Troisième Guerre Mondiale:Comment survivre à une guerre nucléaire

Craignez-vous d’être victime d’une attaque nucléaire? Voici des choses à savoir pour mettre toutes les chances de votre côté en cas d’apocalypse atomique…

PRÉPAREZ UN BAGAGE D’URGENCE
Rassemblez vos papiers personnels, vos médicaments, un appareil radio, des vêtements, de la nourriture et de l’eau dans un bagage solide, mais pas trop encombrant. Vous emporterez ce sac avec vous lors de l’évacuation qui suivra l’attaque nucléaire.

 

ESTIMEZ LES RISQUES
Vous vivez à proximité d’une grande ville, d’un aéroport ou d’une base militaire? Alors, vous êtes davantage à risque de voir une attaque nucléaire survenir près de chez vous, plutôt que si vous vivez au milieu des bois. Quel chef d’État risquerait une contre-attaque nucléaire en rasant une zone uniquement peuplée par les maringouins et les castors?

 

ÉQUIPEZ-VOUS D’UN INSTRUMENT DE MESURE
Rien de tel qu’un détecteur de radioactivité pour savoir si vous êtes en zone de danger après l’attaque nucléaire. En effet, vous pourriez vivre à des dizaines de kilomètres de l’explosion et être quand même en danger.

 

PARTEZ VIVRE EN SUISSE…
La Suisse dispose d’une capacité d’hébergement en abris antiatomiques qui est supérieure à sa population! On compte plus de 8,6 millions de places pour un pays de 8,4 millions d’habitants. La loi y oblige les habitants à disposer d’un abri à proximité de chez eux.

 

PARTEZ SUR MARS
La mission Mars One vise à installer une colonie humaine sur Mars en 2032. Si vous faites partie du voyage, vous ne craindrez plus d’attaque nucléaire sur Terre. Encore faut-il parvenir à être sélectionné pour cette mission, puis à survivre sur Mars. Sinon, vous ne serez pas plus avancés que nous, pauvres Terriens atomisés…

 

COUCHEZ-VOUS!
L’explosion d’une bombe atomique tue surtout à cause de l’onde de choc et des radiations qui se propagent autour. En vous couchant à terre, vous augmentez vos chances d’éviter une bonne partie de ce vent extrêmement violent (près de 1000 kilomètres à l’heure). Il pulvérisera tout autour de vous. Vous pourriez en être épargné si vous êtes suffisamment rapide… et pas trop près du choc.

 

CONFINEZ-VOUS!
Pour se mettre à l’abri des particules atomiques, entrez dans un bâtiment, une mine, ou tout autre endroit qui pourra vous protéger. Une automobile ne vous protègera pas suffisamment. Si vous avez un abri antiatomique, c’est le moment de l’utiliser, bien entendu.

 

COUPEZ LE GAZ!
Une fois dans un bâtiment, veillez à couper l’arrivée de gaz. Après avoir survécu à l’explosion nucléaire, il ne manquerait plus que ce soit une fuite de gaz qui vous menace… Coupez aussi l’arrivée d’eau, celle-ci sera certainement impropre à la consommation.

 

 

RESTEZ SUR PLACE
N’allez chercher vos enfants ni à l’école ni à la garderie. Vous prendriez des risques inutiles: les enseignants et les éducateurs seront en train de prendre soin de vos enfants. Et même si vous parveniez à les faire sortir, ce simple geste pourrait être très dangereux pour eux comme pour vous.

 

PORTEZ SECOURS
En vous cachant à l’abri des radiations, portez assistance aux personnes qui sont à vos côtés. D’abord par humanité, mais aussi parce qu’il vous sera plus facile de garder le moral si vous êtes plusieurs.

 

DONNEZ SIGNE DE VIE
Les secours ne manqueront pas d’arriver au bout d’un certain délai. Manifestez-vous en frappant sur une tuyauterie, par exemple. Les secours vous repèreront grâce au bruit. Mais ne sortez pas à l’extérieur – à moins que ce soit pour éviter un effondrement – sinon les particules vous contamineront davantage.

 

INFORMEZ-VOUS
Mettez en marche un appareil capable de capter la radio. Les secours donneront les consignes à respecter par ce moyen. Vous saurez ainsi si la zone où vous vous trouvez est sûre, si l’évacuation est proche, ou encore si des secours sont en route.

 

LIMITEZ VOS COMMUNICATIONS
Inutile de saturer le réseau téléphonique : les secours en auront besoin pour coordonner leurs actions. Et comme l’attaque nucléaire pourrait avoir fortement endommagé les infrastructures de télécommunications, les ondes restant accessibles seront précieuses. La mise à jour de votre page Facebook pourra attendre quelques jours…

 

 

 

RATIONNEZ VOTRE NOURRITURE
Vous risquez de devoir patienter avant de voir arriver les premiers secours. Vous ne devrez donc pas consommer vos réserves dès les premiers jours. Si de la nourriture est entreposée dans le bâtiment où vous avez trouvé refuge, vous pouvez la consommer une fois vos réserves épuisées.

 

 

BUVEZ DE L’EAU
La priorité est de préserver votre eau : on peut survivre avec très peu de nourriture, mais on ne peut pas y arriver sans boire de l’eau. Après une attaque nucléaire, préférez l’eau en bouteille. Elle aura moins de chances d’être contaminée que l’eau venue des aqueducs municipaux.

 

FUYEZ
Si les secours n’arrivent pas durant les neuf premiers jours qui suivent l’explosion, vous devrez prendre la fuite : le nuage radioactif finira par retomber sur Terre. Et si vous n’avez pas encore succombé, ce nuage mortel ne vous laissera pas de deuxième chance.

 

 

PORTEZ BEAUCOUP DE VÊTEMENTS
Au moment de fuir, portez un maximum de vêtements. Ceux-ci vous protègeront des brûlures occasionnées par l’air rendu radioactif. Privilégiez les vêtements amples, comme les vestes à manches longues, mais aussi des gants, un chapeau, des lunettes de protection…

 

DÉCONTAMINEZ-VOUS
Une fois à distance de la zone de danger, retirez vos vêtements, qui seront chargés de substances contaminées, et prenez une douche. Ces deux mesures seront les premières que vous feront exécuter les secours dès qu’ils vous prendront en charge.

 

 

DE L’IODE POUR SURVIVRE
Vous devrez également absorber des comprimés d’iode, que les secours devraient distribuer rapidement. Cette absorption d’iode limitera la capacité de votre corps à assimiler l’iode radioactif rejeté dans l’atmosphère par l’explosion atomique.

 

ÉVITEZ LES PRODUITS LOCAUX
Même si vous êtes adeptes des circuits courts, évitez de manger des aliments issus de la zone irradiée. Des années après, les plantes et les animaux de régions frappées par une explosion nucléaire demeurent impropres à la consommation.

 

 

 

 

Les gens courageux:Le chef de l’armée suisse appelle à s’armer pour faire face au terrorisme islamiste

L’ancien chef de corps, promu à la tête de l’armée suisse en 2009, a tiré la sonnette d’alarme concernant l’aggravation des déséquilibres sociaux, de la menace terroriste et des risques liés aux flux migratoires.

André Blattman,général en chef des armées suisses.
Un vrai!

Commentant pour la première fois la situation depuis les attentats du 13 novembre, André Blattmann a dénoncé une «explosion de l’insécurité durant ces deux dernières années», en parallèle d’une réduction du budget de la défense. «Même si nous n’avons pas encore été directement touchés par les événements de la guerre dans le monde d’aujourd’hui, nous pouvons déjà en ressentir les effets», a-t-il affirmé.

Le haut-gradé militaire a déclaré : «la menace terroriste augmente, les guerres hybrides sont de plus en plus fréquentes, les perspectives économiques s’obscurcissent, et les flux migratoires causés par ces guerres et problèmes économiques ont déjà pris une proportion insoupçonnée, aggravant la concurrence sur le marché du travail».
Pour le chef de l’armée suisse, «le mélange est de plus en plus explosif» et «les fondements de la prospérité sont une fois encore remis en question». Selon lui, la situation n’est pas sans rappeler les années de l’entre-deux-guerres, et les citoyens suisses doivent s’armer pour faire face aux défis qui les attendent.

Ces commentaires ont été vivement critiqués par les politiques de gauche et les Verts dans le pays, notamment Beat Flach qui a affirmé que ces déclarations étaient «exagérées» et que «tout va bien dans le pays».

André Blattmann a été à l’initiative de plusieurs exercices préparant la Suisse à réagir à diverses menaces, dont l’un imaginait la sécession d’un territoire français, qui déciderait de s’attaquer à son voisin. Dans une interview donnée l’année dernière, le chef de l’armée a affirmé stocker chez lui plusieurs dizaines de pack d’eau minérale ainsi que des réserves de nourriture afin de faire face en cas de catastrophe naturelle ou de crise humanitaire liée à des troubles.

source

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UN PEU D’HISTOIRE

Saviez-vous que durant la Deuxième Guerre mondiale,pendant que la France était envahie par le Troisième Reich,la Luftwaffe subissait un important revers face à la petite,mais très mobile armée de l’air suisse?

La Suisse a protégée son indépendance alors même que les nazis semblaient devoir l’emporter. Peu de gens savent que les forces aériennes suisses ont battues l’aviation nazie alors que la France était en train d’être envahie et que Goering pensait que son armée de l’air ne ferait qu’une bouchée des suisses: au bout de quelques jours de combat, il a changé d’avis! Et quand une délégation nazie a clairement menacée la Suisse d’invasion si elle continuait à refuser le passage des troupes allemandes, le général commandant des forces suisses a sobrement répliqué « essayez… »

 

Lorsque la drôle de guerre s’achève le 10 mai 1940 pour laisser place à la bataille de France, avec l’invasion allemande des Pays-Bas, du Luxembourg et de la Belgique, une seconde mobilisation générale, appelant 700 000 hommes sous les armes dont 450 000 troupes combattantes, est ordonnée le lendemain du 11 mai pour protéger la région du Jura entre Genève et Bâle. Dans la soirée du 11, des bruits, répandus par les civils mais également par quelques militaires de haut rang firent état d’une attaque imminente, portant sur le pays un effet de panique. En réalité, les Allemands avaient décidé, avant d’attaquer à l’ouest, de mettre sur pied une manœuvre d’intoxication destinée à faire croire à l’état-major français qu’ils porteraient leur effort sur la Suisse espérant créer une brèche au travers de la ligne Maginot.

À la suite de la percée allemande, 43 000 hommes du 45e corps français (29 700 Français ainsi que 12 000 Polonais de détachements belges et anglais) qui tenaient la place de Belfort seront acculés contre la frontière suisse puis internés le 19 juin avant d’être rapatriés en janvier 1941. Après l’entrée en guerre de l’Italie contre la France et la Grande-Bretagne le 10 juin 1940 et l’armistice signé par la France le 22 juin 1940, la Suisse se retrouve cernée par les forces de l’Axe conduisant le moral des troupes et de la population au plus bas.

Si l’arrivée des Allemands à la frontière ne donna lieu à aucun incident, il n’en fut de même dans l’espace aérien. Alors que la France était sous les feux allemands, l’Allemagne souhaite profiter de la faiblesse de la défense anti-aérienne et de la chasse française deLyon et Saint-Étienne en empruntant un couloir aérien au travers de la Suisse. Les engagements allemands dans cette optique amèneront à de véritables conflits aériens avec les aviateurs suisses, en dépit de l’interdiction faite par Berlin, dont le 4 juin marquera l’apogée des affrontements. À cette date,Goering souhaitant donner une correction à la Suisse, engagea une trentaine de Me 110 qui entrèrent en conflit avec des Me 109E suisses au-dessus de La Chaux-de-Fonds. Face à la détermination des pilotes suisses, pourtant en infériorité numérique, les Allemands abandonnèrent l’engagement après avoir essuyé plusieurs pertes. De retour à Berlin, la nouvelle parvint jusqu’à Hitler qui mit alors sous pression le gouvernement helvétique, face à une éventuelle invasion du pays.

Le brave général Guisan.

Face aux menaces de Berlin sur la violation de l’espace aérien suisse par la Luftwaffe, le général Guisan ordonna le 20 juin la cessation des combats aériens dans tout l’espace aérien suisse. La tension diplomatique entre les deux pays allait néanmoins conduire à des prises de position rigoureuses. Du côté allemand, plusieurs plans d’invasion de la Suisse sont mis sur pied à l’état-major, notamment l’opération Tannenbaum mais dont la mise en œuvre ne fut jamais réellement envisagée. Du côté Suisse, on se rendit compte qu’il devint urgent de développer une politique de défense et d’autosuffisance envers le danger principal que représentait alors l’Allemagne.

Ainsi, le 25 juin 1940, le président de la Confédération, dans un discours radiodiffusé, promet aux Suisses du travail à tout prix et quoi qu’il en coûte. Or pour faire tourner ses usines, le pays importe 5000 wagons de fer et 30 000 wagons de charbon, surtout en provenance d’Allemagne. Face aux relations diplomatiques difficiles entre Berne et Berlin, la Suisse met en place un plan d’approvisionnement. Rien que dans le canton du Valais, on ouvre ou remet en activité vingt-et-une mines.

À partir de septembre 1940, des Gardes locales (GL) sont incorporées dans les complémentaires de l’armée. Celles-ci avaient pour mission de rassurer la population de l’arrière pays, face à la menace de sabotages, des parachutistes ou d’éventuels détachements motorisés qui auraient percé le front. Si l’obligation de servir dans la GL cessait à 60 ans, beaucoup restaient néanmoins par la suite comme volontaires, remontant ainsi le moral des troupes aux frontières. Son effectif atteignit 127 563 hommes en 1941 puis se stabilisa aux alentours de 115 000.

LES TYPES D’AVIONS UTILISÉS PAR LA SUISSE

La Suisse en 1939 avait acquis de nombreux chasseurs Messersmith BF-109.

 

Le biplan EFW C-35 de fabrication suisse était un appareil très maniable et rapide.C’est un avion d’attaque de troupes au sol.

 

Le C 3603 de la firme EFW des fabrication suisse.

 

 

 

 

 

Vidéo:Reconquête française et un lien pour joindre la résistance catholique française

 

Drapeau français

 

Comme nous l’observons sur cette courte vidéo trouvée sur internet, l’ère du catho fragile style « veilleurs sans violence » est finie, et la sainte colonisation reprend même en commençant par une grosse patate christique. Sus aux ennemis du Christ Roi qui pendant un « je vous salue Marie » insulte les cathos?

Si cette vidéo vous a plus, n’hésitez pas à aider le collectif des résistants Sainte rita sur cette page : Sainte Rita, priez pour nous

 

Pour joindre la résistance catholique française: Reconquête Française