Un criminel très respectable d’Al Qaïda …en liberté et protégé

Abdelhakim Belhadj (Alias : Abu Abdallah Assadaq
Abdelhakim Belhadj (Alias : Abu Abdallah Assadaq)


L’histoire vraie  d’un sympathique  mercenaire d’Al Qaïda

Abdelhakim Belhadj (Alias : Abu Abdallah Assadaq) aux côtés de Antoine Steven, ambassadeur de France. Belhadj a combattu les soviétiques dans les années 1980 lors de la guerre d’Afghanistan, il est par la suite l’un des fondateurs puis l’émir du Groupe islamique combattant en Libye. Il a par la suite vécu successivement au Pakistan, en Turquie et au Soudan. En Irak, il combat aux côtés de Abou Moussab Al-Zarqaoui, le responsable d’Al-Qaida à Bagdad.En 2003, il est arrêté en Malaisie par la CIA. Interrogé et torturé à Bangkok, il est livré au Mukhabarat en 2004.

D’après José Maria Aznar, ancien Premier ministre espagnol, il était suspecté d’être impliqué dans les attentats du 11 mars 2004 à Madrid. Un mandat d’arrêt du gouvernement libyen en 2002 lui prête également des liens ténus avec les leaders d’Al Qaïda et le Mollah Omar.

Il reste emprisonné jusqu’en 2009 au bagne de Bouslim date à laquelle Saïf al-Islam Kadhafi négocie une trêve et une amnistie avec le Groupe islamique combattant.

En mai 2011, il rejoint l’insurrection contre Khadafi. Il part pour le Qatar où il prend la tête de la Brigade du 17 février, formée et armée par la France et les Émirats arabes unis6. De retour sur le terrain des opérations grâce à un point aérien à la mi-août, il dirige avec sa brigade les « insurgés de l’Ouest et de la Montagne berbère » au Djebel Nefoussa2. Principale force militaire de l’opération aube de la sirène, il s’empare de la caserne Khamis et de ses importants stocks d’armes puis devient le commandant du conseil militaire de Tripoli responsable de la capitale libyenne après sa conquête par les forces de l’opposition suite à la bataille de Tripoli.

En 2012, il est candidat lors de l’élection de l’assemblée constituante libyenne.

(Sources:  des supporteurs de mon  grand réseau au Moyen-Orient)