La Sexualité Sacrée:le Festival de Woodstock en 1969 et l’apologie du sexe et de la drogue

S’il-vous-plait:lisez l’article jusqu’à la fin,du à son importance!Merci

 

Le festival de Woodstock est l’ un des festivals de rock  des plus célèbres dans l’Histoire de l’art et de la musique. Il est le plus célèbre dans l’ histoire de la communauté Hippie dans le monde . Woodstock 1969

Photographie aérienne du site,en 1969.
Photographie aérienne du site,en 1969.

Il a eu lieu dans une ferme de Bethel, New York ,entre  le 15  et  17 août 1969. Il s’est,en fait, terminé dans la matinée du 18 Août, 1969. Le festival est nommé d’ après Woodstock , car il a été initialement prévu pour avoir lieu dans le village de Woodstock dans le Ulster County, État de New York,

De fait, Woodstock a été l’ un des meilleurs festivals de musique et de  l’histoire de l’ art. Il a rassemblé 400,000 spectateurs tandis que 500,000 disent qu’ils ont été là. L’organisation attendait  60.000 tandis que le nombre de personnes estimé par la police de New York était de 6000, et il est estimé que 250 000 ne pouvait pas atteindre l’endroit. L’entrée coûtait  US $ 18 ,pour  le temps de la période  pendant 3 jours.

 

Pendant le festival,des  nuits intenses de sexe et de la drogue ont été expérimentés, mettant en évidence l’utilisation du LSD et de marijuana; tout cela épicé avec la musique rock.Il semble que le Nouvel Ordre Mondial qui a récupéré par la suite ce mouvement par l’apport pécuniaire de la chose et une évaluation  du contrôle des masses  par des drogues hallucinogènes,serait à l’origine du déclenchement de cet événement très populaire.

L’événement ,malgré tout ce que l’on pourra en dire,aura rapporté des milliards de dollars au crime organisé!

Voici donc une collection de photos  retirées des archives,parfois chaudes,de ce  party qui aurait pu très mal tourné:

 

De nombreux artistes en herbe étaient présents.
De nombreux artistes en herbe étaient présents.

 

La densité de la foule au moment le plus hot!
La densité de la foule au moment le plus hot!

 

Il faisait vraiment chaud...en août 1969!
Il faisait vraiment chaud…en août 1969!
Le rythme!
Le rythme!

 

Oeace and Love!
Peace and Love!

 

Certaines se firent créatruces de mode et influencèrent d'autres grands créateurs!
Certaines se firent créatrices de mode et influencèrent d’autres grands créateurs!

 

Les abords de la route.
Les abords de la route.

 

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Il y avait des plans d'eau proches de l'endroit.
Il y avait des plans d’eau proches de l’endroit.

 

 

Une plaque commémorative a été érigée sur les lieux du spectacle.
Une plaque commémorative a été érigée sur les lieux du spectacle.

 


Le festival hippie de Woodstock fut un banc d’essai pour la CIA

 

Jimmy Hendrix:le plus grand guitariste de l'histoire américaine récente.
Jimmy Hendrix:le plus grand guitariste de l’histoire américaine récente.

On parle beaucoup des raves parties à base de transe sonore et chimique. Les victimes officiellement identifiées – malgré la désinformation – ne font que cacher les ravages psychiques sur le long terme, moins apparents mais considérables. Avec les rave parties et la techno, on pense qu’on est loin du temps des fleurs dans les cheveux et des joyeux rassemblements hippies des années 60. Mais tout a commencé à Woodstock à la fin de la folle décennie des sixties. C’est dans ce coin de campagne du nordde l’État de New York que les services secrets américains ont parqué un demi million de jeunes pour se livrer à la plus grande expérience de manipulation collective de l’histoire du rock, et sans doute de l’histoire tout court.

On avait connu le concert de Monterey, en Californie, au milieu des années 60. Et il est vrai qu’avec ses 100 000 participants – une première dans l’histoire des mouvements de jeunes – le test fut un succès. Mais Woodstock allait être ce que le magazine Timecélébra comme un «Festival du Verseau» et le «plus grand événement de l’histoire.» Le terme «Verseau» avait été soigneusement choisi. L’Âge du Verseau signifiait que l’Âge des Poissons – qui est l’ère du Christ – avait pris fin.

Le terrain juste avant la pluie.
Le terrain juste avant la pluie.

Le 15 août 1969, à Woodstock – petite ville située au nord de l’État de New York, 500 000 jeunes se réunirent pour se droguer et se faire laver le cerveau sur le terrain d’une ferme. Les victimes furent isolées sans possibilité de retour, laissées dans la boue et les ordures, et on leur fit absorber des drogues psychédéliques en les tenant éveillées, durant trois jours entiers, dans un déluge de décibels. Tout cela avec la totale complicité du FBI et des fonctionnaires du gouvernement des États-Unis. La sécurité du concert était assurée par une communauté hippie – truffée d’agents spéciaux – entraînée à la distribution de masse de LSD et à l’assistance psychologique.

Artie Kornfeld en 1969...avant de devenir multimillionaire.
Artie Kornfeld en 1969…avant de devenir multimillionaire.

 

Photo récente d'Artie Kornfeld
Photo récente d’Artie Kornfeld

 

Après avoir organisé la propagande et le succès de groupes comme les Beatles et les Rolling Stones, c’est encore le service de renseignement militaire britannique qui fut l’initiateur de cette opération. Woodstock était le «coup de génie» d’Artie Kornfeld, le directeur du Contemporary Projects Division, filiale de Capitol Records et d’EMI – ces curieuses «maisons de disques» dissimulant des recherches militaires. Les fans du rock libertaire des années 60 ne se doutent pas que les disques de leurs idoles «révoltées et antimilitaristes» étaient produits par l’armée britannique !

Le LSD était presque donné afin d'en répandre l'usage.
Le LSD était presque donné afin d’en répandre l’usage.

Le financement du festival de Woodstock fut opéré par l’héritier d’une grande firme pharmaceutique de Pennsylvanie, John Roberts, et deux autres associés. Quand il est question de drogue et d’expérimentation psychiatrique, le lobby pharmaceutique n’est jamais loin. C’est une autre société pharmaceutique, le laboratoire Sandoz, en Suisse, qui avait été la première à synthétiser le LSD vanté comme la «drogue magique» avec le soutien d’universitaires déguisés en apôtres hippies, comme Timothy Leary, propagandiste fanatique de l’usage du LSD, travaillant pour le compte de la CIA.

John Roberts, le sponsor de Woodstock, fut accusé plus tard d’avoir utilisé sa société pour l’intoxication massive des spectateurs.

De nombreux accidents sont survenu durant le festival ,mais les ambulances ne pouvaient s'y rendre.
De nombreux accidents sont survenu durant le festival ,mais les ambulances ne pouvaient s’y rendre.

De petites préparations adéquates furent réalisées pour le demi-million de jeunes qui se rendirent à la fête. Joel Rosenmann, l’un des trois associés, a écrit, alors que le moment du concert approchait: «La nourriture et l’eau vont être en quantité insuffisante; les installations sanitaires surtaxées, les plaintes peu nombreuse et la drogue en surabondance…» Pire que tout «…il n’y aura aucune possibilité pour quiconque le désirerait de s’en aller.» C’est ce qui s’appelle un piège.

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«S’asseoir sur ses excréments faisait effectivement partie du plan !», comme le décrit avec cynisme John Roberts.

Une communauté hippie nommée la Hog Farm eut un rôle spécial à Woodstock. La Hog Farm était dirigée par un homme surnommé Wavy Graver, un ancien membre du projet MK-Ultra (CIA). Des communautés comme la Hog Farm étaient fréquentes dans les recoins de la Californie et servaient de repaires aux groupes sataniques aussi bien qu’aux terroristes d’extrême gauche. Des membres de ces communautés s’échangeaient continuellement avec d’autres et constituaient un vivier de recrutement pour la Process Church – l’église sataniste de Charles Manson.

Rare photo de membres de la Hog Farm en route vers Woodstock en 1969.
Rare photo de membres de la Hog Farm en route vers Woodstock en 1969.

Le 14 août, un jour avant l’opération prévue, on mit hors service la totalité de la force de sécurité composée de 350 policiers new-yorkais, qui se retirèrent. Un porte-parole de la police de New York prétendit qu’aucun arrangement officiel n’avait été pris avec la ville, une assertion que les promoteurs démentirent avec véhémence. Dans un article du New York Times du 15 août 1969, le chef de la sécurité de Woodstock déclara: «Maintenant, je n’ai plus de sécurité du tout. On m’a trompé. Nous avons le plus grand rassemblement de jeunes qu’il n’y ait jamais eu dans ce pays, sans aucune protection policière.» Sans surprise, la Hog Farm fut chargée de la sécurité.

John Roberts, le fondateur et directeur du festival de Woodstock, admit ouvertement qu’il était conscient des implications de la Hog Farm dans la distribution de drogues. Il écrit: «Leur tâche était simplement d’amener les gens au festival et de les en faire repartir. Une force de maintien de l’ordre qui ressemblait, parlait et ressentait les choses comme la foule, serait à la fois hautement crédible et efficace… et le plus important, ils étaient bons connaisseurs en matière de drogues, distinguant les bons des mauvais acides, les bons trips des mauvais délires, les bons médicaments des poisons, etc.»

La Hog Farm vivait à cette époque dans les montagnes du Nouveau Mexique. L’industriel pharmaceutique John Roberts fit affréter un Boeing 727 pour un coût de 17 000 dollars afin de ramener une centaine de membres de la communauté hippie à l’autre bout de l’Amérique !

Pour peaufiner l’intoxication planifiée d’un demi-million de jeunes, le procureur de la région accepta en privé le fait qu’il n’y aurait aucune arrestation ni poursuite pour violation des lois sur les stupéfiants. John Roberts écrit: «Le procureur admit très tôt que nos consommateurs utiliseraient des drogues illégales, mais reconnut également qu’un tel usage serait le cadet de ses problèmes l’espace d’un week-end. Il agit avec compréhension et bonne grâce durant tout le déroulement.» Roberts était en contact avec le FBI et était assuré de sa totale coopération.

ca. August 15-17, 1969, Near Bethel, New York, USA --- Hog Farm members ride in a bus to the free Woodstock Music and Art Fair. About 450,000 people attended the three day concert, which turned into chaos due to the crowds, heavy rains, and traffic jams. It is nonetheless romantically remembered as a symbol of the liberal spirit of the hippie generation.  The Hog Farm collective ran the free kitchen and the "Freak-Out Tent" for people tripping on hallucinogens. --- Image by © Henry Diltz/CORBIS
ca. August 15-17, 1969, Near Bethel, New York, USA — Hog Farm members ride in a bus to the free Woodstock Music and Art Fair. About 450,000 people attended the three day concert, which turned into chaos due to the crowds, heavy rains, and traffic jams. It is nonetheless romantically remembered as a symbol of the liberal spirit of the hippie generation. The Hog Farm collective ran the free kitchen and the « Freak-Out Tent » for people tripping on hallucinogens. 

L’expérience commence

Deux jours avant le début programmé du concert, 50 000 jeunes étaient déjà arrivés à Woodstock. Les drogues commencèrent à circuler immédiatement. Beaucoup de gens amenèrent leurs bébés et leurs jeunes enfants, et comme le dit Roberts, même eux étaient drogués. Il écrit qu’aux environs du lac: «Les tout-petits nageaient, fumaient de l’herbe et s’ébattaient en musique.»

Un sondage réalisé au festival par le New York Times montra que 99 % des participants prenaient de la marijuana. Les adjoints au shérif local, complètement débordés, rapportèrent qu’aucune arrestation n’avait été effectuée pour usage de drogue. Le New York Times du 17 août cite un agent: «Si nous avions arrêté les gens, il n’y aurait pas eu assez de place au centre pénitentiaire de Sullivan ni même dans ceux des trois provinces environnantes.»

L’usage de la marijuana n’était pas le pire. Suivant le déroulement établi lors du projet MK-Ultra, vint ensuite la distribution massive de LSD mélangé à du Coca-Cola. Roberts relate: «On avait tendu un Coca au LSD à un flic tandis qu’il faisait la circulation. Longtemps après, toutes les automobiles s’étaient figées à l’arrêt, mais le gars continuait à faire des signes, dans le vague.»

Pendant les trois jours suivants, ce demi-million de jeunes fut soumis à de continuelles prises de drogues et à l’écoute de groupes de rock qui défilaient.

À cause des pluies torrentielles, ils furent obligés de patauger dans la boue jusqu’aux genoux. Il n’y avait pas d’abri, et aucun moyen de sortir car les voitures étaient garées à plus de 10 km. Rosenmann écrit que la clé de «l’expérience de Woodstock résidait dans le fait que nos artistes continuent à se produire en continu… pour garder les jeunes défoncés.»

Dans les premières 24 heures, plus de 300 jeunes se présentèrent aux permanences médicales, violemment malades. Le diagnostic: ils avaient eu un mauvais trip. Des milliers d’autres suivront. Le 17 août, le New York Times rapporta: «Cette nuit, un annonceur du festival a lancé une mise en garde depuis la scène pour prévenir que des acides présentant des défauts de fabrication étaient en circulation.» Cet organisateur déclara: «Vous n’êtes pas en train de prendre des acides empoisonnés – l’acide n’est pas un poison. Il est juste mal fabriqué. Vous n’allez pas mourir… donc, si vous pensiez que vous avez pris du poison, ce n’est plus le cas. Mais si vous êtes inquiets, prenez seulement une demi-tablette.»

Et qui était cet annonceur qui recommandait à 500 000 jeunes Américains de ne prendre qu’une demi-tablette de LSD en cas de doute? C’était l’agent du projet MK-Ultra, Wavy Gravy en personne, preuve que la CIA était derrière l’opération.

Mais la catastrophe sanitaire allant croissant, un appel fut lancé à la ville de New-York pour envoyer d’urgence du personnel médical. Plus de 50 médecins et infirmières furent dépêchés par avion. À la fin du festival, on rapporta un total de 5 000 cas médicaux.

L’expérience fut-elle jugée concluante pour les expérimentateurs des services secrets ? Ces gens-là ne confient pas les résultats de leurs manipulations et de leurs crimes. Mais, quoi qu’il en soit, cette opération promotionnelle d’envergure pour le LSD fut un succès à travers le monde. Et Woodstock fut présenté comme un grand moment de «paix» et d’»amour.»

Altamont: Faut qu’ça saigne !

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Le dernier grand festival des années 60 fut organisé sur le circuit d’Altamont, à l’extérieur de San Francisco avec les Rolling Stones en vedette. L’idée de ce concert vint de Ken Kesey, le responsable du projet MK-Ultra de la CIA. Cette fois, ce fut une frénésie collective, une orgie entraînant tous les excès avec des dizaines de blessés et plusieurs morts.

Le concert se déroula avec moins de préparation et de commodités qu’à Woodstock: pas d’eau, pas de nourriture, pas de sanitaires. Le contraire d’une organisation à l’américaine. Par contre, on pouvait trouver toutes les drogues.

Les maîtres du jeu, les Rolling Stones, avaient engagé pour la sécurité le gang des motards Hell’s Angels («les anges de l’enfer») connus pour leur brutalité. On ne pouvait faire pire. Les Hell’s Angels organisaient le trafic de drogues tout en se livrant à leurs jeux favoris: insultes, bagarres, viols.

Pour faire monter encore plus la pression, on fit attendre près d’un demi-million de jeunes en retardant d’une heure la prestation des Rolling Stones. Ainsi, Mick Jagger, l’ange en rouge et noir, singeant Lucifer dans sa cape en satin, n’eut qu’à cueillir le public drogué, privé de nourriture et d’eau.

Dans l'attente des Rolling Stones
Dans l’attente des Rolling Stones

 

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Mick Jagger chant Gimme Shelter.
Mick Jagger chantant  Gimme Shelter.

 

La violence des Hell Angels s'installe et Mick Jagger s'arrête un instant de chanter.
La violence des Hell Angels s’installe et Mick Jagger s’arrête un instant de chanter.

 

Meredith hunter juste avant son meurtre...sur la bobine de film enregistrée.
Meredith hunter juste avant son meurtre…sur la bobine de film enregistrée.

 

Meredith Hunter vient d'être poignardé à mort sous l'oeil complice de milliers de fans de Mick Jagger,le sataniste.
Meredith Hunter vient d’être poignardé à mort sous l’oeil complice de milliers de fans de Mick Jagger,le sataniste.

 

Les Hells Angels attaquaient littéralement les gens autour d'eux!
Les Hells Angels attaquaient littéralement les gens autour d’eux!

 

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L’écrivain Sanchez décrit un rituel satanique planifié: «Dès que le groupe commença à jouer, plusieurs jeunes se débarrassèrent de leurs vêtements (malgré le froid de l’hiver) et rampèrent vers la scène comme si c’était un autel haut placé, pour s’offrir comme victimes aux coups et aux bottes des Hell’s Angels qui cognaient. Plus ils étaient battus et plus ils revenaient à la charge, comme mus par une force surnaturelle. Debout au devant de la scène, Meredith Hunter, un jeune noir, allait bientôt être choisi pour le sacrifice humain.

Les Rolling Stones venaient de sortir leur nouvelle chanson intitulée Sympathy for the Devil («Sympathie pour le Diable») qui était devenu rapidement n°1. Au début de la chanson, Mick Jagger se présente lui-même en tant que Lucifer. Dès qu’il se mit à chanter, le public dansa dans une sorte de frénésie sauvage.

Sanchez décrit ce qui s’est passé ensuite: «Un gros Hell’s Angel fort comme un grizzly avait foncé sur Meredith pour lui tirer les cheveux en guise de provocation. Une bagarre éclata. Cinq autres Angels foncèrent dans le tas pour aider leur pote, tandis que Meredith cherchait à s’échapper de la foule compacte. On l’attrapa par le bras et lui planta un coup de couteau dans le dos. Le couteau ne pénétra pas profondément, mais Meredith, qui savait qu’il se battait pour sauver sa peau, sortit un revolver de sa poche et le pointa sur la poitrine de son agresseur. À ce moment-là, les Angels lui sautèrent dessus comme une meute de loups. L’un d’eux lui arracha son arme, et un autre le poignarda au visage, puis encore un autre le poignarda à répétition comme un fou, dans le dos, jusqu’à ce qu’il s’effondre.»

Il n’a jamais été prouvé que Meredith avait une arme à feu. Personne ne fut inculpé.

Durant cette tuerie sanglante se déroulant juste à leurs pieds, les Rolling Stones continuèrent à jouer «Sympathie pour le Diable.» La scène entière fut tournée par une équipe engagée pour filmer le concert. Et peu de temps après, le film devint un succès commercial sous le titre d’une des chansons des Rolling Stones: Gimme Shelter («Donne-moi un abri»). À l’issue du meurtre, Mick Jagger s’était arrêté de chanter un instant, mais il reprit son show satanique. On pense que la tragédie fut mise au point par des satanistes qui font le trafic de snuff films, les films de meurtres réels.

Mais la question demeure: «Quel est le but des services secrets dans ces expériences de manipulation de masse ?» Observation scientifique pour la mise au point de drogues de synthèse ? Volonté de faire tomber la jeunesse vers le bas pour la contrôler ? Ou bien encore, mises en scène de rituels de magie noire à grande échelle pour satisfaire les pulsions des membres de l’élite ? C’est certainement pour toutes ces raisons qu’au tournant des années cinquante fut lancé le plan «Sexe, drogue et rock’n roll.»

Peut-on en déduire que la plupart des modes et des courants culturels relèvent d’une expérimentation planifiée ? Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne le mouvement de jeunesse des années soixante, on a la preuve avec Woodstock que tout a été manipulé dans une perspective politique. La jeunesse est volontairement poussée vers le bas pour s’adapter et se soumettre à l’Ordre Mondial. Elle est avilie, rendue inconsciente. Et si la drogue circule librement dans les écoles, c’est que telle est la volonté de nos gouvernants.

Mick Jagger
Mick Jagger

 

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Joe Cocker

 

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Mick Jagger,le sataniste et Magareth Trudeau,la mère de Justin Trudeau,franc maçonne.
Mick Jagger,le sataniste et Magareth Trudeau,la mère de Justin Trudeau,franc maçonne.

 

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Fin du festival.
Fin du festival.

 


HORS TEXTE

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Albert Hofmann, l’inventeur du LSD, une découverte médicale devenue une substance illicite notoire, est mort mardi 29 avril 2009 à l’âge de 102 ans. (comme quoi de détruire le goy cela permet de vivre vieux).

Cette drogue hallucinogène a été utilisée par des millions de personnes – et causa sans doute de nombreux dommages psychologiques – dans les années 1960, quand elle devint la drogue numéro un du mouvement hippie.

Le chimiste suisse a découvert par accident le LSD, ou diéthylamide de l’acide lysergique, en étudiant et en manipulant les alcaloïdes de l’ergot du seigle, alors qu’il travaillait pour la firme pharmaceutique Sandoz, basée à Bale. Hofmann espérait créer un stimulant respiratoire et circulatoire.

Il devint le premier cobaye humain du LSD le 16 avril 1943, quand une petite quantité de substance se déposa sur sa main au cours d’une manipulation. Rapidement, Hofmann est pris d’angoisse, de vertiges, de visions surnaturelles et se sent empreint d’un sentiment de plénitude et de bonheur. Un nouveau test réalisé quelques jours plus tard produit les mêmes effets, avec toutefois plus d’angoisse.

Pour Hofmann, le LSD peut être utile en psychiatrie et Sandoz le commercialise en 1947 sous le nom de Delysid, encourageant des médecins à l’essayer.

Le LSD est alors utilisé en neurologie et en psychiatrie afin d’éveiller des malades amorphes n’ayant plus de réaction aux médicaments. Il s’agissait d’une des plus fortes drogues de la médecine, un gramme pouvant faire un effet pendant 12 heures sur 10.000 personnes.

Cependant dans les années 1960, le LSD, consommé dans le mouvement hippie, s’est montré extrêmement dangereux, avec des dommages psychologiques permanents pour les gros consommateurs, des suicides et des meurtres.

En 1966, la substance finit par être interdite aux États-Unis, puis par les autres pays et Sandoz arrête sa fabrication.


UN DERNIER REGARD SUR WOODSTOCK FESTIVAL

Pas sûr qu'ils carburent seulement à l'eau minérale. Pour Grandpa Woodstock et son épouse Queen Estar, le temps s'est arrêté en août 1969.
Pas sûr qu’ils carburent seulement à l’eau minérale.
Pour Grandpa Woodstock et son épouse Queen Estar, le temps s’est arrêté en août 1969.

 

 

 

Source: le site web d’origine a été aboli…j’avais recueilli les infos avant la fermeture:vive la vraie démocratie du peuple!À bas la dictature néolibérale de la franc maçonnerie et du crime organisé!

 

 

5 commentaires sur “La Sexualité Sacrée:le Festival de Woodstock en 1969 et l’apologie du sexe et de la drogue

    1. Non,je ne pratique pas la censure,mais j’ai trouvé votre commentaire tendancieux,compte tenu du temps énorme que j’ai consacré à cet article,moi et 3 autres personnes.
      Vous l’ignorez peut-être,mais nous sommes sérieux dans notre travail.
      Si vous voulez défendre les satanistes que sont Mick Jagger et la race des Trudeau,bien à vous!

  1. reportage sérieux , toute mon approbation sur les remarques faites quant à la déchéance menée par des individus comme jagger et d’autres – le monde git dans le méchant (la Bible 1Jean5) Sous le regard de Satan le prince de ce monde ( la BIBLE

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