Les dossiers de Michel Duchaine:Donald Trump poursuit les comploteurs de l’attentat « sous faux drapeau » du 11 septembre 2001

Depuis  l’élection de Donald Trump, un vent de guerre ouverte souffle en ce moment entre d’une part le « Deep State » américain, et d’autre part les forces de la NSA fidèles au président élu Donald Trump, et les forces saoudiennes fidèles au prince héritier Mohammed bin Salman. Après avoir ciblé les pervers sexuels et les pédophiles des élites démocrates des médias américains et de Hollywood, Trump cible maintenant les comploteurs du coup d’État qui s’est traduit par les attaques du 11 septembre 2001 (9 / 11).

En effet,  selon http://www.whatdoesitmean.com/index2427.htm, le 16 février 2016, Trump avait promis t que s’il est élu « on découvrira qui a vraiment démoli le World Trade Center … ce n’étaient pas les Irakiens .. .Ce sont peut-être des Saoudiens « .

Trump savait très bien de quoi il parlait.  En tant que constructeur de classe mondiale de gratte-ciels emblématiques, le président Trump a immédiatement compris que l’effondrement des bâtiments du World Trade Center était causé par un évènement d’implosion de démolition contrôlée. En effet, aucun esprit sain ne peut croire qu’un carburéacteur kérosène pourrait faire fondre les poutres massives en béton armé avec lesquelles ces types de bâtiments sont construits. Si cela était possible, on verrait maintenant des dizaines de millions de radiateurs résidentiels au kérosène dans le monde entier déjà réduits en bassins de métal fondu.

Pour ce qui est de la véritable cause des attentats du 11 septembre, Trump savait (et tout le monde sauf le peuple américain) que c’était un ignoble et sinistre complot orchestré par la Famille du Crime Bush et par la puissante famille Ben Laden (aidées par la Famille du Crime Clinton ) afin de détruire le Moyen-Orient et l’Afghanistan afin de construire des pipelines pour contrôler le flux mondial de gaz naturel et de pétrole. Pour les crimes commis dans ce dernier pays, la CPI Cour pénale internationale prépare des accusations de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité contre les États-Unis

Le complot du 11 septembre a commencé en novembre 1998, lorsque l’ancien président George H.W. Bush, au nom de la compagnie financière privée multinationale The Carlyle Group s’est rendu à Djeddah, en Arabie Saoudite, pour rencontrer la famille Ben Laden, à laquelle assistait le milliardaire singapourien Leonard Glenn Francis, propriétaire de la compagnie maritime internationale Glenn Marine Group.

Une dernière réunion entre le président Bush et la famille Ben Laden pour « officialiser » et « activer » le complot du 11 septembre,  a eu lieu à nouveau à Djeddah, en janvier 2000 , durant laquelle une « séance d’essais » a été approuvée, mais «certaines parties» n’acceptant de procéder effectivement à cette vile attaque qu’à la condition que  George W. Bush est élu président des États-Unis. Ce fut  effectivement le cas cette année-là, lorsque la Cour suprême des États-Unis ordonna à la Floride de stopper le décompte de ses voix de vote, permettant ainsi à Bush de l’emporter.

 

George W. Bush devenant président en janvier 2000, le complot du 11 septembre s’est accéléré avec l’achat et le paiement par  ces comploteurs assassins  d’agents de renseignement de la Navy américaine pour coordonner les attaques contre le World Trade Centers (WTC) et contre le l’US Capitol Building. En effet,  Leonard Glenn Francis avait si complètement corrompu la Navy que presque tous les amiraux de la marine américaine étaient sous son contrôle.

Ces traîtres du Renseignement de l’US Naval Intelligence craignant que leur centre de contrôle du Pentagone pour les attentats du 11/9 pourrait éventuellement faire l’objet d’une contre-attaque, ils l’avaient  massivement renforcé, notamment en l’équipant de fenêtres résistantes de 2 pouces d’épaisseur et pesant chacune 2500 livres, pouvant résister aux explosions, et dont le travail a été achevé tôt le matin du 11 septembre 2001.

Le 11 septembre 2001, à 9 heures, le président George H.W. Bush, l’ensemble du groupe Carlyle et la famille Ben Laden, se sont rassemblés à l’hôtel Ritz Carlton à Washington DC pour célébrer ce qui leur serait une victoire, mais qui, pour le reste du monde, a été l’un des crimes les plus horribles contre le peuple américain.

Cependant, ces vils plans ont été contrecarrés quand un mystérieux avion  “Aurora Aircraft” a décollé de la région tout aussi mystérieuse Area 51 du Nevada, a volé à Mach 6 (6 fois la vitesse du son) vers la Pennsylvanie où il a oblitéré l’avion destiné à frapper le bâtiment du Capitole des États-Unis. Il s’est ensuite dirigé vers le Pentagone où il a tiré un puissant missile de croisière détruisant complètement le bureau (surprotégé) du Centre de Contrôle du Renseignement Navaltuant instantanément  de nombreux officiers du renseignement naval américain. Après cette contre opération, l’attaque du 11/9 fut immédiatement stoppée,

photo d’un trou laissé au Pentagone le 11 septembre 2001 avant l’effondrement de la structure …
… alors que le peuple américain a été endoctriné pour croire que ce trou a été fait par un avion comme ça.

Immédiatement après les attentats du 11 septembre, le président George W. Bush a rapidement chassé d’Amérique tous les membres de la famille Ben Laden qui pensaient fêter  la victoire à l’hôtel Ritz Carlton, à Washington DC, en les envoyant par avion d’abord au Texas d’où ils ont ensuite gagné l’Arabie saoudite

 

On se rappelle que Bush avait déclaré sans vergogne : « Le fait que mon père rencontre le frère d’Oussama le 11 septembre 2001, ne fait pas de lui un suspect terroriste » – Mais le « papa », l’ancien président George HW Bush a néanmoins coupé tous les liens entre son groupe Carlyle et la famille Ben Laden six semaines plus tard, le 26 octobre 2001 . Et ce n’est qu’après coup que l’on a décidé qu’Oussama Ben Laden, l’ancien agent de la CIA, était le meilleur « bouc émissaire », on en a fait le « cerveau » des attentats du 11 septembre.

 

Toujours dans la foulée des événements du 11 septembre 2001, le général des Marines John Kelly a formé une alliance avec le général  Michael Flynn, qui est considéré comme le plus efficace des services secrets militaires américains de l’époque moderne, afin de  reconstruire l’ensemble de l’organisation du renseignement naval américain, et ils tentèrent de découvrir les faits réels de ce crime monstrueux contre l’Amérique et son peuple.

Dans une opération de renseignement classique «suivez l’argent»,  les généraux Kelly et Flynn du ont commencé à découvrir la corruption massive qui avait mené l’US Navy à faire partie du complot du 11 septembre, mais ils étaient farouchement combattus tout à la fois par les régimes Bush et Obama à chaque étape du processus – si bien qu’ils ont dû se détourner de l’armée américaine et obtenir de l’aide forces du FBI « loyales à leur cause » , qui étaient toutes basées en Californie, et non pas à Washington DC.

Appuyés par ces forces du FBI en Californie, Kelly et Flynn (appuyés par quelques responsables loyaux du renseignement militaire américain) ont réussi à obtenir, le 17 décembre 2013,  un plaidoyer de culpabilité d’un comploteur de second niveau (du coup d’État du 11 septembre). Il s’agit d’un officier de renseignement des forces navales américaines, nommé John Beliveau.

Mais Beliveau est reste caché pendant près de trois ans, par peur d’être liquidé par le régime d’Obama. Il réapparaît le 14 octobre 2016, date à laquelle il a été traduit devant un tribunal fédéral américain et condamné pour ses crimes.

De la «graine» de l’officier de renseignement naval américain John Beliveau, les généraux Kelly et Flynn ont pu commencer à «faire pousser l’arbre» ​​pour détruire ce nid de complices d’attaque du 11 septembre (maintenant appelé le “Fat Leonard Scandal” ) – et qui a considérablement accéléré sous la direction du président Trump avec son ordre, en juin dernier, de déposer les premières accusations contre ces monstres en vertu de la loi militaire américaine et qui, il y a quelques heures, a commencé à cibler plus de 440 officiers de la Marine américaine, dont 60 amiraux parmi les 221 Amiraux de la Marine.

 

 

Au moment même où le président Trump se dirige contre ces comploteurs du 11 septembre, les forces saoudiennes fidèles au prince héritier Mohammed bin Salman ont, au cours des dernières 48 heures,  arrêté presque tous ceux qui ont assisté à la «célébration de la victoire» avec la famille du Crime Bush au Ritz Carlton Hotel, à Washington DC, le 11 septembre 2001, pour inclure les frères d’Oussama Ben Laden Bakr Bin Laden et Shafiq Bin Laden, à l’exception du prince Mansour bin Muqrin et d’autres hauts responsables saoudiens qui ont été tués lorsque leur hélicoptère a été abattu alors qu’ils tentaient de fuir le pays, et le prince Abdul Aziz bin Fahd qui est mort dans un échange de tirs avec des forces qui tentaient de l’arrêter.

Ainsi donc, le président Trump avait chronométré avec le prince héritier Mohammed bin Salman cette attaque contre ces comploteurs du 11 septembre pour coïncider avec son séjour en Asie, tout en restant  sous la protection de forces loyales pour l’empêcher d’être assassiné. Cependant, les forces du «Deep State» ne manqueront pas de contre-attaquer en essayant de pousser le monde au bord de la guerre.


Entretien de Kevin Barrett sur Press TV:

Les 15 « pirates de l’air » saoudiens du 11 Septembre étaient des agents de la CIA

Quinze des pirates de l’air des attentats du 11 septembre 2001 étaient saoudiens, agents de la CIA et travaillaient pour le gouvernement des États-Unis, qui cherchait à détruire le Moyen-Orient pour le bénéfice d’Israël et pour doubler le budget militaire américain, dit le Dr. Kevin Barrett, un académique qui a étudié les évènements du 11 septembre depuis la fin 2003.

Le Dr. Barrett est un membre fondateur de l’association the Scientific Panel for the Investigation of 9/11, et a fait ces remarques dans un entretien téléphonique avec Press Tv , après qu’un bon nombre de législateurs aient appelé la Maison Blanche à déclassifier des documents qui jettent la lumière sur la complicité possible de l’Arabie Saoudite dans les attentats terroristes du 11 septembre 2001.

Les 15 Saoudiens pirates de l’air n’étaient que des hommes de paille

“Nous savons que 15 des pirates étaient saoudiens, les supposés pirates, parce qu’ils n’étaient pas dans les avions, aucun des 19 pirates, ou quelque arabe que ce soit ne se trouvait dans les quatre avions détournés, ce d’après la liste des passagers et d’après toutes les preuves qu’il y aurait s’ils avaient été dans les avions, mais rien n’a été produit,” a dit Barrett.

Donc, ces 15 hommes de paille saoudiens, qui furent cadrés pour encaisser le blâme des attentats, étaient en fait des agents de la CIA. Nous savons cela, j’ai eu ceci confirmé directement par une source de la CIA, que ces 15 Saoudiens, entrèrent et ré-entrèrent de manière répétitive avec des soi-disant visas de travail, mais il y a un numéro spécial de visas de travail qui ne sont donnés qu’aux agents de la CIA en récompense de leurs services pour l’agence de renseignement centrale et ces visas leur permettent de venir aux États-Unis. Typiquement, ils sont payés pour leur travail pour la CIA en Arabie Saoudite, et on leur donne ce type spécial de visa qui est maquillé comme visa de travail mais c’est d’un type particulier,” a t-il déclaré.

L’ensemble de ces 15 types possédaient ce genre de visa. Ceci montre qu’ils étaient tous en fait des agents de la CIA. Certains d’entre eux vivaient avec des personnels du FBI en Californie. Ces 15 personnes ne travaillaient pas contre le gouvernement des États-Unis mais pour lui et ils furent spécifiquement cadrés de manière à ce que l’Arabie Saoudite puisse être éventuellement blâmée pour les attaques du 11 septembre, qui furent en fait perpétrées par Israël et ses sbires américains,” a-t-il fait remarquer.

Le but était de s’assurer que l’Arabie Saoudite ne puisse pas sortir de l’orbite gravitationnelle américaine, comme le roi l’avait menacé en Août 2001. Similairement, le Pakistan fut aussi cadré. Le patron des services de renseignements pakistanais l’ISI fut trompé, ou on lui donna l’ordre, quoi qu’il en soit, d’envoyer de l’argent à Mohamed Atta, puis ceci fut révélé dans un canard indien. De la même manière, le Pakistan menaçait de quitter l’orbite américaine en 2001.”

Bien évidemment, l’appareil impérialiste, dominé par les sionistes ici aux Etats-Unis, ne voulaient pas du tout d’un Pakistan nucléaire et d’une Arabie Saoudite riche en pétrole tous deux indépendants. Alors, il a utilisé le 11/9 pour les ramener dans l’orbite impérialiste, ce n’est qu’un des éléments,” a observé l’expert.

Quel fut le but du 11 septembre ?

Bien sûr le but du 11/9 fut de détruire sept pays en cinq ans comme en a déjà parlé l’ancien général Wesley Clark, pays qui étaient des ennemis ou des menaces perçues pour Israël. Toute cette vérité fera-t-elle surface lors de la publication des 28 pages manquantes, ce qui pourrait mener à la réouverture de l’affaire des attentats ?” a dit le Dr. Barrett.

Bien si cela rouvre le fait que le bâtiment 7- la plus évidente des démolitions contrôlées de New York- fut celle du bâtiment 7 du WTC, mais les deux tours jumelles furent elles aussi des démolitions contrôlées. Il n’y a eu aucun pirate de l’air dans aucun de ces avions. Pas un seul nom arabe dans ces avions. Pas un gramme de preuve qu’aucun de ces gars ne fut dans les avions”, a t-il dit.

Si ces faits ressortent et que nous apprenons que le 11 septembre fut une opération de couverture et d’enfumage menée par Israël et ses agents américains, ceci incluant les quasi-agents comme le sont les George W. Bush, Dick Cheney et Donald Rumsfeld etc, une opération qui fut agencée comme un nouveau Pearl Harbor, non seulement pour détruire le Moyen-Orient pour le profit du “Grand Israël”, mais aussi pour permettre de plus que doubler le budget militaire américain et revigorer l’empire américain (NdT: via son complexe militaro-industriel et de la sécurité qui engrange le fric depuis lors…) et bien cela s’est terminé par tuer l’empire américain,” a t-il continué.

“Cela a certainement aidé Israël; ils ont détruit tous leurs voisins, virtuellement. Mais les Etats-Unis sont maintenant dans un triste état. Pour faire tourner la table, nous avons besoin de promesses comme celle de Trump de révéler au peuple qui a vraiment effondré les tours jumelles du WTC et ce fut les sionistes,” a noté l’analyste.

Une fois que nous saurons tout cela, nous serons peut-être dans une position de revamper radicalement la structure du pouvoir ici aux États-Unis, de reprendre cette structure corporatiste dominée par les sionistes, les banques, l’industrie de l’investissement et l’appareil médiatique et ainsi de pouvoir rendre l’Amérique à son peuple, mettre fin à l’empire américain et nous presser dans une nouvelle ère de paix multi-polaire,” a conclu le Dr. Barrett.

 

 

 

 

 

 

Liste membres du dîner du siècle 02/2020 -Gracieuseté des GILETS JAUNES CONSTITUANTS

Votre humble serviteur appui le mouvement des Gilets Jaunes en France.

Hors,dans cet optique nous reproduisons cette étonnante divulgation de document qui fera histoire.

Notons que les diners du Siècle réunissent les « membres illuminati,francs maçons et de diverses fraternités unies autour de l’oligarchie française.

Vive la Résistance du Peuple Français!

 

Mise en lumière de la république des copains et des coquins, quel est le poids décisionnaire de l’assemblée nationale et du sénat face au dîner du siècle et des puissants valets serviles le composant ?

Bonsoir. Nous nous permettons de vous contacter ce soir car nous souhaitons rendre public un document jusqu’ici confidentiel dont nous n’aurons nul doute qu’il pourra vous intéresser. Actuellement, les gilets jaunes constituants sont en direct sur leurs chaînes Facebook (gilets jaunes constituants page de secours) et YouTube (Gilets jaunes Constituants), dans lequel ils font la lecture du dit document. Nous vous communiquons un lien permettant de télécharger le document en question dans son intégralité. De nombreux médias, uniquement indépendants et intègres, sont mis au courant de cette information et nous espérons que vous en ferez parti. Les gilets jaunes constituants vous disent force et honneur, on ne lâche rien! Liens liste invités du diner du siècle 2020 : https://www.datafilehost.com/d/b5eb2731 https://framadrop.org/r/sJW2od5DUM#aTclGReF8N+up42Pp4Rze7kcmtRKQeqcWpK0vBfANz0= https://www.datafilehost.com/d/59d09e4e https://framadrop.org/r/S1IihUG4EF#PlqY0pCgHVAPxp3Of7XAdeSb+Ra2u7C04I+h6dxtNmU= onion link http://dhosting4xxoydyaivckq7tsmtgi4wfs3flpeyitekkmqwu4v4r46syd.onion/files.php?path=/www/membres-diner-siecle-02-2020%281%29.pd
PARIS, FRANCE – DECEMBER 15: Yellow Vest protesters march in front of police on December 15, 2018 in Paris, France. The protesters gathered in Paris for a 5th weekend despite President Emmanuel Macron’s recent attempts at policy concessions, such as a rise in the minimum wage and cancellation of new fuel taxes. But the ‘Yellow Vest’ movement, which has attracted malcontents from across France’s political spectrum, has shown little sign of slowing down. (Photo by Veronique de Viguerie/Getty Images)

 

 

Fuite dans un rapport illuminati:JP Morgan a divulgué un rapport: «l’humanité ne survivra peut-être pas à la crise climatique et la planète est dans une direction non-durable »!

Un rapport  divulgué par une source interne de l’entrprise affirme que JP Morgan a averti ses clients privilégiés que l’humanité ne survivra probablement  pas à la crise climatique actuelle.

Cette fois, ce n’est pas un avertissement donné par un climatologue ou un écologiste,mais par  une étude d’un banquier lié fortement aux illuminati depuis toujours…en d’autres mots:l’argent parle!

 

Le rapport de JP Morgan: »L’humanité ne survivra peut-être pas à la crise climatique et la planète est dans une direction non-durable! »

 

L’étude se concentre sur la condamnation des investissements de la banque américaine,en particuliers la poursuite  de ses investissements dans l’industrie gazière et pétrolière.

 

Le plus grand financier au monde de combustibles fossiles a averti ses clients que la crise climatique menace la survie de l’humanité et que la planète est sur une trajectoire non durable, selon un document divulgué.

Le rapport de JP Morgan sur les risques économiques du réchauffement climatique d’origine humaine a déclaré que la politique climatique devait changer, faute de quoi le monde serait confronté à des conséquences irréversibles.

L’étude condamne implicitement la stratégie d’investissement de la banque américaine et met en évidence les préoccupations croissantes des principales institutions de Wall Street concernant les risques financiers et de réputation liés au financement continu des industries à forte intensité de carbone, telles que le pétrole et le gaz.

JP Morgan a fourni 75 milliards de dollars (61 milliards de livres sterling) en services financiers aux entreprises dont l’expansion est la plus dynamique dans des secteurs tels que la fracturation hydraulique et l’exploration pétrolière et gazière dans l’Arctique depuis l’accord de Paris, selon une analyse compilée pour le Guardian l’année dernière.

Rupert Read est à la base de la divulgation du rapport (cad:la fuite)

Son rapport a été obtenu par Rupert Read, porte-parole d’Extinction Rebellion et universitaire en philosophie à l’Université d’East Anglia, et a été vu par le Guardian.

Les recherches des économistes de JP Morgan, David Mackie et Jessica Murray, indiquent que la crise climatique aura un impact sur l’économie mondiale, la santé humaine, le stress hydrique, la migration et la survie d’autres espèces sur Terre.

«Nous ne pouvons pas exclure des conséquences catastrophiques là où la vie humaine telle que nous la connaissons est menacée», note le journal daté du 14 janvier.

S’appuyant sur une vaste littérature académique et des prévisions du Fonds monétaire international et du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), le document note que le chauffage mondial est en passe d’atteindre 3,5 ° C au-dessus des niveaux préindustriels d’ici la fin du siècle. Il indique que la plupart des estimations des coûts économiques et sanitaires probables sont beaucoup trop faibles car elles ne tiennent pas compte de la perte de richesse, du taux d’actualisation et de la possibilité d’une augmentation des catastrophes naturelles.

 

Les auteurs affirment que les décideurs politiques doivent changer de direction car une politique climatique de maintien du statu quo « entraînerait probablement la Terre dans un endroit que nous n’avons pas vu depuis des millions d’années », avec des résultats qui pourraient être impossibles à inverser.

«Bien que des prévisions précises ne soient pas possibles, il est clair que la Terre est sur une trajectoire non durable. Quelque chose devra changer à un moment donné si la race humaine va survivre. »

La banque d’investissement affirme que le changement climatique « reflète une défaillance du marché mondial dans le sens où les producteurs et les consommateurs d’émissions de CO2 ne paient pas les dommages climatiques qui en résultent ». Pour inverser cette tendance, il souligne la nécessité d’une taxe mondiale sur le carbone mais prévient qu’elle «ne se produira pas de sitôt» en raison de préoccupations concernant l’emploi et la compétitivité.

Les auteurs disent qu’il est «probable que la situation [climatique] continuera de se détériorer, peut-être plus que dans n’importe quel scénario du GIEC».

Sans nommer aucune organisation, les auteurs disent que des changements se produisent au niveau micro, impliquant des changements de comportement de la part des individus, des entreprises et des investisseurs, mais il est peu probable que cela soit suffisant sans la participation des autorités fiscales et financières.

L’année dernière, une analyse compilée pour le Guardian par Rainforest Action Network, une organisation environnementale basée aux États-Unis, a révélé que JP Morgan était l’une des 33 puissantes institutions financières à avoir fourni un total estimé à 1,9 milliard de dollars (1,47 milliard de livres sterling) au secteur des combustibles fossiles entre 2016 et 2018.

Un porte-parole de JP Morgan a déclaré à la BBC que l’équipe de recherche était « totalement indépendante de l’entreprise dans son ensemble, et non un commentaire à ce sujet », mais a refusé de commenter davantage. Les métadonnées sur le pdf du rapport obtenu par Read indiquent que le document a été créé le 13 janvier et que l’auteur du dossier est Gabriel de Kock, directeur exécutif de JP Morgan . Le Guardian a approché la banque d’investissement pour obtenir des commentaires.

La pression exercée par les grévistes étudiants, les actionnaires activistes et les militants de désinvestissement a incité plusieurs grandes institutions à affirmer qu’elles feront du climat une priorité. Le modèle économique des sociétés de combustibles fossiles s’affaiblit également, l’éolien et le solaire devenant plus compétitifs. Plus tôt ce mois-ci, la banque d’affaires influente Goldman Sachs a dégradé ExxonMobil d’une position «neutre» à une position «vendre». En janvier, BlackRock – le plus grand gestionnaire d’actifs au monde – a annoncé qu’il réduirait son exposition aux énergies fossiles avant une «réallocation importante du capital».

Les groupes environnementaux restent méfiants car des sommes énormes sont investies dans les entreprises pétrochimiques, mais certains analystes financiers chevronnés disent que la marée change. Le spécialiste de l’argent de la CNBC, Jim Cramer, a choqué beaucoup de gens dans son domaine lorsqu’il a déclaré: «J’en ai fini avec les combustibles fossiles. Ils ont fini. Ils ont juste fini.  » Décrivant comment une nouvelle génération de gestionnaires de fonds de pension retirait son soutien, il a affirmé que les sociétés pétrolières et gazières étaient dans la phase du glas. «Le monde s’est retourné contre eux. Cela se produit en fait assez rapidement. Vous constatez une cession par de nombreux fonds différents. Ça va être un défilé qui dit: «Regardez, ce sont du tabac. Et nous ne les posséderons pas », a-t-il déclaré. « Nous sommes dans un nouveau monde. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La propagation au Canada est inévitable, disent des experts

Le nombre de contaminations au coronavirus augmente au Canada, avec de nouveaux cas en Ontario et un troisième à l’étude au Québec, portant à 54 le nombre de cas confirmés et présumés au pays. Des experts s’entendent pour dire que l’éventuelle propagation de la pneumonie virale est inévitable.

À ce jour, la COVID-19 a fait près de 3500 morts et plus de 100 000 personnes dans le monde ont été contaminées dans 92 pays et territoires.

« L’infection va se faire. On est déjà dans une situation de pandémie », prédit Tatiana Scorza, professeure au département des sciences biologiques à l’Université du Québec à Montréal.

 

« Si on continue à prendre des mesures appropriées, on pourrait se limiter à des cas importés », nuance pour sa part la Dre Anne Gatignol, professeure de microbiologie à l’Université McGill.

 

En Ontario, l’un des derniers cas recensés est un voyageur revenu récemment de Las Vegas, ont annoncé les responsables de la santé de la province, qui compte dorénavant 28 cas. Toutefois, au moins quatre de ces malades ont depuis été guéris. Tous les patients ayant été déclarés positifs au nouveau coronavirus avaient récemment voyagé à l’extérieur du Canada ou avaient eu des contacts étroits avec un autre patient qui l’avait fait. L’Alberta a également fait état d’un premier cas jeudi soir.

La Colombie-Britannique a quant à elle annoncé 8 nouveaux cas de la pneumonie virale, pour un total de 21, dont le premier cas apparent de transmission dans la communauté au pays, jeudi soir. Il s’agit d’une femme de la région de Vancouver déclarée positive au coronavirus malgré l’absence de voyage à l’extérieur du pays et aucun contact connu avec un autre malade.

 

D’après la Dre Gatignol, cette contamination a « peut-être deux ou trois intermédiaires ». Si ce type de contamination venait à se reproduire au pays, il faudrait selon elle prendre des mesures plus draconiennes pour limiter la propagation, comme le fait d’éviter les rassemblements.

Des mesures à prendre

 

Si elle estime qu’il est trop tôt pour prendre la décision de fermer des établissements scolaires, la chercheuse croit néanmoins que, pour l’instant, les gens qui rentrent au Canada en provenance de foyers épidémiques comme l’Iran, la Corée du Sud et le nord de l’Italie devraient être mis en quarantaine. « La quarantaine peut être comme ils ont fait avec les gens de Wuhan ou du Diamond Princess, mais ça peut aussi être à la maison s’ils ne contaminent pas la famille », suggère-t-elle.

Au Québec, deux cas ont été confirmés et un troisième est en attente de l’être par le Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg.

 

Néanmoins, les responsables de la santé de partout au pays ont déclaré que le risque posé par la COVID-19 demeure faible.

 

« Les gens vont, à un moment donné, en fonction de l’évolution de la situation, devoir adopter des mesures pour prévenir la transmission », prévient toutefois Mme Scorza, rappelant que le nouveau coronavirus est hautement transmissible.

 

Les autorités se préparent depuis des semaines à une éventuelle épidémie comme celles qui sévissent en Iran, en Corée du Sud, en Italie et en Chine, berceau de la maladie. Plus de 100 000 personnes dans le monde ont été contaminées dans 92 pays et territoires. À ce jour, la COVID-19 a fait tout près de 3500 morts.

 

« On n’est pas encore dans une situation d’alerte, mais c’est inquiétant parce qu’on voit que ça progresse partout dans le monde », constate Mme Scorza.

 

Vendredi, des premiers cas ont été répertoriés au Togo, au Cameroun, au Vatican, en Slovaquie, au Pérou, en Colombie, au Bhoutan et dans les Territoires palestiniens.

 

Aux États-Unis, où près de 300 cas ont été recensés et 15 personnes sont mortes, le festival culturel South by Southwest a été annulé dans l’État du Texas.

 

En raison d’un manque d’infrastructures et de ressources de base, le Conseil circumpolaire inuit s’est dit inquiet d’une éventuelle propagation de la pneumonie virale dans l’Arctique.

 

Selon l’organisme, la maladie à coronavirus COVID-19 représente un risque accru pour les communautés inuites, qui souffrent déjà du manque d’égouts et d’eau courante. Il réclame au gouvernement de combler ces lacunes dans le but de se protéger contre d’éventuelles menaces à la santé publique.

 

Canadiens en quarantaine

 

Le gouvernement fédéral a annoncé vendredi qu’il s’apprête à prendre des mesures en vue de protéger la santé des Canadiens et de l’économie du pays contre les conséquences engendrées par la COVID-19.

 

Le ministre des Finances, Bill Morneau, a déclaré qu’Ottawa annoncera bientôt un soutien aux Canadiens en quarantaine en raison du coronavirus.

 

Il a également déclaré que le gouvernement va augmenter sa provision pour éventualités dans son prochain budget au printemps pour s’assurer d’être en mesure de faire face à la COVID-19, qui a entraîné la chute du marché boursier.

 

« Il est important de garder à l’esprit que ce que cela signifiera pour l’économie canadienne dépendra en fin de compte de l’ampleur et de la propagation géographique du virus, et que ces éléments ne peuvent être connus tant qu’ils ne sont pas connus, a-t-il déclaré lors d’un discours devant le Canadian Club de Toronto. Notre gouvernement prévoit toute éventualité. »

 

Par ailleurs, la ministre de la Santé, Patty Hajdu, a annoncé l’octroi de 27 millions de dollars sur deux ans pour travailler sur la COVID-19. « Les fonds investis soutiendront 47 équipes de recherche de partout au Canada qui s’emploieront à accélérer l’élaboration, la mise à l’essai et l’application de mesures visant à gérer l’éclosion de COVID-19 », écrit le ministère, dans un communiqué.

 

« Et s’il faut davantage de ressources, on va en donner », a ajouté le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, Navdeep Bains, qui se trouvait aux côtés de Mme Hajdu.

Avec La Presse canadienne et l’Agence France-Presse

Nouvel Ordre Mondial:Le coronavirus de Wuhan est une attaque bioterroriste contre la Chine

Des arguments solides en faveur d’actes prémédités du bioterrorisme dans la ville de Wuhan, Chine, réalisés par des agents rémunérés de l’Axe  anglo-américano-sioniste.

La bio-attaque de Wuhan semble être juste un cas dans une série d’attaques biologiques en cours menées dans toute la Chine continentale.

Cette opération bioterroriste anglo-américano-sioniste est furtivement perpétrée pour donner l’impression que l’épidémie a commencé avec un seul cas dans la ville de Wuhan, alors qu’elle se répand encore subrepticement dans d’autres villes chinoises via des modes de propagation similaires. Parce que les vecteurs de dissémination de ce coronavirus armé sont en train de se répandre dans le monde entier à des taux qui sont très probablement de multiples méthodes de prolifération qui sont astucieusement mises en œuvre pour confondre les enquêteurs ainsi que pour éviter la détection.

L’extrait suivant d’un précédent exposé du SOTN (State Of The Nation) sur la pandémie de coronavirus de Wuhan raconte l’une des parties les plus critiques de l’histoire qui se déroule rapidement.

«À la lumière des manifestations de Hong Kong organisées par les États-Unis, dans le cadre des punitions tarifaires américaines contre la Chine, de la menace de sanctions économiques contre les pays qui travaillent avec Huawei, du conflit du Xinjiang enflammé par la CIA impliquant les islamistes Ouïghours, de l’armada provocante des navires de guerre de la marine américaine à travers le détroit de Taiwan, de la poursuite politique contre le directeur financier de Huawei, du ravage des fermes porcines chinoises par un autre virus bio-ingénié par la DARPA, etc., le gouvernement chinois est sous le feu des attaques criminelles américaines depuis 2018. »

(Source: WUHAN CORONAVIRUS PANDEMIC BIOENGINEERED: Qui est derrière, pourquoi maintenant et pourquoi la Chine?)

Avec la compréhension cruciale fournie ci-dessus, la véritable intention, le calendrier et la nature de cette série toujours croissante d’attaques biologiques transparentes devraient être beaucoup plus faciles à comprendre correctement.

Sabotage délibéré de l’économie chinoise

La Chine poursuit depuis de nombreuses années le développement économique et la diffusion commerciale à travers la communauté mondiale des nations. Ces diverses activités de développement des affaires se sont intensifiées au cours de la dernière décennie. La Belt and Road Initiative n’est qu’un exemple du sérieux de la Chine pour forger un tout nouveau système économique et financier mondial (Global Economic & Financial System GE&FS) exempt du sabotage économique incessant et du terrorisme financier perpétrés par les États-Unis (et plus secrètement par le Royaume-Uni ).

Ce nouveau système économique et financier mondial, qui émerge rapidement, se construit sans la domination des nombreuses puissances occidentales qui constituent l’Axe Anglo-américain (AAA). Les establishments britanniques et américains sont particulièrement exclus. Cela signifie que le dollar tout-puissant autrefois n’aura pas sa place dans cet immense projet sino-russo-indien de refaire l’ordre économique et financier mondial.

Cela signifie également que le Tout-Puissant dollar sera détrôné comme monnaie de réserve mondiale. Ce qui est une très GROSSE affaire pour les puissances occidentales. En fait, il n’y a rien de pire.

À moins que l’Occident ne s’accorde sur des règles du jeu équitables non dominées par Londres et New York, ils suivront le malheureux billet vert. Soit dit en passant, dans le grand schéma des choses, cela s’appelle le karma.

Compte tenu de la démolition soigneusement contrôlée du pétrodollar américain par les puissances orientales qui a été entreprise depuis le 11/9  par pure autodéfense, les États-Unis, le Royaume-Uni, Israël et d’autres pays alignés sur l’AAA sont devenus désespérés – TRÈS désespérés!

POINT CLÉ: Toutes les nations qui composent l’Axe Anglo-Américain ont attelé leurs wagons au pétrodollar américain. Si ce wagon devait sauter de la falaise avec l’effondrement du dollar américain, l’ordre international changerait  en un jour et une nuit. Les États-nations voyous, criminels et d’apartheid comme Israël seront sans défense sans l’armée américaine qui protège leurs citoyens et leurs intérêts lointains; Tel-Aviv a donc BEAUCOUP à perdre et il le sait. La Grande-Bretagne se repliera également sans l’Amérique pour molleton comme le quartier financier de la ville de Londres le fait 24/7. Par conséquent, nous voyons cette pandémie comme une tentative imprudente de collusion avec les sionistes dans chaque nation AAA pour détruire l’alliance économique RIICS (Russie, Inde, Iran, Chine et Afrique du Sud) afin de maintenir l’hégémonie occidentale. *

Bio-guerre 2020

Il n’y a tout simplement pas de meilleur moyen de fermer un autre pays que de mener les formes de guerre biologique les plus calamiteuses. Lorsqu’elle a été menée avec un timing parfait comme l’a été la bio-attaque de Wuhan; dans l’emplacement parfait comme cette version d’arme biologique était; avec l’agent d’infection bio-ingénieur le plus efficace qu’est le coronavirus de Wuhan, l’enfer se déchaîne……… et la nation ciblée est paralysée dans une large mesure par une conception réfléchie.

Le Moyen-Orient connaît la vérité : c’est le SIONISME

La capture d’écran précédente est tirée de cet article: «Le coronavirus fait partie de la guerre biologique menée par les États-Unis contre la Chine» – MEMRI

Plus que toute autre région de la planète, les chercheurs scientifiques et les journalistes d’investigation du Moyen-Orient semblent parfaitement au courant du «qui» et du «pourquoi» derrière cette pandémie de coronavirus bio-conçue.

Ils sont particulièrement conscients de la réponse à la question cruciale: «Cui bono?» de cette épidémie dévastatrice qui a isolé la Chine comme aucun autre événement de son histoire.

Par exemple, voici un extrait de l’article MEMRI référencé ci-dessus qui contient des informations pénétrantes et des révélations radioactives:

Écrivain égyptien: les États-Unis propagent le virus pour nuire à l’économie et à la réputation de la Chine :

Sur le site d’information égyptien Vetogate.com, le journaliste égyptien Ahmad Rif’aat a expliqué pourquoi les États-Unis ont choisi la ville chinoise de Wuhan comme épicentre de la maladie: «Les usines américaines sont les premières à fabriquer tous les types de virus et de bactéries, à partir des virulents virus de la variole et le virus de la peste bubonique à tous les virus que nous avons vus ces dernières années, comme la maladie de la vache folle et la grippe porcine. Wuhan, la ville qui a été frappée par la corona [maladie], est une ville industrielle, mais c’est néanmoins la huitième ville la plus riche de Chine, après Shanghai, Guangzhou.

Guangzhou, Pékin, Tianjin et Hong Kong sont les principales villes du pays. Sa place au bas de la liste [des grandes villes chinoises] est ce qui en fait un [site] approprié pour un crime américain… car ce n’est pas un centre d’attention, et le niveau de soins de santé y est sûrement plus bas que dans les plus grandes et des villes plus importantes.

«Tout ce qui est nécessaire pour permettre à un virus de se propager rapidement est de le libérer d’un sac, à l’aide d’une seringue ordinaire ou de toute autre manière. Mais le fait vraiment intéressant est le grand nombre d’Américains qui séjournaient à Wuhan et ont décidé de le quitter immédiatement et rapidement, [comme cela a été montré] sur les chaînes d’information américaines, parmi eux un journaliste de CNN, même si aucun d’entre eux n’a contracté [la maladie ]! Nous ne savons pas ce que ce [journaliste de CNN] faisait là-bas. Est-il venu rendre compte des événements? Si oui, pourquoi est-il parti si rapidement? Y est-il arrivé avant [le début de l’épidémie]? [Si oui,] qu’est-ce qui l’a poussé à s’y rendre avant le début de la crise des coronavirus?…

«Cette guerre ne vise pas seulement à inquiéter la Chine, à la troubler et à lui faire dépenser des milliards de dollars pour des mesures d’urgence et des médicaments – qui, soit dit en passant, seront fabriqués par une société israélienne… Les États-Unis veulent informer le monde, et en particulier la Chine elle-même, dans le cadre d’une guerre de propagande visant le prestige et le statut [de la Chine], que [la Chine] est toujours un pays arriéré dont les citoyens mangent de la soupe de chauve-souris et qui exporte des maladies et des épidémies vers le reste du monde! » [4]

L’essentiel de la question «Cui bono?» (à qui profite le crime ?) c’est que le sionisme gagne toujours, alors que tout le monde perd toujours. La Chine et la Russie perdent toutes les deux. L’Iran aussi. Les États-Unis et le Royaume-Uni perdront finalement, même s’ils pourraient ressembler à des gagnants. L’Inde et le Pakistan perdent tous les deux. Tout le Moyen-Orient perd à nouveau, sauf Israël. Observez simplement comment cette pandémie évolue à travers la planète et nous verrons qui l’a vraiment déclenchée depuis son refuge.

Source : A Strong Case for Premeditated Act(s) of Bioterrorism in Wuhan City, China Carried Out by Paid Agents of the Zio-Anglo-American Axis

State of the Nation

VOIR AUSSI :

‘The Father of the Coronavirus Virus is the CDC’, Planted in China by the C.I.A.

CORONAVIRUS BIOWEAPON UPDATE: Unique HIV-1 Signatures Confirmed by Team of Indian Scientists

BIOWARFARE: Wuhan Coronavirus is likely another race-targeting bioweapon strategically unleashed throughout China by U.S. military labs

Wuhan Coronavirus, Jeffrey Epstein and Harvard University

 

 

 

 

 

 

 

Photos du jour: hommage aux chiens des armées /Pictures of the day :tribute to the Army’s dogs

 

Le Memorial aux chiens de Guerre
The War Dog Memorial

 

Veterans and War Dog Memorial Houma ,Louisiana

 

Chien et maitre au repos en Afghanistan.

 

5 chiens militaires ont été honoré récemment…Ils sont de catégorie K9 dans l’US Army.
5 k9 military dogs honored recently.

 

Army medic rescues hero Afghan dog./
Une officière médicale a sauvé un chien héroîque en Afghanistan.

 

Chien et maitre au repos…dormant ensemble./
Dog and master sleeping together.

 

Surveillance/
Survey

 

Puppy found in combat Then and now./
Chiot trouvé au combat…Alors et maintenant!

 

Ensemble/
Together!

 

Sauvé au combat/
Saved in action

 

Tactique de combat psychologique/
Psychologic fight tactical.

 


PREMIÈRE GUERRE MONDIALE

DÉCOUVERTE D’UN HÉRO: STUBBY

In 1917, Stubby, a Pit Bull puppy with a “stubbed” tail, was living on the streets of New Haven, Connecticut near an Army training camp at Yale University. It was there that a private named J. Robert Conroy found and adopted Stubby./
En 1917, Stubby, un chiot Pit Bull avec une queue «tronquée», vivait dans les rues de New Haven, Connecticut, près d’un camp d’entraînement de l’armée à l’Université de Yale. C’est là qu’un soldat nommé J. Robert Conroy a trouvé et adopté Stubby.
Stubby underwent major training at camp. He learned to respond to bugle calls, marched with the troops and saluted fellow soldiers.
When it came time for Conroy to ship out, he smuggled Stubby aboard the USS Minnesota in his overcoat./
Stubby a suivi une formation importante au camp. Il a appris à répondre aux appels de clairon, a marché avec les troupes et a salué ses camarades.
Quand le moment est venu pour Conroy de partir au front, il a introduit clandestinement Stubby à bord du USS Minnesota dans son pardessus.

 

 

For this act of valor, Stubby became the first war dog ever to be promoted to the rank of Sergeant. This meant he now outranked his human, Corporal Conroy./
Pour acte de bravoure, Stubby est devenu le premier chien de guerre à être promu au grade de sergent. Cela signifiait qu’il devançait maintenant son humain, le caporal Conroy.
Stubby was smart enough to know the difference between English and German. He used these skills to determine which wounded soldiers to help on the battlefield.
His language skills also came in handy in France. Stubby sniffed out a German spy, bit him on the butt and held on until help arrived! Good dog!/
Stubby était assez intelligent pour faire la différence entre l’anglais et l’allemand. Il a utilisé ces compétences pour déterminer quels soldats blessés aider sur le champ de bataille.
Ses compétences linguistiques ont également été utiles en France. Stubby a reniflé un espion allemand, l’a mordu sur le cul et a tenu bon jusqu’à l’arrivée des secours! Bon chien!

 

Stubby était un pit bull à queue courte./
Stubby was a tailed pit bull.

 

Stubby served 18 months on the Frontlines, fighting in 17 different battles and four major campaigns. He survived shrapnel wounds and carried messages under fire.
General John J. Pershing, Commander of the US Forces, personally awarded Stubby a gold medal for heroism. That wasn’t his only award. The brave pup also earned a Purple Heart, the Medal of the Battle of Verdun, and the Republic of France Grande War Medal./
Stubby a servi 18 mois sur les lignes de front, combattant dans 17 batailles différentes et quatre campagnes majeures. Il a survécu à des éclats d’obus et porté des messages sous le feu.
Le général John J. Pershing, commandant des forces américaines, a personnellement décerné à Stubby une médaille d’or pour héroïsme. Ce n’était pas sa seule récompense. Le courageux chiot a également obtenu un cœur pourpre, la médaille de la bataille de Verdun et la Médaille de la grande guerre de la République de France.

 

After the war, Stubby was awarded lifetime membership in the American Legion, YMCA and American Red Cross. The pup went on to meet and charm Presidents Woodrow Wilson, Warren G. Harding and Calvin Coolidge. Who wouldn’t be charmed by the handsome fellow?
Conroy eventually attended Georgetown University where he studied law school. While Conroy studied, Stubby parlayed his fame into a sweet gig as the Hoyas mascot./
Après la guerre, Stubby a obtenu l’adhésion à vie à la Légion américaine, au YMCA et à la Croix-Rouge américaine. Le chiot a ensuite rencontré et charmé les présidents Woodrow Wilson, Warren G. Harding et Calvin Coolidge. Qui ne serait pas charmé par le beau garçon?
Conroy a finalement fréquenté l’Université de Georgetown où il a étudié la faculté de droit. Pendant que Conroy étudiait, Stubby a transformé sa renommée en un doux concert en tant que mascotte des Hoyas.

 

In 1926, Stubby died in Conroy’s arms. He was so loved that The New York Times ran an obituary that was 3 columns wide and half a page long./
En 1926, Stubby mourut dans les bras de Conroy. Il était tellement aimé que le New York Times a publié un avis de décès de 3 colonnes de large et d’une demi-page.

 

Stubby is remembered as America’s first canine soldier and one of the most selfless heroes the american country has ever known./
Stubby est connu comme le premier soldat canin américain et l’un des héros les plus altruistes que l’Amérique ait jamais connus.

 


 

LES CHIENS DE L’ARMÉE  ALLEMANDE

 

 

Entre les deux guerres ,une grande école de dressage vit le jour./
Between the two wars, a large dressage school was born

Cette école se basait sur le développement de la parole pour le dressage des chiens./
This school was based on speech development for dog training.

 

Suivait un dressage sur la mobilité du chien./
Followed a training on the mobility of the dog

 

C’est en Allemagne qu’apparurent les premiers restaurants pour chiens./
The first restaurants for dogs appeared in Germany
Dressage militaire./
Military training.

 

 

 

Les chiens accompagnaient toujours les soldats./
The dogs always accompanied the soldiers.

 

 

 

Sur la fin de la guerre,les soldats se servaient des chiens  dans des missions suicides avec des explosifs.Le but était d'attaquer et de détruire des  blindés américains ou soviétiques./At the end of the war, the soldiers used the dogs in suicide missions with explosives. The aim was to attack and destroy American or Soviet armored vehicles
Sur la fin de la guerre,les soldats se servaient des chiens dans des missions suicides avec des explosifs.Le but était d’attaquer et de détruire des blindés américains ou soviétiques./At the end of the war, the soldiers used the dogs in suicide missions with explosives. The aim was to attack and destroy American or Soviet armored vehicles

 

 

 

Ce chien sauva la vie de nombreux soldats allemands durant la guerre./This dog saved the lives of many German soldiers during the war.
Ce chien sauva la vie de nombreux soldats allemands durant la guerre./This dog saved the lives of many German soldiers during the war.

 


ARMÉE SOVIÉTIQUE

Un souvenir de Stalingrad./A Stalingrad's memory!
Un souvenir de Stalingrad./A Stalingrad’s memory!

ARMÉE POLONAISE