L’Amérique est en train de disparaître

Pendant des années j’ai fait l’inventaire du déclin d’une Amérique en voie d’effondrement, non seulement le déclin économique, du fait de la concentration ainsi que de la délocalisation des emplois et des investissements, mais également l’effondrement du système de croyances qui unifiait une population diverse. Aujourd’hui, non seulement l’économie est fichue, mais c’est aussi le cas du système de croyances qui étayait l’ordre social et politique.

L’Amérique n’existe plus. Il existe une entité géographique où vivent des populations différentes avec des intérêts différents, mais ce n’est plus un pays, encore moins une nation. Les États-Unis ont dégénéré en empire. Il ne s’agit plus d’un pays avec son empire. Les cinquante états sont eux-mêmes l’empire de l’« Establishment », et seule la force peut les maintenir ensemble. J’ai connu une époque où la liberté d’expression fut utilisée par les libéraux pour légaliser la pornographie, le mariage homosexuel et l’avortement, toutes choses auxquelles s’opposait la majorité de la population. Cela n’a pas empêché les libéraux d’imposer leurs agendas au peuple.

Aujourd’hui, la liberté d’expression est inadmissible parce qu’elle peut permettre de contester une élection présidentielle qu’une moitié de la population pense sincèrement avoir été volée. Même les avocats et les cabinets juridiques qui ont présenté à leurs clients des cas avérés de fraude électorale, sont sanctionnés pour avoir fait ce que font normalement les avocats. La même chose est arrivée à des professeurs d’université et à des Américains ordinaires qui ont exercé leur droit constitutionnel à la liberté d’expression et d’association et ont participé au rassemblement de soutien à Trump.

Aujourd’hui en Amérique, l’exercice de la liberté d’expression est étroitement contrôlé. On peut l’utiliser pour diaboliser Trump et ses partisans comme « ennemis de la démocratie ». On peut l’utiliser pour diaboliser les Blancs comme « racistes systémiques » et « suprémacistes blancs », également pour diaboliser les hommes blancs hétérosexuels comme « misogynes ». Son autre usage c’est la diabolisation de pays comme la Russie, la Chine, l’Iran, qui font obstacle à l’hégémonie de Washington. Il n’y a pas d’autres usages légitimes de la liberté d’expression aujourd’hui aux États-Unis, une appellation bien inappropriée pour un pays qui a été entièrement désuni par la « politique identitaire » [ « identity politics »] et par une élection présidentielle perçue par beaucoup d’électeurs comme ayant été volée. J’ai fourni à mes lecteurs un abondant, quoique partiel, ensemble de preuves du vol de l’élection.

Une simple question suffira : si l’élection ne fut pas volée, pourquoi est-il inadmissible de poser la question ? Des explications qui ne peuvent être l’objet d’une enquête ni d’un débat public, sont très probablement fausses. La raison pour laquelle elles ne peuvent être l’objet d’une enquête, c’est qu’elles ne peuvent résister au moindre examen. Vous n’avez pas à remonter loin dans le temps pour en obtenir une longue liste : les assassinats de John Kennedy, de Robert Kennedy et de Martin Luther King, Waco, la bombe d’Oklahoma City, le 11 septembre, les armes de destruction massive de Saddam Hussein, les bombes nucléaires de l’Iran, l’utilisation d’armes chimiques par Assad, l’invasion russe en Ukraine, le « Russiagate », la fraude électorale de 2020, l’insurrection de Trump le 6 janvier. Certes, j’en ai laissé de côté, mais cela ne nuit pas à la démonstration. Un pays dans lequel les explications sont contrôlées est un pays dont le peuple vit dans le mensonge.

En Amérique et dans le monde occidental en général, le concept de vérité objective a été détruit pour l’essentiel, en particulier dans les institutions éducatives et de communication. Partout dans le monde occidental, le fondement de la vérité est passé de la preuve à l’émotion. L’émotion est devenue l’évidence majeure. La vérité objective est disqualifiée comme étant une construction au service des hommes blancs.

Aujourd’hui en Amérique tout est ordonné contre la population blanche hétérosexuelle. La gauche Démocrate, les universités et les médias se rangent du côté des races et des genres, victimes du prétendu racisme et de la supposée « transphobie » des Blancs. Kristen Clarke a été nommée au Ministère de la Justice (sic) pour bien s’assurer que les politiques de l’emploi et de la promotion s’alignent sur les victimes, du fait de leur race ou de leur genre.

La politique de l’immigration s’établit contre les Américains blancs. Sans pouvoir en tant que majorité, les Américains blancs n’auront pas d’avenir lorsqu’ils seront minoritaires.  Même si les Américains blancs pouvaient sortir de leur insouciance et se rendre compte qu’on leur enlève leur pays, ils n’ont pas le pouvoir d’y remédier. Avec la nouvelle loi en préparation sur le « terrorisme intérieur », la simple protestation contre la dépossession devient un crime de sédition.

Nous pourrions examiner beaucoup d’autres aspects intéressants de notre situation. N’en considérons qu’un seul. Le gouvernement Biden semble rempli de néoconservateurs sionistes, qui sont les agents de l’hégémonie de Washington et d’Israël. La recherche de cette hégémonie, entraînera un conflit avec la Russie, la Chine et l’Iran.

Washington va entrer dans ces conflits avec une économie délabrée et une population profondément divisée. Ceux qui constituent la véritable colonne vertébrale des forces armées américaines – les « Déplorables  de Trump » – vont-ils se battre pour un Establishment qui les hait viscéralement ? Est-ce qu’une économie qui s’enfonce dans la dette et que les grandes firmes détruisent en délocalisant leurs investissements et les emplois de la classe moyenne américaine, destruction aggravée par les mesures de confinement qui anéantissent les derniers éléments de la classe moyenne – les petites entreprises – sera capable de soutenir un conflit avec des nations plus unies et qui n’ont pas de dette extérieure ni de dette intérieure insurmontable ? Si oui, ce serait une première dans l’Histoire.

 

 

 

Combien de temps les « Déplorables de Trump » resteront-ils obéissants quand ils s’apercevront qu’on les extermine en les privant de droits égaux, de protection constitutionnelle, d’emploi et de possibilité de réussite ?

Quant à l’ « Establishment » lui-même, quand donc son arrogance et son assurance seront-elles ébranlées, lorsqu’il s’apercevra qu’il ne peut pas contrôler les idéologues anti-Blancs et anti-Américains qu’il a suscités et qu’il se trouve lui-même confronté à la situation dans laquelle se trouvèrent Kerensky, les Chemises Brunes et le Parti Communiste chinois lorsque Mao déclencha la «révolution culturelle» ? L’ « Establishment » sera lui-même détruit par la haine qu’il a alimentée et laissée sortir de la lampe.

A qui en appellera l’ « Establishment » lorsque la révolution se retournera contre lui ? Que répondra-t-il lorsqu’on lui posera la question que les Bolcheviks posèrent à Kerensky : « Qui t’a choisi ? ».

Le Cabinet BIDEN compte plus de Juifs que de goys, La Maison Blanche devrait s’appeler maintenant LA SYNAGOGUE, un autre indice de la dégénérescence américaine :

LES JUIFS MONSTRUEUSEMENT SUR REPRÉSENTÉS
DANS LE CABINET BIDEN
1% de la POPULATION > 50% du CABINET

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les cannibales dans l’histoire humaine:les Aztèques

Les Aztèques  pratiquaient une anthropophagie de masse d’une effrayante férocité.

Non seulement les prêtres aztèques prenaient un vif plaisir à sacrifier leurs victimes en se montrant le plus cruel possible, mais ils jouissaient carrément en les dévorant. Et toute la population suivait. À croire parfois que leurs immolations n’étaient qu’un prétexte pour se régaler de chair humaine. Oui, malgré leur haut degré de civilisation, les Aztèques furent les pires cannibales au monde. Chaque année, leurs victimes se chiffraient par dizaines de milliers. En effet, chaque fête, et Dieu sait si elles étaient nombreuses chez les Aztèques, était le prétexte pour chacun de sacrifier ses esclaves les plus dodus. Chaque propriétaire apportait son bétail humain aux prêtres.

 

Il leur arrachait le cœur

 

Le missionnaire franciscain Bernardino de Sahagún séjourna chez les Aztèques presque 60 ans à partir de 1529. Réalisant un extraordinaire travail d’ethnologue, il coucha toutes ses observations dans un manuscrit. Notamment celles ayant trait au cannibalisme. Ses descriptions étaient tellement épouvantables que le roi d’Espagne en interdit la publication.

Sahagún raconte, par exemple, comment les esclaves étaient traînés par les cheveux jusqu’à la pierre sacrificielle du temple : « On les y couchait sur le dos et, là, cinq individus les prenaient, deux par les jambes, deux par les bras et un à la tête. Le prêtre qui devait les sacrifier se présentait alors ; il les frappait sur la poitrine, des deux mains, avec une pierre d’obsidienne et, introduisant une main par l’ouverture qu’il venait de faire, il leur arrachait le cœur pour l’offrir immédiatement au soleil et le jeter ensuite dans un grand cuvier. Il prenait aussitôt du sang et le mettait dans une petite tasse qu’il donnait au maître de la victime, et celle-ci était jetée en bas par les degrés du temple (les marches, NDLR). Là, le corps était reçu par des vieillards qui l’emportaient dans leur chapelle, où il était mis en morceaux et distribué pour être donné en nourriture. Mais, avant de dépecer les captifs, on les écorchait, et certains individus se vêtaient de leurs peaux pour aller ensuite, dans ce costume, s’escarmoucher avec d’autres jeunes gens en simulant la petite guerre. »

Un enfant de lait se gavant comme une oie!

Un succulent « enfant de lait »

Tout en se déclarant outrageusement choqué, le brave missionnaire franciscain détaille également la façon dont les sacrifiés sont cuits et dégustés. « On allait généralement le manger dans la maison de celui qui avait réduit le défunt en captivité. On faisait cuire cette chair avec du maïs et l’on en donnait un morceau à chacun, dans une petite écuelle, avec un peu de bouillon et de maïs. Après avoir mangé, on s’enivrait. » Pour se procurer les dizaines de milliers d’esclaves nécessaires, les Aztèques guerroyaient sans cesse contre leurs ennemis. Chaque prisonnier devenait aussitôt l’esclave de son vainqueur. Mais il y avait également d’autres sources d’approvisionnement : les criminels et les pauvres. Pire, celui qui n’avait plus rien pour vivre pouvait se vendre comme esclave. De nombreux parents pauvres vendaient leurs enfants aux plus riches. À la table des rois, des princes et des riches seigneurs, il n’était pas rare de voir servi un succulent « enfant de lait ».

On dirait ici une recette de préparation d’un enfant de lait.

Des abattoirs de bétail humain

Autre témoignage, celui du conquistador Bernal Díaz del Castillo, qui participa à la conquête du Mexique au côté d’Hernán Cortés. Dans son ouvrage de souvenir L’Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle Espagne, il raconte que les temples possédaient de très nombreuses et énormes marmites, toujours prêtes à cuire les membres des victimes. À ses yeux, le véritable but des offrandes faites aux idoles était d’ordre culinaire. À croire que la véritable fonction des temples n’était que d’être des abattoirs de bétail humain. Diaz del Castillo raconte qu’après le prélèvement du cœur destiné aux idoles, les cadavres fumants étaient balancés sur les degrés du temple où ils roulaient jusqu’au pied de prêtres de second rang qui les dépeçaient sur-le-champ. Les membres étaient remis au propriétaire de la victime tandis que le reste allait alimenter les bêtes féroces de la ménagerie royale. Lors des sacrifices de masse, la viande non consommée immédiatement était découpée en lanières mises à sécher au soleil. Puis celles-ci étaient déposées dans de grandes jarres avec du sel et du piment.

Une prostituée pour lui rendre l’appétit

Codex Borgia page 7

Avant d’être sacrifiés, les esclaves étaient soigneusement engraissés. Durant plusieurs semaines, ils étaient mis en cage comme de vulgaires porcs pour être gavés de nourriture. Et quand le futur « repas » déprimait au point de refuser de manger, toute la maison se réunissait autour de la cage pour le distraire et lui présenter des mets succulents. Souvent même, on lui fournissait une prostituée dans l’espoir de lui rendre l’appétit de vivre et de manger. Pour autant, les Aztèques avaient bon cœur. Certainement davantage que les esclavagistes occidentaux. En effet, ils traitaient leurs esclaves comme des membres de leur famille. Au point de ne pas le consommer s’ils le tuaient. Pour rien au monde ils n’auraient dégusté cette chair qu’ils considéraient comme la leur. Ils se bornaient à offrir les meilleurs morceaux à leurs amis et parents. Ils prenaient leur revanche en se régalant des esclaves de leurs voisins. À noter encore que les Aztèques étaient probablement les seuls à pratiquer un esclavagisme non héréditaire. Les enfants de leurs esclaves naissaient libres…au moins  cela!

 

 

 

Vidéo: Prédateurs de la préhistoire :les loups d’autrefois

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Canis dirus (mot-à-mot « loup sinistre ») est un canidé qui a habité l’Amérique du Nord au Pléistocène et s’est éteint il y a environ 10 000 ans. Bien qu’il soit proche du loup gris, et par conséquent du chien, il n’est pas considéré comme leur ancêtre.

 Canis dirus était plus gros que le loup gris en taille et en allure, il mesurait environ 1,50 m de long et pesait environ 80 kg. Il est probable que ces loups vivaient en bandes, unies par des liens de famille, et qu’ils chassaient en groupes. La principale différence entre les deux espèces se trouve dans la structure du squelette, plus massif et plus lourd chez Canis dirus. Ses jambes étaient proportionnellement plus courtes, sa tête plus grande et plus lourde, mais la capacité crânienne était moindre. Ses dents, plus grandes et plus fortes que celles du loup gris, étaient capables de broyer des os. De telles caractéristiques suggèrent que ce n’était pas un bon coureur et qu’il se nourrissait d’animaux peu rapides et de grande taille, ou de proies affaiblies et de charognes, un peu comme les hyènes d’aujourd’hui, mais aussi comme d’autres prédateurs qui vivaient à son époque, les félins à dents de sabre comme le smilodon, qui eux aussi présentaient des adaptations évolutives pour la chasse d’animaux de grande taille. 

 

Portraits remarquables d’Abraham Lincoln avant sa présidence

On se souvient principalement d’Abraham Lincoln comme étant le 16e président des États-Unis qui a dirigé l’Union pendant la guerre civile et qui a déclenché la série d’événements qui ont abouti à l’abolition de l’esclavage. Il est communément considéré et représenté avec affection dans la culture pop comme un personnage digne et moraliste dont les discours et le leadership ont défié les humbles débuts d’où il est venu.

La photographie qui reste de Lincoln cimente cet héritage et montre clairement pourquoi cette figure puissante a déplacé la nation américaine à des hauteurs historiques.

Photo de 1858 par Byers.

 

 

Photo de 1846.Ce daguerréotype (le premier type de photographie) est la première image confirmée d’Abraham Lincoln. Il aurait été fait par Nicholas H. Shepherd peu après l’élection de Lincoln à la Chambre des représentants des États-Unis.
Le saviez-vous? Lincoln voulait que les femmes aient le droit de vote en 1836. Il était pour les  suffragettes avant que cela puisse devenir un mouvement populaire.

 

Photo de 1854.C’est la deuxième plus ancienne photographie connue de Lincoln. Il a été pris à Chicago par un photographe itinérant pour donner à M. George Schneider, l’ancien rédacteur en chef de l’Illinois Staats-Zeitung, le journal allemand anti-esclavage le plus influent de l’Ouest.
Le saviez-vous? Lincoln pratiquait le droit sans diplôme. Il a seulement eu environ 18 mois de scolarité formelle.

 

Photo de 1857.Le rédacteur en chef Joseph Medill est allé avec Lincoln pour prendre cette photo juste avant sa nomination au Sénat. Il a dit que le photographe, Alexander Hessler, a insisté pour lisser les cheveux de Lincoln, mais Lincoln n’a pas approuvé le style élégant et a rapidement passé ses doigts à travers avant de s’asseoir. Le négatif original de ceci a été brûlé dans le grand feu de Chicago.
Le saviez-vous? Lincoln détestait être appelé Abe. Il aurait préféré être appelé par son nom de famille.

 

Photo de 1857.Bien que certains historiens aient daté cette photographie lors de la séance du tribunal du 13 novembre 1859, la plupart des comptes crédibles remontent au 27 mai 1857. Le photographe, Amon T. Joslin, possédait une galerie dans un bâtiment à côté du Woodbury Drug Store à Danville, IL, où Lincoln se rendait fréquemment alors qu’il était un avocat itinérant. Aujourd’hui, l’une des copies originales réside dans la bibliothèque historique de l’État de l’Illinois.
Le saviez-vous? Lincoln n’a pas bu, fumé ou mâché.
Photo de 1858.Cette photo a été faite pendant la campagne de Lincoln et Douglas, et elle a été largement utilisée pour les rubans de la campagne électorale de 1860. Lincoln a aimé cette image et a souvent signé des copies photographiques pour des admirateurs, même s’il était habituellement son propre critique le plus dur. Il a dit un jour: «Je ne vois pas pourquoi tous les artistes veulent me ressembler à moins que ce soit parce que je suis l’homme le plus honnête de l’Illinois.
Le saviez-vous? Il était un grand amoureux des animaux, donc il ne voulait pas chasser ou pêcher.
Photo de 1858.Il est spéculé lorsque la copie photographique de ce daguerréotype perdu a été créée, mais il est connu qu’un soldat de la guerre civile de Parme, Ohio, était le propriétaire original de ce portrait.
Le saviez-vous? Lincoln était le seul président à avoir un brevet: Lincoln a inventé un dispositif pour libérer les bateaux à vapeur qui s’échouaient, ce qui était un ajout significatif à la technologie de transport.

 

Photo de 1858.Anciennement dans la collection Lincoln Monument à Springfield, Illinois, Lincoln portait un manteau de lin pour l’occasion.
Le saviez-vous? Lincoln n’a jamais appartenu à une église organisée. Lincoln lisait la Bible tous les jours, mais il ne pratiquait jamais réellement dans une communauté religieuse organisée.

 

Photo de 1858.Le photographe Samuel G. Alschuler a conseillé à Lincoln d’enlever une couche de plumeau pour cette photo. Comme Lincoln n’avait pas de manteau plus foncé, Alschuler lui offrit le sien, mais les bras de Lincoln s’étendaient au-delà des manches. (Alschuler était un homme beaucoup plus petit.) Lincoln a trouvé l’événement entier incroyablement amusant, que vous pouvez remarquer du sourire sur son visage.
Le saviez-vous? Le chat de Lincoln s’appelait Tabby et il mangeait à la table de la Maison Blanche.

 

Juillet 1858.Cette image aurait été prise par Preston Butler le jour après que Lincoln ait prononcé un discours à Springfield dans lequel il a exhorté l’esclavage à être placé sur le cours de «l’extinction ultime», déclarant qu’il soutient les principes d’égalité mis en avant dans la Déclaration de l’indépendance.
Le saviez-vous? Lincoln a établi Thanksgiving comme fête nationale.
Aout 1858.Lincoln a refusé de « réparer » pour cette photo parce qu’il voulait une image aussi réaliste que possible pour les générations futures.
Le saviez-vous? Lincoln a perdu dans sa première offre sur un billet présidentiel. L’inconnu Lincoln était un candidat vice-présidentiel échoué en 1856.

 

Septembre 1858.Toujours l’auto-déprécateur, Lincoln a déclaré à propos de cette photo, « Ce n’est pas une très belle image, mais c’est le meilleur qui pourrait être produit par le sujet pauvre. » Pris à Springfield, Illinois, il est maintenant logé à Chicago Musée d’histoire.
Le saviez-vous? Les voleurs de tombes ont été arrêtés en 1876 quand ils ont essayé de voler le corps de repos de Lincoln.

 

1859.Lincoln assis pour ce portrait à la galerie de Cooke et Fassett à Chicago. Cooke a écrit en 1865, « Mme. Lincoln a prononcé la meilleure ressemblance qu’elle ait jamais vue de son mari.
Le saviez-vous? Lincoln était un lutteur habile bien documenté. Lincoln a défendu le fils de son adversaire de lutte le plus célèbre contre les accusations de meurtre.
Février 1860.C’était la première photographie de Mathew Brady de Lincoln, le jour du discours de Cooper Union. Les artistes de Harper’s Weekly ont même transformé l’image de Brady en un portrait en pleine page de la gravure sur bois pour donner un aperçu visuel du récit du triomphe de Lincoln.
Le saviez-vous? Lincoln a créé les heures de service secret avant son assassinat. Cependant, ce n’est qu’en 1901 que les services secrets ont été officiellement chargés de protéger le commandant en chef.

 

Juin 1860.Le partenaire juridique de Lincoln, William Herndon, a hautement complimenté cette image d’Alexander Hesler en disant: «Il y a la courbe particulière de la lèvre inférieure, la taupe solitaire sur la joue droite, et une pose de la tête si essentiellement Lincolnienne; aucun autre artiste ne l’a jamais attrapé. « 
Le saviez-vous? Lincoln a personnellement tiré des fusils à l’extérieur de la Maison Blanche. Il voulait connaître l’artillerie utilisée par ses troupes de l’Union pendant la guerre civile.
Juin 1860.Ce portrait a également été créé par Hesler, le même jour que le précédent. (Il a pris un total de quatre le 3 juin.) Quand Lincoln l’a vu, il a remarqué: «Ça a l’air meilleur et ça m’exprime mieux que tout ce que j’ai jamais vu; si cela plaît aux gens, je suis satisfait.
Le saviez-vous? Quelques mois avant que John Wilkes Booth assassine Lincoln, le fils aîné du président, Robert Todd Lincoln, a été sauvé par le frère de Wilke de tomber sur les voies ferrées.

 

1860.Après cette unique impression, le négatif a malheureusement été perdu quand un incendie a détruit la galerie du photographe William Seavey.
Le saviez-vous? Lincoln est tombé sous le feu de l’ennemi sur un champ de bataille de la guerre civile à Fort Stevens.

 

1860.Bien que le photographe soit inconnu, cet examen de la stature profonde de Lincoln reste puissant aujourd’hui. Il a été pris pour l’usage par le sculpteur Henry Kirke Brown et a été trouvé en 1931.
Le saviez-vous? Quand Lincoln avait 9 ans en 1818, sa mère, Nancy, est morte d’empoisonnement au lait, ce qui a tué un certain nombre de personnes dans le sud de l’Indiana.
Aout 1860.Ce coup frappant est en fait la dernière photographie imberbe de Lincoln. Cet ambrotype (vu par la lumière réfléchie) était l’un des six pris le lundi 13 août 1860 dans le studio de daguerréotype du photographe Preston Butler. (Seulement deux ont survécu.)
Le saviez-vous? Quand Lincoln occupa la Maison Blanche, il utilisa la Lincoln Bedroom comme bureau personnel. C’est là qu’il a rencontré des membres du Cabinet et des documents signés, y compris la Proclamation d’émancipation.
Novembre 1860.Une fille de 11 ans nommée Grace Bedell était la personne derrière la barbe de M. Lincoln: Elle lui a écrit: «Laissez pousser vos moustaches … Vous seriez beaucoup mieux, car votre visage est si mince. Toutes les dames aiment les moustaches et elles taquineraient leurs maris pour voter pour vous, et alors vous seriez président.
Le saviez-vous? Il n’y a pas de descendants directs de Lincoln. Le dernier descendant incontesté de la lignée familiale, Robert Todd Lincoln Beckwith, est décédé le 24 décembre 1985 sans enfants.
24 février 1861.Cela a été pris lors de la première séance du président élu Lincoln à Washington le 24 février, le lendemain de son arrivée en train. Au 1er mars 1861, il était le 16ème président de l’Amérique.
Le saviez-vous? Le chien de Lincoln, Fido, a été tué par un assaillant ivre un an après la mort de Lincoln. D’autres animaux appartenant à Lincoln sont également morts dans un feu stable de la Maison Blanche.