Alerte Fukushima:les radiations auraient faites plus de 14,000 victimes en Amérique du Nord

PacificCurrents

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je  me permets aujourd’hui ,de vous donner de nombreux liens  qui  vous permettront de contourner la censure médiatique qui nous touche partout en Occident.Comme vous le savez,le mensonge a beaucoup d’avenir en Amérique du Nord,si rien n’est fait pour abattre ce mur  érigé sur la fausseté.

En tant que Chercheur et Diseur de Vérités,je donne le maximum ,j’essai de faire de mon mieux.

Voici:

Deux études  scientifiques sérieuses affirment qu’il y aurait plus de   14.000 décès et de nombreuses  maladies ,en Amérique du Nord ,causés par la catastrophe nucléaire de Fukushima au Japon.

Entre autres ,une lettre  publique  du scientifique japonais  Yuri Hiranuma  qui a publié  une étude  sur hypothyroïdie congénitale : http://fukushimavoice-eng2.blogspot.jp/2014/04/a-letter-to-editor-regarding.html .Un important  journal japonais a rejeté la lettre  sans aucune  explication.Il faut savoir que toute information touchant Fukushima est censurée depuis l’année passée…surtout depuis la dernière élection ,au Japon .La même censure politique s’installe de plus en plus sournoisement aux États-Unis d’Amérique.Au Canada ,on est plus hypocrite encore,car on  coupe  les subvention,on détruit  la crédibilité des personnes …et on utilise ses « petits amis de la haute finance » pour faire congédier les gens qui cherchent à éveiller le peuple.

L’éditeur de journal qui a refusé la publication, est sur ​​la « Liste des prédateurs Publishers 2014 » Beall:http://scholarlyoa.com/2014/01/02/list-of-predatory-publishers-2014/

Les deux études scientifiques  les plus  critiquées sont:

Mangano J, J Sherman, Busby C. (2013). Changements dans les cas confirmés, il n’y a plus de limites hypothyroïdie congénitale en Californie en fonction de retombées environnementales de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Ouvrez Journal of Pediatrics. 3 (4).http://file.scirp.org/Html/16-1330260_40157.htm

Mangano J, J. Sherman (2011). Une augmentation de la mortalité inattendue aux Etats-Unis suite à l’arrivée du panache radioactif de Fukushima: y a-t-il une corrélation? Int J Santé Serv, 42 (1):. 47-64 http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22403909

Les sources de données

En Californie,le  Ministère de la Santé :Programme Public  de dépistage sur les nouveaux nés:http://www.cdph.ca.gov/programs/NBS/Pages/default.aspx Téléphone: 510-412-1500

Centers for Disease Control and Prevention, MMWR Tableau III (mortalité)http://wonder.cdc.gov/mmwr/mmwrmort.asp

Merci à Alfred Korblein ( http://alfred-koerblein.de ), qui a guidé de nombreuses  analyses avec son expertise dans les statistiques présentées ici. Alfred est également l’auteur d’une lettre à l’éditeur publiée dans: Réponse  sur les  14 000 décès  sur la Côte Ouest américaine .

Voir l’étude de Mangano et Sherman : http://baywood.metapress.com/app/home/main.asp?referrer=default

Merci aussi à Mattias Lantz ( http://katalog.uu.se/simpleinfo/?id=N1-152 ) pour sa précieuse contribution et les analyses de ces études. Lantz a également publié de nombreuses analyses convaincantes des études magano & Sherman: http://nuclearpoweryesplease.org/blog/?s=lantz+mangano

Nouvel Ordre Mondial: histoire conjointe de la mafia italienne et juive sioniste en Amérique.partie 1

«Donnez-moi vos pauvres, vos exténués
Qui en rangs serrés aspirent à vivre libres,
Le rebut de tes rivages surpeuplés,
Envoyez-les moi, les déshérités, que la tempête m’apporte
De ma lumière, j’éclaire la porte d’or!»
– Emma Lazarus, texte gravé sur le socle de la Statue de la Liberté.

Lorsqu’ Emma Lazarus compose son texte en 1883, le crime existe en Amérique, mais il n’est pas organisé. Tout va changer dans les années qui suivent avec l’arrivée en Amérique de ces millions de pauvres, d’exténués, de déshérités, Polonais, Juifs, Italiens, etc., qui transforment les grandes villes américaines. Ainsi, 350 000 Italiens émigrent dans la seule année 1910. Le Lower East Side devient la «Petite Italie». On trouve des «Petites Italies» un peu partout à Boston, à Chicago, à Philadelphie, à la Nouvelle-Orléans.

Mulberry Street à New York vers 1900.
Mulberry Street à New York vers 1900.

Chaque groupe ethnique a ses criminels. Avec une différence: les Italiens, comme d’ailleurs les Chinois, viennent de pays avec une longue tradition de gangs très organisés. Aussi, on trouve de tout parmi les criminels italiens : des ambitieux qui veulent créer des petites mafias à New York ou ailleurs, d’autres qui ne veulent pas se tracasser avec les formalités et les rituels mais qui s’inspirent de la Mafia pour racketter d’autres Italiens. C’est le cas de la Main noire, un groupe de criminels qui sévit partout où il y a des Italiens et dont on parle dès 1904 à Montréal.

American Gangster: The Black Hand (vidéo, 4 min 26 s)

Les mafiosi ont une position confortable en Italie et n’ont pas besoin de se chercher un avenir en Amérique du Nord. Ils n’essaient pas d’établir des succursales en Amérique. Aussi, il y a très peu de membres de la Ndranghetaou de la Mafia qui transplantent en Amérique deux cents ans d’expérience criminelle : loyauté totale au clan, liens de famille étroits, hiérarchie claire et acceptée.

« Les Canadiens et surtout les Québécois, « doivent se réveiller et presser les gouvernements d’agir avant que la situation ne devienne hors de contrôle comme en Italie.» -Gilbert Côté, ancien directeur du service de renseignements de la police de Montréal. » (Mafia Inc., p.15)

Les premiers signes de leur arrivée apparaissent en 1890 à la Nouvelle-Orléans où un millier d’Italiens font les travaux les plus durs. Deux gangs se disputent les jobs de débardeurs. Ça s’envenime. Le chef de police, David Hennessey, est tué. Le meurtre indigne des citoyens qui lynchent seize Italiens. Au procès, un an plus tard,  on évoque pour la première fois le nom de Mafia.

La Mafia sicilienne s’installe à New York vers les années 1890, avec l’arrivée du parrain Antonio Morello dont la famille devient rapidement le principal groupe criminel de la ville.

New York

Avec les années, des gangs ethniques se forment, deviennent des travailleurs d’élections pour les candidats du quartier, bourrent les urnes lors des élections, intimident ceux qui veulent voter du mauvais côté, etc. Une fois élu, le nouveau représentant les protège. Ces gangs qui ne sortent pas de leur quartier sont indisciplinés, spontanés, mortels et inefficaces. Ils ne s’en prennent qu’aux plus faibles, aux plus ignorants, aux plus désemparés de leurs propres frères de sang. Sortant peu de leurs quartiers, les criminels irlandais, juifs, italiens ou autres, prouvent la plupart du temps que le crime ne paie pas.

 

Le trait d’union

Le jeune Meyer Lansky

Luciano est un jeune bum du Lower East Side. Avec sa gang de Siciliens, il taxe les Juifs qui doivent passer dans le quartier pour aller à l’école. Un Juif de 5 pieds 4 pouces ose le défier et gagne son respect. Meyer Lansky est intelligent, a la bosse des mathématiques et vient de finir sa huitième année. Il travaille dans un tripot de jeu, toujours accompagné de Benjamin «Bugsy» Siegel, nettement moins intelligent mais explosif. Première brèche ethnique importante : des bums juifs et italiens commencent à travailler ensemble.

Lors d’une fête religieuse, Lansky fait la connaissance d’un visionnaire criminel,Arnold Rothstein. C’est lui qui a inspiré l’écrivain F. Scott Fitzgerald pour le personnage de Meyer Wolfshiem dans « Gatsby le Magnifique ».

Arnold Rothstein
Arnold Rothstein

Rothstein a commencé sa carrière de joueur dès l’adolescence. Puis, à l’âge de 20 ans, avec le soutien d’un politicien de Manhattan, il est devenu bookmaker (preneur de paris), pour les courses de chevaux, les matchs de baseball, les combats de boxe ou les élections politiques. Il connaît tout le monde, a des contacts partout, prête de l’argent aux criminels comme aux hommes d’affaires. Les politiciens ont un rôle taillé sur mesure pour lui.

Les politiciens ont besoin des gangs pour les élections mais ils ne veulent pas les voir. Ils font peur, n’ont pas de manières et la plupart du temps n’ont pas inventé l’eu chaude ni la façon de s’en servir.

Toujours tiré à quatre épingles, Rothstein devient rapidement le trait d’union entre la machine électorale de Tammany Hall (l’organisation du Parti démocrate à New York) et les différents gangs ethniques qui garantissent l’élection d’un candidat.

Ce criminel est aussi un excellent pédagogue : ses élèves viennent de différents gangs ethniques. Rothstein, qui  travaille pourtant toujours seul, leur enseigne qu’une organisation est plus forte que n’importe quelle brute; que les rivalités entre les gangs irlandais, juifs, italiens sont du gaspillage. Il explique, en gros : utilisez les meilleurs, alliez-vous avec ceux qui peuvent être utiles, foutez-vous de leur origine. Frank Costello le Calabrais, Lucky Luciano le Sicilien et Lansky le Juif sont d’accord.

Lucky Luciano en 1923.
Lucky Luciano en 1923.

La chance de passer dans les ligues majeures leur est donnée par des activistes purs et durs. Grâce à eux, pour la première fois de l’histoire, de jeunes criminels deviennent millionnaires.

Frank Costello
Frank Costello

Alcool: tolérance zéro

Depuis des décennies, des mouvements de tempérance voulaient sauver les Américains de l’esclavage de l’alcool. Depuis des décennies, les Américains refusaient d’être sauvés. Les activistes qui savent mieux que les Américains ce qui est bon pour eux, se tournent alors vers le gouvernement et font un  lobbying intense pour qu’il interdise purement et simplement l’alcool. Lourde tâche, presqu’impossible. La Constitution américaine et ses 17 amendements concernent les activités du gouvernement, pas ceux des Américains. De plus, amender une constitution est du sérieux. On ne l’avait fait qu’une fois depuis la fondation des États-Unis. Mais les militants occupent toutes les tribunes, créent des associations, paradent, défilent, manifestent. Finalement ils réussissent. Le gouvernement ajoute un amendement. Désormais la constitution comprend deux exceptions qui s’adressent aux citoyens: vous ne pouvez pas posséder d’esclaves et vous ne pouvez pas acheter de l’alcool.

Le soir du 16 janvier 1920, les militants célèbrent leur victoire avec des ralliements et des sessions de prières. « Les hommes marcheront droit, les femmes souriront, les enfants riront »,  crie le preacher Billy Sunday à la foule de 10 000 personnes réunie à Norfolk, Virginie.

Avec une touchante naïveté qui force l’admiration, ils croient tous que les Américains vont simplement obéir à la loi interdisant maintenant l’alcool. En fait, une autre loi s’applique aussitôt, celle de l’offre et de la demande.

La prohibition

Le 16 janvier 1920 à minuit, la loi entre en vigueur. Durant l’heure qui suit, six hommes masqués se rendent à la gare de Chicago, maîtrisent sept personnes et partent avec le contenu de deux wagons contenant 100 000 $ de whiskey étiqueté «pour usage médical seulement»; toujours dans la même heure, un autre gang s’empare d’un camion chargé de whiskey; un troisième groupe pénètre dans un entrepôt et part avec quatre barils de whiskey. Le ton est donné pour les prochaines treize années.

C’est quelque chose d’inouï : toute l’industrie de la bière, du vin, de l’alcool, une des plus importantes du pays, est purement et simplement remise aux mains des criminels.

Une façon de feindre remarquable.
Une façon de feindre remarquable.

Dans une première étape, les criminels des quartiers ethniques, irlandais, juifs, italiens, s’approvisionnent localement. Ils achètent la bière, le vin, l’alcool produits dans les sous-sols, les toilettes, les caves, les garages. Ils achètent un baril de bière 5 $, le revendent 36 $ dans un des bars clandestins qui ont poussé comme des champignons.

Mais le produit fini peut rendre les clients aussi bien saouls qu’aveugles. Pas question pour les bars clandestins le moindrement chics de vendre ce genre de trucs. La seule solution est juste de l’autre côté d’une frontière de 4000 milles de long, le Canada.

Prochaine partie :Nouvel Ordre Mondial: la mafia juive sioniste et italienne en Amérique .partie 2