Les marxistes de Black Lives Matter rejouent encore le scénario bien rôdé

 

Kenosha et Jacob Blake, retenez ces noms. Bientôt ils risquent d’être aussi connus que ceux de Minneapolis et de George Floyd. Le même scénario est joué par les marxistes de Black Lives Matter: les policiers blancs, une “victime” noire, des émeutes qui mettent le pays à feu et à sang.

Les voitures brûlés par Black Lives Matter
Les voitures brûlés par Black Lives Matter

Les émeutes ont éclaté après qu’un Noir a reçu plusieurs balles dans le dos alors que la police essayait de l’empêcher de monter dans sa voiture dimanche après-midi. La victime, identifiée comme étant Jacob Blake, âgé de 29 ans, a été transportée par avion à l’hôpital dans un état grave.

La version larmoyante de l’incident, propagée par les médias, affirme que l’homme avait essayé de mettre fin à une dispute entre deux femmes. C’est alors que les policiers l’avaient tasé et lui ont tiré dans le dos. On ne sait rien de la version des policiers.

Pendant deux nuits consécutives, les émeutiers ont retourné la ville de Kenosha, dans le Wisconsin, en incendiant des bâtiments et en affrontant les forces de l’ordre.

Au mépris du couvre-feu de 20 heures, la foule a incendié un magasin de meubles, un bâtiment qui abrite le département correctionnel du Wisconsin et des dizaines de voitures chez un concessionnaire local.

Plus tôt dans la nuit, des manifestants ont affronté la police en tenue antiémeute devant le palais de justice du comté de Kenosha.

Des images mises en ligne ont montré des manifestants en train de jeter des objets, y compris des bouteilles, sur la police qui a utilisé des gaz lacrymogènes pour tenter de disperser la foule.

Les images impressionnantes qui circulent sur les réseaux sociaux montrent des voitures calcinées, des commerces incendiées, ainsi qu’un assaut contre le poste de police local, lorsque les émeutiers allumaient des feux.

Les vidéos des troubles postées sur les réseaux sociaux montrent des manifestants essayant de défoncer des fenêtres du quartier général de la police locale. On y voit un policier tomber au sol après avoir été reçu une brique sur la tête, tandis que les manifestants mettent le feu à des camions et bennes à ordures.

Une photo montre un commerce vandalisé dans la petite ville, et une autre montre une femme debout à côté d’une voiture incendiée tenant un panneau sur lequel on peut lire “Dieu + Loi + Ordre”, avec un drapeau américain et une église visible à l’arrière-plan.

Les protestations ont été déclenchées après qu’une vidéo virale ait montré un policier blanc tirant plusieurs fois dans le dos de Blake alors qu’il cherchait à monter dans son véhicule le dimanche.

Voici d’ailleurs la fameuse vidéo sauvegardée sur notre site:

 

 


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LA MENACE COMMUNISTE DE BLACK LIVES MATTER

Aura-t-on le droit à un remake de “l’affaire George Floyd” qui depuis des mois sert de prétexte aux émeutiers gauchistes pour mettre le feu à l’Amérique? Une vidéo mise en ligne dimanche montre des policiers de Kenosha, dans le Wisconsin, en train de tirer sur un homme noir alors qu’il monte dans une voiture.

Les images qui circulent sur les réseaux sociaux montrent deux policiers armés qui suivent un homme alors qu’il se dirige vers une camionnette grise et ouvre la porte du côté conducteur.

L’un des policiers l’attrape alors par l’arrière de son débardeur et semble le descendre à bout portant. On entend des coups de feu, suivis d’un bruit de klaxon de voiture et de cris de badauds.

Le département de la police de Kenosha a déclaré dans un communiqué que les policiers intervenaient sur un incident domestique vers 17h10 alors qu’ils étaient “impliqués dans une fusillade impliquant un policier“.

La victime, identifiée comme étant Jacob Blake, un Noir âgé de 29 ans, a été transportée par avion à l’hôpital dans un état grave.

La version larmoyante de l’incident est déjà propagée par les médias. Un membre de la famille de la victime a déclaré que les enfants de Blake étaient dans le véhicule lorsque les policiers ont tiré.

Les médias rapportent aussi quelques témoignages selon lesquels l’homme avait essayé de mettre fin à une dispute entre deux femmes. Ils ont dit que les flics l’avaient tasé et qu’ils avaient entendu sept coups de feu retentir. On ne sait rien de la version des policiers.

Une foule s’est rassemblée sur le lieu de la fusillade plus tard dimanche et une  émeute rituelle a été déclenché avec des personnes qui ont vandalisé des voitures et cassé des fenêtres.

Le gouverneur gauchiste du Wisconsin, Tony Evers, a fait une déclaration dimanche soir en faveur de la victime et contre la police. “Jacob Blake a été touché de plusieurs balles dans le dos, en plein jour“, a tweeté Evers. “Nous nous joignons à sa famille, ses amis et ses voisins en espérant sincèrement qu’il ne succombera pas à ses blessures.”

Le gouverneur en a profité pour exprimer son allégeance au mouvement Black Lives Matter et a appelé à la responsabilité alors que les troubles commençaient à secouer Kenosha.

Nous sommes aux côtés de tous ceux qui ont réclamé et continuent de réclamer la justice, l’équité et la responsabilité pour les vies noires dans notre pays, comme celles de George Floyd, de Breonna Taylor, de Tony Robinson, de Dontre Hamilton, d’Ernest Lacy et de Sylville Smith“, a-t-il écrit.

Dans les jours à venir, nous ne demanderons que cela aux élus de notre État qui n’ont pas reconnu le racisme dans notre État et notre pays depuis bien trop longtemps“, a-t-il écrit. Une lâche tentative de profiter d’une tragédie pour faire du chantage moral à ses adversaires politiques qui tiennent bon contre l’agenda marxiste du mouvement subversif BLM.


la famille de Jacob Blake appelle à des manifestations pacifiques

Le père de Jacob Blake lors d’une conférence de presse à Kenosha

« Ils ont tiré sur mon fils sept fois, sept fois, comme s’il n’avait pas d’importance », a déclaré le père de Blake, également nommé Jacob Blake. « Mais mon fils compte. C’est un être humain et il compte. »

Le père de la victime, accompagné des avocats de la famille, s’est exprimé mardi sur le drame vécu par la famille et a appelé à des manifestations pacifiques.

Il a ainsi rejoint le gouverneur du Wisconsin, Tony Evers, qui fait l’objet de pressions de la part des républicains pour sa gestion des troubles après la fusillade.

«Nous ne pouvons pas permettre au cycle du racisme systémique et de l’injustice de se poursuivre», a-t-il déclaré. «Nous ne pouvons pas non plus continuer sur cette voie de dégâts et de destruction», a-t-il ajouté.

Un camion municipal a été incendié par les émeutiers la nuit du lundi à mardi

La situation est toujours tendue à Kenosha, qui a connu deux nuits d’affrontements après que la police a tiré plusieurs coups de feu dans le dos de Jacob Blake, un Afro-Américain de 29 ans, qui est actuellement paralysé à partir de la taille.

L’avocat de la famille, Ben Crump, a déclaré mardi qu’il « faudrait un miracle » pour que Jacob Blake, père de six enfants, marche à nouveau.

Un autre avocat de la famille a annoncé qu’une action civile allait être intentée contre le service de police pour la fusillade.

De son côté, la police n’a pas donné de détails sur ce qui s’est passé hormis le fait qu’elle a répondu à un appel faisant état d’un conflit familial.

Pour sa part, le ministère de la Justice du Wisconsin enquête sur les circonstances de la fusillade.

Transporté d’urgence à l’hôpital dimanche, Jacob Blake se trouve dans un état stable après avoir subi une intervention chirurgicale.

Après George Floyd, Jacob Blake

La nouvelle apparente bavure policière est survenue environ trois mois après la mort de George Floyd, un Noir âgé de 46 ans, lors de son arrestation par la police de Minneapolis, provoquant de vastes manifestations contre les violences policières et les discriminations raciales aux États-Unis.

L’incident survenu dimanche a ainsi ravivé des braises encore fumantes. En raison des débordements, un couvre-feu avait été décrété à partir de 20 h pour la nuit de lundi à mardi, à Kenosha, une ville située sur la rive du lac Michigan, à 65 km au sud de Milwaukee.

 

Des bâtiments gouvernementaux, des boutiques et une partie de l’inventaire de concessionnaires automobiles ont été incendiés

Une heure après son entrée en vigueur, peu après la tombée de la nuit, les manifestants – présents en grand nombre – ont été la cible de tirs de gaz lacrymogène. Les policiers ont aussi eu recours aux balles de caoutchouc.

Les protestataires ont répliqué en leur lançant des bouteilles et quelques feux d’artifice. «Pas de justice, pas de paix!» scandaient environ un millier de manifestants rassemblés devant le tribunal.

Un peu plus tard, plusieurs camions de la Garde nationale ont été aperçus près du centre-ville, à proximité du tribunal et du bâtiment de la sûreté publique.

Plusieurs immeubles ont néanmoins été incendiés, particulièrement dans un secteur commercial où la majorité des entrepreneurs sont noirs. Des bâtiments gouvernementaux et des concessionnaires automobiles ont aussi été la proie des flammes.

Au moins un homme a été blessé à la tête.

Des manifestants ont de nouveau confronté les policiers lundi soir.

Des renforts pour la police locale

Les autorités du comté de Kenosha ont indiqué mardi avoir réclamé l’assistance des corps de police fédéraux, comme le US Marshals Service.

«Notre ville a pratiquement été réduite en cendres, immeuble après immeuble», a déploré Zach Rodriguez, un des superviseurs du comté. «Assez, c’est assez.»

Lundi, le gouverneur Tony Evers avait demandé le déploiement de 125 soldats de la Garde nationale afin de soutenir les forces de l’ordre locales. Le démocrate a toutefois dénoncé un recours excessif à la force lors de l’intervention policière de dimanche.

Son adjoint Mandela Barnes, un Afro-Américain, a estimé que le drame n’était «pas un accident […] ni une bavure. C’est une violence ordinaire pour beaucoup d’entre nous».

M. Evers a également décrété pour la semaine prochaine la tenue d’une session parlementaire extraordinaire pour se pencher sur d’éventuelles mesures touchant «la responsabilité et la transparence» des policiers.

Le candidat démocrate se saisit de l’affaire

Le candidat démocrate à l’élection présidentielle, Joe Biden, a pour sa part réclamé «une enquête immédiate, poussée et transparente et que les policiers répondent de leurs actes».

M. Biden a accompagné son message du mot «Assez» sur fond noir.

La police de Kenosha a quant à elle appelé la population à ne pas sauter aux conclusions «jusqu’à ce que l’ensemble des faits soient connus».

Des dizaines de manifestants ont demandé l’arrestation des policiers impliqués dans la fusillade

Une vidéo qui alimente la colère

D’après l’avocat de la famille, Ben Crump, le jeune homme avait tenté précédemment de s’interposer dans une dispute entre deux femmes.

«Alors qu’il s’éloignait pour aller voir ses enfants, la police a tiré à bout portant dans son dos», a affirmé dans un communiqué l’avocat qui représente aussi la famille de George Floyd.

«Les trois fils de M. Blake étaient juste à côté et ont vu la police tirer sur leur père», a-t-il ajouté, précisant qu’ils se trouvaient à moins d’un mètre de lui, dans la voiture familiale. Âgés de 3, 5 et 8 ans, «ils seront traumatisés à vie», selon l’avocat.

Une vidéo filmée par un témoin montre Jacob Blake marcher vers le côté conducteur d’un VUS gris, suivi par deux agents de police pointant leurs armes dans son dos. Sept coups de feu sont entendus lorsque M. Blake, qui semble être non armé, ouvre la portière avant du véhicule.

Les images, tournées avec un téléphone portable, sont vite devenues virales.

On ignore si les officiers ont vu quelque chose à l’intérieur du véhicule qui pourrait expliquer leur geste et si un seul ou les deux policiers ont fait usage de leurs armes.

Les policiers ont été placés en congé administratif le temps de l’enquête, a indiqué lundi le département de la Justice du Wisconsin.

Colère dans le pays

La colère a également gagné d’autres villes américaines. À Minneapolis, où George Floyd a été tué, des manifestants ont brûlé un drapeau américain.

De très nombreuses manifestations ont eu lieu partout dans tous les États-Unis, dans les derniers mois, pour dénoncer la discrimination raciale au sein des forces policières.

Environ 200 personnes, certaines le poing levé, ont aussi défilé à New York en criant le nom de Jacob Blake. Parmi elles, Camilla Spielman, 24 ans, déterminée à ne pas laisser la police «continuer à agir ainsi».

«C’est tellement accablant. Tirer à bout portant dans le dos de quelqu’un qui n’a rien fait du tout. On ne peut pas laisser passer ça», a dénoncé la jeune femme.

Des émeutes ont aussi éclaté à Portland et à Seattle.

 

 

 

Un commentaire sur “Les marxistes de Black Lives Matter rejouent encore le scénario bien rôdé

  1. Je ne veux absolument pas défendre les flics, mais sur la vidéo on voit bien qu’ils braquent le gars en lui criant des choses et que celui-ci n’en tient pas du tout compte et va chercher un truc dans sa bagnole. Plus suicidaire ou plus con que cela, ça n’existe pas. Ou alors le gars était défoncé jusqu’aux yeux et s’est cru invincible.. le flic a tiré parce qu’il avait la trouille. Après, 7 balles, c’est beaucoup. Preuve que les flics n’ont aucun contrôle d’eux-mêmes et n’ont même pas confiance dans leurs armes..

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