“Tu peux voler. Tu peux mentir. Tu peux te battre. Et dans certains cas extrêmes, tu peux tuer”.
Voilà comment un ancien agent du MOSSAD résume sa mission au sein de l’une des agences les plus secrètes au monde. Deux anciens patrons, dont la parole est rare, racontent le rôle décisif de ce puissant service de renseignement sur le dossier du nucléaire iranien. En février 2018, c’est le vol par des espions israéliens de documents compromettants qui va précipiter le retrait américain de l’accord signé avec le régime des Mollahs.
Ce film dévoile les coulisses d’autres opérations spectaculaires qui ont construit la légende de cet Institut pour le renseignement et les affaires spéciales, créé un an après la proclamation de l’État d’Israël pour assurer sa survie.
Pourquoi le procès de l’un des plus grands criminels nazis n’aurait jamais eu lieu si des agents israéliens ne l’avaient pas capturé en Argentine.
Comment a été mise en place la campagne d’élimination qui a suivi la mort de neuf athlètes israéliens au JO de Munich en 1972 et a entraîné quatre assassinats sur le territoire français au risque de froisser un allié historique.
Focus aussi sur les menaces exercées par le service israélien pour faire échouer un partenariat nucléaire franco-irakien.
Guerre secrète, frappes ciblées, cyberattaques, les méthodes et les actions du MOSSAD révèlent l’autre histoire d’Israël.
Souvenons nous de Boko Haram,groupe qui s’est uni au calife de l’État Islamique depuis 2014. Avant cela,ces terroristes avaient enlevés des centaine de jeunes filles étudiantes dont la plupart sont devenues enceintes plusieurs fois depuis.
49 soldats ont été tués dans une « attaque terroriste » contre un camp militaire.
Des soldats du califat ont attaqué une base militaire où sont stationnés des éléments de l’armée malienne apostate dans le village d’Indelimane, dans la région de Ménaka, a indiqué samedi l’État islamique dans un communiqué signé « Province Afrique de l’Ouest » et publié sur ses chaînes Telegram.
Avec la mort de 49 soldats, le bilan de l’attaque, annoncé samedi par l’armée sur sa page Facebook, est l’un des plus importants enregistrés depuis l’invasion djihadiste dans le nord du pays, en 2012, qui s’est progressivement étendue vers le centre et les États voisins.
Les terroristes ont mené une attaque-surprise à l’heure du déjeuner. Des véhicules de l’armée ont été détruits, d’autres emportés, a précisé samedi un officier de l’armée malienne présent à Indelimane. Une vingtaine de rescapés ont été retrouvés après l’assaut, selon les forces maliennes qui ont aussi fait état de trois blessés et de dégâts matériels.
Au lendemain de cette attaque, un soldat français a également trouvé la mort près de la frontière du Niger.
Les soldats du califat ont pris pour cible un convoi de véhicules des forces françaises, près d’Indelimane, dans la région de Ménaka, en déclenchant un engin explosif, a écrit l’EI dans un second communiqué.
L’explosion de l’engin artisanal est survenue à 20 km d’Indelimane pendant une mission de sécurisation prévue de longue date, mais n’aurait « aucun lien » avec l’attaque de vendredi dans cette localité, a affirmé le porte-parole de l’état-major français, le colonel Frederic Barbry.
Les deux communiqués ont été publiés une semaine après l’annonce de la quatrième mort du chef de l’EI, Abou Bakr al-Baghdadi, supposément tué lors d’un raid américain en Syrie.
Avec l’attaque de vendredi, l’armée malienne subit une de ses plus lourdes pertes depuis plusieurs années. (photo d’archives)
Une « mobilisation africaine » contre les djihadistes
La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a condamné très fermement l’attaque terroriste et affirme que des opérations de sécurisation sont en cours dans la région avec l’appui de Casques bleus.
Cette saignée que le Mali vit ne peut plus continuer. Voulez-vous qu’on se résigne à ce calvaire?, a déclaré samedi à Bamako l’imam Mahamoud Dicko, influente figure religieuse malienne.
De son côté, le Sénégalais Alioune Tine, défenseur des droits de l’homme, a appelé samedi à une mobilisation africaine.
«Si l’Afrique ne se mobilise pas pour le Mali et le Burkina, elle ne sera pas épargnée par le feu de brousse qui va vite gagner les pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest, les prochaines cibles de choix des djihadistes.» – Alioune Tine, défenseur des droits de la personne
Le premier ministre burkinabè, Christophe Joseph Marie Dabiré, s’est quant à lui déclaré meurtri à la suite de cette barbarie inqualifiable.
La nébuleuse terroriste dans la région
L’attaque de vendredi à Indelimane suscite également des interrogations sur les capacités d’action de l’armée malienne dans cette région où se trouvent les frontières de plusieurs pays, notamment le Niger et le Burkina Faso, touchés eux aussi par les attaques djihadistes.
Elle fait notamment écho aux attaques meurtrières survenues le 30 septembre à Boulkessy et le 1er octobre à Mondoro, dans le sud du Mali, près du Burkina Faso. Quarante soldats avaient alors été tués dans ces deux attaques, selon un bilan d’un responsable du ministère de la Défense. Plusieurs sources estiment que ce bilan officiel de 40 morts a été sous-évalué.
Voisin du Mali, le Burkina Faso est pris depuis près de cinq ans dans une spirale de violences attribuées à des mouvements djihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda et d’autres au groupe État islamique.
Depuis 2016, 204 militaires burkinabè sont « tombés pour la défense de la patrie » lors d’attaques djihadistes, qui ont fait au moins 630 morts civils et militaires, selon un comptage de l’AFP. Depuis début 2015, les attaques, de plus en plus fréquentes et meurtrières, en particulier dans le Nord et l’Est, ont occasionné près de 500 000 déplacés internes et réfugiés, d’aprè l’ONU.
Ces attaques au Sahel sont d’abord parties du nord du Mali, tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupuscules liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touareg, d’abord alliée à ces groupes, qui l’ont ensuite évincée.
Les djihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France et d’une intervention militaire, qui se poursuit toujours.
Or, les violences ont non seulement persisté, mais elles se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.
Seuls quelques propagandistes acharnés et buveurs de Kool-Aid croient réellement l’annonce américaine selon laquelle le terroriste maître Al-Baghdadi a été tué de nouveau. Cependant les sources du Pentagone disent que cette fois, cela signifie vraiment quelque chose. La troisième annonce de sa mort signifie que « le président américain Donald Trump est prêt à apporter une aide russe pour mettre fin au trafic illégal de pétrole, d’armes, de personnes et de drogue qui profite aux sionistes, à la CIA et à l’état profond », expliquent-ils.
Fondamentalement, maintenant que le prétexte de combattre l’Etat islamique, Al-Qaïda ou tout autre nom de marque qu’ils ont utilisé a explosé, Trump dit maintenant ouvertement la vérité, à savoir que les guerres au Moyen-Orient concernent le vol de pétrole. Le fait que Trump mentionne Exxon Mobil, contrôlée par les Rockefeller, en tant que société capable de développer les champs de pétrole syriens signifie également que Trump est désormais le porte-parole officiel des grands du pétrole.
En tout cas, Gordon Duff de Veteran’s Today, qui possède les meilleures sources au Moyen-Orient, a déclaré que l’agent du Mossad, Shimon Elliot, alias «al-Baghdadi», est en fait toujours en vie.
Vraisemblablement, il jouit de sa mort officielle dans une maison d’hébergement en compagnie de son copain du Mossad, Jeffrey Epstein.
Cette photo de l’agent de la CIA, Tim Osman, alias «Ben Laden», avec ses gestionnaires envoyés par les Allemands, corrobore ce que Duff rapporte.
Bien que nous ne puissions pas confirmer si ces images sont authentiques, l’histoire qu’elles racontent nous a été confirmée par de nombreuses sources au fil des ans.
Pendant ce temps, la guerre civile non déclarée aux États-Unis atteint un crescendo, la liste des politiciens disparus à Washington DC continue de s’allonger. Ni la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, ni le président du Comité du renseignement de la Chambre, Adam Schiff, ne sont apparus en public depuis leur soudain voyage en Jordanie la semaine dernière.
Steve Scalise, du parti républicain de la Chambre, a tenté de maintenir le rythme avec ce tweet largement cité: «Mes collègues et moi-même sommes allés affronter Schiff face à face dans sa pièce fermée au sous-sol du Capitole pour voir ce qu’il cachait. Quand nous sommes arrivés, il a immédiatement mis fin à l’audience et s’est enfui avec le témoin. »
Cependant, un collègue à Washington DC, avec une carte de presse, a déclaré que Pelosi, Schiff et beaucoup d’autres n’avaient pas été vus en public au cours de la semaine écoulée et qu’aucune nouvelle vidéo n’était parvenue de leur part. L’ancien chef de la CIA, John Brennan, qui a été constamment dans les médias, n’a également pas été vu en public depuis deux semaines, a ajouté le journaliste.
De plus, le fait que des médias relatent l’acte d’accusation en Ukraine contre Trump citant maintenant des politiciens autres que Schiff ou Pelosi donne de la crédibilité à l’idée qu’ils ont disparu.
Des sources du Pentagone expliquent : « Comme les actes d’accusation scellés atteignent les 130.000, beaucoup de notables peuvent choisir la mort plutôt que le déshonneur, Gitmo (bagne de Guantánamo ) ou les tribunaux militaires, et ils peuvent donc opter de recevoir le traitement Rommel. » (Le Maréchal de campagne Erwin Rommel avait eu la possibilité de se suicider et de recevoir un éloge funèbre en tant que héros de guerre, après son échec dans sa tentative de coup d’État contre Adolph Hitler). Surveillez donc les annonces de mort prématurée du héros de guerre, le général James Mattis et de certains de ses collègues.
L’annonce officielle de la mort de John Conyers, membre Afro-Américain de longue date du Congrès, est la plus récente. Conyers, qui a été évincé en 2017 pour inconduite sexuelle a été tué par ses chefs de la mafia de Detroit car leur argent en provenance de Syrie et d’Irak était bloqué, selon des sources du Pentagone.
Interrogé au sujet de l’enquête sur la RussiaGate vendredi, Trump a dit : « Je ne peux pas vous dire ce qui se passe », mais Je vais vous dire ceci : Je pense que vous allez voir beaucoup de choses vraiment mauvaises. Je pense que vous verrez des choses que personne n’aurait jamais crues possibles» a-t-il ajouté.
Trump a également laissé entendre la semaine dernière, en l’accusant publiquement du crime capital de trahison, que l’ancien PrésidentBarack Obamaavait été exécuté. «Ce qu’ils ont fait était de la traîtrise, OK ? C’était de la trahison.»
Le président du Pentagone, que nous avons installé pour contrer la mafia Khazariane (Hillary Clinton, etc.) s’en est pris aux conneries des renseignements Russes ce qui, malheureusement, avait été rassemblé par un de nos propres agents à Londres.
Inutile de dire qu’il y a des gens très mal à l’aise à Londres du côté des personnes visés», a décrit une source principale du MI6 à Washington, DC.
En fin de compte, les agences de renseignements de l’Occident ont accidentellement travaillé à contre-courant, a-t-il ajouté. Tout cela est en train d’être corrigé, a-t-il dit.
En attendant, le reste du monde en a assez de toute cette activité puérile du monde politique Anglo-Saxon. Après la défaite de l’État Islamique par l’armée du Gouvernement Syrien, avec le soutien des forces aérospatiales Russes au début de 2018, la nouvelle « mort » d’Abou Bakr al-Baghdadi n’aura aucun impact sur la situation en Syrie ou sur les actions des terroristes restant à Idlib » , a déclaré Igor Konashenkov, porte-parole du Ministère de la Défense de la Russie.
Tass a également déclaré que l’agent Russe récemment libéré, Maria Butina, avait déclaré: « Les États-Unis ont perdu leur système judiciaire. »
L’agence officielle Chinoise, Xinhua News, pour sa part, après avoir cité Trump sur «al-Baghdadi», a déclaré qu’au fil des ans, « al-Baghdadi aurait été tué à plusieurs reprises.»
Bien sûr, les Turcs, les Iraniens et d’autres ont publiquement dit des choses semblables. Simultanément, le plan des États-Unis visant à utiliser l’Inde comme contrepoids à la Chine a sauté la semaine dernière lorsque l’Inde a suspendu sa coopération avec les États-Unis en matière de défense.
Tout cela signifie que les contrôleurs Sionistes du régime américain sont en train de perdre la capacité de contrôler le scénario. Cela se produit même à l’intérieur des pays qu’ils contrôlent encore comme les États-Unis.
On a pu le constater lorsque la candidate démocrate, Mme Tulsi Gabbard, a déclaré lors d’un débat présidentiel, que les États-Unis parrainaient Al-Qaïda. Selon un sondage Drudge Report, elle a remporté le débat avec un soutien de 40%, tandis que les grands noms officiels tels qu’Elizabeth Warren et Joe Biden n’en ont obtenu que 7% . Puis, dans un geste orwellien, le Comité du Parti National Démocrate a annoncé qu’elle n’avait pas assez de soutien pour participer au prochain débat.
Pendant ce temps, la Californie brûle à nouveau. Selon des sources de Renseignements Militaires Japonais, les incendies en Californie de ces dernières années ont été délibérément programmés scientifiquement (géo-engineering) pour préparer le terrain en vue d’une liaison ferroviaire entre la Californie et la Chine en passant par l’Alaska.
Cela a été fait dans le cadre d’un accord visant à éviter la faillite du gouvernement américain, ont indiqué les sources. La carte, au niveau de ce lien, des incendies qui se sont passés montre qu’ils semblent effectivement être en ligne le long de ce qui serait un bon itinéraire pour un chemin de fer.
L’autre chose à noter à propos des États-Unis, c’est qu’une flambée soudaine et radicale de rétrogradation de leurs emprunts est le dernier signe clair qu’un événement financier comme le cygne noir est imminent.
Selon des sources de la famille royale en Europe, les négociations se poursuivent en vue d’une « déclaration véritablement mondiale venant de la BRI, du FMI, de la Banque Mondiale et de l’ONU, plaidant pour une paix et une prospérité permanentes laquelle déclaration serait soumise au vote du Conseil de sécurité de l’ONU.
Le FMI (France et Allemagne) et le Vatican (Franc-Maçons P2), la Suisse et la Cité de Londres sont tous impliqués dans ces négociations, indique la source. Les Britanniques réclament la création d’une agence de planification de l’avenir, dotée d’un personnel à la mesure de son mérite, et les contrôleurs de l’ancien système du Vatican veulent que le FMI en assure la supervision, dit-il. Un compromis qui donnera un rôle aux deux est en cours d’élaboration, a-t-il ajouté. Bien sûr, les Chinois et les Asiatiques vont devoir l’approuver, a-t-il dit.
Les Chinois tiennent une réunion spéciale cette semaine pour discuter de cette question ainsi que d’autres questions, indiquent des sources de la Société Secrète Asiatique. Le Complexe Militaro-Industriel, pour sa part, en libérant des brevets sur la technologie « UFO », les réacteurs de fusion compacts et autres merveilles, a indiqué que le temps est venu pour une transformation de fond en comble.
Dans ce contexte, Boeing pourrait être soumis au contrôle militaire avec l’ancien Amiral en Chef de la Marine, John Richardson, parachuté à son conseil d’administration, car le PDG Dennis Muilenburg pourrait être limogé prochainement indiquent des sources au Pentagone.
Selon certaines sources, le Pentagone envisage également de secouer le Complexe Militaro-Industriel des États-Unis, lequel est gonflé et inefficace, en partageant la technologie avec les entreprises de la Russie, pour leur ouvrir des marchés pour la défense.
Quoi qu’il en soit, on peut s’attendre à plus de drames au cours des semaines et des mois à venir avec l’effondrement de l’ancien système. La question est de savoir s’il s’agira d’une démolition contrôlée, suivie d’une reconstruction, ou si ce sera une descente aux enfers dans le chaos, l’anarchie et la misère.
Nos sources disent qu’une démolition contrôlée et une émergence semblable à celle d’un phénix en quelque chose de nouveau et de meilleur est le scénario le plus probable. Les réunions prévues pour novembre avec le Pape, les Asiatiques et le Pentagone pourraient s’avérer décisives.
De plus, bien que je ne sois pas un gros fan des OVNI ou des extraterrestres, on m’a dit que c’était le bon moment pour garder les yeux tournés vers le ciel et porter attention aux événements inhabituels comme des hologrammes géants.
Selon les services de renseignement russes, les États-Unis ont déplacé al-Baghdadi de Syrie vers l’Irak, puis ont simulé sa mort. Ou est-ce qu’al-Baghdadi a rejoint son coreligionnaire et concitoyen Epstein en Israël [1]?
En juillet 2014,Edward Snowden, l’ancien consultant et informaticien de l’Agence américaine de sécurité (NSA), a révélé que les services de renseignement britannique et américain, ainsi que le Mossad, ont collaboré ensemble pour la création du groupe djihadiste Daech ou l’État islamique en Irak et au Levant. Snowden a indiqué que les services de renseignement des États-Unis de la Grande-Bretagne et de l’entité sioniste ont collaboré ensemble afin de créer une organisation terroriste qui soit capable d’attirer tous les extrémistes du monde vers un seul endroit, selon une stratégie baptisée « le nid de frelons ». Les documents de la NSA évoquent « la mise en place récente d’un vieux plan britannique connu sous le nom de « nid de frelons » pour protéger l’entité sioniste, et ce en créant une religion comprenant des slogans islamiques qui rejettent toute autre religion ou confession ». Selon les documents de Snowden, « la seule solution pour la protection de l’État hébreu est de créer un ennemi près de ses frontières, mais de le dresser contre les États islamiques qui s’opposent à sa présence ». Les fuites ont révélé également que l’autoproclamé calife de « l’Etat Islamique », Abou Bakr Al-Baghdadi, a suivi une formation militaire intensive durant une année entière entre les mains du Mossad, sans compter des cours en théologie et pour maîtriser l’art du discours ».
« Le ministère russe de la Défense ne dispose d’aucune information fiable sur des soldats américains menant une opération visant à « éliminer encore une fois » l’ex-dirigeant de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, dans la partie de la zone de désescalade d’Idlib contrôlée par la Turquie », a déclaré le porte-parole du ministère, le Maj.Gen. Igor Konashenkov a déclaré.
Il a également rejeté les affirmations de Trump selon lesquelles les forces russes auraient ouvert l’espace aérien sous son contrôle en Syrie aux avions américains afin de faciliter l’opération contre le dirigeant de l’EI. Moscou a fait savoir qu’il n’avait enregistré aucune frappe aérienne de la coalition américaine dans la région d’Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, samedi.
Le ministère a mis en doute la possibilité même de la présence d’Al-Baghdadi à Idlib, la zone étant détenue par Al-Qaïda et Jabhat al-Nusra, qui ont toujours été un ennemi mortel de l’État islamique.
Trump avait fait une allocution dimanche de la Maison-Blanche pour informer le monde que al-Baghdadi avait été éliminé dans le nord-ouest de la Syrie lors d’un «raid nocturne audacieux» avec la participation de forces spéciales américaines, d’avions, d’hélicoptères et de drones. Le dirigeant de l’Etat islamique (ISIS/EI) n’a pas arrêté « de pleurer et de crier » face à la puissance américaine, a-t-il déclaré.
Les services de renseignement russes à l’intérieur de la Syrie ont indiqué que leurs systèmes radar S400 couvrant Idlib n’ont détecté aucun avion américain survolant la zone où le raid sur al Baghdadi est supposé avoir lieu.
Les Russes sont très déçus par Trump et affirment que les États-Unis placent l’énorme force Al-Qaïda d’Idlib sous commandement conjoint avec un État islamique nouvellement reconstitué sous protection américaine en Irak et dans les zones syriennes nouvellement réoccupées, où les forces américaines viennent d’acquérir encore plus d’actifs de pétrole syriens.
Selon une source privée: «L’Amérique voit son gros échec en Irak car lorsque les États-Unis, Israël et l’Arabie saoudite ont créé Daech/ISIS, ils l’ont fait alors que la Syrie, à l’exception du Kurdistan, était unie. Maintenant, ils encouragent d’abord une guerre civile, puis soutiennent un nouvel État islamique ainsi que la région kurde d’Irak, qui est sous contrôle quasi total d’Israël. Baghdadi [1] fait partie de ce processus, utilisant son influence personnelle dans la communauté sunnite irakienne. «
Moscou nous a dit il y a quelques instants qu’al-Baghdadi est en vie, en bonne santé et travaille avec les États-Unis en Irak. Ces informations sont exclusives et proviennent directement de sources de renseignement de haut niveau qui ont toujours raison, et Veterans Today a prouvé à maintes reprises.
Ce que nous ne savons pas, c’est si Trump a menti en connaissance de cause, quelque chose qu’il fait tout le temps de toute façon ou s’il est simplement manipulé. Maintenant que le retrait de Trump de la Syrie a été annulé et que toutes les troupes envoyées en Irak sont maintenant revenues en Syrie, 100% d’entre elles venant d’être redéployées à Deir Ezzor depuis Hasakah, son «mouvement pour la paix» est maintenant présenté comme un FAKE total.
De la même manière, l’ancien homme le plus recherché du monde, le chef d’Al-Qaïda Oussama Ben Laden, avait été annoncé mort plusieurs dizaines de fois. Ce qui ne sera officiel que le 1er mai 2011, lors d’une opération américaine menée au Pakistan. A l’époque supervisée par Barack Obama.
Je ne vous ferai pas regarder la marionnette Obama reproduire un faux texte mémorisé, mais plutôt vous donner une phrase de sa déclaration mensongère:
«Aujourd’hui, sous ma direction, les États-Unis ont lancé une opération ciblée […]. Ils ont tué Oussama ben Laden et pris la garde de son corps.»
Je veux vous prouver que Barack Hussein Obama ment et qu’Oussama Ben Laden est mort depuis 2001. Mais avant d’aller plus loin, permettez-moi de vous présenter le véritable Oussama ben Laden et ses relations avec la CIA et la famille Bush.
Que cherche le Deep State ?
Le Deep State lance une attaque sur quatre fronts, débutant à Hong Kong, pour faire pression sur la Chine afin qu’elle fasse des concessions, non pas sur le commerce mais sur les devises et les banques. La Chine, avec d’autres partenaires non alignés, menace le système bancaire mondial de Rothschild via système de commerce secondaire et de nouvelles monnaies, y compris la crypto, contestant l’interminable fausse crypto «pompe et vidage» qui a déjà versé des milliards dans les coffres du crime organisé.
La planification ici est laissée à Google Corporation et à Facebook, le cœur organisationnel de facto du Deep State et à leurs capacités en matière d’intelligence artificielle.
Depuis Hong Kong, le mécanisme qui organisait jadis les révolutions de couleur et les imputait à George Soros a lancé la répression indienne (israélienne) contre les musulmans au Cachemire et les attaques contre le Pakistan. Les passages frontaliers du Pakistan au nord du Cachemire ont également été attaqués, mais ce projet est une provocation contre Imran Khan, qui tente d’affaiblir son mouvement de réforme.
Des milliers de soldats indiens sont introduits au Cachemire, où des personnes sont traînées hors de chez elles et battues dans les rues, comme vengeance de l’Inde contre des siècles de règne musulman et britannique. Derrière cela, cependant, se cache une course aux armements entre la Chine et l’Inde.
Le problème derrière tout cela est qu’Israël fabrique des ICBM en Inde, en les installant dans des installations construites par les États-Unis en Israël, des ICBM capables de frapper l’Amérique du Nord, inutiles contre l’Iran.
Ce sont des missiles qui pourraient simuler une première frappe nucléaire de la Russie contre les États-Unis, tout comme le 11 septembre simulait un attentat terroriste islamiste aux États-Unis. Tout cela est une création de l’esprit tortueux de Benjamin Netanyahu.
Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.
La prochaine étape s’est déroulée au Liban, où de véritables manifestations contre un gouvernement faible sont en train de se produire, comme en Ukraine, où des agents provocateurs payés par l’Arabie saoudite ont ajouté à la violence
Les services de renseignement du Hezbollah ont retracé tout cela et vont probablement exercer des représailles contre ceux qui sont impliqués dans le complot israélo-saoudien. Le Hezbollah, après des années de lutte contre la tentative de l’État profond de renverser la Syrie et de détruire l’Irak et l’Iran, constitue aujourd’hui l’une des forces militaires les plus redoutables du monde, entraînée et armée par l’Iran et la Russie et dotée d’une grande expérience.
Tout cela est coordonné avec les récents mouvements à Bagdad [2], des émeutes qui ont tué près de 100 personnes, qui, en réalité, devraient manifester contre le vol par le quarteron de voleurs ISIS-USA-Kurdes-Turcs de près de la moitié des revenus pétroliers irakiens depuis 2014 et de près de 1,5 milliards de dollars d’or irakien. L’occupation américaine a entraîné des catastrophes économiques en cascade et un chômage généralisé pendant des années.
Un gouvernement fantoche soutenu par les États-Unis continue de régner sur l’Irak, tandis que la vie commerciale et économique de ce pays l’a laissé une coquille vide avec toutes les liquidités transférées vers les banques de Dubaï pendant que l’Irak pourrit.
Le déplacement d’al-Baghdadi est coordonné avec les soulèvements du Liban et de Bagdad, désormais ensemencés et contrôlés par Deep State, et la montée d’un nouvel État islamique alimenté par les revenus du pétrole volé en Syrie et en Irak.
Trump menteur ou dupé? Al-Baghdadi n’aurait jamais pu être dans la zone d’Al-Qaïda dans Idlib
IL N’Y A ABSOLUMENT AUCUN TERRORISTE D’ISIS À IDLIB … PAS D’ISIS, PAS DE BAGHDADI, PAS DE CHIENS MECHANTS, PAS DE BAGHDADI QUI PLEURE … QUE DES CONNERIES BOITEUSES
Pas d’Isis à Idlib, pas de Baghdadi à Idlib, pas d’Isis à Deir Ezzor avec le pétrole syrien. Par contre, ui, il y a des djihadistes d’ISIS au sein et près des bases américaines en Syrie et en Irak.
Pire encore, VT, la Maison Blanche, tout le monde est inondé, même les médias russes (ils ont aussi de faux médias) avec une nouvelle histoire, selon laquelle ISIS et al-Nosra / al Qaïda ont toujours été les mêmes, même s’ils se sont combattus les uns contre les autres depuis des années. Pourquoi?
La réponse est simple, Trump a été pris dans une erreur puérile, tuant un faux Baghdadi au milieu d’une zone contrôlée à 100% par les ennemis de ce dernier.
Pire encore, dans une zone contrôlée par les milices turques (i.e. véritables services de renseignement turcs) et al Nosra. Les deux organisations, les services de renseignement turcs et Al-Qaïda, sont sur la liste de paye de l’Arabie saoudite.
Trump, qui ne sait vraiment pas lire et dont l’attention ne dépasse pas celle d’un moucheron, a organisé un autre enterrement factice en mer. Cette fois-ci, Trump est dans un sac lourd avec les chaînes, les boîtes de conserve et les déchets qui composent ces enterrements factices.
Attendons des témoins, des navires sans personne à bord, ou pire encore, nous pouvons nommer l’unité responsable, puis les tuer tous dans un accident d’hélicoptère, comme ce fut le cas après la mort du faux Ben Laden.
De Spoutnik News:
Dans une allocution inhabituelle, le président des États-Unis, Donald Trump, a eu beaucoup à dire sur le décès d’Abou Bakr al-Baghdadi à la suite d’une opération des forces spéciales qui a eu lieu samedi soir. Bien que des tests ADN aient été utilisés pour identifier le corps du dirigeant de Daech, les questions concernant à la fois l’opération et le lieu de détention de Baghdadi en général doivent encore être examinées.
Après avoir passé sa matinée au Trump National Golf Club, le président est retourné à la Maison Blanche dimanche après-midi et a posé pour quelques photos avec son personnel dans la salle de crise avant de prononcer un discours à la population américaine sur la récente opération de l’armée américaine et la mort de Baghdadi.
Mark Sleboda, un analyste des affaires internationales et de la sécurité, a rejoint lundi à Loud and Clear Radio Sputnik pour disséquer le récit de la mort du chef de Daech par Trump et approfondir les détails de l’opération des forces spéciales.
«Il a manifestement l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien après les multiples promesses de retirer les forces d’occupation de la Syrie», a déclaré Sleboda à ses hôtes Brian Becker et John Kiriakou. « Il a maintenant l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien et le ministère russe de la Défense a été jusqu’à dire que les États-Unis étaient déjà impliqués dans la contrebande de pétrole. »
S’exprimant sur les images satellites publiées samedi par le ministère russe de la Défense, le major-général Igor Konashenkov a qualifié de « banditisme international » la présence persistante des États-Unis en Syrie et son réaménagement autour des gisements riches en pétrole du gouvernorat d’Al-Hasakah.
L’une des compagnies visées par Konashenkov est «Sadcab» (également appelée «Sedcab»), contrôlée par les États-Unis. Bien que créée avec le soutien de la communauté kurde locale, ses profit remplissent les poches des services de renseignement et des sous-traitants militaires des États-Unis.
Sleboda a expliqué le point de vue du responsable de la défense, soulignant que les produits américains provenant de la contrebande de pétrole étaient utilisés pour soutenir les « opérations clandestines militaires … de Washington dans la région ».
Le pétrole mis à part, l’analyste a comparé le discours embelli de Trump et ses affirmations d’un Baghdadi gémissant et pleurant à la déclaration cynique de l’ancienne Secrétaire d’État Hillary Clinton en 2011, devant le cadavre violé et mutilé du leader libyen Kadhafi, : «Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort».
En ce qui concerne le raid lui-même, Sleboda a trouvé un certain nombre de choses intéressantes liées aux détails bruts de l’opération nocturne.
Il a d’abord souligné que Baghdadi avait été tué à Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie – «un territoire que même la presse occidentale reconnaît être contrôlé presque entièrement par Al-Qaïda», une entité historiquement hostile à Daesh.
« C’est étrange que Baghdadi s’enfuie vers Idlib, [contrôlé] par ceux qui sont maintenant ses ennemis« , a-t-il affirmé, voyant qu’il y avait là une sorte de compétition pour être le « maître incontesté des groupes djihadistes« .
En outre, le chef de Daech a été tué à cinq kilomètres seulement de la frontière entre la Syrie et la Turquie.
«Pour y arriver, Baghdadi aurait dû traverser beaucoup de territoires hostiles, contrôlés par les Kurdes, par les Américains, par des proxies mercenaires de la Turquie, par le gouvernement syrien et la Russie », a déclaré Sleboda. « Alors que, bien sûr, il aurait pu simplement prendre un bus pour aller en Turquie et y revenir, compte tenu de la nature poreuse de la frontière turque, car le président Recep Tayyip Erdogan a déménagé tout ce qu’il a pu voler en Syrie de la trégion d’Idlib : usines, machines, pétrole, d’autres Ressources. »
Il a poursuivi en soulignant que l’on peut présumer que Washington n’avait pas confiance en Erdogan, l’opération militaire ayant été menée non pas par la Turquie, alliée des États-Unis à l’OTAN, mais à partie d’Erbil, en Irak, ce qui aurait forcé ses troupes américaines à traverser le territoire et l’espace aérien en Syrie. «
Donald Trump,ce matin du 27 octobre 2019 ,à la conférence de presse ou il annonce la mort du calife autoproclamé.
Pour la enième fois:
Abou Bakr Al-Baghdadi a été tué au cours d’une opération menée dans la province d’Idlib, en Syrie.
Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche, a lancé Donald Trump, lors de son allocution depuis la Maison-Blanche dimanche matin, avant de préciser qu’un « grand nombre de combattants djihadistes » ont péri au cours de l’attaque.
Traqué par les forces spéciales aidées de chiens, Abou Bakr Al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel avec trois de ses enfants et a déclenché sa veste d’explosifs, se tuant ainsi que [ses] trois enfants, a précisé le président américain. L’identité d’Al-Baghdadi a pu être confirmée par un test d’ADN réalisé sur place.
Il est mort après avoir couru dans un tunnel sans issue, gémissant, pleurant et criant, a affirmé le président républicain. Son corps a été mutilé par l’explosion, a-t-il précisé.
L’homme le plus recherché du monde, considéré comme responsable de multiples exactions et atrocités en Irak et en Syrie et d’attentats sanglants dans plusieurs pays, avait été plusieurs fois annoncé mort ces dernières années.
Donald Trump, qui a assisté à l’assaut en direct de la Maison-Blanche, a insisté sur le « succès incroyable » de cette mission, qui constituait la priorité de son administration en matière de sécurité nationale. Il a également avancé qu’il s’agissait d’une nouvelle de « plus grande envergure » que la mort d’Oussama ben Laden en 2011 sous l’administration de Barack Obama.
Aucun militaire américain n’aurait perdu la vie dans le cadre de l’opération, a précisé M. Trump.
La planification du raid a débuté il y a deux semaines, a ajouté le président, après l’obtention d’informations sur la localisation du chef terroriste. Le président américain a expliqué avoir approuvé cette attaque presque une semaine avant qu’elle n’ait lieu.
Huit hélicoptères militaires ont survolé pendant plus d’une heure la zone contrôlée par les forces russes et syriennes avant de se poser au sol, en essuyant des tirs. Lors de son allocution télévisée, il a notamment remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes.
Tout d’abord lancée par Newsweek, la nouvelle avait été rapportée samedi soir par plusieurs médias américains, dont CNN, ABC News et NBC News. Samedi soir, le président avait d’ailleurs tweeté que quelque chose de majeur venait de se passer sans toutefois donner plus de détails.
Image de Abou Bakr Al-Baghdadi tirée de la vidéo diffusée sur un site lié à l’État islamique.
Par ailleurs, bien que les principaux élus démocrates n’aient pas été informés de la tenue de cette opération par Donald Trump, la présidente de la Chambre des représentants et figure de proue du Parti démocrate, Nancy Pelosi, a tenu à saluer dimanche « l’héroïsme, le dévouement et les compétences » des militaires et professionnels du renseignement américain.
Le bureau de Nancy Pelosi avait notamment confirmé à CNN qu’« aucun avis n’avait été donné avant l’attaque ».
L’annonce de la mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi pourrait bien donner un nouvel élan à la popularité de Donald Trump, embourbé dans des procédures de destitution. Sa décision de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie avait été critiquée tant par des démocrates que des républicains, craignant que le groupe armé État islamique ne regagne du terrain.
Un travail conjoint avec le renseignement américain
Les autorités irakiennes ont confirmé dimanche avoir fourni la localisation du chef du groupe djihadiste aux troupes américaines.
Une section spécialisée a travaillé pendant un an et le renseignement national a pu localiser le repaire d’Al-Baghdadi, indique un communiqué du commandement militaire irakien.
Samedi soir, une vidéo de l’opération a été diffusée sur la chaîne de télévision d’État irakienne.
Le président turc Tayyip Ergodan a également réagi dimanche à la mort du chef de l’El, en indiquant qu’elle marquait un tournant décisif dans la lutte conjointe contre le terrorisme.
Du côté des forces kurdes, partenaires de Washington dans la lutte contre l’EI, le commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi, a salué sur Twitter une « opération historique réussie », résultant d’un travail conjoint avec les services d’intelligence américains. Mais il a toutefois mentionné redouter des représailles de la part du groupe armé État islamique.
Les cellules dormantes vont venger Al-Baghdadi. Donc, on s’attend à tout, y compris des attaques contre les prisons gérées par les forces kurdes, où sont détenus des milliers de djihadistes, a-t-il illustré.
Des réactions internationales unanimes, sauf du côté russe
Les réactions à l’international ne se sont pas fait attendre, notamment en Israël, où le premier ministre Benyamin Nétanyahou a félicité un allié clé du pays.
Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.
«Je veux féliciter le président Trump pour cet accomplissement impressionnant ayant mené à la mort du chef de l’EI. Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue», a-t-il déclaré, alors qu’il était en visite dans une base militaire israélienne.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a quant à lui souligné qu’il s’agissait d’un moment important dans le combat contre la terreur, mais que la guerre contre le groupe armé État islamique n’est pas encore terminée. «Nous travaillerons avec nos partenaires de la coalition pour mettre un terme aux activités meurtrières, barbares de Daech (El) une bonne fois pour toute»s, a-t-il mentionné.
Le président français Emmanuel Macron a joint sa voix aux autres dirigeants en déclarant que la mort d’Al-Baghdadi était « un coup dur porté contre Daech (El) ».
«Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant», a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Mais tandis que les réactions se multiplient pour saluer l’opération américaine, Moscou reste quant à elle sur sa réserve et met en doute l’annonce présidentielle.
Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a notamment déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une énième mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi, faisant par ailleurs état de détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur la réalité et, surtout, le succès de l’opération américaine.
Une première apparition en cinq ans
Fin avril, l’EI a diffusé une première vidéo en cinq ans d’Abou Bakr Al-Baghdadi, un peu plus d’un mois après la chute de son « califat » autoproclamé.
La vidéo n’était pas datée et le lieu de tournage était inconnu, mais Al-Baghdadi y évoquait les attentats de la Pâque catholique contre des églises et des hôtels au Sri Lanka, survenus un peu plus tôt en avril.
Al-Baghdadi, de nationalité irakienne, était un ultraconservateur devenu actif dans l’insurrection islamiste contre les forces américaines à la suite de l’intervention en 2003 qui a renversé le président Saddam Hussein.
Il a notamment été détenu par les forces américaines à la prison irakienne d’Abou Graïb, qui a été connue en raison des abus commis par des soldats américains à l’égard de ses prisonniers.
Par la suite, Al-Baghdadi a joint les rangs d’Al-Qaïda, où il a pris du galon. Ce groupe a fini par rejoindre l’organisation armée État islamique et Al-Baghdadi en est devenu le chef en 2010, à la suite de l’assassinat de son prédécesseur lors d’une opération militaire conjointe américano-irakienne.
L’EI a rapidement pris de l’expansion et, en 2014, Abou Bakr Al-Baghdadi a autoproclamé son « califat » sur de vastes territoires en Irak et en Syrie, au terme d’une offensive de combattants arabes et kurdes soutenus par la coalition internationale.
Déclenchée en 2011, la guerre civile en Syrie a fait plus de 370 000 morts, selon l’ONU.
Raid contre al-Baghdadi : Donald Trump était dans la Situation Room…Une belle mise en scène
Donald Trump dans le Situation Room
«C’était comme de regarder un film», a assuré dimanche Donald Trump. Le président américain a confirmé qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le fondateur et dirigeant du groupe terroriste Etat islamique, était décédé lors d’un raid mené par les forces américaines dans la nuit de samedi à dimanche. Il a suivi l’opération des militaires depuis la Situation Room de la Maison-Blanche. Sur l’image publiée dans un premier temps par le directeur des réseaux sociaux de la Maison-Blanche Dan Scavino, on voit le milliardaire entouré, de gauche à droite, du Conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien, du vice-président Mike Pence, du secrétaire à la Défense Mark Esper, du président du Comité des chefs d’état-major interarmées le général Mark Milley et du directeur adjoint des opérations spéciales le brigadier général Marcus Evans.
«C’est un coup dévastateur» porté au groupe terroriste, a assuré Mark Esper à l’antenne de CNN peu après l’intervention de Donald Trump. «Ce n’est pas seulement leur dirigeant, c’est leur fondateur. C’était un dirigeant qui les inspirait de bien des façons. Il a formé l’EI en 2014, il a mené à la création du califat physique à travers la région, donc c’est un coup majeur contre eux.» Il a donné quelques informations sur les heures précédant le raid et insisté sur le rôle de Donald Trump : «Le président a approuvé un raid contre la cible, Abou Bakr al-Baghdadi, et si nous ne le capturions pas, bien sûr, nous allions le tuer. Il a étudié, a posé quelques questions géniales, a choisi l’option qui nous donnait les plus grandes chances de réussir et la confirmation que la tête de l’EI serait là et soit capturé ou tué, puis nous avons agi à partir de là. Le président a eu une action décisive et nos troupes et nos partenaires inter-agences l’ont mise en oeuvre brillamment.»
« Il est mort comme un lâche »
Lors d’une allocution suivie d’une conférence de presse, Donald Trump est entré dans les détails des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, qu’il a suivis en direct : «Il n’est pas mort comme un héros, il est mort comme un lâche», a-t-il assuré, décrivant un homme «gémissant et pleurant et criant tout du long» en tentant d’échapper aux militaires américains qui le traquaient dans le bâtiment où il se trouvait. Abou Bakr al-Baghdadi a, a précisé le président américain, emmené avec lui dans un tunnel qu’il savait sans issue trois de ses jeunes enfants, avant de déclencher une ceinture explosive qui l’a tué, ainsi que les trois enfants. «Beaucoup de morts» ont été causés par le raid dont au moins deux épouses du calife autoproclamé, mais le président américain n’a pas voulu préciser combien de personnes avaient été interpellées. Aucun militaire américain n’a été blessé ou tué, a insisté Donald Trump, précisant qu’un chien avait été blessé : «Un « canin », comme ils les appellent. J’appelle ça un chien. Un beau chien, un chien talentueux a été blessé et ramené.»
Avant de répondre aux questions des journalistes, Donald Trump a conclu ainsi sa prise parole : «La nuit dernière a été une grande nuit pour les Etats-Unis et pour le monde. Un tueur brutal, qui a causé tant de douleur et de morts, a été violemment éliminé -il ne fera plus de mal à un enfant, une femme ou un homme innocent. Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche. Le monde est maintenant un endroit plus sûr.»
Mais qui était Abou Bakr al-Baghdadi, le calife autoproclamé de l’État Islamique, supposément tué dimanche,le 27 octobre 2019, par l’armée américaine?
Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.
Voici tout d’abord les « fausses informations » comprenant quelques vérités…véhiculées par les médias « officiels »:
Le chef autoproclamé de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi,supposément tué dimanche dans une opération américaine en Syrie (selon Donald Trump), aura toujours vécu terré dans l’ombre, même lorsque, autoproclamé « calife », il présidait aux destinées de sept millions de personnes en Syrie et en Irak.
Surnommé le « fantôme », il a d’abord été un étudiant en religion timide puis un combattant jihadiste de second rang. Mais cet Irakien de 48 ans est parvenu à réaliser l’alliance entre jihadistes convaincus venus du monde entier et anciens militaires de l’armée de Saddam Hussein, laïque et socialiste, atout clé pour conquérir en 2014 un territoire grand comme la Grande-Bretagne.
S’il a été le premier chef jihadiste à instaurer un proto-Etat, son « califat » autoproclamé a aujourd’hui fait long feu. Le dernier réduit de Daesh est tombé en mars à Baghouz, en Syrie, et des dizaines de milliers de ses jihadistes sont désormais dans les prisons des Kurdes de Syrie ou de l’Etat irakien.
Diabétique et blessé au moins une fois, Ibrahim Awad al-Badri de son vrai nom, montrait rarement son visage. Du temps du « califat », il n’a fait qu’une seule apparition publique, en juin 2014. Du haut de la chaire de la célèbre mosquée al-Nouri de Mossoul, la « capitale » de Daesh en Irak reprise à l’été 2017, il avait prononcé un sermon devant ses partisans. Son visage à la barbe poivre et sel teintée de henné rouge n’est reparu qu’une autre fois, sur une vidéo diffusée en avril. Il s’est par ailleurs exprimé via des enregistrements sonores.
Sa discrétion en a fait pour officiels et militaires occidentaux l’antithèse d’Oussama Ben Laden, qui diffusait régulièrement des cassettes vidéos avec mise en scène au combat ou à la mosquée. Le chef d’Al-Qaïda avait été traqué des années et tué en 2011 par les forces spéciales américaines au Pakistan.
Préférant l’ombre et les avancées à petits pas, Baghdadi, un passionné de football au destin d’avocat ou de militaire contrarié par des résultats scolaires insuffisants et une mauvaise vue, a, lui, longtemps attendu son heure. Prêchant dans une mosquée peu fréquentée de l’Irak alors sous la dictature de Saddam Hussein, il a développé « une vision assez claire de là où il voulait aller et de l’organisation qu’il voulait créer », explique la journaliste Sofia Amara.
« C’est un planificateur secret », explique celle qui a réalisé un documentaire sur Baghdadi. Et, s’il « donne l’impression d’un homme pas brillant », il est « patient et bosseur ».
Après avoir créé lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 un groupuscule jihadiste sans grand rayonnement, ce père de cinq enfants issus de deux mariages, est arrêté en février 2004 et emprisonné au camp Bucca. Cette immense prison installée par les Américains à l’extrême sud de l’Irak, où se côtoient dignitaires déchus du régime de Saddam Hussein et nébuleuse jihadiste, sera surnommée « l’université du jihad ».
Là, peu à peu, « tout le monde s’est rendu compte que ce type timide était un fin stratège », affirme Sofia Amara.
Traversée du désert
D’ailleurs, dix ans plus tard, lors de la percée fulgurante de Daesh, l’armée irakienne comprendra qu’elle a face à elle ses ex-commandants, de l’époque de l’ancien régime, passés dans le groupe islamiste.
Libéré faute de preuves de Bucca après 10 mois, Baghdadi prête allégeance à Abou Moussaab al-Zarqaoui, sous tutelle d’Al-Qaïda, puis devient l’homme de confiance de son successeur Abou Omar al-Baghdadi. Il prendra sa relève à sa mort en 2010 sous le nom d’Abou Bakr al-Baghdadi, en référence au premier calife successeur du prophète Mahomet.
Celui qui s’était un temps posé en chef suprême des musulmans du monde, réactivant le « califat » des premiers siècles de l’islam, aura finalement trouvé la mort à Idleb, dernier carré jihadiste de Syrie. Là, il avait dû trouver refuge parmi les groupuscules liés à al-Qaïda, le groupe de ses débuts.
Maintenant pour avoir la « vraie vérité » sur le calife autoproclamé » de l’État Islamique,voici le lien vers mon article antérieur écrit sur ce sujet:
Le 7 septembre 2014,le gouvernement américain (par l’intermédiaire d’une agence irakienne de nouvelles) annonçait la mort du calife Bagndady par cette photo mal truquée!
LES ENFANTS DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ONT DU GRANDIR (photos)
Voici des images horribles qui nous montrent que les forces armées de nombreux pays pourraient se battre pendant des décennies pour éliminer la menace des enfants-soldats endoctrinés par le faux calife al-Baghdady et l’État Islamique:
Nota Bene
L’État Islamique n’a jamais tiré une seule balle de pistolet contre Israël …coïncidence vous direz?
Par René Naba – juin 22, 2017Publication originale par Madaniya L’élimination d’Abou Bakr Al Baghdadi par un raid russe sur Raqqa, Nord de la Syrie, le 25 Mai 2017, si elle était confirmée, signerait l’éradication complète du cercle de Tall ‘Affar, le noyau turkmène fondateur de l’État Islamique. Pivot de Daech, ultime survivant du […]
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