
L’histoire vraie d’un sympathique mercenaire d’Al Qaïda
D’après José Maria Aznar, ancien Premier ministre espagnol, il était suspecté d’être impliqué dans les attentats du 11 mars 2004 à Madrid. Un mandat d’arrêt du gouvernement libyen en 2002 lui prête également des liens ténus avec les leaders d’Al Qaïda et le Mollah Omar.
Il reste emprisonné jusqu’en 2009 au bagne de Bouslim date à laquelle Saïf al-Islam Kadhafi négocie une trêve et une amnistie avec le Groupe islamique combattant.
En mai 2011, il rejoint l’insurrection contre Khadafi. Il part pour le Qatar où il prend la tête de la Brigade du 17 février, formée et armée par la France et les Émirats arabes unis6. De retour sur le terrain des opérations grâce à un point aérien à la mi-août, il dirige avec sa brigade les « insurgés de l’Ouest et de la Montagne berbère » au Djebel Nefoussa2. Principale force militaire de l’opération aube de la sirène, il s’empare de la caserne Khamis et de ses importants stocks d’armes puis devient le commandant du conseil militaire de Tripoli responsable de la capitale libyenne après sa conquête par les forces de l’opposition suite à la bataille de Tripoli.
En 2012, il est candidat lors de l’élection de l’assemblée constituante libyenne.
(Sources: des supporteurs de mon grand réseau au Moyen-Orient)