La Gigantesque Arnaque du COVID-19:Les animaux malades de la peste / politique du bouc émissaire au Québec [et ailleurs]

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom),
Capable d’enrichir en un jour l’Achéron, [1]
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés

– Jean de La Fontaine

 

Le covid 19 c’est, bel et bien, ce mal inventé par les marchés financiers afin de punir un prolétariat par trop populeux et qui ne sert plus à rien dans un contexte où l’économie réelle est moribonde en Occident. Tous frappés par ce fléau difficile à circonscrire, pas vraiment mortel en définitive, les anciens consommateurs sont pris d’un accès de panique et ne savent plus à quel saint se vouer. Joggant sur la voie publique tels des volatiles sans têtes, nos concitoyens réclament une voie de sortie qui, l’espèrent-ils, leur permettra de renouer avec leurs bonnes vieilles habitudes.

Mais, la peste de DAVOS est coriace et ses innombrables variants – véritables surgeons d’un mal qui sévit malgré les médecines de cheval qui nous sont administrées – font leur apparition le temps d’une saison, comme autant de modes éphémères qui dictent les tenues de circonstance. La muselière est de mise en toutes circonstances, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, par beau temps ou tempête de verglas, complément obligé d’une tenue élégante ou négligée. Et, le téléphone intelligent, accessoire indispensable, représente la laisse qui permet aux appariteurs sadiques de cette habile mise en scène de faire danser les consommateurs sur les musiques de l’heure.

 

Les maîtres chanteurs

Les marchés financiers qui façonnent de nouveaux produits spéculatifs représentent les maîtres chanteurs d’un système économique qui ne peut plus fonctionner qu’à partir de la coercition et de la terreur instillées par nos gouvernements qui n’en sont que les relais obligés. Les immenses fonds de pension à la BLACKROCK [2] – après avoir détourné le fruit du labeur de la génération du boom de l’après-guerre – ont décidé d’investir du côté de BIG PHARMA, dans un contexte où cette fausse pandémie représente une chance inespérée de faire d’une pierre, plusieurs coups … en effet, les gouvernements, tout en étant saignés à blanc par l’ARN MESSAGER, se disent qu’il faut bien que cette panacée serve à quelque chose. Alors, on vaticine et vaccine à tout va. Après que la Fondation Rockefeller a étudié divers scénarios de pandémies, après que le Seigneur de DAVOS a annoncé la venue d’une grande réinitialisation censée nous délivrer de nous-même, et que l’Organisation Mondiale de la Santé s’est perdue en conjectures à propos d’une flopée de variants préalablement baptisés par des gnostiques déjantés, le champ de bataille était libre pour une mise en quarantaine définitive de nos sociétés décadentes.

Sésame, ouvre-toi !

Le PASS SANITAIRE ou VACCINAL, véritable prélude à un contrôle biométrique complet du bétail humain, permet de faire en sorte que les brebis galeuses ne puissent pas être tentées de contaminer l’eau de la mangeoire commune. À l’instar de cette fable des Animaux malades de la peste, les consommateurs sevrés par cette crise sanitaire orchestrée sentent qu’il faudra bien sacrifier quelques-uns parmi les marginaux qui refusent de se conformer aux diktats de l’heure. C’est ici que la théorie du bouc émissaire, complément indispensable des stratégies de triangulation de l’ingénierie sociale, fait son entrée en scène de manière magistrale. Puisque dans une triangulation réussie il faut bien qu’une victime expiatoire tienne lieu de médiation entre les captifs et leurs bourreaux. Pétries d’un christianisme couvant sous les braises, bien que décharné, nos sociétés ont cherché à se délester de leurs responsabilités en sacrifiant des boucs émissaires.

Crier haro sur le baudet

Ainsi, incapables de justifier l’inoculation d’un poison qui ne protège pas vraiment des séquelles de cette flopées de variants créés en laboratoire, ne trouvant pas les mots afin d’expliquer pourquoi il faut imposer un nouveau couvre-feu à partir du temps des fêtes et en quoi la destruction de nos liens filiaux nous protègerait-elle contre ce prétendu fléau, nos bourreaux s’en remettent aux non-injectés et à tous ceux qui refusent de se plier aux injonctions de cette tyrannie techno-médicale.

Le Lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux ;
Peut-être il obtiendra la guérison commune. »

 – Jean de La Fontaine

Ne plus couper les cheveux en quatre

Et, dans un contexte où les « non-vaccinés » pourraient bien représenter un groupe témoin gênant, il devient urgent de les isoler afin de les contraindre à se plier aux exigences du sacrifice collectif qui nous est proposé. Quitte à faire crever les plus irréductibles dans les meilleurs délais, puisqu’il y a péril en la demeure à l’heure où nos sadiques tortionnaires ambitionnent d’implémenter un système de contrôle biométrique sanitaire et sociétal de manière permanente. Il faut donc aller au plus pressant et cesser, séance tenante, de tergiverser sur une question qui a déjà été tranchée des lustres avant le signal de départ de ce véritable coup d’état néofasciste.

Les entités maléfiques qui ont pris le contrôle du Parlement du Québec (en France et ailleurs) ne coupent plus les cheveux en quatre puisque leurs commanditaires de l’industrie pharmaceutique et du Forum économique mondial de Davos réclament des mesures plus musclées et expéditives avant la venue du printemps. Le bon peuple étant manifestement excédé par tous ces excès de zèle, réalisant que l’économie est sur le point de rendre l’âme et que les effets secondaires de la potion magique épuisent une masse grandissante parmi les animaux conformes, [3] il faut faire vite avant que la coupe ne déborde.

Chez nous, au Québec, les responsables de ce carnage socioéconomique sont littéralement pris d’une rage indescriptible. Il faut faire vite et bien. Et, surtout pas dans la dentelle. Alors, les brebis galeuses, non-conformes, n’ayant plus accès à aucune forme de divertissement, ne pouvant plus entrer dans les musées et autres édifices publics, ne pouvant plus se restaurer ou festoyer avec les autres animaux, et, après s’être fait mettre à l’écart par les membres de leurs familles respectives, devront payer un pactole pour être admis à l’hôpital et la JUNTE aux manettes a même tenté, à l’instar de la province du Nouveau Brunswick, de les priver de nourriture en forçant les distributeurs alimentaires à imposer le sésame sanitaire. Heureusement, jusqu’à nouvel ordre, les petits commerçants et les grandes chaînes ont refusé d’obtempérer [4]. Et, alors que près d’un million de Québécois vivent comme des chiens, en ne sachant pas ce que DEMAIN leur réservera, une flopée de chroniqueurs stipendiés par le grand capital réclame que des sanctions à la hauteur du crime tombent. Il faut anéantir ceux et celles qui osent toujours défier les injonctions de nos maîtres véritables. Dans ces conditions, on comprend facilement l’empressement des psychopathes de service au Parlement de Québec. On ne sait jamais ce qui pourrait advenir si, d’office, une plainte pour CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ, finissait par être traitée en bonne et due forme à la Cour internationale de Justice.

L’Âne vint à son tour, et dit : « J’ai souvenance
Qu’en un pré de moines passant,
La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net. »
À ces mots, on cria haro sur le baudet.

 – Jean de La Fontaine

Patrice-Hans Perrier
Source Le Saker Francophone


NOTES

1-Les charognards se gaventPfizer, BioNtech et Moderna réalisent un bénéfice de 1.000 dollars par seconde.

L’arnaque Covid a décidément fait beaucoup d’heureux aux côtés des centaines de milliers de morts et des millions d’éclopés, et cela ne pourra que s’accentuer, avec les booster 3, puis 4, puis ad vitam aeternam.

Selon People’s Vaccine Alliance, chaque seconde, Pfizer, BioNtech et Moderna réalisent un bénéfice de 1.000 dollars. Cette manne représente, pour l’année en cours, un bénéfice avant impôts estimé à 34 milliards de dollars, soit 65.000 par minute ou 93,5 millions de dollars par jour,. 

Comparons ce montant, gagné chaque seconde par les trois larrons pharmaceutiques,  au salaire moyen annuel en France, dans le monde, dans l’UE et en Afrique, on obtient :

  France Monde UE Afrique
Salaire annuel moyen en k$ 46,5 9,5 28,8 1,3
1,4 6,8 2,3 50,0

Cela veut dire que les trois mousquetaires de Big Pharma gagnent en une minute, 1,4 fois le salaire annuel d’un Français, 2,3 fois celui d’un Européen (UE) et 50 fois celui d’un Africain

Ces trois fabricants ont  aussi perçu plus de 8 milliards de dollars d’aides publiques américaines pour développer leurs vaccins tueurs et invalidants.

Par ailleurs, selon une étude commandée par le groupe de La Gauche au Parlement européen, la taxation des multinationales qui ont enregistré des bénéfices exceptionnels pendant la pandémie, pourrait rapporter 25 milliards d’euros à l’Union européenne, dont 5,6 milliards à la France. De quoi répondre aux besoins en hôpitaux ou en personnels de santé.

On n’est jamais mieux servi que par … les siens

Premier exemple
Ce mercredi 1er décembre, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré en conférence de presse que le temps était venu de réfléchir à l’option d’une vaccination obligatoire.  Elle a donc déclaré qu’il était temps de créer des plans COVID destinés à obliger TOUS les états européens à vacciner (3 doses et plus) les 445 millions d’Européens.

Ursula von der Leyen est la femme du directeur d’un fabricant de vaccins Covid ARNm.  Son mari, Heiko von der Leyen est le directeur médical de Orgenesis, une société américaine de biotechnologie spécialisée dans les « vaccins à base de cellules » et de thérapies de géniques, qui se proclame fièrement « l’Uber de l’espace de thérapie cellulaire et génique« .

Il a occupé ce poste depuis le 20 septembre et a servi sur son comité consultatif scientifique depuis 2019.

Deuxième exemple. En Russie…aussi

Tatyana Golikova, commissaire de Covid de Russie a travaillé sans relâche pour imposer les passeports vaccinaux. Bien sûr, cela n’a rien à voir avec le fait que son beau-fils Vladimir Khristenko fabrique le vaccin Kovivak (approuvé pour une utilisation depuis le 2021).

La population de la Fédération de Russie est de 145,9 millions de personnes, il y a donc des milliards à glaner.

Le vaccin KoviVac est produit la société Nanolek. L’un des fondateurs, ainsi que le président de Nanolek, est le beau-fils Tatyana Golikova, cheffe du siège de la lutte contre le coronavirus.

La conclusion de tout cela est simple : la vaccination, rendue quasi obligatoire en Russie, rapporte des revenus colossaux à un groupe de personnes bien spécifique.

Il est difficile de croire qu’en promettant 189 milliards de roubles pour la vaccination des Russes, le gouvernement n’a pas calculé à qui iront ces fonds.

2-Seules DEUX sociétés, Vanguard et BlackRock, contrôlent la planète, alors que les 1 % les plus riches du monde possèdent 82 % de la richesse mondiale

 

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres.
Cela signifie que des marques « concurrentes », comme Coke et Pepsi, ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds de placement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. C’est le cas dans toutes les industries.
Les petits investisseurs sont détenus par de plus gros investisseurs. Ceux-ci sont détenus par des investisseurs encore plus grands. Le sommet visible de cette pyramide ne comporte que deux sociétés dont nous avons souvent vu le nom…

Ce sont Vanguard et BlackRock.

3-Pandémie Vaccinale. Les personnes ayant reçu un vaccin Covid-19 représentent 70% des décès toutes causes confondues au cours des 6 premiers mois de 2021, 20% survenant dans les 21 jours suivant la vaccination
4-La situation est pire en Tunisie, dans laquelle un gouvernement fantoche [i.e. soumis aux oukases de ceux qui décident OMS, Big Pharma, Empire anglo-sioniste, …] , seuls le petits commerces sont accessibles aux pestiférés (i.e. sans pass nasitaire). Les grandes surfaces ont été les premières à exiger le pass de la honte.

N’OUBLIEZ PAS DE VISITER LA BOUTIQUE EN LIGNE DE VOTRE SITE WEB FAVORI

Sur ce lien:Vintage par Michel

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.