était à la fois plus importante que celle déclarée dans le livre de bord du navire, et le capitaine n’avait pas les autorisations délivrées par les Nations Unies pour acheminer sa cargaison dans une zone de guerre.

Les garde-côtes grecs ont publié une déclaration indiquant que l’inventaire des armes et des munitions présentes à bord était en cours et que la destination exacte des armes et des munitions n’a pas encore été définie.

Outre la grande quantité d’armes, le navire transportait des explosifs en nombre. L’enquête a également déterminé que le navire avait auparavant été utilisé pour le trafic de drogue.

Des sources ont déclaré à l’ANA-MPA que le navire avait appareillé d’Ukraine, et que la destination finale du navire demeurait incertaine. Bien que les ports de Tartous en Syrie et de Tripoli en Libye avaient tous deux été déclarés comme ports de destination aux autorités maritimes, c’est le port turc d’Iskenderun qui a été désigné comme destination finale par le capitaine du navire.

Le Ministère des Affaires étrangères ukrainien a déclaré tenter de déterminer si le Nour M avait bien appareillé de son pays.

L’expert maritime Mikhaïl Voitenko a déclaré à la chaîne Vesti Ukraine que le navire a vraisemblablement chargé sa cargaison à Istanbul.

« Je pense qu’il était là dans un autre but que le transport d’armes. Il est étrange que cela ait pris deux semaines à ce navire pour aller de Nikolaev (Ukraine) en Grèce alors que la traversée prend maximum cinq jours… Que faisait-il et où était-il pendant ce temps ? Telle est la question. »

Mikhaïl Voitenko pense que le navire a probablement été arrêté à la suite d’une dénonciation.

« La présence de ce bateau en mer Noire est étrange, mais à travers les eaux territoriales grecques, il naviguait en ligne droite, donc la police n’avait aucune raison de le stopper. »

 

 

Conflits et guerres actuelles Guerres impérialistes: Seule la guerre permanente fait survivre Israël…

Le régime israélien a besoin de la guerre pour survivre

« Un analyste politique dit que le régime israélien a besoin de déclencher des guerres à travers le monde, spécifiquement au Moyen-Orient, s’il veut assurer sa survie et demeurer le récepteur principal de l’aide financière et militaire américaine, rapporte Press TV.

“Israël a besoin d’une guerre permanente pour justifier de son existence comme le receveur principal de l’aide financière et militaire américaine et aussi de démontrer que le pays demeure un partenaire et allié très important des Etats-Unis au Moyen-Orient. En fait, Israël craint la paix,” a dit Brian Becker dans une interview avec Press TV Samedi. »

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Le régime israélien a besoin de la guerre pour survivre
 

 
Un analyste politique dit que le régime israélien a besoin de déclencher des guerres à travers le monde, spécifiquement au Moyen-Orient, s’il veut assurer sa survie et demeurer le récepteur principal de l’aide financière et militaire américaine, rapporte Press TV.
“Israël a besoin d’une guerre permanente pour justifier de son existence comme le receveur principal de l’aide financière et militaire américaine et aussi de démontrer que le pays demeure un partenaire et allié très important des Etats-Unis au Moyen-Orient. En fait, Israël craint la paix,” a dit Brian Becker dans une interview avec Press TV Samedi.
L’analyste a poursuivi que Washington “avait réalisé qu’il avait besoin d’une autre force, une force par procuration (proxy), une extension de sa force militaire afin de gendarmer la région et c’est ce qu’on fait les Israéliens en envahissant l’Egypte et la Syrie et en envahissant et volant la Cisjordanie et la bande de Gaza en défiance de toutes les résolutions de l’ONU.”
De plus, Becker a dit que les Etats-Unis ont utilisé “L’Arabie Saoudite, la Turquie et la Qatar, comme forces par procuration” dans la région depuis ces deux dernières années et demies afin de “financer et d’armer” des groupes étrangers militants en Syrie pour renverser le gouvernement du président syrien Bachar Al-Assad.
Becker a aussi noté que Washington ne recherche pas la paix dans la région en disant: “Les Etats-Unis ne vont pas laisser le Moyen-Orient devenir une entité auto-déterminée et ce à cause de ses très riches capacités et ressources naturelles.”
Se référant à Israël, qui est le seul pays possédant (illégalement) l’arme nucléaire au Moyen-Orient avec une estimation de 200 à 400 têtes nucléaires, l’analyste a dit  que “Les Etats-Unis ne veulent pas désarmer Israël parce qu’ils voient Israël comme son pilier, comme son allié fondamental dans cette si tumultueuse partie du monde, également si riche en ressources naturelles.”
Le régime israélien, qui rejette tous les accords internationaux sur le nucléaire et particulièrement le Traité de Non Prolifération Nucléaire, maintient une politique volontairement ambigüe au sujet de ses activités nucléaires et refuse de permettre des inspections de ses sites nucléaires afin de ne pas se soumettre aux règlementations internationales en la matière.

(Source: Press TV,Sylvain Jonathan, Alter Info)

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