Disparition de Jimi Hendrix le 18/09/70 – Retour sur une mort suspecte

 

Déclaration de James Marshall Hendrix à propos de son interprétation de l’hymne étatsunien The Star Spangled Banner à Woodstock en 1969 en pleine guerre du Vietnam :

« On ne cherche pas à dénigrer les États-Unis. On reflète l’ambiance des États-Unis aujourd’hui. C’est un peu électrique ».

Jimi Hendrix considéré comme un élément subversif, proche des (ou instrumentalisé par les) Black Panthers, militant antiguerre et fiché par le FBI (Cointelpro[1]a été retrouvé suicidé le 18 septembre 1970 à Londres. Il fut kidnappé peu avant sa mort par la mafia (puis relâché) sous la supervision d’un de ses agents, Michael Jeffrey, lié au MI6.

 

En 1969, Jimi Hendrix subit la pression politique des autorités étatsniennes en pleine guerre du Vietnam qui lui reprochent son interprétation de Star Spangled Banner lors du concert de Woodstock

 

Jimi Hendrix : la thèse de l’assassinat relancée

…Si cette nouvelle version peut surprendre, elle vient tout de même corroborer certains doutes qui planaient déjà autour de la mort du virtuose de la guitare électrique. D’abord, le témoignage de la fameuse Monika, qui, selon les enquêteurs, est toujours restée très évasive sur cette fameuse nuit du 18 septembre 1970. Et qui, de surcroît, était absente au moment où l’ambulance est arrivée. Mais aujourd’hui, impossible d’en savoir plus sur elle : l’ancienne petite-amie du chanteur s’est donnée la mort en 1996.

Plus troublant encore, le récit de John Bannister, le chirurgien qui a tenté de sauver Jimi Hendrix à son arrivée à l’hôpital. Ce dernier a toujours trouvé étrange que le taux d’alcool dans son sang ne soit pas compatible avec la quantité de vin retrouvée dans son estomac lors de l’autopsie.

Reste qu’en 2000, déjà, la journaliste Alex Constantine racontait dans un livre, « The covert war against rock », la même version que James Tappy Wright. Selon elle, le manager du chanteur aurait confié au producteur Alain Douglas être « impliqué » dans la mort de Jimi Hendrix, deux jours seulement après sa mort…

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[1] Cointelpro était un programme du FBI (de 1956 à 1971) visant à « discréditer, surveiller, neutraliser » les dissidents aux Etats-Unis notamment les individus ou les organisations jugées dangereuses qu’elles soient violentes ou pacifiques. Selon l’historien Ward Churchill, 27 Black Panthers furent ainsi assassinés entre 1968 et 1976 ainsi que 69 membres de l’American Indian Movement (AIM). Hendrix était fiché par le FBI, voir les documents du FBI sur la surveillance de la star du rock psychédélique et la vidéo plus bas sur le programme du FBI et du Cointelpro ainsi que l’implication de son manager Mike Jeffery, membre du MI6).

source : http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com

 

 

 

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