La NASA recrute un officier de protection planétaire pour protéger la Terre contre les extraterrestres

La NASA a récemment publié une offre d’emploi aussi étrange qu’alléchante : l’agence américaine recherche un agent pour protéger la Terre contre des menaces extraterrestres. Ce poste d’officier de protection planétaire vous fera certainement penser aux « Men In Black ». L’agent que recherche la NASA devra notamment être en mesure d’éviter la contamination de notre planète par une forme de vie extraterrestre.

 

La NASA recherche un « officier de protection planétaire » pour défendre la Terre contre des menaces extraterrestres. Le poste a de quoi faire rêver et vous plongerait sans doute dans un monde imaginaire où vous vous voyez dans la peau de Will Smith, dans Men in Black. Seulement, il ne s’agit pas ici de travailleur pour une organisation ultra-secrète, encore moins d’avoir affaire avec des aliens aux technologies ultra-avancées.

La NASA recherche un officier de protection planétaire contre les menaces extraterrestres

La fiche descriptive du poste nous renseigne sur les attributions de ce « Planetary Protection Officer ». Sa mission sera de protéger notre planète en évitant qu’elle-ci soit contaminée par des microbes extraterrestres, notamment au retour des Hommes et machines sur Terre après des missions dans l’espace. La personne recherchée devra aussi faire en sorte que l’inverse ne se produise pas. C’est à dire, éviter que les astronautes contaminent d’autres planètes.

Vous vous en doutez surement, ce poste n’est pas destiné au premier venu. S’il est très bien rémunéré, jusqu’à 187.000 dollars (un peu plus de 157 000 euros) par an, l’officier devra disposer de compétences pointues, avec au minimum 24 semestres d’apprentissage des sciences, de l’ingénierie ou de l’électronique. À cela s’ajoute une « connaissance avancée de la protection des planètes ». 

Cette offre est postée alors que les voyages dans l’espace vont se multiplier. La NASA se prépare notamment aux premières missions habitées sur Mars. Sans oublier celles qu’envisage Elon Musk dans le cadre de son plan de conquête de la planète rouge, entre autres missions.

 


EN COMPLÉMENT:

Donald Trump veut des humains sur mars avant 2025

Lors d’une vidéo-conférence avec une astronaute de la NASA, Donald Trump a exprimé son souhait d’envoyer des hommes sur Mars avant 2025. Le président des États-Unis souhaiterait en effet coloniser la planète rouge au plus tôt, si possible durant son premier mandat. Un objectif difficilement réalisable selon l’Agence, qui ne pense pas être en mesure d’accomplir ce genre de mission avant les années 2030.

Quand il n’autorise pas les chasseurs à massacrer les animaux sauvages de l’Alaska, Donald Trump a visiblement des rêves de conquête spatiale. Alors que Mars est le prochain grand objectif spatial de l’Homme, le président des États-Unis souhaite à tout prix être en fonction lorsque la NASA enverra un astronaute fouler le sol de la planète rouge.

NASA : Trump veut coloniser Mars avant 2025

C’est en tout cas ce qu’il a fait savoir à l’astronaute Peggy Whitson un peu plus tôt dans la semaine. D’origine américaine, l’astronaute vient tout juste de battre un record national en passant plus de 534 jours dans l’espace, à bord de l’ISS.

Le président était d’ailleurs en vidéo-conférence avec elle pour reconnaître solennellement cet exploit (la vidéo en question peut être visionnée plus bas dans l’article). Mais quelques instants après avoir félicité l’astronaute, Donald Trump, curieux, change de sujet et demande :

Dites-moi…Mars. Quand pensez-vous que nous serons en mesure d’envoyer des hommes sur Mars ? Il y a-t-il un agenda de prévu ? Quand pensez-vous que cela arrivera ?

Très professionnelle, Peggy Whitson lui répond alors que selon les prévisions de la NASA, et un décret signé par le président lui-même, un voyage vers Mars semble impossible avant 2033. Elle précise :

Nous sommes actuellement en train de construire le matériel nécessaire pour tester le nouveau véhicule qui nous conduira plus loin que jamais. Malheureusement, les voyages spatiaux demandent beaucoup de temps et d’argent : nous rendre là-bas nécessitera une coopération à échelle internationale.

Quelque peu déçu, Donald Trump déclare, non sans une pointe d’humour, que la NASA va devoir accélérer les choses pour s’aligner sur les ambitions pour le moins irréalisables du président.

« On va essayer… », répond alors l’astronaute, visiblement pas convaincue. A moins que l’ambitieux projet de colonisation de l’entrepreneur Elon Musk fonctionne, Mars va donc devoir attendre encore quelques années avant de pouvoir nous accueillir.

 


EN CONCLUSION

Il est clair  que de nombreuses affaires sombres et  périlleuses sont tenu secrètes depuis fort longtemps,afin d’éviter  la perte de contrôle sur les masses sociales…le peuple,en général!

Si la NASA et le président Trump vont de l’avant avec leurs projets respectifs,c’est parce que nous sommes tous menacés et que le plan illuminati de dépopulation mondiale…est déjà en marche!

Déjà depuis quelques années,nous observons une recrudescence d’apparitions d’ovni!

Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard…mais peut-être est-il déjà trop tard!

 

 

 

 

 

 

 

L’Asie du sud invivable d’ici 2100, selon une étude

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En 2015, la cinquième vague de chaleur la pus mortelle de l’histoire avait frappé une grande partie de l’Inde et du Pakistan faisant environ 3500 morts.

 

La chaleur humide extrême provoquée par le réchauffement climatique risque de rendre une partie de l’Asie du sud – où vit un cinquième de l’humanité – inhabitable d’ici la fin du siècle si rien n’est fait pour réduire les gaz à effet de serre.

«L’augmentation des températures et de l’humidité durant l’été pourrait atteindre des niveaux excédant la capacité de l’organisme humain à survivre sans protection», ont déterminé les chercheurs dont les travaux sont publiés mercredi dans la revue Science Advances.

«Ces vagues de chaleur mortelle pourraient même se produire d’ici seulement quelques décennies dans des régions d’Inde, du Pakistan et du Bangladesh, y compris dans les bassins fertiles de l’Indus et du Gange, d’importantes régions de production agricole», préviennent aussi ces scientifiques.

En 2015, la cinquième vague de chaleur la plus mortelle de l’histoire avait frappé une grande partie de l’Inde et du Pakistan faisant environ 3500 morts.

De nombreuses études en Asie du sud ont établi un lien entre le changement climatique et la fréquence des canicules et leur impact sur la santé humaine.

Mais, expliquent ces chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’Université Loyola Marymount à Los Angeles, on n’avait pas fait auparavant de prévisions de «chaleur humide» étouffante et de ses effets sur la capacité de l’organisme humain de s’y adapter.

Terres arides à Tegucigalpa (Honduras) © Orlando Sierra - AFP

Effets les plus dangereux

De récentes études montrent que les effets les plus dangereux de la chaleur résultent d’une combinaison de température et du niveaux d’humidité.

Cela est mesuré selon un indice composite de température intégrant les effets de la chaleur, de l’humidité et du rayonnement solaire.

Il indique la capacité d’évaporation de la sueur, le mécanisme permettant au corps humain de maintenir une température normale.

Quand cet indice de température atteint 35 degrés Celsius, l’évaporation de la sueur est très limitée et dans ces conditions la survie devient difficile.

Or, cette température critique sera atteinte en été dans la plus grande partie de l’Asie du sud d’ici la fin du siècle si l’on ne réduit pas les émissions de dioxyde de carbone (CO2).

Dans quelques endroits, cette chaleur pourrait excéder les 35 degrés.

Avec un scénario prévoyant une réduction des émissions de CO2 similaire à celle sur laquelle se sont engagés les pays signataires de l’Accord de Paris sur le climat en 2015, les températures dépasseront encore les 31 degrés Celsius, considérés comme dangereux pour la santé.

Chaleur mortelle en Asie

Le pire n’est pas certain

Les régions les plus durement touchées seraient probablement le nord de l’Inde, le Bangladesh et le sud du Pakistan où vivent au total 1,5 milliard de personnes.

Ces régions comptent aussi parmi les plus pauvres d’Asie du sud où une partie importante de la population dépend de cultures nécessitant de longues heures de dur labeur dans les champs sans protection contre le soleil.

«Ces conditions rendent ces populations très  vulnérables à ces changements du climat si aucune mesure n’est prise pour minimiser le réchauffement», explique Elfatih Eltahir, professeur d’ingénierie environnementale au MIT, l’un des principaux auteurs de l’étude.

Bien que les projections au niveau mondial indiquent que le Golfe persique pourrait devenir d’ici la fin du siècle la région du globe où se produiront les pires vagues de chaleur, le nord de l’Inde arrive juste derrière suivi par l’est de la Chine, également très peuplé.

«Nous espérons qu’il sera possible d’éviter que ces projections de vagues de chaleur meurtrières se concrétisent en Asie du sud en réduisant suffisamment les émissions de gaz à effet de serre pour contenir le réchauffement climatique», pointe le professeur Eltahir, selon qui «ce n’est pas un scénario inévitable».

 

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via L’Asie du sud invivable d’ici 2100, selon une étude — Enjeux énergies et environnement