le plan Rothschild pour un gouvernement mondial

 

Cet article va donner une source écrite et sans ambiguïté des plans de l’élite, en l’occurrence les Rothschild puisque l’auteur de la source, Simon Linnett est le Vice Président Exécutif des Rothschild à la Cité de Londres. Venons-y.

 « Donnez-moi le droit d’émettre et de contrôler l’argent d’une nation et alors peu m’importe qui fait les lois »
(M.A Rotchild, banquier)

« C’est une chance que les gens de notre nation ne comprènnent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je croit qu’il y aurait une révolution avant demain matin »
(Henry Ford)

« Le processus par lequel les banques créent l’argent est si simple que l’esprit se refuse à y croire »
(J.K Galbraith, économiste)
« Je considère que les institutions bancaires sont plus dangereuses qu »une armée. Si jamais le peuple autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banquiers et les corporations autour d’elles vont dépouiller les gens de leurs posséssions, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leurs pères avaient conquis« .
(Thomas Jefferson, us président)

« Il existe un cartel financier qui possède le gouvernement depuis Andrew Jackson »
(Franklin D. Roosevelt, US président)

« Certains des + grands hommes dans le commerce et l’industrie ont peur
car ils savent qu’il y a quelque part
un pouvoir si bien organisé, si subtil, si vigilant et si invasif
qu’ils feraient bien de ne pas trop élever la voix lorsqu’ils le condamnent. »
(Woodrow Wilson, US président)

« Si vous voulez rester esclaves des banquiers
laisser les continuer à créer l’argent et contrôler le crédit des nations »
(Sir Josiah Stamp)

« Certains croient que nous faisons partie d’une cabale secrète
travaillant contre les meilleurs intérêts des Etats-Unis,
me caractérisant moi et ma famille comme des ‘internationalistes’ conspirant avec d’autres, partout dans le Monde,
pour construire une structure unique mondiale,
politique et économique, si vous voulez.
Si c’est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être. »
(David Rockefeller ,mémoires)

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La fausse pandémie du COVID 19 permet à des politiciens néolibéraux d’augmenter leurs pouvoirs de contrôle sur le peuple…comme une vraie dictature.
Ici,les premiers ministres François Legault du Québec et Justin Trudeau du Canada.

 

Les scénarios de crise sont les moyens par lesquels les dictateurs justifient le contrôle qu’ils veulent exercer. L’exemple le plus souvent cité est la «Loi habilitante» de Hitler dans le sillage de l’incendie du Reichstag. Un autre exemple est le “Patriot Act” à la suite du 11 Septembre 2011. Les organisations mondialistes, derrière la façade habituelle des intentions les plus idéalistes, tels que le Club de Rome, ont depuis des décennies agité la menace qu’il y aurait des problèmes planétaires imminents, à moins qu’un système de contrôle du monde ne soit mis en place par leurs soins.
Bien que plusieurs des problèmes abordés par les amateurs mondiaux de contrôle soient réels, l’attention est déviée loin de la réalité de ceux qui font des suggestions pour y remédier, alors que ceux qui avertissent se trouvent être également être ceux qui ont créé les problèmes en premier lieu. Ce sont les ploutocrates qui dirigent un système de contrôle globaliste de facto, dont le but est de le transformer en un système de jure.
Par conséquent, il faut se poser des questions lorsque les oligarques qui dirigent le système financier mondial élaborent des programmes d’amélioration du monde. Ça a été le cas concernant le projet de Traité de Copenhague de fin 2009. J’ai le PDF du projet et c’est assez délirant. C’est une fois de plus une tentative de mettre le monde en coupe réglée, en cherchant à établir une rente financière importante qui rentrerait pour toujours dans leur poche. La tentative a été débusquée par certains, comme ici un politicien.
L’un de ceux qui les premiers ont exposé ces manoeuvres a été Lord Christopher Monckton qui a mis l’accent sur le scénario concernant le changement climatique proposé par les oligarques dans le cadre d’un programme au niveau mondial. Seulement après avoir menacé d’un incident diplomatique s’il ne l’obtenait pas car à l’époque le document était caché, Lord Christopher a obtenu le projet du traité de Copenhague qui aurait imposé une taxe internationale de 2% sur toutes les transactions financières, une taxe de 2% sur le Produit Intérieur Brut, et établirait 700 nouvelles bureaucraties des Nations Unies, avec une taxe internationale allant directement dans les caisses de la Banque mondiale. Évidemment les Nations-Unies et la Banque Mondiale sont des organisations appartenant aux élites.
Monckton a déclaré concernant cet ordre du jour à Copenhague: « Une fois encore, ils tentent désespérément de cacher à tout le monde ici l’ampleur de ce qu’ils tentent de faire : ils tentent vraiment de mettre en place un gouvernement mondial ». On voit que ce politicien lucide a tout compris des plans et de la méthode des oligarques. Ces plans sont de plans de banquiers chercheurs de rente.
Il y a plusieurs décennies, les oligarques ont poussé l’adoption d’un schéma similaire à ce gouvernement mondial des Nations Unies décrit plus haut et faisant appel à la fiscalité internationale, sous prétexte de mettre fin à la dette et d’autres disparités économiques entre le soi-disant Nord et le Sud, c’est à dire le monde développé et celui en développement. Il avait pour but de concentrer plus de puissance dans la main du système financier international sous prétexte de justice économique et sociale. Ce régime a été appelé le « nouvel ordre économique international », mais comme d’autres tentatives, cela a été avorté. On voit que ça ne marche pas systématiquement.
Est-ce que ce programme de réchauffement global mondial qui selon les élites justifiait une collecte financière de tous les états dénoncé par Lord Monckton est une pure spéculation, une interprétation subjective, une théorie du complot paranoïaque ? Ou y a t’il des preuves très précises quant à l’ordre du jour oligarchique ?

Les aveux écrits, candides et formels de Simon Linnett, vice-Président Exécutif des Rothschild

En 2008, Simon Linnett a écrit un document de politique sur la question, publié par The Social Market Foundation. Linnett est vice-président exécutif de N M Rothschild, Londres. J’ai le PDF intégral là aussi et c’est instructif et sans discussion aucune. Vous arriverez aisément à le trouver sur l’Internet.
Linnett est la personne à droite de la photo que j’ai mise en ligne, avec un papier dans ses mains. Dans le manifeste de Linnett, il définit les « émissions à effet de serre », comme la nouvelle forme de « marché social »; une nouvelle monnaie mondiale spéculative. Linnett déclare que tout cela doit imposer aux forces du marché et au libre-échange de s’occuper financièrement des émissions de carbone, et ce qui est requis est un gouvernement mondial supranational. Les forces du marché, plus une ” institution internationale ” avec une constitution équivalent à celle d’un Etat mondial sous contrôle oligarchique. Il écrit: « Qu’un tel marché doit être établi sur une base mondiale coordonnée par une institution internationale dotée d’une constitution pour lui correspondre. »
Dans ce document, Linnett est clair dans sa conviction que cette façade pour « sauver la planète » est en fait une méthode de création d’un « nouvel ordre mondial » – comme il l’appelle en rajoutant sans vergogne qu’à cette ” Institution internationale” les Nations doivent céder leur souveraineté. Comment peut-on être plus clair que cela ? Je rappelle que c’est le Vice Président de Rothschild dans son fief de la Cité de Londres qui se livre à ces aveux sans complexes et de façon tout à fait ouverte et écrite dans un document consultable et sans ambiguïté.
Linnett est ici ouvertement explicite en déclarant que « le changement climatique » est simplement une étape sur le chemin de quelque chose de plus grande envergure qui “pourrait bien prolonger au-delà de cette question simple mais critique.” En un mot, il n’est pour les ploutocrates qu’un début. Linnett rajoute dans le texte de ce document « que les Nations doivent être prêtes à subordonner, dans une certaine mesure, une partie de leur souveraineté à cette initiative mondiale. »
La réticence à céder la souveraineté à une autorité internationale, que Linnett fait valoir, doit être surmontée afin d’obtenir l’Inde et la Chine entrent dans le système international en leur montrant bien que toutes les nations sont prêtes à sacrifier leur indépendance pour le plus grand bien de la collectivité. Linnett est spécifique à ce qu’il avait précédemment appelé « une renonciation marginale et gérable de la souveraineté nationale » : « Quand les pays sont déjà à ce niveau, le droit de contrôle direct sur la politique monétaire par la création de banques centrales indépendantes pourrait être un prix relativement faible à payer pour une telle inclusion ».
Ce doit être l’une des déclarations les plus franches et révélatrices jamais faite de “l’intérieur” du système des élites, en l’occurrence des Rothschild en ce qui concerne les véritables objectifs de l’oligarchie mondiale.
Ici, Linnett, en affirmant que les « banques centrales », soient nationalisées ou non, ce ne sont que des agences pour le système financier privé de la création de crédit, qui constituent le système bancaire international avec les moyens par lesquels l’oligarchie contrôle les politiques monétaires des nations. Toute notion de souveraineté, ainsi que tout ou partie des promesses politiques sur le « plein emploi », etc. ne sont que vaine rhétorique parce qu’un Etat qui n’est pas souverain parce qu’il n’a pas le contrôle sur sa propre politique monétaire ne peut rigoureusement rien. On en sait quelque chose en France.
On se souvient de la déclaration de l’historien éminent et globaliste de Harvard Carroll Quigley, qui a décrit le but des banquiers internationaux comme étant de créer « un système international de contrôle » : « Dans le temps ils ont apporté dans leur réseau financier les centres bancaires provisoires, organisés comme les banques commerciales et caisses d’épargne, ainsi que les compagnies d’assurance, pour former l’ensemble de celles-ci dans un système financier unique à l’échelle internationale qui a manipulé la quantité et la circulation de l’argent de sorte qu’ils étaient en mesure d’influencer, voire de contrôler, les gouvernements d’un côté et les industries de l’autre. Les hommes qui ont fait cela aspiraient à établir des dynasties de banquiers internationaux, et avaient au moins autant de succès que la plupart des dirigeants politiques dynastiques. La plus grande de ces dynasties, bien sûr, était celle des descendants de Meyer Amschel Rothschild ».
 Linnett indique que le moteur du système international est la création de banques centrales sous propriété privée par les banquiers internationaux tels que Rothschild, son employeur, qui dictent les politiques économiques et financières de tous les pays du monde, à travers “le contrôle direct de la politique monétaire “. Le système proposé par Linnett, pour servir la cause de « sauver la planète », est la consolidation du système bancaire international en vertu d’une autorité centrale. Linnett affirme que les nations européennes ont déjà cédé leur souveraineté à l’UE; l’étape suivante étant: « céder la souveraineté à un corps plus grand du monde sur le marché du carbone ». Un « organisme mondial est peu probable de commencer en tant que tel », déclare Linnett, mais une constitution lui permettrait de se développer.

Linnett se réfère à l’Union Européenne

 

Autrement dit, c’est l’ancienne stratégie du socialisme Fabian, la centralisation du contrôle par étapes progressives; ou pourrait-on dire, lentement bouillir la grenouille afin qu’elle ne sache pas à ce qui se passe jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour sauter hors du pot. Linnett estime que le schéma peut être démontré par l’UE, en raison de la volonté des Etats européens qui ont déjà cédé leur souveraineté à un organisme supranational, avec un “haut responsable politique préparé pour diriger cette nouvelle initiative. Si une telle feuille de route n’a pu être trouvée, alors peut-être que nous pourrions être au début d’une nouvelle constitution du monde et un nouvel ordre mondial. »

Selon Linnett, la “City of London” doit être la Capitale de l’Etat du Monde

Le gouvernement mondial que Linnett propose s’appelle dans sa bouche l’Autorité mondiale de l’environnement (WEA). Ceci devrait être basé sur ce que Linnett appelle une « ville mondiale ». Linnett suggère que cette «ville mondiale» ou ce qu’on pourrait appeler une « capitale mondiale » sera Londres. Cependant, je pense que l’on peut être plus précis et indiquer que ce que Linnett a à l’esprit est pas “London” dont la plupart des gens comprennent le nom, mais ce qui est appelé la City, une certaine partie de Londres qui comprend le siège de la finance internationale, qui est une entité souveraine comme la Cité du Vatican.
Après ces aveux qu’il faut connaître de Simon Linnett, finissons par une courte histoire sur le transfert de la Banque d’Angleterre dans les mains des Rothschild. Ça ne date pas d’hier.

Pour finir, l’histoire de l’acquisition à l’époque de la Banque Centrale d’Angleterre par Nathan Rothschild

La Banque d’Angleterre dans la City de Londres a été reprise par Rothschild lorsque le roi ne pouvait pas rembourser l’or emprunté nécessaire pour battre Napoléon à Waterloo. Un espion des Rothschild a informé le Baron un jour plus tôt que le roi n’ait reçu le message de Waterloo. Rothschild a joué le marché des Consuls – Obligations – comme une perte pour conduire le marché vers le bas. Ensuite, il les a racheté pour quelques centimes, le lendemain du jour il a fait un profit de 400 fois son investissement, quand la vérité a été connue l’Angleterre a gagné.

Le roi ne pouvait pas racheter les consuls hors de prix et a été contraint de donner la Banque d’Angleterre à Rothschild. On dit que les Consuls, contrairement aux obligations, sont à des niveaux de perte et de gain sans fin. En d’autres mots, le roi continue de payer pour Waterloo. La maison des Rothschild.gagne toujours de plus en plus, jusqu’à nos jours et au-delà.

Conclusion

Ce n’est pas tous les jours qu’on a un accès aussi explicite à une source aussi claire sur les plans de l’élite. Cette information doit nous conforter dans la conviction que c’est réel et pas un fantasme.
Nathan Meyer Rotschild et sa famille.

 

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Nouvel Ordre Mondial:Un bref aperçu de la richesse juive

TOUT AU LONG DE L’HISTOIRE, le pouvoir et l’influence du Lobby juif sont légendaires. Ce pouvoir, à son tour, ne découle ni de la puissance politique, ni du soutien populaire, ni de la rectitude morale, ni de Dieu. C’est simplement le pouvoir de l’argent. Les riches ont toujours exercé une influence disproportionnée dans leurs sociétés, généralement au profit d’individus ou de leurs familles. Mais lorsqu’une minorité ethnique distincte travaille plus ou moins collectivement, avec une grande richesse derrière elle, cette minorité peut exercer un pouvoir totalement disproportionné.

Ce pouvoir est amplifié par le pouvoir juif dérivant de la propriété des médias à l’ère des médias, de leur position en tant que créateurs de contenu médiatique (ici, p. Lvi) et de leur influence sur la culture d’élite, en particulier dans le monde universitaire. [a]

Trop souvent, cependant, on lit des fulminations sur les «Juifs riches» sans connaître l’histoire et sans aucun fait ni détail derrière. Mon intention dans ce court essai est de fournir des données factuelles et de tirer des conclusions plausibles. La situation est, je pense, bien pire que beaucoup ne l’ont supposé.

Larry Silverstein est le plus bel exemple du fraudeur sioniste additionné d’une forte dose de conspirateur sans remord.
Après avoir acquis le World Trade Center,il fit doubler les assurances …juste 2 semaines avant le 9/11.

 

Un certain contexte

Comme d’habitude, un peu d’histoire est utile pour établir le contexte actuel (voir également Andrew Joyce, par exemple ici et ici). La première indication historique de la connexion entre les Juifs, l’argent et le pouvoir semble provenir de Cicéron, vers 59 avant JC. Son discours Pro Flacco offre la défense d’un propréteur romain en Asie du nom de L. V. Flaccus qui a été accusé de détournement de cargaisons juives d’or destinées à Jérusalem [b]. (Rappelons que Rome a conquis la Judée à peine quatre ans auparavant.) Cicéron commence par une déclaration révélatrice:

    Vous savez à quel point c’est une grande foule, comment ils collent les uns aux autres, à quel point ils sont influents dans les assemblées informelles. Je vais donc parler à voix basse pour que seuls les jurés puissent entendre; car ceux qui ne veulent pas qui les inciteraient contre moi et contre tout homme respectable.

Cicéron se moque clairement des Juifs, mais leur pouvoir doit être bien connu à ce moment-là, sinon sa moquerie serait inutile. Il procède à une défense enthousiaste, citant «l’acte de fermeté de Flacco pour défier la foule des Juifs» et leur «tentative de fixer leur haine sur lui».

Une deuxième allusion précoce à la richesse juive vient de l’empereur Claude dans son troisième édit de 41 après JC. Abordant les troubles civils à Alexandrie, Claudius distingue les Juifs, qui vivent «dans une ville qui n’est pas la leur». «Ils possèdent une abondance de toutes les bonnes choses» mais abusent de leur richesse en continuant de s’opposer aux autorités locales et en semant la discorde générale. Dans un sens, écrit Claudius, les Juifs pourraient être blâmés «d’avoir fomenté fléau général qui infeste le monde entier». [c]

Gaius Cornelius Tacitus…ou Tacite en français.

Puis en l’an 100 après JC, nous avons la critique bien connue de Tacite, dans ses Histoires. Au milieu d’une discussion sur «la race des hommes haineux envers les dieux» – il parle d’un peuple qui est «vil et abominable», ainsi que «dépravé» – il remarque que les Juifs de la diaspora, «les pires racailles de tous les peuples», ont travaillé sans relâche pour envoyer « tribut et contributions à Jérusalem, augmentant ainsi la richesse des Juifs« . Il est clair que cette richesse a été utilisée à des fins pernicieuses.

 

Cassius Dio

Vers l’an 220, Cassius Dio a écrit son histoire romaine dans laquelle il décrit les deuxième et troisième soulèvements juifs, respectivement en 115 et 132 après JC. De ce dernier événement, Dio explique que «Partout, les Juifs montraient des signes d’hostilité envers les Romains». Et ils ont évidemment pu utiliser leurs richesses pour soudoyer d’autres afin qu’ils leur viennent en aide: «ainsi, de nombreuses nations les rejoignaient par empressement à gagner de l’argent». Il est clair qu’il a fallu des richesses considérables pour payer «de nombreuses nations» pour les acheter afin de combattre à leurs côtés. Et il est évident que les Juifs ont réussi à en attirer une multitude d’autres: «la terre entière, pourrait-on presque dire, était en train de s’agiter».

Bien qu’ils perdraient dans ces soulèvements, les Juifs ont réussi à se regrouper et à réaffirmer leur pouvoir – un pouvoir devenu légendaire en 300 après JC [1]. C’est à cette époque que Justin l’historien a écrit son long traité Historiarum Philippicarum. Le livre 36 traite de l’origine ignoble du peuple juif et explique la croissance et la cohésion de cette tribu singulière. Leur théologie pragmatique a fusionné la religion avec la politique d’une manière qui s’est avérée très réussie; en conséquence, « il est presque incroyable de voir à quel point ils sont devenus puissants. » [d]

Puissant, en effet. Vers 420, le poète romain Rutilius Namatianus pouvait écrire, dans son De redito suo, sur la capacité des Juifs, malgré leur défaite formelle par les Romains, à continuer d’exercer une influence dominante: “Ce sont leurs propres conquérants qu’une race conquise maintient « 

Du moyen âge à nos jours

Après l’effondrement de Rome et pendant la montée précoce de l’Église, les Juifs ont continué à amasser des richesses et à exercer leur pouvoir. Nous le savons parce que, en tant que petite minorité, ils avaient toujours le pouvoir d’influencer les dirigeants dans toute l’Europe. Le fils de Charlemagne, Louis le Pieux (778–840), empereur du Saint-Empire romain germanique, prit en charge les Juifs, promulguant une charte de privilège pour eux. C’était une décision pragmatique parce que, comme l’explique Bacharach, les Juifs de l’époque étaient «militants, agressifs et puissants» [2].

Une grande partie de leur puissance et de leur richesse provenait de l’usure, qui s’est accélérée au début de la Renaissance. Au moment du quatrième concile de Latran de 1215, le pape Innocent III était prêt à promulguer des canons visant l’usure juive. «Plus les chrétiens sont empêchés de pratiquer l’usure, plus ils sont opprimés en la matière par la fourberie des juifs…» (Canon 67). N’étant pas soumis à des restrictions morales chrétiennes, les Juifs dominaient la finance et les prêts à intérêt, en profitant énormément. Cette situation a provoqué une réprimande de Thomas d’Aquin: «Il vaudrait mieux que la [royauté] oblige les Juifs à travailler pour gagner leur vie… que de leur permettre de vivre dans l’oisiveté et de s’enrichir par l’usure.» [3] C’était toujours un problème pour l’Église 300 ans plus tard, comme Martin Luther se sentait obligé de faire des commentaires critiques, qualifiant les Juifs de « bandits et voleurs » qui profitent « au moyen de leur maudite usure« . [4]

Le monde laïque a également pris note de la richesse et du pouvoir juifs démesurés. Dès 1798, le philosophe allemand Emmanuel Kant pouvait faire cette évaluation surprenante: «la richesse par habitant des Juifs… dépasse apparemment celle de toute autre nation à l’heure actuelle.» [5] En 1823, le poème de Lord Byron «L’âge de Bronze » remarqua le fait que « les juifs contrôlaient tous les États, toutes choses, tous les souverains». En effet: «C’est l’or, et non pas l’acier, qui élève l’arc de triomphe du conquérant.» En 1843, Bruno Bauer écrivait que «Le Juif… détermine le sort de tout l’Empire [autrichien] par sa puissance financière. Le juif… décide du destin de l’Europe. » [6] Et peut-être bien au-delà de l’Europe. Dans un essai de 1860, Ralph Waldo Emerson a remarqué la ténacité juive, provoquée par des années de persécution et de souffrance: «La souffrance qui est l’insigne du Juif, a fait de lui, de nos jours, le chef des dirigeants de la terre . » [7] En 1880, Laurent Oliphant pouvait écrire que les « opérations financières de la plus grande ampleur » sont l’apanage des Juifs. «En raison de l’importance financière, politique et commerciale que les Juifs ont atteint, ils sont devenus un allié indispensable dans tout conflit futur. » [8] Une décennie plus tard, Goldwin Smith a confirmé ce point de vue: «Le judaïsme est désormais [en 1894] la grande puissance financière de l’Europe, c’est-à-dire que le judaïsme est la plus grande puissance de toutes.» [9]

 

C’est à cette époque qu’un journaliste français nommé Edouard Drumont publie un grand livre relativement influent intitulé La France juive (1885). Ici, il a fait une déclaration choquante et franchement incroyable: « Les Juifs possèdent la moitié du capital dans le monde. » Commentant spécifiquement la France, il a noté que la richesse totale de cette nation était d’environ 150 milliards de francs, « dont les Juifs possèdent au moins 80 milliards » – soit un peu plus de la moitié [10]. On est déconcerté par de telles affirmations; «Impossible», dirions-nous. De toute évidence, Drumont s’était trompé. Ou peut-être pas.

Exemple des États-Unis

Prenons la situation actuelle aux États-Unis. 

Sur les 10 Américains les plus riches, cinq (50%) sont juifs: Mark Zuckerberg (72 G $), Larry Page (60 G $), Sergey Brin (59 G $), Larry Ellison (54 G $) et Michael Bloomberg (50 G $). La plupart de cet argent provient de l’industrie de haute technologie: Facebook (Zuckerberg), Oracle (Ellison) et Google (Page et Brin). [11]

Sur les 50 Américains les plus riches, au moins 27 (54%) sont juifs. [12] En plus des cinq ci-dessus, nous avons S. Adelson, S. Ballmer, M. Dell, L. Blavatnik, C. Icahn, D. Moskovitz, D. Bren, R. Murdoch (probablement en partie juive), J. Simons, L. Lauder, E. Schmidt, S. Cohen, C. Ergen, S. Schwarzman, R. Perelman, D. Newhouse, D. Tepper, G. Kaiser, M. Arison, J. Koum, S. Ross et C . Cook.

George Soros

Techniquement, cette liste devrait également inclure George Soros, dont la valeur nette était d’environ 26 milliards de dollars jusqu’à ce qu’il «fasse don» de 18 milliards de dollars à son propre organisme de bienfaisance début 2018. La richesse combinée de ces 27 personnes s’élève à environ 635 milliards de dollars. Remarque: Si les Juifs étaient proportionnellement représentés parmi les 50 premiers, il y aurait UN individu sur cette liste; au lieu de cela, il y en a 27.

Ou prenez une autre mesure de la richesse, le revenu du PDG. [13] 

Parmi les 10 PDG américains les mieux payés, quatre (40%) sont juifs: Leslie Moonves [14] (CBS), Nicholas Howley (TransDigm), Jeff Bewkes (Warner) et Stephen Kaufer (TripAdvisor). Parmi les 35 premiers, pas moins de 19 (54%) sont juifs; en plus des quatre ci-dessus il y a : D. Zaslav, S. Catz, A. Bousbib, R. Iger, M. Rothblatt, S. Wynn, M. Grossman, J. Sapan, B. Jellison, R. Kotick, J. Dimon , L. Fink, B. Roberts, L. Schleifer et S. Adelson.

Ainsi, qu’il s’agisse de l’actif total ou du revenu, les données montrent qu’en Amérique, les Juifs possèdent ou contrôlent en fait environ la moitié de la richesse – du moins parmi l’élite la plus riche. Ces gens sont les moteurs et les secoueurs de notre processus politique, et si la situation politique était perçue par les Juifs comme une crise, le montant d’argent qu’ils verseraient dans le processus politique pour le modifier à leur avantage est presque au-delà de toute compréhension.

 

Donald Trump ose avouer qu’il est le meilleur ami d’Israël.

Tirons une inférence plausible.

Si les Juifs contrôlent environ la moitié de toutes les richesses au sommet, il est raisonnable de déduire qu’ils peuvent détenir une part similaire dans toute la hiérarchie des richesses [15] – au moins parmi, disons, les 20% les plus riches des détenteurs de richesses, qui possèdent collectivement plus de 90% de la richesse des ménages aux États-Unis. En tout cas, ce qui suit est une tentative d’utiliser cette inférence pour estimer la richesse juive totale aux États-Unis.

Alors, combien d’argent cela représente? En 2018, le Wall Street Journal a rapporté que les actifs totaux de tous les ménages privés aux États-Unis atteignaient 100 billions (100 mille milliards soit 10**15) de dollars pour la première fois. [16] Si les Juifs américains en détiennent ou en contrôlent la moitié, cela équivaut à quelque 50 mille milliards de dollars.

Maintenant, cela demande un moment de réflexion. Si les chiffres de Drumont étaient choquants, celui-ci est absolument à couper le souffle. Pensez-y: les Juifs américains possèdent 50 billions de dollars – ou pour ces lecteurs aux prises avec des difficultés numériques, 50.000 milliards de dollars. Si les vrais chiffres sont proches de cela, effectuez cette expérience de pensée: Pensez au pouvoir que possède un homme avec un milliard de dollars; considérons maintenant l’équivalent de 50.000 de ces personnes, travaillant plus ou moins à l’unisson. C’est la puissance financière de la communauté juive américaine.

Prenons un exemple précis. Tom Steyer est typique d’un milliardaire juif intermédiaire, avec un actif net d’à peine 1,5 milliard de dollars. Mais il est exceptionnellement actif sur la scène politique, comme le savent tous ceux qui suivent la politique. Steyer est l’un des principaux donateurs des démocrates et mène la charge nationale pour destituer Trump. En 2018, il a été annoncé qu’il dépenserait 110 millions de dollars «pour redéfinir les démocrates» – à son goût, bien sûr. Cela a fait de lui «la plus grande source d’argent de campagne sur la gauche» et l’a mis sur la route «pour créer tout seul une structure de parti parallèle». Si un milliardaire mineur mais motivé peut le faire, pensez à ce que l’équivalent de 50.000 milliardaires peuvent faire.

Bien sûr, il n’y a pas autant de milliardaires américains. En fait, le nombre total (juifs et non-juifs combinés) a récemment été estimé par Forbes à seulement 585. Si l’analyse ci-dessus est à peu près correcte, environ 290 d’entre eux sont juifs. Leur richesse totale serait alors d’environ 1,5 billion (1,5 mille milliards) de dollars.

Nous pouvons pousser un peu plus loin. Selon la façon dont nous les définissons, il y a environ 6 millions de Juifs américains. CHACUN de ces 6 millions contrôlent donc, en moyenne, 8 millions de dollars, c’est-à-dire que, chaque homme, femme et enfant juifs contrôle 8 millions de dollars. Une famille type de quatre personnes détiendrait ainsi environ 32 millions de dollars. Ceci n’est pas la misère qu’on nous décrit dans les ghettos.

Et puis considérons le «1%» de  juif, qui représente environ 60.000 personnes. Si la même répartition approximative existe entre eux et parmi le grand public, alors ce 1% supérieur détient environ 35% de la richesse juive totale. Ainsi, les 60.000 premiers juifs détiendraient environ 18.000 milliards de dollars. Les 32.000 milliards de dollars restants seraient donc répartis entre les 99% autres juifs, soit 5.940.000 Juifs américains, ce qui rapporterait encore plus de 5 millions de dollars par personne, homme, femme ou enfant juifs. Ce n’est pas non plus la fameuse misère des ghettos dont la littérature goy nous abreuve.

Quelques questions troublantes

À ce stade, toute une série d’autres questions se posent: à part les personnes nommées, qui d’autre tire les ficelles de toute cette richesse? Comme je l’ai dit, les 27 premiers ne représentent qu’un peu plus d’un demi-billion de dollars (500 mille milliards). Les 290 Juifs les plus riches possèdent environ 1,5 billion (1,5 mille milliard) de dollars. Et les 60.000 premiers, environ 18 billions (18 mille milliards) de dollars. Qui sont ces gens? Mis à part la poignée au sommet, pouvons-nous même commencer à savoir qui sont les autres personnalités?

Et sous quelle forme est cette richesse? En espèces? Des stocks? Immobilier? Métaux précieux? (Les Juifs amassent-ils toujours de l’or?) Tout cela à la fois, sans aucun doute. Mais où est cet argent? Quels stocks? Quel immobilier? Étranger ou national?

Et puis les grandes questions: que peut-on faire, le cas échéant, à ce sujet? À première vue, il semble extrêmement injuste que, par exemple, 60.000 juifs américains détiennent environ 18 billions de dollars d’actifs. Surtout quand la moitié inférieure des Américains – environ 160 millions de personnes – possède un total combiné d’environ 0,3 billion de dollars. Et lorsque les 25% d’Américains les plus pauvres – environ 80 millions de personnes – ont une valeur nette négative, c’est-à-dire plus de dettes que d’actifs.

Ce n’est ni par hasard, ni par un accident et ce n’est pas non plus de la malchance.

Le système de distribution de la richesse en Amérique est conçu pour atteindre ce résultat, et les Juifs en tirent un avantage extrêmement disproportionné.

Que pourrait-on faire pour garantir une allocation plus juste de la richesse nationale?

Autrefois, vers 100 après JC, les autorités romaines ont institué un fiscus Judaicus, un «impôt juif», précisément pour compenser le surcoût imposé par les Juifs à la société. Oserions-nous suggérer de rétablir une telle chose? Quelques milliers de milliards de dollars pourraient aider à réparer les torts de la société moderne.

Irréaliste, dites-vous. Peut-être. Mais cela doit commencer quelque part. Quelqu’un doit évoquer ces possibilités sur papier, en public, afin d’entamer la conversation. Des choses plus étranges se sont produites dans le passé. Des choses plus étranges se produiront sûrement à l’avenir.

* * *

NOTES

[1] Voir Kevin MacDonald, Separation and Its Discontents (Chapter 3) La séparation et ses mécontents (chapitre 3) pour un compte rendu de la richesse et du pouvoir juifs au IVe siècle et en particulier la préoccupation des Juifs qui asservissent les non-Juifs.

[2] Première politique juive médiévale et Europe occidentale (1977), p. 104.

[3] De regimine judaeorum, 81-88.

[4] Sur les Juifs et leurs mensonges, p. 242.

[5] Anthropologie (1798/1978), p. 102.

[6] Cité dans Marx, «Sur la question juive», The Marx-Engels Reader, 1978, p. 49.

[7] “Fate”, dans Conduct of Life (1860).

[8] The Land of Gilead  (1880), p. 503.

[9] Essais sur les questions du jour (1894), p. 260.

[10] Dans Le juif dans le monde moderne (Mendes-Flohr et Reinharz, éd.), 2011, p. 315.

[11] Certains prétendent que l’homme célibataire le plus riche, Jeff Bezos d’Amazon (156 milliards de dollars), est entièrement ou partiellement juif, bien que cela ne semble pas étayé. Mais Amazon semble défendre régulièrement les intérêts juifs, comme dans sa censure des livres qui contestent le récit de l’Holocauste, et dans son blocus illégal de traductions alternatives de Mein Kampf. Et il a retenu les services du rédacteur en chef juif Martin Baron lorsqu’il a acheté le Washington Post.

[12] Données de Bloomberg Billionaires Index, consultées en août 2018.

[13] Selon le New York Times (25 mai 2018).

[14] Moonves a bien sûr été licencié depuis pour des plaintes de harcèlement sexuel contre lui.

[15] Il existe des preuves que le pourcentage juif diminue lorsque nous considérons le plus large réservoir de richesse. En 2009, Steve Sailer estimait que, sur les 400 Américains les plus riches, environ un tiers étaient juifs. Mais il s’agit d’une analyse vieille de 10 ans, et je n’ai connaissance d’aucune évaluation plus récente. En fait, la proportion de Juifs riches pourrait bien avoir augmenté depuis lors.

[16] https://www.wsj.com/articles/u-s-net-worth-surpasses-100-trillion-1528387386

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Source : A Brief Look at Jewish Wealth

Par Thomas Dalton, PhD, auteur / éditeur de nombreux livres et articles relatifs aux intérêts blancs, au national-socialisme, à l’antijudaïsme et au révisionnisme de l’Holocauste. www.thomasdaltonphd.com..

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