LA FEUILLE DE ROUTE DE SANTE SEXUELLE, UN TRANQUILLISANT SOCIAL…?
La feuille de route 2018-2020 sur la stratégie nationale de santé sexuelle en France montre que l’accent est mis sur l’éducation sexuelle et le « santé reproductive » (contraception, avortement, insémination artificielle)
En particulier, l’accès aux méthodes d’avortement d’avortement devrait être garanti aux jeunes. Une consultation globale « santé sexuelle » sera mise en place pour tous les jeunes âgés de 15 à 18 ans afin de les informer sur la contraception et l’avortement. En outre, des projets innovants donneront un accès gratuit à une offre de préservatifs. Cette stratégie éducative favorise la sexualisation (sur-accentuation abusive et focalisation sur la disposition sexuelle dans le but de distraire) des jeunes, mais ignore des questions importantes sur la relation, telles que la « prise de responsabilités » ou la « fidélité ».
Ainsi, le philosophe Serge Canfrantan écrivait dans son livre « Leçon 163 : Sagesse et révolte » : » Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […] On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. « Cette stratégie semble maintenant s’appliquer à la jeunesse française.
(Source : V&VC 20/2018) (en photo : Ariane Bilheran)
Une forme de vie inconnue ou un habitant des fonds marins? La nature de la créature qui apparaît dans cette vidéo, mise récemment en ligne, partage les internautes.
Un habitant des eaux profondes jusque-là inconnu et dont la forme paraît humaine a été découvert sur une plage du sud de la Chine.
Comme le précise le Daily Star, lorsque les locaux ont découvert cette créature, ils ont crû qu’elle était déjà morte. Mais lorsque le plus courageux d’entre eux a décidé de s’approcher de ce poisson mutant pour se prendre en photo, le monstre marin s’est avéré vivant.
Pour le moment, on ignore aussi bien la nature de cette créature que son destin ultérieur. Les internautes suggèrent qu’il s’agisse d’une forme de vie jusque-là inconnue. Les plus sceptiques y voient une étoile de mer qui a muté pour une raison inconnue.
Mise en ligne le 9 juillet, la vidéo a vite attiré l’attention des internautes qui l’ont republiée à plusieurs reprises. Quant à l’enregistrement initial, il a déjà été visionné des centaines de milliers de fois.
Les médias ont tout fait depuis le 25 octobre 2018,afin de faire disparaître les preuves photographiques de l’assassinat horrible de Jamal Khashoggi au Consulat d’Arabie Saoudite en Turquie.
La simple tentative de faire disparaître ces preuves et la disparition des policiers turcs qui ont retrouvés les parties du corps de Jamal Khashoggi nous montre l’odieux des politiciens criminels et corrompus qui dominent cette affaire.
Donald Trump nous aura prouvé qu’on ne pourra jamais faire confiance en ce goujat issu de la mafia khazare.Cet ami fidèle d’Israël ne carbure qu’en billets verts…américains!Il forme un magnifique trio de scélérats avec le tyran de Ryad,Mohammed bin Salmane et le dictateur de Turquie Recep Erdogan.Ce sont de dangereux criminels en liberté,auxquels l’Union Européenne cherche a dissipper les crimes afin de profiter financièrement de la situation.
J’ai reçu ces quelques photos d’un ami dont je garde l’anonymat et je fait suivre ces terrifiantes et sadiques photos d’une évaluation de la situation:
LES PHOTOS
La photo du visage tuméfié de Jamal Khashoggi.La tête semble avoi été coupée!
des membres et diverses parties du corps furent retrouvées dans des sacs.
On a poussé l’horreur a enlever la peau du crâne de Khashoggi et les disposer au même endroit que ses parties génitales.
UN BREF RÉSUMÉ ET UNE ÉVALUATION DE LA SITUATION
De la disparition du journaliste Jamal Khashoggi le 2 octobre à l’aveu, samedi matin,le 21 octobre 2018,, par Ryad qu’il a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul, les développements d’une crise majeure.
L’éditorialiste saoudien s’était exilé aux Etats-Unis en 2017, redoutant une arrestation après avoir critiqué le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS).
Le consulat saoudien.
– Disparition –
Le 2 octobre 2018,arrivée de Jamal Khashoggi au Consulat.Une image de vidéosurveillance montre Jamal Khashoggi (dans le cercle rouge) à côté de sa fiancé devant le consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, le 2 octobre
Un mardi après-midi d’automne, le journaliste saoudien en exil Jamal Khashoggi entre dans le consulat de son pays à Istanbul. Cet ancien proche de la famille royale est devenu, depuis l’arrivée au cœur du pouvoir de Mohammed Ben Salman, un critique affirmé du régime de Riyad. M. Khashoggi, 59 ans, est fiancé à une femme turque, Hatice Cengiz. Afin de pouvoir l’épouser, il doit accomplir une formalité administrative, d’où sa visite à la représentation diplomatique saoudienne. Les heures passent, il ne réapparaît pas. Sa fiancée, qui l’avait accompagné et était restée l’attendre à l’extérieur, alerte les médias et le gouvernement d’Ankara, une consigne que le journaliste lui avait donnée dans le cas où il tarderait à revenir.
Une capture écran extraite de la vidéosurveillance, publiée par le journal turc « Sabah » le 10 octobre, montre des hommes suspectés d’avoir participé à la disparition de Jamal Khashoggi à l’aéroport Ataturk d’Istanbul, le 2 octobre.
Le 2 octobre, vers 10H15 GMT, Jamal Khashoggi entre au consulat saoudien à Istanbul, selon une image de caméra de surveillance publiée par le quotidien américain Washington Post, avec lequel il collabore. Selon sa fiancée, il s’y est rendu pour des démarches en vue de leur prochain mariage.
Ce van, entré dans l’aire du consulat saoudien le 2 octobre, est au centre de nombreuses questions.
Le 3, la présidence turque affirme que le journaliste se trouve au consulat saoudien.
Des médias turcs publient le 10 octobre des images de vidéosurveillance qui permettent de suivre les déplacements, le 2 octobre, du groupe de quinze personnes soupçonnées d’avoir orchestré la disparition du journaliste. Les profils se précisent : il s’agit d’officiers des forces spéciales et de l’armée de l’air saoudiennes et de membres supposés de la sécurité rapprochée de Mohammed Ben Salman, accompagnés d’un médecin légiste. Dans les médias proches du pouvoir turc, on commence à évoquer des enregistrements établissant un démembrement à la scie à os du journaliste saoudien. Plus d’une semaine après le début de l’affaire, les premières réactions internationales tombent.
Le Washington Post affirme que les services de renseignement américains avaient connaissance d’un projet saoudien, impliquant le prince héritier, consistant à attirer le journaliste dans un piège pour l’arrêter. « Nous n’étions pas informés à l’avance de la possible disparition de M. Khashoggi », affirme le département d’État.
Donald Trump réclame des explications à l’Arabie saoudite sur le sort du journaliste. Il dit être en contact avec la fiancée de M. Khashoggi, qui a demandé son aide.
Dans une interview diffusée le 5 octobre par l’agence Bloomberg, le prince héritier affirme que Khashoggi est effectivement « entré » au consulat, mais qu’il en est sorti peu après.
– « Tué au consulat » –
Le 6, une source proche du gouvernement turc déclare que la police estime « que le journaliste a été tué au consulat par une équipe venue spécialement à Istanbul et repartie dans la même journée ». Ryad dément.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, prononce un discours devant les partisans à Istanbul dimanche. Erdogan a annoncé qu’il annoncerait les détails de l’enquête turque sur la mort de Khashoggi mardi.
Le 7, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui s’exprime pour la première fois sur cette affaire, dit attendre les résultats de l’enquête.
« Le corps de Khashoggi a été probablement découpé et mis dans des caisses avant d’être transféré par avion hors du pays », affirme le Washington Post, citant un responsable américain.
Ryad doit « prouver » que le journaliste a quitté le consulat, dit M. Erdogan.
Le 10, des télévisions turques diffusent des images de vidéosurveillance montrant l’arrivée à Istanbul de Saoudiens soupçonnés d’avoir conduit l’opération.
Selon le Washington Post, Ankara aurait affirmé à Washington détenir des enregistrements audio et vidéo montrant comment Khashoggi a été « interrogé, torturé puis tué » à l’intérieur du consulat, avant que son corps ne soit démembré.
– Washington menace puis ménage Ryad –
Le 13, Donald Trump estime que l’Arabie saoudite pourrait être derrière la disparition et menace Ryad d’un « châtiment sévère », tout en excluant un gel des ventes d’armes.
Le 15, le président des Etats-Unis suggère après un entretien téléphonique avec le roi saoudien Salmane que la disparition « pourrait être le fait de tueurs hors de contrôle ».
Le 16, le secrétaire d’Etat Mike Pompeo affirme que Ryad est favorable à une enquête « approfondie », après des entretiens avec le roi et le prince héritier.
M. Trump réclame l’application du principe de présomption d’innocence en faveur de l’Arabie saoudite.
Le lendemain, il nie chercher à « couvrir » ses alliés saoudiens. Il souligne que les Etats-Unis ont besoin de Ryad dans la lutte contre le terrorisme et insiste sur la coopération militaire et sa dimension économique.
– Une « équipe d’exécution » –
Un journal pro-gouvernemental turc, affirmant s’appuyer sur des enregistrements sonores à l’intérieur du consulat, rapporte que le journaliste y a été torturé avant d’être « décapité ».
Selon le New York Times, l’un des hommes identifiés par les autorités turques comme faisant partie de l’équipe soupçonnée d’avoir perpétré l’assassinat appartient à l’entourage du prince héritier, et trois autres aux services de sécurité rattachés au prince.
– Washington durcit le ton –
Le 18, le secrétaire américain au Trésor annonce qu’il ne se rendra pas à une conférence économique à Ryad, boycottée par un nombre croissant de personnalités.
Donald Trump admet pour la première fois que Khashoggi est très probablement mort, menaçant Ryad de « très graves » conséquences si sa responsabilité est confirmée.
Washington décide cependant d’accorder un délai supplémentaire à l’Arabie saoudite pour s’expliquer.
– Fouilles et témoignages –
Le 19, les médias turcs indiquent que les enquêteurs ont élargi les recherches à une vaste forêt d’Istanbul. Des images de vidéosurveillance prises le 2 octobre montrent, selon une chaîne de télévision privée, au moins un véhicule muni de plaques diplomatiques y pénétrer après avoir quitté le consulat.
Les enquêteurs ont fouillé cette semaine le consulat et la résidence du consul saoudien.
Mike Pompeo prévient que les Etats-Unis disposent d’une « large gamme » de sanctions possibles contre l’Arabie saoudite s’il s’avérait qu’elle était derrière la disparition du journaliste.
– Ryad reconnaît la mort –
L’Arabie saoudite reconnaît dans la nuit du 19 au 20 octobre que Jamal Khashoggi a été tué dans le consulat, et annonce une restructuration de ses services de renseignements et des limogeages à leur tête.
« Les discussions entre Jamal Khashoggi et ceux qu’il a rencontrés au consulat du royaume à Istanbul (…) ont débouché sur une rixe, ce qui a conduit à sa mort », déclare l’agence de presse officielle saoudienne SPA, citant le parquet.
Le roi ordonne au prince héritier de restructurer les services des renseignements, dont un des hauts dirigeants, Ahmad al-Assiri, est limogé, ainsi qu’un conseiller de haut rang à la cour royale.
Il y a maintenant plus de 25 000 envahisseurs non blancs officiellement classés comme «mineurs non accompagnés» en France, ce qui coûte à l’État plus de 800 millions d’euros par an – tout cela parce que la loi française garantit tout asile a un «mineur», d’où qu’il vienne.
CALAIS, FRANCE – Des membres de la Gendarmerie tentent d’empêcher des centaines de migrants d’accéder a l’Eurotunnel pour fuir vers le Royaume Uni. Ceci se passait le 30 juillet 2015.
Selon un article du journal Le Figaro , le nombre de non-Blancs nouvellement arrivés se faisant passer pour des «enfants réfugiés» serait passé de 4 000 en 2010 à plus de 25 000 cette année.
Chacun de ces non-Blancs coûte entre 40 000 et 50 000 € par an à l’Etat français, et leurs parents les utilisent activement comme moyen de s’implanter en France, a déclaré Le Figaro.
Des envahisseurs venus de la mer.
L’article continuait en indiquant que l’afflux de « mineurs étrangers non accompagnés » est maintenant « un schéma bien établi, des passeurs clandestins transportant ces enfants jusqu’aux frontières de l’Europe, où les organisations humanitaires s’en occupent avant de les céder aux États ».
« Les enfants sont considérés comme des clients parfaits pour les trafiquants, sachant que l’asile leur est automatiquement accordé », poursuit l’article.
« En outre, conformément à la loi française, une fois arrivés dans le pays, ils peuvent inviter leurs parents », indique l’article, ce qui « incite les parents à pousser leurs enfants » à envahir l’Europe par eux-mêmes.
«Dans certains cas, la question de savoir qui est vraiment un enfant devient également un problème, les jeunes hommes sans identification et les caractéristiques biologiques des hommes de 20 ans qui prétendent avoir entre 15 et 18 ans sont également traités comme des mineurs», poursuit le Figaro.
La France a vu plus de 323 900 «demandes d’asile» enregistrées entre 2014 et 2017,devenir toutes fausses, car toutes provenaient de pays sûrs avant d’arriver en France.
Néanmoins, les néolibéraux qui nient la race et qui forment l’élite dirigeante en France continuent d’accueillir ce nombre de plus en plus important de parasites, accélérant le jour où la France – et une grande partie de l’Europe occidentale – sera complètement envahie par les non-blancs et s’effondrera en une réplique. du tiers monde d’où les envahisseurs sont originaires.