Divulgation de documents:Poutine menace de divulguer des preuves satellites du 11 septembre 2001

Poutine va encore frapper, mais il va frapper fort. La Russie prépare la publication de preuves de l’implication du gouvernement américain et des services de renseignement dans les attentats du 11 septembre. La liste des preuves comprend des images satellites.

Enron était chargé de la sécurité des tours du WTC lors des événements du 11 septembre 2001.

Les documents publiés peuvent prouver la complicité du gouvernement américain dans les attentats du 11 septembre 2001 et la manipulation réussie de l’opinion publique. L’attaque a été planifiée par le gouvernement américain, mais exercée en utilisant son mandataire, de sorte qu’une attaque contre l’Amérique et le peuple des États-Unis ressemblait à un acte d’agression par des organisations terroristes internationales.

Le motif de la tromperie et du meurtre de ses propres citoyens servait les intérêts pétroliers américains et les sociétés d’État du Moyen-Orient. Les preuves seront si convaincantes qu’elles démystifient complètement la couverture officielle du 11 septembre soutenue par le gouvernement américain.

photo d’un trou laissé au Pentagone le 11 septembre 2001 avant l’effondrement de la structure …

La Russie prouve que l’Amérique n’est pas étrangère à l’utilisation du terrorisme sous fausse bannière contre ses citoyens afin d’obtenir un prétexte pour une intervention militaire dans un pays étranger. Dans le cas des « attentats du 11 septembre », la preuve sera l’imagerie satellitaire concluante.

En cas de succès, les conséquences des tactiques de Poutine exposeraient les politiques terroristes secrètes du gouvernement américain. La crédibilité du gouvernement sera mise à mal et devrait provoquer des manifestations de masse dans les villes conduisant à un soulèvement, selon des analystes américains.

911 Mysteries – 11 septembre 2001, Les mysteres du World Trade Center

Et comment les États-Unis regarderont-ils l’arène politique mondiale? La validité de la position de l’Amérique en tant que chef de file dans la lutte contre le terrorisme international sera totalement minée, donnant immédiatement l’avantage aux États voyous et aux terroristes islamiques.

Moscou (Pravda) : Les experts américains estiment que malgré le fait que les relations entre les États-Unis et la Russie ont atteint le pire point depuis la guerre froide, Poutine n’a apporté jusqu’à Obama que des troubles mineurs. Les analystes pensent que c’est le « calme avant la tempête ».

L’évolution réelle de la situation pourrait être bien pire, préviennent les experts.

Alors que George W Bush est dans une école au moment de l’attentat,un conseiller lui chuchote quelque chose au moment précis ou le premier avion frappe une tour!

Les preuves satellites russes prouvant la démolition contrôlée du World Trade Center à l’aide d’« armes spéciales » ont été examinées par un éditeur à Moscou.

Source :  CSS

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La Russie combat le Mondialisme et le Great Reset

La Russie crée un champ de résistance globale. La rupture avec l’Occident n’est pas une rupture avec l’Europe. C’est une rupture avec la mort, la dégénérescence et le suicide. Ce n’est pas une guerre contre l’Ukraine. C’est une confrontation contre le globalisme en tant que phénomène planétaire intégral. C’est une confrontation à tous les niveaux – géopolitique et idéologique.
La Russie rejette tout dans le mondialisme – l’unipolarisme, l’atlantisme, d’une part, et le libéralisme, l’anti-tradition, la technocratie, la Great Reset en un mot, d’autre part. Il est clair que tous les dirigeants européens font partie de l’élite libérale atlantiste. La Russie est désormais exclue des réseaux mondialistes. Elle n’a plus le choix : soit construire son monde, soit disparaître.
La Russie a tracé une voie pour construire son monde, sa civilisation.
Et maintenant, la première étape a été franchie. Mais le souverain face au mondialisme ne peut être qu’un grand espace, un État-continent, un État-civilisation. Aucun pays ne peut résister longtemps à une déconnexion complète.
La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial.
Sa victoire serait une victoire pour toutes les forces alternatives, de droite comme de gauche, et pour tous les peuples.
Nous entamons, comme toujours, les processus les plus difficiles et les plus dangereux. Mais quand on gagne, tout le monde en profite. Ça devrait être comme cela. Nous créons les conditions d’une véritable multipolarité. Et ceux qui sont prêts à nous tuer maintenant seront les premiers à profiter de notre entreprise demain.
Qu’est-ce que cela signifie pour la Russie de rompre avec l’Occident ? 
C’est le salut. L’Occident moderne, où triomphent les Rothschild, Soros, Schwab, Bill Gates et Zuckerberg, est la chose la plus dégoûtante de l’histoire du monde. Ce n’est plus l’Occident de la culture méditerranéenne gréco-romaine, ni le Moyen Âge chrétien, ni le XXe siècle violent et contradictoire.
C’est un cimetière des déchets toxiques de la civilisation, c’est l’anti-civilisation.
Et plus tôt et plus complètement la Russie s’en détache, plus tôt elle revient à ses racines. Aux racines chrétiennes, gréco-romaines, méditerranéennes, européennes… C’est-à-dire aux racines communes au véritable Occident.
Ces racines – les leurs ! – l’Occident moderne les a supprimés. 
Et elles sont restés en Russie. 
La Russie n’est pas l’Europe occidentale. 
La Russie a suivi les Grecs, Byzance et le christianisme oriental. Et elle suit toujours cette voie. Oui, avec des zigzags et des détours. Parfois dans des impasses. Mais ça bouge. 
La Russie est née pour défendre les valeurs de la Tradition contre le monde moderne. C’est précisément cette “révolte contre le monde moderne”. Vous comprenez ? (…)

Autre fait:une puissante entité gouverne  les blocks politiques

Deux questions :
1°/ Pourquoi avoir gardé le silence pendant plus de vingt ans et dévoiler ces preuves précisément maintenant ?
2°/ Pourquoi la réaction opérée par la Russie contre subversion atlantiste en Ukraine coïncide-t-elle si bien elle aussi avec la fin de l’opération covid, ou du moins de sa première phase ?

Sans mettre en cause la droiture des intentions de P, cela suggère tout de même fortement que P soit lui-même contrôlé par une entité supérieure qui contrôle également le bloc “occidental”.
La dialectique hégélienne, instrument favori de la subversion luciférienne, consiste en l’affrontement violent des contraires. Ces contraires, la “thèse” et “l’antithèse” ne sont certainement pas “de mèche”, ils s’en veulent réellement et s’affrontent réellement.
La guerre est le moteur de la Révolution, comme l’a écrit le monstre Hegel :
« La guerre maintient la santé morale des peuples dans leur indifférence envers les déterminations finies, elle les protège contre l’accoutumance à ces déterminations et contre leur durcissement, de même que le mouvement du vent protège les eaux de la corruption à laquelle les réduirait une tranquillité durable, ou encore davantage une paix éternelle y réduirait les peuples ». (Hegel, Principes de la philosophie du droit, § 324 Rem. Kaan p. 249, cité par Jacques d’Hondt, De Hegel à Marx, PUF, 1972, p. 75.)

On lira alors avec profit cet article majeur : https://viveleroy.net/principe-du-moteur-de-la-revolution/

 


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​Le 11 Septembre 20 ans plus tard – Aux États-Unis, le commerce de la guerre

Dans son discours de fin de mandat prononcé il y a 60 ans, le 17 janvier 1961, le président Dwight D. Eisenhower prévenait son pays contre le risque que faisait déjà peser l’industrie de la défense sur la démocratie américaine. La Deuxième Guerre mondiale, puis la guerre froide avaient survolté ce secteur.

Des soldats américains déchargent leurs armes après avoir traversé la frontière koweïtienne dans le cadre du dernier convoi militaire américain à quitter l'Irak le 18 décembre 2011.
Des soldats américains déchargent leurs armes après avoir traversé la frontière koweïtienne dans le cadre du dernier convoi militaire américain à quitter l’Irak le 18 décembre 2011.

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel, avait alors dit le commandant en chef, lui-même général cinq étoiles. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. »

Dire que la prophétie noire des cassandres en uniforme s’est réalisée relève de l’euphémisme : le budget militaire américain annuel frise les 700 milliards, soit environ 35 % du total mondial. Les États-Unis demeurent d’ailleurs les premiers exportateurs d’armes dans le monde grâce à des entreprises comme Lockheed Martin, Boeing ou Rayhteon Technologies — en fait, grâce à des milliers de compagnies, petites, grandes et gigantesques.

Les conflits en chaîne déclenchés après les attaques du 11 septembre 2001 ont fait s’affoler tous les indicateurs. Selon les dernières estimations rationnelles dévoilées au début du mois par le projet Costs of War, le pays a consacré 8000 milliards de ses dollars aux campagnes d’Afghanistan, d’Irak et d’ailleurs au Moyen-Orient.

 

La « guerre au terrorisme » a justifié des pratiques dérogatoires à certains droits fondamentaux. Une loi d’exception, le Patriot Act, a permis des détentions secrètes, a créé des statuts de combattants (dits ennemis ou illégaux) bafouant l’habeas corpus. La prison hors des frontières américaines (et donc hors Constitution) de Guantánamo est devenue le théâtre emblématique de cette guerre hors norme liberticide. Washington et ses alliés proches, dont le Canada, ont aussi instauré en secret une surveillance mondialisée de populations entières, comme l’a révélé le lanceur d’alerte Edward Snowden.

« Le terme “complexe militaro-industriel” est plus juste que jamais », indique Heidi Peltier, directrice du projet Costs of War et professeure au Département de science politique de la Pardee School of Global Studies de l’Université de Boston. « De plus en plus d’observateurs étendent d’ailleurs maintenant le concept pour parler du complexe militaro-industriel du Congrès. »

Cette référence supplémentaire aux élus s’appuie sur la réalité des « portes tournantes » établies entre les deux chambres de la branche législative et les industries militaires. Dans ce mouvement de va-et-vient profitable, des politiciens deviennent des administrateurs de compagnies militaires et vice versa.

Un exemple frappant : avant d’être le va-t-en-guerre en Afghanistan puis en Irak du président Bush fils, le vice-président Dick Cheney, ancien secrétaire à la Défense de Bush père, a été président du conglomérat Halliburton, qui a reçu des dizaines de milliards pour des contrats de l’armée depuis le début du siècle. En plus, beaucoup d’élus (représentants comme sénateurs) possèdent des actions de compagnies du secteur militaire.

Des comptes incomplets

Mme Peltier a été interviewée la veille du dévoilement des derniers comptes ahurissants parlant de ces 10 000 milliards de dollars canadiens et d’environ 900 000 morts. Le projet sur les coûts de la guerre a été lancé en 2010, à l’approche du dixième anniversaire des attaques terroristes qui ont servi de casus belli aux États-Unis et à leurs alliés de l’OTAN.

« Les données justes manquaient ou semblaient bien incomplètes, explique la directrice. Quand le département de la Défense publiait des chiffres sur les budgets militaires ou les dépenses liées aux conflits, ou sur le nombre de victimes, ceux-ci semblaient toujours sous-estimés. Il manquait des catégories. Le but principal du projet a donc été et demeure de fournir des comptes complets sur les coûts des guerres après le 11 Septembre. Nous avons examiné le sujet sous plusieurs angles dans une perspective multidisciplinaire. »

De même, l’approche du vingtième anniversaire, combinée à la fin de l’occupation de l’Afghanistan, a stimulé la production de nouvelles études. « Avec nos études, nous espérons informer les décideurs politiques pour leurs futures prises de décisions politico-stratégiques, dit la directrice Peltier. Malheureusement, on répète sans cesse les mêmes erreurs. Chaque fois, on nous promet une intervention militaire de courte durée, peu dispendieuse [cheap],sans beaucoup de pertes de vies. Chaque fois, c’est le contraire qui se produit, à l’exception de la première guerre du Golfe. Chaque fois, l’intervention se révèle longue, coûteuse et fait perdre de nombreuses vies. »

Mme Peltier elle-même s’est intéressée récemment aux compagnies ayant signé des contrats avec l’armée pour fournir du matériel ou du personnel. Elle parle d’une « camo economy », utilisant donc le diminutif des soldats pour désigner le camouflage dont bénéficient les nouveaux profiteurs de la guerre. « Cette économie camoufle beaucoup de coûts financiers et humains réels des conflits, résume-t-elle. L’emploi de mercenaires illustre bien ce problème. Le recours aux armées privées permet de réduire le nombre annoncé de soldats de l’armée régulière déployés sur les terrains d’opération et le nombre de morts. »

Rien qu’en 2019, le Pentagone adépensé 370 milliards de dollars américains pour des services, du matériel et des « ressources humaines » fournis par des « contractors », soit plus de la moitié du budget du département de la Défense. C’est aussi 164 % de plus que pour les dépenses semblables engagées en 2001. Depuis l’invasion de l’Afghanistan en 2001, on estime que 8000 personnes au service des « contractors » ont perdu la vie par rapport à environ 7000 soldats des troupes régulières.

L’enquête de Mme Peltier, économiste de formation, déboulonne aussi la croyance que le recours au secteur privé permet finalement de faire des économies. On connaît la rengaine. Au contraire, les contrats se donnent souvent sans la concurrence qui permettrait de faire baisser les prix. Rien qu’en 2008 et en 2019, le département américain de la Défense a dépensé 1200 milliards de cette manière, créant dans les faits de très profitables situations de monopole.

Vingt ans après, le 11-Septembre reste synonyme d’héroïsme des New-Yorkais. Les dirigeants new-yorkais répètent que c’est grâce à leur « résilience » que la ville a, depuis un mois, ramené sous les 1 % le taux de contamination d’un virus qui a tué plus de 23 000 New-Yorkais.

La professeure ne parle d’ailleurs pas (ou pas seulement) d’une privatisation de la guerre (comme dans la formule de la socialisation des risques et de la privatisation des profits), mais carrément de sa commercialisation.

« Le modèle de la privatisation s’applique quand des services normalement offerts par le gouvernement sont transférés au secteur privé, explique-t-elle. Je n’aime pas ce terme ici. Ce qui arrive n’a pas vraiment à voir avec l’habituel recours au privé avec des fonds provenant des impôts servant à acheter des services au meilleur coût dans l’intérêt du public. Quand l’argent commun est dépensé pour des raisons de sécurité en employant une compagnie qui ne fait pas face à la pression de la concurrence du marché, on doit parler de commercialisation de la guerre. »

Il y a 5 ans ,j’avais fait une vidéo qui comportait cette image.Bien sur c’était sur You Tube qui l’a censuré!

 

 

 

 

 

 

 

 


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le 11 septembre et la mort du rêve américain

Parfois, les comédiens peuvent rire simplement en disant la vérité. George Carlin était doué pour ça. L’une de ses citations les plus célèbres est: “C’est pourquoi ils l’appellent le rêve américain, car il faut être endormi pour le croire.”

Sigmund Freud a analysé les rêves comme des fantasmes de réalisation de souhaits. Dans ce genre de rêve, le rêveur tente de satisfaire un désir frustré dans la vie éveillée. Le rêve américain était un peu comme ça. Nous avions un continent immense, relativement vide et doté de ressources abondantes. Et nous avions une nouvelle philosophie politique, le progressisme libéral laïc-matérialiste, la base de notre république démocratique. Cette philosophie soutenait que tout continuerait de s’améliorer: si nous travaillions dur, nous réussirions et deviendrions riches, et alors nos enfants deviendraient encore plus riches et les leurs encore plus riches. En attendant, nous continuerions à peaufiner notre système politique et nos mœurs sociales afin que la «poursuite du bonheur» individuelle – qui est ce que la Déclaration d’indépendance considère comme le but ultime de la vie – connaisse toujours plus de succès.

Ce fantasme de réalisation de souhaits n’était évidemment pas vrai. Bien qu’il y ait certainement eu des progrès matériels progressifs – le niveau de vie aux États-Unis a continué de s’améliorer au moins dans les années 1960 – cela n’a pas rendu les gens sensiblement plus heureux. Ils ne vivaient pas non plus dans une véritable démocratie libérale. C’était juste un habillage couvrant la réalité politique, l’oligarchie.

Puis dans les années 1960, la décennie au cours de laquelle l’homme ordinaire en Amérique a atteint ce qui aurait dû être son plus haut niveau de sécurité et de prospérité, les choses ont commencé à se désagréger. Une nouvelle épée de Damoclès, la terreur nucléaire, a projeté son ombre sur la terre et tué toutes les philosophies de l’optimisme. L’invention de la pilule contraceptive, associée à une attaque de propagande de la Fondation Rockefeller et d’autres forces oligarchiques, a normalisé le sexe «récréatif» et injecté un poison à action lente dans la famille traditionnelle. Dans le même temps, le père national symbolique figure-président-a été rituellement assassiné le 22 Novembre 1963 par des éléments de l’État de sécurité nationale en collaboration avec Israël et ses actifs du crime organisé. La plupart des Américains ont senti leur sommeil confortable vaguement perturbé par la diffusion en direct du gangster Jack Rubenstein, dont le patron était Mickey Cohen , le principal collecteur de fonds d’Israël , assassinant l’assassin solitaire présumé de JFK, Lee Harvey Oswald, au milieu d’une foule de policiers.

Après les années 1960, la famille traditionnelle subit des assauts de plus en plus furieux. Le «patriarcat» – c’est-à-dire les familles avec des pères – a été attaqué par les propagandistes de la Fondation Rockefeller, les médias dominés par les sionistes et les universitaires marxistes culturels. Alors que le pourcentage d’enfants américains nés hors mariage et / ou élevés dans des foyers monoparentaux ou brisés est passé d’une petite minorité à une grande majorité, les oligarques se sont emparés de plus en plus de la richesse nationale, entraînant une stagnation du niveau de vie des gens ordinaires. La pauvreté, les foyers brisés, la dépendance à l’aide sociale, la criminalité, la toxicomanie, le suicide, les maladies vénériennes et d’autres indicateurs sociaux négatifs ont considérablement augmenté. Simultanément, les oligarques ont injecté de l’argent de la fondation dans la politique identitaire afin de distraire la gauche des problèmes économiques.

Le 11 septembre 2001, le décor était depuis longtemps planté. La république américaine avait été abolie, remplacée par une oligarchie secrète, avec la fondation de la soi-disant Réserve fédérale en 1913. Cette oligarchie était sortie de l’ombre le 22 novembre 1963. Elle avait alors commencé à détruire la famille traditionnelle et à se creuser. la classe moyenne.

Le 11 septembre 2001 a représenté le coup de grâce, le coup de grâce, pour la république démocratique américaine et le rêve américain. Ils ont fait sauter le World Trade Center à la télévision en direct. Même si la grande majorité des journalistes ont correctement rapporté ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux – les bâtiments avaient été détruits par des explosions – les oligarques ont terrorisé les médias pour qu’ils changent l’histoire et racontent au monde que les bâtiments s’étaient effondrés d’une manière ou d’une autre à cause d’incendies mineurs dans les bureaux. alimenté par une quantité négligeable de kérosène (carburéacteur).

Encore plus que les images en direct de Jack Rubenstein assassinant Lee Harvey Oswald, les images en direct de la démolition explosive du World Trade Center, suivie d’un raz-de-marée de mensonges officiels ridicules, ont imposé de force un état de dissonance cognitive extrême au peuple américain. Depuis, ils vivent dans l’ombre d’un mur de peur. La vérité est de l’autre côté du mur, mais ils ont peur de regarder. Une nouvelle ère de domination par la peur, plutôt que par l’espoir, a prévalu. Le coup d’État contre le coronavirus fabriqué en laboratoire , qui a transféré des milliards de dollars de gens ordinaires à des milliardaires , est tout simplement le dernier assaut oligarchique conçu pour terroriser les Américains et les soumettre.

Le rêve américain a commencé à mourir il y a longtemps. Il a succombé à une série d’assauts de l’oligarchie la plus vicieuse de toute l’histoire de l’humanité. Le 11 septembre n’était que le coup de grâce.

Les Américains se réveilleront-ils un jour de leur rêve toujours plus cauchemardesque? Vont-ils identifier et renverser les oligarques qui les ont dépossédés? Allahu ‘alim . (Dieu seul le sait.)


EN COMPLÉMENTAIRE

New York, en pleine crise, marque l’anniversaire des attentats du 11 septembre 2001

Dix-neuf ans après, le 11-Septembre reste synonyme d’héroïsme des New-Yorkais. Les dirigeants new-yorkais répètent que c’est grâce à leur « résilience » que la ville a, depuis un mois, ramené sous les 1 % le taux de contamination d’un virus qui a tué plus de 23 000 New-Yorkais.

Criminalité en hausse, appartements et magasins vacants, sans-abris omniprésents : New York commémore vendredi l’anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 empêtrée dans une crise profonde, enjeu de bataille politique à l’approche de la présidentielle américaine.

Malgré la pandémie, la première métropole américaine tiendra sa cérémonie annuelle en mémoire des près de 3000 personnes mortes dans les attentats les plus meurtriers de l’histoire, ponctuée de minutes de silence aux heures où les avions détournés par les djihadistes ont percuté les tours du World Trade Center.

Au lieu de prendre la parole à tour de rôle, les familles des victimes ont enregistré leurs interventions. Mais elles pourront se retrouver, avec masques et distanciation physique, au Mémorial du site de « Ground Zero », dont le musée rouvrira pour la première fois depuis mars.

Dix-neuf ans après, le 11-Septembre reste synonyme d’héroïsme des New-Yorkais. Les dirigeants new-yorkais répètent que c’est grâce à leur « résilience » que la ville a, depuis un mois, ramené sous les 1 % le taux de contamination d’un virus qui a tué plus de 23 000 New-Yorkais.

Mais tous soulignent aussi, comme le gouverneur Andrew Cuomo mardi, que cette résilience est désormais mise à rude épreuve par les « effets secondaires », économiques et sociaux, de la pandémie.

Bureaux vides jusqu’en 2021 ?

Gale Brewer, présidente du district de Manhattan, reconnaît que cette île symbole de l’effervescence new-yorkaise est aujourd’hui plombée par des problèmes multiformes.

Certains découlent directement du coronavirus : la quasi-totalité des banques, assurances et autres entreprises de « cols blancs », passées au télétravail en mars, l’ont maintenu, vidant les quartiers d’affaires et condamnant des milliers de petits restaurants qui nourrissaient leurs employés le midi.

Même si Manhattan lui manque, Boris Tulchinskiy, ingénieur en logiciel de 26 ans, prévoit ainsi, comme beaucoup de ses collègues, de « continuer à travailler de chez lui », dans le New Jersey voisin, jusqu’en juillet 2021.

Si les plus de 60 millions de touristes qui visitaient New York annuellement ont disparu, les New-Yorkais ont aussi fui par milliers : 35 000 personnes au moins ont quitté Manhattan, au vu des demandes de vote par correspondance enregistrées pour la présidentielle, selon Gale Brewer.

Beaucoup de commerces ont fermé : entre 2017 et 2020, le nombre de commerces vacants a presque doublé (+78 %), selon Mme Brewer.

Quant aux personnes sans abris, leur visibilité a augmenté avec la fermeture de nombreux centres d’hébergement et le transfert de quelque 13 000 d’entre elles dans des hôtels vides de Manhattan, dit-elle.

La hausse des meurtres et fusillades (respectivement +47 % et +166 % en août comparé à août 2019) est un des signes frappants de cette crise new-yorkaise.

Si on est loin de la criminalité endémique qu’avait connue New York dans les années 1970-80, la ville, qui se targuait d’être l’une des plus sûres au monde, est désormais revenue au niveau de criminalité de 2012, selon le New York Times.

Trump veut « tuer New York »

« Je ne peux pas vous dire combien d’appels je reçois de New-Yorkais (…) littéralement inquiets de la dégradation de la ville », résumait mardi M. Cuomo.

Tous les dirigeants new-yorkais se disent cependant convaincus que la ville remontera la pente, mais dans combien de temps ?

Si la ville montre des signes de reprise – avec notamment la réouverture des musées débutée fin août et, fin septembre, des salles de restaurants – cela pourrait prendre trois ans, estime Mme Brewer, rapportant l’avis de promoteurs immobiliers.

En attendant, à moins de deux mois de la présidentielle, cette crise est devenue un sujet de conflit avec le gouvernement Trump.

Le président républicain répète que la hausse de la criminalité dans le bastion démocrate qu’est sa ville natale est la conséquence de l’incompétence et du laxisme de ses élus. Mardi encore, il accusait le maire et le gouverneur de New York de « détruire » la ville.

Les responsables new-yorkais dénoncent eux le refus de l’ex-magnat de l’immobilier et des républicains d’octroyer des milliards de dollars à New York – comme à d’autres villes démocrates-pour combler leurs immenses pertes de recettes fiscales.

« Trump essaie de tuer New York, c’est personnel, c’est psychologique », affirmait mardi M. Cuomo.


la vérité du 11 septembre dans une distorsion temporelle (fausse vérité?)

 

Lénine a observé: «La meilleure façon de contrôler l’opposition est de la diriger». Richard Gage, le fondateur d’Architects and Engineers for 9/11 Truth, a été présenté  sur C-SPAN le 1er août 2014.  Il n’a pas été en mesure d’expliquer qui était responsable et pourquoi, et sa réponse à la façon dont cela avait été fait était déjà connue. désespérément inadéquat. C’est peut-être pour cela qu’il a été choisi pour comparaître.]

«Le 11 septembre a été conçu comme une opération psychologique élaborée pour insuffler la peur au peuple américain afin de le manipuler pour qu’il soutienne l’agenda politique de l’administration Bush / Cheney» – Jim Fetzer

 

Tous ceux qui sont attachés à la vérité sur le 11 septembre devraient souhaiter une plus grande couverture de C-SPAN. Peut-être que la plus grande couverture pour atteindre le public dans  le passé était aussi de C-SPAN, quand il a couvert  la table ronde de l’American Scholars Conference, Los Angeles , 24-25 juin 2006. Mais celui-ci pourrait être une exception.

Nous avons ensuite entendu parler de la nano-thermite par Steve Jones, coprésident de  Scholars for 9/11 Truth . Et nous l’avons entendu à nouveau du fondateur de A & E911. Mais une division majeure est apparue entre ceux qui prétendent que la nano-thermite peut avoir détruit les bâtiments et ceux qui soutiennent que ce n’est même pas théoriquement possible. De récentes décharges d’informations confirment l’utilisation d’armes nucléaires  et  expliquent ces petites sphères de fer comme conséquence de l’utilisation d’armes nucléaires de haute technologie spéciales (à enveloppe de fer) .

Alors qu’en est-il de Richard Gage et A & E911 qu’ils continuent de promouvoir une théorie que T. Mark Hightower et moi avons prouvée indéfendable dans trois articles publiés le 1er mai 2011, le 17 juillet 2011 et le 27 août 2011? Pourquoi Gage a-t-il gaspillé cette précieuse opportunité de faire progresser la vérité sur le 11 septembre sur C-SPAN en approuvant une théorie prouvée fausse?

 

Les «trois grandes questions»

Non seulement cela, mais il y a trois grandes questions dans l’esprit du public à propos du 11 septembre, qui sont les suivantes:

a) que s’est-il passé le 11 septembre? 

(b) comment cela a-t-il été fait?

c) qui était responsable et pourquoi?

Nous connaissons l’avant et l’après du World Trade Center par rapport au 11 septembre, donc la réponse à (a) est triviale. Mais Richard Gage n’avait pas de réponse à (c), même si on lui a posé la question à plusieurs reprises, et sa réponse à (b) était fausse et trompeuse. Est-ce le mieux que Richard Gage et A & E911 peuvent faire? C’était embarrassant de se voir poser la question trop évidente et de ne pas pouvoir y répondre. Note : rétrospectivement, cela a peut-être été le point et pourquoi il a été présenté sur C-SPAN plutôt que, par exemple, le fondateur de  Scholars for 9/11 Truth .]

A & E911 n’est pas le seul à tenter de placer  le comment  devant  le qui  et  le pourquoi , là où Judy Wood et ses partisans DEW adoptent la même position. Mais le public américain a une patience limitée avec ceux qui ne peuvent pas apporter de réponses à des questions aussi évidentes, surtout plus d’une décennie après l’événement. Et c’est pourquoi  «l’Opération Terreur» , la reconstruction par Art Olivier des événements du 11 septembre, est un instrument plus puissant pour ouvrir l’esprit à ce qui a pu arriver que l’appel à un mécanisme causal obscur – surtout lorsqu’il est mal conçu.

Les trois questions ont des réponses justifiables, mais Richard Gage ne les a pas fournies. C’était bien pire que cela, parce que l’hôte s’était préparé à vaincre tout appel qu’il ferait à «thermite», utilisant le NIST comme son autorité et posant ainsi la question, en assumant la position du NIST qui est la position en doute:

La plupart des Américains sont trop crédules pour se rendre compte que cela cite la source même que Gage conteste. Mais ça aurait pu être pire. Il aurait pu souligner que Neils Harrit, un partisan de l’hypothèse de la nano-thermite, a estimé  qu’il aurait fallu «des centaines de tonnes» pour faire le travail  (où Harrit a également proposé  le calcul plus précis de 29 000 tonnes métriques à 143000 tonnes métriques pour chaque tour ) ou que le laboratoire Christopher Bollyn a cité Los Alamos comme sa source de «nano-thermite explosive» a déclaré à Gordon Duff  «qu’ils ne pouvaient rien produire de moins de 10 microns et qu’il ne pouvait pas faire un trou dans un morceau de papier » .

Pourquoi la nano-thermite ne peut pas la couper

Si cela avait été un épisode de  «The Twilight Zone» , cela aurait peut-être plus de sens où la vérité sur le 11 septembre est prise dans une distorsion temporelle. Richard Gage doit savoir maintenant que la nano-thermite ne peut pas être à la hauteur de ses capacités telles que avancées par Steven Jones, Kevin Ryan et d’autres, qui se considèrent comme les gardiens et les seuls vrais praticiens de la méthode scientifique dans la recherche sur le 11 septembre. La nano-thermite (ou même la «thermite», qui est le terme Gage utilisé) n’a que 1/13 de la force explosive du TNT et, quelle que soit sa contribution à l’effondrement du bâtiment 7, ne peut pas avoir été responsable de l’explosion. les tours jumelles.

Comme l’ observe Denis Spitzer et al.,  «Nano-matériaux énergétiques: opportunités pour des performances améliorées»,  Journal of Physics and Chemistry of Solids  (2010) , compte tenu du rôle crucial de l’expansion rapide des gaz pour effectuer des travaux par explosifs, déclare, «Nano-thermites générateurs de gaz: les thermites sont des matériaux énergétiques, qui ne libèrent pas d’espèces gazeuses lorsqu’elles se décomposent. Cependant, les explosifs peuvent être mélangés à des thermites pour leur conférer des propriétés de dynamitage », ce qui implique que, à moins d’être complétés par des explosifs, les nano-thermites ne sont pas explosifs. Alors Mark et moi avons peut-être été trop généreux.

Après avoir publié trois articles expliquant que la nano-thermite ne pouvait pas l’avoir fait et pour informer d’éminents chercheurs de cette découverte, Mark a écrit à Steven Jones, Richard Gage et d’autres. Dwain Deets, l’ancien chef de l’ingénierie de recherche et directeur des projets aéronautiques au NASA Dryden Flight Research Center, a écrit à Mark et lui a dit qu’il avait écouté notre interview sur  «The Real Deal»  et a déclaré: «Excellent entretien. Un pas vers la suppression des allégations qui dépassent les preuves. »

Dwain a également envoyé un diagramme illustrant certaines vitesses de détonation ainsi que les vitesses sonores (vitesse du son) dans divers matériaux. Ainsi, pour qu’un explosif puissant fragmente de manière significative un matériau, sa vitesse de détonation doit être égale ou supérieure à la vitesse du son dans ce matériau. Cette loi exige une vitesse de détonation d’au moins 3 200 m / s pour fragmenter le béton et de 6 100 m / s pour fragmenter l’acier, ce qui est bien au-delà de la vitesse de détonation la plus élevée enregistrée de 895 m / s pour la nano-thermite.

«Preuve explosive»

Ce n’est pas une surprise lorsque Richard Gage a recommandé «Explosive Evidence», le documentaire A & E911 sur ce qui est arrivé au World Trade Center, en particulier au WTC-7. Depuis sa publication le 12 septembre 2012, alors que Mark et moi avons publié nos études en mai-août 2011, A & E911 ont dû savoir que la théorie qu’ils présentaient s’était déjà révélée indéfendable pour des raisons scientifiques. Alors que les partisans de la nano-thermite prétendent être «scientifiques», ils violent les canons de la science en ne révisant pas leurs points de vue lorsque de nouvelles preuves ou de nouvelles hypothèses deviennent disponibles.

En effet, lors de la Midwest 9/11 Truth Conference, qui s’est tenue à Urbana, IL, le 22 septembre 2013, nous avons présenté «Explosive Evidence» comme  la première heure de la conférence , où j’ai avancé une critique de ses limites et de ses lacunes pendant la deuxième heure comme suit et a expliqué pourquoi les preuves actuellement disponibles étayent désormais la conclusion selon laquelle les tours jumelles ont été retirées à l’aide d’un agencement sophistiqué de micro ou mini armes nucléaires, qui semblent avoir été attachées aux colonnes centrales de chacune:

En effet, de nombreuses justifications avaient déjà été présentées lors des audiences de Vancouver, qui s’y sont déroulées du 15 au 17 juin 2012, y compris plusieurs présentations en faveur de l’utilisation des armes nucléaires le 11 septembre, la plus importante étant celle de Jeff Prager (où Don Fox présenté en son nom). Jeff a expliqué qu’en 2002, il avait entrepris de prouver que, le 11 septembre, 19 musulmans avaient détourné quatre avions et nous avaient attaqués. Mais en 2005, il a réalisé que c’était faux, a vendu son entreprise, a quitté les États-Unis et a commencé à enquêter sur le 11 septembre à plein temps. (Voir son  9/11 America Nuked .)

Comment ça a été fait

Dans  “Preuve de fission ternaire à New York le 11 septembre” il observe (1) que les échantillons de poussière sont la meilleure preuve de ce qui s’est passé le 11 septembre; (2) que les échantillons de l’USGS prélevés sur une douzaine d’endroits montrent comment divers éléments interagissent prouvent que des réactions de fission ont eu lieu; (3) que le myélome multiple dans la population générale à un taux de 3 à 9 incidents pour 100 000 personnes, mais le taux était de 18 pour 100 000 chez les premiers répondants; (4) que d’autres cancers relativement inhabituels sont apparus parmi les répondeurs, notamment le lymphome non hodgkinien, la leucémie, la thyroïde, le pancréas, le cerveau, la prostate, l’œsophage et les cancers du sang et du plasma; et (5) qu’en mars 2011, pas moins de 1 003 premiers intervenants sont décédés de divers cancers. Les éléments trouvés dans les échantillons de poussière de l’USGS fournissent un éventail assez étonnant de preuves de la présence d’armes nucléaires:

Baryum et strontium : Aucun de ces éléments ne devrait jamais apparaître dans les débris de construction  en ces quantités . Les niveaux ne tombent jamais en dessous de 400 ppm pour le baryum et ils ne descendent jamais en dessous de 700 ppm pour le strontium et atteignent plus de 3000 ppm pour les deux échantillons de poussière prélevés dans les rues Broadway et John.

Thorium et Uranium : Ces éléments n’existent que sous forme radioactive. Le thorium est un élément radioactif formé à partir de l’uranium par désintégration. C’est très rare et ne devrait jamais être présent dans les gravats de construction.  Donc, une fois de plus, nous avons des preuves vérifiables qu’un événement de fission nucléaire s’est produit.
Lithium:  Avec la présence de lithium, nous avons des preuves convaincantes que cette voie de fission de l’uranium vers le thorium et l’hélium, avec la désintégration ultérieure de l’hélium en lithium, a eu lieu.

Lanthane:  Le lanthane est le prochain élément de la voie de désintégration de l’élément baryum.

Yttrium : Le prochain élément de désintégration après le strontium, ce qui confirme davantage la présence de baryum.
Chrome : La présence de chrome est une autre signature «révélatrice» d’une détonation nucléaire.
Tritium : Un élément très rare et ne devrait pas être trouvé à des concentrations 55 fois normales au sous-sol du WTC-6 pas moins de 11 jours après le 11 septembre, ce qui est un autre signe «révélateur» des armes nucléaires.

De nouvelles recherches sur l’utilisation des armes nucléaires ont fourni une confirmation supplémentaire, y compris des études de Don Fox, Dr Ed Ward et Jeff Prager, montrent que ces éléments se produisent dans des modèles de corrélation qui rendent l’hypothèse pratiquement indéniable (pas que Steve Jones, Kevin Ryan et Richard Gage, entre autres, ne continuera pas à le nier), où Gordon Duff a récemment publié que  le nombre réel de New-Yorkais qui ont contracté ces cancers inhabituels liés au 9/11 est maintenant passé à plus de 70 000 .

Et ce n’est pas un problème nouveau. Dans son analyse des  «Avantages et inconvénients des audiences de Toronto» , par exemple, publiée le 20 septembre 2011, Joshua Blakeney a observé que le juge Richard Lee était préoccupé par les appels de Kevin Ryan à la nano-thermite et a demandé si elle avait déjà été utilisée. pour démolir un bâtiment. S’il y a même eu «un moment embarrassant» dans l’histoire du mouvement de la vérité sur le 11 septembre, cela doit être celui-ci. Alors pourquoi Richard Gage a-t-il répété l’erreur sur C-SPAN? N’était-ce pas une fois assez mauvais?

 

 

Il est ironique que la théorie de la nano-thermite, basée sur des échantillons de poussière, ait été remplacée par de nouvelles recherches basées sur des échantillons de poussière plus complets, mais cela est caractéristique de la recherche scientifique: la découverte de nouvelles données ou de nouvelles alternatives peut conduire à le rejet d’hypothèses précédemment acceptées, à l’acceptation d’hypothèses précédemment rejetées et à en laisser les autres en suspens, ce qui est caractéristique non seulement de la science en particulier mais de la rationalité de la croyance en général.

 Qu’en est-il des avions / pas d’avions?

Si l’impossibilité de la nano-thermite ayant détruit les tours jumelles pousse Richard Gage, Steve Jones et Neils Harritt vers le haut du mur, les questions qui se sont posées à propos des lieux de l’accident du 11 septembre et les preuves suggèrent que les quatre d’entre eux ont été fabriqués ou falsifiés ( quoique de différentes manières). C’était donc profondément troublant quand Richard Gage a laissé entendre que les accidents d’avion du 11 septembre étaient réels, ce qui contredit les preuves disponibles.

Mais nous avons la preuve documentaire que les vols 11 (tour nord) et 77 (Pentagone) n’étaient même pas programmés ce jour-là, où les registres d’enregistrement de la FAA montrent que les avions utilisés pour les vols 93 (Shanksville) et 175 (tour sud) n’ont pas été sortis de service («radié») jusqu’au 28 septembre 2005.

Alors, comment des avions qui n’étaient même pas dans les airs se sont-ils écrasés le 11 septembre? et comment des avions qui se sont écrasés le 11 septembre ont-ils pu encore voler quatre ans plus tard?

 

 

Pour de nombreux étudiants du 11 septembre, leur cerveau s’est coupé à l’idée même, même si  Pilots for 9/11 Truth  ont établi que le vol 93 était dans les airs ce jour-là, mais  qu’il était au-dessus de Champaign-Urbana, IL, après cela. se serait écrasé à Shanksville ; et que le vol 175 était également dans les airs ce jour-là, mais  qu’il était au-dessus de Harrisburg et de Pittsburgh, en Pennsylvanie, longtemps après qu’il avait prétendument heurté la tour sud . Cela signifie que les vidéos que nous avons vues des avions frappant les tours nord et sud impliquaient une forme de falsification, comme je l’ai expliqué à plusieurs reprises.

Cela ne veut pas dire que de vrais avions de toute nature – tels que des drones ou des avions militaires spéciaux – ont été utilisés à cette fin, car leur entrée n’a entraîné aucune perte de vitesse en violation de la troisième loi de Newton.

Et, comme Jack White, un étudiant légendaire de JFK, qui a tourné son attention sur le 11 septembre, l’a découvert, le composant du moteur trouvé à Church & Murray était sous un échafaudage en acier, assis sur un trottoir relativement intact, et n’était pas du bon proviennent d’un Boeing 767. Il a également trouvé des images de FOX NEWS d’hommes en gilets du FBI déchargeant quelque chose de lourd d’une camionnette blanche, ce qui aurait été une nouvelle sensationnelle si Richard Gage avait fait des observations de ce type sur C-SPAN:

 

Qu’aucun avion ne s’est écrasé à Shanksville devrait être évident pour quiconque a vu à quoi ressemble un véritable accident d’avion, comme la chute du «Malaysian 17» en Ukraine.

Bien que ce cas soit fascinant en soi, la preuve que nous avons été induits en erreur à propos du Pentagone va de la violation des lois de l’aérodynamique et de la physique entraînée par la trajectoire de vol officielle à la considération plus évidente que l’avion montré dans l’unique image que le Pentagone prétend montrer que «l’avion», comparé à l’image d’un Boeing 757 (correctement dimensionné pour comparaison), était beaucoup trop petit pour avoir été un Boeing 757:

Les problèmes concernant les avions seraient extrêmement intéressants pour le public que de parler d’éclats rouges et gris trouvés dans la poussière, surtout quand – même s’il s’agissait de   nano-thermite de bonne foi – ne peut pas expliquer comment les tours jumelles ont été détruites. Qu’aucun des avions du 11 septembre ne se soit réellement écrasé et qu’aucun des passagers à bord ne soit mort est une question entièrement différente, car cela prouve que toute la «guerre contre le terrorisme» était une fabrication.
Trop de membres du mouvement semblent oublier qu’une demi-douzaine ou plus des «pirates de l’air suicidaires» sont revenus vivants et bien portants le lendemain.  Gage n’a non seulement fait aucun des points évidents soulevés ici, mais a laissé entendre que l’avion du 11 septembre était réel. Dans les deux cas, des questions sont soulevées quant à sa compétence ou à son intégrité.

Qui était responsable et pourquoi?

Plus troublant que son incapacité à discuter des avions qui ne se sont pas écrasés – et à laisser entendre qu’ils étaient réels – était son incapacité totale à répondre à des questions simples et directes sur qui et pourquoi. Le 11 septembre date de l’effondrement de l’Union soviétique en 1990-91, qui a laissé le complexe militaro-industriel sans boogie man pour pacifier le public américain en ce qui concerne le «dividende de la paix» qu’il ne verrait jamais et une nouvelle menace à maintenir les milliards des contribuables entrent dans leurs coffres. Cela impliquait une collusion entre la CIA, les néo-conservateurs du ministère de la Défense et le Mossad, où Israël sortirait du 11 septembre comme «le grand gagnant».

Lors des audiences de Vancouver, Susan Lindauer a révélé des informations privilégiées selon lesquelles le 11 septembre était un «travail interne». Elle a servi de liaison entre la CIA et Saddam Hussein, qui était si désireux d’éviter la guerre avec les États-Unis qu’il a proposé d’acheter 1 000 000 de voitures par an pendant les dix prochaines années. Si cela ne suffisait pas, dit-il, faites-en les vingt prochains!  Imaginez où en seraient les États-Unis sur le plan économique si nous avions seulement repris sa proposition? Au lieu de cela, quand Susan a appris des plans pour attaquer l’Irak, elle a protesté vigoureusement auprès du président Bush. Pour avoir franchi cette étape, pour avoir exprimé ses inquiétudes face à l’injustice de tout cela, elle a été harcelée, intimidée, emprisonnée et torturée.

Le 11 septembre a été conçu comme une opération psychologique élaborée pour inculquer la peur au peuple américain afin de le manipuler pour qu’il soutienne l’agenda politique de l’administration Bush / Cheney, qui comprenait l’invasion de plusieurs nations du Moyen-Orient pour provoquer la création d’un nouveau siècle de domination américaine sur le monde pour les 100 prochaines années.

Les preuves étayent la conclusion que le 11 septembre était un «événement de sécurité nationale» qui a été autorisé aux plus hauts niveaux du gouvernement américain – la CIA, la NSA, le Pentagone et la Maison Blanche.

Cela a facilité un renversement de la politique étrangère des États-Unis et des contraintes extraordinaires sur la Constitution des États-Unis, qui ont considérablement accru la centralisation du pouvoir politique au sein de l’exécutif et dominant les pouvoirs législatif et judiciaire du gouvernement.

 

 

 

 

 

 

La création du Département de la sécurité intérieure a été particulièrement inquiétante, où le DHS a maintenant réquisitionné plus de 2 milliards de cartouches de munitions à pointe creuse de calibre .40, ce qui n’est même pas autorisé dans la conduite de la guerre en vertu des Conventions de Genève. Combiné avec plus de 300 camps de la FEMA à travers le pays, chaque Américain devrait s’alarmer des parallèles avec la montée du Troisième Reich en Allemagne avant la Seconde Guerre mondiale.

En tant qu’ancien officier du Corps des Marines, je suis extrêmement inquiet de l’avenir de mon pays, qui est passé de la nation la plus admirée et la plus respectée au monde – avec notre «vaillant allié» au Moyen-Orient, Israël – à être les plus méprisés et vilipendés. D’ici 2014, Richard Gage aurait dû connaître ces choses, ce qui rend son silence à leur sujet d’autant plus révélateur.

 

 

 

 

2001-2019:Jeffrey Epstein a pris le relais du camouflage des mensonges colportés envers le peuple

À l’approche du 18e anniversaire du 11 septembre, l’arrestation et le prétendu suicide de Jeffrey Epstein ont fait les manchettes et soulevé des questions sur la crédibilité du récit officiel. Comme l’écrit Eric Rasmusen, “Tout le monde à New York semble avoir su dès 2000 que Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell corrompaient des adolescentes, mais la presse ne le couvrirait pas.” De même, tout le monde à New York sait depuis longtemps que Larry Silverstein, qui a acheté l’éléphant blanc criblé d’amiante, le World Trade Center, en juillet 2001 et qui a immédiatement doublé le montant de l’assurance, est un ami sioniste fanatique de Netanyahou et qui a reconnu ayant participé au projet de Démolition de la Tour 7, dont l’assurance lui a rapporté plus de 700 millions de $  sous prétexte qu’Al-Qaïda l’avait fait tomber. Mais la presse mainstream (i.e. Grands Médias Menteurs ou GMM) ne couvrira pas cela non plus.

Larry Silverstein qui reçut plus de $4,7 milliards pour l’Affaire du 9/11

Le New York Times, journal de référence américain, dispose pourtant des ressources et du talent d’investigation pour exposer la grande corruption sévissant à New York. Pourquoi le Times a-t-il passé près de deux décennies à ignorer les bouffonneries trop évidentes d’Epstein et de Silverstein? Pourquoi laisse-t-il le récit absurde du prétendu suicide d’Epstein? Pourquoi n’a-t-il pas utilisé le travail de Architectes et ingénieurs pour la vérité du 11 septembre -Incluant la toute nouvelle étude de l’Université Alaska sur la démolition contrôlée du WTC-7 pour exposer le plus grand scandale du 21ème siècle, si ce n’est de la totalité Histoire américaine?

La seule réponse concevable est que le New York Times est en quelque sorte complice de ces crimes monstrueux. Ce doit être pour protéger ses amis haut placés. Alors, qui sont ces amis et où sont ces hautes places?

Les cartes illuminati l’avaient prédites cette affaire!

Une chose commune entre Epstein et Silverstein, outre les noms se terminant par “-stein” [1], est une implication présumée dans l’industrie du sexe illicite. Les singeries d’Epstein, ou du moins certaines d’entre elles, sont maintenant bien connues. Ce n’est pas le cas de Silverstein, qui a prétend que ses richesses ont été acquises grâce décombres du 11/9 et ses 3000 morts de goys. Mais la vérité est qu’il est dvenu riche en tant que souteneur de prostituées et de danseuses nues sur les lieux ombragés de New York, ainsi que d’autres activités illicites, notamment «le commerce de l’héroïne, le blanchiment d’argent et la corruption de la police de New York. » Tout cela a été révélé dans un procès au milieu des années 1990. Mais bonne chance pour trouver un seul récit ou des rapports d’enquête dans le New York Times.

Une autre connexion Epstein-Silverstein est une grande organisation juive américaine. Alors qu’il exploitait la prostitution et commercialisait la drogue même qu’il ronronnait et courait à l’héroïne, Larry Silverstein a été président de l’Appel juif unifié (United Jewish Appeal) de New York. Quant à Epstein, il était le « mignon » et le protégé de Les Wexner, cofondateur du Méga Groupe de Milliardaires Juifs associés au Congrès juif mondial, à la Ligue anti-diffamation (ADL) et à d’autres groupes pro-israéliens. En effet, rien ne prouve que le “milliardaire self-made” Epstein ait jamais gagné d’importantes sommes d’argent en travaillant honnêtement; son seul “client” d’investissement était Les Wexner. Epstein, un maître chanteur sexuel professionnel, utilise son prétendu statut de milliardaire comme couverture. En fait, il travaillait pour le compte de Wexner et des réseaux criminels et de renseignement associés.

Le troisième facteur de similitude Epstein-Silverstein est qu’ils sont tous deux proches du gouvernement israélien. Le gestionnaire, pour le compte du Mossad,  de Jeffrey Epstein était Ghislaine Maxwell, fille du super espion Mossad Robert Maxwell; Parmi ses amis se trouvait Ehud Barak (un habitué de l’ile aux orgies [2] d’Epstein) , qui défie actuellement Netanyahou pour le leadership d’Israël. Larry Silverstein a également des amis dans les hauts lieux israéliens. Selon Haaretz, Silverstein a “des liens étroits avec Netanyahou” (ils se téléphonent chaque week-end) et avec Ehud Barak, “à qui Silverstein avait précédemment offert un poste de représentant en Israël” et qui a appelé Silverstein immédiatement après le 11/9.

Nous pouvons raisonnablement supposer que Jeffrey Epstein et Larry Silverstein ont réalisé un travail important pour le compte de l’État d’Israël. Et nous présumons que c’est la raison pour laquelle le New York Times couvre les scandales associés aux deux agents israéliens depuis près de deux décennies.

Le Times, bien qu’il soit sur le point de devenir le journal officiel américain, a toujours été détenu et exploité par des Juifs. Sa couverture des évènements a toujours été grotesquement déformée en faveur d’Israël. Il n’a aucun intérêt à exposer la manière dont Israël contrôle les États-Unis en faisant chanter ses dirigeants (Epstein) et en organisant une fausse “Attaque arabo-musulmane contre l’Amérique” (Silverstein). La terrible vérité est que le New York Times fait partie du même réseau sioniste juif “nous contrôlons l’Amérique” que Jeffrey Epstein et Larry Silverstein.

Le “Suicide” d’Epstein illustre le contrôle sioniste des États-Unis et la décadence et la dépravation de la laïcité occidentale

Puisque le New York Times et d’autres médias grand public n’iront pas traiter de ces problèmes, réfléchissons aux faits et aux leçons à tirer du scandale du « suicide » de Jeffrey Epstein – une honte nationale qui devrait choquer les Américains et les amener à repenser leur vision du monde en général, et leurs points de vue sur le mythe officiel du 11/9 en particulier r.

Le samedi 10 août 2019, Jeffrey Epstein, un trafiquant sexuel reconnu coupable, serait mort dans sa cellule du Metropolitan Correctional Center (MCC) à New York, l’une des prisons les plus corrompues des États-Unis [3]. Les autorités prétendent qu’Epstein s’est pendu. Mais personne, pas même les mandataires des grands médias de propagande américains, ne prétend croire de manière convaincante à l’histoire officielle.

Jeffrey Epstein était un proxénète pédophile pour les présidents et les potentiels. Son travail consistait à recruter des jeunes filles pour des relations sexuelles, puis à les proposer à des décideurs puissants tout en filmant leurs galipettes avec ces filles mineures avec de caméras vidéo cachées. Quand les flics ont perquisitionné sa maison de ville à New York les 6 et 7 juillet 2019, ils ont trouvé des coffres-forts contenant des images pornographiques de filles mineures, ainsi que des piles de disques compacts intitulés “young (nom de la fille) + (nom du VIP)”. Epstein avait ‘exercé ouvertement et effrontément de telles activités pendant plus de deux décennies, ainsi que je l’ai relaté dans Truth Jihad Radio et False Flag Weekly News.. Bill Clinton et Donald Trump étaient tous les deux des clients de Jeffrey Epstein faisant l’objet d’un chantage. Clinton était un voyageur assidu du jet privé d’Epstein “Lolita Express” et Trump avait été accusé de manière crédible dans une action en justice, avec Epstein pour le viol brutal d’une adolescente de 13 ans contre laquelle Trump aurait ensuite proféré des menaces de mort.). C’est seulement à l’été 2019 que les principaux médias et les procureurs de la ville de New York ont ​​commencé à parler de ce qu’ils consignaient auparavant comme “théories du complot”.

Alors, pour qui travaille Epstein?

Son principal employeur était sans aucun doute le Mossad israélien et son réseau mondial de criminels sionistes. Le patron (pour le compte du Mossad)  d’Epstein était Ghislaine Maxwell, fille du super espion Mossad Robert Maxwell. Selon des déclarations sous serment, Ghislaine Maxwell était aussi la maquerelle d’Epstein ? Elle a recruté des filles mineures pour Epstein et a supervisé ses opérations de trafic sexuel. Comme le rapportait le New Yorker le 16 août: “Dans les journaux qui ont été descellés le 9 août, il a été dit que la Maxwell avait été le principal complice d’Epstein, d’abord en tant que petite amie et plus tard en tant que  et recruteur de très jeunes filles, dont l’âge ne dépassait pas 14 ans. Aux côtés de la Maxwell, l’autre gestionnaire (pour le compte du  Mossad) d’Epstein était Les Wexner, cofondateur du fameux Mega Group d’espions israéliens milliardaires, qui semble avoir initialement recruté le sans-le-sou Epstein et lui avoir remis une fausse fortune afin qu’Epstein puisse se faire passer pour un playboy milliardaire.

Même après le “suicide” douteux d’Epstein, la méga-Mossadnik Maxwell a continué à afficher son impunité face à la justice américaine. La photographie du New York Post le montrait souriant et posant sereinement devant In-And-Out-Burger à Los Angeles , lisant The Book of Honor: Les vies et les morts secrètes des opérationnels de la C.I.A. Cette photo nauséabonde a inspiré New Yorkerà pour l’accuser d’avoir un “euphémisme” bernois pour le chutzpah  yiddish, une qualité qui s’épanouit dans les communautés superposées des sionistes et des maffias juives casher Nostra.[4]

La Maxwell et le New York Post, deux actifs du groupe Kosher Nostra / Mossad, ont envoyé de message à la CIA: “Ne nous emmerdez pas , sinon nous exposerons votre complicité dans ces crimes scandaleux.” Telle est la procédure opératoire standard du Mossad: infiltrer et compromettre les services de renseignement occidentaux afin de les empêcher d’interférer avec les atrocités commises par les sionistes. Selon l’hypothèse de l’historien français Laurent Guyénot, la tentative d’assassinat simulé sous le faux drapeau de la CIA contre le président John F. Kennedy, destinée à être imputée à Cuba, a été transformée en véritable assassinat par le Mossad, et la CIA n’a pu l’exposer publiquement car elle en était complice. Guyénot explique que le même scénario explique les anomalies de l’affaire Mohamed Merah, des meurtres de Charlie Hebdo et de l’opération du faux drapeau du 11 septembre. Il ne serait pas étonnant que des éléments de la CIA infiltrés par des sionistes soient rendus complices des activités de chantage sexuel menées par Jeffrey Epstein, afin de protéger Israël pendant l’épisode Epstein, avaient été “brûlés”.

Alors qu’est-il arrivé à Epstein? La casher Nostra, qui contrôle totalement New York en général et la prison corrompue de MCC en particulier, a permis au Mossad d’exfiltrer Epstein en Palestine occupée, [5] où il bénéficiera d’un lifting de chirurgie esthétique, d’une pension, d’une luxeuse suite surplombant la Méditerranée et un flot continu de jeunes esclaves sexuelles (Israël est la capitale mondiale de la traite des êtres humains, [6], un honneur qu’elle revendiquait déjà à partir de son enclave Kasher Nostra à Odessa après la Seconde Guerre mondiale).

Une fois que l’affaire sera enterrée, Epstein aura certainement le plaisir de recevoir et de fêter Ghislaine Maxwell, sa patronne du Mossad, son bon ami violeur de minettes Ehud Barak et divers autres dignitaires sionistes adorant la chair fraîche goy. Il peut même offrir la même chose à la majorité des membres du Congrès américains (du sexe ultra tendre).

Ceci n’est pas simplement un scénario fantastique paranoïaque. Selon Eric Rasmusen: “Le service de la justice américain aurait mieux fait de ne pas laisser le corps d’Epstein être incinéré. Et ils feraient mieux de nous donner une preuve convaincante que c’est bien son corps. Si j’avais 100 millions de dollars, je pourrais sans problème  sortir de prison, acheter un cadavre, faire quelques empreintes digitales, et de l’ADN convaincant. Il est extrêmement inquiétant que le gouvernement ne fournisse AUCUNE preuve qu’Epstein est mort, ni AUCUNE copie de l’autopsie. “

Mais l’autopsie présumée n’aurait-elle pas été une fracture au cou, associée plus fréquemment à un meurtre par strangulation qu’à un suicide? Le “suicide” d’Epstein a brisé le fait qu’Epstein avait été “remplacé” du MCC. Si c’est le cas, le corps avec les os du cou cassés n’était pas celui d’Epstein.

L’affaire Epstein (comme le 11 septembre) a mis en lumière deux faits extrêmement importants sur le sécularisme occidental: il n’y a pas de vérité et il n’y a pas de limites.

La carrière d’Epstein en tant que chancelier sexuel du Mossad sans scrupules et ouvertement opérant, à la manière du coup d’Etat du 11 septembre, illustre bien une autre vérité fondamentale de la laïcité occidentale: s’il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de limite (dans ce cas, la dépravation humaine et ce qu’elle peut s’en tirer). Ou, comme le dit si bien Dostoïevski: “Si Dieu n’existe pas, tout est permis“. Puisque seul Dieu peut établir des limites fondées sur la métaphysique entre ce qui est permis et ce qui est interdit, un monde sans Dieu ne comportera aucune limite de recherche; La devise satanique d’Aleister Crowley “Fais ce que tu veux doit être toute la loi” devient le seul et unique commandement. Dans l’Occident sans Dieu d’aujourd’hui, pourquoi ne devraient-ils pas «faire ce qu’ils veulent» et se livrer à leur libido en violant de jeunes filles s’ils peuvent s’en tirer à bon compte? Après tout, tous les autres tabous sexuels sont brisés, un par un. La fornication, l’adultère, l’homosexualité, le sadomasochisme, l’attitude sexiste … tout cela a été transformé en une question de droits de l’homme. Même la zoophilie et la nécrophilie sont sur le point de devenir des “identités sexuelles” normalisées dont ils feront fièrement les défilés “fierté de la zoophilie” et “fierté de la nécrophilie”. Alors, pourquoi ne pas normaliser la pédophilie et les autres formes de viol perpétrés par les forts contre les faibles? Et pourquoi ne pas ajouter la torture et le meurtre au service à la gratification sexuelle?

Nous allons assister à des défilés de LGBTQZNPV, le ZNPV représentant la bestialité, la nécrophilie, la pédophilie et le viol. Les défilés de la fierté des pédophiles, célébreront sans aucun doute Jeffrey Epstein en son tant que héros avant-gardiste incompris de son temps qui a été injustement persécuté en raison de son orientation sexuelle inhabituelle pour la plèbe, mais hautement appréciée par les élites juives et leurs vassaux goy.

Il est de plus en plus difficile de faire la satire de la décadence et de la dépravation de l’Occident laïc, qui insiste pour se parodier avec une farce sans cesse croissante. Lorsque le livre sur cette civilisation autrefois puissante sera écrit et que l’encre sera sèche, les lecteurs seront stupéfaits par les lectures illimitées de psychopathes ivres-sur-chutzpah qui ont couru jusqu’au sol.

Source : 9/11 and Jeffrey Epstein: Media Malfeasance on Steroids

 

 

 

 

 

 

11-Septembre: une vidéo inédite montre le chaos au pied des tours du World Trade Center

 

Un journaliste de la chaîne américaine CBS News a filmé au plus près les minutes qui ont suivi les attentats contre les Twin Towers. Des images restaurées viennent d’être rendues publiques.

Un immeuble en flamme, le souffle d’une explosion, un épais nuage noir et des rescapés qui tentent de fuir. Une vidéo inédite des minutes qui ont suivi les attentats du World Trade Center le 11 septembre 2001 a été rendue publique le 31 août dernier. Visibles sur Youtube, les images ont déjà été vues, à ce jour, plus de 7,6 millions de fois.

Une image de la vidéo inédite des attentats du 11-Septembre.©  Une image de la vidéo inédite des attentats du 11-Septembre.

C’est un ancien cameraman de la chaîne américaine CBS News qui les a filmées. Ce 11 septembre 2001, peu de temps après que les avions pilotés par des membres du groupe terroriste al-Qaïda ont percuté les tours jumelles, caméra au poing, il approche peu à peu du World Trade Center. Au début de la vidéo, le nuage gris est déjà dense. Les secouristes, recouverts de poussière et toussant, reviennent chercher un peu d’air frais. Ils sont alors pris en charge, de l’oxygène leur est donnée.

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“Une tour s’est effondrée. Nous pensons que ce c’est ce qui s’est passé… Tout le monde court comme…”, témoigne l’un d’entre eux.

Mark LaGanga va s’approcher du World Trade Center. Au fil de son parcours, le chaos. Un épais tapis de poussière et de papiers recouvre les trottoirs. Dans l’atmosphère règne un calme pesant. Seul le bruit lointain des sirènes de pompiers et les alarmes percent le silence lourd. Quelques minutes plus tard, le cameraman entre dans le hall de la tour nord. Le building a été frappé à 8h46 par le vol American Airlines 11. 92 personnes se trouvaient à bord.

Le haut du bâtiment est en flamme. Désormais, on sait que des centaines de salariés sont piégés dans les étages, 1.344 personnes sont mortes dans la tour nord. L’un des secouristes dira pourtant ce jour-là que tout le monde a été évacué, preuve du chaos et de la terreur qui règne ce jour-là en plein coeur de New York. Mark LaGanga interroge des salariés des deux tours. Complètement perdus, ils fuient, sacoche de travail à l’épaule.

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L’image la plus saisissante de cette séquence de 29 minutes est peut-être lorsque le cameraman filme l’effondrement de la tour dans laquelle il se trouvait quelques minutes plus tôt. Un assourdissant bruit d’effondrement, des dizaine de personnes fuyant à toute allure, un épais nuage noir, Mark LaGanga est lui-même aspiré par le souffle de l’immeuble. Pendant quelques minutes, son écran est noir, la poussière recouvrant son objectif. Seul le bruit perdure, celui d’un long et interminable éboulis puis des cris.

“Que s’est-il passé?”, interroge-t-il. “Le haut de la tour s’est effondré, lui répond un employé conscient du miracle d’être encore en vie. “J’ai 69 ans et je peux encore courir.”

Au total, 2977 personnes sont mortes lors de ces attaques terroristes, et plus de 6000 ont été blessées.

Détails de l’écrasement du WTC-7 sur lui-même.
Le WTC-7 au sol.

 

Les fameuses tours jumelles et l’édifice 7.

 

 

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