Introduction aux mystères de la Bible

Il y a encore de nombreux mystères à élucider :

Notre système solaire et notre Terre seraient vieux de 4,5 milliards d’années.

Une tombe d’un général Chinois, datant du 3è ou 4è siècle fut retrouvée contenant

des boucles de  85% d’alliage d’aluminium. Or, nous n’avons découvert l’aluminium qu’en 1808.

Il est plus que probable que des protocivilisations Atlandides, Mû etc., aient existées il y a env. 12.000 ans et furent détruites. Notre civilisation est née de leurs cendres.

En Mésopotamie, dans les vallées du Nil, on retrouve des traces d’une civilisation hautement intelligente,au moins 7.000 ans av. J.C. au point de vue : agriculture, astronomie, etc.

On peut lire dans le journal « Le Soir » du 16 avril 1998 :

Des archéologues américains ont mis au jour dans le désert occidental de l’Égypte les restes d’un site d’habitation humaine vieux de 9.000 ans, qui pourrait être l’un des plus anciens connus dans le monde. Le site compte 18 villages répartis sur une zone de 38 km² par groupes de 18 à 50 habitations de forme ovale, bâties en pierres. La zone, située à 180 km à l’ouest des célèbres temples d’Abou Simbel, dans l’extrême sud du pays, comportait un lac saisonnier formé par la pluie.

Des squelettes entiers de vaches ont été retrouvés enterrés à part, ce qui conduit les experts à penser que les anciens les considéraient comme sacrées. Les archéologues ont également retrouvé des preuves de l’élevage domestique de vaches et d’autres animaux, ainsi que des restes d’œufs d’autruche, des silex et un atelier de poterie. C’est la première fois que des sites préhistoriques intacts sont retrouvés en Égypte, a relevé l’archéologue américain Fred Wendorf , qui dirige des fouilles dans le désert occidental depuis les années 60.

Le culte des vaches sacrées devait correspondre à l’époque Taureau.

Voici ce que dirent les anciens :
Ce qui a été, c’est ce qui sera;
ce qui s’est fait, c’est ce qui  se fera .
Il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! »
*
« Il est telle chose dont on dirait volontiers :
Voyez ceci est nouveau ! Eh bien ! Cette chose
a déjà existé dans les temps qui nous ont précédés. »
*
« Nul souvenir ne subsiste des anciens;
de même, de leurs plus récents successeurs,
il ne demeurera aucun souvenir chez ceux qui viendront plus tard .
Ecclésiaste chap.1 (250 av. J.C.)
*
Les prêtres égyptiens du 6è siècle av. J.C. dirent à Solon :“…O Solon, vous les Grecs vous êtes comme des enfants – vous ne savez rien des anciens jours ou de la vieille connaissance du passé…

Que penser de la Bible ?

« BIBLE » du latin Biblia, en Hébreu Sepher : signifie « petits livres ». Donc une série de chroniques qui sont à l’origine de notre pensée judéo-chrétienne, venant de Sumer en Mésopotamie. C’est de là que partit le grand courant culturel qui a donné tout ce qui est la pensée occidentale, en passant en particulier par le monde judéo-chrétien qui est devenu dominant chez nous. La littérature biblique comprend des « versions » ou « Targum ». Plusieurs chapitres ont été retirés de la Bible originale. Ces chapitres sont appelés « Apocryphes ». Ce mot provient du grec « Apokuphos » qui signifie « caché ». La plus célèbre version, est le Talmud. « Les septante » demandée par Ptolémée au IIIe siècle av. J.C. pour son usage. Cette version devint la Bible des premiers Chrétiens avant la Vulgate latine. C’est seulement au VIIe siècle av. J.C. que la Bible fut mise en texte manuscrit. Le reste de la connaissance restera occultée et véhiculée dans le sein du Collège des prêtres, ou parmi les sectes et les fraternités secrètes, grâce aux apocryphes, la Mishna, la Merkaba, la Kabbale, le Zohar, le Pentateuque etc.

LA GENESE COMPORTE QUATRE COURANTS PRINCIPAUX :

l’élohiste = on utilise le nom « Elohim »

le Yahviste = on emploie le nom de « Yahvé » ou le tétragramme « YHWH »

le code sacerdotal = impersonnel et légaliste

le chroniqueur = qui fait cas des généalogies.

Peu de gens ont véritablement lu la vraie Bible, et il y a quelques années elle était mise à l’index, et depuis sa création, elle a subit beaucoup de changements. Chaque Pape l’a faite retraduire et y a fait apporté des modifications. Notre époque est appelée “époque de l’apocalypse” c.à.d. en traduction exacte “époque de la révélation”. A présent, notre niveau de culture est tel, que les textes, avant incompréhensibles, peuvent être compris. Au fur et à mesure que la connaissance et la maturité augmentent, les phrases acquièrent un nouveau sens. Lorsqu’on lit la Bible, comme je l’ai fait, en admettant les phrases telles quelles, sans y chercher de sens caché, la “révélation apparaît !”

Certains diront que l’on ne peut plus se fier à des textes aussi trafiqués et controversés, qu’importe, je suis persuadée que « des êtres supérieurs » se sont servit de toutes nos croyances et coutumes pour nous insuffler des messages importants… Nous avons crée des dieux à notre imagerie, et ces dieux se sont servit de cette imagerie pour nous atteindre, c’est une grande preuve d’intelligence. Ne nous mettons-nous pas aussi au niveau de l’enfant lorsqu’on parle à un enfant et l’enfant a besoin de contes de fées. Examinons donc ces chroniques avec un regard nouveau, comme si on n’en avait encore jamais entendu parler.

Les boucles du général Shou Shu

C’est en 1956, dans la province de Jiangsu (Chine orientale) que l’on met au jour la tombe d’un général de l’époque Jin (265-316 après-J.-C.), appelé Shou Shu. Parmi les pièces du costume figurent des boucles de ceinture métalliques, de couleur gris-brun. A l’évidence, elles sont en bon état, à peine corrodées. Comme beaucoup d’autres objets de la tombe, ces boucles sont analysées par les laboratoires chinois, et entre autres par la faculté de chimie de l’université de Nankin. Et les résultats sont pour le moins surprenants : certaines de ces boucles sont faites d’un alliage d’aluminium et de cuivre ! Confirmées par d’autres laboratoires tout aussi prestigieux, ces analyses font l’objet d’un rapport, bientôt traduit et publié dans deux revues spécialisées, la suédoise « Metalen » et la française « Revue de l’aluminium ». Pour la suite de cet exposé succinct, nous retiendrons deux caractéristiques essentielles de ces boucles :

  1. elles sont faites d’un alliage Al-Cu riche en aluminium,
  2. elles ont remarquablement résisté à la corrosion.

En fait, cette découverte est tout à fait sensationnelle, car la fabrication de ces « pièces à conviction » nécessite un niveau de connaissance que les métallurgistes de l’époque étaient loin d’avoir atteint. Les Chinois de cette époque connaissaient bien entendu le bronze, et avaient acquis un savoir-faire certain dans la fabrication d’objets en fer. Ils avaient en outre développé des techniques de chauffage qui leur permettaient d’atteindre la température de fusion du fer, soit 1539° C.

Pour ce qui est de l’aluminium, il est vrai que ce métal se trouve facilement dans la nature, sous forme de bauxite et de cryolite entre autres. Pour obtenir l’aluminium, deux procédés sont possibles :

  1. L’électrolyse d’une solution de bauxite dans de la cryolite fondue. Solution impensable puisqu’elle nécessite de l’électricité, et en grandes quantités.
  2. La réduction thermique de l’alumine Al2O3 par le carbone en présence de cuivre. On obtient un alliage Al-Cu (l’alliage donc des boucles de ceinture), contenant 30 à 40% d’aluminium. La difficulté consiste à atteindre la température nécessaire, soit 1800°C. Pour fixer les idées, cette température est celle qui est atteinte dans la partie basse d’un haut-fourneau.

Les archéologues en charge du dossier ont tenté une reconstitution de la fabrication des boucles, par ce procédé de réduction thermique. Ils ont obtenu « un peu d’alliage Cu-Al, avec environ 30% d’aluminium ». Mais on ne peut considérer cette reconstitution comme valable, le pourcentage d’aluminium étant ici de 30% seulement, alors que les analyses faites sur les boucles parlent de « forte proportion d’aluminium » (on mentionne même 85% d’aluminium).

Reste le problème de la corrosion, qui a eu peu de prise sur les boucles, ainsi que le soulignent les rapports d’analyse. Pour les spécialistes, une telle résistance à la corrosion ne peut s’obtenir qu’en satisfaisant à deux conditions :

  1. la passivité (le métal est protégé par une mince couche d’oxyde),
  2. l’homogénéité (on obtient une structure homogène par traitement thermique).

On voit tout de suite que, si la passivité peut être fortuite, il n’en est pas de même pour l’homogénéité, qui doit être voulue par l’artisan. Un artisan qui, dans le cas de nos boucles chinoises, devait en « connaître un bout » en métallurgie !

Manifestement, ces boucles ont été fabriquées intentionnellement : on ne peut parler de hasard lorsqu’on obtient un alliage si riche en aluminium. De plus, l’artisan qui les a fabriquées connaissait parfaitement son métier et maîtrisait les techniques de hautes températures. Et enfin, aucune autre découverte de ce type n’a été faite dans les environs. On peut donc estimer que ces objets ont été importés. D’où ? A ce niveau, le mystère reste entier. »

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