La Bataille de Londres
– Dessous, secrets et coulisses du rapatriement constitutionnel Frédéric Bastien est le premier historien qui se penche sur ces événements en s’appuyant sur une étude systématique des archives, notamment les documents secrets du Foreign Office. C’est grâce à ces derniers que nous apprenons que Trudeau, dans son entêtement, est allé jusqu’à enfreindre une règle fondamentale des gouvernements démocratiques, soit celle de la séparation des pouvoirs, compromettant d’emblée la légitimité du nouveau régime constitutionnel.
Un rapatriement légal mais inconstitutionnel!
28 septembre 1981 La Cour suprême rend son verdict sur le rapatriement unilatéral de la Constitution en septembre 1981 : le rapatriement unilatéral de la Constitution est tout à fait légal. Par contre, comme six juges sur neuf reconnaissent l’existence d’une convention constitutionnelle, le gouvernement fédéral devra obtenir le consensus des provinces. Mme Solange Chaput-Rolland, ancienne membre de la commission Pépin-Robarts sur l’unité canadienne, et José Woehrling, professeur de droit constitutionnel à l’Université de Montréal, expliquent le jugement de la Cour suprême. À l’unanimité, les juges de la Cour suprême considèrent dans leur jugement que les modifications proposées par le fédéral affectent les droits des provinces. Par conséquent, une majorité de ces juges croient qu’une convention constitutionnelle oblige le fédéral à obtenir l’assentiment des provinces pour demander le rapatriement. Cinq juges sur sept pensent que celle-ci oblige le gouvernement fédéral à obtenir leur accord. Le fédéral décidera donc de ne pas outrepasser la position des provinces et tentera d’obtenir leur approbation. Le premier ministre de la Colombie-Britannique et porte-parole de l’alliance des huit, Bill Bennett, se réjouit de la décision de la Cour suprême.
Le gouvernement Trudeau se voit en quelque sorte forcé à négocier avec les provinces. À l’annonce du jugement, Pierre Elliott Trudeau est en Océanie. Il va profiter des rencontres du Commonwealth à Melbourne pour commencer son « lobbying » auprès de la reine. À son retour, le premier ministre va convoquer une conférence des premiers ministres provinciaux afin d’obtenir l’appui d’une majorité d’entre eux.


PET portait une admiration sans borne au sanguinaire leader communiste.

– Le gouvernement péquiste exige du gouvernement Harper qu’il «ouvre les livres» du Conseil privé pour faire toute la lumière sur cette affaire trouble. – Face au refus aussi rapide que prévisible d’Ottawa, le ministre Alexandre Cloutier annonce que le gouvernement Marois préparerait «une offensive», dont on attend les détails.
– Voyant sa crédibilité remise en cause ouvertement, l’adjoint exécutif juridique de la Cour suprême réagit à la vitesse de l’éclair en ces brefs termes: «La Cour attache une très grande importance à son indépendance institutionnelle et à la confidentialité de ses délibérations, et elle examine présentement la teneur de ces allégations». S’il n’y aura évidemment pas d’«enquête» de la Cour sur la Cour, sa réaction rapide trahit tout de même une certaine inquiétude. Quoiqu’il serait fort étonnant, pour ne pas dire inconcevable, que la Cour suprême en vienne à conclure à sa propre perte de crédibilité…
– Constitutionnalistes et politologues interviewés dénoncent quant à eux le comportement allégué du juge Laskin (décédé en 1984). Ils demandent aussi que le gouvernement Harper «ouvre ses livres». Le tout, en faisant remarquer avec raison, que la constitution de 82 continuera malgré tout à s’appliquer au Québec. Publicité
– Constatant le caractère grave des allégations, certains experts proposent carrément le déclenchement d’une enquête indépendante. Un minimum dans les circonstances. – Dans les médias anglophones, d’ici et hors Québec, on rapporte l’histoire, mais on la commente peu.
– À Ottawa, on banalise et réduit le tout à des «vieilles chicanes» du passé. La réaction de Justin Trudeau — futur chef du PLC et fils de Pierre Trudeau -, s’en fait l’écho parfait.
– À Québec, le Parti libéral de Philippe Couillard marche sur des œufs tout en demandant, timidement, de faire la lumière. – Côté CAQ, la réaction de François Legault voulant que cette histoire n’ait plus d’importance aujourd’hui, en laisse plusieurs pantois et fait décrocher bien des mâchoires. Qu’un chef de parti se comporte de manière à banaliser une question pourtant centrale à l’existence politique du Québec risque de laisser des traces. De le voir contribuer ainsi à endormir une population qui a pourtant grand besoin de retrouver sa conscience politique nonobstant les convictions de chacun sur cette question cruciale, en laissera plusieurs sur leur faim.
– Jeudi soir, sur les ondes de RDI à 24 heures en 60 minutes, l’ex-premier ministre Lucien Bouchard, pourtant un proche de M. Legault, se fait cinglant et qualifie la réaction du chef caquiste d’«inacceptable» : «Comment un chef de parti, qui veut devenir un jour premier ministre du Québec peut réagir de façon aussi légère à quelque chose d’aussi important, qui est au cœur même de la vie constitutionnelle canadienne? N’oublions pas que le rapatriement, la Charte, du côté de beaucoup de gens, c’est perçu comme l’acte fondateur du Canada moderne.» – Pour les caquistes, ce retour en force de la question constitutionnelle prouve que contrairement à leur principal mantra, elle est loin d’être enterrée. Pour les libéraux et les caquistes, l’intervention de Lucien Bouchard leur met une pression considérable en les enjoignant publiquement de se réveiller sur l’«affaire» de la bataille de Londres.
– Au gouvernement Marois, nul doute qu’on entend se servir du tout pour faire la «pédagogie» d’une telle duperie. Ayant exigé du Conseil privé canadien qu’il «ouvre ses livres», il reste cependant à voir s’il sera également capable, ou non, d’aller au-delà de la rhétorique de dénonciation pour reprendre la promotion de son option comme étant sa véritable réponse…
Le vrai visage de Pierre Elliott Trudeau, Les Intouchables,
Il y a 37 ans entrait en vigueur, le 17 avril 1982, une importante modification de la constitution du Canada, la Loi constitutionnelle de 1982, qui a donné naissance à la Charte canadienne des droits et libertés. Cette charte a été imposée par Trudeau au Québec avec l’accord des neuf provinces anglophones. Trudeau a reconnu en 1986 « qu’à cette dernière étape il fallait presque un putsch, un coup de force. »
EN CONCLUSION
Étant donné que François Legault,l’homme d’affaire multimillionnaire est devenu premier ministre du Québec,nous avons tout à craindre d’un formatage des cerveaux de la jeunesse actuelle,au Québec.
François Legault est devenu premier ministre du Québec suite à « l’écoueurantite aigüe » qui a marqué le règne des libéraux (2003-2012,2014-2018) .La loi 21 sur la laïcité va réveiller la franc maçonnerie,le crime organisé et les migrants djihadistes et autres que Justin Trudeau a laissé entrer …librement!C’est l' »État Profond » qui a largué les libéraux (contrôlé par la famille Desmarais et leurs alliés).
J’avais prédit l’élection de François Legault en 2018 suite à cette décision des Desmarais:tantôt la CAQ et Legault auront des comptes à rendre!
Il est important pour les Illuminatis et leNouvel Ordre Mondial que les québécois de souche restent endormis et abrutis par le travail en attendant leur mise en minorité par l’immigration massive…Legault semble rentrer dans leur jeu!
Si le peuple québécois se réveille à temps,il se rendra compte qu’il se fait « fourrer » à chaque élection.
Encore une fois,je le répète:Si les élections,au Québec ou/et même au Canada pouvaient servir à changer quelque chose,on les enlèverait et on les rendrait illégales!
Seule la désobéissance civile bien organisée pourrait changer ce système basé sur l’élite et l’oligarchie financière bourgeoise!Le système canadien actuel est né dans la tête de Pierre Elioth Trudeau,le franc maçon ,et est basé sur la division du peuple par la multi-ethnicité et le mondialisme.Souvenez-vous comment le petit Justin était à genoux devant Donald Trump quand celui-ci ait réclamé un nouvel ALENA!

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