La Gigantesque Arnaque du COVID 19:« La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Ce que nous vivons depuis 1 an est un crime contre l’humanité, que personne n’en doute. Cette opération est planifiée par les « élites » depuis des années. Et si malgré toutes les preuves que nous, journalistes indépendants et lanceurs d’alerte , apportons chaque jour, il subsiste encore un doute dans l’esprit de certains, je veux vous en fournir une autre indiscutable puisqu’elle figure en toutes lettres dans un livre de Michel Salomon paru en 1981.
Jugez par vous-mêmes…
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Jacques Attali, 1981, alors conseiller de François Mitterrand, dans un livre d’entretiens de Michel Salomon, déclarait ceci :

« À l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société.

Ensuite les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides. Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure.

On ne pourra bien sûr pas exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien.

La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux. Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.

On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien !

Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution.

La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

[ L’avenir de la vie – Jacques Attali, 1981 ]
Entretiens avec Michel Salomon, collection Les Visages de l’avenir, éditions Seghers.

Source

Ce raisonnement a une faiblesse, ceux qui ne font pas partie du troupeau et qui sont très nombreux et déterminés, le temps joue pour eux… La vaccination est déjà morte et l’imposition d’une identité numérique aussi… Le procès suivra…

Malheureusement, Attali n’a pas tort : en ces sinistres moments, autour de moi, famille et voisins, ce sont les plus perméables à TF1, Arte, M6, BFM-WC, … qui se précipitent le plus pour se faire zombifier…H. Genséric

En 1967 Brzezinski présente son fameux livre sur la société technétronique. Lui non plus ne se paie pas de mots, certain qu’il est de n’être dénoncé que par les plus lucides vite redéfinis théoriciens du complot ! Et il écrit le bougre :

Une autre menace, moins manifeste mais non moins fondamentale, est celle de la démocratie libérale. Plus directement liée à l’impact de la technologie, elle implique l’apparition progressive d’une société plus contrôlée et dirigée. Une telle société serait dominée par une élite dont la prétention au pouvoir politique reposerait sur un savoir-faire scientifique prétendument supérieur. Libérée des contraintes des valeurs libérales traditionnelles, cette élite n’hésiterait pas à atteindre ses objectifs politiques en utilisant les dernières techniques modernes pour influencer le comportement public et maintenir la société sous étroite surveillance et contrôle.

Prince Philip. La mort d’un psychopathe :

En août 1997 il déclare : « Nous devons abattre la population en surplus« .

En décembre 1988, il déclare :

« Dans le cas où je suis réincarné, j’aimerais revenir en virus mortel,

afin de contribuer à résoudre la surpopulation« .

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Le prince Philip, peut-être le membre le plus proche des juifs et des causes juives au sein de la famille royale britannique, est décédé à 99 ans, deux mois après que lui et la reine Elizabeth auraient reçu leurs vaccinations COVID.
En 1994, Philip a été le premier royal britannique à se rendre en Israël, lorsqu’il a accepté la reconnaissance de sa mère par Yad Vashem et a visité son lieu de sépulture au Mont des Oliviers à Jérusalem.
Cette visite de 1994 a rompu avec ce qui était alors une interdiction non officielle mais néanmoins contraignante pour les membres de la famille royale de se rendre en Israël, qui avait été appliquée à la suite de la violence des terroristes sionistes contre des cibles britanniques dans les années qui ont précédé la création de l’État d’Israël dans ce qui était avant 1948 le mandat britannique sur la Palestine.

La reine Elizabeth et le prince Philip auraient reçu leurs vaccins COVID en janvier – mais il est difficile de croire qu’ils se soumettraient réellement à ce vaccin dangereux et non testé étant donné qu’il avait déjà tué un certain nombre de personnes lors des premiers tests de phase 3.

Et comme ses copains eugénistes juifs Henry Kissinger et Bill Gates, le prince Philip était pleinement d’accord avec les programmes visant à lancer le dépeuplement mondial – et a déclaré une fois tristement célèbre : « Si j’étais réincarné, je souhaiterais être renvoyé sur terre en tant que virus tueur pour abaisser les niveaux de population humaine. »

Eh bien, le prétendu virus COVID-19 est apparu avant la mort de Philip, nous pouvons donc supposer que le prince ne s’est pas réincarné sous la forme du «virus tueur» de ses rêves. Mais ce serait certainement un bel exemple de justice que Philippe lui-même soit devenu victime de son propre désir de réduire la population mondiale.

Mais si le dépeuplement mondial est en effet un désir pour l’élite, en majorité juive, la plus puissante et la plus riche du monde (alors que les juifs comptent 15 millions d’individus, soit à peine 0,2% de la population mondiale), alors pourquoi font-ils la promotion de ces vaccins qui entraîneraient une croissance encore plus importante de la population mondiale? Apparemment, Bill Gates a résolu cette apparente énigme : la «solution finale» au problème de la surpopulation dans le monde sera les vaccins – selon ses propres mots: vidéo

 

Il a multiplié les saillies racistes et misogynes

Père défaillant, multipliant les virées autour du monde avec ses potes, il détonne comparé au politiquement correct très millimétré observé par sa femme. «Si vous restez trop longtemps ici, vous allez avoir les yeux bridés», lance-t-il à un étudiant britannique lors d’une visite en Chine en 1986. «Ça ressemble aux dessins de ma fille», analyse-t-il à propos d’une expo de dessins primitifs éthiopiens en 1965. Dans les années 1990-2000, il est devenu une des figures centrales des Guignols de l’info britanniques, qui l’avaient transformé en pilier de bar.

Un agent du MI5 « J’ai tué la princesse DIANA sur l’ordre du Prince Philip »

John Hopkins, un agent retraité de MI5 de 80 ans, a fait une série de confessions étonnantes depuis sa sortie d’hôpital à Londres mercredi, dans lequel on lui a dit qu’il lui restait quelques semaines à vivre. Hopkins déclare avoir été un tueur du MI5, impliqué dans 23 assassinats pour l’agence de renseignement britannique entre 1973 et 1999, y compris la princesse Diana.

Le décès brutal de la princesse Lady Diana, le 31 août 1997 dans un accident de voiture sous le pont de l’Alma à Paris, a suscité de nombreuses rumeurs. Certaines ont fait surface plusieurs années après le drame. C’est le cas de celle lancée par Mohammed Al-Fayed, le père de Dodi Al-Fayed, amant de la princesse de Galles, également décédé lors de l’accident. Selon lui, la famille royale, notamment le prince Philip, était à l’origine de leurs morts, comme l’explique un article du Guardian, publié le 18 février 2018.

Pendant plusieurs années, l’ancien propriétaire de Harrods, a soutenu que Lady Di et son fils avaient été assassinés par le MI6, les services de renseignements extérieurs britanniques sous l’ordre du prince Philip, l’époux de la Reine Elizabeth II et père du prince Charles, l’ex-mari de la princesse. D’après lui, le couple avait pour projet de se fiancer et la princesse lui avait fait part d’une supposée grossesse, juste avant le drame. Une union qui déplaisait fortement la famille royale qui aurait alors mis en place ce guet-apens, selon ses dires. “Elle ne pouvait accepter qu’un musulman égyptien devienne le beau-père du futur roi d’Angleterre », relayait Le Figaro dans un article paru le 19 août 2013.

Selon le site yournewswire.com, M. Hopkins, qui a travaillé pour M15 pendant 38 ans en tant qu’opérateur, prétend qu’il a été souvent utilisé comme tueur à gages par l’agence, pour assassiner discrètement des individus considérés comme une menace pour la sécurité intérieure du Royaume-Uni.

Formé à la fois comme ingénieur en mécanique et expert en munitions, M. Hopkins affirme avoir une vaste expérience de méthodes moins conventionnelles pour infliger la mort et la destruction, y compris par les produits chimiques et les poisons.

L’homme britannique de 80 ans déclare  qu’il a été impliqué dans des assassinats du MI5 entre juin 1973 et décembre 1999, pendant laquelle « le MI5 s’occupait peu de surveillance externe ».
Hopkins dit qu’il faisait partie d’une cellule de sept agents qui étaient chargés d’exécuter des assassinats politiques à travers le Royaume-Uni. La plupart des victimes étaient des politiciens, des militants, des journalistes et des dirigeants syndicaux.

  1. Hopkins dit que la princesse Diana est unique parmi ses victimes, car elle est la seule femme qu’il n’ait jamais assassinée, ainsi que la seule de rang royal.Elle est également la seule victime que la famille royale elle-même a ordonné d’éliminer.

[Interdit dans le monde entier: Documentaire sur la Princesse Diana ‘Killing illégal « . À voir.]

Il prétend se sentir « ambivalent » au sujet de la mort de la princesse Diana. D’une part, Diana était «une belle femme de bon cœur» qui ne méritait pas cette mort.  
Mais selon M. Hopkins, elle mettait également en danger la Couronne britannique:

« La famille royale avait la preuve qu’elle envisageait de divorcer de Charles. Elle connaissait trop de secrets royaux. Elle avait une énorme rancune et elle allait déballer en public toutes sortes de revendications sauvages. Mon patron m’a dit qu’elle devait mourir. Il en avait reçu l’ordre directement du prince Philip , et nous devions faire ressembler à un accident. Je n’avais jamais tué une femme avant, encore moins une princesse, mais j’ai obéi aux ordres. Je l’ai fait pour la reine et le pays. « 

L’étape suivante de la conspiration de haut niveau impliquait les médias, sous le contrôle serré du palais, en se parlant les uns aux autres afin de “bien ficeler leurs histoires, s’assurer que tout le monde était sur la même page. C’était une opération bien gérée. « 

« Les journalistes britanniques répondent tous aux rédacteurs qui répondent aux oligarques qui veulent être tous des chevaliers de la famille criminelle du palais de Buckingham. Il n’y a pas de presse libre en Grande-Bretagne , a déclaré M. Hopkins.

« Nous avons échappé aux conséquences de ce meurtre. »
L’homme de 80 ans, qui a passé ses dernières semaines à la maison, a déclaré qu’il s’attendait à être placé en garde à vue suite à ses aveux, mais dit: «Je ne peux pas dire que cela me préoccupe énormément.» Hopkins a expliqué que toute enquête sur l’affaire «prendrait une éternité» et serait «très compliquée» car il y a peu d’enregistrements écrits autour des activités secrètes du MI5 et «la plupart de mes collègues sont déjà morts».

Le témoin le plus important dans l’affaire, le chef de M. Hopkin, est mort d’une crise cardiaque au début des années 2000 et le commanditaire, le prince Philip, « ne sera jamais accusé de quoi que ce soit, bien sûr« 

« Si jamais le prince Philip se laisse  analyser par un psychiatre, je suis sûr qu’il serait diagnostiqué comme psychopathe. Il a tous les traits sombres de la triade. « 

Interrogé sur la raison pour laquelle il n’a pas refusé le travail ou exposé l’intrigue à l’époque, il a expliqué que “les agents du MI5 jurent l’allégeance envers la Couronne, nous ne pouvons être impartiaux en ce qui concerne la famille royale. Au mieux, j’aurais été accusé de trahison, et au pire, Philip aurait conçu un sort horrible pour moi.”.


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