Histoire des ovnis: voici une liste de témoignages répertoriés de 1661 à 1861

Belozero – Russie ( 15 août 1663 )
Extrait du rapport du monastère St Cyrille: « Le paysan Levka Fedorov du village de Mys m’a dit ce qui suit: … de diverses terres et de divers domaines se tenaient des gens à la messe,… en grande foule.. et à ce moment-là retentit, venant des cieux, un bruit très fort et beaucoup de gens sortirent sur le parvis et virent… du côté hivernal du plus clair des cieux, non d’un nuage, sortit un grand feu sur Roboziero et se dirigea vers le Midi, le long du lac, au-dessus de l’eau et avait cette flamme vingt sagènes (1 sagène = 2,13 m) et davantage de toutes parts, et une fumée bleue était à côté et devenant la flamme, sur vingt sagènes, deux rayons de feu aussi … et du grand feu et des deux flammes plus petites, plus rien ne fut. Après une heure environ, le même feu revint à nouveau sur le lac, de la place même où il avait la première fois disparu et alla du midi vers l’ouest sur une demi-verste (1 verste = 1.066m) et disparut de la même manière. La troisième fois ce feu devint plus effrayant que la première par sa grandeur et par la suite s’en alla vers l’ouest. Et resta en tout sur Roboziero, ce feu, au-dessus du lac, environ une heure et demie et ledit lac à deux verstes en long et une en travers… Sur le lac naviguaient des paysans dans une barque et la flamme de ce feu était si brûlante qu’ils ne purent s’en approcher. Et le lac lui était éclairé jusqu’au fond, au plus profond, au centre il, ce lac, quatre sagènes et le poisson qui s’enfuyait vers les rives, tous l’ont vu et en dessous du feu, l’eau devenait par la flamme, comme couverte de rouille.

Leipzig – Allemagne ( 23 mars 1665 )
Il y aurait eu une chute tellement abondante de filaments de soie bleue, que des champs entiers en furent recouverts. Ces filaments seraient tombés du ciel et s’accrochaient aux pieds des hommes et des animaux. (Inforespace n° 52 – 1980, p. 3)

Mer dans la Manche ( 8 février 1672 )
 » A une heure après mydy par le temps du monde le plus serain, s’est apparue à nous une estoille au-dessus de nostre teste, environ de la longueur de quinze pieds. De là est allée tomber du costé du nort, lessant une fumée qui s’est formée en deux navirs avec chacun leurs deux hunières et la mizene et leurs grandes voiles serrés et envergés, ayant tous deux le devant au sus. Celuy du nort estoit plus grand que celuy du sus. Et comme ils alloient ainsy, ils se sont séparés environ de quatre pieds de large l’un de l’autre, au milieu desquels s’est formé un autre navire, paroissant plus gros que les autres, tout noir, nous monstrant le derrière et tournant le devant au nort, sans aucune voile mais pourtant garny de ses mas, vergues et cordages, comme s’il avait esté à l’ancre. Ce qui nous a paru l’espace d’une grosse demi heure. Et puis après, s’estant point ensemble, se sont dissipés en allant du costés du sus sans en lesser aucune marque…

Nous sommes surveillés depuis longtemps,il semble!
Nous sommes surveillés depuis longtemps,il semble!

Grenade – Espagne ( 1677 )
Pierre Boutard, officier à bord du brûlot  » La Maligne  » note dans le livre du bord:  » le jeudy 30ème décembre 1677 le matin su les 4 heures, nous avons veu unne estoille o nord/ouest 1/4 d’ouest et a finy du suest 1/4 d’est, mais portant une grande lumière que nous croyons tous dens nostre bord que le feu fut partout, mais elle estoit acompengnée de plus de 200 rayons portant tous un clerté sans pareille, que nous estions tous esperdus. Nous mouliame sur les 9 ou 10 heures du matin à la pettite rade de la Grenade ».

Crosford, Nanark – Ecosse ( juin et juillet 1686 )
Du chroniqueur Patrick Malker:  » … près le bac de Crosford, deux miles au-dessous de Nanark et particulièrement aux Mains, sur la rivière de la Clyde, une grande foule se rassembla plusieurs fois l’après-midi. Il y avait là une pluie de bonnets, de drapeaux, de fusils et d’épées. Les arbres et le terrain en étaient couverts. Des compagnies d’hommes armés marchaient en ordre le long de la rivière , des compagnies rencontrant des compagnies se ruaient les unes contre les autres et tombant à terre, disparaissaient. D’autres réapparaissaient immédiatement et marchaient dans la même direction… ceux qui avaient vu étaient saisis d’une telle frayeur et d’un tel tremblement que ceux qui n’avaient pas vu en étaient troublés ».

 

Kunmin ( province de Yun’nan ) – Chine ( 1688 )
Notes du Gu-Sheng, chap. 6:  » Entre la fin du printemps et le début de l’été de l’an vingt-sept sous le règne de l’empereur Kangxi de la dynastie des Qing, mon beau frère Bixilin se rendit chez lui dans les montagnes à 20 kilomètres de la ville de Kunmin. Pendant son séjour, il vit chaque midi, lorsqu’il faisait beau, un grand couvercle jeune comme un parapluie monter lentement d’une crête. Cette chose jetait de brillantes lumières qu’il n’osa pas regarder en face. Elle prenait de la hauteur et pénétrait dans les nuages. Peu après elle descendait, toujours lentement, pour remonter et redescendre de la même façon. Quand la nuit tombait, l’objet volant perdait l’éclat de sa couleur jaune et devenait plus pâle et flou. Il disparaissait complètement lorsque le ciel devenait noir « .

 

Pays de Galles – Grande Bretagne ( 1692 )
D’après  » Morden’s Atlas of Wales « : « une exhalation ardente traversa la mer et mit le feu à des meules de foin, aux champs de blé et à des granges, tout près de Harlech. Cette chose infecta l’herbe mais elle n’était pas dangereuse pour les hommes, même pour ceux qui se sont trouvés au beau milieu d’elle. Cela se produisait toujours à la nuit tombée, le plus souvent un samedi ou un dimanche, et cela dura pendant quelques mois. La seule façon de l’éteindre et la faire fuir était de sonner d’une corne de chasse ou de tirer des coups de fusil… »

Dolgelly ( Pays de Galles ) – Grande Bretagne ( janvier 1694 )
Le curé de Dolgelly rapportait que  » seize meules de foin et deux granges avaient été brûlées par une sorte de vapeur enflammée que l’on voit souvent venir de la mer… »

Hambourg – Allemagne ( 4 novembre 1697 )
Une sorte d’énorme sphère très lumineuse, survola lentement Hambourg et d’autres villes du nord-ouest de l’Allemagne.

Hambourg – Allemagne ( 1697 )
Cette image montre un OVNI sur Hambourg le 4 novembre 1697. Les objets ont été décrits comme « deux roues rayonnantes » par la population.

Avignon – France ( 1699 )
Extrait de  » L’histoire du diocèse d’Avignon  » par l’abbé Granget: « Arrivé près de l’oratoire qui se trouve vis à vis de la chapelle de Notre Dame Ste Garde (St Didier, Vaucluse) je vis le ciel s’ouvrir, une grande lumière parut et bientôt j’aperçus trois globes de feu. Celui du milieu était élevé au-dessus des autres. Voilà me dis-je, les lumières dont on m’a parlé. Aussitôt je tombai à genoux et je bénis Dieu d’une si grande merveille. En même temps, deux nouvelles lumières apparurent mais un peu au-dessus de l’endroit où est la chapelle. Je m’avançai jusqu’à l’oratoire où se trouve représenté le mystère de la Résurrection de Jésus-Christ. Les deux globes s’unissent alors à celui du milieu et disparaissent.

Dolus ( Oléron ) France ( mardi de Pâques 1705 )
Pendant une procession on vit en l’air une croix lumineuse. Elle était longue d’environ 50 coudées et précéda la procession pendant près de deux heures. Elle s’arrêtait quand la procession s’arrêtait et disparut quand celle-ci entra dans l’église. Le temps était chaud, sans nuage, sans vent. La croix était presque couchée d’orient en occident; le pied était fort long. Plus de mille personnes la virent.

Upminster ( Essex ) – Grande Bretagne ( 3 avril 1707 )
William Derham vit un objet de forme pyramidale de couleur rouge. Il surgit environ un quart d’heure après le coucher du soleil.

Roumanie ( 5 février 1709 )
Un grand signe est apparu dans le ciel le 5 février, un vendredi. Deux larges colonnes de feu apparurent, l’une à l’ouest, l’autre à l’est et elles se déplacèrent jusqu’à former la lettre A. Elles se réunirent ensuite et se transformèrent en arc en ciel émettant une forte luminosité pendant trois heures avant de disparaître.

Leeds ( Yorkshire ) – Grande Bretagne ( 18 mai 1710 )
Vers 21 h 45 Ralph Thoresby vit au-dessus de Leeds un objet  » ressemblant à une trompette « .

Séville – Espagne ( 7 juin 1712 )
A la mort de la révérende mère Thérèse de Jésus du couvent de l’Assomption , il y eut de nombreux témoignages disant qu’au moment de sa mort une grande masse de lumière pyramidale descendit sur la couvent, tellement claire et resplendissante que tous qui la virent dans et hors de la ville furent rempli d’une grande joie.

Espagne ( 1 mars 1716 )
Le capitaine écrivit à l’époque: Ce 1er mars à 21 h 00 nous nous trouvions à 45°36′ de latitude, au large des côtes nord-ouest de l’Espagne, quand un nuage brillant apparut vers l’est, mais non loin du zénith. Il se divisa en un grand nombre de rayons lumineux, chacun d’eux ressemblant à la queue d’une comète. Ce corps lumineux apparut au nord-ouest par rapport à nous et continua à briller jusqu’au lendemain midi. Il se trouvait alors à une bonne distance du navire, juste avant de disparaître subitement « .

Martinique ( 6 mars 1717 )
Le chevalier de Ricouart, commandant la frégate  » La Valeur  » note dans son journal de bord : « A deux heures du matin nous allions un peu de l’avant, le cap au sud-est. Nous avons vu passer le long du bord comme manière d’un mast de bâtiment, qui estoit debout à deux pieds environ au-dessus de l’eau. »

Dieppe – France ( 30 mars 1719 )
Beaucoup de gens qui se promenaient le long de la plage ont vu une colonne de feu qui émettait une très vive lumière, laquelle s’approchant de la ville, a explosé avec un bruit pareil à trois tirs d’artillerie et tomba défaite en fumée, sur les murailles, sans faire aucun mal.

Ath ( Hainaut ) – Belgique ( 19 octobre 1726 )
Dans  » L’histoire de la ville de Ath  » relatée par Gilles Joseph de Boussu, on fait état de phénomènes qui jetèrent la panique dans la région. « Le 19 octobre, un samedi, ils s’élevèrent sur notre horizon, vers les sept heures et demie du soir, de gros nuages de feu, poussés par le vent du midi vers le septentrion. Ils paraissaient s’entrechoquer d’une manière épouvantable et cependant sans bruit. Le ciel, quoique serein, paraissait tout embrasé. L’on remarquait aussi, parmi ces pelotons de feu, de grands cercles lumineux, ouverts par le bas, qui se poussaient les uns les autres, ainsi que les ondes d’une mer agitée. Vers les onze heures ces phénomènes passèrent par-dessus la ville, ce qui continua fort avant dans la nuit, jetant l’épouvante et l’admiration partout « .

Vilvorde ( Brabant) – Belgique ( 29 octobre 1726 )
Vers neuf heures du soir et pendant deux heures consécutives on put voir dans le ciel des météores horribles et curieux venant parmi les nuages comme des éclairs et disparaissant de même. Leur aspect était des plus terribles.

Bologne – Italie ( 17 décembre 1728 )
Le 17 on en a vu une autre ayant l’apparence d’une croix, suivie de l’apparition d’un jeune homme à cheval, avec un casque sur la tête, orné de plumes, ce qui a provoqué parmi le peuple une grande consternation. Le 18, dans la province de Marca, on a éprouvé un violent tremblement de terre.

Florence – Italie ( 9 décembre 1731 )
Un nuage lumineux, se mouvant à grande vitesse, disparaît au delà de l’horizon avant un tremblement de terre. Etranges boules lumineuses dans le ciel. Un auteur du temps, Bianchini, ajoute qu’elles faisaient entendre un ronronnement bruyant et qu’il a pu distinguer des fenêtres.

Sheffield – Grande Bretagne ( 5 décembre 1737 )
Vers 17 h 00 M. Thomas Short fut le témoin de « l’apparition d’un nuage rouge foncé en dessous duquel se trouvait un corps lumineux qui envoyait des faisceaux de lumière très brillante. Cela ne ressemblait en rien aux aurores boréales car des rayons lumineux se déplaçaient lentement pendant quelques temps puis s’arrêtaient. Il fit soudain si chaud que je dus enlever ma chemise bien que je me trouvais dehors.

Toulon – France ( nuit du 23 au 24 février 1740 )
Dans la rade de Toulon un globe de feu fut aperçu. Il plongea ensuite dans la mer d’où il remonta comme une balle qui ricoche. Parvenu à une certaine hauteur il explosa et répandit divers globes de feu dont certains tombèrent dans la mer et d’autres sur la montagne.

Bradly, Selborne, Alresford – Grande Bretagne ( 21 septembre 1741 )
D’après le Wernerian Natural Historical Society Transactions (vol. 5, p.386) il serait tombé entre Bradly, Selborne et Alresford sur plusieurs dizaines de kilomètres carrés « comme des toiles d’araignées sous forme de flocons ou lambeaux, d’environ 3 cm de large sur 15 à 18 cm de long ». Apparemment cette chute se fit en quantités importantes et en deux fois. Après plusieurs heures d’accalmie, une seconde « averse » allait durer de 9 h du matin jusqu’au crépuscule. Le  » All the Year Around  » décrit le même phénomène mais précise que les trois localités forment un triangle de 13 km de côté et que la matière tomba à grande vitesse.

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Sussex – Grande Bretagne ( 12 décembre 1741 )
« Vers 12 h 00 ou 13 h 00 un terrible coup de tonnerre a été entendu en direction du nord. On aurait dit deux très gros canons ayant fait feu l’un après l’autre. Mais le roulement et l’écho ne ressemblaient pas à ceux qui se produisent lors d’un tir de canon. A 30 km à la ronde, toutes les maisons furent secouées ». Un autre témoin, chanoine à Canterbury, eut plus de chance. Le même jour, également vers 13 h 00 sa maison fut fortement secouée par ce qu’il prit pour un tremblement de terre. Mais il sortit précipitamment et vit alors « ce qui paraissait être un nuage d’orage dans le ciel et une boule de lumière qui passa très rapidement au-dessus de la région de l’est vers l’ouest. Cela avait commencé par deux grandes détonations comme des coups de canon. On aurait dit une très grande étoile filante en plein milieu du jour.

Castel-Nuovo et Rome – Italie ( 31 août 1743 )
Dans ses mémoires Girolamo-Giacomo Casanova, à peine âgé de 18 ans et n’ayant pas encore acquis la réputation de séducteur qu’on lui attribuera, écrit:  » De Terni j’allais à Cirocoli et de là à Castel-Nuovo, d’où je me rendis à Rome où j’arrivai le premier septembre à neuf heures du matin. Je ne dois point taire ici une circonstance particulière qui plaira à plus d’un lecteur, quelque ridicule qu’elle soit au fond. Une heure après Castel-Nuovo, l’air était calme et le ciel serein, j’aperçus à ma droite et à dix pas de moi une flamme pyramidale de la hauteur d’une coudée et élevée de quatre ou cinq pieds au-dessus du niveau du terrain. Cette apparition me frappa car elle semblait m’accompagner. Voulant l’étudier, je cherchai à m’en rapprocher, mais plus j’allais de son côté et plus elle s’éloignait de moi. Elle s’arrêtait dès que je m’arrêtais et, lorsque la partie du chemin que je traversais se trouvait bordée d’arbres, je cessais de la voir, mais je la retrouvais dès que le bord du chemin redevenait libre. J’essayai aussi de retourner sur mes pas, mais chaque fois elle disparaissait et ne se remontrait que lorsque je me dirigeais de nouveau vers Rome. Ce singulier fanal ne me quitta que lorsque la lumière du jour eut chassé les ténèbres. J’eus la prudence de n’en rien dire à personne « .

Westminster – Grande Bretagne ( 16 décembre 1743 )
Mortimer Cromwell, physicien, rentrait chez lui à 20 h 40 quand il vit de St James Park une lumière vers le sud ouest. Elle se déplaça en ondulant, et il la vit pendant 30 secondes. A l’avant une flamme lumineuse projetée vers l’arrière, suivie d’un feu rougeoyant dans une capsule opaque, suivie d’une longue queue devenant de plus en plus sombre vers la fin. La tête de cet objet en forme de têtard avait un diamètre apparent d’un demi degré, la queue une longueur de trois degrés et pour l’épaisseur 1/8 de degré.

Peibio ( pays de Galles ) – Grande Bretagne ( 1743 )
A Peibio, près de Holyhead deux fermiers occupés aux champs aperçurent « un vaisseau avec ses voiles, volant dans les airs. » L’objet venait du sud-est, soit de la direction du Mont Snowdon (Caernarvan) et se dirigeait vers les témoins. Ceux-ci ajoutent qu’une « bande d’oiseaux s’assembla pour regarder le phénomène puis se dispersa dans toutes les directions ». D’après les fermiers l’objet devait peser 90 tonnes et se déplaçait à une altitude d’environ 40 m. la « navire aérien » ressemblait aux vieux paquebots qui faisaient la navette entre Holyhead et l’Irlande. Ils voyaient parfaitement le fond du « navire » quand celui-ci passait quasiment à la verticale. Le temps était assez nuageux. D’après les témoins des observations similaires avaient déjà été faites dans la région dix ou vingt ans auparavant.

Londres – Grande Bretagne ( 27 mai 1744 )
M. Henry Baker vit peu après 23 heures un étrange objet en forme de trompette au-dessus de Somserset House au moment où cet engin insolite laissait échapper une flamme blanche.

Ecosse ( 23 juin 1744 )
De deux heures avant le crépuscule jusqu’à la nuit tombée au-dessus d’une colline écossaise: « une troupe d’hommes en armes » fut observée dans les airs par 27 témoins dont un magistrat.

Londres – Grande Bretagne ( 4 juillet 1745 )
Le révérend George Costard vit un engin en forme de trompette vers 20 h 00 au-dessus de Stanlake Broad.

Slavane – Norvege ( 15 avril 1752 )
Tremblement de terre précédé par un orage virulent et une étrange étoile de forme octogonale.

Augermannland – Suede ( 1752 )
Avant le tremblement de terre des boules de feu raient le ciel.

Fleet Dorset – Grande Bretagne ( 8 décembre 1753 )
Vers 11 h 45, par une journée ensoleillée, M. Cracker vit quelque chose ressemblant à un cerf-volant d’enfant mais brillant comme de l’argent, qui passait ça et là à travers les nuages.

Berkshire – Grande Bretagne ( 11 décembre 1753 )
Vers 17 h 00 dans une zone s’étendant de Londres au Kent, les évolutions d’un cerf-volant furent précédées d’une détonation sourde.

Turin – Italie ( 2 janvier 1756 )
Un explosion ébranla le ciel de Turin, juste après le passage d’un objet volant bleu qui, durant tout son vol, projeta des flammes. Il resta visible pendant 20 minutes.

Edimbourg – Ecosse ( 26 novembre 1757 )
Un objet conique a survolé la ville à grande vitesse. Avant de disparaître cet Ovni libéra trois satellites en forme de disque.

Liskeard ( Cornouailles ) – Grande Bretagne ( , 24 février 1759 )
A 22 heures une légère secousse tel un tremblement de terre se fit sentir: c’était un mouvement vibratoire qui dura 2 ou 3 secondes. George Thompson sortit pour observer le ciel et vit des multitudes de rayons rouge sang qui convergeaient de tous les coins du ciel vers un point sombre.

Bazas – France ( 9 juin 1759 )
A 9 heures du soir, le curé de Captioux qui se promenait devant son église en compagnie du curé de Loubens, son frère, aperçurent une colonne de feu qui allait de l’est au sud. Elle passa derrière un bois qui leur déroba la vue. Une heure après, on vit une seconde colonne de feu qui se précipita dans la rivière, auprès du moulin. Ce même soir, on vit de la ville de Bazas, à l’extrémité de l’horizon, du côté de Langdon, un tourbillon de feu.

Mendips ( Somerset ) – Grande Bretagne ( 10 octobre 1759 )
Des objets ressemblant à des balles traversèrent rapidement en direction de l’Essex. L’un d’eux émettait une lumière bleuâtre et effectua une sorte de boucle avant de disparaître à l’horizon.

Suisse ( 2 novembre 1761 )
Avant le tremblement de terre on voit une procession de  » globes immenses  » survolant la Suisse.

Bideford ( Devon ) – Grande Bretagne ( 5 décembre 1762 )
Vers 20 h 50 une sorte de serpent en train de se tordre descendit lentement au-dessus de Bideford et resta visible durant à peine quelques minutes.

Londres – Grande Bretagne ( 19 août 1763 )
Obscurité plus impénétrable que celle de l’éclipse de 1748. En plein jour il fit brusquement noir comme dans un four. Le plus étonnant c’est que les ténèbres étaient tout à fait impénétrables à la lumière des chandelles ou des lanternes.

Gévaudan – France ( 19 juin 1767 )
La bête tuée par Jean Chastel avec une balle bénie, était très différente du loup, avec un poil rougeâtre. L’herbe ne poussa plus pendant longtemps là où le cadavre était tombé. ( Il y eut une centaine de cas authentifiés d’enfants dévorés ).

Coupar Angus – Ecosse ( septembre 1767 )
Une sorte de maison de feu s’approcha près du sol et causa certains dommages dans la ville. « Cela prit la forme d’une pyramide et partit brusquement vers l’avant en direction de l’Erick. Elle se précipita alors dans cette rivière à grande vitesse et disparut un peu après Blairgowrie (à plus de 7 km de là). Cela provoqua une émotion considérable… Lors de son passage, cet objet emporta une grande charrette et la transporta à plusieurs mètres de là, dans un champ. Un homme qui se trouvait sur la grand-route à ce moment, fut précipité en bas de son cheval et assommé; il demeura longtemps inconscient. L’objet détruisit également une maison et l’arche du nouveau pont de Blairgowrie. Après cela il disparut rapidement. »

Francfort et Leipzig – Allemagne ( septembre 1768 )
Extrait du 6e livre de l’autobiographie de Goethe. A l’époque il avait 16 ans et se rendait à l’université de Leipzig. Le voyage était pénible sous une pluie battante et dans les côtes, les voyageurs devaient descendre pour soulager l’effort de ces cheveux. Au cours d’une de ces marches forcées, il remarqua un phénomène étonnant: « Soudain, dans un ravin à droite de la route, je vis une sorte d’amphithéâtre, merveilleusement illuminé. Dans un espace en forme de tuyau brillait un nombre incalculable de petites lumières posées comme des marches les unes sur les autres. Elles brillaient si fort que l’oeil en était ébloui. Mais ce qui troublait le plus dans cette vision, c’était que les lumières n’étaient pas fixes, elles sautaient de-ci, de-là, allaient de haut en bas et vice versa, dans toutes les directions. Le plus grand nombre d’entre elles pourtant restaient stables et rayonnaient. C’est avec la plus grande répugnance que je consentis, lorsqu’on m’appela, à m’écarter de ce spectacle que j’aurais bien désiré examiner de plus près. Le postillon, quand je l’interrogeais, déclara qu’il n’avait jamais eu connaissance d’un tel phénomène, mais qu’il y avait dans le voisinage une ancienne carrière de pierre dont l’excavation était remplie d’eau. Reste à savoir maintenant si cela était un pandémomium de farfadets, ou une assemblée de créatures lumineuses, je ne saurais décider.

Oxford – – Grande Bretagne ( 24 octobre 1769 )
Observation de  » maisons de feu  » volantes.

Tribu Nootka.côte nord-ouest des USA ( 1778 )
John Meares (1756-1809) était lieutenant à la Royal Navy où il s’engagea en 1771. Il fit, en tant que capitaine, trois voyages de la Chine à Nootka Sound. (…). Dans ces souvenirs de voyage il raconte une histoire d’un extraordinaire étranger venu du ciel, dont les Indiens Nootka lui parlèrent. L’étranger était habillé de cuivre, voyageait dans un canoë de cuivre et que tout ce que l’étranger possédait était fait de métal. L’étranger mit les Indiens en garde leur disant qu’il venait du ciel et qu’un jour leur nation serait détruite et tout le peuple tué. Finalement ce seraient les Nootka qui eurent raison de l’étranger en le tuant et en lui volant tous ses objets de métal.

Château de Windsor – Grande bretagne ( 18 Octobre 1783 )
Le 18 octobre 1783 à 9h45 le soir, sur la terrasse du Château de Windsor, 4 témoins ont observé un objet lumineux dans le ciel. Selon le rapport enregistré l’année suivante ( Transactions Philosophiques de la Société Royale ), les témoins ont observé « un nuage oblong se déplaçant plus ou moins parallèlement à l’horizon ». Sous ce nuage un objet lumineux qui est devenu sphérique et brillant. Cette sphère étrange a semblé d’abord être bleue pâle, mais alors sa luminosité a augmenté et s’est mise en route vers l’est. Puis a changé de direction et s’est déplacé parallèlement à l’horizon avant sa disparition au sud-est. Elle éclairait n’importe quel objet au sol. Avant sa disparition l’objet changea de forme, devint oblong et au moment où une sorte de traînée apparaissait, il semble se séparer en deux corps de petites dimensions. A peine deux minutes plus tard on entendit le bruit d’une explosion. Le même genre de phénomène fut signalé ce soir-là à Deptford ( Wiltshire ) ainsi qu’à Hartlepool. Dessin de Thomas Sandby ( Royal Academy ).

Alençon ( Orne ) – France ( 12 juin 1790 )
Rapport rédigé par l’inspecteur de police Liabeuf:  » A cinq heures du matin, quelques paysans observèrent un énorme globe qui semblait être entouré de flammes. D’abord ils pensèrent qu’il s’agissait d’une montgolfière en feu, mais sa grande vitesse et le sifflement qu’il émettait les intriguèrent fortement. Le globe descendit doucement, tourna et finit par s’écraser au sommet d’une colline en déracinant la végétation qui croissait sur ses flancs. La chaleur dégagée par l’objet était si grande que l’herbe et les arbustes s’enflammèrent peu après. Les paysans arrivèrent à circonscrire le feu qui autrement se serait étendu à toute la région. Le soir, le globe était encore chaud et il se passa alors une chose extraordinaire, à peine croyable. Les témoins de cet événement sont deux maires, un médecin, et trois autres personnalités locales qui confirment mon rapport, sans mentionner les douzaines de paysans qui étaient également présents. La sphère, qui était assez grande pour contenir tout un équipage, était intacte après le vol qu’elle venait d’effectuer. Elle éveilla lentement la curiosité des gens qu’une foule vient de toutes les directions pour la voir. Alors, brusquement, une porte s’ouvrit et il en sortit une personne, juste comme nous, mais habillée d’une étrange façon avec des vêtements qui lui collaient au corps; voyant cette foule, cette personne murmura quelques paroles incompréhensibles et s’enfuit dans les bois. Les paysans reculèrent instinctivement, effrayés, et ils se sauvèrent. Peu après la sphère explosa silencieusement en envoyant des débris dans toutes les directions; ces débris se consumèrent jusqu’à ce qu’ils soient réduits en poudre. Des recherches furent entreprises pour retrouver le mystérieux homme mais il semblait s’être volatilisé dans l’air et jusqu’à présent on n’a pas découvert la moindre trace de lui. « 

Chine ( 27 janvier 1795 )
Dans le ciel du sud-est une grosse étoile de la grandeur d’un boisseau surgit soudainement. Scintillante elle descendit et monta pour redescendre et remonter trois fois de suite. Une autre étoile répéta le même mouvement et enfin tomba avant de s’écraser dans un village.

Alnwick – Grande Bretagne ( 10 septembre 1798 )
Vers 20 h 40 un objet cylindrique ressemblant à un pilon d’apothicaire sort subitement d’un nuage. Un des témoins ajoute qu’il sembla se ramifier et puis se fendre en deux demi-lunes avec des rayons lumineux. Cet étrange objet disparut après 5 minutes d’observation.

Hereford – Grande Bretagne ( 12 novembre 1799 )
Un grand pilier rouge survola Hereford du nord au sud.

Sibérie( fin du XIIIe siècle )
En Sibérie existaient des hommes noirs qui se déplaçaient en volant sur des plats d’argent qui laissaient derrière eux de longs sillages de feu.

Russie ( fin du XIIIe siècle )
Les habitants d’un gros village de la région du Don eurent un jour la surprise de trouver, à 2 km de chez eux, une boule de métal de 3 mètres de diamètre. Toute la population vint admirer ce drôle d’objet en se demandant ce qu’il pouvait être et d’où il venait. Il n’était certainement pas arrivé par la route car on ne voyait ni sur le chemin, ni dans les champs, aucune trace de roues. S’il était tombé du ciel, ou s’il avait été vomi par l’enfer, on aurait dû voir un trou ou.. Mais rien, il n’y avait rien d’anormal. La surface de la boule grise était aussi lisse qu’une bille. Pas si lisse que cela car des cercles, très réguliers, comme si un compas les avait tracés, et de diverses grandeurs, y étaient gravés. Les villageois essayèrent de pousser la chose, de la faire rouler sur elle-même. Efforts inutiles: elle ne bougea pas d’un millimètre. (…) A l’arrivée de Pouchkine, cosaque de fort mauvaise réputation mais malgré tous ses défauts très courageux, les villageois l’informèrent tout de suite de la présence de l’objet mystérieux. (…) Tirant son sabre, il se rua à cheval sur elle en jurant et en la défiant de lui résister. (…) … les spectateurs sont prêts à rentrer chez eux. Mais voilà qu’ils se mettent à hurler de peur: un cercle de la boule s’est fendu en laissant apparaître un œil, un œil rond de cyclope qui regarde fixement son assaillant, qui, lui, ricane en continuant à frapper, qui frappe si fort que son sabre se fend (…) Les paysans fuient. Quelques-uns se cachent derrière les arbres. Et que voient-ils? Ils voient Pouchkine et sa monture qui deviennent transparents avant de s’évanouir définitivement dans l’air. Pourtant ils entendent encore ses malédictions (…) Deux jours après cette grande bagarre, cavalier et cheval, titubant comme des gens qui ont trop bu, faisaient leur entrée sur la place (…) Il se mettait à hurler qu’il allait de ce pas mettre le feu au petit bois et que l’horrible chose rôtirait avec tout ce qui l’entourait. Alors tout le monde courut à ses trousses pour assister au spectacle, mais n’assista qu’à sa triste déconvenue: la boule n’était plus là.

Bâton Rouge ( Louisiane ) USA ( 5 avril 1800 )
Un corps brillant d’une trentaine de mètres reste suspendu au-dessus de la ville avant de disparaître dans un bruit énorme.

Hull – Angleterre ( 20 juin1801 )
Une sphère lumineuse de la taille de la pleine Lune, traversée d’une barre sombre, se décompose en cinq corps brillants.

Ornans ( Evilliers ) – France ( 1803 )
Deux globes lumineux faisant partir les rayons du soleil, apparurent au-dessus d’un arbre à Pierre Mille, à ses trois filles ainsi qu’à un vannier du pays.

Middleton Cheney ( Northans ) – Grande Bretagne ( 22 décembre 1807 )
La localité a été survolée par un objet en forme de fusée se déplaçant à une altitude d’une trentaine de mètres. L’OVNI volait horizontalement du nord-est vers le sud-ouest, comme un oiseau et disparut avant d’arriver à une colline.

Torre Pelice – Italie ( 18 avril 1808 )
Un certain Simondi, secrétaire du juge de paix de ce village, était réveillé par un fort bourdonnement. C’est alors qu’il vit un disque lumineux s’élever au sol à grande vitesse.

...un mystérieux disque volant s'éleva du sol.
…un mystérieux disque volant s’éleva du sol.

Skeninge – Suede ( 16 mai 1808 )
M. Acharius a observé à 16 heures, un phénomène extraordinaire. Le soleil devint rouge brique. Au même moment apparut, venant de l’horizon occidental, un grand nombre de corps ronds, brun sombre et de la taille apparente d’un rebord de chapeau, qui passèrent dans le ciel et disparurent vers l’orient. Procession fantastique qui dura près de deux heures. Parfois l’un des corps tombait au sol. Au lieu de chute on trouvait une pellicule qui séchait aussitôt et disparaissait. Souvent, en s’approchant du soleil, ces corps semblaient se rapprocher entre eux, en groupes ne dépassant pas huit unités et on voyait alors des queues de 5 à 8 m de long. Eloignés du soleil, leur queue redevenait invisible. Leur substance fut décrite comme savonneuse et gélatineuse.

Italie, Suisse et France ( 12 octobre 1808 )

Un dôme phosphorescent apparaît au-dessus de Naples. Des disques lumineux survolent Pinerolo en Italie. A la même époque on signale des objets lumineux et des bruits étranges dans le ciel des Alpes suisses et de la Tour d’Auvergne ( Puy-de-Dôme ).

Hatton Garden ( Londres ) – Grande bretagne ( 10 août 1809 )
Observation de sir John Staveley:  » Je vis de nombreux météores près du coin d’un nuage noir duquel des lumières sortaient. C’étaient comme des taches de lumière éblouissante dansant et passant à travers le nuage. L’une d’elles augmenta de dimensions jusqu’à ce qu’elle atteignit la brillance et la grandeur de Vénus lors d’une soirée claire. Mais je ne pouvais voir aucun corps dans la lumière. Cela se déplaça avec une grande rapidité et côtoyait le coin du nuage. Alors cela devint stationnaire, perdit de son éclat et disparut. Je vis ces étranges lumières pendant des minutes, non des secondes. Pendant près d’une heure ces lueurs, aussi étrange que ce fut et en d’innombrables points, sortaient et rentraient dans ce nuage sombre. Aucune lumière ne venait des nuages là où ces lueurs s’amusaient. Au moment où ces météores augmentaient de dimensions, on aurait dit qu’ils descendaient vers le sol. « 

Genève et Paris – Suisse et France ( 11 mai 1811 )
On aperçoit à 08 h 35, au nord-ouest une lumière précédée d’un sifflement. Il s’agit d’abord d’un serpent de feu puis la forme change, devient un rectangle (fer à cheval) et enfin on peut voir deux lumières aux extrémités d’une ligne incurvée. Le 11 mai 1811, à 8h35, à Genève, de nombreuses personnes dont des membres de la faculté des sciences, ont soudain vu un flash de lumière dans le nord-est. Ce flash prit ensuite la forme d’un fer à cheval.. Il s’avançait vers l’est et semblait être deux fois aussi haut que les montagnes du Jura. Un témoin qui l’examina au télescope affirma que ce trait lumineux était composé de plusieurs parties séparées.

Entre Manosque et Villeneuve d’Apert – France ( 20 mars1812 )
Le jour du tremblement de terre de Marseille, accompagnés de phénomènes si effrayants que les 7 voyageurs qui étaient dans la voiture de Digne ont préféré s’arrêter à la mauvaise auberge des Quatre-Tours plutôt que de venir coucher à Manosque. Aux approches de la voiture, ce ballon lumineux qui voltigeait sur le chemin s’est divisé en 4 feux, et alors la vue des voyageurs s’est tellement troublée qu’ils ont cru voir danser autour d’eux quatre hommes enfermés chacun dans une lanterne.

Angoulême ( Charente ) – France ( 13 juin 1819 )
Le 13 juin, à 6 h du matin, rapporte Le Journal de la Charente du 19 juin 1819, « on a vu tout à coup dans l’atmosphère un météore. Il avait la forme d’une « fusée », sa longueur semblait d’environ 1200 toises et il s’inclinait vers la terre. Il jetait dans l’air un éclat extrêmement vif. Une toise vaut 1 m 95 : 1200 toises représentent donc 2340 mètres environ ! Si un véritable météore de cette taille avait été aperçu, c’est qu’il aurait été dans notre atmosphère, donc trop près du sol pour échapper à l’attraction terrestre. Il serait tombé en provoquant un formidable séisme qui ne serait pas passé inaperçu ! (Jimmy GUIEU : »Les S.V. viennent d’un autre Monde » Fleuve Noir 1954 – Réédition Omnium Littéraire 1972 p. 235)

Amherst ( Massachusetts ) – USA ( 13 août 1819 )
Le professeur Dewey, communiquant le rapport du professeur Graves, ancien conférencier au Collège de Dartmouth, raconte qu’au son d’une explosion, une vive lumière se répandit sur la ville d’Amherst, illuminant l’un des murs de la pièce où lui-même se trouvait en compagnie de sa famille. Le lendemain, dans la cour de devant du professeur Dewey, sur l’emplacement même d’où semblait provenir l’étrange lumière, on découvrit « un objet mystérieux recouvert d’un duvet jaune vif, comme on en trouve dans les fabriques de drap ». Le duvet écarté, apparut une substance pulpeuse de couleur jaune chamois qui, dégageant une odeur très nauséabonde, tourna au rouge vif par le simple contact de l’air. Il se liquéfia au bout de quelques minutes en devenant rouge sang.

Embrun ( Hautes Alpes ) – France ( 7 septembre 1820 )
Une formation de disques survole la ville d’Embrun pendant une éclipse de Lune. Ces objets pivotent à 90° avant de disparaître. Rapport établi par l’astronome Arago. De curieuses formations uniformes arrivent en ligne droite au-dessus d’Embrun opèrent un mouvement tournant de 90° et s’éloignent en un ordre parfait. Charles de Maingot, notable, écrit que les  » véhicules  » ressemblent à des cloches. ( Moustique n° 1508 du 19.12.1954 )

Massachussetts – USA ( 1820 )
William Denton prétendit avoir eu des contacts avec des habitants de Vénus. Ceux-ci voyageaient dans une machine en forme de soucoupe construite en aluminium. Ils employèrent un langage télépathique pour communiquer avec Denton.

Honolulu ( Hawai ) USA ( 12août 1825 )
Extrait de l’UFO Investigator, la revue du National Investigation Committee on Aerial Phenomena, de Washington. Il nous apprend que dans « The Diary of Andrew Boxam », publié en 1925 par le Musée Bernice P. Bishop de Honolulu, on trouve le passage suivant : « Ce matin vers 3 h 30 (le 12 août 1825) la bordée de quart sur le pont a été ahurie de voir que tout autour d’eux était soudain illuminé. Tournant les yeux vers l’est, ils ont aperçu un grand corps rond, lumineux, s’élevant à environ 7 degrés de l’eau jusqu’aux nuages, pour retomber hors de vue, et une deuxième fois s’élever et retomber. C’était de la couleur d’un boulet de canon rougi à blanc et semblait de la taille du soleil. Il répandait une si vive lumière qu’une épingle aurait pu être ramassée sur le pont. »

Sarrebruck – France ( 1 avril 1826 )
Un objet gris en forme de torpille approche de la Terre à grande vitesse.

Migne-Auxances ( Poitou ) – France ( 1826 )
Une croix lumineuse de 80 pieds a été vue par 3000 personnes dont 200 ont fourni un témoignage.

Forfar ( Angus ) – Ecosse ( 23 juillet 1830 )
Le révérend Alexander Espline voyageait d’Auchtermuchty à Letham quand il remarqua une lueur particulière comme suspendue dans les airs au-dessus de Whinny Park, la résidence d’un nommé James Millie. S’approchant du Park M. Espline vit deux lumières, une plus petite et plus brillante que l’autre d’une teinte de plomb, pâle comme la mort. Soudain, la plus petite de ces sphères émit un rayon lumineux d’une extrême brillance, bientôt suivie par une série de flashes des deux objets à la fois. Effrayé par ce phénomène il s’enfuit. Deux jours plus tard on retrouvait le corps de James Millie qui avait été assassiné et enfoui à l’endroit où les lueurs avaient été aperçues.

 

Kourianof – Russie ( Mars 1832 )
On découvrit une substance jaune, résineuse, mais s’étirant comme du coton. Il en tomba dans une zone d’environ 600 m² et cela jusqu’à une épaisseur de 5 cm. Cette substance était combustible. Dans l’eau elle prenait une couleur ambre et devenait élastique comme du caoutchouc naturel. L’odeur était celle d’huile et de cire.

La Haye – Pays-Bas ( 10 novembre 1832 )
Y. Berghelen aperçoit « un disque rond de deux mètres de diamètre, sauter d’un bord du canal à l’autre. En se déplaçant il émet un bruit sourd.

Bruneck ( Tyrol ) – Autriche ( 14 novembre 1832 )
Un nuage blanc brillamment éclairé apparaissait dans le ciel. Vers 6 h 00 il y eut d’abord un puissant faisceau lumineux dans la nuit. Cette lumière se rassembla ensuite en une forme ovoïde qui resta stationnaire pendant plus d’un quart d’heure.

Niagara Falls – USA ( 13 novembre 1833 )
Un large corps lumineux, presque stationnaire par moments, en forme de table carrée.

Mexique et Océan atlantique ( 13 novembre 1833 )
A partir de 2 heures du matin environ, dans un ciel sans nuages, commence une véritable pluie de boules de feu. De très nombreux témoins remarquent que, parmi les raies fulgurantes, il y a des corps lumineux restant longtemps visibles et presque stationnaires. Divers témoins recueillent au sol une substance gélatineuse blanchâtre qui se sublime rapidement. Phénomène principalement visible dans un quadrilatère délimité d’une part par le 61° degré de longitude ( océan Atlantique ) et le 100° degré de longitude ( Mexique central ) et, d’autre part, par les Grands Lacs de la Jamaïque.

Cologne – Allemagne ( 1834 )
Vers sept heures du soir on vit un bolide qui apparut au nord-est et se dirigeant vers le nord avec une certaine rapidité parallèlement à l’horizon. Il disparut soudainement pour réapparaître deux secondes après et pour se scinder en deux parties.

Szeged – Hongrie ( 1836 )
Des lumières sphériques et l’apparition de ce que les habitants décrivirent comme une dame en blanc créèrent un beau tumulte dans une partie de la ville.

Cherbourg – France ( 12 janvier 1836 )
Un corps lumineux représentant les deux tiers de la Lune sembla pivoter comme sur un axe: il portait en son centre une cavité sombre.

Ovni et alien...!
Ovni et alien…!

 

Tirgu-Néamt et Dorohoi – Roumanie ( nuit du 29-30 août 1837 )

Au cours de cette nuit un météore a été vu ou un phénomène physique. Une sphère lumineuse d’environ trois mètres de diamètre voyage dans le ciel. A l’aube, le météore est descendu et tout le champ s’est mis à briller d’une lumière rougeâtre très vive.

Londres – Grande Bretagne ( novembre 1837 )
Un homme volant, portant quelque chose sur son dos et faisant des bonds formidables, volant au-dessus de ceux qui voulaient l’attraper. L’amiral Codrington offrit une récompense pour sa capture.

Londres – Grande Bretagne ( 18 février 1838 )
Miss Scales passant dans l’allée du Dragon Vert, mal éclairé, près d’un cabaret, vit une haute silhouette se cacher dans l’ombre. Elle hésita et attendit sa soeur qui était restée en arrière. Sa soeur le décrivit ainsi « grand, mince, distingué » !! Il avait rejeté sa cape sur le côté et braqué une lanterne sur la jeune fille suffoquée. Elle n’eut pas le temps de pousser un cri, l’étrange flamme bleue lui cacha au visage et elle fut profondément évanouie. Là-dessus Jack se retira calmement.

Londres – Grande Bretagne ( 20 février 1838 )
Un être étrange qui semble être revêtu de ce qu’on appellerait aujourd’hui une combinaison spatiale, effraye les Londoniens. Parfois il était lumineux et pouvait sauter très haut. Baptisé « Spring Heel Jack » ce personnage a des aventures qui ne sont pas sans rappeler fortement des faits beaucoup plus modernes. Le 20 février Mlle Jane Alsop, âgée de 18 ans, rencontrait le « monstre » à Bear Bine Cottage, là où elle vivait dans le petit village d’Old Ford, près de Bow. Ayant entendu frapper violemment à la porte d’entrée, elle sortit et vit la plus hideuse des apparitions: un personnage vêtu de vêtements collants au corps et étincelants, une lampe rayonnant au milieu de sa poitrine et avec des yeux ressemblant à des boules rouges de feu. Elle se mit à crier de toutes ses forces. Spring Heel Jack saisit alors son bras dans une main métallique avec des doigts comme des griffes et envoya des boules de feu dans la figure de la jeune fille. Cette dernière tomba bientôt inconsciente et elle eut encore le temps de voir ce triste sire s’envoler dans les airs.

Liverpool – Grande Bretagne ( 6 juillet 1838 )
Dans la nuit l’inspecteur Hemer de la police de Liverpool patrouillait le long des limites de Teth Park. Soudain il aperçut une grande sphère de feu qui stationnait à quelque hauteur au-dessus d’un champ voisin. L’objet resta stationnaire pendant deux minutes. C’est alors qu’il émit des étincelles brillantes et qu’il s’éleva rapidement dans le ciel pour disparaître.

Inde ( 1838 )
Un disque prolongé d’une sorte de crochet, gros comme la lune mais plus étincelant: on en trace un diagramme.

Orenbourg – URSS ( 1842 )
De petits objets métalliques parfaitement hexagonaux sont tombés du ciel après qu’un nuage étrange ait été vu comme suspendu sur la ville un très grand laps de temps.

Clavaux ( Isère ) – France ( 1842 )
Deux fillettes virent des pierres tomber autour d’elles. Les pierres tombaient avec une lenteur étrange. Les enfants coururent à la maison familiale et revinrent sur place avec leurs parents. Les pierres tombaient encore, toujours avec la même lenteur étonnante. Puis, une sorte de courant ascendant – un tourbillon – aspira les deux fillettes qui furent soulevées mais leur parents purent grâce à la rapidité de leurs réflexes, les retenir à la dernière seconde pour les empêcher d’être emportées Dieu sait où. Les parents n’ont pas été concernés par le phénomène d’aspiration.

Meditérranée ( 18 juin 1845 )
On vit trois corps lumineux sortir de l’océan à quarante mètres du « Victoria », brigantin britannique à 1300 km d’Adalie (Asie Mineure) et rester visibles dix minutes durant. Le navire se trouvait par 36°40’56 » de latitude nord et de 13°44’36 » de longitude est. Le professeur Baden Powell a publié une lettre d’un correspondant du mont Liban qui décrit le même phénomène prodige mais ne cite que deux corps lumineux, cinq fois plus gros que la Lune et dotés d’appendices en forme de voiles ressemblant « à de grands drapeaux gonflés par la brise ». Ils furent visibles une heure. Les appendices ne ressemblaient pas à des traînes de météores, car leur lueur semblait provenir des corps eux-mêmes. A Adalie à 1300 km du Victoria et au même moment, le rév. F. Hawlett cité par le professeur Baden-Powell, assista au spectacle dont il évalua la durée à une demi-heure. Le phénomène fut également signalé de Syrie et de Malte, sous la forme de « deux corps étroitement liés. »

La Sallette ( Isère ) – France ( 1846 )
Avant de pouvoir distinguer la silhouette d’une dame lumineuse, ce fut d’abord une lueur au fond du vallon qui attira l’attention de Mélanie Calvet et de Maximin Guiraud. S’étant rapprochés ils virent une sorte de globe très brillant qui s’ouvrit pour laisser apercevoir la dame.  » Nous avons vu une clarté s’ouvrir, et dedans, la Dame « .

Zheijang – Chine ( 2 juin 1846 )
A midi je suis sorti de ma maison et j’ai vu dans le ciel une grosse boule de feu, plus volumineuse qu’une cuvette. Elle volait du sud au nord, suivie d’un faisceau de lumières multicolore. Une autre colonne de lumière blanche poursuivait le faisceau. Le faisceau et la colonne avaient la même longueur. Lorsque la boule flamboyante passa au-dessus de ma tête, se fit entendre un bruit pareil au grondement du tonnerre.

Lovel ( Massachusetts) – USA ( 26 octobre (1846 )
Un disque lumineux se meut au-dessus de Lovel. Il fait choir une masse gélatineuse et puante. Elle pesait 55 kilos et mesurait 122 cm de diamètre.

Gais – Suisse ( 8 août 1849 )
A trois heures, sir Robert Inglis vit des milliers d’objets brillants, ressemblant à des flocons de neige dans un ciel sans nuages. Mais bien que ce déploiement n’ait duré que 25 minutes, aucun des flocons ne tomba au sol. Le domestique d’Inglis crut voir que certains d’entre eux possédaient des espèces d’ailes. Au cours de la même communication sir John Herschel rappela qu’en 1845 ou 1846 son attention avait été attirée par des objets de taille considérable traversant les airs. Au télescope il les identifia à des masses de foin de deux mètres de diamètre, mais, bien que seule une trombe ait pu les soulever, il remarqua que l’air était tout à fait calme. (Charles FORT: « Le livre des damnés » – éd. Eric Losfeld 1967, p. 173, 174) Des milliers d’objets lumineux sont observés par l’astronome Inglis par ciel clair. Certains semblent avoir des ailes ou un halo lumineux. (Desmond Leslie et Georges Adamski: « Les S. V. ont atterri » – J’ai Lu 1971, p. 36) Sir Robert Inglis vit à 15 heures des milliers d’objets brillants ressemblant à des flocons de neige dans un ciel sans nuage. Le phénomène dura 25 minutes. (Christiane PIENS: « Les Ovni du passé » – Marabout 1977 – p.87) En 1849, le 8 août à 15 heures, l’astronome Inglis, de Gais, voit des milliers de disques lumineux traverser un ciel clair, sans arrêt durant vingt-cinq minutes. Certains avaient des sortes d’ailes ou un éclat en forme de couronne. Son domestique les voit entourés d’un anneau ou d’un halo lumineux.

ovni et sapins

Poitou – France ( 1850 )
Un soir, près de la plage de la rivière Egray un groupe de femmes avait bavardé jusque vers minuit et s’en retournaient au village. Elles venaient juste de traverser un pont quand il y eut un bruit terrible et qu’elles virent « un chariot aux roues grinçantes grimpant la colline à une étonnante rapidité, tiré par des farfadets ». Il bondit par dessus la colline et disparut.

 

 

 

 

2 commentaires sur “Histoire des ovnis: voici une liste de témoignages répertoriés de 1661 à 1861

  1. Toujours intéressant de passer vous lire, je découvre et apprends plein de choses à chaque fois…
    Les ovnis … voilà que le mystère reste…!
    Bon dimanche

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