Vidéo:la mémoire perdue de l’Île de Pâques

 

 

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D’étranges statues au visage énorme, aux larges oreilles, aux orbites béantes et tournées vers le ciel se dressent dans la solitude désolée de Rapa-nui, nom donné par les Tahitiens à l’île de Pâques. Aujourd’hui encore, elles constituent une énigme majeure de l’archéologie.

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Les yeux des statues retrouvés enfouis dans le sol en 1978 et replacés dans leur orbite, accentuent le caractère grandiose et mystérieux de ces colosses.
 
Fascinants vestiges d’une civilisation ancienne peu connue, ces grandioses effigies sont différentes de celles qui peuplent les autres terres du Pacifique, et les Pascuans eux-mêmes ont perdu tout souvenir de leur signification. Elles sont aperçues pour la première fois par le navigateur hollandais Roggeveen qui débarque sur l’île, terre aride et pauvre d’origine volcanique constituant l’extrême pointe de la Polynésie, le jour de Pâques 1722: la date donne son nom à la nouvelle terre.
Souvent nommées les « têtes » ou les « bustes » les statues de l’île, les moai, dont la taille varie de un à vingt et un mètres représentent cependant une silhouette entière. Mais les visages sont si disproportionnés et énormes que le reste du corps passe inaperçu. Leur nombre est évalué à six cents environ. Elles ont été taillées dans le tuf, roche du volcan Rano Raraku, à l’Est de l’île.
 
Dans la carrière creusée dans le flanc du volcan se trouvent jusqu’à deux cents statues restées inachevées, sans qu’on puisse s’expliquer les raisons de l’abandon de ce gigantesque chantier. Les plus anciennes semblent avoir été fabriquées entre 500 et 800 de notre ère. Les moai peuvent être regroupés en deux catégories. Les premiers se dressent sur les versants du Rano Raraku et leurs corps sont recouverts de symboles. Les seconds, ornés à l’origine de couvre-chefs cylindriques appelés pukaos, ont été levés sur des autels (les âhu : murs érigés parallèlement à la côte et hauts de cinq mètres) et tournant le dos à la plage. Ils ont été renversés pendant les violentes guerres tribales du XVIIIème siècle.
 
En 1978, l’archéologue pascuan Sergio Rapu découvre dans le sol d’immenses yeux de corail blanc et de tuf rouge, ce qui infirme la théorie selon laquelle les orbites des statues avaient été volontairement laissées béantes.
 
La population pascuane, au moment de la découverte de l’île, se divise en une dizaine de clans différents sur lesquels règne un roi. Le premier d’entre eux aurait été un certain Hotu Matua, venu avec sa femme et ses compagnons d’un autre atoll polynésien en proie à la guerre. Dans les années 1950, le navigateur norvégien Thor Heyerdahl avance que les premiers habitants de cette terre ont été les descendants de Péruviens (hommes dits « aux longues oreilles ») et qu’une seconde vague d’immigration a gagné la Polynésie juste avant la découverte de l’île.
 
Mais cette thèse ne rencontre plus guère d’écho à l’heure actuelle en dépit du succès de l’expédition du Kon-Tiki, en 1947, traversée effectuée entre le Pérou et la Polynésie dans le but de démontrer l’origine amérindienne des populations océaniennes. La seule certitude en ce qui concerne les Pascuans semble être leur parenté avec les Polynésiens.
 
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Une trentaine de souverains ont succédé à Hotu Matua jusqu’en 1862. Un second roi, ou chef militaire, est aussi choisi chaque année, après une cérémonie religieuse consacrée au culte d’un Homme-Oiseau. C’est au printemps que cette fête s’organise. Elle consiste en une compétition où chaque homme doit s’emparer, avant les autres, du premier oeuf pondu par les sternes, hirondelles de mer, sur l’îlot voisin de Moto Nui. Le vainqueur (en fait, chaque concurrent est représenté par son serviteur) prend alors le nom de Tangata Manu et incarne sur terre le dieu Maké Maké, créateur de l’Univers.
 
Les ressources et la configuration de l’île expliquent que la société pascuane soit formée pour l’essentiel de pêcheurs et de cultivateurs. Très hiérarchisée, elle est continuellement en proie à des luttes violentes et le cannibalisme y est une pratique courante. Mais c’est une grande rafle d’esclaves menée en 1862 par des négriers péruviens qui lu, porte un coup fatal en décimant la quasi totalité de ses habitants. Aujourd’hui, les Pascuans d’origine ont pratiquement disparu, et l’île de Pâques, avec environ deux mille habitants, n’est plus qu’un département ci du Chili, qui l’a annexée en 1888.
Pendant longtemps, les savants se sont demandé comment les Pascuans avaient pu ériger des statues aussi imposantes. Une réponse est apportée en 1955 par Thor Heyerdahl qui, en dix-huit jours, parvient, avec l’aide d’une douzaine de Pascuans, à dresser une statue de 23 tonnes.
 
Armés de madriers, les ouvriers inclinent un côté de la statue et glissent des pierres dessous. Ensuite, ils soulèvent un peu plus la statue et recommencent l’opération jusqu’à ce qu’elle soit presque amenée à la verticale contre les pierres amassées. Puis ils finissent de la redresser avec des cordes.
 
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Mais Heyerdahl ne peut expliquer comment ont été posés les « chapeaux » des statues, lourds de plusieurs tonnes. Le transport des statues, des carrières à leur lieu d’érection, a également suscité maintes interrogations. En 1955, une expérience est tentée : les colosses de pierre sont couchés, sur le ventre, sur des traîneaux tirés par des cordes. Mais, si le problème du transport se trouve ainsi résolu, celui des matériaux nécessaires à ces différentes opérations demeure.
 
L’île, découverte en 1722, n’a qu’une maigre végétation. Enfin, en 1983, des noix de jubea, fruits d’un palmier dit du Chili, abandonnées depuis des siècles, sont découvertes. La théorie du botaniste britannique John Flenley affirmant qu’autrefois l’île était couverte d’une forêt dense est ainsi confirmée. Les Pascuans disposaient donc du matériel nécessaire à la construction des leviers et des madriers…mais ceci est une explication rationnelle de la situation:elle ne tient pas compte d’une possibilité d’intervention ,d’une aide venue …d’ailleurs!

 

 

La primhistoire :la civilisation des géants cachée par la science officielle

Cet article et cette recherche  sont dédié à la mémoire de Jacques Bergier,né le 8 août 1912.Cet homme fut  un grand précurseur  pour tous les chercheurs et Diseurs de Vérités.

 

POUR COMMENCER:DES NOTES

 

Des calculs montrent que la gravité à la surface au temps des dinosaures étaient environ la moitié de celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, sans doute, les dinosaures étaient plus grands, plus longs, plus lourds… La gravité à la surface a constamment augmenté dans le temps. Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001

« A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur. »

« Des ossements appartenant à d’autres humains grands de 3 m ont été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung, paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de 300 000 ans. » Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu

« Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu’on a trouvé dans la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes s’accompagnaient de traces géantes de pas humains. »

« Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria des empreintes fossiles de pieds de géant dont l’authenticité ne saurait être mise en doute. » Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken

Le Docteur Louis Burkhalter, qui représentait autrefois la France dans les congrès de préhistoire écrivait en 1950 dans la « Revue du Muée de Beyrouth » : « Nous montrerons clairement que l’existence d’une race d’hommes gigantesques dans la période achenléenne doit être considérée dés à présent comme prouvée scientifiquement. » Trois découvertes au moins indiquent l’existence dans le passé d’une race de géants :
- 1) le géant de Java
- 2) le géant de la Chine du Sud
- 3) le géant du Transvaal
Livre, Vers un retour aux étoiles, Erich Von Däniken, Ed. J’Ai Lu

Découverte de débris d’os d’hommes de stature gigantesque. Un, au Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java. Des traditions péruviennes font état de manière assez détaillées d’une race de géants, les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine. Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin

 

Des traces de civilisations perdues dans Death Valley apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947. Des archéologues amateurs déclarent ajourd’hui avoir découvert, dans des cavernes de Californie, une civilisation perdue d’humains de neuf pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d’une culture vieille de 80000 ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés. La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce Russel en 1931. Ont été découverts côte à côte « les restes bien conservés de dinosaures, de smilodons (félins à grandes canines), d’éléphants impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des niches. » On y découvrit des articles ménagers, des fours qui apparemment fonctionnaient avec des ondes radio. Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001

Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895. Son corps faisait 3,70 m. Il avait été découvert au cours d’opérations minières dans le comté d’Antrim, en Irlande. Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount

« Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés. » Livre, J’ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont

Des empreintes d’humains gigantesques ou de squelettes de plus de six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane

 » Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l’île de Pâques. «  Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet

L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant des milliers de tonnes -à Machu Pichu, à Ba’albeck, à Gizeh, etc…- trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques.

Dans la province d’Agadir, on aurait mis au jour un atelier d’outils préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d’autres objets, il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pèsent 8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est possible qu’à un géant d’au moins 4 mètres. Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu

Dans le passé, longtemps avant que l’histoire n’ait été relatée, des géants marchaient sur la terre. Ils étaient les jardiniers de la terre, ceux qui viennent ici pour superviser le développement de la vie sur cette planète. La race des géants n’était pas faite pour la vie terrestre, et c’est pourquoi, grâce à des moyens magiques, la taille de ces êtres diminua jusqu’à rejoindre celle des humains, et ainsi ils furent en mesure de se méler à eux sans être reconnus comme étant les jardiniers. Livre, C’était ainsi, T. Lobsang Rampa, Ed. J’Ai Lu

Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, « il y avait des géants sur la terre, des hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. » (Edgar Cayce, lecture 364) Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu

 

LES DIVERS TÉMOIGNAGES DANS L’HISTOIRE

 

Les Grecs nous ont laissé un important patrimoine de textes mythologiques où se développe une cosmogonie complexe. Leurs récits nous sont précieux au sens où ils semblent témoigner presque malgré eux. Ils nous ont fait parvenir ce que l’on croyait avant eux sont forcément partager ces croyances. Lorsque Platon nous parle de l’Atlantide, à aucun moment, il affirme y croire. Il se contente de rapporter un récit fait à Solon par un Égyptien. Cette objectivité est d’une importance capitale pour l’étude de l’existence des géants. Les Grecs semblent avoir entendu parler de la période de décadence des dieux. Ils rapportent des histoires complexes où foisonnent des batailles entre les Dieux et des géants, des titans, des cyclopes. Ainsi, à son retour de Troie, les Dieux décidèrent qu’Hercule les aiderait à se battre contre les géants car seul un mortel pouvait les vaincre.
Les géants étaient nés sur la Terre du sang d’Ouranos. Le plus célèbre était Antée, invulnérable tant qu’il restait en contact avec sa mère, la Terre. On ne pouvait le tuer qu’en le soulevant, exploit qu’Hercule accomplit facilement. Ce qu’il faut retenir de cette mythologie aussi riche que compliquée est que les hommes participèrent aux dernières luttes contre les géants et dieux, comme d’ailleurs les Toltèques l’avaient également rapporté. Notons aussi que la distinction que faisaient les Grecs entre les Dieux et les géants n’était pas très claire. Les Dieux ne sont-ils pas en fait des géants jugés bienfaisants par les hommes ? Ainsi Prométhée enseignait l’usage du feu tandis que les cyclopes sont à l’origine de la métallurgie. D’après les récits grecs, la Terre a connu diverses périodes, terminées chacune par de grandes catastrophes. Il a existé des géants, parfois bons comme Hercule ou Prométhée considérés comme des civilisateurs, des initiateurs ne pas souvent ces créatures de grande taille étaient jugées mauvaises. Par chance, ils se sont exterminés entre eux et les derniers ont été tués par les hommes. Les récits grecs, loin d’infirmer les traditions bibliques ou amérindiennes, les complètent au contraire admirablement.

L’histoire de l’Égypte représente peut-être l’énigme la plus insoluble de l’histoire de l’humanité. La civilisation égyptienne semble sortir du néant, sans aucun développement ultérieur. Bien au contraire, l’histoire égyptienne ne s’apparente qu’à une lente décadence. Les Égyptiens eux-mêmes ont toujours regardé en arrière et considéré leur première dynastie comme la grande période d’où toutes leurs connaissances leur étaient venues. Là aussi, on retrouve la mention de géants. Hérodote parle d’un géant Hercule qui aurait été un des premiers rois-dieux d’Égypte et qui n’avait rien à voir avec l’Hercule grec.

Certains textes Égyptiens affirment que les géants étaient en guerre contre les hommes et qu’ils émigrèrent en revêtant des formes d’animaux. Dans de nombreux mythes, les géants se réfugiaient dans les hauteurs lors des inondations et revenaient vers les plaines basses dans les périodes calmes. Ne peut-on pas supposer que le pharaon, imitateur des anciens dieux géant, faisait de même et que lorsqu’il n’y avait pas de montagne dans les environs, il en faisait construire une, à savoir une pyramide ? Les Thaïlandais anciens prétendaient que les hommes des premiers temps étaient d’une taille colossale. Les nordiques, quant à eux, croyaient que les premiers êtres de la création étaient grands comme des montagnes. La patrie de ses géants aurait été située vers la mythique Thulée.

Thor, le dieu du tonnerre, le fils aîné d’Odin et de la Terre, possédait un marteau, nommé Mjollnir qui ne ratait jamais son coup. Avec cette arme redoutable, il passait une grande partie de son temps à combattre les géants. Mjollnir a permis notamment aux Ases de se protéger de ces créatures démesurées. Un jour cependant, un géant le dérobe et jure de le rendre la seule condition qu’on lui permette d’épouser la déesse Freya. Thor et Loki, le dieu du Mal et de la ruse, prennent alors l’apparence de la déesse et de sa servante. Lorsque pour bénir l’union, en place Mjollnir dans le giron de Thor, ce dernier enlève son déguisement et massacre tous les géants. La mythologie nordique met très souvent en scène des géants qui apparaissent là aussi comme les ennemis des Dieux et qui semblent avoir eu des problèmes pour trouver des épouses. De la même manière qu’avec l’histoire de David et Goliath, les géants sont abattus par des armes de jet, que ce soit à l’aide d’une fronde ou d’un marteau qui revenait lui-même dans la main de son lanceur.

L’épopée sumériennes de Gilgamesh fait état d’être de grande taille et les mythes eskimos en parlent également : « en ces temps-là il y avait des géants sur la Terre. » Plus proche de nous, les chroniqueurs espagnols de la conquête du Pérou nous ont laissé des témoignages capitaux. Le dominicain Reginaldo de Lizarraga, qui vécut au Pérou de 1555 à 1599 et écrivit la descripçion y plobacion de las Indias, rapporte un mythe se rapportant à des êtres de stature incroyable. Cieza de Leon rapporte l’histoire d’une invasion de géants, recueillies auprès des indigènes de Santa Elena, Dans L’actuel Equateur : « de la mer arrivèrent sur des bateaux de balsa et de paille aussi grands que des vaisseaux des hommes si immenses qu’un homme ordinaire de bonne stature atteignait la hauteur de leurs genoux. […] Comme ils n’avaient pas de femmes et que les indigènes voulaient pas d’ux à cause de leur taille, ils pratiquaient la sodomie entre eux, sans honte ni crainte de Dieu… Les Indiens affirment que Dieu leur infligea une punition appropriée à l’énormité de leur crime. Alors qu’ils étaient ensemble, sa donnant leurs pratiques homosexuelles, un terrible feu descendit du ciel avec un énorme bruit, et il en surgit un ange resplendissant, une épé acérée et brillante à la main. D’un seul coup, il les tua tous et le feu les consuma. » Nous retrouvons encore une fois, la suppression de la race géants par une intervention divine suite à une conduite jugée répréhensible. Nous pouvons faire remarquer que Platon expliquait également la catastrophe de l’Atlantide par des causes morales.

Les hommes étant devenus pervers les Dieux se mirent en colère et éliminèrent leur création : « ils tombèrent dans l’indécence -ils apparurent laids- et le Dieu des Dieux, Zeus, qui règne par les lois, compris quelles dispositions misérables prenait cette race, d’un caractère primitif si excellent. Il voulut leur appliquer un châtiment afin de les faire réfléchir et de les ramener à plus de modération. » Suivant ce raisonnement, doit-on voir dans les géants mentionnés dans le texte biblique ou autres récits mythologiques, les descendants ou survivants de la lointaine civilisation atlantéenne.

Concernant le Pérou, le missionnaire jésuite Pedro Lozano parlait de « géants à face de chiens et aux longues dans pointus. » rencontrés près de Cuzco. Antonio Pigafetta, historien du voyage de Magellan autour du monde (1934), donna une description d’un peuple gigantesque qu’il déclarait avoir vu de ses propres yeux en Patagonie : « un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d’une stature gigantesque se présenta à nous… Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture. » Des indigènes du groupe de Malekula habitant les îles du Sud-Est de la Nouvelle-Guinée continuent à élever des mégalithes énormes en sculptant ces pierres en formes humaines. Ces monolithes sont taillés afin de représenter les ancêtres.

Ces ancêtres étaient donc à l’origine des géants. La majorité des récits mythiques évoquent des hommes de très haute stature, souvent en moeurs dissolus et qui furent anéantis par leurs créateurs. Les concordances entre les récits sont trop semblables pour qu’ils ne soient pas considérés uniquement comme des coïncidences. Tous ces textes renvoient à une histoire commune. Pourquoi cette quasi unanimité à décrire des êtres en chair et en os et d’une taille gigantesque s’ils n’avaient pas existé ?  

 

Une civilisation originelle peuplé de géants ?

 

Les géants soulèvent une interrogations quant à leur histoire, leur antériorité et leur civilisation. En effet, faut-il voir dans les textes les mentionnant un fait isolé extraordinaire où le rédacteur, surpris, se trouve confronté à un homme de grande taille, bien supérieure à la normale, comme il peut en exister de nos jours ? Ou au contraire, ses géants décrits ne sont-ils que de rares descendants, des vestiges vivant en quelque sorte, d’une antique civilisation déjà disparue au moment où les rédacteurs de textes anciens les incorporaient à leurs récits ?

Dans le chapitre III de Baruch, la Bible nous donne un étonnant tableau d’une civilisation primitive : l’humanité aurait commencé par une race gigantesque extrêmement développée intellectuellement, artistiquement et psychiquement (ces géants originels auraient ainsi eu des pouvoirs sur les oiseaux les animaux). Dieu, en raison de leur mauvaise conduite, causa leur extermination et remplaça par les hommes actuels. Baruch décrit une civilisation mondiale très ancienne mais ne donne aucune indication sur le pays de ses premiers géants civilisés : « où sont-ils les chefs des nations, ce qui maîtrisaient des bêtes de la terre, ceux qui se jouaient des oiseaux du ciel, qui amassaient l’argent et l’or en quoi les hommes mettent leur confiance, et dont les possessions n’avaient point de limite, ceux qui travaillaient l’argent avec tant de soins que leurs oeuvres sont impénétrables ?

Ils ont disparu, descendu à l’Hades, et d’autres ont surgi à leur place ; de plus jeunes ont vu la lumière qui ont habité sur la terre ; mais la voie de la science, ils ne l’ont pas connue, ils n’ont pas compris ses sentiers. […] Israël, combien grande est la demeure de Dieu, et qu’il est étendu le lieu de son domaine, grand et sans fin, élevé, sans mesure ! Là naquirent les géants fameux des origines, à la haute stature et connaissant la guerre. Ce n’est pas eux que Dieu choisit, il ne leur montra pas la voie de la science. Aussi ont-ils péri faute d’avoir la prudence, ils ont péri par leur folie. » Les géants de la Bible et des traditions sont-ils des descendants de cette race gigantesque primitive, éliminée, selon la tradition, par la colère de Dieu en raison de leur attitude infamante ?

Les témoignages rapportés par les traditions toltèques du Mexique apportent une confirmation inattendue aux éléments apportés par les textes bibliques. Les Toltèques sont encore mal connus de nos jours. Seuls quelques éléments ont été rapportés par les chroniqueurs de l’époque de la conquête espagnole. L’histoire des Toltèques écrites par Ixtlilxochitl, divise l’histoire du monde en plusieurs périodes appelés « Soleils » : la deuxième époque — le Soleil de la Terre — vit le monde peuplé de géants, les Quinametzins, qui disparurent presque entièrement parce que des tremblements de terre détruisirent la Terre.

Le Soleil du Vent fut la troisième époque, et les Olmèques et Xicalancas, races humaines, vécurent sur la Terre. Ils tuèrent les géants qui avaient survécu, fondèrent Chuchula et allèrent jusqu’à Tabasco. « Tout comme dans les récits de la bible, une civilisation peuplée de géants semble avoir dominé la Terre dans des temps très anciens. Anéantis à la suite d’un cataclysme, les quelques géants survivants furent massacrés par les humains mais ont laissé dans des récits mythologiques l’empreinte de leur existence de leur magnificence perdue.

Un souvenir inscrit dans les mémoires des civilisations.
Un souvenir inscrit dans les mémoires des civilisations.

Au moment où les mythologies ont été rédigées, les géants n’étaient déjà plus qu’un lointain souvenir mais l’élément remarquable et qu’il se retrouve dans l’histoire les cinq continents. Il faut-il en penser ? L’évidence laisserait supposer que la Terre, dans son histoire la plus reculée, a connu une civilisation de géant qui a subitement disparu pour avoir fâché les Dieux. Ce qui est indiscutable dans les mythologies qui ne sont parvenues, c’est qu’elles mettent en relief les mêmes caractéristiques en ce qui concerne ces géants.

Doit-on y voir un souvenir ancestral partagé par l’ensemble des civilisations ? Quelques questions restent encore en suspens. Qui était ces géants ? D’où venaient-ils ? Quelles étaient ces dieux courroucés qui semblent avoir regretté leur création, éliminant les géants pour les remplacer par le race d’hommes dont nous faisons partie ? Le moment de la destruction des géants correspond-il au déluge de Noé ou à la destruction de l’Atlantide comptée par Platon ? Autant de questions qui renvoient une histoire méconnue de l’humanité, une histoire qui reste encore découvrir en s’aidant des quelques indices disséminés dans les vieux textes.

Les anciens peuples et les géants

Les crânes et les ossements  de géants découverts ...eux,sont anciens.
Les crânes et les ossements de géants découverts …eux,sont anciens.
Les histoires des civilisations anciennes sont pleines de références à des êtres de dimension gigantesque, de force démesurée et détenteurs d’un Haut Savoir, influençant directement ou indirectement les sociétés humaines. Du fait de leur grande taille et leurs grandes facultés, certaines races de géants ont été considérées comme des divinités dans l’Antiquité. L’histoire de ces géants se retrouve dans différents textes anciens et cultures du monde :

~ les Nephilim et leurs descendants les Anakim et Réphaïm de la Bible,
~ le Panthéon égyptien,
~ les dieux de l’Olympe, cyclopes et titans de la mythologie gréco-romaine,
~ les dânavas de la mythologie hindoue,
~ les guerriers du Valhalla de la mythologie scandinave
~ les Annunaki chez les sumériens, bien que l’on retrouve également le terme néfilims dans leurs archives écrites en langage cunéiforme, des géants astronautes des temps immémoriaux, venus de la planète Nibiru.

Quelques témoignages :

* Les Égyptiens ont toujours considéré leur première dynastie comme la grande période d’où toutes leurs connaissances leur étaient venues. On retrouve la mention de géants. Hérodote parle d’un géant Hercule qui aurait été un des premiers rois-dieux d’Égypte et qui n’avait rien à voir avec l’Hercule grec. Certains textes Égyptiens affirment que les géants étaient en guerre contre les hommes.

* Les Thaïlandais anciens prétendaient que les hommes des premiers temps étaient d’une taille colossale.

* Les Nordiques, quant à eux, croyaient que les premiers êtres de la création étaient grands comme des montagnes. La patrie de ses géants aurait été située vers la mythique Thulée.

* Thor, le dieu du tonnerre, le fils aîné d’Odin et de la Terre, possédait un marteau, nommé Mjollnir qui ne ratait jamais son coup. Avec cette arme redoutable, il passait une grande partie de son temps à combattre les géants. La mythologie nordique met très souvent en scène des géants qui apparaissent là aussi comme les ennemis des Dieux et qui semblent avoir eu des problèmes pour trouver des épouses. De la même manière qu’avec l’histoire de David et Goliath, les géants sont abattus par des armes de jet, que ce soit à l’aide d’une fronde ou d’un marteau qui revenait lui-même dans la main de son lanceur.

* Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephaïm. Voici, son lit, un lit de fer, n’est-il pas à Rabbath, ville des enfants d’Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d’homme. Deutéronome Ch 3 verset 11. (La terre d’Og, était appelée « la terre des géants)

* les chroniqueurs espagnols de la conquête du Pérou nous ont laissé des témoignages capitaux. Le dominicain Reginaldo de Lizarraga, qui vécut au Pérou de 1555 à 1599 et écrivit « la descripçion y plobacion de las Indias », rapporte un mythe se rapportant à des êtres de stature incroyable. Cieza de Leon rapporte l’histoire d’une invasion de géants, recueillie auprès des indigènes de Santa Elena, dans l’actuel Equateur : « de la mer arrivèrent sur des bateaux de balsa et de paille aussi grands que des vaisseaux des hommes si immenses qu’un homme ordinaire de bonne stature atteignait la hauteur de leurs genoux. »

* Antonio Pigafetta, historien du voyage de Magellan autour du monde (1934), donna une description d’un peuple gigantesque qu’il déclarait avoir vu de ses propres yeux en Patagonie : « un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d’une stature gigantesque se présenta à nous… Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture. »

* Des indigènes du groupe de Malekula habitant les îles du Sud-Est de la Nouvelle-Guinée continuent à élever des mégalithes énormes en sculptant ces pierres en formes humaines. Ces monolithes sont taillés afin de représenter les ancêtres.

Mêmes les tablettes et bas-relief de Sumer en parle...tout en parlant des Annunaki.
Mêmes les tablettes et bas-relief de Sumer en parle…tout en parlant des Annunaki.

* L’histoire des Toltèques écrites par Ixtlilxochitl, divise l’histoire du monde en plusieurs périodes appelés « Soleils » : la deuxième époque — le Soleil de la Terre —vit le monde peuplé de géants, les Quinametzins, qui disparurent presque entièrement parce que des tremblements de terre détruisirent la Terre.Le Soleil du Vent fut la troisième époque, et les Olmèques et Xicalancas, races humaines, vécurent sur la Terre. Ils tuèrent les géants qui avaient survécu, fondèrent Chuchula et allèrent jusqu’à Tabasco.

* En Grande-Bretagne, appelée autrefois Albion, vivaient des géants. Après la chute de Troie (Tiens on retrouve Troie, une ville liée aux géants) un héros nommé Brutus est arrivé en Grande-bretagne avec ses soldats et a conquis le pays. Ils se sont battus avec ces géants et en ont tué la majeure partie. Mais ils ont gardé le dénommé « gog-magog » un géant de 3 mètres 50. Le site de Stonehenge est appelé « la danse des géants », il fut érigé il y a 4 à 5 mille ans, par qui ? Les plus grosses pierres mesurent 9 mètres et pèsent 50 tonnes.

* Sur les hauteurs du Golan à 80 Km de DAMAS se trouve un cercle de pierres appellé « le giga rephaïm ». Cette tombe, unique en son genre, était certainement destinée à une personnalitée importante pour l’époque. Il a fallu 40.000 tonnes de pierres pour le bâtir. Il a entre 4 à 5 mille ans.
Cette région était gérée par Og souverain du Basan. Il était le dernier géant de la race des Rephaïm. Il y avait donc plusieurs races ! La Bible nous donne la taille de son lit en fer environ 4 mètres 50 de long et 2 mètres de large.

Au Liban, selon des récits arabes, les temples de Baalbek auraient été construits par une race de géants pour le compte du roi Nemrod (Nimrod, fils de Cusch, fils de Cham, fils de Noé).

« Et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants; et nous étions à nos yeux comme des sauterelles, et nous l’étions aussi à leurs yeux. » (Nombres 13 :34) « Alors toute l’assemblée éleva la voix, et se mit à jeter des cris, et le peuple pleura cette nuit-là. »(Nombres 14 :1, Ancien Testament)….Les Anakims ou les enfants d’Anak, sont des synonymes des mots Anunnaki ou Anunna, tels qu’utilisés par Zachariah Sitchin au sujet de la civilisation sumérienne.

« Quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qui leur plurent. Et l’Éternel dit : Mon esprit ne contestera point dans l’homme à toujours; dans son égarement il n’est que chair; ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre, en ce temps-là, et aussi dans la suite, parce que les fils de Dieu étaient venus vers les filles des hommes, et elles leur avaient donnaé des enfants : Ce sont ces hommes puissants qui, dans les temps anciens, furent des gens de renom. Et l’Éternel vit que la malice de l’homme était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que mauvaise en tout temps. »(Genèse 6 ;1)

Voilà une belle preuve  dont la science officielle détourne les regards.
Voilà une belle preuve dont la science officielle détourne les regards.

* Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, il y avait des géants sur la terre, des hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. » (Edgar Cayce, lecture 364) Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu

Tout comme dans les récits de la bible, une civilisation peuplée de géants semble avoir dominé la Terre dans des temps très anciens. Anéantis à la suite d’un cataclysme, les quelques géants survivants furent massacrés par les humains mais ont laissé dans des récits mythologiques la trace de leur existence.

Il se peut que les gigantesques monuments, mégalithes, monolithes et ruines millénaires éparpillées à travers les continents, et même dans le fond des océans, soient les vestiges de cette époque antique qui a vu le règne des géants et que ces derniers aient pu également laissé leur empreinte dans la structure génétique des êtres humains (les gènes récessifs).

 

PRÉSENTER DES PREUVES

Des jarres fantastique  à présenter...
Des jarres fantastique à présenter…

 

 

La Plaine des Jarres est le nom générique donné à une région du nord du Laos située dans la province de Xieng Khuang, remarquable par la présence de champs d’imposantes jarres de pierre antiques, dont la signification et l’origine ne sont pas encore totalement élucidées.

Situation

Les principaux champs de jarres sont situés sur le plateau autour de l’ancienne ville de Xieng Khuang, aujourd’hui Phonsavan. Ce plateau a une altitude moyenne de 1 200 mètres; c’est là que se rencontrent les principales concentrations de jarres. Ce secteur a, durant les opérations de la guerre du Viêt Nam et la lutte contre les forces du Pathet Lao, été copieusement bombardé par l’aviation américaine. De nombreuses bombes non-désamorcées sont encore présentes, ce qui rend très dangereuse l’étude et la visite des zones à jarres : à l’heure actuelle, seules trois zones (site 1, 2, 3) sont ouvertes à la visite.

Au total, c’est près d’une soixantaine de sites différents qui sont disséminés sur la zone large de la plaine des Jarres dont le centre est au Laos, les principales concentrations comptant jusqu’à 250 unités. Mais on trouve aussi des sites similaires, bien que moins spectaculaires, sur le plateau de Korat en Thaïlande et en Inde du Nord, ce qui amène certains chercheurs à penser à une répartition recouvrant un itinéraire d’échanges par caravanes.

Nature des jarres

Les jarres sont disposées par groupes, sans alignement visible. Elles sont de différentes tailles, de un à trois mètres de hauteur, mesurant près de huit mètres de circonférence, pesant de 500 kg à plusieurs tonnes pour les plus grandes (qui peuvent contenir jusqu’à dix hommes debout). Elles ont été taillées dans des blocs de roches monolithiques provenant de la région : calcaire de grès, et parfois granits. Elles sont parfois à demi enterrées. On trouve aussi quelquefois, près de certaines d’entre elles, un disque de pierre ayant pu servir de couvercle. Leur forme est assez simple, souvent cylindrique, plus rarement angulaire ; les jarres ne présentent aucune décorations ni inscriptions. Aucun autre vestige architectural ou d’habitat antique n’est présent dans la région, laissant les jarres sans contexte archéologique.

Étude archéologique

La première étude archéologique des sites a été réalisée vers 1930 par Madeleine Colani de l’École française d’Extrême-Orient. Elle entreprit la fouille des alentours de plusieurs jarres, ainsi que celle d’une grotte située non loin et dotée d’une cheminée naturelle, dans laquelle furent découverts d’importantes traces de feu et des ossements humains calcinés. Elle émit alors l’hypothèse que cette grotte aurait été un incinérateur naturel lors des funérailles, et que les cendres auraient ensuite été conservées dans les jarres. Malheureusement, les éléments de datation des os retrouvés dans la grotte ou près des jarres sont très étalés dans le temps, et ne permettent pas de tirer de conclusions précises. Les travaux de Madeleine Colani restent cependant, à ce jour, la source de connaissances la plus complète dont nous disposions sur le sujet.

La communauté scientifique ne peut encore donner que des explications conjoncturelles quant à la datation de ces jarres de pierre, sur une période allant de 500 av .J.-C. à 800 ap .J.-C. ; et plusieurs théories co-existent au sujet de leur destination : urnes funéraires, stockage de nourriture ou d’eau, cuves à fermentation pour la production d’alcool… Le mystère entoure encore cette civilisation encore inconnue, et le peuple qui réalisa et utilisa ces jarres.

Légendes locales

La présence de ces énigmatiques jarres a engendré dans la population locale et au cours des siècles, de nombreuses légendes. Les plus répandues font état d’un peuple de géants qui auraient habité la région en des temps immémoriaux. D’autres parlent d’un ancien roi, Khun Cheung, qui, à l’issue d’une longue et terrible bataille, ordonna la confection des jarres pour faire fermenter et contenir un énorme volume d’alcool de riz, destiné à fêter sa victoire. Les Laotiens sont friands d’alcool de riz.
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Actuellement, des démarches sont en cours pour classer la Plaine des Jarres dans le liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO, et des campagnes de déminage sont menées par des organisations internationales.

 

AUTRES PREUVES DE DIVERSES ORIGINES

Il est criminel de refuser  d'étudier et de parler de ses découvertes...au peuple! Le peuple est plus facile à contrôler en le laissant ignorer la Vérité.
Il est criminel de refuser d’étudier et de parler de ses découvertes…au peuple!
Le peuple est plus facile à contrôler en le laissant ignorer la Vérité.

 

Photo 1Ces traces de pas font l’objet d’une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d’années )

Autres traces de pas…

Au XIX ème siècle, l’écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage « American Antiquities » page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d’un véritable carnaval d’empreintes de chevaux, d’ours, de dindes et d’hominidés à six orteils ! 
En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l’observation d’empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. 
 

Pendant l’été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d’animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d’empreintes d’hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l’Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes ( de 50 centimètres ) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
 

En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l’université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d’hominidés, certaines avec sandales, d’autres indiquant l’usage d’une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
 

En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d’environ 300 millions d’années. Parmi les traces d’ours et celles d’un animal ressemblant à un grand cheval, il y avait deux empreintes d’hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. 
 

En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l’Académie des Sciences de l’Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d’années.

Découvertes en 1908 dans les lits du Fleuve Paluxy, près de Glen Rose, Texas.des empreintes fossilisées d'humanoïdes géants de 4 mètres de hauteur, mélées à des traces de dinosaure de 120 à 130 millions d'années font l'objet d'une grande controverse . une telle découverte contredirait radicalement la géologique conventionnel.
Découvertes en 1908 dans les lits du Fleuve Paluxy, près de Glen Rose, Texas.des empreintes fossilisées d’humanoïdes géants de 4 mètres de hauteur, mélées à des traces de dinosaure de 120 à 130 millions d’années font l’objet d’une grande controverse . une telle découverte contredirait radicalement la géologique conventionnel.

 

 

Les empreintes ci-dessous ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d'années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l'érosion a finalement découverts.
Les empreintes ci-dessous ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d’années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l’érosion a finalement découverts.

 

 

En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea ( Kentucky ), annonça la découverte de dix empreintes d’hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l’analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d’un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d’années. 
Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l’on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l’on croit savoir de l’histoire de l’homme… 
 

En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l’empreinte fossilisée d’une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d’années.

 

  En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d'Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d'humanoïde a été découverte à proximité d'empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d'années ).  Selon l'Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d'eau, une boue trop liquide.  Relevé effectué par M. P. Bellin

En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d’Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d’humanoïde a été découverte à proximité d’empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d’années ).
Selon l’Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d’eau, une boue trop liquide.
Relevé effectué par M. P. Bellin

 

 

En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d'années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d’années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.

 

 

En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d’expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d’empreintes fossiles au sommet d’une colline à l’est de Tulsa ( Oklahoma ). Parmi les empreintes d’espèces animales disparues depuis 3 millions d’années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. 

Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d’Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d’années.
 
D’autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d’années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l’Oklahoma.

 

  En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l'Institut de géologie de l'Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d'années, qui ressemble à la trace d'un pied d'humanoïde.

En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l’Institut de géologie de l’Académie des Sciences de Turkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d’années, qui ressemble à la trace d’un pied d’humanoïde.

 

 

   En février 2002  James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d'une balade dans la forêt nationale de Cleveland.  En sortant des sentiers battus à la recherche d'or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d'eau il y a longtemps... très longtemps...  Snyder, qui pense qu'il pourrait s'agir de l'empreinte d'un "Bigfoot", aimerait que des scientifiques fassent l'effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d'une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d'accès pour étudier sérieusement cette empreinte...

En février 2002 James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d’une balade dans la forêt nationale de Cleveland.
En sortant des sentiers battus à la recherche d’or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d’eau il y a longtemps… très longtemps…
Snyder, qui pense qu’il pourrait s’agir de l’empreinte d’un « Bigfoot », aimerait que des scientifiques fassent l’effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d’une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d’accès pour étudier sérieusement cette empreinte…

 

 

 

A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d'un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur."
A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur. »

 

 

A Gargayan, dans la province nord des Philippines, on a trouvé le squelette d’un géant qui ne mesurait pas moins de 5,18 m. Ses incisives avaient 7,5 cm de longueur et 5 cm de largeur. »

« Des ossements appartenant à d’autres humains grands de 3 m ont été découverts dans le Sud Est de la Chine. Le Dr Pei Wen Chung, paléontologiste de renommée mondiale, affirme que ces restes datent de 300 000 ans. »
{Livre, Histoire inconnue des hommes, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu}

Le Dr C.N. Dougherty a irréfutablement démontré qu’on a trouvé dans la vallée des Géants, au Texas, des centaines de traces de sauriens de différentes espèces et, dans chaque cas, ces empreintes s’accompagnaient de traces géantes de pas humains. »

« Un archéologue australien, le Dr Rex Gilroy, directeur du Mount York Natural History Museum, a tout récemment découvert à Mount Victoria ( Arkansas) des empreintes fossiles de pieds de géant dont l’authenticité ne saurait être mise en doute. »
{Livre, Mes preuves, cinq continents témoignent, Erich Von Däniken}

Découverte de débris d’os d’hommes de stature gigantesque. Un, au Transvaal, un dans la Chine du sud et un à Java.
Des traditions péruviennes font état de manière assez détaillées d’une race de géants, les Huaris, qui auraient bâti un grand nombre de constructions cyclopéennes réparties un peu partout dans la région andine.
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 67, 12/1985, Les Géants, Serge Hutin}

Des traces de civilisations perdues dans Death Valley au Nevada apparurent dans un rapport du Nevada Hot Citizen, le 5 août 1947.
Des archéologues amateurs déclarent ajourd’hui avoir découvert, dans des cavernes de Californie, une civilisation perdue d’humains de neuf pieds de haut (2 m 74). Des ustensiles d’une culture vieille de 80000 ans (sous certains aspects plus avancées que la nôtre) ont été trouvés. La caverne avait été découvert par un physicien de Beverly Hills, Bruce Russel en 1931.
Ont été découverts côte à côte « les restes bien conservés de dinosaures, de smilodons (félins à grandes canines), d’éléphants impériaux et autres animaux éteints étaient exposés par paire dans des niches. » On y découvrit des articles ménagers, des fours qui apparemment fonctionnaient avec des ondes radio.
{Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001}

Un géant fossilisé a été mentionné dans le magazine Strand de 1895. Son corps faisait 3,70 m. Il avait été découvert au cours d’opérations minières dans le comté d’Antrim, en Irlande.
{Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, Les géants ont bel et bien existé, John Mount}

« Dans certaines cavernes du Tibet, des ossements humains gigantesques ont été retrouvés. »
{Livre, J’ai vécu sur deux planètes, Phylos, Ed. Robert Laffont}

Des empreintes d’humains gigantesques ou de squelettes de plus de six mètres de long ont été découverts lors de fouilles archéologiques.
{Livre, Famille de Lumières, Barbara Marciniak, Ed. Ariane}

 » Les géants furent les premiers constructeurs de cités cyclopéennes dont les vestiges existent encore sur l’île de Pâques. « 
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 31, 07-08/1982, Michel Coquet}

L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant des milliers de tonnes -à Machu Pichu (Pérou), à Ba’albeck (Liban) , à Gizeh (Égypte) , etc…- trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques.
Dans la province d’Agadir (Maroc) , on aurait mis au jour un atelier d’outils préhistoriques vieux également de 3000 siècles. Parmi d’autres objets, il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pèsent 8 kg et leur préhension exige un écartement de doigts qui n’est possible qu’à un géant d’au moins 4 mètres.
{Livre, Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, Robert Charroux, Ed. J’Ai Lu}

Un squelette humain de 4mètres 57 a été trouvé dans la vallée de l’Euphrate, au sud-est de la Turquie, dans les années 50. Pendant la construction d’une route. Beaucoup de tombeaux contenant des géants ont été découverts là-bas.

Maximinus Thrax Ceaser de Rome en 235-238 après J-C, avait un squelette de 2mètres 59.

Goliath était grand d’environ 2 mètres 75 + ou – quelques cm. Voir 1 Samuel 17.

Le Roi Og, cité dans le Deutéronome 3:11 dont le lit en fer mesurait approximativement 4 mètres 30 de long et 1mètre 80 de large. Le Roi Og devait mesurer ‘au moins 3 mètres 60.

Un squelette humain de 5 mètres 94 a été trouvé en 1577, Après J-C, sous un chêne déraciné dans le canton de Luzerne.

Un squelette de 7 mètres a été trouvé en 1456,, près d’un fleuve vers Valence, en France.

Un squelette de 7 mètres 90 environ, a été trouvé en 1613, près du château de Chaumont en France. Ce squelette, est décrit comme étant presque complet.

Incroyable et presque au-delà de la compréhension, fut la trouvaille de deux restes humains (distincts) de 11 mètres chacun, découvert par des Carthaginois quelque part entre 200-600 Av J-C. (Un pied = égal 30,48 cm. Un pouce = 2,54 cm.)

Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans une mine de houille italienne.

Un squelette humain de 2 mètres 64 a été récupéré sous un monticule en pierre, un tombeau, à Brewersville, en Indiana, en 1870 Un squelette humain de 3 mètres 50 a été trouvé dans le lit du lac mineur Humbolt (nanovolt) en juin 1931.

Un squelette humain de 3 mètres 66 a été trouvé par des soldats dans le ranch de Lompoc, Californie en 1883.

Certains insectes géants, comme les sauterelles, mesuraient dans le passé 61 cm .

Une humanoïde de 2 mètres 14 et plusieurs autres de ces mamans ont été trouvées en Chine dans les années ’96’.

Des chameaux grands de 6 mètres 10 et des humains géants ont été trouvés. Ils ont été trouvés dans le Texas, en Arizona, en Ohio, en Europe, et particulièrement au Moyen-Orient. Tout ce qui contredit la « religion » d’état disparaît systématiquement. Lorsqu’un géant est trouvé le musée ou tout autre organisme l’ayant trouvé reçoit bourse, argent pour une étude avec le système gouvernemental.

Source:http://www.angelfire.com/

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Dans le passé, longtemps avant que l’histoire n’ait été relatée, des géants marchaient sur la terre. Ils étaient les jardiniers de la terre, ceux qui viennent ici pour superviser le développement de la vie sur cette planète.
La race des géants n’était pas faite pour la vie terrestre, et c’est pourquoi, grâce à des moyens magiques, la taille de ces êtres diminua jusqu’à rejoindre celle des humains, et ainsi ils furent en mesure de se méler à eux sans être reconnus comme étant les jardiniers.
{Livre, C’était ainsi, T. Lobsang Rampa, Ed. J’Ai Lu}

Avant la première destruction de l’Atlantide, la taille variait beaucoup, car en ce temps là, « il y avait des géants sur la terre, des hommes d’au moins trois ou quatre mètres, et bien proportionnés. » (Edgar Cayce, lecture 364)
{Livre, Visions de l’Atlantide, Edgar Cayce, Ed. J’Ai Lu}

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Livre de Baruch

3:24 O Israël, comme elle est grande la maison de Dieu, comme il est vaste le domaine qui lui appartient!
3:25 Il est grand et n’a pas de fin, il est élevé et sans mesure!
3:26 C’est là que furent engendrés les fameux géants, ceux du commencement, de haute stature et versés dans l’art de la guerre.
3:27 Ce n’est pas eux que Dieu a choisis, ni à eux qu’il a indiqué le chemin de la science;
3:28 et ils périrent, car ils n’avaient pas de discernement; ils périrent à cause de leur irréflexion.

http://www.bibleetnombres.online.fr/bible6nc/baruch.htm

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Aussi dans la bible

 

Genèse ch 6 verset 1 à 4

1 Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées,

2 les fils de Dieu [ anges ] virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent.

4 Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité.

 

On mentionne effectivement dans la Bible, à plusieurs reprises, la présence de populations de taille largement supérieure aux Hébreux, comme les Rephaïm, les Émites et les Anaqites (Dt 2,10; 3,2; Jos 15,13-14).

On dit que ces Nephilim seraient disparus au moment du Déluge (Sg 14,6) suite à une condamnation de Dieu à cause de leur révolte : conséquence de la supériorité que leur conférait « leur force » (Si 16, 7) ou leur habilité dans « l’art de la guerre » (Ba 3,26) « quand le souffle de Dieu eut été retiré » de leur être comme le dit Jean-Chrysostome.

http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2008/clb_080627.html

 

 

 

1911 : des géants roux

Dans le Nevada, des mineurs entreprirent en 1911 d’exploiter les riches dépôts de guano de la grotte Lovelock.
Rapidement, ils tombèrent sur des vestiges indiens et surtout sur une momie de 1,98 mètre de haut, aux cheveux roux.
Les légendes des Indiens Païoute parlent d’une tribu de géants roux, les Si-té-cah, jadis ennemis mortels des indiens de la région.

 

En 1912, l’université de Californie de Berkeley et la Société d’histoire de l’état du Nevada, dépêchèrent un scientifique.
Malheureusement, l’exploitation du guano avait tout bouleversé et il ne put récupérer que quelques objets.

Au cours des années suivantes, on découvrit d’autres fossiles dont des fémurs qui appartenaient à des individus d’au moins 1,80 mètre, taille remarquable pour l’époque et le lieu.

Les anthropologues admettent que des Indiens roux ont existé dans l’Ouest américain. Cependant, nulle part on ne fait mention d’un peuple de géants roux.

Des dimensions à couper le souffle.
Des dimensions à couper le souffle.

Géants crânes et ossemens 003

 

Géants crânes et ossemens 004

 

 

Géants crânes et ossemens 005

 

 

AUTRES DÉCOUVERTES

Os humain au Névada
En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune. Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres. La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.

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La photo a été publiée en 1895. Ce géant découvert dans le Comté d’Antrim en Irlande, est plus haut que le wagon sur lequel il est appuyé. Cet homme monstrueux passe pour avoir été déterré par un Mr. Dyer qui prospectait pour trouver du minerai de fer dans le Comté d’Antrim. Les principales mensurations sont: La longueur totale de 12 pieds 2 . La circonférence de sa poitrine, 6 pieds 6 . Sa longueur de bras, 4 pieds 6. Il avait six orteils au pied droit. Son poids « brut » est 2 tonnes.

 

Notons qu'il était bien conservé, sans doute par momification.  Mr. Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa découverte bizarre et l'a exposée à Liverpool et Manchester demandant six pence par visite. Ensuite Mr Dyer a payé un certain Kershaw pour s'occuper de l'affaire et la trace du géant a ensuite disparu.  Beaucoup de découvertes « dérangeantes » pour la « science officielle » ont été détruites depuis quelques siècles, et surtout depuis l'avènement du « darwinisme » et de son évolution unique des espèces, ce incluant l'humanité et une soi-disant origine unique, jamais prouvée !
Notons qu’il était bien conservé, sans doute par momification.
Mr. Dyer, après avoir montré le géant à Dublin, est venu en Angleterre avec sa découverte bizarre et l’a exposée à Liverpool et Manchester demandant six pence par visite. Ensuite Mr Dyer a payé un certain Kershaw pour s’occuper de l’affaire et la trace du géant a ensuite disparu.
Beaucoup de découvertes « dérangeantes » pour la « science officielle » ont été détruites depuis quelques siècles, et surtout depuis l’avènement du « darwinisme » et de son évolution unique des espèces, ce incluant l’humanité et une soi-disant origine unique, jamais prouvée !

 

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ARABIE SAOUDITE

Squelettes de géants retrouvés

En 2004, on a découvert en Arabie Saoudite un squelette humain de proportions extraordinaires.

  Cette découverte retentissante a été faite par le Aramco Exploration team, l'équipe de prospection de la compagnie pétrolière Saoudienne Aramco. La photo ci-dessus a été prise par l'helicoptère d'Aramco.  Les Saoudiens pensent qu'il s'agit là des restes du peuple d'Aad, des géants anciens dont on parle dans le Coran. La zone a été sécurisée par l'armée Saoudienne et l'information aurait dû rester secrète, mais cette photo a pu filtrer sur Internet.  Fait troublant, un deuxième squelette vient d'être mis à jour en Irak, dans la partie Kurde au nord du pays. http://chezluc.blogspot.com/2006/04/dcouverte-de-deux-squelettes-de-gant.html

Cette découverte retentissante a été faite par le Aramco Exploration team, l’équipe de prospection de la compagnie pétrolière Saoudienne Aramco. La photo ci-dessus a été prise par l’helicoptère d’Aramco.
Les Saoudiens pensent qu’il s’agit là des restes du peuple d’Aad, des géants anciens dont on parle dans le Coran. La zone a été sécurisée par l’armée Saoudienne et l’information aurait dû rester secrète, mais cette photo a pu filtrer sur Internet.
Fait troublant, un deuxième squelette vient d’être mis à jour en Irak, dans la partie Kurde au nord du pays.
http://chezluc.blogspot.com/2006/04/dcouverte-de-deux-squelettes-de-gant.html
…et les découvertes ,tout comme la recherche (même sousterraine,sans  financement) continuent!Je suis vos yeux et vos oreilles…ma mémoire est aussi la vôtre!
Michel Duchaine
Chercheur et Diseur de Vérité

Des faits sur la grande pyramide d’Égypte

Voici  pour vous,de nombreux faits sur la Grande Pyramide de Gizeh

Pyramide de Khéops 001

 

La Grande Pyramide un véritable chef-d’œuvre et a bien mérité le titre d’une  » merveille » . Il a été construit avec une telle précision que notre technologie actuelle ne peut pas le reproduire . Il ya tellement de faits intéressants au sujet de cette pyramide qu’il chicanes archéologues , des scientifiques, des astronomes et des touristes .

La pyramide est estimée à près de 2,3 millions de blocs de pierre qui pèsent de 2 à 30 tonnes chacun et il y a même des blocs qui pèsent plus de 50 tonnes .
La pyramide de Mykérinos , la pyramide de Khéphren et la grande pyramide de Khéops sont précisément alignées avec la constellation d’ Orion .
La base de la pyramide couvre 55 000 m2 ( 592 000 pi 2 ) de chaque côté plus de 20 000 m2 ( 218 000 pi2 ) de superficie.
La température intérieure est constante et égale à la température moyenne de la terre , 20 degrés Celsius ( 68 degrés Fahrenheit ) .
L’ enveloppe extérieure est composée de 144 000 pierres de revêtement , tous très poli et plat avec une précision de 1/100e de pouce , environ 100 pouces d’épaisseur et pesant environ . 15 tonnes chacune.
Les fondations de pierre angulaire de la pyramide sont  capable de faire face à l’expansion de la chaleur et de tremblements de terre .
Le mortier utilisé est d’origine inconnue ( Oui , aucune explication donnée ) . Il a été analysé et sa composition chimique est connue, mais il ne peut pas être reproduit . Il  est plus fort que la pierre et tient toujours aujourd’hui.
Elle  a été à l’origine recouverte de pierres de revêtement ( en calcaire poli ) . Ces pierres de revêtement reflètent la lumière du soleil et faisaient  briller la pyramide comme un bijou . Ces pierres  ne sont plus actuellement utilisé par les Arabes pour construire des mosquées ,car après un tremblement de terre au 14ème siècle , beaucoup d’entre eux se sont défait . Il a été calculé que la pyramide d’origine avec ses pierres de revêtement agirait comme des miroirs gigantesques et réfléchir la lumière avec une force  si puissante qu’elle serait visible de la lune comme une étoile qui brille sur la terre . Appropriée , les anciens Égyptiens appelaient la Grande Pyramide  » Ikhet  » , ce qui signifie la  » lumière glorieuse  » . Comment ces blocs ont été transportés et assemblés dans la pyramide reste  encore un mystère . –

Pyramide de Khéops 003

Sources: http://www.gizapyramid.com/general.htm
Alignée Franc Nord  : La Grande Pyramide est la structure la plus précise aligné dans l’existence et face nord vrai avec seulement 3/60 ième  d’un degré d’erreur . La position du pôle Nord se déplace dans le temps et la pyramide a été alignée exactement en même temps.
Centre de gravité terrestre : La Grande Pyramide est situé au centre de la masse terrestre de la terre . Le parallèle est / ouest qui traverse la plupart des terres et le nord / sud méridien qui traverse la plupart des terres se coupent en deux endroits sur la terre , l’un dans l’océan et l’autre à la Grande Pyramide .
Les quatre faces de la pyramide sont légèrement concave ,c’est la seule pyramide à avoir été construite de cette façon.
Les centres des quatre côtés sont en retrait avec un degré extraordinaire de précision formant le seul chiffre  8  (par rapport aux  faces de la pyramide) , cet effet n’est pas visible depuis le sol ou à distance, mais seulement à partir de l’air , et seulement dans les conditions d’éclairage appropriées . Ce phénomène est seulement détectable dans l’air à l’aube et le coucher du soleil sur le printemps et l’ automne équinoxes , quand le soleil jette des ombres sur la pyramide .
Le coffre de granit dans la «Chambre du Roi » est trop gros pour passer à travers les passages et il doit avoir été mis en place lors de la construction .
Le coffret a été réalisé dans un bloc de granit solide . Il aurait fallu des scies de bronze de  8-9 m de long fixées avec des dents de saphirs . Pour le creusement de l’intérieur , il faudrait exercer  des pressions  tubulaires du même matériau, appliqué avec une force verticale énorme .
L’analyse microscopique du coffre révèle qu’elle a été faite avec un foret de point fixe qui utilise des bits de  diamants  durs et une force de forage de 2 tonnes .
La Grande Pyramide a une porte d’entrée pivotante . Des portes pivotantes ont été trouvés dans deux autres pyramides : le père et grand-père de Khéops , Sneferu et Huni , respectivement .
Il est rapporté  ,d’après les exégètes de l’époque que lorsque la pyramide a été divisée  pour que la porte  soit pivotante , elle pesait environ 20 tonnes .Elle  était si bien équilibrée qu’elle  pouvait être ouverte  en poussant de l’intérieur avec une force minime , mais quand elle était  fermée , elle était si parfaitement  ajustée  qu’elle  ne pouvait guère être détectée et il n’y avait pas assez de fissure ou une crevasse visible  sur les bords pour obtenir une prise de l’extérieur.
Avec le manteau en place , la Grande Pyramide pourrait être vu de la montagne en Israël et probablement de  la lune aussi .
Le poids de la pyramide est estimée à 5.955.000 tonnes . Multiplié par 10 ^ 8 ,cela donne une estimation raisonnable de la masse de la terre .
Le Passage Descendant souligné l’étoile polaire Alpha Draconis , vers 2170-2144 av. Ce fut l’étoile du Nord à ce moment-là . Aucune autre étoile n’a été aligné avec le passage depuis.
L’arbre dans le sud de la Chambre du Roi a souligné l’étoile Al Nitak ( Zeta Orionis ) dans la constellation d’Orion , vers 2450 avant notre ère .La constellation d’Orion a été associé au dieu égyptien Osiris . Aucune autre étoile n’a été  aligné avec cet arbre  depuis  ce temps dans l’histoire .
Sun Radius : Deux fois le périmètre du fond en  granit ,soit des caissons de  10 ^ 8 est le rayon moyen du soleil . [ 270.45378502 cm Pyramide * 10 ^ 8 = 427,316 miles ]
La courbure conçue  dans les faces de la pyramide correspond exactement au rayon de la terre .
La pyramide de Khéops , connue sous le nom de la Grande Pyramide de Gizeh , est la  plus ancienne et la  plus importante  pyramide  , passant à 481 pieds ( 146 mètres) . Les archéologues disent que c’était la plus haute structure du monde pendant  environ 3 800 ans.
La relation entre Pi ( p ) et Phi ( F ) est exprimée dans les proportions fondamentales de la Grande Pyramide.

Imaginez-vous en train de faire un feu et de vous reposer  le soir,près de cette merveille!
Imaginez-vous en train de faire un feu et de vous reposer le soir,près de cette merveille!

Ré-écrire l’histoire:notre archéologie est censurée depuis le début

Une véritable cohabitation   .
Une véritable cohabitation aurait existée entre les dinosaures et les humains.Une civilisation avancée aurait vécue avant la nôtre .
« La liberté des chercheurs est un mythe et la neutralité scientifique n’existe pas » Pierre Bourdieu


Alors même que l’Homme pense être dans une démocratie à l’abri de tout type de censure, il est loin de se douter que sur des sites archéologiques, des objets historiques ne rentrant pas dans les normes de la théorie générale, sont écartés de la recherche scientifique.  Il y a un véritable tri sélectif qui se fait presque spontanément par la communauté scientifique. Les anomalies historiques qui existent en abondance, rentrent en contradiction avec notre vision darwiniste du passé.  Ainsi depuis plus d’un siècle, l’archéologie ne peut plus avancée car les scientifiques ne font plus attention à ces objets anachroniques.

Heureusement,  cette archéologie censurée est dénoncée par une poignée de scientifiques courageux qui ont affronté les critiques au péril de leur carrière. Voici une liste ici  (cliquer sur le lien) non exhaustive de ces vrais chercheurs en quête de la vérité sur nos origines.

Michael Cremo  témoigne:

«  Au cours des 150 dernières années les archéologues et anthropologues ont caché autant de fait qu’ils n’en n’ont mis à jour. »

Richard Thomson :

« On appelle cela le filtrage des connaissances. C’est une caractéristique fondamentale de la science et même de la nature humaine. L’homme a tendance à mettre de côté ce qui ne cadre pas. Les personnes ayant fait des études scientifiques n’en entendent généralement pas parler. C’est une autocensure qui se fait de manière spontanée au sein de la communauté scientifique « 

Jean Steen-Mackintyre :  » En 1966, on a découvert un site antique dont on a d’abord cru qu’il datait de  20 000 ans. On trouvait ca déjà très ancien. Mais quand on a finalement obtenue les datations avec plusieurs méthodes, le site s’est révélé vieux de  250 000 ans. Je m’en suis tenu aux datations. Je n’ai pas compris que cela pouvait compromettre ma carrière » Depuis ce jour toutes les portes professionnels lui sont restées closes. Le site a été fermé avec interdiction de reprendre les fouilles …

Si c’est pas de la censure ca !!

Les archéologues sont quasiment tous dans le même moule de pensée. Ils fondent leur théorie sur un cadre, n’osant pas pousser les limites de ce cadre.

Will Hart, journaliste d’investigation scientifique, dans son article « l’archéologie censurée »:

  »L’establishment scientifique tend à rejeter, à supprimer ou à ignorer les informations qui remettent en question les théories reçues, tout en discréditant ou en persécutant le messager. La science moderne est devenue un labyrinthe de filtres dressés pour promouvoir certaines théories orthodoxes, et pour éliminer les données préjugées inacceptables. les preuves et la qualité ne sont plus les principes directeurs; la conformité et les références au sein de la communauté établie ont remplacé l’objectivité, l’accessibilité et l’ouverture. »

Jean Steen-Mackintyre :  » En 1966, on a découvert un site antique dont on a d’abord cru qu’il datait de  20 000 ans. On trouvait ca déjà très ancien. Mais quand on a finalement obtenue les datations avec plusieurs méthodes, le site s’est révélé vieux de  250 000 ans. Je m’en suis tenu aux datations. Je n’ai pas compris que cela pouvait compromettre ma carrière » Depuis ce jour toutes les portes professionnels lui sont restées closes. Le site a été fermé avec interdiction de reprendre les fouilles …

Si c’est pas de la censure ca !!

Les archéologues sont quasiment tous dans le même moule de pensée. Ils fondent leur théorie sur un cadre, n’osant pas pousser les limites de ce cadre.

Will Hart, journaliste d’investigation scientifique, dans son article « l’archéologie censurée »:

  »L’establishment scientifique tend à rejeter, à supprimer ou à ignorer les informations qui remettent en question les théories reçues, tout en discréditant ou en persécutant le messager. La science moderne est devenue un labyrinthe de filtres dressés pour promouvoir certaines théories orthodoxes, et pour éliminer les données préjugées inacceptables. les preuves et la qualité ne sont plus les principes directeurs; la conformité et les références au sein de la communauté établie ont remplacé l’objectivité, l’accessibilité et l’ouverture. »

Pyramide Japon

Nous n’avons pas idée combien d’artéfacts ou de dates ont été qualifiés d’ « erreurs » et mis à l’écart ou égarés en « circulaires » pour ne jamais revoir le jour.

La tactique classique consistant à discréditer ceux qui osent douter ou remettre en cause les dogmes scientifiques en place a prouvé son efficacité. A chaque fois que quelqu’un ose parler d’une civilisation engloutie, il est écarté de la communauté scientifique.

Pourtant c’est souvent ceux qui sont considérés de fou qui le sont le moins. Prenons par exemple, Heinrich Schliemann le célèbre archéologue allemand qui découvrit le site antique de Troie. Au départ, personne ne le prenait au sérieux lorsqu’il disait : « la guerre de Troie a eu lieu ». De même aujourd’hui, les archéologues qui croient à l’existence de l’Atlantide ne sont pas reconnus par la communauté scientifique. Saviez-vous au juste que H. Schliemann avait commencé à enquêter sur l’Atlantide car il pensait que ce mythe était en réalité un fait historique, comme la ville de Troie !

N’est-ce pas légitime de douter de la théorie selon laquelle l’origine de l’évolution culturelle ne peut remonter au-delà de Sumer, 4.000 ans av. J.C ?

Le darwinisme n’est plus  une simple théorie mais c’est devenue un diktat scientifique.

Une question évidente se pose alors : Pourquoi l’archéologie est-elle censurée ? Est-ce par fainéantise, afin de ne pas reprendre toute l’Histoire à zéro, que les archéologues ne veulent pas révéler au public ces  anomalies archéologiques ? Ou bien est-ce parce qu’on veut nous cacher une vérité inimaginable ? Dire que des civilisations ont vécu avant le déluge est un blasphème scientifique… et pourtant cette théorie prend toute sa place si l’on prend l’ensemble des objets archéologiques sans faire de tri et sans trafiquer leur date de fabrication.

Galilée disait « le doute est le père de la création ? »… pourquoi aujourd’hui empêche-t-on les archéologues de douter de la théorie officielle ?

Dinosaures et humains

Russell Carlson, professeur de biochimie & biologie moléculaire, disait très justement :

« Limiter l’enseignement à une seule idée porte un préjudice aux étudiants parce que c’est inutilement restrictif, malhonnête, et intellectuellement myopique. »

Le mensonge historique est devenu un sport international ! Jean-François Revel commence son livre La connaissance inutile par la phrase suivante :

 «  La première de toutes les forces qui mènent le monde est le mensonge »

Et comme l’a si bien dit Jean-Jacques Rousseau    :

« La falsification de l’histoire a fait plus pour méconduire les hommes que n’importe quelle autre chose de l’humanité.

D'ou vient la civilisation engloutie au large de Cuba?
D’ou vient la civilisation engloutie au large de Cuba?

Christian Gérini :

La science joue elle-même plus qu’à son tour un rôle dans la censure, tant par ses formes propres de reconnaissance et d’expertise que par ses oukases, et nous aborderons donc aussi rapidement cet aspect. Au nom des paradigmes dominants, les tenants de la parole et de la reconnaissance associées à ces paradigmes peuvent exercer une autorité de censeurs parfois sans concession et sans pitié.

Il s’agit alors d’une privation de parole scientifique par les scientifiques eux-mêmes. Ce cas n’est évidemment pas à confondre avec celui des pseudo- scientifiques que nous avons mentionnés plus haut. Une science honorable, avérée et reconnue peut, lorsque ses règles de production du savoir ou du discours ne sont pas respectées, censurer le trublion de diverses manières. En le privant d’accès aux publications par exemple. En le désignant comme un charlatan, un pseudo-scientifique. En insistant sur les défauts de sa formation, l’absence de titres conférant le droit à la parole.

 

 

 

 

 

Le modèle Kumari : les humains auraient-ils évolué à partir de l’océan Indien?

La Terre  suivant la thèse du Modèle Kumari...à l'origine de l'évolution humaine.
La Terre suivant la thèse du Modèle Kumari…à l’origine de l’évolution humaine.

 

Au cours des dernières décennies, les scientifiques ont accumulé une énorme quantité de preuves montrant que les humains ont évolué en Afrique avant de migrer dans le reste du monde. Néanmoins, quelques idées alternatives existent comme le « modèle Kumari », avancé par AR Vasudevan. Vasudevan est l’auteur de Ariens: Qui sont-ils?  dans lequel il fait le cas  sur le modèle Kumari, ainsi que plusieurs commentaires sur le web  où il fait également valoir sa théorie en sa faveur.

Mais pour  tout ce qui touche  le modèle Kumari,  devrions- nous faire attention à Vasudevan et son livre ?

Le modèle Kumari  parle des origines de l’homme en affirmant  que les êtres humains n’ont pas évolué en Afrique, mais plutôt, qu’ils sont originaires d’un continent situé  dans l’océan Indien connu comme étant la  » terre Kumari », qui a été avalé par la mer il y a environ 14,000 années. Cette région « Atlantesque »  était immense, reliant l’Inde à l’Afrique et s’étendant vers le sud  jusqu’en  Antarctique. Comme les humains ont migré hors de la  terre Kumari et remplis le reste du monde, ils ont pris deux routes, l’une en Afrique de l’Ouest et de l’Est en Inde. Ceux qui allèrent  en Inde ont continué de migrer vers le nord, pour finalement s’installer en Europe et dans le reste de l’Asie,par la suite.

 

Vasudevan prétend qu’il y a beaucoup d’éléments de preuve en faveur de cette origine indienne des Européens, à son tour, accréditant particulièrement  le modèle Kumari. La plupart des éléments  de cette thèse  provient du projet Genographic : il s’agit d’un effort fait  par le National Geographic ,afin de retracer comment les gènes se sont déplacés dans le monde entier. Cela a conduit à des découvertes qui fournissent des preuves pour le modèle Kumari comme:

  • La découverte que  Européens sont plus étroitement liés aux Indiens que les Africains (parce qu’ils faisaient partie de la même migration venant de la  terre Kumari)
  • Le projet Genographic révélant que la migration européenne a commencé en Inde
  • Le fait que les humains sont divisés en deux groupes pour près de cent mille ans (ils ont migré dans des directions différentes  à partir de la  terre Kumari)

Ces revendications font certainement un argument convaincant pour le modèle Kumari. Mais avant d’aller chercher les preuves dans  l’océan Indien pour le  véritable  berceau de l’humanité, il est intéressant de souligner que ce ne sont pas réellement les résultats du projet Genographic.

Par exemple, Vasudevan affirme que le projet Genographic a découvert que la migration vers l’Europe est originaire de l’Inde, et non pas de  l’Afrique, et ont redessiné leur carte de migration humaine en conséquence.

« Sur le projet géographique. . .il a été  déclaré que  ». . . [les preuves  génétiques] soutiennent l’existence d’ une route au sud de celle de la migration de Bab-el-Mandeb,le fameux détroit en Arabie, avant de tout mouvement vers le nord. . . « . En conséquence, ils ont redessiné la carte de la migration des Eurasiens  qui commence à partir de l’Inde du Sud. . . Cela rend la migration eurasienne exactement telle que celle  montrée  dans le livre [ Ariens: Qui sont-ils ] pour faire accepter  le côté scientifique. »

Toutefois, si vous allez sur le site du projet Genographic, vous trouverez qu’ils n’ont pas redessiné la carte pour demontrer que les Européens sont originaires de l’Inde . C’est parce que pour  la migration vers le sud à travers l’Arabie, ils se réfèrent que ce n’est pas la même migration qui a donné lieu à celle des Européens. Au contraire, il y avait un groupe d’humains qui ont suivi la côte du Moyen-Orient, autour de l’Inde et vers le bas dans l’Indonésie et l’Australie. Ainsi l’Inde du Sud a joué un rôle particulier dans la migration humaine, mais c’était dans le mouvement migratoire vers  l’Australie, mais pas en Europe.

 

La carte basée sur les données du projet Genographic. La découverte dont ils parlent est la flèche du bas menant à l'Australie. Notez comment elle ne va pas à l'Europe. A noter également l'absence de flèche menant de l'Inde à l'Europe.
La carte basée sur les données du projet Genographic. La découverte dont ils parlent est la flèche du bas menant à l’Australie. Notez comment elle ne va pas à l’Europe. A noter également l’absence de flèche menant de l’Inde à l’Europe.

 

Vasudevan soutient également

« Une autre conclusion du  projet Genographic est « l’homme antique a commencé sur le chemin de l’évolution en deux espèces distinctes avant de fusionner de nouveau dans une seule population. Les deux populations ont vécu dans l’isolement pendant 10.000 ans « . Selon le modèle Kumari, la population africaine était un sous-ensemble de la population Kumari jusqu’à 60,000 années avec une histoire génétique commune. Par conséquent, la conclusion importante du  » Genographic Project »  s’inscrit parfaitement dans le modèle Kumari. »

Encore une fois, cela représente mal  les résultats du projet Genographic. Ils n’ont pas trouvé que les Européens et les Africains avaient été séparés pendant des siècles ,pendant qu’ ils ont migré dans des directions différentes de la terre Kumari.Non, la divergence qu’ils ont identifié était entre deux populations africaines est donc totalement incompatible avec son petit modèle.

En fait, la seule fois  que Vasudevan ne représente pas mal le projet Genographic, c’est quand il parle de la façon dont les Européens sont plus étroitement liés aux Indiens que les Africains. Bien sûr, ce qu’il ne dit pas, c’est que c’est exactement ce que vous vous attendez à trouver dans le modèle dominant de la migration hors d’Afrique.

L’effet de goulot d’étranglement, en montrant comment les migrations conduisent à une  diversité réduite.

Quand un petit segment de la population migre dans un nouvel  environnement, ils emportent avec eux un petit segment de la diversité génétique des populations d’origine. Toutes les migrations que cette population moins diversifiée  rencontre  à son  tour, contiennent cette diversité réduite et ainsi se rapprochent (par parenté) de la première migration de la population d’origine. En d’autres termes, nous nous attendons à ce que  les groupes humains  qui sortent  de la migration hors d’Afrique, se ressembleront davantage  les uns aux autres que davantage à  la population africaine d’origine.

Alors, quand Vasudevan fournit un compte rendu exact du projet Genographic, il soutient son modèle. Dans tous les autres cas ,les véritables conclusions  ne prêtent aucun crédit à l’idée que nous avons évolué dans la terre mystique de Kumari. Cependant, je ne pense pas que l’absence totale de preuve génétique est le plus gros problème avec l’hypothèse Kumari. Non, le dernier clou dans le cercueil provient de cartes Topo de l’océan Indien.

Vasudevan affirme que le niveaux de la mer ,il ya 14.000 ans ou plus,était de 130 mètres plus bas, ce qui explique pourquoi le continent Kumari était au dessus du niveau de la mer. Cependant, si vous regardez les cartes de l’océan Indien, il devient évident que pour avoir quelque chose d’aussi grand que Kumari,la mer aurait effectivement due être  de 3000 mètres plus bas. Elle n’a pas été aussi bas pendant des  millions d’années, et n’aurait certainement pas été à ce niveau , lorsque les humains auraient été au-début de leur  évolution.

Même sans aucune preuve génétique indiquant qu’il y avait eue  une migration de la terre de  Kumari, et aucune preuve géographique il y avait même un Kumari, je me sens assez confiant dans le modèle de l’étiquetage de Vasudevan .

 

Sources: Le livre de Vasudevan

 

 

 

 

Aux frontières de l’inexplicable et de l’impossible

La Voix de la Russie et d’autres sources russes font état que d’une pièce d’équipement en aluminium ,évalué à plus de  300 millions d’années  qui a été trouvé près de  Vladivostok. Les experts affirment qu’il s’agit d’ un rail de vitesse qui semble avoir été  fabriqué, et non le résultat de forces naturelles.

Une pièce d'aluminium particulière.
Une pièce d’aluminium particulière.

Selon Ioulia Zamanskaya, quand un résident de Vladivostok allumait un  feu lors d’une froide soirée d’hiver, il a trouvé un dispositif de métal en forme de rail qui  était  enfoncé dans l’un des morceaux de charbon que l’homme utilisait  pour chauffer sa maison. Hypnotisé par sa découverte, le citoyen responsable a décidé de demander l’aide des scientifiques de la région de Primorye.

Après que l’objet métallique a été étudié par les experts de premier plan, l’homme a été choqué d’apprendre l’âge théorique de sa découverte. L’artefact métallique était soi-disant vieux de 300 millions d’années, et les scientifiques ont suggéré qu’il n’a pas été créé par la nature, mais a plutôt été fabriqué par quelqu’un d’intelligent.

Un engrenage ...préhistorique?
Un engrenage …préhistorique?

La question de savoir qui aurait pu faire un engrenage en aluminium ,à l’époque dite préhistorique,reste sans réponse.

La découverte ressemble à un rail métallique denté, créé artificiellement. C’est fabriqué  comme  les parties qui sont souvent utilisés dans les microscopes, divers dispositifs techniques et électroniques.

Aujourd’hui, trouver un étrange artefact dans le charbon est relativement fréquent. La première découverte de ce genre a été faite en 1851, lorsque les travailleurs de l’une des mines du Massachusetts ont  extrait un vase d’argent incrustés de zinc à partir d’un bloc de charbon, qui date de  l’ère cambrienne, qui était il y a environ 500.000.000 années .

Découverte en 1851.
Découverte en 1851.

Soixante et un ans plus tard, les scientifiques américains de l’Oklahoma ont découvert un pot de fer qui a été pressé dans un morceau de charbon âgé de  trois cent douze millions d’années (312.000.000 années).

Un pot incrusté dans le charbon.
Un pot incrusté dans le charbon.

Puis, en 1974, une partie d’assemblage d’aluminium d’origine inconnue, a été retrouvé dans une carrière de grès, en Roumanie.

Réminiscence d’un marteau ou un pied de support d’un vaisseau spatial(?), la pièce remonte à l’ère jurassique, et n’aurait pas pu être fabriqué par un être humain.

Une pièce   très ancienne...trop pour les scientifiques!
Une pièce très ancienne…trop pour les scientifiques!

Toutes ces découvertes laissent non seulement perplexes les experts, mais aussi ont sapé les doctrines les plus fondamentales de la science présumée moderne.La science « officielle et rationaliste »!Cette science-là nous dit que ces découvertes sont tout simplement impossibles,parce qu’elles dérangent l’ordre établi.Actuellement,il y a beaucoup de professeurs d’université qui ne servent plus à rien,parce qu’ils répètent uniquement ce qui est accepté comme vrai et écrit dans les « livres qu’ils tiennent,dans leurs mains ».

Une origine inconnue,indéfénissable.
Une origine inconnue,indéfinissable.

Une autre question qui intéresse les scientifiques russes est de savoir si l’alliage d’aluminium est d’origine terrestre . Il est connu qu’ à partir de l’étude des météorites qu’il existe de l’aluminium -26 extra- terrestre qui se modifie  ensuite au fil du temps, pour le magnésium -26 .

La présence de deux pour cent (2%)  de magnésium dans l’alliage peut également signaler  l’origine étrangère de l’artefact d’aluminium. Il pourrait également être la preuve d’ un certain passé , d’une civilisation inconnue sur Terre . Néanmoins , des études  supplémentaires sont nécessaires pour confirmer cette hypothèse .

Il s’agit de la première découverte du genre ,faite à partir de  charbon ,en Russie , selon la  chercheuse et biologiste  Valery Brier , qui a pris des échantillons microscopiques d’ aluminium pour les tests. Valery a exécuté  les analyses aux rayons X ,afin d’évaluer le dégré de diffraction du métal .

Elle a démontré qu’il s’agit d’ aluminium très pur avec des microimpuretés de magnésium de seulement 2 à 4 pour cent  (2 à 4%). Une analyse a également été réalisée par  une sommité  de l’Institut Saint-Pétersbourg de  physique nucléaire, Igor Okunev qui a confirmé l’âge du matériau ,selon Natalia Ostrovsky.

Tout en explorant des échantillons de carottes (échantillons de roche) qui ont été prélevés à une profondeur de 9 mètres pendant le forage des fonds marins, pour soutenir un  pont sur ​​une île russe près du Cap Nazimova , ils ont découverts des alliages métalliques étranges qui ont été  » conservées  » dans le grès préhistorique ,vieux de  deux cent quarante millions d’années (240.000.000 d’années ) .

Les pièces d’alliages spéciaux ont une composition inhabituelle , et elles n’étaient manifestement pas utilisées dans les machines de forage .

Il n’y a pas si longtemps en Russie un dispositif mécanique a été trouvé dans la roche volcanique qui a été daté de quatre cent millions d’années (400.000.000 d’années) avant l’ère actuelle ( BCE ).

Quelles explications nous fournira la science officielle sur ces engrenages préhistoriques?
Quelles explications nous fournira la science officielle sur ces engrenages préhistoriques?

Ce paquet d’engrenages fossilisés a  été trouvé sur la péninsule de Kamchatka à  une distance de  150 miles du village de Tigil, par les archéologues de l’Université de Saint-Pétersbourg, entre quelques fossiles très étranges. La fiabilité des découvertes a été certifiée.Les fossiles et les engrenages faisant partie du même ensemble,il est impossible de fabriquer ce genre de faux.

Selon l’archéologue Yuri Golubev, cette découverte  fossilisée proche  d’autres ossements d’animaux préhistoriques a étonné et embarrassé les  experts , car c’était une sorte de machine prise dans le même environnement que les fossiles d’animaux.(1)

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La coexistence des humains (?) avec les dinosaures

Théorie officielle sur l’évolution de l’homme

Depuis plus de 150 ans, les théories officielles sur l’évolution de l’espèce humaine nous ont permis d’aboutir sur le schéma suivant :

Les premiers représentants des hominidés étaient les australopithèques apparus il y a environ 4,5 millions d’années puis notre arbre généalogique a été bouleversé avec la découverte en 2002 de Toumaï âgé de 6 à 7 millions d’années. L’homme moderne est issu d’une lente évolution.

Cette évolution a donc produit une suite d’espèces d’hominidés dont nous sommes l’ultime et la plus aboutie de toute la lignée.
Partant de ce schéma, aucun homme moderne n’a pu vivre avant le quaternaire.

Tous les paléontologues sont d’accord sur un point et tous les livres nous le disent : L’homme moderne (homo sapiens) est apparu il y a entre 300 000 et 100 000 ans.

D’une manière très schématique :

Toumaï • Australopithecus • Paranthropus • Homo habilis • Homo ergaster • Homo erectus • Homo sapiens

Ce schéma est en fait beaucoup plus complexe et ne cesse de bouger en fonction des dernières découvertes et théories.

Résumé des périodes clefs

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de se souvenir de quelques dates clefs. Les scientifiques ont déterminé quatre périodes :

Ère primaire • ère secondaire • ère tertiaire • ère quaternaire

Ère primaire : de la formation de la Terre au Permien soit de 4 600 Ma à 250 Ma. Au tout début, la vie n’existait que dans l’eau. Apparition pendant cette ère des premiers nautiloïdes, plantes, arachnides terrestres, reptiles et insectes terrestres.

Ère secondaire : Du Trias au Crétacé soit de 250 Ma à 65 Ma. Apparition des premiers dinosaures, mammifères, oiseaux. Extinction des dinosaures.

Ère tertiaire : Du Paléocène au Pliocène soit de 65 Ma à 1,75 Ma. Apparition des premiers chevaux, félins, singes. Les mammifères se diversifient et deviennent prédominants. De l’avis général, l’homme moderne ne peut en aucun cas exister.

Ère quaternaire : Notre ère actuelle. Apparition des premiers hominidés qui déboucheront sur l’homme moderne.

Élément de cohabitation No.1:

Les crânes humains fossilisés:

Actuellement, on recherche des fossiles d’hominidés dans des lieux géologiques dont les sédiments correspondent aux dates en accord avec la théorie officielle.

Si d’autres hominidés ont existé auparavant, on les trouvera dans des couches plus anciennes, dans un état fossile plus avancé.

Mais si on trouve effectivement des fossiles encore plus anciens, cela veut dire, soit qu’il faut ajouter une partie plus ancienne à l’histoire de l’homme et donc également revoir son évolution, soit, si l’on continue à proclamer que les premiers hominidés n’ont que 4 millions d’années au mieux,qu’il faut revoir toute la géologie.

C’est sur ces ambiguïtés que, dans certains états américains, les créationnistes ont obtenu le droit d’enseigner à l’école leur théorie, en la présentant comme plus fiable que celle née du Darwinisme.

Nous devons ce retour à l’obscurantisme moyen-âgeux au fait que les scientifiques refusent même d’étudier ces fossiles impossibles sous prétexte qu’ils servent les vues créationnistes.

Une fois de plus, comme pour la parapsychologie, ou bien le phénomène OVNI, le serpent se mord la queue et la place est laissée vacante aux charlatans de tout poil.

Les scientifiques se défendent en nous expliquant qu’une bonne théorie repose sur un vaste éventail de preuves contre quelques exceptions de-ci de-là.
C’est une attitude dogmatique, anti-scientifique car c’est à partir des exceptions que naissent de nouvelles théories.


Voici donc quelques-unes de ces exceptions, ces fossiles impossibles, qui mériteraient une étude sérieuse, même si c’était pour les invalider !


  • Crâne de lignite de Freiberg En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite  vieux de 15 à 50 millions d’années.
    Cet objet fait partie de la collection de l’Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
    •  
    • A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d’une mine d’or de Table Mountain près de Needles en Californie.
      En 1863, un disque en pierre ( à meuler ?) ainsi qu’un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell. 
      En 1866, M. Mattison, propriétaire d’une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.
      Ce crâne âgé de 12 millions d’années est d’un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l’imbrication naturelle des gravats.
    • Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d’argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman ( Colorado ).
      La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d’années.
    • En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
      Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
      La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.
    • Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d’un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d’une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin ( Missouri ), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.
      Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d’autres restes ( un fémur, des vertèbres et d’autres morceaux de bois carbonisés ), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
      L’âge estimé de ce minerai est de 425 millions d’années.
    • En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l’archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l’émail s’était transformé en carbone et les racines en fer. 
      Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d’années.
      Cette découverte ne suscita l’intérêt d’aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l’oubli.
    • En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d’Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d’un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
      De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d’années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
    • En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d’os et des dents.
      Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d’anthropologie à l’Université de l’Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.
      Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d’apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d’années.
      Les fossiles furent ramenés à l’université pour une datation, non révélée jusqu’à présent, et le professeur Marwitt fut muté…
    • Oreopithécus En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, on a retrouvé le fossile d’un hominidé âgé de 12 millions d’années, baptisé Oreopithécus.
  • Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy ( Pennsylvanie ), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
    Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous.

Découverte de Conrad 001

Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde
Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d’un grand anthropoïde
Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d'un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé.
Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d’un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu’un crâne d’hominidé.

D’autres fossiles pétrifiés d’os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au « Smithsonian Institute » qui refusa de faire une étude poussée. Des os d’hominidés pétrifiés de 280 millions d’années, c’est impossible donc… sarcasmes, moqueries… Attitude classique des scientifiques devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des créationnistes.
C’est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.
Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c’est à dire que, selon la science officielle, « Dame Nature » aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d’hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l’emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens ( visibles seulement au microscope ).
Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !

L’HOMO-ALAOUITE

En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet ( Maroc ), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d’un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d’années !

Une nouvelle espèce d'humains non-reconnue par la science officielle. Le  pofesseur Mahommed Zarouit  lui donnant le nom de homo-alaouite .
Une nouvelle espèce d’humains non-reconnue par la science officielle.
Le pofesseur Mahommed Zarouit lui donnant le nom de homo-alaouite .
Une petitesse remarquable.
Une petitesse remarquable.

 Le minuscule crâne de Tafilalet, nouvellement découvert dans le désert du Tafilalet au Sud-Est du Maroc, se caractérise par son faible volume crânien ( 30 fois moindre que l’homo sapiens ), et par sa morphologie de type humain.

  Ce crâne singulier présente toutes les caractéristiques morphologiques du genre Homo :

 

      • Position du trou occipital : centrée, tête en équilibre.

 

 

      • Mâchoire : courte, parabolique.

 

 

      • Angle symphysaire : obtus, se positionne en retrait.

 

 

      • Front : haut et bombé, comme l’arrière crâne.

 

 

      • Formule dentaire : estimée à 32 dents, insérées verticalement

 

 

  Les paramètres crâniens de ce fossile humain sont absolument étonnants :

 

      • Circonférence : 18,4 cm

 

 

      • Angle facial : 81 º

 

 

      • Hauteur : BP = 3,9 cm

 

 

      • Longueur : NQ = 6,1 cm

 

 

    • Rapport hauteur sur longueur : ± 0,639

  Il s’agit, bel et bien, d’un petit Homo bipède adulte, à en juger par les dents de sagesse bien présentes.

  Cependant, l’homme de Tafilalet présente des caractéristiques très particulières :

 

      • Une petite capacité crânienne de ± 45 cm³, c’est à dire 30 fois moins que l’homo sapiens. Pourtant, par rapport au volume crânien, cela paraît indiquer une grande encéphalisation.

 

 

      • Une taille atypique : estimée comprise entre 30 et 40 cm de hauteur !

 

 

  Bien que, l’homme de Tafilalet soit d’aspect moderne, sa petite capacité crânienne et sa taille évaluée à 40 cm au plus, nous empêchent de le classer parmi les Homo sapiens. Nous sommes donc, en face d’une nouvelle espèce humaine ( Homo alaouite ) et non d’un Homo sapiens souffrant de microcéphalie.

  Dans le monde de la paléoanthropologie, Il y a un précèdent : l’homme de Flores ( Homo floresiensis ), découvert sur l’île de Flores ( Indonésie ), dont la taille est estimée à un mètre seulement et sa capacité crânienne à trois fois moins que l’Homo sapiens ( 380 cm3 ).

 

Rarissime : une mandibule en parfaite connexion !

  L’excellent état de conservation, la mandibule en parfaite connexion, les fosses nasales intactes, les orbites sans traces de sédiments, tous ces éléments m’amènent à formuler l’hypothèse suivante justifiant en même temps ces faits : 
  La tête de l’Homo alaouite fut enlevée et enterrée à part. En effet, on peut partir de l’idée qu’après la mort, la tête a été mise dans un sarcophage particulier et en position verticale avant l’inhumation. 
  Le squelette post-crânien devrait être enterré à proximité. Il serait nécessaire d’effectuer d’autres fouilles minutieuses sur le site et les zones avoisinantes.

  Ce rite d’enterrement est d’ailleurs connu des historiens et archéologues :

  En 2005, sur le site archéologique de Téouma à l’Est de l’île d’Efate ou Vaté, île principale de l’archipel de Vanuatu, une équipe archéologique conduite par le professeur australien Matthew Spriggs a découvert séparément des ossements humains et un crâne enfoui dans un pot.

  Le professeur Spriggs avait alors déclaré que : « … Sur ce site, le crâne n’est pas avec les autres ossements. Cela signifie que la tête de chaque individu fut enlevée et mise à part. Le crâne que nous venons de découvrir dans un pot laisse penser que ses origines sont ici en Asie. A l’Est de l’Asie jadis, à la mort d’un être humain, on enlevait la tête et on la mettait dans un pot avant de l’enterrer à part. C’est exactement ce que les archéologues ont découvert dans des sites archéologiques en Asie orientale. »

  On a toujours contesté au petit crâne de Tafilalet le fait que la mandibule soit encore adhérente. Sous prétexte que ce n’est le cas d’aucun des hominidés découverts jusqu’à présent sur le globe. Et avec l’arrivé de Dikika ( Sélam 3,3 millions d’années ) et sa mâchoire encore associée au crâne, l’impossible est devenu possible. Ce qui a obligé Monsieur J-L Le Quellec, Directeur de recherches au CNRS, à confesser son erreur avec courage et honnêteté de chercheur. 

À côté de la petite pièce de monnaie:la comparaison est sans équivoque.
À côté de la petite pièce de monnaie:la comparaison est sans équivoque.

Authenticité

  Sur l’image on dirait un faux crâne sculpté dans la pierre, toutefois en présence de ce spécimen, on est frappé de stupeur : la conservation étant parfaite, le crâne bien proportionné, et les traits dessinés dans les moindres détails ; tout cela fait douter de son authenticité. 
  C’est ce qui m’a amené à faire faire des radios X. Bien que ces résultats soient positifs, il était nécessaire de procéder à d’autres examens plus poussés pour avoir plus de certitude. Pour ce faire, j’ai dû demander une expertise médicale. Le Dr Alaoui Abdelkader, radiologue et directeur de CHP Moulay Ali Chrif d’Errachidia, que je tiens à remercier vivement, a bien accepté ma demande et par suite un rapport m’a été délivré, ainsi qu’une copie sur CD-Rom des différentes coupes TDM sous format DICOM.

Le professeur Zaraouit et sa découverte.
Le professeur Zaraouit et sa découverte.

« Les résultats sont fascinants et je suis vraiment étonné devant la plasticité biologique de ce crâne », avait affirmé le Dr Alaoui dans une déclaration à la MAP ( Maghreb Arabe Presse ), soulignant que « les informations numériques ( densités ) issues du scanner sont conformes aux valeurs de densité osseuse ».

 

Détails du crâne
Détails du crâne

Sutures crâniennes

  Sur les images de l’Homo alaouite, on peut remarquer que le profil droit est légèrement différent du profil gauche. En fait, le profil droit est couvert par un dépôt sédimentaire, tandis que le profil gauche est presque nu. 
  Sachant que le petit crâne n’a pas été nettoyé par précaution afin de ne pas laisser de traces qui auraient pu être interprétées comme traces d’usinage. La seule explication logique que je puisse formuler est que ce dépôt sédimentaire est le résultat de l’infiltration de l’eau par le haut du sarcophage juste au niveau de profil droit, sachant que la tête est en position debout.

LA DÉCOUVERTE

 C’est dans un remblai de sable mélangé avec de la terre riche en fossiles du dévonien que l’Homo alaouite a été retrouvé. Ce remblai qui reposait au fond d’une fosse de 2 à 3 mètres de profondeur, est né à la suite des travaux du dégagement des blocs de marbre à l’aide des machines.

  Le lieu de la découverte est l’une de ces multiples petites carrières à ciel ouvert, qui s’étalent dans la région d’Erfoud, le long d’un filon de marbre qui, alternativement, fait surface puis replonge en profondeur.

  Les marbres calcaires du désert du Tafilalet contiennent de nombreux fossiles marins, comme les Orthocères et les Goniatites. On y trouve aussi des fossiles de poissons très primitifs, les poissons cuirassés du Dévonien. Ces fossiles qui font la particularité des marbres d’Erfoud, se trouvent aussi dans le sable, en dehors de toute connexion géologique et même dans les strates de terre friable séparant les couches de marbre.

  Il est difficile de savoir de quand date exactement ce crâne. Il n’y a pas de preuve absolue, comme par exemple une empreinte en creux dans la roche. Cependant, le crâne a été découvert sur un terrain de Dévonien, ce qui donne une idée sur son âge qui pourrait biochronologiquement dater de 360 millions d’années !

  J’aurais bien aimé faire une datation absolue mais je ne vois, malheureusement pas de technique non destructive applicable à ce fossile.

  La technique du carbone 14, par exemple, en plus de son caractère destructif est inopérationnelle car, on a besoin d’environ 1 g de carbone pur, soit 200 g d’ossements ; et le crâne de Tafilalet ne pèse que 100 g ( os + sédiments ).

  De plus, la technique  » potassium-argon 40K/40Ar  » est aussi inapplicable. En effet, si elle a permis de dater Lucy, c’est parce que les os de ce fossile ont eu la chance d’être enrobés dans une roche éruptive ; ce n’est pas le cas pour le petit crâne du Tafilalet.

  D’autres fouilles, dans le désert du Tafilalet et les régions avoisinantes doivent être entreprises afin de découvrir d’autres ossements ou des outils en miniature. Si l’on aboutit, ce serait la preuve qu’une tribu d’hommes en miniature vivait dans la région. Et cela nous aiderait à mieux dater l’Homo alaouite
  En l’absence momentanée de datation précise, on se trouve devant deux et uniques possibilités avantageuses :

 

 

      • Soit le crâne est très vieux et dans ce cas l’Homo alaouite serait notre ancêtre avec ses 40 cm de hauteur.

 

 

      • Soit le crâne est récent et dans ce cas l’Homo alaouite serait témoin de l’existence d’hommes miniatures qui vivent parmi nous, sans qu’on s’en aperçoive !

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  Le livre de l’Histoire de l’Espèce Humaine n’est pas encore achevé. 
  Peut-être que l’homme est bien plus vieux qu’on le croit, et qu’il y avait eu des civilisations qui se sont éteintes… comme on risque de le faire… 
  Cette chronologie étonnante ferait apparaître l’homme à plus de 130 millions d’années avant les premiers dinosaures ! 
  Il est probable que les ancêtres humains étaient petits à l’origine ( les australopithèques ne faisaient qu’un mètre environ ) et que des petits hommes de 40 cm pouvaient donc être issus d’une humanité déjà en miniature ( comme celle des hominidés de l’île de Flores ).

  Cette hypothèse va dans le sens de ce qu’a déclaré Pascal Tassy, professeur au Muséum ( MNHN ) au Figaro à propos de la découverte au Maroc en juin 2005, d’un mini éléphant dont la taille corporelle ne devait pas dépasser celle d’un renard : 
  « Cela signifie que même les éléphants ont commencé petits ». 

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LES EMPREINTES  D’HUMAINS COEXISTANTS AVEC LES DINOSAURES

Traces dites "homologuées", car elles cadrent parfaitement avec le dogme ; elles ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d'années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l'érosion a finalement découverts.

Traces dites « homologuées », car elles cadrent parfaitement avec le dogme ; elles ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d’années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l’érosion a finalement découverts.

Celles-ci font l'objet d'une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d'années )  Même si les traces que l'on aperçoit au premier plan sur la photo du haut  ( à droite ) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l'érosion ait pu les transformer en celles que l'on peut voir dans la photo en dessous.

Celles-ci font l’objet d’une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d’années )
Même si les traces que l’on aperçoit au premier plan sur la photo du haut ( à droite ) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l’érosion ait pu les transformer en celles que l’on peut voir dans la photo en dessous.

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On ne s’étendra pas ici, dans les détails de cette controverse virulente, où :

  • comme à Glozel, un scientifique, farouchement opposé à l’authenticité du site, a été surpris muni d’une barre de fer en train de détériorer ces traces, sans doute pour prouver qu’elles avaient été gravées par l’homme,
  • comme à Ica, l’exploitation commerciale du site a entraîné son pillage et la fabrication de nombreuses empreintes, vendues aux touristes et servant d’alibi à la communauté scientifique pour invalider cette découverte.

D’autres empreintes d’hominidés ont été trouvées, notamment en Arizona à Tuba city, également à proximité de traces de dinosaures, mais elles sont moins nettes car fortement érodées.


Voici une liste non exhaustive d’autres empreintes impossibles :

    • Au XIXsiècle, l’écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage « American Antiquities » page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d’un véritable carnaval d’empreintes de chevaux, d’ours, de dindes et d’hominidés à six orteils !
    • En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l’observation d’empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. 
    • Pendant l’été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d’animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d’empreintes d’hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l’Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes ( de 50 centimètres ) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
    • En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l’université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d’hominidés, certaines avec sandales, d’autres indiquant l’usage d’une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
    • En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d’environ 300 millions d’années. Parmi les traces d’ours et celles d’un animal ressemblant à un grand cheval, il y avaitdeux empreintes d’hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. 
    • En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l’Académie des Sciences de l’Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d’années. 
    • En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea ( Kentucky ), annonça la découverte de dix empreintes d’hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l’analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d’un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d’années.
      Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l’on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l’on croit savoir de l’histoire de l’homme…  
    • En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l’empreinte fossilisée d’une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d’années. 

    • En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d’Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d’humanoïde a été découverte à proximité d’empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d’années ).
      Selon l’Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d’eau, une boue trop liquide.
      Relevé effectué par M. P. Bellin
    • Sandale de Meister En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d’années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
    • En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d’expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d’empreintes fossiles au sommet d’une colline à l’est de Tulsa ( Oklahoma ). Parmi les empreintes d’espèces animales disparues depuis 3 millions d’années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. 
    • Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d’Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d’années.D’autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d’années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l’Oklahoma.

  • En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l’Institut de géologie de l’Académie des Sciences deTurkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d’années, qui ressemble à la trace d’un pied d’humanoïde.
  • Empreinte de Ramona C’est en février 2002 que James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d’une balade dans la forêt nationale de Cleveland.En sortant des sentiers battus à la recherche d’or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d’eau il y a longtemps… très longtemps…Snyder, qui pense qu’il pourrait s’agir de l’empreinte d’un « Bigfoot », aimerait que des scientifiques fassent l’effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d’une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d’accès pour étudier sérieusement cet empreinte…

    Il attend toujours…

    Et nous aussi…

……………………………………………………………………………………….

MAIS D’OU VIENNENT CES HOMMES ET CES DINOSAURES?

Les dinosaures sont apparus sur Terre il y a environ 240 millions d’années, pratiquement en même temps que les premiers mammifères ( ce que l’on oublie souvent ! ). Et l’on nous raconte qu’ils ont régné sans partage jusqu’à leur disparition brutale( * ) et totale il y a 65 millions d’années.

Différentes théories se sont succédées pour tenter d’expliquer cette soudaine extinction mais aucune ne semble totalement satisfaisante.

EXTINCTION DES DINOSAURES

Une grande question demeure :
pourquoi tous les dinosaures auraient-ils disparu et pas les crocodiles par exemple…?
Ne serait-il pas plausible d’envisager que, lors de cette dernière extinction massive – comme lors des précédentes – de nombreuses espèces aient disparu mais quelques spécimens aient pu survivre en nombre réduit, plus ou moins longtemps…

Si c’était le cas on en retrouverait quelques traces…


Pratiquement toutes les mythologies font état de dragons légendaires, de griffons et autres créatures fantastiques. Aucun lien ne peut être clairement établi entre ces dragons mythiques et les dinosaures tels que nous les connaissons aujourd’hui. Du moins, c’est la thèse officielle.
On peut tout au plus supposer que la découverte occasionnelle de restes pétrifiés ou bien d’empreintes fossiles ait pu être à l’origine ces légendes. Il existe des indices sérieux appuyant cette thèse, comme par exemple le fameux vase du Monstre de Troie.

On peut voir sur ce vase le crâne fossile d'un dinosaure émergeant d'un affleurement érodé.  L'historienne américaine Adrienne Mayor affirme que cela fait des grecs les premiers paléontologues de notre civilisation.
On peut voir sur ce vase le crâne fossile d’un dinosaure émergeant d’un affleurement érodé.
L’historienne américaine Adrienne Mayor affirme que cela fait des grecs les premiers paléontologues de notre civilisation.

La première découverte moderne d’os de dinosaure pétrifié eu lieu en 1677, en Angleterre. On l’attribua alors à un éléphant, et ce n’est que près d’un siècle plus tard qu’il fut identifié comme appartenant à un reptile géant, pas encore un dinosaure

On connaît bien maintenant les difficultés qu’ont éprouvées les premiers paléontologues modernes quand il s’agissait d’extrapoler, à partir des rares fossiles, les animaux qui ont jadis dominé la planète. Ils ont commis un grand nombre d’erreurs.
Comment expliquer dès lors, ces représentations fidèles de nos ancêtres ?
Etaient-ils plus compétents que nos paléontologues modernes ou bien ont-ils simplement décrit ce qu’ils ont vu ?
Tout autour du globe…
Et à différentes époques…

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LES PIERRES D’ICA:

Représentation éloquente...
Représentation éloquente…

Pierre d'ica002

Sur ces pierres découvertes au Pérou, témoignages d’une civilisation très ancienne disparue, on peut voir de nombreux dinosaures, certains chassés, d’autres chevauchés… 

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LA GROTTE DE BERNIFAL:

Représentation d'un mammouth.
Représentation d’un mammouth.

La grotte de Bernifal, située en Dordogne ( France ), est mondialement renommée pour ses 110 gravures et peintures rupestres, notamment ce magnifique mammouth tracé à l’argile ( figure du haut  ). Mais on montre moins l’image en dessous  qui semble montrer un dinosaure affrontant un mammouth…

Mammouth et...dinosaure?
Mammouth et…dinosaure?
Détails agrandis.
Détails agrandis.

 

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LES FIGURINES D’ACAMBARO:

M.Julsrud,archéologue allemand.
M.Julsrud,archéologue allemand.
En 1923, Waldemar Julsrud, commerçant d’origine allemande, et le « padre » Fray José Marie Martinez découvrirent le site archéologique de Chupicuaro datant de l’époque pré-classique et contenant des vases, des bols et des figurines de la plus ancienne culture indienne connue, nommée d’après le site et datant jusqu’à 1 000 ans avant J.C., ( antérieure aux indiens Tarascans, la plus vieille culture indiennne connue à cette époque ).
Cette découverte « classique » ne souleva d’autre polémique que sa paternité contestée par un collectionneur rival.

Quelques années plus tard, en juillet 1944, Waldemar Julsrud, alors âgé de 69 ans fit une découverte retentissante à Acambaro, petite ville mexicaine située à moins de 300 km au nord-ouest de Mexico, dans la province de Guanajuato.

Alors qu’il se promenait à cheval le long d’un fossé près de la colline du taureau, en compagnie d’un de ses employés, un fermier nommé Odilon Tinajero, son attention fut attirée par un morceau de céramique émergeant du sol. C’était une figurine en terre cuite d’un style qui lui était inconnu.

Il demanda à son employé de creuser et de lui ramener toutes les pièces similaires qu’il pourrait trouver. Tinajero se présenta quelques jours plus tard avec une brouette remplie de ces artefacts. Julsrud était stupéfait par le style et la diversité des figurines. Il passa un marché avec son employé : il lui payerait 1 peso pour toutes les figurines entières rapportées mais rien pour celles abîmées, qu’il devait quand même lui remettre ( et qu’il a conservées ). 
Son but visait non pas à encourager son fermier à en fabriquer ( il n’en aurait de toute façon eu, ni le temps, ni l’art et le prix était trop bas pour une éventuelle fabrication ) mais à le contraindre à fouiller avec la plus extrême précaution.

Les figurines furent découvertes par groupes de 20 à 40 à l’intérieur de puits à une profondeur allant d’environ 1m 20 à 1m 80.
Ce n’étaient pas des puits funéraires, on a seulement retrouvé 6 crânes lors des fouilles. Il semble, c’est tout au moins l’hypothèse émise par M. Julsrud, qu’elles aient été ensevelies à la hâte pour les protéger du pillage des premiers colons espagnols.

Ce sont plus de 33 500 (!!!) objets en céramique ( dans une très grosse majorité ), pierre, jade et obsidienne qui ont été retrouvés. Ils sont tous uniques, aucun n’est dupliqué. Ils sont de taille variable, de quelques centimètres à moins d’un mètre. Différents types d’argile ont été utilisés ( leur étude serait une précieuse indication de leur provenance ), mais tous ont été fabriqués par la méthode du « feu ouvert » ( la fabrication de faux ne serait donc pas passée inaperçue par la fumée dégagée et les grandes quantités de bois -rare et cher dans cette région- nécessaires ).
En dépit de leur grande diversité, on peut les regrouper, par leur design, par centaines voire par milliers, comme issus de différentes cultures.

Tout comme le Dr Cabrera ( décédé en décembre 2001 ), conservateur des  pierres d’Ica, M. Julsrud n’a jamais fait commerce de sa découverte. Leur but était scientifique et leur volonté de protéger un patrimoine qu’ils estimaient unique pour l’humanité n’a jamais été prise en défaut. C’est toujours avec plaisir qu’ils ont montré leurs pièces à ceux qui le désiraient et ils n’ont cessé de se battre pour que les scientifiques s’intéressent à leur découverte et viennent juger sur place… Peine perdue… Pourquoi ?

L’une des principales raisons >voir historique et argumentaire ) du rejet de cette découverte tient aux représentations de ces figurines.
Elles représentent entre autre, des dinosaures, des animaux inconnus, des reptiles, certains aux traits aviaires ; certaines semblent indiquer une forme de domestication de petits reptiles et de petits dinosaures, des grands singes, d’autres montrent clairement des actes zoophiles avec des reptiles, enfin, beaucoup représentent des divinités inconnues, la vie courante et ses objets usuels ( pipes, instruments de musique, etc.. ) …
( voir quelques exemples de ces figurines )

Des hommes avec des dinosaures ? Tout le monde sait bien que c’est impossible !

Un homme, un hérétique bien sûr, a fait l’effort de s’intéresser à cette découverte : Charles Hapgood, professeur d’histoire et d’anthropologie à l’Université du New Hampshire ( voir ses travaux sur les cartes antiques ). Il a été sur place pour enquêter, rencontrer et interroger les protagonistes de cette histoire. De son voyage, il a ramené quelques échantillons afin de les analyser selon les méthodes les plus modernes -et toutes récentes- de l’époque ( à la fin des années 60 ).

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Les mesures ( au carbone 14 ) données en 1968 par le Laboratoire d’Isotopes Inc. du New Jersey s’échelonnent de 1 110 av. J.C. à 4 530 années av. J.C.!
En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par l’Université de Pennsylvanie sur 2 figurines furent de 2 500 ans av. J.C.!

Il faudra donc bien qu’un jour, les détracteurs de Glozel ( 1924 ) et d’Acambaro ( 1944 ) nous expliquent comment l’on peut fabriquer des faux qui passeront les tests scientifiques rigoureux de datation ( thermoluminescence et Carbone 14 ) qui étaient inconnus à l’époque de leur découverte !

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YARRU:

Un plésiosaure au Queensland...?
Un plésiosaure au Queensland…?

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ET PARTOUT DANS LE MONDE:

…Au Zimbabwé:

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Au Zimbabwe, près de Salisbury, on a découvert des peintures rupestres dans des grottes situées dans les collines de Gorozomzi. Ces dessins représentent de façon très précise des éléphants, des hippopotames, des girafes et d’autres animaux dont un brontosaure !

L’image ci-haut, représentant 3 animaux à long cou et à longue queue, provient de la grotte de Nachikufu près de Mpika au nord du Zimbabwe.

Au Ghana:

Ghana dino

Bien avant que nous ne connaissions les dinosaures, au Ghana et dans sa région, on se transmettait, de génération en génération, des poids à peser l’or. 
Ces poids représentaient l’animal totémique de leur propriétaire. 
De quel animal les négociants Ashantis se sont-ils inspirés ?

Ghana dino 2

À Sumatra:

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Les anciens habitants de Sumatra ont décrit des animaux à long cou, à longue queue avec une crête sur la tête. 
Au Musée Ethnographique de Budapest, on peut admirer cette planche décrivant la chasse d’un animal qui pourrait être de la famille des corythosaures.

corytosaurus

Amérique du Nord:

Au Natural Bridges National Monument

Amérique Nord 01

Amérique Nord 02

Dans le canyon Havasupai en Arizona:

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Mésopotamie:

Les animaux figurant sur ce sceau cylindrique mésopotamien de 3 300 ans av. J.C. ressemblent singulièrement à des dinosaures...
Les animaux figurant sur ce sceau cylindrique mésopotamien de 3 300 ans av. J.C. ressemblent singulièrement à des dinosaures…

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En 1902, Robert Koldewey, archéologue allemand, mit au jour la Porte d’Ishtar dans les ruines de Babylone. 
Alternant avec des lions et des aurochs, se trouve cet étrange animal, le sirrush ( dragon ).
Cette porte, construite 600 ans av. J.C. par le roi Nabuchodonosor, a été reconstituée au Musée Pergamon de Berlin.

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Haute-Égypte:

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Ces deux palettes votives en ardoise proviennent d’Hierakonpolis en Haute-Egypte et datent de l’époque prédynastique de l’ancienne Egypte, soit environs 3 300 ans av. J.C..
Chiens ou dinosaures ? 

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Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l'on pourrait rapprocher des dinosaures. Par exemple, ce sceau ( environ 1400 ans av. J.C. ) orné d'un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III.
Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l’on pourrait rapprocher des dinosaures.
Par exemple, ce sceau ( environ 1400 ans av. J.C. ) orné d’un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III.

Israel:

Ce sceau, ( daté entre 1300 et 1150 av. J.C. ) conservé à l'Institut d'archéologie de l'université de Tel Aviv, décrit un ptérodactyle attaquant une gazelle.
Ce sceau, ( daté entre 1300 et 1150 av. J.C. ) conservé à l’Institut d’archéologie de l’université de Tel Aviv, décrit un ptérodactyle attaquant une gazelle.

Turquie:

Cette urne trouvée à Caria en Turquie ( datée de 530 av. J.C., environ ) décrit un animal ressemblant à un mosasaure au milieu d'autres animaux marins parfaitement connus et identifiés.
Cette urne trouvée à Caria en Turquie ( datée de 530 av. J.C., environ ) décrit un animal ressemblant à un mosasaure au milieu d’autres animaux marins parfaitement connus et identifiés.

Empire Romain:

On retrouve également des descriptions de dinosaures sur des mosaïques romaines du deuxième siècle.
On retrouve également des descriptions de dinosaures sur des mosaïques romaines du deuxième siècle.
La mosaïque du Nil de Palestrina  attribuée à Demetrius le géomètre,  représente des éthiopiens chassant  un "Crocodile-Léopard".
La mosaïque du Nil de Palestrina
attribuée à Demetrius le géomètre,
représente des éthiopiens chassant
un « Crocodile-Léopard ».
Ces artefacts romains ont été découverts près de Tucson, Arizona, en 1924. Mais, comme il est "bien connu" que l'Amérique a été "découverte" par Christophe Colomb en 1492, ces artefacts pourtant déterrés par des archéologues professionnels, sont évidemment très controversés.  Ils sont datés entre 560 et 900.  Sur l'une des épées a été gravé un dinosaure.
Ces artefacts romains ont été découverts près de Tucson, Arizona, en 1924. Mais, comme il est « bien connu » que l’Amérique a été « découverte » par Christophe Colomb en 1492, ces artefacts pourtant déterrés par des archéologues professionnels, sont évidemment très controversés.
Ils sont datés entre 560 et 900.
Sur l’une des épées a été gravé un dinosaure.
Dinosaure dessiné sur une épée.
Dinosaure dessiné sur une épée.

Empire maya ,sud du Mexique:

Peinture rupestre du "dragon" de la grotte d'Oxtotitlan  au sud du Mexique.
Peinture rupestre du « dragon » de la grotte d’Oxtotitlan
au sud du Mexique.
Cette peinture murale Maya de Bonampak montre la tête d'un dinosaure
Cette peinture murale Maya de Bonampak montre la tête d’un dinosaure
Le 25 avril 1977, au large de la Nouvelle-Zélande un bateau de pêche japonais a remonté dans ses filets cette étrange créature marine à l'allure d'un plésiosaure. Cette carcasse était dans un tel état de décomposition qu'après une étude sommaire par l'équipage et les quelques scientifiques qui étaient à bord, elle dut être rejetée à la mer...  Dommage...
Le 25 avril 1977, au large de la Nouvelle-Zélande un bateau de pêche japonais a remonté dans ses filets cette étrange créature marine à l’allure d’un plésiosaure. Cette carcasse était dans un tel état de décomposition qu’après une étude sommaire par l’équipage et les quelques scientifiques qui étaient à bord, elle dut être rejetée à la mer…
Dommage…

Cambodge:

Angkor Vat fut construit au Cambodge par le roi Suryavarman II dans la première moitié du XIIe siècle.
Angkor Vat fut construit au Cambodge par le roi Suryavarman II dans la première moitié du XIIe siècle.
Comment peut-on expliquer cette représentation étrange semblable à un Stégosaure ?
Comment peut-on expliquer cette représentation étrange semblable à un Stégosaure ?

EN CONCLUSION:

La version officielle veut que, puisqu’il a été établi que tous les dinosaures se sont éteints il y a 65 millions d’années, toutes ces découvertes sont impossibles !

Ce ne sont que des descriptions d’animaux mythiques et
toute ressemblance avec des animaux ayant déjà existé n’est que pure coïncidence !!!

Si quelques dinosaures ont survécu, ils n’étaient de toute évidence pas très nombreux.
On n’en a pas encore retrouvé d’ossements récents, officiellement. Ne peut-on attribuer cela au fait que l’on prêtait à ces animaux un « pouvoir magique » tel celui qui était attribué aux os de dragons ou encore de nos jours aux cornes de rhinocéros et qui met gravement en péril la survie de cette espèce…

En dépit des certitudes scientistes, on a pourtant découvert des animaux que l’on croyait éteints à tout jamais comme les Dragons de Komodo, le Caelacanthedu dévonien, et le Sphenodon du mésozoïque en Nouvelle-Zélande.

Seuls les cryptozoologues continuent les recherches…

Donc ,si vous continuez à croire aveuglément tout ce qui est écrit dans les livres d’histoires et tout ce que vous racontent vos professeurs d’université,tout ce qui vient d’être débattu ici,ne sont que des faussetés…seule la « science officielle » prétend tout expliquer!

Nous continuons à vivre dans le scénario bien décrit du film « La planète des singes »!

l’intérêt du Nouvel Ordre Mondial est de continuer à maintenir l’humanité dans l’ignorance des découvertes extraordinaires qui attendent sous nos pieds!

Michel Duchaine

Citoyen du Monde

Chercheur et Diseur de Vérités

*…À suivre ,je suis à terminer un vidéo sur ce sujet.Je l’ajouterai  à l’article ,une fois terminé!

Ce vidéo pourrait  être fait en plusieurs parties,du à la longueur du texte et les très nombreuses photos à triées qui sont rattachées au projet!

Merci de nous appuyer.

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SOURCES

(1)-Université de St-Pétersbourg.

AUTRES SOURCES:

The American Journal of Science, vol.5, 1822,The American Antiquarian, 7:39, Janvier 1885,Anthropologist, fevrier 1896, P.66,Science Newsletter, 29 octobre 1938, Soviet journal 1961, Archéologia N°196 de novembre 1984, courrier des lecteurs, M. P. Bellin